28/06/2017
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Activités étrangères en Antegrad - Page 4

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Un bombardement de trop ?

Blason


Isabelle Hubrois sortait d'une des pièces de la Résidence Faure, lieu de travail et résidence du Premier ministre du Royaume de Teyla. Dix secondes avant, elle était en conversation directe avec le Premier ministre de Sa Majesté. Le sujet dont parlaient les deux personnages d'État, tous deux membres d'un gouvernement, n'était ni plus ni moins que les actes militaires entrepris contre la République des Trois Nations. Le Royaume de Teyla était uniquement une nation eurysienne géographiquement, mais la diplomatie du Royaume de Teyla se voulait mondiale. Après tout, le Royaume de Teyla et Angel Rojas avaient les moyens de leurs ambitions. On n'est pas la quatrième puissance mondiale économique sans avoir des moyens militaires, économiques et diplomatiques. Cela allait de soi. Toutefois, Angel Rojas n'était pas aveugle et comprenait que la question du Pan-Afarénisme était quelque chose d'important pour les nations comptant pour l'Afarée. Les actions dont discutaient le Royaume de Teyla en interne restaient limitées, non pour faire plaisir à des nations dont des avions de niveau un suffiraient à vaincre, mais pour faire plaisir à des nations sérieuses en Afarée, comme le Califat Constitutionnel d'Azur.

Alors, l'homme d'État et la porte-parole du gouvernement discutaient des événements, des conséquences et du discours qu'allait tenir le Royaume de Teyla pour les prochains mois sur le sujet. Un sujet sans aucun doute épineux, car la campagne électorale pour les élections de février battait son plein au Royaume de Teyla. Angel Rojas allait devoir démontrer que son gouvernement restait un gouvernement attaché aux principes de la diplomatie, aux valeurs de libertés et de souveraineté pour les nations et les peuples. L'attaque subie par la République des Trois Nations contredisait ces principes, ces valeurs, au grand dam d'Angel Rojas. Le Premier ministre teylais allait devoir démontrer tout autant auprès des oppositions et des citoyens que le Royaume de Teyla restait une voix qui comptait sur la scène internationale et pouvait lancer des initiatives importantes, ce qui serait un gain important de crédibilité.

La première étape n'était ni plus ni moins que la conférence de presse qui allait faire suite à cette réunion entre les deux personnages d'État teylais. Il était devenu nécessaire d'agir sur la scène internationale afin d'éviter que l'exception, à savoir viser des bâtiments nécessaires à la continuité d'un dialogue diplomatique dans les meilleures conditions, ne devienne la règle. Isabelle Hubrois, au pupitre, déclare :

- Le Royaume de Teyla exprime sa vive préoccupation concernant les actions militaires entreprises par la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et l'Empire Islamique de Churaynn. L'acte entrepris par les deux nations est un acte qui doit être qualifié de "barbare", étant donné qu'il n'a pas fait l'objet, à notre connaissance, de discussions préalables sur les préoccupations des deux nations, selon les communiqués de la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et de l'Empire Islamique de Churaynn.

Cet acte de force, dénué de toute justification préalable et de tout recours à la diplomatie au préalable, démontre que les agresseurs ont pour objectif unique de sortir les armes pour "s'amuser", ce qui est indigne d'une nation et de ses dirigeants. Cette attitude irresponsable et cynique n'est qu'une révélation à la communauté internationale d'un mépris flagrant pour la vie humaine et rend nulles toutes les tentatives d'argumentation de l'acte à travers la décolonisation et la libération de territoire. Si le Royaume de Teyla reconnaît que la situation au sein des Trois Nations doit être améliorée, cette amélioration doit être décidée de manière souveraine par les acteurs politiques internes, pouvant être aidés par des discussions internationales dans un cadre apaisé.

Le Royaume de Teyla appelle la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et l'Empire Islamique de Churaynn à cesser les combats immédiatement, sans exiger des concessions de la part de la République des Trois Nations. Il convient, qu'au regard des vrais buts de ces nations, malgré les faux objectifs mis sur le devant de la scène publique, que le mépris affiché pour la vie humaine et la justesse de certaines causes ne saurait être toléré plus longtemps. Nous enjoignons vivement les nations afaréennes à l'union pour dénoncer cet acte d'une lâche cruauté, qui ne fait que perpétuer ce que souhaitent dénoncer la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad et l'Empire Islamique de Churaynn.

Les récents événements, y compris les actes de l'Ouwanlinda et au Gondo, ont démontré la nécessité de la construction d'un droit international sur la question primordiale des bombardements. La continuité d'un État diplomatique, et simplement de sa continuité, ne peuvent être remises en cause lors des bombardements. La première raison n'est nul autre qu'un État qui subit des frappes sur ses institutions sera moins enclin à la négociation. De surcroît, la destruction des infrastructures étatiques et civiles essentielles, qu'il s'agisse d'éléments de communication permettant l'alerte de la population, le maintien de l'ordre, une réponse humanitaire efficace due à un conflit, une crise géopolitique ou régionale, ne visent pas à vaincre une force militaire, mais bien à mettre à genoux un État et une population civile.

Le Royaume de Teyla insiste sur la nécessité de construire des normes communes et un droit international sur ces questions urgentes, afin que la déstabilisation ne devienne pas une quête perpétuelle par les acteurs internationaux, menaçant non seulement la paix mondiale, mais aussi les populations mondiales. L'absence d'une réglementation sur l'étude des frappes et actions militaires pouvant être conduites entraîne une escalade immorale de la conduite des conflits armés entre les nations. Nous l'avons vu à plusieurs reprises, et cela ne doit jamais être accepté par l'ensemble des nations et de la communauté internationale.

Le Royaume de Teyla proposera à la communauté internationale une charte sur les sujets évoqués précédemment. Elle aura pour objectif de codifier et de restreindre l'utilisation de la force armée concernant les infrastructures et bâtiments étatiques et civils, en ce qui concerne les bâtiments nécessaires à la continuité de l'État, pour l'assurance des services de l'État auprès de la population civile et assurer la continuité diplomatique entre les États.

Le Royaume de Teyla rappelle son engagement en faveur de la paix et de la liberté.
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Présidence de la République
Démocratique et Libre
du Gondo


Déclaration publique.

Le Gondo est une patrie libre. Elle ne tolérera jamais les injonctions de souverains étrangers qui veulent sa perte. La théocratie d’Azur, la tyrannie d’Antegrad et la monarchie de Finejouri, avec lesquels le gouvernement gondolais entretenait des liens cordiaux dans une logique de non-ingérence, ont fait tomber leurs masques et se révèlent au grand jour devant l’Afarée entière. Ces habiles comploteurs ont formé le dessein d’armer et de soutenir, par tous les moyens, le gouvernement d’Ateh Olinga qui oppresse la République d’Ouwanlinda, et a juré de porter le feu à tout le continent.

Il y a maintenant un an et demi, la République d’Ouwanlinda nous a déclaré la guerre. Ce faisant, elle a mis à mal la stabilité de l’Afarée toute entière. Voilà qui ne devrait jamais, au grand jamais être oublié. Il n’y a pas de raisons décoloniales à la guerre d’agression d’Olinga. En agissant comme ils l’ont fait, et cherchant à protéger et à armer Olinga, le PAS s’est mis au ban de la communauté internationale. Les valeurs qu’il prétend défendre, il les a jeté au loin.

Face aux agressions militaires, le peuple gondolais a choisi, délibérément, d’appeler aux armes son allié clovanien. La Clovanie a aidé le gouvernement gondolais à combattre les fanatiques communistes et racistes qui gangrènent le pays depuis des années. Ils nous aident maintenant à combattre une nation ennemie. Le Gondo a le droit de se défendre. Aujourd’hui, le PAS souhaite lui renier ce droit.

J’ai été directement visé, mais derrière ma personne, c’est l’Etat gondolais que l’on attaque. On m’a reproché d’avoir éloigné des opposants, pourtant tous condamnés par la justice, et qui ont choisi eux-même soit la fuite soit les armes au lieu de purger leurs peines comme d’honnêtes citoyens. On m’a reproché d’avoir noué une alliance défensive avec un pays d’Eurysie, alors que nous l’avons fait pour nous protéger de ce genre d’attaques de nos ennemis. On m’a reproché d’avoir refusé des trêves injustes qui instaureraient un « compromis » avec des factions qui pour certaines ont juré la mort de beaucoup d’entre nous, et pour d’autres ne rêvent que d’arracher à leur patrie des milliers de citoyens.

On m’a reproché, en somme, de m’être battu pour l’indépendance du Gondo. Et dans une étonnante inversion des rôles, on se présente comme les ennemis de la colonisation. Mais aujourd’hui, il y a en Afarée des nations impériales qui ont les mêmes appétits que les colons d’autrefois. L’Ouwanlinda. Ses trois suppôts.


Le Président de la République,
Désiré Flavier-Bolwou


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06/02/2017, base d'Hejo à Antegrad,


Les paroles d'un Commandant
Commandant Alessandro Erraro

Commandant Alessandro Erraro-"Soldats ! Frères et sœurs d'armes, fervents défenseurs de l'Empire !
Ce jour est marqué du sceau de l'infamie, de la honte et du déshonneur. Ces sentiments ne sont guère dans nos camp, non, ils sont en face. Vous entendez tout comme moi les foules enragées au dehors, les vils communiqués de cet Etat d'Antegrad, nous ne faiblirons pas ! C'est par la fierté que je vous parle messieurs, mesdames, une qui ne pourra jamais m'être arrachée. Celle qui fait de moi le Commandant d'hommes et femmes d'exception, qui défendent l'Empire corps et âme, au service d'une patrie juste, fière, immuable et indestructible !
Vous vous trouvez en cette ville Afaréenne nullement en tant que conquérants, non, vous êtes les gardiens légitimes de votre nation. Vous êtes sur ces sols par la force du droit, de l'engagement, de la diplomatie et des signatures. Dehors, ce n'est fin plus la colère d'un peuple, ce sont des actes de haine. Nos murs ont été frappés, nos drapeaux insultés, nos insignes bafoués et nos personnes mêmes directement atteintes. Vous avez été les témoins de ces débris projetés, de ces cris barbares, de ces exactions qui vont jusqu'au jet d'armes dignes d'une guérilla.
Soldats ! Aucun d'entre nous n'a répondu face à cet éventail de provocations, je vous félicite sincèrement. Malheureusement, l'heure n'est point aux félicitations mais à l'anticipation. Aucune réponse ne fut entreprise, en cela vous êtes dignes de brandir vos insignes, mais cela doit perdurer. Car je vous l'ordonne, aucun d'entre vous ne tirera le premier, jamais. Dans le cas où votre camarade serait sous la menace de la faucheuse, alors oui, vous interviendrez avec la rigueur qui vous a été enseignée. Soyez assurés que si ce jour est le dernier pour vous, notre ennemi observa une réponse à son quintuple.
Egalement, soyez assurés que vous n'êtes pas seul. Le monde nous regarde, le Tsarat vous regarde, vos familles vous regarde. Aujourd'hui, deux opérations d'envergure fouleront le sol de cette infrastructure. Premièrement, la sécurité de nos diplomates. Le gouvernement s'est concerté sur une décision, ils ne rejoindront pas notre base. Fort heureusement, une solution bien plus sécurisée a été trouvée pour eux. Deuxièmement, notre gouvernement nous envoie soutien. Comme je l'ai dit, nous ne sommes pas seul. En ce moment même, un convoi aérien fend les cieux à destination de cette base, transportant certains types de matériels afin d'assurer notre pleine sécurité. Les aéronefs stationneront en cette bâtisse, nous permettant l'option de dernier recours de la retraite. Sachez que ce n'est point un signe d'abandon, mais bel et bien de sécurité pour nos propres vies que nos frères et sœurs nous envoient.
L'avenir est entre nos mains, gloire et longue vie au Saint Empire de karty !
"


L'arrivée des renforts
L'arrivée des renforts

Dans la peau d'un soldat a écrit :Je crois qu'il était un peu près 19 heures quand les choses se mirent enfin à bouger, quelques temps après le discours du Commandant. Les cris dehors continuaient oui, mais ils étaient plus ténus, à croire qu'ils ont fatigué de gueuler comme ça à répétition. Je venais de finir de renforcer le mur Ouest, faut bien dire que j'ai été aidé. Comme l'avait dit le Commandant, on avait mis bien plus de barbelés, on aurait dit qu'on se préparait à une guerre ou une quarantaine.
Moment de joie, des chasseurs Kartiens arrivèrent par les pistes Nords. Y'avait aussi les cargos derrière, les talonnant d'assez près. Ces engins sont massifs, y'a sans doute de quoi évacuer la base en un seul trajet. Quelques caisses furent déposés dans les entrepôts, mais la plupart de l'espace était laissé vide. Tout ce manège servira à nous évacuer en cas de réel débordement, ils ont appelé ça "option de préservation du personnel militaire", pour nous ça veut juste dire "si ça pète on se casse fissa".
Après tout ça, un drone s'éleva dans le ciel de la base. Des modèles qu'on voit que très rarement ici, c'est la pointe de la technologie. Il a pris de l'altitude sans bruit, mais il ne quittait pas l'espace aérien de la base. Il captait tout ce qu'il se passait autour, enregistrait chaque mouvement, c'était la meilleure façon de préserver les preuves de ce qu'il passe. Bien sûr, les autorités ont bien pris soin de pas le faire décoller trop haut, et de le faire rester au dessus de nos têtes.
Et enfin, on est retourné à la classique tâche des patrouilles. C'était un mal nécessaire, l'Empire comptait sur nous et il faut avouer que c'est pour notre propre sécurité. Le Commandant Erraro sortait de temps à autre de son bureau pour prendre l'air disait-il. Il en profitait pour voir que tout allait bien, il posait sa main sur les épaules de quelques-uns. Ce geste veut dire beaucoup pour nous, le Commandant veille à notre sécurité, pas qu'à la sienne.

HRPPost à prendre en compte dès qu'une nouvelle missive Kartienne sera envoyée à l'Antegrad.
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Opération Péroun (2/2)
[EXT] Installation d'un marché noir d'armement sur la frontière antegraine

Source : Ministère de la Sécurité d'État - Confidentiel

Alors que la Poëtoscovie a déjà fait se muer son ambassade en une forme de bastion militaire hypersécurisé – encore plus que ses autres établissements diplomatiques, c'est pour dire –, celle-ci a continué de recevoir des marchandises dont tous ignorent le contenu. Entre les vivres par convoi naval et les caisses militaires par voie aérienne, la Poëtoscovie serait prête à une guerre en Afarée, tant en termes militaires que de renseignement.

De toutefois, afin de bien s'implanter dans la civilisation afaréenne, y compris au sein des réseaux clos au regard des États, les militaires poëtoscoviens participent activement au marché noir, notamment en alimentant les stocks des vendeurs, sans pour autant révéler leur identité. Bien évidemment, avant toute transaction, la Poëtoscovie s'assure que les armes ne puissent pas revenir sur le territoire afaréen. Généralement, cela est le cas, puisque les revendeurs savent ce qui se joue en cas de déloyauté envers les forces en présence.

En effet, à plusieurs reprises, celles-ci ont effectué des contrôles à la volée, et ont neutralisé des marchands refusant de se soumettre sous réserve qu'ils "représentent une menace réelle, étant armés" – bien que ce soit le cas de la majorité des civils traversant le désert. Toutefois, chez tous les individus ayant refusé de se soumettre au contrôle et ayant été ainsi neutralisés, il a été retrouvé diverses drogues interdites en Antegrad. Ainsi, l'ensemble des individus entrant sur le territoire de l'Antegrad doivent se soumettre au contrôle opéré par les forces de soutien que sont les soldats venus de Poëtoscovie, tant dans un cadre de lutte contre l'importation de drogue que contre celle de l'armement.

Pour l'Antegrad, les menaces actuelles sont multiples. Sur la scène internationale, de nombreux pays auraient des raisons d'en vouloir au régime du fait de vouloir faire monnayer la présence militaire sur site. L'Empire de Karty, précisément, constitue l'un de ces points sensibles. Fort d'une armée conséquente et d'une doctrine imposante, l'Empire de Karty s'est déjà montré hostile envers de nombreuses puissances, et ne rougirait pas de s'en prendre à l'Antegrad, notamment dans le cadre d'une alliance avec d'autres "déçus" de cette nouvelle politique adoptée par l'Antegrad. La présence militaire poëtoscovienne, quoique non officielle, permet donc de prévenir toute tentative d'invasion. Bien que cela soit peu probable, aucun risque n'est à écarter concernant la sécurité de l'allié antegrain.

Sous un drapeau symbolisant la CESA, pour "Collaborateur Étranger de Sécurité Afaréenne", la Poëtoscovie régule les trafics d'armement car ayant défié toute concurrence et l'ayant fait fuir. Il s'agit d'un système audacieux pour contrôler au mieux le marché noir et avoir la main sur une partie de l'économie souterraine de l'Afarée.

Cette politique internationale, quoique hautement confidentielle, s'inscrit dans un plan plus large de sécurisation du continent afaréen. Entre la promotion de la culture poëtoscovienne via la fondation Poëtky Mir, comme Antegrad ou en UC Sochacia, et la participation à la défense nationale, comme dans la Cité du Désert ou en Antegrad, la Poëtoscovie se veut un partenaire culturel, commercial et militaire majeur du continent. Cela passe également par une diplomatie tournée vers l'ouverture à l'autre. Dans ce cadre, les représentants de la Nation Littéraire et de l'Azur ont également pu échanger longtemps, ce qui a donné lieu à la signature d'un traité bilatéral entre les deux pays, lequel officialise notamment la création de canaux de communication stratégique.

La régulation du marché noir afaréen depuis l'intérieur est donc, pour la Poëtoscovie, un enjeu capital à maîtriser. La Nation Littéraire se place alors comme un partenaire idéal n'ayant pas d'ambition impérialiste, mais seulement, et avec toute la transparence du monde, une volonté de stabilité mondiale. Cela passe par une volonté de renforcer le poids politique de l'Afarée sur la scène internationale. Avec l'omniprésence de l'Azur sur le paysage diplomatique, l'Afarée relève le défi. Cependant, le continent se voit au cœur de disparités géographiques importantes concernant la représentation de ses États. Par les actions de la Poëtoscovie, cela pourrait changer, puisque les intérêts premiers desdits États seraient assurés.

Il est à bien noter que l'opération Péroun est strictement confidentielle, que les agents en Afarée appartiennent au service action de la Sécurité d'État de Poëtoscovie (SEP) et qu'il est impossible que de telles actions soient documentées à l'international, les lieux n'étant pas ouverts à la presse. La sécurité et la confidentialité, dans cette opération, doivent être poussées à leur paroxysme.

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13/02/2017, base d'Hejo à Antegrad,


Commandant Alessandro Erraro

AlinéaUne semaine était passée depuis l'arrivée des convois aériens Kartiens, ainsi que l'entrevue Antegrado-Kartienne. Le délai du retrait touchait à sa fin, et les Kartiens avaient tenu parole. La quasi-totalité des infrastructures avaient été détruites, afin d'éviter leur utilisation pour l'Antegrad. De même, il fallait œuvrer au maximum pour que les doctrines militaires Kartiennes ne puissent être étudiées. La totalité des équipements avaient été chargés, l'ensemble du personnel était monté aux bords des aéronefs. Il ne restait plus que le Commandant Erraro ainsi que quelques uns de ses hommes. Tous trônaient symboliquement au côté du dernier étendard du Saint Empire. Comme le veut la tradition pour ce type d'événement, les minutes étaient solennelles. Les notes de l'hymne impérial furent jouées, une mélodie s'élevant et sifflotant dans l'air. Enfin, le drapeau Kartien fut décroché, soigneusement plié dans un coffre de bois des forêts de Wikingia, lui-même porté par deux soldats. Les militaires quittèrent la place, rejoignant les cargos, déjà prêts à partir. C'est ainsi que se clôturent les relations Karty-Antegrad, sous les notes de Katyusha.
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16/02/2017,


Les paroles du tyran.
Une conséquence évidente.


Les paroles du tyran
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alinéaColonisateur ! Un mot que l'on brandit telle dague sur cœur, lorsque les arguments sont manquants. C'est là une des péjorations du dictateur Jakamé Idi Akim, qu'il utilise pour qualifier le Saint Empire de Karty. Par analogie, le verbe coloniser se définirait par l'installation forcée de colons sur un territoire qui leur est étranger. Ainsi, peut-on dire que l'envoi de missiles balistiques sur l'Empire du Churaynn relève de la colonisation ? A moins de considérer un appareil balistique comme un être humain, la réponse est assurément négative.

Impérialiste ! Un autre mot que l'on emploie pour pointer du doigt, dénoncer des pays sans aucun constructivité existante. Par définition, l'impérialisme se caractérise par la volonté d'un pays à en réduire d'autres sous son giron, sa dépendance politique et économique. Lorsque le Saint Empire de Karty émet une frappe balistique à l'encontre du Churaynn, souhaite-t-il le mettre sous sa dépendance ? Non, il ne s'agissait que là d'un avertissement face à de réelles intentions impérialistes. En effet, l'Empire du Churaynn a très clairement menacé la nation Garmflüßensteinoise, ce publiquement qui plus est. Par extension, l'Empire du Churaynn déclare pouvoir déstabiliser l'Eurysie centrale sans répercussion, un acte réellement impérialiste au demeurant.

Diplomatie ! Ah, un bien étrange mot pour un pays qui ne sait que répondre par la répression de ses propres habitants. Que l'Antegrad mette sous embargo économique Karty, soit, il en relève de sa ridicule volonté. Qu'il sanctionne tout habitant possédant une œuvre Kartienne, et il est prétendu "de 5 ans de prisons et d'une amende de 130 000 anto-d'or" est tout simplement de l'oppression. La monnaie Anterienne n'étant pas connue pour sa valeur, faisons la conversion en Karts (HRP-> 1 Karts=1,25 Euros, 6,5 Anto-d'ors=1 Euro.) La sanction économique relèverait conséquemment de 16000 Karts, une somme qui ne reste pas des moindres.

Action ! La fédération Afaréenne menace le Saint Empire de Karty ? Nonobstant, est-elle réellement en capacité de faire quoi que ce soit qui n'est déjà point entrepris ? La réponse ne peut être catégorique, cependant les faits et déductions sont là. Hormis refuser l'import de ressource Kartienne, ce qui est déjà fait, l'Antegrad n'est pas en mesure de faire pression sur le Saint Empire de Karty. Une armée certes présente, beaucoup plus puissante que l'Empire du Churaynn, bien inférieure à celle des Kartiens. Le tyran le dit lui même lorsqu'il prétend de très lourdes sanctions face à une nouvelle attaque contre le Churaynn, "je n'en dirais pas plus". Effectivement, l'Antegrad ne pouvant point entreprendre quelconque action supplémentaire, il est bien difficile de trouver matière à dire. Le dictateur ne sait pas lui-même ce qu'il pourrait entreprendre en cas de nouvelle attaque, événement non prévu de surcroît. A moins que l'Empire du Churaynn réponde militairement au Saint Empire, l'escalade ne sera pas.


Une conséquence évidente
Grande Ambassadrice plénipotentiaire Irina Meldeva du Cercle des Six mandatée au secteur Afaréen, représentante du Saint Empire de Karty

Grande Ambassadrice Meldeva-"Le Saint Empire de Karty prend bien note des menaces, inutiles au demeurant, de la fédération centrale d'Antegrad. Tout d'abord, sachez que le Tsarat ne craint en aucun cas votre nation. Je tiens, et au nom de ma patrie, à rassurer la scène internationale dans sa globalité. Le tir d'engins balistiques, revendiqués de nos autorités sur l'Empire du Churaynn, ne résultait que d'un avertissement. Un message visant à inviter ledit pays à renoncer à ses vils projets, à savoir déstabiliser l'Eurysie centrale dans sa globalité.
A la présente je m'énonce à la fédération pseudo-démocratique d'Antegrad. Je n'emploie pas ce terme à la légère, la répression de vos habitants ne changera rien à la situation, messieurs et dames du gouvernement Antérien. Notant vos actes d'oppression à l'encontre de tout individu possédant un quelconque objet s'apparentant Kartien, il est évident que la rupture de la diplomatie, que vous revendiquez faussement, est claire.
Dans un soucis de protection de tout simplement la vie de nos diplomates, nos ambassadeurs avaient dores et déjà quittés votre sol suite à la mascarade liant la base militaire d'Hejo. Nous avions refusé d'acheter votre souveraineté, s'élevant au très aimable prix de 2500 unités internationales. Sachez que tout pays mettant aux enchères sa souveraineté pour quelques pièces, n'en possède pas.
Il fut dit par voie épistolaire que nos ambassadeurs reviendront dans le pays d'Antegrad, ce une fois les tensions civiles apaisées et les relations bilatérales clarifiées. Le Saint Empire de Karty ne compose point avec un Etat qui le menace, qui réprime sa population sous un prétexte de possession artistique étrangère, qui n'est pas même capable d'assurer la protection d'une infrastructure étrangère. Etant donné que la base militaire d'Hejo fut assaillie par les méfaits de vos citoyens, acte non défendu de vos services de police, nous en déduisons que la sécurité de nos diplomates en sera de même, à savoir non assurée.
Nos diplomates resteront donc sur leur sol, considérant l'ensemble des événements récents. Considérant la tranche de votre pays, vous répondrez à ces actions par certains arguments. Permettez-moi donc de vous éviter cela, je vais dores et déjà vous répondre. Non, le Saint Empire de Karty ne brise pas le lien diplomatique avec votre nation. C'est bel et bien vous, par votre volonté de menace et rupture d'un traité bilatéral, qui avez rompu le dialogue. Non, le Saint Empire de Karty n'a point pour volonté de réitérer un quelconque acte militaire contre le Churaynn, à moins que ce dernier en soit nouvellement l'auteur contre nos autorités. Oui, si vous le jugez nécessaire, vos diplomates sont libres de partir de notre sol. Nous ne forçons point cette décision, si votre gouvernement souhaite que ses ambassadeurs restent, qu'ils le fassent. Nonobstant, dans le cas contraire, le Saint Empire de Karty ne les retiendra point, soyez en assurés. Il en va de la médiation et diplomatie, car oui le Tsarat en est capable, contrairement à vos affirmations fallacieuses.
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Prise de parole de l'Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk, sa Majesté Alexeï IV


18/02/2017


La télévision nationale, sur toutes les chaînes principales de l'Empire, change de programme pour une déclaration officielle du Gouvernement slavis et plus particulièrement de l'Empereur de Slaviensk Alexeï IV. Après l'hymne national, on remarque l'Empereur derrière un pupitre où est écrit son texte, les drapeaux du Second Empire Constitutionnel derrière lui. La télévision tourne en direct.
Alexeï IV : Je m'adresse aujourd'hui à tous les slavis, mais aussi à tout les peuples et dirigeants du monde, pour un évènement plus que dommageable pour l'Empire et ses relations diplomatiques : l'Antegrad anciennement allié du Second Empire Constitutionnel, et ce depuis l'an 2015, a perpétré des actes intolérables à l'encontre de notre partenaire et Grand Allié le Saint-Empire de Karty : Autodafés à l'encontre des auteurs kartiens, ainsi que des citoyens kartiens résidant dans la Fédération centrale d'Antegrad, sans oublier l'instauration d'un droit de douane extrême sur les produits kartiens, atteignant les 150% de droit de douane sur les importations, ce qui est un suicide économique pour tout les produits venus du Saint-Empire et qui profitaient jusque là aux deux nations. Ces actes, bien loin d'être isolés, sont perpétrés depuis quelques temps déjà par l'Antegrad, ne serait-ce que l'agression menée, sans préavis, à l'encontre de la République des trois nations, un état pourtant pacifiste et peu présent dans les grandes crises mondiales.

En réaction, le Second Empire Constitutionnel de Slaviensk annonce, la rupture de l'intégralité des relations bilatérales entre Slaviensk et la Fédération Centrale d'Antegrad. Cette décision, lourde de conséquences, est faite consciemment. Consciemment envers les dégâts sur nos économies, nos relations, ainsi que notre défense nationale. Mais loin d'être dépendant de l'Antegrad sur ces plans, Slaviensk peut compter sur d'autres partenaires bien plus fiables, ainsi que sur une économie florissante et une armée en cours de renforcement. En ce qui concerne les citoyens antériens déjà présents sur le sol slavis, nous ne les expulserons pas car entrés auparavant d'une manière légale sur le territoire du Second Empire. Nous espérons que l'Antegrad fera preuve de la même modération, en tout cas Slaviensk protégera ses citoyens. Au delà de l'Antegrad, notre nation rompt également ses relations avec l'Empire de Churaynn, et rappelle ses ambassadeurs. L'état le plus peuplé du monde n'est pas le plus digne de respect. Pour clôturer ce très bref discoure chargé en informations je tient à signaler que Slaviensk restera aux côtés de ses alliés, et continu de considérer que toute agression menée à l'Encontre du Saint-Empire de Karty, sera considérée comme une agression à l'encontre du Second Empire Constitutionnel de Slaviensk.


Vive l'Empire, vive Slaviensk.

Alexeï IV, Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk
Alexeï IV
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Loterie de Messalie

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Suite aux récentes tensions diplomatiques, l’armée enverra un message codé aux forces présentes à Destint :

Les navires actuellement en Antegrad ont l’ordre de rentrer par le chemin qui ne sera pas indiqué sur une carte, mais révélé par votre foi en l’Islam.
Posez une carte… et suivez le chemin de votre main qui vous rapprochera de Dieu.
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DÉCLARATION INTERNATIONALE DE LA RÉPUBLIQUE DES TROIS NATIONS
République des Trois Nations de Kolca, de Koltaris, et du Cinat

À l’attention des États partenaires et observateurs internationaux,

La République des Trois Nations, composée des Républiques de Kolca, de Koltaris et du Cinat, souhaite aujourd’hui faire entendre sa voix auprès des nations proches diplomatiquement comme des puissances étrangères, afin d’expliquer avec sincérité et transparence la nature profonde de la crise qui a secoué notre État. Cette crise a été multiforme : politique, diplomatique, militaire, sécuritaire et économique.

Certes, les aspects diplomatiques et militaires, à travers les événements liés au Mandrarika ou les bombardements ayant touché certaines vice-royautés, ont davantage attiré l’attention médiatique internationale. Cependant, cette crise puise son origine dans une faille politique interne, aujourd’hui en voie de résolution. Nous osons espérer, avec prudence mais fermeté, que cette conclusion est proche.

Tout a commencé par une crise diplomatique, révélée notamment dans l’enquête du journal Les News de la République des Trois Nations. Des dysfonctionnements administratifs graves ont conduit à un silence diplomatique de notre part à l’égard de nations qui, pourtant, avaient officiellement tenté d’établir un contact avec l’une ou plusieurs de nos Républiques. En conséquence, des votes successifs ont été organisés dans le but de corriger ces défaillances.

Mais c’est bien le 6 octobre 2016 que débute la crise politique. Ce jour-là, chacune des Républiques s’est prononcée sur l’ouverture de relations diplomatiques approfondies avec le Second Empire Constitutionnel de Slaviensk. La République de Kolca a voté favorablement, tout comme la République de Koltaris. Le Cinat, pour sa part, a opté pour une troisième voie : la saisine du Sénat, conformément aux modalités de vote prévues par notre système tripartite (oui / non / renvoi au Sénat).

Le Sénat fut donc saisi. Conformément à notre Constitution, le président du Sénat, le Sénat dans son ensemble, ainsi que le roi-président, chef de l’État, disposent d’un mécanisme légal de vote d’influence, leur permettant, dans des conditions spécifiques, d’orienter le résultat d’un scrutin. Ce dispositif fut activé dans ce cas précis, avec une orientation défavorable à l’ouverture diplomatique.

Néanmoins, malgré ce vote d’influence, la loi fut adoptée à une large majorité. En réaction, le roi-président Maximilian Reuter a opposé son veto, s’opposant ainsi frontalement à la volonté exprimée. Cette décision a constitué un tournant : en posant ce veto, le roi-président s’exposait à une procédure de destitution, laquelle fut effectivement engagée, et conclue, il y a quelques mois.

Le processus fut pleinement constitutionnel : le président du Sénat, Lilian Christophe, et les trois présidents des Républiques ont chacun activé leur prérogative d’influence ; mais grâce à cela, une majorité incontestable a conduit à la destitution de Maximilian Reuter.

Conformément à notre loi fondamentale, dans le cas d’une destitution présidentielle, le président du Sénat devient automatiquement empereur-président. Ce titre, bien que prestigieux, n’est pas un mandat absolu : l'empereur-président exerce des fonctions renforcées, mais temporelles. Deux choix s'offrent alors à lui, déterminés par un vote indépendant du Sénat et l’approbation des trois Républiques.

Les trois présidents ont validé une reconduction au pouvoir jusqu’en 2031, soit un mandat de 15 ans (2016-2031). Le Sénat, quant à lui, a accordé les pleins pouvoirs et officialisé la double fonction d’empereur-président et président du Sénat, conférant ainsi au chef de l’État une légitimité consolidée.

Ce cas n’est pas sans précédent dans notre histoire :
  • Louis-Philippe Fyss, dit « le Père », empereur-président de 1931 à 1946, après avoir été président du Sénat (1928–1931).
  • Louis-Philippe Fyss II, son fils, de 1961 à 1976, après un mandat sénatorial de 1958 à 1961.
  • Henri de Rivoli, sans doute le plus emblématique, empereur-président de 1979 à 1994, puis réélu roi-président de 1994 à 2006, avec un passage sénatorial de 1976 à 1979.

Il s’agit donc du quatrième empereur-président de notre République : une tradition républicaine ancrée, connue et comprise de notre peuple.



1. RÉFORMES MAJEURES EN COURS


Un remaniement politique majeur est actuellement en cours, accompagné de deux réformes d’ampleur :

1. Réforme institutionnelle de Kolca
La République coloniale de Kolca est en voie de devenir la République fédérée de Kolca ou République des nations d’Afarée et de Kolca, afin d’harmoniser son système avec ceux de Koltaris et du Cinat.

2. Abolition des sujets économiquement dépendants (SED)
  • Cinat : 1,4 million de SED sur 15,8 millions d’habitants (7 %)
  • Kolca : 24,2 millions de SED sur 29,7 millions d’habitants (≈ 81,5 %)

Ce qui a déjà été fait :
  • Abolition de la torture, de la surveillance, de l’espionnage et du contrôle économique
  • Mise en place de salaires minimums garantis par l’État
  • Obligation pour les anciens propriétaires de rémunérer les employés à 10 % du SMIC minimum, si ils les emploient
  • Construction de logements publics pour l’insertion



2. RÉFORME ÉLECTORALE ET INCLUSIVITÉ


La réforme électorale est primordiale : seuls 3,4 millions de citoyens sur plus de 18 millions de majeurs peuvent actuellement voter à Kolca. Le président de Kolca a accepté la réforme pour mettre fin à ce déséquilibre.

Des lois anti-discriminatoires sont également en préparation :
  • Interdiction des actes racistes envers les anciens SED
  • Protection des anciens propriétaires pour éviter un exode économique
  • Harmonisation de l’élection présidentielle : le Vice-Roi de Kolca ne sera plus automatiquement président



3. APPEL À LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE


La République des Trois Nations sollicite l’aide et le soutien de la communauté internationale pour :

  • Conseiller les réformes en cours
  • Identifier les faiblesses structurelles
  • Offrir un appui économique temporaire
  • Accompagner la construction d’un modèle équitable entre citoyens

Nous garantissons un remboursement à long terme pour toute aide financière apportée, et nous engageons à ne laisser aucun citoyen dans la misère.

La République ne reniera pas son histoire. Elle la transformera.
L’objectif est d’achever ces chantiers avant la fin de l’année 2017. Cela sera long, exigeant, mais possible avec votre aide.




Pour la République, la Démocratie et la Paix,
Lilian Christophe
Empereur Président de la République des Trois Nations
Président du Parti Socialiste Démocrate (PSD)


<i>Empereur-Président entre 2016 et 2031, Lilian Christophe</i>
Lilian Christophe,
Empereur-Président choisit et élu entre 2016 et 2031.


Rédigé par le Palais Sénatoriale en Commission, République des Trois Nations.

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Négociations approuvées par Marcine. Tenez vous sur vos gardes. En attente de votre confirmation pour assister à la réunion. En attente de l'accord des indépendantistes. En attente de l'accord du Churaynn. Ordres de mission toujours opérationnels.
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