Guerre de Translavie (2013)
Vue aérienne d'Anslav le 2 septembre 2013La guerre de Translavie de 2013 est un conflit armée ayant opposé, en 2013, la République sociale fédérative de Translavie et une coalition d’armées étrangères aux motivations diverses (Loduarie, armée de l’OND, Gallouèse, Lykaron, Colisbourg…). Elle aboutit sur la dissolution de la RSFT et la partition de la Translavie en deux États.informations générales
- Date : 31 juillet - 20 septembre 2013
durée : 1 mois et 21 jours
- Lieu : Translavie
- Casus belli : guerre civile communiste
......................crise loduaro-translave
......................crise de Klialine
- Issue : dissolution de la RSFT, procès de Translavie, occupation de la Translavie
- Changements territoriaux : partition de la Translavie
Belligérants
COALITION
Forces de l'OND :
Teyla
Sylva
Tanska
Empire du Nord
Faravan
Royaume-Uni
Communistes :
Loduarie
F.R.T.
Autres :
Gallouèse
Colisbourg
RSF DE TRANSLAVYA
Armée populaire du Dernier recours
ContexteLa RSFT, un régime terroristeLa cause principale de cette guerre réside vraisemblablement dans la nature du régime de la République sociale fédérative de Translavya. C’est le facteur le plus pertinent pouvant expliquer qu’un conflit au départ limité se soit étendu à ce point.
La Translavie, depuis 2012, n’est plus une union de républiques sociales, selon un modèle fédéral qui associait représentativité et soviétisme. Elle est devenue, sur décision de son présient Pietr Vadovsky, une République unitaire dirigé par un unique organe législatif non élu appelé Supra. Si officiellement la nouvelle république est « fédérative », les anciennes républiques constitutives étant devenues des « primautés », dans les faits, le seul pouvoir est dans les mains des 550 ministres et du président de la République. La Supra qu’ils forment ensemble veille notamment à l’ « unité idéologique » de la République ; c’est au nom de ce principe que la répression s’accroît en 2013. Le reneversement de l’Union soviétique est l’œuvre d’une jeune classe politique récemment portée au pouvoir, tous des universitaires, diplômés en sociologie de la même faculté. Elle est composée du président de l’Union (22 ans) et des quatre présidents des républiques, qui deviennent primeurs dans le nouveau régime.
L’esprit de ce nouveau régime politique réside dans l’infaillibilté des 300 ministres et 250 juristes de la Supra, guidés par la « Raison », dans l’idée qu’il n’existe qu’une seule bonne réponse aux problèmes politique et que l’expertise collégiale de la République aboutit nécéssairement à cette juste solution. À ce titre, la République sociale et fédérative incarne également le sommum de l’humanité, et aspire à l’universalité, les autres peuples étant dans l’erreur. Dans ce régime scientiste, le sentiment de supériorité est bien plus fort que dans les autres régimes révolutionnaires (les démocraties libérales, libertaires ou communistes), car il justifie que les Translaves décident au nom des autres peuples. Ce sera la cas à de multiples reprises pendant la marche à la guerre.

Intérieur d'un des abris où la Supra ordonne le confinement de la population dès le 30 juillet 2013La nature oppressive de ce régime a aussi pour conséquence le rejet d’une part de la population, laquelle se constitue à partir de 2012 en groupes de résistance. Ces différents groupuscules, tantôt libéraux tantôt loduaristes, finiront par prendre les armes en 2013. Il est encore difficile d’établir si des puissances étrangères avaient, au préalable, monté ces groupuscule de toute pièce par des méthodes subversives.
La « guerre civile communiste »La guerre de Translavie trouve son origine dans la crise loduaro-translave de 2013, qui s’inscrit plus largement dans la période de forte tensions entre communistes « loduaristes », ou « eurycommunistes », et communistes libertaires. Début 2013, dans le but de trouver un successeur à l’Union des Nations communistes et socialistes (UNCS), le secrétaire-général de la Loduarie communiste Lorenzo Geraert-Wotjkowiak lance des pourparlers en vue de créer un nouvel organe de gouvernance entre pays communistes (ce sera l’UICS). L’idée est alors, comme pour l’UNCS, de concurrencer l’Internationale libertaire, dominée par le Pharois, alors sous le régime du Merirosvo. Après de premières tractations, un sommet débute au printemps 2013 dans la ville de Lyonnars. Il rassemble la plupart des partis communistes du monde, dans un événement inédit : toutes les mouvances semblent présentes, y compris le Parti communiste pharois, maître du Merirosvo, et les Communes-Unies du Grand-Kah.
Mais, lors de ce sommet, de multiples joutes verbales éclatent. Les témoins rapportent de nombreuses scènes de tension dans l’ancien palais du parlement de l’UNCS, où se tiennent les débats. Dans la matinée de la première journée, la délégation pharoise s’en va, puis, dans l’après-midi, la délégation de la RSF de Translavie est explusée de la salle par les soldats loduariens. Dans l’hémicycle, le délégué translave Praïkov Vorojevno vient d’humilier publiquement le dictateur loduarien, en affirmant qu’il est atteint de maldie mentale, et en suggérant que la Loduarie n’est pas en mesure de constituer une quelconque alliance. Quelques jours plus tôt, Geraert-Wotjkowiak avait rencontré le président translave, Pietr Vadovsky. L’entrevue n’avait duré que quelques minutes. Dans ses mémoires posthumes, reconstituées à partir de notes trouvées à son domicile après son assassinat, le dirigeant loduarien raconte que le président Vadovsky l’a « traité de fou, puis proposé de [se] faire soigner en Translavie ».
Après le sommet de Lyonnars, le ton continue de monter entre la Loduarie et la Translavie, et il semble que le divorce soit consomé. À l’époque, la tension est forte entre les différents « blocs » communistes, et une guerre a déjà commencén au Communaterra, sur fond de désaccords idéologiques exacerbées par des démonstrations de force militaires. C’est le cas entre la Loduarie et la Translavie : cette dernière met sur pied une opération dans le but d’accroître son « espace vital », et développe un important programme balistique.
Propagation de la criseL’armée loduarienne, présente depuis peu dans l’Oblast de Zladingrad voisin de la RSFT, commence à mener une série de repérages au début de l’été. Le 10 juillet, une flotte appareille de Port-Lodin et se positionne en mer Blême, au large des côtes translaves. Finalement, le 30 juillet 2013, la Loduarie bombarde plusieurs infrastructures militaires sur le sol translavique. C’est l’opération « Fouet violet ». Cette opération rencontre très peu de soutien sur la scène internationale, en plus d’être dénoncée par plusieurs pays dont la Gallouèse. Une vague de violences anticommuniste frappe l’Eurysie, notamment au Colisbourg et en Gallouèse. L’Organisation des nations démocratiques adresse à cette occasion un ultimatum à la Loduarie : se retirer de Zladingrad et cesser ses frappes, ou se voir attaquée sur son territoire national.

La centrale de Klialine, en Loduarie, après avoir été frappée par des missiles translaviquesMais le jeu d’alliances va se retourner assez vite, en raison principalement de l’orientation fasciste du régime translavique. En effet, le 31 juillet, en plus de retenir les ressortissants loduariens en otage, la RSF de Translavie tire 7 missiles balistiques sur la centrale nucléaire de Klialine, en Loduarie. Le président Pietr Vadovsky prononce une allocution solennelle, dans laquel il dénnonce le « fanatisme loduarien » justifiant, selon lui, de frapper des infrastructures civiles. La crise loduaro-translavique devient la « crise de Klialine », et cette dernière mobilise de nouveaux acteurs, à commencer par les pays voisins de la centrale. L’opération translavique est assez largement condamnée par la communauté internationale. Le duché de Gallouèse, par la voix de la présidente du cabinet Sophale Bardiou, appelle à la composition d’une coalition pour « déposer le pouvoir terroriste translavique ». Le royaume de Teyla, suivi par l’OND, ainsi que le Colisbourg (qui rompt un traité de non-agression signé quelques semaines auparavant) et Lykaron, rejoignent la coalition. De son côté, la Loduarie annonce une riposte terrestre massive depuis le territoire de Zladingrad.
Déroulement de la guerreProgression loduarienneLes premiers combats se déroulent dès le 31 juillet. Dans la nuit, plusieurs groupuscules de resistance prennent les armes pour protester contre les mesures extrêmes du gouvernement, qui vient d’ordonner à tous de s’enfermer dans des abris avec des capsules de cyannure. Les rebelles semblent déjà, à ce stade, coordonnés avec des puissances étrangères, d’autant plus qu’on ne sait pas d’où viennent leurs armes.
À trois heures du matin, des premiers tirs surviennent contre des infrastrcutures militaires près de Letwa. À cinq heures, un commando loduariste attaque un aérodrome. À six heures du matin, des parachutistes loduariens, partis de Zladingrad, posent le pied sur la primauté de Botchévie, dans le Nord de la Translavie. Ils se joignent aux rebelles soviétiques.
Plusieurs opérations de ce type assurent à la Loduarie le contôle du Nord de la Botchévie dans la journée du 31. Leur progression semble alors très rapide. Du côté du gouvernement translavique, on pense déjà à la résistance. L’armée translave dispose en effet de matériel très limité pour des combats au sol de haute intensité.
De plus, ses effectifs sont très modestes. Le 30, le président Pietr Vadovsky lance une conscription massive. Les conscrits, sans expérience et mal équipés, sont envoyés directement au nord contre les Loduariens
tandis que l’armée professionelle se prépare dans un premier temps à un débarquement ennemi sur la côte, soit depuis la flotte loduarienne toujours postée en mer Blême, soit de la part de la coalition qui ne cache pas ses intentions.
L’armée rouge aborde Letwa, capitale de la primauté de Botchavie, le 3 août. Apprenant l’urgence de la situation au nord, et apprendant surtout que les botchaves ne résistent pas comme prévu et ne se suicident pas non plus, l’État-major commence à réorienter l’armée translave vers le Nord. Grave erreur : les parachutistes tanskais et caratradais sont envoyés dans le sud dès le lendemain.
À Anslav, Pietr Vadovsky limoge les officiers de l’Armée populaire du Dernier recours qui n’approuvent pas son projet scientiste. Il place au commandement les dignitaires de la DGSSP, les services secrets, qui avaient déjà commencé à épauler l’armée en juin, lors de la fermeture des aéroports. Le président s’enferme et semble de plus en plus isolé. Les canaux diplomatiques étant coupé depuis le 31 juillet, il a remplacé les misisves par des allocutions dans lesquels il exhorte la communauté internationale à s’en prendre à la Loduarie plutôt qu’à son pays.
Cette réorganisation tardive aura pour effet une première bataille rangée, dans la ville de Letwa. Pour la première fois, les Loduariens se frottent à l’armée régulière. Celle-ci, restant moins bien équipée et expérimentée que son adversaire, doit quitter définitivement la ville le 15 août. Le jeune primeur de Botchévie Yegor Kolka est fait prisonnier juste avant son suicide, puis il est forcé de remettre sa reddition. En parrallèle, les Loduariens envoient un second corps d’armée à l’ouest. Contournant Letwa, ils se placent au nord de la Lettovie et menacent les villes d’Ankov et Anslav. La cavalerie du Sud, dirigée par le translavo-iskandrian Sopran Jokov,
est le dernier corps d’armée à défendre Anslav. Il part au devant des loduariens, et est vaincu le 11 août. Le général en chef de l’APDR Toma Petrov est limogé. Le 16 août, les rebelles soviétiques s’assemblent en Forces révolutionnaires translaviques (FRT).

Hélicoptère loduarien au-dessus d'AnslavAvec Letwa et la Botchévie, c’est un verrou qui saute. La voie est pavée vers la capitale de Lettovie, Oklanov. Avec l’appui de la flotte loduarienne, les quelques conscrits ne tiennent pas longtemps. Oklanov tombe le 19 août, et le primeur Arman Tsukov remet la capitulation de la Lettovie trois jour plus tard, après avoir été soigné de la capsule de cyannure qu’il avait ingurgité. À Anslav, la panique s’accélère. La Supra constate notamment que ses consignes de sacrifice et de suicide son très rarement observées par la population. Un vaste programme d’enrôlement de civiles et d’embrigadement est mis en place. Mais voilà désormais les deux corps d’armée de la Loduarie et des rebelles face à Anslav. La capitale n’est d’ailleurs pas calme : deux bunkers se sont rebellés et ont pris les armes contre la Supra.
La bataille d’Anslav est un combat urbain très violent, qui voit les premières interventions de kamikazes civiles. Le 23 août, un violent débat a lieu dans le bunker de la Supra. Quatre cent douze des cinq cent vingt-trois membres présents, dont les 244 juristes, souhaitent quitter Anslav et établir une nouvelle capitale à Anapol le temps des combats.
En effet, la capitale de la Romanie semble épargnée par la rébellion soviétique, qui représente le principal ennemi dans la guerre urbaine d’Anslav. Le président Pietr Vadovsky, soutenu par 111 ministres, refuse catégoriquement de fuir face à un ennemi moralement inférieur. La Supra annonce son départ, Vadovsky reste. Il est fait prisonnier le 28 août, dans son bunker, par les rebelles soviétiques. Le 3 septembre, la cheffe des FRT Nona Derimov affirme contrôler Anslav.Progression onédienneDu côté de la coalition, il faut compter d’abord le temps d’organiser des forces armées en vue d’une attaque sur la Translavie. Un commando de stratège est constitué à Bandarhan pour élaborer un plan d’attaque et permettre rapidement une intervention. En effet, la concurrence reste grande avec la Loduarie communiste. Sur Voice of Eurysie, un officier tanskais déclare : « chaque heure perdue est un village de plus au mains de Lorenzo ». Pendant un moment, le doute planne : l’OND intervient-elle contre la RSFT ou contre la Loduarie ? Le duché de Gallouèse, qui se présente comme meneur de la coalition, tente de calmer le jeu, mais Bandarhan fait rapidement comprendre que son intervention sera indépendante de la Gallouèse, du Colisbourg et de Lykaron.
Le 4 août 2013, les parachutistes de Tanska et du Royaume-Uni se jettent sur la Romanie.
Leur objectif est avant tout de neutraliser les bases militaires de l’APDR. Dans cette région du pays, les actes de rébellion soviétique sont beaucoup plus rare. Cela peut s’expliquer en partie par la stratégie de FRT qui, alliés au Loduariens, concentrent leurs forces dans le nord du pays pour les aider. Mais pour certains experts (majoritairement anticommunistes), cela peut signifier que la naissance du mouvement soviétique n’est rien d’autre qu’une construction du DEL, les services secrets loduariens. Les quelques rebelles rouges, qui se manifestent surtout à partir de la mi-août, refusent de collaborer avec l’OND et finissent par se rallier au Nord ou déposer les armes après avoir souvent participé aux côté de l’OND à la « libération ». Globalement, la résistance armée est marginale.À partir du 1er août, le Gallouèse commence à organiser son déploiement. Le duché demande d’abord à pouvoir participer aux opérations onédiennes, ce qui lui est refusé par Bandarhan. Il envisage finalement un plan d’action limité, qui s’appuie sur la force de projection onédienne et des infrastructures de Lykaron. Ce dernier verse également un soutien financier à la guerre, tout comme le Colisbourg qui renonce finalement à déployer sa propre armée.
Le gros des troupes onédiennes débarque les 9 et 10 août, dans le sud d’Anapol le 9, et au nord le 10.
Zvenyromyl tombe facilement, en revanche, les combats sont plus rudes au nord. La tête-de-pont d’Ukraynopol est perdue le 13 août. Les troupes sont renvoyées à Zvenyromyl, avec le corps d’armée gallèsant. Entre le 14 et le 25, la coalition prend Pryvaisk, puis Dniproriv et Vojonevria. Les positions s’enlisent. La nouvelle capitale du régime est Anapol, dont la capture devient donc une priorité.
Le 24 août, un nouveau débarquement réussit à Ukraynopol. Selysson est prise le 27 août. Là encore, la progression est rapide, ce qui relègue la presse et les ONG loin du front.
L’OND progresse aussi vers le nord, et entre dans Korozhynets le 1er septembre. Anapol est prise le 10 septembre.JonctionC’est sur la fin de la guerre que les combats sont les plus longs : une résistance de la dernière chance de la RSFT a été organisée, et les attentats suicides sont nombreux. Anapol a été conquise en trois semaines, et les dernières villes qui restent à conquérir dans l’arrière-pays vont resiste encore longtemps. La raison est notamment le manque d’infrastuctures routières sur la rive gauche du Carbanube, passé Selysson.
Ankov ne sera prise que le 12 septembre, et Chernohorod ne 14.
Translaves acclamant les chars onédiensC’est à cette occasion que la jonction est faite. Le 17 septembre, trois éclaireurs du train teylais rencontrent un char de la cavalerie loduarienne ; les deux sous-officier s’approchent pacifiquement et se serrent la main. La ligne de contact s’établit naturellement et sans heurts. Lorsque la photo de la jonction est publiée, le risque de guerre loduaro-onédienne s’envolant, les marchés bondissent.
Il faut attendre le 18 septembre pour voir les dernières poches de resistance dans les montagnes de Krasyka déposer les armes, et le 19 pour voir la dernière ville, Krasnonivka, déposer les armes après une résistance désespérée qui a mis la cité en ruines. Le 20 septembre, les combats sont terminés.
Lent retour à la paixLa conférence de paixAprès de courtes négociations entamées le 18 septembre, l’OND, la Loduarie et la Gallouèse prévoient une conférence, essentiellement militaire, pour discuter de l’avenir du pays. Le 20, la plupart des émissaires sont dépêchés sur place. Le 21, l’État-major loduarien fait parvenir les modalités : la conférence se déroulera le 24 septembre dans le palais de l’exposition universelle, à 10 kilomètres d’Anslav.
Les général commandant l’armée loduarienne, Robert Quane, et celui commandant l’armée onédienne, le Tanskais Vidar Hansen, mènent les délégations. Sont également présents le négociateur gallèsant Vanwe Piotroff, la cheffe des FTR Nona Derimov. Des élus et représentants des corps intermédiaires en désaccord avec le régime, comme le maire de Vojonevria Valentin Soutko, accompagnent la délégation gallèsante. Enfin, une représentante des territoires « libérés » par l’OND, Pinelope Mara, accompagne le général Hansen.
Cette conférence de paix a pour principale issue un accord entre les armées de tous les pays représentés qui inclus le désarmement des civils et le partage de la Translavie en deux zones d’occupation, une au Sud et une au Nord. Un accord est également trouvé pour la répartition des dignitaires translaves faits prisonniers. À cette occasion, la Loduarie déclare que le président déchu Pietr Vadovsky est mort, affirmation qui ne pourra être confirmée par la suite.
Sur le plan politique en revanche, la réunion du 24 septembre n’accouche de rien de probant. Elle acte donc, de facto, la division du pays. Le 26 à 15 heures, les participants se séparent sans convenir de nouvelles dates de discussion.
L’occupation des Translavies
Soldats tanskiens et translaves dans les rues d'une ville en banlieue d'Anapol, 28 septembre 2014La Gallouèse tentera encore plusieurs fois d’engager un cycle de négociations politiques, sans succès. Au nord, la Loduarie met en place une « administration civile », dissociée de l’État-major. Le 1er octobre, alors que la Gallouèse reconnaît publiquement « l’échec de la solution translavique unitaire », la Loduarie annonce le rapatriement progressif de ses troupes, et donc la constition, par les FRT, d’une armée translavique. En réaction, la fédération zélandienne déclare reconnaître l’existence de deux républiques, une au nord et une au sud, séparées par la « ligne de démarcation », sans qu’aucune entité n’existe réellement. Suivent Tanska, Caratrad et l’Empire du Nord, qui, eux sont présents militairement en Translavie. Les Nordistes disent constituer un « gouvernement de transition », et appelent la Loduarie a quitter la Translavie. Afin de manifester son opposition, la Loduarie déclare que son administration civile se mue en Démocratie communiste de Translavya. Quelques jours plus tard, Erik Vonecker est nommé commissaire à la reconstruction. Au Sud, Théandrion Kalisténès est nomme premier ministre intérimaire d’une République translavique.
sources rp Liste des pages utilisées :
Les topics diplo de tous les pays cités
L’AGP
Les captures d’écran de Daelin
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