Entre la République de Lermandie et la Grande République de Westalia, il existe une solidarité diplomatique profonde, fondée sur une confiance mutuelle et bénéfique dans les domaines diplomatique, sécuritaire et militaire, malgré des divergences marquées en matière de politique économique.
Cette relation solide s’est concrétisée par l’intervention de la Grande République de Westalia en soutien à la République de Lermandie, lors de la menace d’incursion navale stérusienne dans les eaux territoriales lermandiennes en février 2016, le soutien diplomatique de la République de Lermandie envers Westalia, lors de l’attaque militaire stérusienne du 22 octobre 2016.
Ce partenariat, renforcé par des liens historiques étroits, repose sur une confiance quasi absolue entre deux États souverains, sans exigence de reddition de comptes entre alliés.
Jamie Marshal: "Mesdames, Messieurs, chers collègues. Comme vous le savez, l’année 2016 fut une année charnière pour l’Aleucie. Alors que la diplomatie avait prévalu efficacement jusqu’alors, cette année a vu un État aleucien briser un tabou, non pas une fois, mais à deux reprises.
La Fédération de Stérus, dirigée par le régime autoritaire de Cristobal Pandoro, a refusé tout accord ou arrangement diplomatique, et a choisi de recourir à la force armée dans une logique d’intimidation.
Cette escalade a rompu la paix en Aleucie, exacerbant les tensions dans une partie du continent. Elle a contraint plusieurs nations à renforcer leurs alliances diplomatiques dans une optique de dissuasion. L’exemple de la base kartienne en Lermandie illustre cette nouvelle ère de tensions.
Le régime de Pandoro s’est montré irresponsable et impérialiste, notamment lors du sommet organisé par le Royaume de Teyla, qui visait à apaiser les tensions. Au lieu de coopérer, Stérus a opté pour des opérations militaires et des actes de sabotage contre la Grande République de Westalia.
D'ailleurs, concernant le sabotage, j'évoque la cyberattaque à l'ASNA qui a eu le même heure et le même jour ou la Marine Fédéral de la Grande République de Westalia s'est fait attaqué, mais qu'il y a eu des conséquence sur la sécurité des communication et République de Lermandie, come illustrer dans le Rapport d'incident du 22/10/2016 qui fut déclassé pour l'occasion, bien que mon gouvernement attend avec impatience de bilan de l'enquête de l'ASNA sur cette attaque. Par conséquent étant donné que la Fédération de Sterus et le seul membre de l'ASNA qui n'est plus membre de l'ASEA qui a des motivation hostile envers la Grande République de Westalia et la République de Lermandie, j'appelle au Conseil de Sécurité et de Coopération de bannir la Fédération de Sterus étant donné que sojn partenaria à l'organisation de l'espace est une brèche à la sécurité collective, même si je comprend bien que l'administration de l'ASNA est dirigé par son propre conseil d'administration.
Mais quoi qu'il arrive, la République de Lermandie refuse tout coopération avec la Fédération de Sterus dans le domaine scientifique pour des raisons de sécurité national, quitte à ne plus faire partie de ce programme spatial.
Face à cette attitude, le Conseil de Sécurité et de Coopération se doit d’être ferme et intransigeant. C’est pourquoi, avant même toute délibération en dans le cadre d'une alliance forte et solidaire, le gouvernement de la République de Lermandie a condamné et sanctionné la Fédération de Stérus, sans attendre la décision du Conseil de Sécurité et de Coopération ,tout comme il l’a fait face aux attaques répétées de la Principauté de Carnaval contre l’Empire du Nord.
En conséquence, pour exprimer une désapprobation claire et forte envers le régime de Pandoro, nous devons sanctionner sévèrement la Fédération de Stérus. C’est une conviction que moi et mon gouvernement portons fermement, car Stérus a attaqué deux États membres de l’ASEA en 2016.
Cela doit cesser. Maintenant!
Je vous remercie de votre attention."
Le ton fut ferme et directe dans le but de démonter que la situation est extrêmement grave en Aleucie. Et si des Etats-membre de l'ASEA refuse de sanctionner, une crise profonde s'installera au sein même de l'organisation, ce qui pourrait aboutir à une fracture de l'organisation ou à sa disparition.
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Sessions extraordinaires du CSC - Page 3
Posté le : 10 août 2025 à 12:33:32
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Posté le : 12 août 2025 à 07:27:24
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Le climat était tendu : L’ASEA était contesté dans la plupart de ses membres. En Akaltie, le Toucan du soir titrait sur l’aseascepticisme au sein de la classe politique. L’on savait que le sentiment était partagé par des minorités toujours plus bruyantes tandis qu’en Hasparne, Aurélien Vinacci et son partis, favori pour les prochaines élections sénatoriales partielles, n’était pas un ayatollah de cette organisation qui vivait là l’une de ses plus grandes épreuves : Un état, la Fédération de Stérus, anciennement membre de l’organisation régional, défiait l’un de ses membres militairement. Pour l’alliance, il était nécessaire d’agir au plus vite, sans quoi son pronostic vital serait irrémédiablement engagé. Cependant, en Hasparne, on était restés assez dubitatifs. Comment réagir ? La Fédération de Stérus campait sur ses positions, à savoir qu’elle n’était responsable de rien et qu’elle était accusée à tort. Au sein même de l’organisation, la ministre akaltienne Juntan Necahual a condamné l’attaque sans pour autant désigner de coupable. Voilà une ligne de crète bien difficile à tenir pour le pays voisin de l’Hasparne. Au palais présidentiel, on voyait mal comment l’équilibre que tentait de garder l’Akaltie pourrait se perpétuer. Un choix devait donc être fait : Sauver l’ASEA ou garder de bonnes relations avec la Fédération de Stérus.
Au vu de l’importance stratégique des évènements pour la République d’Hasparne, Oïhana Bidegaray, ambassadrice plénipotentiaire auprès de l’organisation internationale, avait reçu des instructions claires de la part d’Isabella Etxeberria et surtout, de la part de Jules Rolland, qui avait occupé les plus hautes fonctions diplomatiques il y a de cela quelques années. La question s’est posée de savoir si la ministre Etxeberria n’allait pas porter elle-même la voix de son Gouvernement. Il fut cependant décidé qu’il n’en serait rien, dans le but de montrer de la stabilité et de manifester envers ses diplomates d’une confiance renouvelée.
Oïhana Bidegaray : "Mesdames et messieurs les représentants des États membres de l’ASEA. La confiance est l’élément phare qui nous unit. Celle-ci ne doit en aucun cas être ébranlée.
A titre liminaire et puisque la République d’Hasparne n’a pas encore pris contact officiellement avec vos services, Armand Duffet adresse officiellement à votre État, la République de Westalia, toutes ses condoléances et tout son soutien.
Maintenant, quant à l’attaque du Scintillant, il est nécessaire de prendre la mesure des évènements. Bien sûr, nous aurions préféré une enquête indépendante, réalisée par une entité n’ayant aucun lien avec les parties prenantes au conflit qui s’annonce. Il semble cependant nécessaire à la République d’Hasparne de renouveler cette confiance qui doit nécessairement exister entre alliés. Ainsi les termes du débat sont simples : Un allié et membre de cette organisation, la République de Westalia, a été agressé. Les instances de cette dernière pointent la responsabilité d’un état tiers au cours d’une enquête sérieuse, objective et factuelle. Nous considérons qu’en tant que membres de l’Alliance pour la sécurité économique aleucienne, les États membres n'ont que deux choix possibles : Ou ils remettent en cause les constatations effectuées par l’un des leurs, ou ils se soutiennent. Dans le premier cas, la confiance n’est plus qu’un vain mot et je vous fais le pari que l’institution périclitera dans l’année. Dans le second cas, elle sort renforcée et apparaîtra aux yeux du concert diplomatique plus forte et solide que jamais.
Le choix de l’Hasparne est donc celui de la confiance. Vous trouverez la République sur le chemin de l’honneur et du respect de ses engagements. En faveur de la paix, nous nous refusons à allimenter une escalade militaire dans l’immédiat, mais nous nous tenons prêt à coopérer dans le but de renforcer notre défense commune.
Maintenant que cela a été dit, la République d’Hasparne entend vos propositions, monsieur Fumio Ishiyama et elle y souscrit tout à fait. Dans le cadre coordonné de l’ASEA, nous pensons que ces sanctions peuvent montrer toute la détermination de l’organisation à défendre nos intérêts.
Je remercie monsieur Jamie Marshal d’évoquer la question de l’ASNA qui est également primordiale et dont l’enquête permettra d’éclaircir les conditions qui ont permis à ce qu’un concours de circonstances facilite l’attaque contre l’un des nôtres. Quoi qu’il en soit, au vu des tensions actuelles, la participation de la Fédération de Stérus à cette organisation va devoir être rediscutée, quitte à ce que les États membres s’accordent pour compenser le manque de recette qui serait consécutif à un désengagement contraint de la fédération. Pour l’heure, la République d’Hasparne se montre inquiète de la participation d’un État à l’ASNA qui ne partage ni pas nos valeurs et qui pourrait constituer une menace à court et moyen terme."
Au vu de l’importance stratégique des évènements pour la République d’Hasparne, Oïhana Bidegaray, ambassadrice plénipotentiaire auprès de l’organisation internationale, avait reçu des instructions claires de la part d’Isabella Etxeberria et surtout, de la part de Jules Rolland, qui avait occupé les plus hautes fonctions diplomatiques il y a de cela quelques années. La question s’est posée de savoir si la ministre Etxeberria n’allait pas porter elle-même la voix de son Gouvernement. Il fut cependant décidé qu’il n’en serait rien, dans le but de montrer de la stabilité et de manifester envers ses diplomates d’une confiance renouvelée.
Oïhana Bidegaray : "Mesdames et messieurs les représentants des États membres de l’ASEA. La confiance est l’élément phare qui nous unit. Celle-ci ne doit en aucun cas être ébranlée.
A titre liminaire et puisque la République d’Hasparne n’a pas encore pris contact officiellement avec vos services, Armand Duffet adresse officiellement à votre État, la République de Westalia, toutes ses condoléances et tout son soutien.
Maintenant, quant à l’attaque du Scintillant, il est nécessaire de prendre la mesure des évènements. Bien sûr, nous aurions préféré une enquête indépendante, réalisée par une entité n’ayant aucun lien avec les parties prenantes au conflit qui s’annonce. Il semble cependant nécessaire à la République d’Hasparne de renouveler cette confiance qui doit nécessairement exister entre alliés. Ainsi les termes du débat sont simples : Un allié et membre de cette organisation, la République de Westalia, a été agressé. Les instances de cette dernière pointent la responsabilité d’un état tiers au cours d’une enquête sérieuse, objective et factuelle. Nous considérons qu’en tant que membres de l’Alliance pour la sécurité économique aleucienne, les États membres n'ont que deux choix possibles : Ou ils remettent en cause les constatations effectuées par l’un des leurs, ou ils se soutiennent. Dans le premier cas, la confiance n’est plus qu’un vain mot et je vous fais le pari que l’institution périclitera dans l’année. Dans le second cas, elle sort renforcée et apparaîtra aux yeux du concert diplomatique plus forte et solide que jamais.
Le choix de l’Hasparne est donc celui de la confiance. Vous trouverez la République sur le chemin de l’honneur et du respect de ses engagements. En faveur de la paix, nous nous refusons à allimenter une escalade militaire dans l’immédiat, mais nous nous tenons prêt à coopérer dans le but de renforcer notre défense commune.
Maintenant que cela a été dit, la République d’Hasparne entend vos propositions, monsieur Fumio Ishiyama et elle y souscrit tout à fait. Dans le cadre coordonné de l’ASEA, nous pensons que ces sanctions peuvent montrer toute la détermination de l’organisation à défendre nos intérêts.
Je remercie monsieur Jamie Marshal d’évoquer la question de l’ASNA qui est également primordiale et dont l’enquête permettra d’éclaircir les conditions qui ont permis à ce qu’un concours de circonstances facilite l’attaque contre l’un des nôtres. Quoi qu’il en soit, au vu des tensions actuelles, la participation de la Fédération de Stérus à cette organisation va devoir être rediscutée, quitte à ce que les États membres s’accordent pour compenser le manque de recette qui serait consécutif à un désengagement contraint de la fédération. Pour l’heure, la République d’Hasparne se montre inquiète de la participation d’un État à l’ASNA qui ne partage ni pas nos valeurs et qui pourrait constituer une menace à court et moyen terme."
