22/02/2015
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Conseil de Sécurité et de Coopération (CSC) - Page 3

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Après avoir écouter le représentant de l’Union des Cités d'Akaltie, le représentant de la République de Lermandie décida de s’exprimer:

Jamie Marshall: “Mes chers collègues, en tant que représentant de mon pays, je vous présente les avis du chef de l’Etat, le Président Duval.

Concernant la candidature de l’Empire du Nord, La République de Lermandie considère que c’est un partenaire économique et sécuritaire fiable et efficace. Mais sa majesté Aestanatl met en avant un point qui pourrait poser problème sur le long terme.
En effet, étant membre de l'Organisation des Nations Démocratique, l’Empire du Nord est tenu de respecter une charte défensive de cette alliance. Mais concernant ce sujet, la République de Lermandie a confiance envers le Royaume de Teyla pour favoriser la diplomatie avant qu’un potentiel mécanisme de défense ne s'active. Et je rappelle que la Lermandie était un territoire colonial du Royaume de Teyla ce qui met en avant que la Lermandie a mis du temps à faire confiance envers son ancienne métropole malgré des décennies, voire des siècles d'oppression.
Mais après, pour rassurer le représentant d’Akaltie, peut-être devrions-nous organiser un sommet avec les membres-fondateurs de l’OND dans le but de statuer sur les relations entre l’ASEA et l’OND. Après tout, l’OND valorise tout autant la démocratie et le dialogue que nous.
Mais concernant l'adhésion de l’Empire du Nord, la République de Lermandie exprime son accord sur son entrée dans notre organisation.

Concernant la République Occidalienne, actuellement, le gouvernement lermandien et le Président de la République approuvent. en effet, cette Etat est un partenaire plutôt fiable qui a commercé avec mon pays depuis plusieurs dizaines d'années sans qu'on ai eu une reconnaissance diplomatique officiel entre nos deux nations. Donc, en temps que représentant de la Lermandie, je ne peux qu'approuvé son intégration dans notre organisation.

Je vous remercie de votre attention.”
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Ipen Katal - "Pour commencer, au sujet de l'Empire du Nord, le Taqui-Quichu n'est pas défavorable à l'arrivée de ce pays au sein de l'ASEA. Il s'agit là d'une nation pouvant à terme nous apporter beaucoup, notamment des liens commerciaux.
Cependant, Mme Aestanatl, vos paroles au sujet de l'OND ne peuvent que nous faire réfléchir une seconde fois. Il est courant de savoir que cette organisation est interventionniste, les opérations au Valkoinenland étant la preuve la plus irréfutable. Ainsi, le Taqui-Quichu ne veut pas créer une nouvelle sphère d'influence de cette organisation qui pourrait toucher à terme toutes les nations au sein de l'ASEA.
Cependant, refuser cette candidature serait aussi une erreur, dû moins si nous ne tentons pas le dialogues avec l'OND. Ainsi, nous soutenons fermement la proposition de notre collègue Monsieur Marshall, et nous prendront finalement notre décision qu'après s'être assurer des relations entre l'OND et l'ASEA.

Pour la candidature de l'Occidalie, nous ne sommes que plus favorables à cette demande. Nos voisins du nord peuvent se révéler être un moyen, comme vous l'avez si expressément dit, un pont entre le Stérus et notre nation. De plus, depuis la réouverture de la diplomatie occidalienne, le Taqui-Quichu et l'Occidalie entretiennent de très bonnes relations, ce qui favorisent encore notre décision"
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La fédération après avoir attendu quelques minutes se prononça à son tour.

Empire du Nord :
la fédération est favorable à l'entrée de ce pays dans l'organisation. C'est un pays ouvert économiquement et qui a montré aux peuples aleuciens un réel intérêt. La fédération a notamment pu profiter d'un soutien sans conditions de l'empire lors de la crise contre la Poetoscovienne, montrant ainsi les valeurs de ce pays. Ainsi, nous ne pouvons refuser son entrée dans notre organisation. Mais il y a cependant effectivement un point à éclaircir qui est celui de l'OND. Je pense qu'il faudrait directement établir avec l'empire du nord les limites de notre organisation quant au soutien de l'OND. Après, je tiens également à rappeler quels sont nos statuts. Pour ceux qui s'inquiètent notamment de l'aspect militariste de l'autre organisation. L'ASEA est un pacte défensif qui n'implique une mobilisation générale qu'en cas de besoin de défense de l'état d'un allié. Ainsi, si l'OND souhaite mener des opérations impliquant l'empire du nord, il n'y a aucune raison pour nous de lever le petit doigt. Dans le cas où l'empire du nord viendrait d'être menacé sur son sol alors nous engagerions des forces. Mais cela n'est pas vraiment prés d'arriver. Ensuite, pour l'aspect influence, il nous suffit de savoir faire respecter nos volontés. Je ne pense pas que l'OND à de réelles intentions à l'encontre de notre organisation, et auquel cas nous établirons des mesures pour assurer notre indépendance.

Occidalie : La Fédération est plus que favorable à l'entrée de cet états dans notre organisation. Cet état est en pleine extension, il s'assure un réseau diplomatique important et serait plus que bénéfique pour notre organisation.
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Après la prise de paroles des autres membres, c'est désormais à la représentation westalienne de faire part de son avis sur les candidatures de la République occidalienne et de l'Empire du Nord. De toute évidence, l'acceptation de ces deux nations semble assez certaines au sein de l'alliance et permettra à l'ASEA de se développer à un niveau supérieur en termes d'actions et d'opportunités pour les années à venir. En comptant la récente intégration du Taqui-Quichu, le nombre de membres aura presque doublé en seulement une année. Passant de quatre pays à sept pays pleinement intégrés à l'organisation aleucienne. Le récent incident diplomatique ne semble pas avoir égratigné la jeune image de l'alliance et son attractivité devient de plus en plus grande au fur et à mesure des mois. Il faut dire que le traité de Barba est un outil de développement économique très attrayant pour beaucoup de jeune nation qui cherche à se développer au niveau continental, à gagner de l'influence et un poids diplomatique sur la scène internationale en participant à des projets prometteurs qu'ils portent. Pour la Grande République, cette dynamique est un signe de bonne santé pour l'ASEA qui semble poursuivre son inéluctable ascension en Aleucie et qui pourrait, dans un court terme, devenir une force non-négligeable dans les affaires du continent.

Le représentant Boris Valendof s'avance vers son micro pour exprimer l'opinion de son pays vis à vis des deux candidatures en cours d'examen :

Boris Valendof : Pour la candidature de l'Empire du Nord, nous comprenons aisément les inquiétudes de certains d'entre-vous quant à un potentiel jeu d'alliance qui mettrait notre organisation dans une situation que personne ne souhaite autour de cette table. Cependant, nous rejoignons l'analyse stérusienne sur ce point : nous sommes un pacte défensif qui n'entrerait en marche que si un de nos membres serait attaqué sur son sol et non pour un de ses alliés hors-ASEA. Peut-être que le contour de ce pacte défensif est encore un peu flou pour prévoir ce genre de cas et pourrait mériter une précision à titre de renforcement du traité ou pour nous rassurer sur ce dans quoi nous nous engageons avec notre organisation, mais je retombe sur les paroles de la représentation stérusienne qui rappel, à juste titre, que toute adaptation de notre coopération pourra être débattue et adoptée ici-même. Mais je ne vais pas m'étaler sur ce sujet, qui pourrait être abordé au cours de futurs échanges.
De manière globale, la Grande République n'a pas une mauvaise image de l'Empire du Nord. C'est une nation stable politiquement et économiquement, qui a un réseau diplomatique important et une position déjà majeure sur le continent. Son attractivité en fait donc un partenaire économique potentiel idéal pour notre alliance. De ce fait, Westalia est favorable à l'intégration de l'Empire du Nord à notre alliance.

Pour la candidature de la République occidalienne, nous pensons que cette nation a un potentiel économique intéressant et un réseau diplomatique qui grandit rapidement. Sa volonté de développement et son dynamisme interne en font un futur partenaire prometteur. La Grande République entretient déjà des relations amicales avec cette nation, en qui nous avons confiance pour apporter nombre d'opportunité à l'ASEA. Westalia est donc favorable à l'intégration de la République occidalienne à notre alliance.
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La présidente de l'ASEA se redresse sur son siège et s'approche du Micro

Mes chères collègues, c'est avec plaisir que nous pouvons donc à présent considéré que l'Empire du Nord et l'Occidalie sont des membres intégré de l'Alliance pour la Sécurité Economique Aleucienne. Avec tout deux un accord à l'unanimité l'organisation est maintenant arrivée à 7 membres. Comme pour le Taqui-Quichu, nous pourrons considérer leur présence comme définitive dés lors qu'ils auront apportés leur signature au traité de Barba.

Mes Chères Collègues, il est à présent temps pour moi de tirer ma révérence en tant que présidente de cette organisation. L'année durant laquelle un état membre assure la présidence étant terminé pour ma fédération, je ne peux dans le cadre légal poursuivre la direction. J'ai été particulièrement ravi de travailler avec chacun d'entre vous, d'animer les débats et d'organiser comme je le pouvais le développement de cette organisation, je souhaite à chacun de mes collègues ici présent une réussite et beaucoup de bonheur dans tout ce qu'il entreprendront. Madame Aestanatl, Monsieur Valendof, Monsieur Marshall et bien sûr Monsieur Poleokios. Je souhaitais vous remercier pour m'avoir permis de contribuer à ma petite échelle à la création de ce à quoi ressemble l'ASEA. Vous avez chacun à votre façon marqué ma carrière politique. Que ce soit votre caractère Monsieur Poleokios, votre élégance Monsieur Valendof, votre passion incessante pour les fromages Monsieur Marshall ou encore l'éternelle bienveillance de Madame Aestanatl, j'ai été honoré de représenter l'organisation et souhaite la plus grand des réussite à celle-ci. Je souhaite également au représentant du Taqui-Quichu la bienvenue dans cette organisation.

Merci à vous mes chères collègues
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Bannière Conseil de Sécurité et de Coopération

Voilà qu'une année complète s'était écoulé depuis la signature du traité de Barba et la fondation de l'Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne. Le début d'une aventure qui ne s'est pas faite sans obstacle, entre les incidents diplomatiques et certains désaccords. Pour autant, que d'avancements pour l'ASEA dont les réussites masquent totalement ses défauts depuis sa création. L'organisation est encore jeune et en pleine structuration, de nombreuses réformes sont encore à prévoir pour lui donner une forme plus affinée et mature face aux nombreux défis qu'elle devra surmonter et qui lui font déjà face. De toute évidence, l'alliance n'a pas laissé de marbre le continent. Avec l'union de quatre nations émergentes et loin des grandes puissances aleuciennes et du monde, l'Akaltie, la Lermandie, Stérus et Westalia ont réussi à accomplir ce que le Coopération Aleucienne des Nations n'a pas réussi à réaliser sur la même période : construire un projet commun solide et bénéfique pour ses membres. Si l'ASEA est dans sa forme et ses objectifs très différentes de cette dernière, elle reste l'entité continentale la plus à même de faire avancer des projets concrets pour le continent. La création progressive d'une sphère économique, les très nombreuses coopérations diplomatiques sur différents sujets, la mise en commun du savoir technologique, un programme de défense naissant... Voilà tout autant de chose que nul ne peut nier être le produit de cette même alliance dont la croissance exponentielle a presque doublé son nombre de membres depuis sa fondation.

Désormais, c'est une nouvelle année qui s'ouvre pour le Conseil de Sécurité et de Coopération, non plus à quatre nations, mais à sept. Un an après la fondation de l'alliance, les bilans sont positifs pour tous et de nouveaux enjeux et objectifs plus élevés sont déjà envisagés par de nombreux conseillers et personnalités des pays membres de l'ASEA. Cette session du Conseil s'ouvre sur le début de la Présidence westalienne de l'organisation, qui sera pris en charge par son représentant, Boris Valendof. Ancien membre d'une entité du Ministère Fédéral aux affaires étrangères, membre du Parti de l'Union Républicaine (actuellement au pouvoir à Westalia), libéral convaincu et proche d'Henry Takajiwa, c'est cette personnalité qu'a nommé le Président Fédéral Victor Hardenbor pour représenter la Grande République au sein de l'ASEA. En une année, il a été un acteur très présent dans les débats du conseil et a joué un rôle important dans le désamorçage des tensions entre la Fédération de Stérus et la Poëtoscovie. Désormais, cet homme, habitué au cadre de gestion de cette alliance, a la charge de la présidence pour une durée d'une année. C'est dans ce contexte qu'il prend en premier la parole pour cette première session qu'il préside, à la suite de Chloé Festinius, représentante de la Fédération de Stérus.

Boris Valendof : Chers Représentants des pays membres de notre alliance, c'est avec honneur que je prends désormais la charge de la présidence de l'ASEA pour cette nouvelle année. Déjà représentant de la Grande République et à vos côtés depuis la fondation de notre organisation, pour la majorité d'entre-vous, je sais déjà à quel point chaque nation ici présente a au cœur le développement du grand projet que nous bâtissons ensemble au sein de cette assemblée. Ensemble, nous avons déjà accomplie de nombreuses choses pour le continent, qui certes peuvent paraître petites pour d'autres organisations internationales plus influentes, mais qui sont un pas-de-géant pour la coordination et le développement de l'Aleucie, trop longtemps oublié dans ce monde de plus en plus dure. Ensemble, nous bâtissons la prospérité, le savoir, la technologie, la sûreté et l'entraide qui ne peuvent et qui ne pourront que profiter à chacun d'entre-nous. Ce n'est pas sans une pensée pour ma prédécesseure, Madame Chloé Festinius, que je reprends ce poste. Première présidente de l'ASEA, elle a joué un rôle très important dans la structuration de notre alliance à ses débuts et dans l'orientation que nous lui faisons peu à peu prendre. Désormais à sa place, je compte poursuivre l'esprit de croissance qu'elle a initié en axant notre développement sur le renforcement de notre sphère économique qui attire de plus en plus de pays, sur le commerce entre les états membres, la diplomatie de l'organisation qui devient centrale ces derniers mois et bien évidemment la sûreté de chacun de nos citoyens face aux enjeux sécuritaires que nous devons maîtriser ensemble, pour l'avenir du continent. L'année qui arrive est pleine d'ambitions, d'opportunités et de défis pour l'ASEA et je suis sûr que nous arriverons à accomplir tout ce pourquoi nous nous sommes rassemblées ici.

En introduction de cette nouvelle séance, je souhaite annoncer la bienvenue à nos deux nouveaux membres et à leur représentation, désormais assied autour de cette table avec nous. L'Empire du Nord, nation d'importance et premier pays de l'Est-Aleucien à nous rejoindre, sera un membre à l'expérience et la sagesse inestimable pour nos futurs projets. La République occidalienne, nation en pleine croissance et sortie de son isolationnisme très récemment, est le symbole de notre attractivité et de la confiance que notre traité inspire aux peuples aleuciens prometteurs, stables et plein de potentiels. Si ces nouvelles représentations et leur représentant souhaitent se présenter sommairement au cours de leur première prise de paroles, je leur en laisse la liberté.

Bien évidemment, cette séance s'ouvre également sur un sujet de discussion proposé par l'un de nos membres. Voici le sujet de cette séance :


Demande de la Lermandie :
Proposition de mise en place des normes juridique

Il s'agirait de mettre en place aux moins deux types normes juridique (d'après la hiérarchie des normes) au sein de l'ASEA. Cela permettra de définir quels "lois" pourrait être voter par tout les membres de l'ASEA (donc sans exclure les Etats-membres non fondateur) sans modifier le Traité de Barba (sous la forme d'ordonnances voter par les membres de l'ASEA qui sera inscrit dans un documents annexe du Traité de Barba.

Chers Représentants, je vous laisse nous faire part de vos avis sur ce sujet. Peut-être que la représentation Lermandienne souhaite s'exprimer en premier pour présenter plus en détail sa proposition ?
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Ayant l’occasion de s’exprimer pour défendre la proposition de son pays, M. Marshall se tourna alors vers le représentant de Westalia et s’exprima alors:

Jamie Marshall: “Monsieur Valendof, je vous remercie de me donner l’opportunité d’expliquer plus en détail ce projet de réforme défendu par mon pays.”

Puis, le représentant lermandie se retourna pour officiellement commencer son discours.

Jamie Marshall: "Mes chers collègues. La réforme que que la république de Lermandie propose est de pouvoir organiser nos textes votés dans cette assemblée dans le but de ne pas en perdre. Car perdre des textes voté est une partie de nos sueurs et nos larmes issue de notre travail acharné qui disparaisse ce qui représenterais un paradoxe puisque l'ASEA doit favoriser la démocratie sans possibilité d'une possible corruption. Et depuis sa création; et vous avez bien raison de le préciser M. Valendof; l’ASEA a accueilli trois grandes nations qui souhaitent participer à un idéal:
Une coopération économique et défensive face au reste du monde qui est plus ou moins hostile envers nos envies de coopération pacifique.
Et les missives envoyées par le représentant d'un représentant d’une soi-disant agence spatiale, qui prétend que cette agence spatiale est la quatrième plus puissante des agences de la planète ; alors que ce dernier n’a toujours pas démontré ses capacités; ne fait que justifier l'existence de notre alliance.

Bref, le but est de créer de nouvelles catégories de textes juridiques qui permettront à tous les membres de l’ASEA de pouvoir voter des lois ou des décisions sans contredire le-dit traité.
Voici ce que la République a en tête:
- les textes dits de “Directive coopérative” sont des textes votés par les représentants au CSC qui ont valeur de lois supérieur aux Etats mais se doivent de respecter le Traité de Barba
- les textes dits de “Résolution” sont des décisions politique et diplomatique votées par les représentants au CSC.

Bien entendu, toutes les lois votées jusqu’à présent devront être triées et organisées pour éviter d’oublier un texte que nous avions voté précédemment.

En tant que représentant de la République de Lermandie, je suis ouvert à une possible amélioration de notre proposition ou à une contre-proposition des membres participant de l’ASEA puisque ce dernier doit, et heureusement, favoriser la démocratie.

Je vous remercie de votre attention.”
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Ahcuzin Aestanatl, l'air quelques peu perdue :

Bien que je ne sois pas sûre à 100 % d'avoir tout suivi, je me permets de résumer pour que validiez : vous souhaitez mettre en place des lois communes à l'Alliance, sans qu'elles soient incluses dans le Traité de Barba et se devant de le respecter ?

Jamie Marshall approuva depuis son siège.

Très bien. Dans ce cas-là, je suis parfaitement d'accord. L'ouverture de nos frontières, le rapprochement de nos économies et tous les autres beaux projets que nous portons avec l'ASEA ne doivent se faire sans que nous normalisions plusieurs lois ou principes fondamentaux. De plus, bien qu'il soit inscrit dans l'Article Premier de notre traité fondateur que tous les États-membres se doivent d'être démocratiques, la définition indiquée reste relativement floue. La préciser au moyen de lois communes ne peut être que bénéfique.
Avec tout ceci, afin justement de respecter le peu que nous avons inscrit à propos de la démocratie, il serait sans doute préférable que l'ASEA se dote d'un organe législatif, puisque le Conseil de Sécurité et de Coopération que nous représentons ne s'apparente qu'à un pouvoir exécutif, dont la plupart des diplomates ne sont choisis qu'indirectement par leurs concitoyens.
Seulement, dans le cas où nous formerions une assemblée ou un parlement, le modèle le plus courant pour le pouvoir législatif, nous devrions régler un petit souci. Bien que le Sterus, Westalia, la Lermandie et l'Occidalie soient peuplée à peu près de manière équivalente (dans les environs des 50 à 60 millions d'habitants), l'Empire du Nord et surtout l'Akaltie et le Taqui-Quichu sont bien moins grands démographiquement (respectivement 38, 19 et 15 millions d'habitants). Il faudrait donc trouver un moyen d'égaliser les nombres de députés.
Voici d'ailleurs une simulation que mes secrétaires viennent d'effectuer, pendant que je vous parlais :

Bug d'affichage, pour que les sièges apparaissent cliquez sur la case d'année vide puis re-cliquez sur le "2014".

Bien évidemment, il me paraît un peu bête après-coup de proposer un ajout tout en créant une nouvelle problématique. Il est toutefois facile de régler ceci par un rééquilibrage, dont il existe plusieurs moyens.
Mais avant même tout ceci, il faut que la proposition lermandienne soit approuvée puis que mon amélioration le soit. C'est pourquoi je vous laisse maintenant la parole, chers homologues.
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Anselmo Costa qui venait d'arriver à Barba à bord d'un des deux avions diplomatiques du pays, pris la parole à son tour :

Anselmo Costa : Chers homologues, je souhaite avant tout de chose me présenter à vous. Je me nomme Anselmo Costa, j'ai été élu récemment par le Parlement Occidalien afin de représenter ma nation au sein de ce conseil. Je souhaitais vous affirmer à quel point je suis heureux et fier de me retrouver en votre compagnie, j'ai une très grande pensée pour le peuple Occidalien qui m'a désigné et élu, afin de me tenir ici et à agir pour tous le continent aleucien. Concernant la proposition de monsieur Marshall, l'Occidalie et moi-même nous portons y favorable. Votre idée est très intéressante, avoir la possibilité de créer des textes de lois communs à tous les pays membres sans avoir à réformer le Traité de Barba me semble être une réforme très importante. Cela nous permettra de régler des problèmes importants en faveur de nos peuples respectifs via de nombreux textes de lois qui viseront à promouvoir nos économies, notre tourisme, notre sécurité. L'Occidalie approuve donc la proposition de monsieur Marshall.

Concernant la proposition qui a été faite par monsieur Ahcuzin Aestanatlela, elle est également intéressante. Cela permettrait à l'ASEA de devenir d'autant plus démocratique, via un système parlementaire. Nous approuvons également cette proposition qui ne peut que démocratiser notre alliance. Notre organisation n'est pas assez démocratique, nos nations ne sont représentées que par un seul homme. Par exemple, seulement, environ 48 % de la population occidalienne s'est sentie, et se sent encore, représentée lors de mon élection. Il resterait quelques détails à régler, tel que le mode de scrutin, mais l'idée est, j'en suis convaincu, excellente.
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Jamie Marshall: "Bien que la proposition du représentant sur l’installation du potentielle chambre législatif soit imprévu en raison que la Grande République de Westalia l’avait refusé dans le cadre de la rédaction du Traité de Barba, en tant que représentant de la Lermandie, je ne peux que soutenir cette proposition de cette chambre législatif.
En effet, la mise en place de ce système législatif permettra de montrer aux yeux du monde que l’ASEA est une organisation dédier aux nations démocratiques sur le continent d’Aleucie par l’expression des députés voté par les peuples des Etat-membres.

Mais ce n’est pas parce que la Lemrandie a actuellement la majorité des sièges en raison que ce dernier est le pays le plus peuplé de l’ASEA. Et effet, pour nous ses sièges qui seront redistribués pour chaque Etat-membres de l’ASEA en fonction de la population seront partagés en fonction du paysage politique de leurs électeurs. Et donc, pour approuver une décision prise par la CSC, les membres des partis politique votés nationalement n’auront pas d’autres choix de se coaliser, une action que connaît que trop bien le paysage politique lermandienne.
Et concernant le mode de scrutin, nous proposons que ce qui est appliqué en Lermandie, sauf pour les élections présidentielles qui sont votées à deux tours à l’Assemblée Constituante, c’est-à-dire un scrutin à 1 tour à la proportionnelle (c’est-à-dire qu’une circonscription électorale sera plus ou moins grande en fonction du nombre d’habitants).

Je vous remercie de votre attention."
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Anselmo Costa : Camarades. Je suis content que vous approuviez cette proposition très judicieuse. Cependant, concernant le mode de scrutin, je pensais plus à un mode de scrutin proportionnel plurinominal, principalement pour des raisons démocratiques. En effet, ce système de scrutin est, je pense, plus égalitaire qu'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Je dis cela, car notre nation a déjà expérimenté ce système, en outre, il favorise la montée en puissance des deux extrêmes. Mais le principal problème est que répartir un député en fonction de la population d'une région ne sera sûrement pas aussi précis que de voter directement pour un parti politique et d'ensuite répartir les sièges en fonction du résultat. Du moins, c'est mon avis et celui de mon parti politique, je ne sais pas ce qu'il en est du votre.
Merci à tous.
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Chers Collègues, je ne tiens pas particulièrement à casser l'ambiance, mais il est nécessaire pour moi d'exprimer mon désaccord avec ce qui est dit. Cette proposition sera rejetée par la fédération. Pour cela, nous expliquerons en détails les raisons de ce refus.

Le premier est le plus simple. Lors de la création du traité de barba cette option était envisagé comme l'a dit le collègue Lermandien. N'étant pas du goût de tout le monde elle fut rejeté dès ses débuts. Il serait bien trop paradoxal pour la fédération designer un traité en se basant sur des compromis réalisés pars les fondateurs. Et revenir, un an, après sur une proposition rejetée dès sa création.

En deuxième pars nous nous opposeront à l'aspect pour le coup non-universel de cette proposition. Car je tiens à rappeler à des pays comme l'Akaltie ou le Taqui-Quichu, que si la Lermandie et Westalia sont majoritaire à l'ASEA, et donc que leurs partis les plus puissants sont majoritaire. Alors on pourrait se retrouver dans des situations ou les partis anti-indigènes se retrouveraient plus nombreux que l'ensemble des représentants Akaltiens. Et le gouvernement ne tient pas particulièrement à basculer dans les mêmes lois que celles qui existent en Westalia.

Bien sûr, au départ, les lois n'auraient pas de définition à contraindre les pays membres dans leurs fonctionnements. La réalité est que nous n'avons ni les mêmes cultures ni les mêmes préoccupations. Nous n'avons ni les mêmes intérêt politique ni les mêmes visions de la politique. Si nous décidions de fonctionner comme ça, alors à terme l'Akaltie et le Taqui-Quichu devraient se plier aux lois des Lermandiens et Westaliens. Il suffit de voir qui est au pouvoir en Westalia et qui est au pouvoir en Akaltie pour se rendre compte que cela n'aurait aucun intérêt. Vous mettez deux catégories de personnes et de politique qui se contredisent en donnant l'opportunité à l'un de dominer l'autre démocratiquement. La culture Stérusienne ne se pliera pas à la volonté de personnes qui ne vivent pas chez nous.

D'autant que pour finir sur cet argument, si le pouvoir en place en Westalia est majoritairement anti-indigénes, c'est que démocratiquement la majorité de la population est anti-indigéne ou en tout cas contre des lois les protégeant. Alors qu'en Akaltie, la population est majoritairement pro indigène. Alors pourquoi diable vouloir laisser les partis Westalien qui seront nécessairement plus grand décider de ce que devra faire la population Akaltienne???

Alors évidemment, nous ne nous en prenons pas à nos amis Westalien et Lermandiens. Nous avons juste pris l'exemple des deux plus importants en population face aux deux moins importants (Taqui-Quichu et Akaltie) car ils sont également les plus opposés en termes de culture.

En troisième argument, nous évoquons celui de l'attractivité de l'Alliance, en fonctionnant comme ça, nous condamnons les petits états à n'avoir qu'une place minime dans cette organisation. Qui voudrait rejoindre une organisation qui fait reculer le pouvoir du chef d'Etat de son pays et vous relègue au second rang ? Personne.

La fédération rejettera tout texte qui présente une forme d'assemblée indexée sur le nombre d'habitants de chaque pays. Biensur, nous ne rejetons pas en bloc toute idée et sommes prêt à entamer une réflexion. Mais considérant que créer un organe législatifs et lui donnant comme mission de voter les textes, serait une obligation de passer par une modification du traité de Barba. Car l'article 3 du traité de Barba indique bien que ce sont les états par voix unique qui vote les textes. Alors, nous invoquerons l'article 7 pour nous opposer à la modification du traité. Devant être accepté à l'unanimité, cette modification ne pourra être mise en place.
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Le représentant de la Grande République écoutait attentivement les échanges de ses homologues. Si la proposition lermandienne était déjà assez sensible, le complément akaltien était encore pire. Lors de la conférence de Barba, le Président Fédéral Victor Hardenbor s'était arrangé pour faire échouer toute possibilité de création d'un organe législatif. Si la principale raison est une opposition à une fédéralisation de l'ASEA et à une conservation de l'indépendance des États membres, la véritable raison derrière cette opposition est bien plus politique. Déjà en juillet 2013, le Parti de l'Union Républicaine commençait à sentir un début de chute. Si le gouvernement westalien est quasiment autonome sur ses décisions diplomatiques et la signature de la plupart des traités internationaux, une assemblée élue "aseaine" serait un risque de voir l'opposition mettre son nez dans un domaine qu'elle ne touche presque pas et donc de mettre à mal les objectifs de la Grande République à l'étranger. La position du gouvernement westalien reste donc la même que l'année dernière : aucun organe législatif pour l'ASEA tant qu'elle en sera membre, quand bien même le format présenté par l'Akaltie pourrait donner l'impression d'être plus favorable à Westalia.

Ainsi, le représentant westalien décide de prendre la parole, en premier pour s'exprimer sur la proposition lermandienne :

Boris Valendof : Chers représentants, la Grande République de Westalia souhaite émettre une certaine réserve quant à la proposition initiale de la représentation lermandienne. Si nous ne rejetons pas la classification et l'encadrement de nos décisions via des textes communs, ce qui nous inquiète est surtout l'aspect contraignant de cette proposition. Westalia ne voit pas en l'ASEA une organisation pouvant exercer des contraintes à ses membres suivants les textes qui seraient votés. Si un certain degré peut être toléré, il est important pour nous de le définir et de donner dans quelles dimensions ces différents textes pourraient porter. Une autre question importante qui se lève est également la méthode de vote de ces textes. Seront-ils votés à la majorité ou à l'unanimité ? Si c'est la seconde option, notre position pourrait être revue de façon plus favorable, du fait qu'aucun membre ne pourrait se voir imposer quelque chose qu'il ne souhaite pas. Du fait que ces aspects ne semblent pas avoir été abordés, nous ne rendrons pas immédiatement d'avis définitif sur la proposition lermandienne et attendons une clarification de celle-ci par sa représentation, suivant nos précédentes interrogations.

Pour cette proposition d'organe législatif, en tant que représentant de la Grande République, je réémets l'opposition de mon gouvernement à toute forme de fédéralisation de notre alliance. L'année dernière, nous nous étions opposés à cette proposition pour cette raison et notre avis n'a pas changé. Westalia considère que chaque membre de l'ASEA a le droit de rester le plus indépendant dans sa gestion intérieure, notre organisation étant une entité coopérative et non avec pour but de rassembler plusieurs pays sous la forme d'une quelconque fédération. Il va de soit que notre pays invoquera l'article 7 en cas d'une modification du traité de Barba pour cette proposition et nous y apposeront notre refus.

Pour fluidifier les débats, je parle désormais en tant que Président de l'ASEA et rappelle que nous sommes déjà sur le sujet de la demande lermandienne. Bien évidemment, cela ne veut pas dire que je bloque toutes discussions sur cette nouvelle proposition, mais qu'elle doit d'abord suivre le chemin standard pour être abordé à ce conseil, c'est-à-dire via le dépôt d'un dossier en amont d'une future réunion du CSC. J'invite donc toutes les représentations à reporter ce débat lors de la présentation de cette proposition dans un conseil futur et à se recentrer sur le sujet principal de cette réunion : celle de la mise en place de norme juridique via la création de textes spéciaux votés par les membres de l'alliance.

J'aimerais également faire un aparté pour la représentation stérusienne. Vous avez présenté la Grande République de Westalia comme possédant un gouvernement "anti-indigène" et par extension une population ayant des idées similaires. Notre gouvernement tout comme notre population ne portent pas d'idées racistes à l'encontre des peuples natifs d'Aleucie. Si tel avait été le cas, nous aurions depuis lors des relations tendues avec l'Akaltie et le Taqui-Quichu, qui sont pourtant aujourd'hui des alliés en qui nous avons toute notre confiance et où notre population n'a jamais manifesté d'opposition à la coopération que nous entretenons avec ces deux pays. Au niveau de notre politique intérieure, nous n'appliquons aucune loi visant les populations hamajaks ou autres populations natives d'Aleucie pour la simple raison que cela irait à l'encontre de notre constitution et des nombreuses lois protégeant ces peuples contre toute agression à caractère raciste. Westalia est l'union de différents peuples aux origines diverses qui ont réussi à faire de notre Grande République ce qu'elle est aujourd'hui : une nation ouverte au monde et en pleine croissance. Je vous remercie donc de ne pas accoler le terme "anti-indigène" à Westalia, ou même à la Lermandie, tout comme nous n'avons à aucun moment qualifié les stérusiens de "barbares sanglants" pour leurs traditions de combats en arène et avons très bien accepté cet aspect de votre culture, contrairement à d'autres nations du continent qui vous ont vivement critiqué à ce sujet. En tant qu'allié et partenaire, je vous demande poliment de retirer ces propos qui nous ont offensés.


Ce n'était peut-être pas faux de dire que certaines lois visaient indirectement bien plus les hamajaks que d'autres ethnies westaliennes. Mais une chose était vraie, sur le papier, aucune de ces lois ne mentionne une population en particulier, notamment la loi Safety & Security III qui emploie plutôt les termes de "terroriste", "pirate" ou encore le plus controversé "extrémiste". Les propos stérusiens avaient eu de quoi être très insultants pour la représentation westalienne, puisque les mots utilisés étaient très proche des rhétoriques pro-hamajaks extrémistes. Ce discours pourrait donc être perçu comme compromettant pour les relations westalo-stérusienne, du moins, tout dépendra du retour stérusien à la prise de parole westalienne, si ceux-ci vont "clarifier" leurs propos ou maintenir leur position...
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Mr Poleokios était comme tout le gouvernement Stérusien sur la fin de sa carrière. Il était à parier que le futur consul allait changer de représentant à l'ASEA pour des raisons politiques évidentes. Alors il devenait chaque jour un peu plus d'apprécier son travail. Il était mitigé entre une envie de partir en retraire le plus vite possible et l'impossibilité pour lui de vraiment considérer qu'il n'était plus le ténor politique qu'il avait était pendant des décennies. Il n'avait jamais voulu être consul, mais avait depuis 1978 eu une place dans chacun des gouvernements qui ont composé le pays. C'était l'homme providentiel et sûrement un des plus grands hommes politiques de l'histoire de notre pays. Il avait pour réputation d'être une personne impressionnante, sa taille (1m97) et son âge avancé (78 ans) malgré sa bonne forme lui avait permis de tisser cette légende d'homme froid et impassible. Il était néanmoins un des personnages politiques les plus apprécie au sein de la fédération. Lorsqu'il entendit les propos du représentant Westalien, il ne put s'empêcher de soupirer. Il s'avança devant son micro est repris.

Bien que je considère qu'il n'est ni lieu ni le moment de se lancer dans des joutes verbales je me dois de clarifier certaines choses. Monsieur le Représentant, la définition est le maître-mot de la vérité. Qu'est-ce que j'entends par là me direz vous ? Voici donc la définition du mot barbare, alors même si elles sont nombreuses en sommes disons qu'un barbare est : un individu qui agit avec cruauté, sauvagerie certains iront dire inhumain. Et bien, je ne vois pas en quoi cette définition pourrait offenser un Stérusien ? Oui, notre culture est barbare effectivement, et nous en sommes tous conscients et particulièrement fiers. Nous aimons voir des individus se battre à mort, et si cela doit faire de nous des barbares alors banco. Qui plus est, les Stérusiens sont inhumain évidemment, ce sont des surs hommes. Je considère qu'il faut avoir bien plus de courage qu'un humain normal pour se battre a nu face à un lion. Alors je pourrais titiller en disant que ce ne sont pas tous les Stérusiens, mais simplement ceux qui pratique, mais je ne suis pas de ceux-là. Monsieur le Dirigeant, il me fait tout de même drôle de vous voir fustiger une appellation que j'aurais pu donner à votre nation, quand vous avez vous-même expressément expliquer à l'Occidalie qu'elle était libre de nommer le Diambée comme elle le désire. Fin selon vos propres mots lors de votre déclaration "Aucune nation, sous le prétexte qu'une formulation ne leur plaise pas, ne peut exiger d'un pays libre, démocratique et indépendant ce genre de chose" en parlant d'une rectification du nom du Diambée pour apaiser le conflit. Alors je préfère tout de même suivre cette idée.

Je pense même avoir été plutôt clément en me cantonnant au terme d'anti-indigène, qui au passage n'est absolument pas insultant mais simplement factuel. Westalia, que nous connaissions d'habitude comme une délégation raisonnée et réfléchie, ne devrait, je pense pas basculer dans des discours passionnels qui mélangent politique national et géopolitique. Sans oublier la justification, oui, vous avez accepté le Taqui-Quichu. Enfin bon, cette justification me rappelle vaguement une autre, utilisée pour soit disant prouver autre chose dont, je ne parlerai pas. J'aimerais à présent que l'on puisse recentrer le débat et établir un vote final sur la proposition de notre collègue Lermandien.
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Après avoir écouté le débat ainsi que la “dispute” entre le représentant de la Fédération de Sterus et la Grande République de Westalia, le représentant de la République de Lermandie se décida à s’exprimer et ceux même si ce dernier fait un signe d’approbation envers le représentant de Westalia:

Jamie Marshall: M. Poleokos et M. Valendof. En tant que représentant de mon pays, je tiens à déclarer que nous sommes censés montrer aux yeux du monde notre unité face à l'hostilité du monde. Et ce, peu importe nos différents culturels. Alors s’il vous plaît, tâchons-nous de nous montrer comme étant des peuples civilisés unis pour des projets communs.

Après avoir fait une mini-pause le temps de respirer le représentant de la Lermandie débuta son discours officiel:

Jamie Marshall: Mes chers collègues. Le but de notre proposition initiale et de pouvoir catégorie officielle les lois qui étaient, sont et seront voté au sein de la CSC. C'est-à-dire que la République de Lermandie souhaite limiter toutes interprétations du Traité de Barba qui pourrait permettre de limiter les votes des membres non-fondateurs.
C’est pourquoi la Lermandie propose l'ajout de deux types de textes juridiques (pour rappel les textes dits de “Directive coopérative” et les textes dits de “Résolution”) mais qui sont votées par tous les pays-membres et pays-membres fondateurs de l’ASEA.
Néanmoins, je souhaite détailler deux points :
- les textes dits de “Directive coopérative” sont votés par tous les membres de l’ASEA et sont des lois que tous les Etats membres de l’ASEA sont tenus de respecter. Et bien sur les modalités d'applications peut être toujours être mis en place avant le vote.
- les textes dits de “Résolution” sont des textes juridiques ayant une valeur symbolique et moins restrictive envers les Etats membres.

Dans les faits, il s’agit tout simplement de pouvoir catégoriser toutes les décisions votées dans cette chambre via une base de données (ou une bibliothèque en ligne) accessible au public.

Je vous remercie de votre attention”
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