25/01/2016
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[Forces armées] Matériel militaire kah-tanais - Page 4

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E-30 "Tzitzimitl"
AVION DE GUERRE ÉLECTRONIQUE


EA-6B Prowler

Type : Avion de guerre électronique et de brouillage
Niveaux technologiques : 1 à 3
Pays d’origine : Grand Kah
Fabricant : Saphir Macrotechnologies
Premier vol : 1982
Durée de service : 1975 - aujourd’hui
Période de production : 1975 - 2002

Envergure : 15,5 m
Longueur : 22 m
Hauteur : 6,2 m

Masse à vide : 24 tonnes
Masse maximale : 36 tonnes

Vitesse maximale : 1 200 km/h
Plafond : 12 000 m
Vitesse ascensionnelle : 60 m/s
Rayon d’action : 3 800 km

Équipage : 1 pilotes + 2 opérateurs de guerre électronique

Systèmes embarqués : système de brouillage à ondes larges avec capacité d’interférence sur les communications et radars ennemis, capteurs de détection de signaux permettant l’identification des fréquences ennemies, contre-mesures électroniques embarquées (LEC-300), capables de simuler plusieurs signatures radar pour induire en erreur les missiles guidés, lance-leurres thermiques et radar pour la protection contre les missiles adverses, système de communication ultra-sécurisé permettant la coordination avec les forces alliées

Armement : aucun armement offensif fixe, 2 pods de brouillage actifs (montés sous les ailes), jusqu’à 4 missiles anti-radiation pour la suppression des défenses aériennes ennemies (optionnels)

Versions :
E-30A "Tzitzimitl" : Version standard, équipée des systèmes de brouillage et d’interception des signaux.
E-30B "Tzitzimitl-R" : Version améliorée avec une suite de brouillage plus moderne, optimisée pour les missions d’accompagnement de bombardiers et d’unités de frappe.

L’E-30 "Tzitzimitl" est le premier avion de guerre électronique conçu indépendamment par l’industrie aéronautique kah-tanaise. Il est né d’un besoin impérieux : protéger les formations de bombardiers et d’avions d’attaque au sol lors des engagements contre des forces disposant de radars avancés et de systèmes de défense aérienne modernes.

Son développement débute à la fin des années 1970, alors que les engagements militaires du Grand Kah révèlent une grande vulnérabilité face aux radars et aux missiles sol-air ennemis. Jusqu’alors, les doctrines kah-tanaises de supériorité aérienne s’appuyaient principalement sur le nombre et la manœuvrabilité des chasseurs, mais l’évolution rapide des défenses anti-aériennes basées au sol imposait une refonte des stratégies. Le Grand Kah devait apprendre à contrôler l’espace électromagnétique, sous peine de voir son aviation clouée au sol.

L’E-30 fut donc conçu comme un brouilleur embarqué, capable d’aveugler les radars ennemis et d’offrir une bulle de protection électronique aux formations de combat. Son système pouvait perturber les communications adverses sur un rayon de 150 km, rendant difficile la coordination des unités ennemies. En plus de son rôle défensif, il servait aussi à détecter les émissions radar ennemies, permettant de localiser et d’attaquer les centres de contrôle et les batteries de missiles sol-air.

Déployé pour la première fois lors des exercices militaires de la fin des années 1970, l’E-30 montra immédiatement son efficacité en simulation : les formations équipées de Tzitzimitl réduisaient de 40 % leurs pertes potentielles face aux défenses anti-aériennes simulées. Son introduction en service permit de rééquilibrer la balance stratégique face aux puissances ennemies équipées de systèmes radar modernes.

Le Tzitzimitl joua un rôle clé dans plusieurs opérations aériennes au cours des années 1990, notamment dans les conflits impliquant le Grand Kah en soutien de forces alliées. Son impact se fit particulièrement sentir dans les missions de suppression des défenses aériennes, où il accompagnait les chasseurs et bombardiers en leur ouvrant un couloir sécurisé pour frapper les cibles stratégiques adverses. Cependant, bien qu’efficace, l’E-30 commença à montrer ses limites au début des années 2000. Son système de brouillage vieillissant et sa relative lenteur en faisaient une cible vulnérable face aux intercepteurs modernes et aux missiles longue portée. Le Grand Kah lança alors un programme de modernisation, visant à prolonger la durée de vie du modèle en améliorant ses capacités de protection et de brouillage.

Aujourd’hui, malgré son âge avancé, l’E-30 reste en service dans les unités de seconde ligne et de formation. Il est progressivement remplacé par des modèles plus récents intégrant des technologies furtives et des brouilleurs plus puissants. Cependant, son héritage reste fondamental.

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E-50 "Corvus"
AVION DE GUERRE ÉLECTRONIQUE


EA-18G Growler

Type : Avion de guerre électronique et de brouillage tactique
Niveaux technologiques : 5 sur 8
Pays d’origine : Grand Kah
Fabricant : Saphir Macrotechnologies
Premier vol : 1999
Durée de service : 2003 - aujourd’hui
Période de production : 2003 - 2015

Envergure : 14,6 m
Longueur : 22,5 m
Hauteur : 6,3 m

Masse à vide : 25,5 tonnes
Masse maximale : 38 tonnes

Vitesse maximale : 1 850 km/h
Plafond : 15 000 m
Vitesse ascensionnelle : 80 m/s
Rayon d’action : 4 500 km

Équipage : 1 pilotes + 2 opérateur de guerre électronique

Systèmes embarqués : Système de brouillage longue portée capable d’interférer avec les communications et radars ennemis sur plus de 250 km, capteurs de détection de signaux améliorés, permettant de cartographier les défenses électroniques adverses, contre-mesures électroniques avancées capables de brouiller simultanément plusieurs radars ennemis et de créer de faux échos, capacité de guerre en réseau : intégration avec les systèmes de commandement kah-tanais pour des opérations coordonnées, système de lance-leurres amélioré pour la protection contre les missiles adverses

Armement : aucun armement offensif fixe, 2 pods de brouillage longue portée sous les ailes, capacité d’emport de 4 missiles anti-radiation pour la suppression des défenses aériennes ennemies, option pour 2 missiles air-air à courte portée en cas d’urgence

Versions :
E-50A "Corvus" : Version de base, optimisée pour les missions de suppression électronique des défenses adverses.
E-50B "Corvus-R" : Version avec capacités renforcées de brouillage multi-spectral et d’interopérabilité avec les drones de guerre électronique.

L’E-50 "Corvus" est un avion de guerre électronique avancé, conçu pour remplacer l’E-30 « Tzitzimitl » et répondre aux nouvelles menaces des années 2000. Il marque une rupture nette avec son prédécesseur, non seulement par ses capacités de brouillage accrues, mais aussi par son intégration dans une guerre en réseau, lui permettant de coordonner ses actions avec les unités de chasse, de reconnaissance et de bombardement.

La doctrine militaire kah-tanaise a longtemps reposé sur une approche quantitative, utilisant le nombre et la manœuvrabilité de ses chasseurs pour compenser les lacunes technologiques. Cependant, à mesure que les défenses anti-aériennes adverses se modernisaient, il devenait indispensable d’investir dans la guerre électronique pour contrer les radars avancés et les missiles sol-air de dernière génération. L’E-50 devait donc assurer la protection des formations de frappe en brouillant les défenses ennemies avant même leur engagement.

Déployé pour la première fois en 2005, l’E-50 "Corvus" participa aux grandes manœuvres aériennes de l'invasion de la Mährenie durant les guerres kaulthiques. À cette occasion, il démontra sa capacité à neutraliser les défenses anti-aériennes adverses, ouvrant la voie aux chasseurs de supériorité aérienne et aux bombardiers. Son système de brouillage permit d’empêcher toute coordination radio des forces ennemies pendant plusieurs heures, un facteur clé dans la réussite des opérations kah-tanaises.

Sa capacité à brouiller les radars au-delà de 250 km lui confère un avantage stratégique sans précédent pour les missions de pénétration en territoire hostile. Associé aux nouvelles générations de chasseurs et de bombardiers kah-tanais, l’E-50 devient un multiplicateur de force indispensable, permettant aux forces aériennes du Grand Kah de neutraliser les menaces avant même d’engager le combat. Le Corvus marque également l’entrée du Grand Kah dans une guerre électronique de nouvelle génération, où l’aviation n’agit plus de manière isolée, mais en synergie avec les systèmes de commandement, les drones et les unités terrestres. Son intégration dans les réseaux de guerre permet d’optimiser la gestion des frappes, d’identifier en temps réel les menaces et d’adapter les tactiques aériennes aux évolutions du champ de bataille.

Malgré son efficacité redoutable, l’E-50 n’est pas sans limites. Son coût élevé, son entretien complexe et sa dépendance aux infrastructures de commandement rendent son déploiement plus délicat que celui de ses prédécesseurs. Par ailleurs, sa faible vitesse comparée aux chasseurs modernes le rend vulnérable aux intercepteurs ennemis, nécessitant une protection rapprochée en cas de mission d’infiltration.

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E-70 "Neuromancien"
AVION DE GUERRE ÉLECTRONIQUE


EC-37B_Compass_Call_Explained_1

Type : Avion de guerre électronique, suppression des défenses aériennes et guerre en réseau
Niveaux technologiques : 7 à 8
Pays d’origine : Grand Kah
Fabricant : Saphir Macrotechnologies
Premier vol : 2008
Durée de service : 2013 - aujourd’hui
Période de production : 2013 - présent

Envergure : 17,5 m
Longueur : 24,8 m
Hauteur : 6,5 m

Masse à vide : 28 tonnes
Masse maximale : 48 tonnes

Vitesse maximale : 2 050 km/h
Plafond : 17 000 m
Vitesse ascensionnelle : 90 m/s
Rayon d’action : 5 800 km

Équipage : 2 pilotes + 2 opérateurs de guerre électronique

Systèmes embarqués :
Système de brouillage ultra-haute puissance (SPECTRE-7), permettant de saturer les radars et les communications adverses sur un rayon de 500 km, radar passif longue portée, capable de cartographier l’ensemble du spectre électromagnétique ennemi, contre-mesures de brouillage de missiles IR et radar, avec un système d’autoprotection avancé (Aegis-K7), capacité de cyber-guerre embarquée : interférence et pénétration des réseaux adverses, système de coordination en réseau permettant d’agir comme un poste de commandement aérien pour les forces alliées, possibilité de contrôle de drones de guerre électronique pour des opérations coordonnées

Armement : 2 missiles anti-radiation longue portée pour la suppression des radars ennemis, 6 leurres actifs et pods de brouillage supplémentaires, 2 missiles air-air à courte portée en autodéfense

Versions :
E-70A "Neuromancien" : Version standard pour le brouillage longue portée et la neutralisation des radars ennemis.
E-70B "Neuromancien-K" : Version spécialisée en guerre en réseau, permettant une interopérabilité avancée avec les forces terrestres et navales.

L’E-70 "Neuromancien" est l’aboutissement de la doctrine kah-tanaise en guerre électronique offensive. Conçu à la suite des leçons tirées des conflits modernes, notamment de l’invasion de la Communaterra, cet appareil vise à neutraliser les défenses électroniques adverses avant même le premier engagement.

Avec l’évolution des réseaux de défense anti-aérienne intégrés, les radars en réseau et les capacités de détection à longue portée, l’Union ne pouvait plus se contenter de chasseurs supérieurs en nombre. Il devenait impératif de posséder un avion de guerre électronique capable d’aveugler et de désorganiser les forces ennemies.

C’est dans ce cadre que le E-70 fut conçu, avec pour ambition d’être bien plus qu’un simple brouilleur volant. Il devait devenir une véritable plateforme de commandement, permettant d’orchestrer des opérations aériennes complexes, de neutraliser les défenses avancées adverses, et de servir de centre de guerre cybernétique et électromagnétique en plein ciel. C'est que l'E-70 a été pensé pour une guerre asymétrique avancée, où l’information et la désorganisation des réseaux adverses sont devenus des enjeux aussi cruciaux que la destruction physique des cibles ennemies.
L’appareil est capable de saturer l’espace électromagnétique ennemi, de brouiller les radars et communications sur de vastes distances, et de pirater les réseaux adverses pour interférer avec leurs opérations.

Sa capacité de guerre en réseau lui permet d’agir comme un relais aérien pour les forces kah-tanaises, coordonnant non seulement les chasseurs et bombardiers, mais aussi les unités terrestres et navales. Il peut ainsi assurer une interopérabilité totale avec les systèmes de commandement, permettre des frappes coordonnées à très longue portée, et même détourner certaines armes adverses de leurs cibles initiales grâce à des techniques de guerre électronique avancées. Son autonomie exceptionnelle et sa vitesse supersonique lui permettent d’opérer dans les zones de guerre les plus hostiles, tout en bénéficiant d’une capacité d’évasion face aux chasseurs ennemis, grâce à ses leurres et contre-mesures de brouillage IR.

Lors des premiers exercices militaires impliquant l’E-70 en 2014, il a été démontré que l’appareil pouvait maintenir une bulle de brouillage sur plus de 500 km, rendant totalement aveugles les systèmes adverses. Associé aux nouvelles générations de chasseurs furtifs et aux bombardiers stratégiques de l’Union, il peut théoriquement réduire à néant l’efficacité des défenses anti-aériennes ennemies avant même que les premières frappes ne soient engagées.

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AAR-04 "Zéro"
DRONE DE RECONNAISSANCE


Drone Shadows américain

Type : Drone de reconnaissance tactique
Niveaux technologiques : 1 à 3
Pays d’origine : Grand Kah
Fabricant : Consortium Wintermute-Mayadev Systems
Premier vol : 1985
Durée de service : 1987 - aujourd’hui
Période de production : 1987 - 2002

Envergure : 3,8 m
Longueur : 3,2 m
Hauteur : 1,1 m

Masse à vide : 250 kg
Masse maximale : 350 kg

Vitesse maximale : 220 km/h
Plafond : 3 500 m
Rayon d’action : 120 km
Autonomie : 5 h

Équipage : Téléopéré, liaison radio analogique

Systèmes embarqués : Caméra optique de jour et infrarouge, capteurs rudimentaires d’interception radio, aucune capacité furtive

tu peux rallonger : "Premier drone kah-tanais de reconnaissance, il est technologiquement dépassé mais encore utilisé pour des missions à faible risque, notamment en zones non contestées. Son autonomie limitée et ses capteurs vieillissants en font un drone de seconde ligne, employé pour des exercices ou la surveillance de zones peu défendues."
ChatGPT a dit :

Premier drone kah-tanais de reconnaissance, cet appareil a marqué l’entrée du Grand Kah dans l’ère de la guerre téléguidée. Conçu à la fin des années 1980 par un consortium entre la Wintermute et Mayadev Systems, il visait à offrir une alternative peu coûteuse à la reconnaissance aérienne pilotée, permettant d’étendre la couverture des forces sans risquer de précieuses unités habitées. À son apogée, il fut largement utilisé pour la surveillance des frontières et le repérage de cibles d’opportunité sur des théâtres d’opérations de basse intensité.

Cependant, avec l’évolution rapide des technologies de drones et l’émergence de systèmes bien plus autonomes et sophistiqués, ce modèle a progressivement perdu de sa pertinence. Son autonomie limitée, ses capteurs rudimentaires et sa liaison radio analogique vulnérable aux interférences électroniques l’empêchent d’être efficace dans un environnement moderne contesté.

Aujourd’hui, bien qu’obsolète, il reste en service dans certaines unités pour des missions à faible risque, notamment dans des zones où la menace ennemie est quasi inexistante. Il est fréquemment utilisé pour des exercices d’entraînement, la surveillance de bases arrière ou encore le suivi d’objectifs statiques en territoire sécurisé. Son faible coût d’exploitation et sa maintenance simple justifient son maintien en activité, mais il est progressivement remplacé par des générations plus avancées de drones disposant de meilleures capacités d’autonomie et de furtivité.

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AAR-09 "Mona Lisa"
DRONE DE RECONNAISSANCE


Drone Heron TP

Fiche technique :

Type : Drone de reconnaissance intermédiaire
Niveaux technologiques : 4 à 6
Pays d’origine : Grand Kah
Fabricant : Saphir Macrotechnologies
Premier vol : 2000
Durée de service : 2002 - aujourd’hui
Période de production : 2002 - présent

Dimensions :
Envergure : 14 m
Longueur : 8,6 m
Hauteur : 2,5 m

Masses :
Masse à vide : 1 100 kg
Masse maximale : 2 200 kg

Performances :
Vitesse maximale : 280 km/h
Plafond : 10 000 m
Rayon d’action : 1 200 km
Autonomie : 24 h

Équipage : téléopéré, liaison satellite chiffrée

Systèmes embarqués : caméras HD et infrarouges haute résolution, capteurs ELINT et SIGINT pour interception des communications, liaison de transmission en temps réel aux postes de commandement, capacité de marquage laser pour guidage d’armement allié

Largement employé par les forces kah-tanaises, ce drone de reconnaissance intermédiaire constitue l’épine dorsale des opérations de surveillance et de collecte d’informations. Conçu pour allier endurance et polyvalence, il s’est imposé comme un atout stratégique dans la doctrine militaire moderne de l’Union. Son rôle principal est d’assurer un soutien continu aux unités terrestres et aériennes, en fournissant un flux d’informations en temps réel sur les mouvements ennemis, l’état des infrastructures et les conditions opérationnelles.

Grâce à son autonomie de 24 heures et à son rayon d’action de 1 200 km, il peut couvrir de vastes zones et maintenir une surveillance prolongée sur des objectifs prioritaires. Ses capteurs avancés lui permettent d’effectuer des missions de reconnaissance approfondies, notamment en détectant et en identifiant des signaux électromagnétiques ou des communications adverses. Capable d’opérer de jour comme de nuit grâce à son ensemble de caméras haute résolution et infrarouges, il est un outil indispensable pour le commandement des forces armées kah-tanaises.

Cependant, son incapacité à survivre à un environnement fortement contesté limite son usage aux zones de faible intensité ou aux opérations de renseignement avant engagement. Bien qu’il soit équipé de contre-mesures électroniques de base, il n’a ni la furtivité ni la résilience des modèles plus avancés, ce qui le rend vulnérable face aux défenses antiaériennes modernes et aux systèmes de guerre électronique ennemis.

Son emploi reste néanmoins central dans la doctrine militaire de l’Union, notamment pour le soutien aux unités d’infanterie, la surveillance des frontières, le marquage de cibles pour des frappes de précision et le contrôle des théâtres d’opération étendus. En raison de son efficacité et de son coût relativement modéré, il continue d’être produit et mis à jour pour répondre aux exigences évolutives du combat moderne.

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AAR-12 "Daemon"
DRONE DE RECONNAISSANCE


Taranis

Type : Drone de reconnaissance stratégique furtif
Niveaux technologiques : 7 à 8
Pays d’origine : Grand Kah
Fabricant : Saphir Macrotechnologies
Premier vol : 2012
Durée de service : 2015 - aujourd’hui
Période de production : 2015 - présent

Envergure : 20 m
Longueur : 12,5 m
Hauteur : 3,2 m

Masse à vide : 3 500 kg
Masse maximale : 6 000 kg

Vitesse maximale : 920 km/h
Plafond : 18 000 m
Rayon d’action : 5 000 km
Autonomie : 30 h

Équipage : Intelligence artificielle semi-autonome, liaison satellite cryptée

Systèmes embarqués : capteurs optiques et infrarouges de haute précision, radar à ouverture synthétique pour cartographie précise, capacité d’interception avancée des communications, système furtif de dernière génération, IA capable d’analyse de situation et de reconnaissance automatique des menaces

Drone le plus avancé jamais produit par le Grand Kah, l'AAR-12 Daemon incarne une révolution dans la reconnaissance stratégique et la guerre électronique. Conçu pour l’infiltration en profondeur dans l’espace aérien ennemi, il est doté d’une furtivité optimisée lui permettant d’opérer sans risque de détection. Sa cellule en matériaux composites absorbant les ondes radar et son système de refroidissement adaptatif réduisent considérablement son empreinte thermique, le rendant quasiment invisible aux capteurs adverses.

Son intelligence artificielle embarquée lui confère une autonomie quasi totale, avec des opérateurs humains intervenant uniquement pour la validation des objectifs et les décisions critiques. Il est capable d’identifier et d’analyser en temps réel les menaces, de cartographier précisément les positions ennemies et d’adapter ses trajectoires en fonction des conditions opérationnelles. Grâce à son radar à ouverture synthétique et ses capteurs optoélectroniques de haute précision, il peut effectuer des missions de surveillance longue durée sans nécessiter d’intervention humaine constante.

Le rôle de ce drone dans la doctrine militaire kah-tanaise est d'assurer la surveillance continue et furtive des théâtres d’opérations tout en évitant la mise en danger de pilotes ou d’avions habités. Son intégration dans un réseau de guerre en temps réel permet une fusion des données avec d’autres systèmes de reconnaissance et de combat, renforçant l’efficacité des forces armées kah-tanaises.

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Classe Galaisie (Loduarien)
DESTROYER PORTE-HÉLICOPTÈRE


type 075

Type : Destroyer Porte-hélicoptères
Niveaux technologiques : 1 à 3
Pays d’origine : Loduarie
Fabricant : Arsenaux Loduariens
Durée de service : -
Période de production : -

Longueur : 237 m
Largeur : 33 m
Tirant d’eau : 8,5 m
Vitesse : 22 nœuds
Rayon d’action : 10 000 nautiques

Capacités aériennes : 28 hélicoptères
Armement : 4 x canons antiaériens de 40 mm, 2 x lanceurs de roquettes non guidées
Équipage : 350 marins, 400 troupes embarquées

Liste des navires en activités :
  • MMC "Belle-amie"

Le MMC Belle-amie a été acheté à la Loduarie Communiste pour compléter la flotte de l'Union à une époque ou ses capacités de production navale était encore insuffisante pour répondre à ses propres besoins. Ce navire désormais vieillissant a obtenu une certaine notoriété à forces de missions réussie et de déploiement à l’étranger.

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