Artyom News - Page 3

Un ministre des affaires étrangères incompétent ?
Selon certaines de nos sources le ministre des affaires étrangères et de la souveraineté Nationale d'Artyom, Thomas Simon, se serait fait réprimander par ses homologues et membres de l'OND : l'empire du Nord et le Tanska, pour sa condamnation du débarquement des troupes au Hvítneslånd. Les pays concernés auraient pointé du doigt "l'amateurisme" de notre ministre et sa non-compréhension de la situation. Reste à savoir s'il va rester longtemps à son poste au gouvernement ou si l'empereur va le faire démissionner. Nous voyons donc une nette instabilité d'Artyom en ce moment si ça se rajoute à la crise économique de notre pays il risque d'y avoir de graves conséquences comme l'augmentation du chômage, hausse de la délinquance et de la dette ou encore baisse de l'importance d'Artyom sur la scène internationale. Les deux questions que nous nous posons sont donc : Combien de temps va durer le gouvernement ? Et Comment va-t-il gérer la crise qui vient ?

Congrès annuel des imperiaux.

Dans une quinzaine de jours aura lieu le congrès annuel des impériaux. Ce congrès réunit les membres du parti pour élire un nouveau président et discuter de l'avenir du parti. Normalement Charles-Artyom Guirard, le vice-chancelier et vice-président du Sénat, devrait être réélu pour un cinquième mandat. Les principaux cadres du parti devraient être présents notamment l'empereur Ottodon IV et le Chancelier Jean de Destiny.
Nous nous demandons ce qu'il se passera lors de ce congrès au vu de la situation actuelle dans laquelle se trouve Artyom. Charles-Artyom Guirard s'est souvent montré critique envers les modérés comme Ottodon IV lui qui est plutôt méritocrate.

L'empereur vient-il de se prendre un balle dans le dos de la part de son propre camp ?

C'est aujourd'hui la question que tout le monde se pose, hier lors du congrès annuel du parti imperial Charles-Artyom Guirard a vivement critiqué la politique internationale du chef de l'Etat. Le vice-chancelier et vice-président du Sénat est arrivé tout sourire en courant sur la scène du congrès en déclarant sous les regards perplexes de l'empreur, du premier ministre et du chancelier :

Charles-Artyom Guirard, président du parti impérial. a écrit :Bonjour à tous nous nous sommes réunis aujourd'hui pour discuter de l'avenir de la politique de notre parti politique. Nous avons bien commencé notre relance économique grâce à la construction de nombreuses usines. Cependant notre gouvernement est en train de nous mener à la catastrophe diplomatique en suspendant la demande d'adhésion d'Artyom à l'OND et en dénonçant de manière inexacte l'intervention d'une coalition de quelque membre de l'OND au Hvítneslånd. C'est ce gouvernement trop hétérogène, composé de très anciens ministres ainsi que de ministres trop jeunes ou sans expériences, qui va nous conduire droit dans le mur. C'est pourquoi je demande un remaniement du gouvernement ou une démission de l'empereur sinon je voterais une motion de censure et je ne siègerais plus aux côtés de son parti et ne voterais plus ses lois.[...]
Jean de Destiny a dans la soirée déclaré aux journalistes :

Jean de Destiny, Chancelier et président de Sénat. a écrit :Des trois conditions posées par Charles-Artyom Guirard seul le remaniement est envisageable pour l'empereur car une motion de censure ou une demission de sa part serait le signe d'une grande instabilité dans notre pays ainsi que dans notre parti qui risquerait de se fracturer.
Les déclarations du président des impériaux ont plutôt été bien accueillies comme le montre les nombreux applaudissements des sympathisant présent dans la salle.
Pour rappelle selon de récentes information le ministre des affaires étrangères aurait reçu des lettres des pays membres de l'OND critiquant ses propos sur l'intervention d'une coalition de l'OND au Hvítneslånd. Alors Charles-Artyom Guirard vient-il de planter le premier clou dans le cercueil du président et de signer la division du parti impérial, avec d'un côté les modérée avec Ottodon IV et les conservateur/méritocrate avec Charles-Artyom Guirard ? Nous le saurons dans les prochains jours où nous scruteront les déclarations de l'empereur Ottodon IV.


Charles-Artyom Guirard (ci-dessus).

L'empereur répond à Charles-Artyom Guirard.-il
Le lendemain après les conditions de Charles-Artyom Guirard pour que le chef de l'Etat reste dans son trône, l'empereur a réagi lors d'un entretient avec la presse à la télévision.

Ottodon IV, empereur. a écrit :Il n'y aura aucun remaniement quel qu'il soit dans mon gouvernement cela remettrait en cause la stabilité politique notre Nation de plus je n'ai aucune leçon à recevoir de la part d'une personne hors du gouvernement et qui est vice-chancelier et vice-président du sénat.
C'est donc une réponse frontale à Charles-Artyom Guirard de la part de l'empereur qui n'a pas l'air de craindre une motion de censure qui pourrait être voté par les républicains, les communistes, les monarchiste, les nationaux et une partie des impériaux. Peut-être compte il sur le fait que peu de sénateurs impériaux vont suivre leur président.
La question que tout le monde se pose maintenant est : Que va-t-il advenir du règne d'Ottodon IV et de la situation internationale d'Artyom ?

Le premier sondage est tombé.

Un premier sondage a eu lieu quelque jour après la menace de motion de censure de Charles-Artyom Guirard sur le gouvernement et les résultat ne sont pas très encourageant pour l'executif. En effet selon le sondage la motion de censure serait voté favorablement par 19 sénateurs sur les 20 pour quelle soit applicable. Même si le gouvernement reste en place il serait confronté à une grande opposition car, encore selon le sondage, seul 18 sénateurs pourrait voter contre la motion de censures les autres sont issus du parti républicain (qui fait parti de l'opposition). La majorité impériale pourrait donc se retrouvée en majorité relative en cas de motion de censure et devra faire des alliances soit avec les républicains soit avec les impériaux de Charles-Artyom Guirard voire les monarchistes.

Les zones de commerce de contrebande se multiplient.

Depuis quelques jours le ministre de la sécurité intérieure, Etienne Tailleur, alerte sur le fait qu'un récent rapport du ministère dénombre plus d'un millier de ces zones sur le territoire. Pour rappel les zones de commerces de contrebandes sont des endroits - généralement des hangar désaffectés - où se réunissent des malfrats pour vendre, acheter ou échanger des produits illicites. Toujours d'après le rapport ce commerce génèrerait environ dix millions d'ECU de bénéfice. Le ministre a également déclaré qu'il aller tout mettre en oeuvre pour mettre à terme à ses zones de commerce de contrebande.

Le nouveau Sénat.

Voici maintenant le nouveau Sénat depuis que les sénateurs partisans de Charles-Artyom Guirard ont arrêtés de siéger avec les impériaux d'Ottodon IV qui n'a maintenant plus la majorité absolue. L'empereur va devoir faire des négociations avec peut-être les républicains ou alors il va devoir se réconcilier avec Charles-Artyom Guirard s'il veut pouvoir gouverner mais cela risque de ne pas être si facile.



Les trois autres sénateurs à avoir suivi Charles-Artyom Guirard sont Maximillien VII d'Azkan, Léon Brandt et Alexandre Frétigny.

Maximillien VII d'Azkan est un des descendant de la famille royale d'Artyom et par conséquent un prétendant au trône mais contrairement à so cousin il ne fait pas partis du parti monarchiste mais du parti impérial. Il fait partie de cette branche de la famille royale qui a rallié les impériaux après la chute de la République.

Maximillien VII d'Azkan.
Léon Brandt est le seul des trois sénateur n'étant pas conservateur, il est un méritocrate convaincu et actuel vice-président du parti.

Léon Brandt
Alexandre Frétigny est quant à lui un impérial et sénateur depuis 2004. Le conservateur a décidé de suivre Charles-Artyom Guirard car il se dit "désespéré par la situation politique actuelle et par la politique internationale du gouvernement".

Alexandre Frétigny.

Ottodon IV regagne la confiance des citoyens.

Cette semaine Ottodon IV a annoncé la construction de 3 usines de recherche et de développement. Cette annonce intervient peu après qu'il ait perdu la majorité absolue au Sénat mais également après les annonces du nouvel an où il avait dit que de nombreuses usines seraient construite dans le courant de l'année. Il veut sans doute retrouver la confiance des sénateurs et des citoyens en tenant ses promesses.

Le grand engagement.
Le ministre de la défense, des armées et de la guerre Frederic Jeanjean a annoncé le recrutement de quinze mille militaires professionnels c'est le plus important engagement de soldat depuis les années soixante-dix. Les militaires seront équipés des armes d'infanterie légères de dernières générations et seront opérationnels l'année prochaine.

De gros investissements dans le secteur militaire.
Frédéric Jeanjean le ministre de la défense, des armées et de la guerre a fait de nouvelles annonces concernant la défense de notre pays.

Frédéric Jeanjean, ministre de la défense, des armées et de la guerre. a écrit :Artyom va investir massivement dans le développement de technologies pour améliorer la fiabilité et la modernité de notre armée. Les secteurs concernés sont : l'aéronautique, la défense anti-char et anti-aérienne, les missiles et le transport des troupes. Pour l'instant nous n'avons pas lancer la production de matériel avec ces nouvelles technologies en attendant nous allons nous assurer de la stabilité des technologie avant de les déployer à grande échelle dans notre armée afin de remplacer l'ancien matériel.
Les dépenses de l'état dans le secteur militaire a été multiplié par 5 depuis l'année précédente.

Artyom refusé de l'UEE.
Quatre mois après sa candidature à l'UEE la demande d'Artyom a été rejeté. C'est un véritable coup de tonnerre car cette décision pourrait rebattre totalement les cartes car l'adhésion à l'UEE était une des principales annonces de l'empereur (avec celle de l'OND mais qui est suspendue). Ainsi s'effondre le programme d'Ottodon IV ce qui pourrait avoir pour conséquence de faire exploser le gouvernement et le parti impérial qui sont déjà bien affaibli. Les conséquences pourraient être désastreuses (démissions, motion de censures...) pour le gouvernement et la crédibilité du pays.

e

Débats virulents au Sénat.

Aujourd'hui les débats du Sénat ont été électrique surtout entre le sénateur Charles-Artyom Guirard et le ministre des affaires étrangères Thomas Simon. En cause ? Le rejet de la demande d'adhésion d'Artyom à l'UEE. Voici un extrait de leur échange :

Charles-Artyom Guirard : Monsieur le ministre vous portez l'entière responsabilité de ce résultat. A cause de votre politique étrangère, à cause de vos changements de dernière minute, à cause tout simplement de votre incompétence. C'est pourquoi monsieur le ministre je demande que vous démissionniez immédiatement pour relever la crédibilité internationale d'Artyom.

Le ministre se lève et dit au micro :

Thomas Simon : Monsieur le Sénateur Guirard je n'ai aucune leçon à recevoir d'un traitre comme vous qui a lâchement abandonner le parti dont il est le président. Je ne démissionnerais pas car l'empereur m'as fait confiance j'ai échoué dans mon entreprise mais ce n'est pas terminé. Je devrais également rajouter que le sénateur Guirard porte une part de responsabilité dans mon échec en jouant la carte de la division de notre Nation.

Voilà qui risque d'accentuer les tensions entre les deux camps.

Démissions.

Aujourd'hui le premier ministre Gerard Dupin a annoncé sa démission pour rejoindre le mouvement mené par Charles-Artyom Guirard, qui a gagné en popularité, sa démission est surprenante car il avait porté son soutien à l'empereur jusque-là mais la crise du rejet d'Artyom de l'UEE doit être la goutte qui a fait déborder le vase. Quelques heures plus tard l'empereur Ottodon IV a annoncé la démission de Thomas Simon le ministre des affaires étrangères et de la souveraineté Nationale. L'empereur espère peut-être calmer le jeu en sortant du gouvernement le principal responsable de la crise politique actuelle. Pour l'instant les deux ministres n'ont pas de remplaçants.

Selon le dernier rapport de l'Etablissement du Crédit Universel, Artyom serait en pleine croissance économique (+ 4,84 %) ce qui prouve l'efficacité de la politique économique du gouvernement qui est indéniable. De plus selon les projections Artyom pourrait finir l'année à +9 % de croissance ce qui est du jamais vu depuis les années 1950. Les entreprises privées ne sont pas en restes notamment Armor system ou BioGen qui devrait afficher un chiffre d'affaire supérieur à celui de l'année précédente. Le seul grand absent de la fête est Macroware qui affiche des résultats légèrement inférieurs au même moment l'année dernière mais nous pouvons compter sur lui pour ce rattraper lors du deuxième semestre.
En revanche la situation politique est toujours au point mort le mouvement de Charles-Artyom Guirard prend de l'ampleur mais compte toujours trois sénateurs à l'assemblée. L'empereur n'a quant à lui toujours pas nommé de premier ministre ni de ministre des affaires étrangères et de la souveraineté Nationale. Artyom est d'ailleurs d'une certaine façon "coupé du monde" car l'Etat ne peut pas communiquer à l'étranger.

La relance économique a porté ces fruits, mais malgré cela le gouvernement n'a toujours pas adopté de loi depuis son arrivée. Cette lacune importante a suscité des inquiétudes parmi les sénateurs, notamment les ceux de Charles-Artyom Guirard, qui se demandent si le gouvernement est réellement capable de prendre des décisions efficaces. Certains sénateurs de l'opposition républicaine ont même menacé de déposer une motion de censure, ce qui porterait un sérieux coup à l'autorité du gouvernement et pourrait entraîner des conséquences importantes pour la stabilité politique du pays avec comme pire scénario l'abdication de l'empereur. De plus la situation est aggravée parce que le gouvernement n'a toujours pas de premier ministre. Les citoyens commencent à se demander si le gouvernement est réellement capable de gouverner efficacement et de prendre des décisions, ils sont d'ailleurs de plus en plus nombreux à rejoindre le mouvement de Charles-Artyom Guirard. Peut-être que pour la première fois de l'histoire du pays Artyom est peut-être dirigé par un gouvernement centriste incapable de trancher et de proposer une solution quand deux choix lui sont confrontés.