Diplomatie | Entrer en contact avec la Fédération - Page 3

Bureau des Affaires étrangères
Chers homologue,

Moi Sa Majesté Louis II Roi du Royaume de Finejouri, je suis très ravis d'avoir pu voir votre missive concernant la mise en place d'un sommet pour les nations d'Afarée. De ce fait je serais bien présent pour représenter mon Royaume.

Cordialement,

Sa Majesté Louis II Roi de Finejouri

République Anterienne côtière d'ËdangoMinistère des affaires étrangères
En tant que Ministère des Affaires Étrangères de la République Anterienne côtière d'Ëdango, je vous informe qu'après avoir transmis votre proposition de rencontre à Mpanga au Conseil des Relations Internationales, nous acceptons cette rencontre et vous enverrons un représentant de notre République à la date indiquée. Tous les sujets énoncés nous semblent fort intéressants, et nous espérons que cette rencontre entre États afaréens portera ses fruits.

Cordialement, le ministère des affaires étrangères de la République Anterienne côtière d'Ëdango, Jima Fredon.

La fédération d'Antegrad

Sujet: Réponse.

Bonjour, bonsoir, cher représentant des affaires étrangère du Dgondu.

En tant que Ministère des Affaires Étrangères de la Fédération Centrale d'Antegrad, je vous informe avoir pris connaissance de votre demande de rencontre et vous annonce que la Fédération sera présente lors de cette rencontre, prête à discuter des sujets évoqués dans votre missive.

Cordialement, le ministère des affaires étrangère Anteriène.

Réponse à l'invitation à une conférence afaréenne
A l'intention de Sa Majesté Royale Malandela Gudmada, Roi des rois du Dgondu

Que la Paix soit sur vous.

Majesté,

Au nom de mon maître, Son Altesse Sémillante le Khalife d'Azur, et du Diwan et de la nation azuréenne, je vous salue et vous remercie pour la missive pleine de justesse que vous avez adressé au Califat constitutionnel d'Azur. Vous avez à juste titre évoqué les défis que rencontre notre continent commun, l'Afarée, et la nécessité pour nos Etats de s'associer en un collectif fort et durable afin de les relever.

Vous avez eu raison de vous adresser à l'Azur, qui met la question de l'émancipation afaréenne au centre de sa politique internationale, en développant des partenariats notamment avec le Banairah, le Mandrarika ou encore l'Althaj et la République d'Abou-Yamen. Unis, nous serons plus fort ; cet horizon, nous le partageons avec vous.

J'invite cependant votre Majesté à prendre connaissance des revendications azuréennes que voici, en matière de points de discussion que nous jugeons incontournables, et qui devraient selon nous être à l'ordre du jour de la conférence que vous appelez de vos voeux :

• Adhésion à une Charte de la décolonisation identifiant les territoires dont la décolonisation est imparfaite et préconisant des mesures standards pour mesurer et faciliter l'accession à la pleine souveraineté de ces territoires. Cette Charte devrait pouvoir être partagée avec d'autres pays non afaréens, comme d'anciennes colonies au Paltoterra ou au Nazum.


• Promotion du principe de non-agression et d'enceintes de médiation entre les pays afaréens, la guerre entre Afaréens étant la pire menace pour l'unité du continent.


• Promotion du multilatéralisme et de conventions internationales à l'échelle afaréenne et mondiale pour réglementer les grands sujets de notre époque (droit international sur la mer, sur l'espace, sur la prévention et le jugement des crimes de guerre et des crimes contre l'Humanité).

Voilà en tous cas trois points essentiels de la vision azuréenne pour l'Afarée. Sachez, Majesté, que je demeure à votre pleine et entière disposition pour l'organisation de cette conférence, en particulier s'il s'agit de structurer un ordre du jour ou d'apporter des éclaircissements sur nos propres propositions. Nous recommandons également, Majesté, que soit abordée la question du statut des territoires afaréens d'Etats transcontinentaux non-coloniaux (ou qui du moins se définissent comme tels), et notamment du Dgondu, de Gedemascar et de Marcine par exemple. Ces territoires, qui sont factuellement et indiscutablement liés à des autorités politiques installées hors d'Afarée, devraient expliciter leur nature en terme de gouvernance, d'indépendance et d'afaréité, pour que les débats portant sur une possible multi-allégeance soient clôturés. Des principes et une vision clairs doivent présider à nos entretiens et je vous prie, Majesté, de considérer tout mon appui pour y parvenir.

A votre écoute,

Jamal al-Din al-Afaghani
Ministre des Affaires étrangères
19.02.2016

De : Rakoto Manorohanta, Premier Mandrar et Grand Guide pour l'Humanité Inachevée, en République Sacrée et Universaliste de Mandrarika.
A : Sa Majesté Malandela Gudmada, Roi des rois du Dgondu, état fédéré de Yukanaslavie,

Vostre Majesté,

Vos paroles porteuses d'espérance nourrissent mon âme telle la pluie attendue des mois de juin.

Bénis sois l'Afarée. Bénis sois les afaréens pour ce qu'ils sont et ce qu'ils peuvent être !

C’est avec une profonde reconnaissance, doublée d'une attention scrupuleuse que j'ai pris connaissance de votre sollicitation. Votre message clair et empreint d'une clarté lumineuse dévolue à la grandeur de notre beau continent, reflète sur moi les aspirations universalistes de ma communauté. Protéger les terres d'Afarée, ses hommes et ses femmes, son histoire, c'est protéger son héritage et relever les défis imposés pour l'Ascension, cet instant-clé dans l'Histoire de l'humanité, où nos créateurs reviendront à notre rencontre pour nous retrouver sublimer et faire de nous des égaux.

Si nos créateurs prônent un amour universelle et insatiable, ils sauront reconnaitre la nécessité d'une résistance face aux menaces extérieures, une résistance à ces menaces qui nous aidera à révéler ce for intérieur, sublimé et reconnu de nos créateurs...

En tant que porteur d'idéaux, le culte caaganiste que je représente aujourd'hui face à vous mettra un poids d'honneur des axes de coopération étendus à toutes les nations désireuses de s'identifier dans un procédé de mutation transfrontalier, existentiel...

Par conséquent, la République Sacrée et Universaliste de Mandrarika vous partage son enthousiasme le plus vif et sincère, à l'idée d'une participation au sommet de Mpanga le 25 Février prochain, que vous ambitionnez.

Bénie sois votre volonté. Bénis sois ceux qui la porteront pour ce qu'ils sont et ce qu'ils peuvent être !

Avec universalité envers son prochain et un inconditionnel amour,

Rakoto Manorohanta, Premier Mandrar et Grand Guide pour l'Humanité Inachevée, en République Sacrée et Universalité de Mandrarika.

Son Excellence, Ministre des Affaires Etrangères,
Adautl Tipo,
Uzusco, Youkanaslavie.

Son Excellence, Président de la République de Kaderstan,
Abdal-il-Mahouid,
Uzusco, Youkanaslavie, Imnakad, Kaderstan.
De la part de Son Excellence le ministre des Affaires Étrangères,
Jakovlévna Val Vuj Alqalmačov (Alexandra Yakovlevna Val Vuy Alkhalmatchov),
4, rue Baraéva, Vojvograd 473000,
Vojvograd, Morakhan.


À l'intention des représentants de la Fédération de Youkanaslavie ; République du Kaderstan
Chers Adautl Tipo,
Chers Abdal-il-Mahouid,

Je me présente, je suis Son Excellence Maseigneur Jakovlévna Val Vuj Alqalmačov (Alexandra Yakovlevna Val Vuy Alkhalmatchov), mandaté par le tsar Vladimir Miqajlovič Bizanov Ier (Vladimir Mikhaïlovitch Bizanov Ier), Par la grâce de Dieu, Nous Vladimir, Empereur et démocrate de toutes les Morakhans, de Voyvograd, Sakopol, Mirumi, Achgabat-ata ; Tsar de Kazhan, Tsar de Yurthie Supérieure, Tsar de Yurtie Inférieure, Tsar de Yurtakhan, Tsar de Zakrevsk, Tsar de Voyvograd ; Seigneur de Lokrovsky et Grand Prince d'Apustului, de Samara, du Turkistan, de Khviczstan et de Krokblêmie ; Prince de Haute Morsie, de Basse Morsie, de Sur et de Nazhyav, de Pilseeta-bachkentin-ot-byvchey-stolitsykhan, de Besplatnograd, de Podany-vostok, Legiowek, et d'autres ; Souverain et Grand Prince de Nizhni-Byeranavod, Plmutov, Damyel, Duzhany, Zhodhichyn, Luevyen, Belograd, Oulvinsk, Pyedzina, Piotrov, Rodyndilsk, Enerzovsk, Poznik ; Souverain et Seigneur d'Okhol, de Kharthlyy, des steppes septentrionales translaves et de la province tatare : Souverain héréditaire et possesseur des princes d'Ozkhanol et montagnards et d'autres ; Héritier légitime des trois khanats translaves, de la Horde d'Oz et Ozkhanol, des régions turkiys, mors, samars, zakrs, khviczs, krokblêmes, branns et yurts ; Souverain du Turkestan, héritier de Translavya, duc de Brann du Nord, Kolkem, Ushteim et Oldenobourg ; Zagroy et père des mors, et ainsi de suite, et ainsi de suite ; au service des relations diplomatiques et étrangères.

Je vous contacte aujourd'hui en ma qualité de ministre des Affaire Étrangères afin de rectifier un problème majeur. En effet, nos deux nations ont plus ou moins un héritage turc, et possèdent une frontière commune. Il est incroyablement surprenant que nos deux nations n'aient jamais été en contact diplomatique dans leurs formes actuelles. C'est pourquoi, je vous propose un établissement d'ambassade dans nos capitales respectives, ainsi que, si possible, un consulat mor au Kaderstan.

Nous vous proposons aussi d'établir, encore une fois aussi au Kaderstan, un Institut mor : c'est un bâtiment qui fait partie de la politique culturelle de la Morakhan. En effet, celui-ci a pour but de diffuser la culture mor, khvicz, turkij, zakr, blême, brann, samar, yurt et autre à travers le monde. Cela pourrait être une aubaine, pour vos populations cherchant à découvrir de nouvelles cultures, mais n'ayant pas les moyens de voyager. Un voyage, peu cher, dans leur pays. N'est-ce pas sublime ? Non seulement cela rapproche culturellement nos peuples, mais aussi nos nations. Vous pouvez faire de même, si vous y agréez, en nostre nation.

Aussi, nous voulions vous proposer d'établir des accords économiques. En effet, la Morakhan a du mal à écouler ces ressources minières, agraire, pétrolières et gazière, non point car elles sont de mauvaise qualité, mais car nous n'arrivons pas à trouver des acheteurs, tant spontanés que régulier. Nous vous donnerons la liste officielle de nos ressources en dessous de la lettre ci-joint.

Veuillez agréer mes plus sincères salutations, Vos Excellences, a Dieu vos comant.
RessourcesBois : 6 515 000 ha ;
Pétrole : 3,9 milliards de tonnes (30,0 milliards de barils) ;
Gaz : 2 700 milliards de mètres cube ;
Diamant : 40 millions de carats ;
Or : 20 335,9 tonnes ;
Platine : 4 800 tonnes ;
Palladium : 2 150 kg ;
Charbon : 25,6 milliards de tonnes ;
Uranium : 580 900 tonnes ;
Fer : 12,5 milliards de tonnes ;
Manganèse : 600 millions de tonnes ;
Chrome : 36 millions de tonnes ;
Nickel : 16 000 tonnes ;
Titane : 15 000 tonnes ;
Cuivre : 1 786 800 tonnes ;
Étain : 2 millions de tonnes ;
Plomb : 1 900 000 tonnes ;
Tungstène : 70 000 tonnes ;
Argent : 6 290 tonnes ;
Lithium : 68 millions de tonnes.

Bien cordiallement,
Ministre des Affaires Étrangères,
Jakovlévna Val Vuj Alqalmačov (Alexandra Yakovlevna Val Vuy Alkhalmatchov)
Fait le 21/02/2016

Sochacia Ustyae Cliar a écrit :

Amina N'Doud
Ministre des Affaires Étrangères
03 rue des Archives
024 000 Garthram

Garthram, le XX-XX-XXXX
Objet : Réponse positive à l'invitation du sommet afaréen

Chers frères et sœurs du Dgondu,

Nous avons bien reçu votre invitation et vos propositions concernant le sommet à Mpanga. Nous tenons tout d’abord à vous remercier pour cette initiative admirable en faveur de la coopération entre les nations afaréennes. Nous partageons pleinement vos préoccupations face aux menaces et assurons ainsi notre présence lors du sommet organisé à Mpanga, capitale du Dgondu, le 25 Février 2016.

Ministère des Affaires Etrangères,
Sochacia Ustyae Cliar

__________________
COMMUNIQUER DIPLOMATIQUE CHURAYNN
_________________________



De : La Sénémite, Grand Bureau des affaires étrangères
Uzdek Helias, Conseiller des affaires étrangères
Palais Azrah
6 Rue Palais Azranh
Walemir, Grande Province
Empire Islamique de Churaynn

Pour : Son Excellence, Ministre des Affaires Etrangères,
Adautl Tipo,
Uzusco, Youkanaslavie.

Ainsi que :
Sa Majesté Malandela Gudmada,
Roi des rois du Dgondu, état fédéré de Yukanaslavie


Objet : Réponse à l'invitation du sommet afaréen


Que la paix, la miséricorde et la bénédiction de Dieu soient sur vous !

Nous prenons très peu de fois la plume pour envoyer des missives, mais il est des instants où l’Histoire exige que les nations se parlent franchement, sans détour, sans artifice. L’Empire de Churaynn a toujours observé l’Afarée avec un regard lucide. Nous connaissons la force de ce continent, ses richesses, sa culture millénaire, et surtout, l’âme indomptable de ses peuples. Mais nous connaissons aussi les méthodes de ceux qui règnent, qui cherchent à affaiblir notre continent. Ils n’ont pas besoin d’armées pour conquérir, ils n’ont pas besoin de faire régner la peur pour asservir. Non. Ils utilisent une arme plus insidieuse, plus ancienne encore que la guerre : diviser pour mieux régner. Ils attisent les rivalités, créent des tensions là où il n’y en avait pas, opposent les peuples entre eux… et lorsqu’ils ont brisé une nation et un peuple, ils s’installent, s’accaparent les ressources et imposent leur loi. Cela s’est vu ailleurs, cela se voit aujourd’hui (nous le voyons au Gondo), et cela se verra encore demain si les nations afaréennes ne prennent pas conscience du piège qui se referme sur elles. Votre appel à une coopération économique et militaire est un pas nécessaire pour briser ce cycle. L’Empire de Churaynn ne saurait rester silencieux face à cette initiative. Nous répondrons présents au sommet de Mpanga, car nous savons qu’un continent qui se dresse ensemble est un continent qui ne peut être plié. Toutefois, ce ne doit pas être qu’un simple mot. Elle ne doit pas être une utopie que l'on montre dans les discours puis abandonne dans la réalité. Elle doit être un projet concret, construit sur des fondations solides. C’est ainsi que nous aborderons ces discussions : avec pragmatisme, avec ambition et avec la certitude que l’avenir de l’Afarée ne peut être écrit que par les Afaréens eux-mêmes. Nous viendrons, non en spectateurs, mais en acteurs engagés, déterminés à voir naître une Afarée souveraine, forte et maîtresse de son destin.

Que la paix et la bénédiction divine soient sur vous et sur votre noble nation,

Uzdek Helias
Conseiller des Affaires Étrangères de l'Empire Islamique de Churaynn

Missive officielle de la Seconde République de Novyavik

18 Avenue des Sanarves,
Novyavik, République de Novyavik





Sweltana Volkov, Ministre des affaires étrangères de la Seconde République de Novyavik à écrit :

Missive à l'attention du gouvernement de Yukanaslavie.

Salutation,
Je vous écrit en ma qualité de Ministre des Affaires étrangères de la Seconde République de Novyavik et à l'occasion d'une ouverture internationale que nous souhaitons et que nous avons jugés comme prioritaire pour un état aussi présent à l'international et disposant d'un territoire proche du notre. Nos relations ne se sont résumées qu'au sommet de Rusalka, qui nous devons l'avouer, fut un échec retentissant pour l'ancien gouvernement. Nous sommes donc ici, dans l'espoir de la coopération mutuelle et de dialogue, et nous vous proposons dans cette optique un échange d'ambassade entre nos deux nations. Cet échange permettra un prise de contacte plus rapide et plus facile ainsi que le début de relations durables et fructueuses.
Amicalement,
Je reste à votre disposition pour la suite de cette correspondance.

Que l'avenir nous réserve un échange fructueux.

COMMUNIQUÉ
D'INVITATION


BUREAU DU PREMIER CONSEILLER,
CAPITOLE NATIONAL,
ONE CAPITOL SQUARE (1-CS),
MONT-LAW, HAUT-DISTRICT,
SAINT-MARQUISE



À l'attention de Monsieur Adautl Tipo, Ministre des Affaires Étrangères de la Fédération de Yukanaslavie,

Votre Excellence,
C'est avec un grand honneur que je vous écris cette missive pour vous envoyer une invitation pour un événement qui sera organisé le 7 décembre prochain à Mont-Law.

Vous devez savoir que le 4 janvier dernier a été votée à l'Assemblée Citoyenne et validée par le Comité Constitutionnel, une réforme sur la création des Parlements Régionaux et du Conseil Territorial du Haut-District ce faisant, le 7 décembre sera la date de la mise en place de cette réforme mais elle sera également la date de la Proclamation de la République Fédérale de Saint-Marquise.

Vous avez le temps pour y réfléchir mais sachez que le Président m'a fait part qu'il serait honoré de vous compter parmi les invités.

En recevant cette missive et dans l'attente d'une réponse de votre part, veuillez agréer, Votre Excellence, mes sincères salutations et que notre amitié récente dure longtemps.
 





STÉPHANIE TRADEWELL
Premier Conseiller
De la République de Saint-Marquise,

Son Excellence Aimé Bassé, Ministre des Affaires Etrangères de Son Excellence Aimé Bolila, Premier Ministre de Sa Majesté Louis VI de Marcine, roi de Marcine et Marquis de Kalindi.
A Sa Majesté Malandela Gudmada, Roi des rois du Dgondu, état fédéré de Yukanaslavie

Votre Excellence,

Sachez que nous sommes ravis de prendre part à cette entreprise, et que nous sommes particulièrement enthousiasmés par de telles propositions et de telles mesures, qui visent à encourager et à défendre les intérêts afaréens. Ce point de vue, est partagé de tous les afaréens digne de ce nom, l’indépendance et la sauvegarde des intérêts de Notre Mère l’Afarée. Et nous espérons de tout cœur que les puissances y participant se montreront tout aussi ferventes que nous et mettront un point d’honneur à passer outre leurs différends pour pouvoir véritablement renforcer l’unité du continent.

Car, Monsieur Bolila, a de tout temps défendu ce principe inaliénable, et ce contre toutes les puissances, qu’elles soient eurysiennes ou aleuciennes, nous n’avons jamais faiblit dans la défense des intérêts du continent, mais aussi et surtout de ses peuples. Que ce soient les grisoliens plus proches de l’« Eurysie » que de l’Afarée dans leurs mœurs, que ce soient les Azuréens pris d’une frénésie décoloniale sauvage et parfois contre-productive, notamment lorsqu’ils viennent à considérer Marcine comme une colonie, en se basant uniquement sur une lecture cartographique, qui ne prends aucunement en compte les réalités historiques et mêmes politiques. D’ailleurs, ça ne me surprendrait même pas de savoir qu’ils vous ont accusé à demi-mots d’etre les esclaves d’Uzco… Néanmoins, sachez que j’ai aucune animosité à l’encontre de ce charmant état, riche et cultivé, au contraire d’ailleurs, je considère que mieux vaut ce décolonialisme débordant à un révisionnisme complètement hors de propos et particulièrement offensant pour les cultures afaréennes.

Mais durant cette conférence, je pense qu’il serait avant tout nécessaire de développer le concept d’« afaréinité », terme à la fois vague et englobant ; en effet si l’on considère afaréen tout ce qui porte des costumes traditionnels et qui conserve les us et coutumes ancestrales, nous risquons d’entrer dans le piège tendu par les colonialistes ; qui pourraient ainsi dépeindre le continent comme rétrograde et parfaitement réactionnaire, en montrant que malgré les siècles, nous n’avons toujours pas évolués… Pourtant, si l’on limite ce « label » aux peuples vivants sur les territoires afaréens, nous tombons dans un autre traquenard ; celui des ségrégationnistes, qui se voient considérés comme afaréens alors qu’ils oppressent les peuples natifs afaréens, et la question mérite très franchement d’etre posée. Pis encore ; pouvons-nous considérer les grisoliens comme afaréens alors qu’ils se rapprochent plus des eurysiens que des traditions afaréennes, même si les traditions restent multiples sur ce continent riche en cultures… La même question se pose pour les états « syncrétiques » (issus d’une fusion de deux cultures ; et certaines étant radicalement différentes… comme le Royaume ou encore les états étant des reliquats du passif colonial eurysien).

Mais néanmoins, je veux aussi vous assurer que votre Etat à l’entier soutien marcinois, et mieux encore, il pourra toujours compter dessus. Nous sommes l’un des rares états à avoir conserver (du moins en partie) les traditions locales (du sud de l’Afarée), que ce soit dans nos tenues vives et colorées, même si les traditionnelles tuniques sont remplacées par les élégants costumes, ou dans nos mythes avec l’oiseau arc-en-ciel qui donna vie à l’Homme. Mais surtout, le plus important est avant tout la proximité politique qui unit nos dirigeants, l’un roi, l’autre Premier Ministre et tout deux étant des pans afaréens convaincus et honnêtes. Et je pense sincèrement que des liens diplomatiques plus solides devraient être tissés en faveur de l’amitié naissante entre nos deux nations.Cordialement, le Ministre de Sa Majesté.

Ministère des Affaires Extérieures du Banairah
A l'intention de Sa Majesté Malandela Gudmada, Roi des rois du Dgondu,

Votre Majesté,

Le gouvernement banairais partage votre position quant à la précarité géopolitique de notre continent : entre instabilité de certaines régions - Antegrad/Ouwanlinda, Gondo - et maintien du colonialisme et de ses nouvelles formes, le chemin de l'Afarée vers la liberté, la paix et la prospérité est long. Et comme vous le soulignez, la coopération interétatique fait sans l'ombre d'un doute partie prenante de la réponse que les responsables politiques du continent se doivent d'apporter aux populations dont ils ont la charge de représenter et de défendre les intérêts. Le Banairah met un point d'honneur à être un moteur de cet élan international, que ce soit via ses relations bilatérales, ses prises de position, ses organisations internationales voire même les opérations militaires qu'il peut être amené à organiser. Partant du constat d'un nord afaréen stable et puissant, nous avons pu constituer avec nos sœurs althajirs le Forum de Coopération d'Afarée du Nord (FCAN) qui est devenu le fer de lance du continent du pan-afaréisme. Sa limitation géographique lui a permis de réduire les risques d'éclatement en testant sa formule d'organisation basée sur le volontarisme et sur le respect de la souveraineté et de la diversité des divers régimes politiques qui le composent et parfois se contredisent.

Toutefois, laisser le reste du continent en proie aux appétits extérieurs nous est inacceptable, et nous ne pouvons qu'encourager votre appel au rassemblement. Soyez donc certains de notre participation au sommet qui, nous en sommes certains, sera fort constructif. Nous pourrons y évoquer, avec l'accord de l'administration FCANéenne, l'avenir de ladite organisation, et de la possibilité de son extension au reste du continent. Les projets de gestion ne manquent pas et ce débat, même s'il ne débouche pas directement sur une décision, ne manquera pas de faire avancer les choses dans le bon sens.

Quoi qu'il en soit, il nous sera bien plus facile d'exposer notre position en présentielle, et nous sommes impatients de pouvoir rencontrer nos frères et sœurs du sud.
Nous aimerions par ailleurs profiter de cet échange pour vous proposer un échange d'ambassades entre l'état du Dgondu et le Banairah, qui pourra faire dans un premier temps l'office d'ambassade banaraise dans l'ensemble de la Fédération si cette dernière s'avèrerait disposée à nous accorder un tel échange en sa capitale.

Sincèrement.



Saroud Al'Tenhè, Khasser du Banairah
Siriam Amza, Ministre des Affaires Extérieures au Banairah

À l'attention de son excellence, Malandela Gudmada, Roi des rois du Dgondu, état fédéré de la Fédération de Yukanaslavie - 11/03/2016



Bonjour,

C’est avec une certaine surprise mais aussi avec un réel intérêt que nous recevons votre invitation à un sommet de dialogue afaréen. L'Empire a toujours eu a coeur, et l'a encore défendu récemment au sommet de Marcine, une collaboration et une amitié réelle entre les acteurs afaréens pour un continent en paix et pouvant enfin gouter à la souvraineté, à la prospérité et à un avenir confiant.

L'Empire reste attaché à la souvraineté des Etats et défend une vision de collaboration multilatérale que de fédéralisation et confédéralisation du continent qui arbore des diversités et des défis bien trops importants pour envisager une unité aussi poussée. Mais si votre vision du pan-afaréisme est celle de la coopération souvraine et de l'amitié des peuples, alors nous sommes sur la même longueur d'ondes.

Toutefois peu importe les divergences d'opinions, nous répondrons présent car nous avons un grand respect pour le dialogue continental et les efforts fait par les peuples afaréens pour que ce continent soit un havre de paix. Le dialogue doit toujours être entretenu, et nous ferons tout pou aider à cela.

En espérant vous lire au plus vite, veuillez agréer, excellence, l'expression de mes sentiments distingués,
Amicalement,
François-Adolphe Rouzet, Ministre des Affaires Extérieures de l’Empire

À l'attention de Malandela Gudmada / Roi des rois du Dgondu

L'Île Démocratique d'Anna remercie Sa Majesté Malandela Gudmada pour l'invitation à participer au sommet de Mpanga et salue votre vision d'unité et de solidarité entre nos nations face aux intérêts extracontinentaux. Notre gouvernement partage pleinement la volonté du Dgondu de renforcer la coopération économique, militaire et culturelle entre les peuples d'Afarée, ainsi que la promotion des valeurs pan-afaréistes. Personnellement, en tant que chef de la diplomatie annanos, je serai honoré de participer à cette conférence historique qui se déroulera au cœur de votre capitale. Ce sommet annonce déjà une importance cruciale pour l’avenir de nos nations afaréennes.
Dans l'attente de notre rencontre à Mpanga, veuillez agréer, Sa Majesté, l’expression de nos salutations respectueuses.


Doudou,
Chef diplomatique des délégations annanos,
Représentant de l'Île Démocratique d'Anna.

République Anterienne côtière d'ËdangoMinistère des affaires étrangères
Sujet : Demande pour la création d'une ambassade commune en Fédération de Yukanaslavie.
Bonjour, bonsoir cher représentant au affaires étrangères de la Fédération de Yukanaslavie.

Permettez-moi de me présenter, je suis Monsieur Jima Fredon, actuellement en fonction en tant que ministre des Affaires étrangères de la République antérienne côtière d'Ëdango. À travers ce message diplomatique, je tiens à vous proposez un échange mutuelle d'ambassade entre nos deux nation. En effet nous croyons fermement que la diplomatie et le dialogue est la bonne solution afin d'avancé dans la paix et la diplomatie. Cette échange d'ambassade permettra non seulement de renforcer considérablement nos relations bilatérales, mais aussi de poser les bases d'une coopération plus profonde et durable dans des domaines variés, au bénéfice de nos peuples respectifs.

Cordialement, le ministère des affaires étrangères de la République Anterienne côtière d'Ëdango, Jima Fredon.