10/02/2017
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Activités étrangères en Antegrad - Page 4

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Un bombardement de trop ?

Blason


Isabelle Hubrois sortait d'une des pièces de la Résidence Faure, lieu de travail et résidence du Premier ministre du Royaume de Teyla. Dix secondes avant, elle était en conversation directe avec le Premier ministre de Sa Majesté. Le sujet dont parlaient les deux personnages d'État, tous deux membres d'un gouvernement, n'était ni plus ni moins que les actes militaires entrepris contre la République des Trois Nations. Le Royaume de Teyla était uniquement une nation eurysienne géographiquement, mais la diplomatie du Royaume de Teyla se voulait mondiale. Après tout, le Royaume de Teyla et Angel Rojas avaient les moyens de leurs ambitions. On n'est pas la quatrième puissance mondiale économique sans avoir des moyens militaires, économiques et diplomatiques. Cela allait de soi. Toutefois, Angel Rojas n'était pas aveugle et comprenait que la question du Pan-Afarénisme était quelque chose d'important pour les nations comptant pour l'Afarée. Les actions dont discutaient le Royaume de Teyla en interne restaient limitées, non pour faire plaisir à des nations dont des avions de niveau un suffiraient à vaincre, mais pour faire plaisir à des nations sérieuses en Afarée, comme le Califat Constitutionnel d'Azur.

Alors, l'homme d'État et la porte-parole du gouvernement discutaient des événements, des conséquences et du discours qu'allait tenir le Royaume de Teyla pour les prochains mois sur le sujet. Un sujet sans aucun doute épineux, car la campagne électorale pour les élections de février battait son plein au Royaume de Teyla. Angel Rojas allait devoir démontrer que son gouvernement restait un gouvernement attaché aux principes de la diplomatie, aux valeurs de libertés et de souveraineté pour les nations et les peuples. L'attaque subie par la République des Trois Nations contredisait ces principes, ces valeurs, au grand dam d'Angel Rojas. Le Premier ministre teylais allait devoir démontrer tout autant auprès des oppositions et des citoyens que le Royaume de Teyla restait une voix qui comptait sur la scène internationale et pouvait lancer des initiatives importantes, ce qui serait un gain important de crédibilité.

La première étape n'était ni plus ni moins que la conférence de presse qui allait faire suite à cette réunion entre les deux personnages d'État teylais. Il était devenu nécessaire d'agir sur la scène internationale afin d'éviter que l'exception, à savoir viser des bâtiments nécessaires à la continuité d'un dialogue diplomatique dans les meilleures conditions, ne devienne la règle. Isabelle Hubrois, au pupitre, déclare :

- Le Royaume de Teyla exprime sa vive préoccupation concernant les actions militaires entreprises par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et l'Empire Islamique de Churaynn. L'acte entrepris par les deux nations est un acte qui doit être qualifié de "barbare", étant donné qu'il n'a pas fait l'objet, à notre connaissance, de discussions préalables sur les préoccupations des deux nations, selon les communiqués de la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et de l'Empire Islamique de Churaynn.

Cet acte de force, dénué de toute justification préalable et de tout recours à la diplomatie au préalable, démontre que les agresseurs ont pour objectif unique de sortir les armes pour "s'amuser", ce qui est indigne d'une nation et de ses dirigeants. Cette attitude irresponsable et cynique n'est qu'une révélation à la communauté internationale d'un mépris flagrant pour la vie humaine et rend nulles toutes les tentatives d'argumentation de l'acte à travers la décolonisation et la libération de territoire. Si le Royaume de Teyla reconnaît que la situation au sein des Trois Nations doit être améliorée, cette amélioration doit être décidée de manière souveraine par les acteurs politiques internes, pouvant être aidés par des discussions internationales dans un cadre apaisé.

Le Royaume de Teyla appelle la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et l'Empire Islamique de Churaynn à cesser les combats immédiatement, sans exiger des concessions de la part de la République des Trois Nations. Il convient, qu'au regard des vrais buts de ces nations, malgré les faux objectifs mis sur le devant de la scène publique, que le mépris affiché pour la vie humaine et la justesse de certaines causes ne saurait être toléré plus longtemps. Nous enjoignons vivement les nations afaréennes à l'union pour dénoncer cet acte d'une lâche cruauté, qui ne fait que perpétuer ce que souhaitent dénoncer la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et l'Empire Islamique de Churaynn.

Les récents événements, y compris les actes de l'Ouwanlinda et au Gondo, ont démontré la nécessité de la construction d'un droit international sur la question primordiale des bombardements. La continuité d'un État diplomatique, et simplement de sa continuité, ne peuvent être remises en cause lors des bombardements. La première raison n'est nul autre qu'un État qui subit des frappes sur ses institutions sera moins enclin à la négociation. De surcroît, la destruction des infrastructures étatiques et civiles essentielles, qu'il s'agisse d'éléments de communication permettant l'alerte de la population, le maintien de l'ordre, une réponse humanitaire efficace due à un conflit, une crise géopolitique ou régionale, ne visent pas à vaincre une force militaire, mais bien à mettre à genoux un État et une population civile.

Le Royaume de Teyla insiste sur la nécessité de construire des normes communes et un droit international sur ces questions urgentes, afin que la déstabilisation ne devienne pas une quête perpétuelle par les acteurs internationaux, menaçant non seulement la paix mondiale, mais aussi les populations mondiales. L'absence d'une réglementation sur l'étude des frappes et actions militaires pouvant être conduites entraîne une escalade immorale de la conduite des conflits armés entre les nations. Nous l'avons vu à plusieurs reprises, et cela ne doit jamais être accepté par l'ensemble des nations et de la communauté internationale.

Le Royaume de Teyla proposera à la communauté internationale une charte sur les sujets évoqués précédemment. Elle aura pour objectif de codifier et de restreindre l'utilisation de la force armée concernant les infrastructures et bâtiments étatiques et civils, en ce qui concerne les bâtiments nécessaires à la continuité de l'État, pour l'assurance des services de l'État auprès de la population civile et assurer la continuité diplomatique entre les États.

Le Royaume de Teyla rappelle son engagement en faveur de la paix et de la liberté.
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Présidence de la République
Démocratique et Libre
du Gondo


Déclaration publique.

Le Gondo est une patrie libre. Elle ne tolérera jamais les injonctions de souverains étrangers qui veulent sa perte. La théocratie d’Azur, la tyrannie d’Antegrad et la monarchie de Finejouri, avec lesquels le gouvernement gondolais entretenait des liens cordiaux dans une logique de non-ingérence, ont fait tomber leurs masques et se révèlent au grand jour devant l’Afarée entière. Ces habiles comploteurs ont formé le dessein d’armer et de soutenir, par tous les moyens, le gouvernement d’Ateh Olinga qui oppresse la République d’Ouwanlinda, et a juré de porter le feu à tout le continent.

Il y a maintenant un an et demi, la République d’Ouwanlinda nous a déclaré la guerre. Ce faisant, elle a mis à mal la stabilité de l’Afarée toute entière. Voilà qui ne devrait jamais, au grand jamais être oublié. Il n’y a pas de raisons décoloniales à la guerre d’agression d’Olinga. En agissant comme ils l’ont fait, et cherchant à protéger et à armer Olinga, le PAS s’est mis au ban de la communauté internationale. Les valeurs qu’il prétend défendre, il les a jeté au loin.

Face aux agressions militaires, le peuple gondolais a choisi, délibérément, d’appeler aux armes son allié clovanien. La Clovanie a aidé le gouvernement gondolais à combattre les fanatiques communistes et racistes qui gangrènent le pays depuis des années. Ils nous aident maintenant à combattre une nation ennemie. Le Gondo a le droit de se défendre. Aujourd’hui, le PAS souhaite lui renier ce droit.

J’ai été directement visé, mais derrière ma personne, c’est l’Etat gondolais que l’on attaque. On m’a reproché d’avoir éloigné des opposants, pourtant tous condamnés par la justice, et qui ont choisi eux-même soit la fuite soit les armes au lieu de purger leurs peines comme d’honnêtes citoyens. On m’a reproché d’avoir noué une alliance défensive avec un pays d’Eurysie, alors que nous l’avons fait pour nous protéger de ce genre d’attaques de nos ennemis. On m’a reproché d’avoir refusé des trêves injustes qui instaureraient un « compromis » avec des factions qui pour certaines ont juré la mort de beaucoup d’entre nous, et pour d’autres ne rêvent que d’arracher à leur patrie des milliers de citoyens.

On m’a reproché, en somme, de m’être battu pour l’indépendance du Gondo. Et dans une étonnante inversion des rôles, on se présente comme les ennemis de la colonisation. Mais aujourd’hui, il y a en Afarée des nations impériales qui ont les mêmes appétits que les colons d’autrefois. L’Ouwanlinda. Ses trois suppôts.


Le Président de la République,
Désiré Flavier-Bolwou


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06/02/2017, base d'Hejo à Antegrad,


Les paroles d'un Commandant
Commandant Alessandro Erraro

Commandant Alessandro Erraro-"Soldats ! Frères et sœurs d'armes, fervents défenseurs de l'Empire !
Ce jour est marqué du sceau de l'infamie, de la honte et du déshonneur. Ces sentiments ne sont guère dans nos camp, non, ils sont en face. Vous entendez tout comme moi les foules enragées au dehors, les vils communiqués de cet Etat d'Antegrad, nous ne faiblirons pas ! C'est par la fierté que je vous parle messieurs, mesdames, une qui ne pourra jamais m'être arrachée. Celle qui fait de moi le Commandant d'hommes et femmes d'exception, qui défendent l'Empire corps et âme, au service d'une patrie juste, fière, immuable et indestructible !
Vous vous trouvez en cette ville Afaréenne nullement en tant que conquérants, non, vous êtes les gardiens légitimes de votre nation. Vous êtes sur ces sols par la force du droit, de l'engagement, de la diplomatie et des signatures. Dehors, ce n'est fin plus la colère d'un peuple, ce sont des actes de haine. Nos murs ont été frappés, nos drapeaux insultés, nos insignes bafoués et nos personnes mêmes directement atteintes. Vous avez été les témoins de ces débris projetés, de ces cris barbares, de ces exactions qui vont jusqu'au jet d'armes dignes d'une guérilla.
Soldats ! Aucun d'entre nous n'a répondu face à cet éventail de provocations, je vous félicite sincèrement. Malheureusement, l'heure n'est point aux félicitations mais à l'anticipation. Aucune réponse ne fut entreprise, en cela vous êtes dignes de brandir vos insignes, mais cela doit perdurer. Car je vous l'ordonne, aucun d'entre vous ne tirera le premier, jamais. Dans le cas où votre camarade serait sous la menace de la faucheuse, alors oui, vous interviendrez avec la rigueur qui vous a été enseignée. Soyez assurés que si ce jour est le dernier pour vous, notre ennemi observa une réponse à son quintuple.
Egalement, soyez assurés que vous n'êtes pas seul. Le monde nous regarde, le Tsarat vous regarde, vos familles vous regarde. Aujourd'hui, deux opérations d'envergure fouleront le sol de cette infrastructure. Premièrement, la sécurité de nos diplomates. Le gouvernement s'est concerté sur une décision, ils ne rejoindront pas notre base. Fort heureusement, une solution bien plus sécurisée a été trouvée pour eux. Deuxièmement, notre gouvernement nous envoie soutien. Comme je l'ai dit, nous ne sommes pas seul. En ce moment même, un convoi aérien fend les cieux à destination de cette base, transportant certains types de matériels afin d'assurer notre pleine sécurité. Les aéronefs stationneront en cette bâtisse, nous permettant l'option de dernier recours de la retraite. Sachez que ce n'est point un signe d'abandon, mais bel et bien de sécurité pour nos propres vies que nos frères et sœurs nous envoient.
L'avenir est entre nos mains, gloire et longue vie au Saint Empire de karty !
"


L'arrivée des renforts
L'arrivée des renforts

Dans la peau d'un soldat a écrit :Je crois qu'il était un peu près 19 heures quand les choses se mirent enfin à bouger, quelques temps après le discours du Commandant. Les cris dehors continuaient oui, mais ils étaient plus ténus, à croire qu'ils ont fatigué de gueuler comme ça à répétition. Je venais de finir de renforcer le mur Ouest, faut bien dire que j'ai été aidé. Comme l'avait dit le Commandant, on avait mis bien plus de barbelés, on aurait dit qu'on se préparait à une guerre ou une quarantaine.
Moment de joie, des chasseurs Kartiens arrivèrent par les pistes Nords. Y'avait aussi les cargos derrière, les talonnant d'assez près. Ces engins sont massifs, y'a sans doute de quoi évacuer la base en un seul trajet. Quelques caisses furent déposés dans les entrepôts, mais la plupart de l'espace était laissé vide. Tout ce manège servira à nous évacuer en cas de réel débordement, ils ont appelé ça "option de préservation du personnel militaire", pour nous ça veut juste dire "si ça pète on se casse fissa".
Après tout ça, un drone s'éleva dans le ciel de la base. Des modèles qu'on voit que très rarement ici, c'est la pointe de la technologie. Il a pris de l'altitude sans bruit, mais il ne quittait pas l'espace aérien de la base. Il captait tout ce qu'il se passait autour, enregistrait chaque mouvement, c'était la meilleure façon de préserver les preuves de ce qu'il passe. Bien sûr, les autorités ont bien pris soin de pas le faire décoller trop haut, et de le faire rester au dessus de nos têtes.
Et enfin, on est retourné à la classique tâche des patrouilles. C'était un mal nécessaire, l'Empire comptait sur nous et il faut avouer que c'est pour notre propre sécurité. Le Commandant Erraro sortait de temps à autre de son bureau pour prendre l'air disait-il. Il en profitait pour voir que tout allait bien, il posait sa main sur les épaules de quelques-uns. Ce geste veut dire beaucoup pour nous, le Commandant veille à notre sécurité, pas qu'à la sienne.

HRPPost à prendre en compte dès qu'une nouvelle missive Kartienne sera envoyée à l'Antegrad.
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Opération Péroun (2/2)
[EXT] Installation d'un marché noir d'armement sur la frontière antegraine

Source : Ministère de la Sécurité d'État - Confidentiel

Alors que la Poëtoscovie a déjà fait se muer son ambassade en une forme de bastion militaire hypersécurisé – encore plus que ses autres établissements diplomatiques, c'est pour dire –, celle-ci a continué de recevoir des marchandises dont tous ignorent le contenu. Entre les vivres par convoi naval et les caisses militaires par voie aérienne, la Poëtoscovie serait prête à une guerre en Afarée, tant en termes militaires que de renseignement.

De toutefois, afin de bien s'implanter dans la civilisation afaréenne, y compris au sein des réseaux clos au regard des États, les militaires poëtoscoviens participent activement au marché noir, notamment en alimentant les stocks des vendeurs, sans pour autant révéler leur identité. Bien évidemment, avant toute transaction, la Poëtoscovie s'assure que les armes ne puissent pas revenir sur le territoire afaréen. Généralement, cela est le cas, puisque les revendeurs savent ce qui se joue en cas de déloyauté envers les forces en présence.

En effet, à plusieurs reprises, celles-ci ont effectué des contrôles à la volée, et ont neutralisé des marchands refusant de se soumettre sous réserve qu'ils "représentent une menace réelle, étant armés" – bien que ce soit le cas de la majorité des civils traversant le désert. Toutefois, chez tous les individus ayant refusé de se soumettre au contrôle et ayant été ainsi neutralisés, il a été retrouvé diverses drogues interdites en Antegrad. Ainsi, l'ensemble des individus entrant sur le territoire de l'Antegrad doivent se soumettre au contrôle opéré par les forces de soutien que sont les soldats venus de Poëtoscovie, tant dans un cadre de lutte contre l'importation de drogue que contre celle de l'armement.

Pour l'Antegrad, les menaces actuelles sont multiples. Sur la scène internationale, de nombreux pays auraient des raisons d'en vouloir au régime du fait de vouloir faire monnayer la présence militaire sur site. L'Empire de Karty, précisément, constitue l'un de ces points sensibles. Fort d'une armée conséquente et d'une doctrine imposante, l'Empire de Karty s'est déjà montré hostile envers de nombreuses puissances, et ne rougirait pas de s'en prendre à l'Antegrad, notamment dans le cadre d'une alliance avec d'autres "déçus" de cette nouvelle politique adoptée par l'Antegrad. La présence militaire poëtoscovienne, quoique non officielle, permet donc de prévenir toute tentative d'invasion. Bien que cela soit peu probable, aucun risque n'est à écarter concernant la sécurité de l'allié antegrain.

Sous un drapeau symbolisant la CESA, pour "Collaborateur Étranger de Sécurité Afaréenne", la Poëtoscovie régule les trafics d'armement car ayant défié toute concurrence et l'ayant fait fuir. Il s'agit d'un système audacieux pour contrôler au mieux le marché noir et avoir la main sur une partie de l'économie souterraine de l'Afarée.

Cette politique internationale, quoique hautement confidentielle, s'inscrit dans un plan plus large de sécurisation du continent afaréen. Entre la promotion de la culture poëtoscovienne via la fondation Poëtky Mir, comme Antegrad ou en UC Sochacia, et la participation à la défense nationale, comme dans la Cité du Désert ou en Antegrad, la Poëtoscovie se veut un partenaire culturel, commercial et militaire majeur du continent. Cela passe également par une diplomatie tournée vers l'ouverture à l'autre. Dans ce cadre, les représentants de la Nation Littéraire et de l'Azur ont également pu échanger longtemps, ce qui a donné lieu à la signature d'un traité bilatéral entre les deux pays, lequel officialise notamment la création de canaux de communication stratégique.

La régulation du marché noir afaréen depuis l'intérieur est donc, pour la Poëtoscovie, un enjeu capital à maîtriser. La Nation Littéraire se place alors comme un partenaire idéal n'ayant pas d'ambition impérialiste, mais seulement, et avec toute la transparence du monde, une volonté de stabilité mondiale. Cela passe par une volonté de renforcer le poids politique de l'Afarée sur la scène internationale. Avec l'omniprésence de l'Azur sur le paysage diplomatique, l'Afarée relève le défi. Cependant, le continent se voit au cœur de disparités géographiques importantes concernant la représentation de ses États. Par les actions de la Poëtoscovie, cela pourrait changer, puisque les intérêts premiers desdits États seraient assurés.

Il est à bien noter que l'opération Péroun est strictement confidentielle, que les agents en Afarée appartiennent au service action de la Sécurité d'État de Poëtoscovie (SEP) et qu'il est impossible que de telles actions soient documentées à l'international, les lieux n'étant pas ouverts à la presse. La sécurité et la confidentialité, dans cette opération, doivent être poussées à leur paroxysme.

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