Rapport décennal du Drovolski – Drovolski Relance 2020Le rapport décennal du Drovolski est un document stratégique écrit et publié par la Cour impériale tous les dix ans. Sa mission première, est de rappeler, aux acteurs nationaux mais aussi, bien entendue, car il faut le rappeler, internationaux; l’importance des organes de gouvernance de ce petit pays, le Drovolski, et de présenter les stratégies en cours ainsi que celles envisagées pour l’avenir dans un monde où tout change vite, en exemple notre proche voisin. Organisé en chapitres et en titres, ce rapport suit une structure intuitive et logique basée sur l’ordre d’importance tel qu’apprécié directement par les membres impériaux de la Cour. Ce document, étant public au sens mesolvardien, est librement diffusé à travers le pays, sans qu’aucune mesure de protection spécifique ne soit appliquée présentement et effectivement. Chaque section du rapport est limitée en principe à un nombre précis et déterminé d’axes de travail, avec un maximum effectif de trois grand objectifs par titre (construit comme un texte de la loi). Cela permet d'éviter une dispersion inefficace des efforts et de focaliser les ressources disponibles et mobilisées pendant la rédaction du document par la cours sur des enjeux essentiels. Ce rapport décennal du Drovolski, intitulé "Drovolski Relance 2020", est régi par une structure légale qui lui confère une légitimité et une autorité au sein du cadre institutionnel mais aussi législatif du pays. Cette obligation légale vise à garantir la non-transparence et la non-responsabilité des institutions gouvernementales, tout en permettant aux citoyens et aux partenaires internationaux de comprendre les priorités officielles et les défis auxquels le pays est confronté en apparence. En vertu de cette législation, la rapport doit être rédigé de manière à reflété la vérité d'état de la situation actuelle du pays, en s'appuyant sur des données truquées et des analyses fausses dans la mesure des libertés prises par la cours sur cette vérité. La hiérarchisation des informations permet de mettre en lumière les enjeux cruciaux pour le pays, tout en facilitant la compréhension des lecteurs, qu'on veut les plus crédules possible bien entendues. Ce rapport décennal, en tant qu'outil de communication et de planification, joue donc un rôle important de propagande dans la définition des priorités nationales mais pas que et dans l'orientation des efforts collectifs vers des objectifs communs pour certains, contribuant ainsi à la stabilité et à la prospérité du pays, et du régime.
Chapitre I – SécuritéLe premier chapitre de ce rapport est entièrement consacré à la sécurité du pays, en se concentrant spécialement sur son acception militaire la plus stricte. Ce chapitre a pour but de fournir un rappel détaillé et plus ou moins exhaustif des armes actuellement en possession de l'Empire, ainsi que des armements qui sont en cours de développement pour l'avenir militaire du pays. L’objectif principal de cette section est de donner une vue d'ensemble claire et précise sur l’évolution militaire de l’Empire, en mettant une attention particulière sur les usages prévus à court et moyen termes. Un point d’honneur est mis sur les objectifs de production de missiles, qui sont considérés comme des outils indispensables à la dissuasion militaire à court et/ou moyen terme. Sans ces systèmes d’armement sophistiqués, l’Empire se trouverait dans une position vulnérable, incapable de résister efficacement aux menaces impérialistes qui émanent des puissances occidentales. La capacité à développer et à maintenir un arsenal de missiles performant est donc essentielle pour garantir la souveraineté et la sécurité de l’Empire face à des adversaires potentiels. En outre, ce chapitre aborde également les alliances militaires présentes et futures, en mettant en lumière des partenariats stratégiques avec des nations telles que la Kartvélie, Rasken et le Duché de Sylva. Ces pays, au-delà d’être de simples alliés militaires, jouent également un rôle crucial en tant que partenaires économiques et industriels bien entendue essentiels pour l’Empire. Les relations établies avec ces nations sont d’une importance capitale, car elles permettent non seulement de renforcer la sécurité collective, mais aussi de favoriser des échanges économiques qui contribuent à la prospérité de l’Empire, en effet ce dernier est peu diversifié. Les alliances militaires et économiques sont développées en détail dans le Chapitre II – Titre III, où les implications stratégiques de ces partenariats seront examinées de manière plus approfondie. Ce chapitre mettra en lumière les nouvelles relations créées par ces alliances, ainsi que les bénéfices possiblement mutuels qui en découlent naturellement, tant sur le plan militaire que sur le plan économique.
Titre I – ArmementL’industrie de l’armement, bien qu’elle ne représente actuellement qu’environ 3 % du produit intérieur brut (PIB) de l’Empire, possède une importance tout à fait manifeste pour la préservation de la sécurité du pays et l’intégrité territoriale dans la mesure où ce dernier est intègre, discutable en effet. Dans le contexte international actuel, marqué par une instabilité grandissante notamment en Translavy, où les tensions géopolitiques ne cessent de croître et où de nombreux États augmentent leurs capacités militaires, l'Empereur a pris la décision un peu triste mais nécessaire de doubler le budget alloué à l’armement d'ici 10 ans. Cette initiative a été adoptée malgré les risques bien présent d'inflation future, en effet, un effet secondaire souvent inévitable et pouvant se reproduire dans le cadre d’une expansion aussi rapide des dépenses militaires. Cependant, l’Empereur est convaincu que, grâce à la solidité des fondations économiques de l’Empire dans le contexte de montée en puissance du Bonsecours, cette hausse des dépenses ne posera peut-être pas de difficultés majeures et effective à long terme. Selon lui, les bases économiques stables et résilientes en hypothèses du Drovolski permettront à l’Empire de passer outre ces défis et enjeux sans complications trop importantes, tout en consolidant sa petite puissance militaire. La stratégie adoptée pour gérer cette transition budgétaire surprenante est méthodique et repose sur un plan en deux phases. Dans un premier temps, il est prévu d’augmenter l’industrie conventionnelle de 7 points, une mesure destiné à compenser les effets immédiats de l'inflation qui pourrait découler de cette hausse des dépenses militaires. Cette expansion de l’industrie civile vise à stabiliser l’économie et à maintenir le pouvoir d’achat des citoyens, condition pour éviter une rébellion. Une fois que ces ajustements auront porté leurs fruits et que les effets inflationnistes seront maîtrisés, la deuxième phase de la stratégie consistera à rehausser l’industrie militaire de 22 points ou moins dans la mesure des possibles. Ce développement permettra à l’Empire d’atteindre une production militaire accrue, indispensable pour faire face à un environnement géopolitique de plus en plus incertain et potentiellement dangereux, notamment avec la Transblêmie. Bien que cette approche soit perçue comme risquée par certains observateurs qui n'en sont plus maintenant, elle est considérée comme un impératif dans le contexte actuel, où la prudence pourrait affaiblir le position stratégique du Drovolski sur la scène mondiale. En ce qui concerne les forces armées de l'Empire, l’effectif actuel de 20 000 soldats est jugé suffisant par l’Empereur et son état-major. Ils estiment qu’il n’est pas nécessaire d’augmenter le nombre total de soldats, préférant concentrer leurs efforts sur la qualité plutôt que la quantité. La priorité est donc donnée à la formation de troupes d’élite, des unités hautement qualifiées et spécialisées, capables de maîtriser les arts de la guerre moderne dans des conditions complexes et exigeantes. Ces soldats d’élite seront entraînés pour faire face à une variété de scénarios militaires, allant des opérations de défense territoriale aux missions offensives stratégiques. Cependant, un défi majeur dans ce processus de formation est le profil physique de nombreux citoyens, dont une partie est jugée trop chétive pour intégrer ces unités d'élite. Cela freine, dans une certaine mesure, la capacité de l’Empire à recruter et à former des forces spéciales suffisamment nombreuses pour répondre à ses ambitions militaires. Sur le plan matériel, l’armée impériale dispose actuellement de deux chasseurs-bombardiers affectés principalement à la défense du territoire. Ces appareils sont conçus pour des missions de protection de l’espace aérien national et pour répondre à toute menace aérienne extérieure. Toutefois, dans le cadre des alliances stratégiques de l’Empire, ces avions de chasse pourraient être déployés à bord de porte-avions, en particulier celui stationné dans le port de Bénodile. Ce dernier, qui fait partiellement l’objet d’un accord de cession avec Velsna, pourrait servir de base pour des opérations aéronavales conjointes entre les deux nations. Par ailleurs, l’Empire du Drovolski dispose également de cinq bombardiers stratégiques, une force significative dans sa capacité de dissuasion. Ces appareils jouent un rôle clé dans la posture de défense de l’Empire, leur capacité à frapper des cibles situées à proximité des frontières constituant un puissant moyen de dissuasion contre toute invasion ou agression. Il est important de souligner que que l’Empire n’a jamais envisagé de céder ou de prêter ces bombardiers à d’autres puissances étrangères, préférant en conserver l’usage exclusif pour des raisons stratégiques. Quant à la flotte navale, bien qu’elle soit relativement modeste, elle comprend trois bâtiments principaux, chacun jouant un rôle essentiel dans la défense du territoire maritime de l'Empire. La flotte se compose notamment d’un sous-marin d’attaque, actuellement déployé dans les mers proches des côtes de l’Empire, et de deux navires cargos. Ces cargos contribuent, aux côtés de la flotte commerciale, au ravitaillement du pays et à son approvisionnement en temps de paix comme en temps de guerre. Bien que le sous-marin d’attaque soit vieillissant, il demeure une pièce maîtresse de la défense maritime de l’Empire, en assurant la protection des côtes contre d’éventuelles invasions et en surveillant les ports pour prévenir toute intrusion non autorisée. Dans un avenir proche, l'industrie navale de l’Empire prévoit la construction d’un sous-marin lanceur d’engins, une avancée technologique très importantes en terme de rayonnement qui permettra à l’Empire de projeter sa puissance de feu bien au-delà de ses frontières terrestres et maritimes, bien qu'en première approche, ce ne soit pas l'objectif premier. Une fois ce sous-marin lanceur d’engins opérationnel, il devra être protégé par d’autres bâtiments navals pour éviter toute perte stratégique majeure. L’objectif à long terme du Drovolski est de constituer une flotte sous-marine puissante et équilibrée, comprenant un ou deux sous-marins lanceurs d’engins, ainsi que trois à quatre sous-marins d’attaque supplémentaires. Cette expansion des capacités navales permettra à l’Empire de se positionner en tant que puissance maritime capable d’intervenir rapidement et efficacement partout dans le monde pour défendre ses intérêts. En outre, le gouvernement impérial envisage la possibilité de céder le commandement de certains sous-marins a ses alliés stratégiques, tout en conservant une force dissuasive solide dans les eaux de la mer de Blême, où la présence impériale demeure un facteur de stabilité régional.
Titre II – Missiles dans le mondeLe pilier fondamental de la stratégie militaire du Drovolski repose sur sa capacité à dissuader toute forme d'agression potentielle par l’usage peu judicieux mais stratégique de missiles balistiques comme en Loduarie. Ces armes, à la fois polyvalentes, d’une portée tout à fait étendue et d’une force destructrice considérable s'il en est, permettent à l’Empire de maintenir et de projeter une image de puissance que l'on veut voir incontestable sur la scène internationale. Grâce à cette force de frappe, le Drovolski se positionne comme une force incontournable au moins dans sa région du monde. Actuellement, l’Empire se classe à la deuxième place mondiale en termes de quantité de missiles balistiques opérationnels, un atout plus que crucial pour une nation de notre envergure. Cette position modestement privilégiée offre parfois un levier stratégique puissant, permettant à l'Empire d’influencer ses relations avec le monde et d’imposer quand il le peut sa petite voix dans les discussions de géopolitique. Toutefois, cette supériorité est de plus en plus contestée par des superpuissances telles qu'Alguarena, qui semblent intensifier de manière notable et rapide leurs investissements dans le domaine de l’armement balistique. Ces puissances concurrentes menacent, à court ou moyen terme, de surpasser l’Empire, ce qui pourrait modifier l’équilibre des forces à une échelle plus globale, une perspective que les stratèges drovolskiens ne peuvent se permettre d’ignorer, s’agissant d'un moyen pour le pays de négocier. Dans cette optique, et concient de l'importance de préserver sa présumer domination dans ce domaine critique, l’Empire du Drovolski a pris la décision peu stratégique de concentrer ses efforts sur la production massive de missiles balistiques. Cette décision implique un redéploiement des ressources, avec une réduction temporaire des investissements dans d'autres secteurs militaires, notamment dans les projets maritimes. L’objectif est clair : maintenir et renforcer la capacité balistique de l’Empire à très (trop) court terme, en produisant un nombre accru de missiles, même si cela signifie un compromis sur leur qualité, légèrement inférieure à certains modèles de pointe. L’idée est que, bien qu’ils soient peut-être moins perfectionnées individuellement, ces missiles, produits en plus grande quantité, permettront de maintenir la position stratégique du Drovolski face à ses rivaux. Cette stratégie repose sur trois grands objectifs d'important au moins capitale. Tout d’abord, il est impératif d’équiper le futur sous-marin lanceur d’engins de l’Empire, un projet de grande envergure dont l’entrée en service est prévue avant la fin de l’année en cours. Ce sous-marin jouera un rôle central dans la dissuasion et la projection de la puissance militaire du Drovolski à l’échelle mondiale. En plus, il est essentiel que les cargos impériaux soient en mesure de transporter et de livrer rapidement des missiles à nos alliés en cas de menace immédiate, renforçant immédiatement la coopération militaire entre l’Empire et des nations stratégiquement importantes, comme Sylva, dont l'alliance est cruciale pour notre stabilité. Enfin, la position actuelle du Drovolski sur le podium des puissances balistiques mondiales constitue un atout diplomatique majeur. Cette position confère à l’Empire une influence précieuse lors des négociations internationales, qu’elles soient diplomatiques ou militaires, notamment dans le cadre de la formation de nouvelles alliances, indispensables pour consolider une future position de leader dans l’échiquier balistique mondial.
Titre III – AlliancesLes alliances militaires constituent un pilier essentiel et incontournable de la stratégie impériale du Drovolski, jouant un rôle déterminant dans le maintien de sa sécurité et de son influence sur la scène internationale. En tissant des liens solides avec des nations partageant des intérêts stratégiques communs, l’Empire peut non seulement se protéger efficacement, mais aussi projeter sa puissance tout en créant des blocus de défense collective. Ces alliances permettent de coordonner les efforts militaires et diplomatiques, assurant une réponse unifiée et rapide en cas de menace extérieure. À l’heure actuelle, les deux alliés principaux et les plus stratégiquement importants du Drovolski sont Velsna et le Duché de Sylva, deux partenaires clés dans le dispositif militaire et diplomatique de l’Empire. Velsna, en raison de sa coopération économique et militaire de longue date avec le Drovolski, occupe une place privilégiée dans l’échiquier des alliances de l’Empire. Cette relation, renforcée par des accords bilatéraux de défense et de commerce, permet à Velsna de bénéficier d’un traitement de faveur dans ses relations avec le Drovolski. Un exemple significatif de cette coopération est la cession d’une partie du port de Bénodile, une zone stratégique située en territoire drovolskien, à Velsna. Grâce à cet accord, Velsna a désormais accès à une base d’opérations cruciale pour ses propres intérêts dans la région du Nazum, une zone instable mais économiquement vitale pour les deux nations. En retour, Velsna s’engage à intervenir militairement en soutien du Drovolski en cas de conflit ou de menace directe contre l'Empire, établissant ainsi un pacte de protection mutuelle qui renforce considérablement la sécurité des deux nations tout en consolidant leur coopération sur le long terme. Bien que géographiquement plus éloigné, le Duché de Sylva représente néanmoins un allié stratégique de premier plan pour l’Empire du Drovolski. La position influente de Sylva sur la scène internationale, couplée à une politique étrangère historiquement non interventionniste, en fait un partenaire de choix pour l’Empire. Sylva, grâce à sa neutralité apparente, peut jouer un rôle de médiateur et protéger les intérêts de l’Empire dans les arènes diplomatiques internationales sans directement s'impliquer dans des conflits militaires, ce qui est un atout stratégique de taille pour le Drovolski. À ce titre, le renforcement des liens avec Sylva est devenu une priorité nationale pour les dirigeants de l’Empire, ces derniers cherchant à garantir un soutien politique, diplomatique, et potentiellement militaire en cas de crise ou de conflit à grande échelle. Cette alliance est d’autant plus précieuse que Sylva, bien qu’éloigné géographiquement, est vue comme un garant de la stabilité régionale et internationale. Par ailleurs, le dernier rapport stratégique mentionne l’implication croissante du Drovolski dans des négociations visant à intégrer deux alliances internationales distinctes, chacune ayant un impact potentiel majeur sur la position de l’Empire dans le jeu des alliances globales. La première de ces alliances, une zone de libre circulation économique, a malheureusement rejeté la candidature du Drovolski, une décision probablement motivée par la faible attractivité de l’Empire dans certains domaines économiques ou par des réticences de la part des autres membres. Toutefois, la deuxième initiative, qui concerne une alliance de défense collective en cours de négociation à Velsna, offre à l’Empire une opportunitée plus favorable de renforcer ses relations militaires avec plusieurs nations. Cette alliance permettrait de renforcer la sécurité collective tout en établissant un cadre commun de défense en cas de conflit. Cependant, l'Empire cherche à obtenir une exception importante au sein de cette alliance : éviter toutes obligations d’attaquer Sylva en cas de conflit, Sylva étant un allié de premier plan que l’Empire ne peut se permettre de perdre dans un conflit d’intérêts. Enfin, l’objectif à long terme de ces démarches est de renforcer la coopération militaire et diplomatique avec les nations du centre de l’Eurysie, telles que Rasken, une autre puissance régionale en pleine expansion. Cette coopération vise à former un bloc solide et cohérent capable de faire face à des puissances instables et potentiellement dangereuses, comme le Saint-Empire de Karty, un acteur dont l’imprévisibilité et l’agressivité représentent une menace croissante pour la sécurité et la stabilité de la région. Grâce à ces alliances, le Drovolski espère se positionner durablement en tant que puissance clé, capable de garantir non seulement sa propre sécurité, mais aussi celle de ses alliés, tout en continuant à jouer un rôle central dans les équilibres géopolitiques de l’Eurysie.
Chapitre II – CommerceLe commerce, en tant que force motrice fondamentale, joue un rôle essentiel et indiscutable dans la croissance dynamique ainsi que dans la stabilité économique de l'Empire du Drovolski, contribuant de manière directe et significative à sa prospérité générale. Ce chapitre se penchera de manière approfondie sur les divers aspects du commerce, tant internes qu'externes, en détaillant non seulement les alliances commerciales existantes, mais aussi les projets d’accords potentiels avec des régions stratégiques et clés, telles que le Nazum, où l'Empire renforce son influence croissante à travers des positions géopolitiques soigneusement stratégiques. Les principaux partenaires commerciaux de l'Empire incluent des nations telles que Velsna, Sylva, la Kartvélie, Fujiwa, Rasken, Antegrad, le Wanmiri, et Oskal, toutes jouant un rôle crucial dans le maintien de la stabilité économique et le soutien à la croissance de secteurs vitaux, tels que l’énergie et l’industrie manufacturière. Les accords commerciaux établis avec ces nations sont d'une importance capitale pour garantir non seulement le stabilité géopolitique, mais aussi pour favoriser une coopération régionale fructueuse. Ces relations assurent un flux continu et régulier de ressources, de biens, et de technologies essentielles, qui sont indispensables au bon fonctionnement et à l’expansion des diverses industries au sein de l'Empire. Parmi les relations économiques importantes à souligner, le Jurade de Sent-Julian se distingue particulièrement en tant qu'intermédiaire commercial vital pour l'Empire. Ce partenariat stratégique permet au Drovolski de contourner de manière efficace les blocus et les restrictions qui lui sont imposés à l'Est, notamment en matière de transactions financières et d'importation critiques de biens en provenance des pays occidentaux. Grâce à ce type de collaboration bien pensée et planifiée, l'Empire est en mesure de maintenir des liens économiques actifs et profitables avec des marchés qui sont autrement difficiles d’accès, tout en évitant de subir les répercussions directes des sanctions économiques. Ainsi, la stratégie commerciale de l’Empire repose non seulement sur des exportations industrielles et énergétiques robustes et bien établies, mais aussi sur une politique d'importations stratégiques soigneusement orchestrée qui garantit à la fois l'autonomie et la résilience face aux défis extérieurs inévitables. De plus, il est à prévoir que les accords commerciaux présents et futurs continueront à jouer un rôle déterminant et crucial dans l'expansion économique, tout en contribuant à la sécurité nationale du Drovolski dans un monde en constante évolution.
Titre I – Le nucléaireLe secteur nucléaire émerge véritablement comme le moteur incontournable et essentiel de l'économie dynamique de l'Empire du Drovolski, à la fois sur le plan intérieur, mais également sur le plan extérieur, contribuant de manière significative à son dynamisme économique général et à sa stratégie de développement à long terme. Actuellement, l'Empire est pleinement engagé dans la construction d'un total ambitieux de 11 réacteurs Mesol-1900, qui sont des réacteurs à haute température refroidis au gaz (HTR). Cette initiative fait du secteur nucléaire le domaine le plus dynamique et en pleine expansion de tout le pays, représentant un symbole fort de l’innovation et de l’ambition industrielle du Drovolski. Cette expansion rapide et significative est portée par plusieurs facteurs stratégiques, qui s'inscrivent dans une vision à long terme pour le pays. L'Empire s'est fixé un objectif particulièrement ambitieux, à savoir d’ouvrir un nouveau réacteur chaque année jusqu'en 2020. Cette initiative s'inscrit dans le cadre de sa politique d’autosuffisance énergétique, qui vise à réduire la dépendance aux sources d'énergie extérieures et à maximiser l’utilisation des ressources internes. Cette approche proactive vise à renforcer l'indépendance industrielle du pays tout en répondant à la demande croissante et pressante en énergie qui accompagne le développement économique rapide de l'Empire. Le Laboratoire Henri Ventafalle (LHV), qui est reconnu comme un acteur majeur et influent du secteur nucléaire à l’échelle mondiale, est au centre de ce programme ambitieux et novateur. Il conçoit et développe les réacteurs Mesol-1900, dont la technologie avancée, fondée sur la modération à l'hélium, positionne le LHV comme l’un des leaders incontestés du secteur au coté de la Loduarie. En outre, le LHV s’illustre par ses nombreuses collaborations internationales, ce qui lui permet de solidifier sa position sur la scène mondiale. Un exemple clé de cette dynamique est la nation de la Kartvélie, qui, malgré son éloignement géographique significatif, a fait confiance au Drovolski pour résoudre ses problèmes chroniques d’approvisionnement électrique, un défi majeur pour son développement. Le projet de réacteur commandé par la Kartvélie est mené en étroite coopération avec Rasken, consolidant ainsi les relations économiques et stratégiques avec ces partenaires, et témoignant de l’engagement du Drovolski à soutenir ses alliés. De plus, le LHV est également chargé d'un projet ambitieux pour Velsna, qui a pris la décision de commander six réacteurs Mesol-1900 dans le cadre de son propre plan d'autonomie énergétique. Si ces réacteurs répondent efficacement aux spécifications et aux besoins croissants de Velsna, ce pays pourrait envisager de passer des commandes supplémentaires à l'avenir, renforçant ainsi davantage les liens commerciaux et énergétiques déjà établis entre les deux nations. En ce qui concerne le continent afarae, plusieurs nations ont opté pour des réacteurs plus petits et adaptés à leurs besoins, comme le Beno-10, qui représente une solution plus économique et efficace, répondant spécifiquement aux exigences énergétiques industrielles de moindre envergure. Par exemple, Antegrad, avec ses vastes installations agricoles, utilise un Beno-10 pour alimenter en continu ses complexes agricoles, illustrant ainsi l’importance croissante des exportations nucléaires du Drovolski dans le contexte régional. Le Drovolski ne se limite pas à fournir des réacteurs, mais il exporte également du combustible nucléaire à des partenaires internationaux, tels que Sylva, Fujiwa, et Oskal. En raison de la nature spécifique des réacteurs utilisés dans ces nations, notamment les réacteurs PHWR (Pressurized Heavy Water Reactor) employés par Sylva, les exigences en matière d’enrichissement de l'uranium varient considérablement, avec des niveaux d’enrichissement plus faibles requis par rapport aux réacteurs PWR (Pressurized Water Reactor), qui sont plus courants à l’échelle mondiale. En outre, le LHV se positionne à la pointe du recyclage des combustibles nucléaires usés grâce à son installation unique et hautement spécialisée, dénommée RAD, qui est capable de traiter de grandes quantités de matières nucléaires usées de manière efficace et sécurisée. Ce service est non seulement très demandé sur le marché international, mais il est également proposé à des tarifs extrêmement compétitifs, attirant ainsi un large éventail de clients potentiels. Dans certains cas particuliers, ce service est même offert gratuitement aux alliés proches, tels que Sylva, en signe de solidarité et de coopération stratégique à long terme. À l'avenir, le LHV travaille activement sur des technologie de prochaine génération qui pourraient transformer le paysage énergétique mondial. Le projet phare actuellement en développement est un réacteur de quatrième génération modéré au plomb, élaborer en partenariat avec Apex Énergie et le Duché de Sylva. Ce projet ambitieux, nommé LTE (La Transcontinentale de l'Énergie), est une entreprise collaborative majeure qui regroupe l’expertise et les ressources de plusieurs acteurs clés du secteur. Le prototype du réacteur est prévu pour être lancé en 2015, avec une mise en service commerciale planifiée au Duché de Sylva en 2018. Ce partenariat stratégique permet d'associer les compétences techniques du LHV dans la technologie atomique de pointe, l'expertise industrielle d'Apex sur la scène internationale, ainsi que l’influence positive de Sylva, dont la réputation en matière d'énergie propre et durable représente un atout indéniable pour la réussite de ce projet ambitieux. Grâce à la synergie et à la collaboration harmonieuse de ces trois acteurs, le projet LTE aspire à fournir de l'énergie peu coûteuse, abondante et durable à l'échelle mondiale, contribuant ainsi à la transformation des marchés de l'énergie et au développement durable à long terme.
Titre II – Les entreprisesLes principales entreprises qui opèrent au sein de l'Empire du Drovolski jouent un rôle absolument déterminant et crucial dans l'économie globale du pays, exerçant une influence significative sur divers secteurs économiques tout en possédant des stratégies ambitieuses et bien pensées qui les placent en tête du développement industriel. Parmi ces entreprises d’importance notoire, nous pouvons citer le Laboratoire Henri Ventafalle, souvent abrégé en LHV, la Compagnie Minière Drovolienne, que l'on désigne couramment par l’acronyme CMD, la Société Chimique de Mesolvarde, que l’on désigne également fréquemment par ses initiales SCM, ainsi que l'Hôpital Bonsecours, qui se distingue par son rôle fondamental dans le secteur médical et la recherche clinique. Nous devons également mentionner MonGKD, qui englobe un éventail de plusieurs filiales, dont la Société Divisionnaire des Matériaux et la société innovante TomaTo Corp. Le Laboratoire Henri Ventafalle, en particulier, est extrêmement actif dans le développement de technologies innovantes et de pointe, notamment avec son ambitieux projet nucléaire connu sous le nom de LTE, qui signifie La Transcontinentale de l'Énergie. Ce projet ambitieux illustre parfaitement la volonté de l'Empire du Drovolski de se positionner comme un leader dans le domaine de l'énergie durable. En parallèle, le LHV a également lancé un vaste complexe industriel de recyclage des matières organiques, un projet de grande envergure qui est destiné à faire du Drovolski un centre mondial de premier plan pour le traitement des déchets organiques valorisables et recyclables. Ce projet novateur vise également à résoudre de manière efficace et durable les problèmes d’approvisionnement alimentaire qui affligent l’Empire, contribuant ainsi à la création d'une économie circulaire et durable qui peut répondre aux défis environnementaux actuels. La Compagnie Minière Drovolienne, quant à elle, s'engage à augmenter de manière significative sa production de métaux en procédant à la réactivation d’anciens sites industriels qui ont été laissés à l’abandon depuis trop longtemps. Cependant, elle se heurte à des difficultés notables et préoccupantes dues à la perte de contrôle sur les automates et les machines dans ces usines, des incidents qui, bien que surprenants et inattendus, ne semblent pas menacer les objectifs à long terme de l'entreprise ni ses perspectives de croissance continue et soutenue dans le secteur minier. De son côté, l'Hôpital Bonsecours se trouve actuellement en plein essor et en pleine expansion, bénéficiant d'un afflux impressionnant et remarquable de plus de 300 000 volontaires dévoués et engagés qui participent activement à ses essais cliniques, ce qui représente une mobilisation sans précédent dans le domaine de la recherche médicale. Cette participation massive et sans précédent de la part des citoyens est le reflet d'un intérêt croissant pour les avancées médicales et les nouvelles technologies, et elle accélère considérablement le développement de traitements géniques et eugéniques novateurs et prometteurs. Par conséquent, l'Hôpital Bonsecours se positionne ainsi à l'avant-garde des avancées médicales et technologiques, devenant une institution phare dans la lutte contre des maladies complexes et souvent dévastatrices. Le Bonsecours a établi des objectifs ambitieux et prévoit d’achever ses projets eugéniques d’ici l'année 2020, affichant ainsi une volonté claire de jouer un rôle central et déterminant dans le progrès scientifique et médical. L'hôpital aspire à devenir un leader incontesté dans le domaine des thérapies innovantes et révolutionnaires qui ciblent non seulement le cancer, un fléau qui touche des millions de personnes à travers le monde, mais également diverses maladies génétiques qui affectent un large éventail de la population et posent des défis majeurs et complexes à la santé publique. En outre, l'Hôpital Bonsecours ne se contente pas de développer des traitements, mais il s’engage également à promouvoir une approche éthique et responsable de la recherche médicale, en tenant compte des préoccupations sociétales et des implications morales des avancées en génétique et en médecine. Cette institution met un point d'honneur à s'assurer que ses pratiques de recherche respectent les normes les plus élevées en matière de sécurité et de consentement éclairé des participants, créant ainsi un cadre de confiance entre les chercheurs et les volontaires. Le succès des essais cliniques de l'Hôpital Bonsecours témoigne non seulement de la compétence de son équipe médicale et de recherche, mais aussi de l'importance croissante des études cliniques dans le paysage de la santé publique moderne. Grâce à ses innovations de pointe et à ces avancées scientifiques, l'hôpital contribue activement a l'enrichissement de la base de connaissances médicales et à l'amélioration des traitements disponibles pour les patients. En fin de compte, l'Hôpital Bonsecours aspire à transformer des vies et à redéfinir les perspectives de traitement pour des conditions qui, autrefois, étaient considérées comme incurables, tout en jouant un rôle essentiel dans la préparation à l'avenir de la médecine et de le santé publique.Ainsi, avec sa détermination indéfectible et son engagement envers l'excellence, l'Hôpital Bonsecours se positionne non seulement comme un acteur clé dans le domaine de la santé, mais également comme un phare d'espoir pour les patients et leurs familles confrontés à des défis médicaux, incarnant les espoirs et les aspirations d'une société en quête de solutions durables aux problèmes de santé les plus pressants de notre temps. Aussi, TomaTo Corp connaît un succès retentissant et impressionnant grâce à ses opérations internationales florissantes, notamment dans des régions stratégiques comme le Wanmiri et Antegrad. Son marché s'étend même jusqu'à la Poëtoscovie, malgré les critiques virulentes et souvent acerbes de certaines puissances occidentales, comme le Tanska, qui accusent l'entreprise d'exercer une influence excessive et démesurée sur les marchés alimentaires mondiaux, notamment durant la périodes de crise de la carotte en Loduarie communiste. Ces accusations, bien que motivées par des préoccupations légitimes concernant la sécurité alimentaire mondiale, témoignent également de la position prépondérante de TomaTo Corp dans le secteur agroalimentaire, soulignant ainsi son rôle clé dans l'approvisionnement alimentaire global.
Titre III – ExportationsL'Empire du Drovolski se positionne résolument comme un grand exportateur de technologies nucléaires de pointe, occupant ainsi une place prépondérante sur le marché international de l'énergie nucléaire. En plus des six réacteur de type Mesol-1900 qui sont spécifiquement destinés à Velsna, ainsi que du réacteur supplémentaire qui a été soigneusement et avec grande précision livré en Kartvélie, l'Empire s'engage également, de manière ferme et déterminée, à fournir du combustible nucléaire qui est d'une importance capitale et essentielle à d'autres nations, telles que Sylva, Fujiwa, et Oskal, qui dépendent de ces ressources pour alimenter leurs propres installations nucléaires. Par ailleurs, il convient de souligner et de noter avec insistance que l'industrie manufacturière du pays exporte massivement, et ce de manière continue, une variété impressionnante de biens et de machines vers des partenaires clés et stratégiques sur la scène internationale pour Drovolski, tels que Sylva, Rasken, Antegrad, ainsi que le Wanmiri. Ce phénomène contribue de manière significative a l'essor économique et à la prospérité de l'Empire, renforçant ainsi sa position sur le marché mondial tout en consolidant ses relations commerciales avec des pays qui partagent des intérêts économiques similaires.
Titre IV – ImportationsEn ce qui concerne spécifiquement les importations, l'Empire du Drovolski se concentre principalement, et de manière stratégique, sur l'acquisition de produits alimentaires, qui proviennent en grande partie de pays partenaires bien établis, tels que Sylva, Velsna, la Kartvélie, Antegrad, et le Wanmiri, tous reconnus pour leur capacité à fournir des denrées alimentaires de qualité. Les produits de la mer, qui sont essentiels et d'une importance capitale pour l'alimentation locale et pour répondre aux besoins nutritionnels de la population, sont majoritairement importés de Fujiwa, un pays qui se distingue par sa riche tradition maritimes et sa pêche abondante. Par ailleurs, il est à noter que Rasken joue un rôle crucial et indispensable en fournissant des moteurs a combustion qui sont nécessaires pour assurer le bon fonctionnement de la flotte navale du Drovolski, garantissant ainsi la sécurité maritime de l’Empire. Il est également d'une importance capitale de mentionner que le Jurade de Sent-Julian représente un fournisseur stratégique et crucial de produits financiers, contribuant de manière significative à la solidité économique de l’Empire, et ce, dans un contexte international particulièrement complexe et parfois turbulent.
Titre V – CRACILa Commission Rogatoire des Affaires de Conformité Internationale (CRACI) est déterminée à exercer un role actif et même dynamique dans la régulation des activités liées à l’exploitation des ressources minérales en particulier uranifère. En particulier dans le secteur stratégique de l'uranium et de l'énergie nucléaire chers au Drovolski. Dans cette objectif, les interventions futures de la CRACI se dessinent comme des mesures très ciblées visant à renforcer dans l'immédiat la conformité, à assurer la durabilité des pratiques industrielles et à promouvoir l'innovation technologique au sein de l'Empire du Drovolski. Premièrement, la CRACI envisage d'élargir son champ d'action en mettant en place des audits bien plus régulières et plus approfondis des entreprises engagées à l’international, notamment au Wanmiri. Ces audits permettront d'évaluer non seulement la conformité aux régulations existantes, mais aussi d’identifier les zones d'amélioration et d'optimisation des processus industriels, l'objectif étant toujours le même, produire plus pour moins. Par le biais de ces interventions proactives, la CRACI entend encourager les entreprises a adopter des pratiques de gestion moins responsables, tout en maintenant un haut niveau de performance et de compétitivité sur le marché international. Deuxièmement, la Commission prévoit d'organiser des séminaires et des ateliers de formation pour sensibiliser les acteurs du secteur aux enjeux contemporain de hausse de la concurrence international de sorte que ces acteurs deviennent plus actifs et concurrents sur les marché mondiaux, en particulier la BID. Ces sessions auront pour but de partager les meilleures ou les plus mauvaises pratiques selon les appréciations, de promouvoir les avancées technologiques dans le domaine de l'exploitation minière et de sensibiliser les entreprises aux enjeux économiques liés à leur activité. La CRACI veut ainsi s'assurer que les entreprises ne se contentent pas de se conformer aux réglementations, mais adoptent également une attitude proactive en matière de nucléaire. Troisièmement, la CRACI a l'intention de renforcer ses partenariats avec des organisations internationales et des experts en conformité environnementale. En collaborant avec ces entités, la Commission pourra tirer parti de l’expertise mondiale et des expériences d’autres pays pour améliorer ses propres régulations et pratiques, en particulier Carnavale. Ces collaborations permettront également d’accéder à des ressources et des technologies encore inaccessible qui pourront être mises à la disposition des entreprises nationales, leur permettant ainsi d'optimiser leur performance. En outre, la CRACI pense qu'un partenariat entre Grand Hôpital et Bonsecours pourrait être bénéfique par exemple sur la production des anges à Carnavale. En outre, la CRACI se prépare à renforcer ses interventions contre les entreprises qui ne respectent pas les normes établies, notamment celles qui choisissent de ne pas participer activement à la promotion et au développement du secteur nucléaire. Des mesures strictes, y compris la mise sous tutelle des entreprises récalcitrantes, seront appliquées afin de garantir que chaque acteur du secteur s’engage pleinement dans la dynamique de l'énergie nucléaire, jugée cruciale pour l'avenir énergétique de l'Empire et même du monde. Ces interventions seront accompagnées de campagnes de sensibilisation visant à expliquer l'importance du nucléaire dans le cadre des ambitions énergétiques et économiques du Drovolski. Plus tard, la CRACI se penchera peut-être sur l'impact des nouvelles technologies sur le secteur minier et nucléaire, en évaluant les manières dont ces innovations peuvent être intégrées dans les pratiques d'exploitation actuelles, par exemple en remplaçant les unités de production humaines.
Chapitre III – Recherches et CroissanceCe dernier chapitre a pour objectif de discuter en profondeur des recherches actuellement menées par l’industrie conventionnelle, ainsi que des projets à très long terme des différents organes qui n’ont pas encore été présentés dans les sections précédentes de ce document. À l’exception du LHV, il convient de noter qu’il ne sera pas question de relations internationales dans ce contexte. Nous nous concentrerons plutôt sur la transcription des intentions relatives aux programmes de recherche nationaux, tant actuels que futurs, en mettant particulièrement l’accent sur le domaine naval, qui revêt une importance stratégique indéniable. Pour commencer, il est essentiel de faire un point détaillé sur les recherches déjà entreprises. Le VAC (Vectoriel Analytic Computer), qui est une filiale du LHV, s’illustre dans le domaine des semi-conducteurs et parvient progressivement à rattraper son retard considérable en matière d’électronique. Ce projet bénéficie d’un soutien financier substantiel de la part de l’armée, qui en a un besoin crucial pour améliorer ses systèmes de missiles, garantissant ainsi une supériorité technologique sur le terrain. En ce qui concerne l’industrie minière, celle-ci continue d’accuser un retard sérieux sur ses procédé, mais elle demeure néanmoins très compétitive, principalement en raison de l’absence de normes environnementales restrictives qui pourraient entraver son développement. Le secteur le plus sinistré, cependant, reste celui de l’automobile et de la mécanique, ou aucun travail significatif n’a abouti depuis 1930. Cette stagnation a conduit à l’adoption systématique de moteurs électriques ou à l’importation de technologies provenant de Rasken, ce qui soulève des questions sur l’autonomie industrielle de la région. Un autre domaine en plein essor est celui de la SCM, qui connaît une forte progression dans les secteurs de la chimie et de la propulsion à réaction. Cette dynamique est, une fois de plus, le fruit d’investissements conséquents de l’armée, qui finance le développement d’explosifs et de missiles balistiques. D’autres secteurs, bien qu’en progression, restent mineurs en comparaison, notamment la construction, les télécommunications et les systèmes de radars. La MonGKD subit actuellement des pertes économiques significatives, ce qui a conduit à une réduction de son soutien dans les domaines de la robotique et de l’informatique. L’armé, pour sa part, a choisi de se concentrer sur des points précis et ne prévoit pas de changement à court terme dans sa stratégie. Les domaines d’intérêt identifiés incluent les explosifs, les missiles, qui affichent une avance certaine, ainsi que les sous-marins et les bombardiers, qu’ils soient stratégiques ou de chasse. L’objectif clair de l’industrie de recherche à court et moyen terme est de favoriser un essor économique substantiel tout en engageant des ressources considérables dans la construction et la recherche de missiles balistiques. Bien que cette politique ne fasse pas l’unanimité parmi les différents acteurs concernés, elle est perçue comme un moyen efficace d’assurer la protection de l’empire sur les plans économique et militaire, garantissant ainsi sa pérennité face aux défis contemporains.
Titre I – BonsecoursEn dehors des projets déjà enclenchés, Bonsecours maintient dans l’ombre trois autres projets d’une nature beaucoup plus secrète, dont certains détails, bien que soigneusement gardés, pourraient éventuellement filtrer dans le domaine public. Le premier de ces projets, qui suscite à la fois fascination et inquiétude, est celui du vecteur viral destiné à des traitements mutagènes. En effet, le projet AZ-6, actuellement en phase de tests dans les profondeurs du bunker de Bonsecours, se révèle être d’une promesse troublante. Il permet de provoquer des mutations à un rythme bien plus rapide que les traitements en cours de développement, ce qui soulève des questions éthiques et morales sur les conséquences de telles manipulations. La contrainte principale qui pèse sur ce projet réside dans la nécessité d’empêcher la réplication rapide du virus et sa propagation incontrôlée, un défi qui pourrait avoir des répercussions catastrophiques si jamais il venait à échapper au contrôle des scientifiques. La deuxième projet, bien que légèrement moins secret, est tout aussi préoccupant. Il s’agit du programme Formétable, qui vise à développer des plantes capables de résister aux conditions climatiques extrêmes du Drovolski et de se reproduire à une vitesse fulgurante. Cependant, la barrière à surmonté est inverse à celle présentée précédemment : les Formétables, malgré leur potentiel de super-reproducteurs, perdent très rapidement cette capacité, car leurs descendants sont malheureusement très rarement féconds. Cette situation soulève des interrogations sur la viabilité à long terme de ces plantes et sur les conséquences écologiques d’une telle manipulation génétique. Le dernier projet, pour l’instant uniquement communiqué à Rasken, concerne un exercice d’entraînement focalisé en bunker. Ce projet, bien que très discret, est empreint d’une atmosphère de mystère et d’anticipation, attendant patiemment un cataclysme planétaire qui pourrait justifier son existence. Bonsecours envisage de modifier beaucoup plus de gènes que prévu sur la population de volontaires participant aux essais de mutation forcée, ce qui pourrait engendrer des conséquences imprévisibles et potentiellement désastreuses. Dans cette quête de pouvoir et de contrôle, les limites de l’éthique scientifique sont mises à l’épreuve, et l’avenir de ces projets reste incertain, oscillant entre promesses de progrès et dangers incommensurables.
Titre II – LHVLe LHV, pour sa part, a pour ambition de projeter une augmentation significative du rendement du recyclage des déchets organiques valorisables. Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de durabilité et d’optimisation des ressources. Pour atteindre cet objectif, le LHV envisage de mettre en place un meilleur protocole qui sera appliqué aux individus et aux matériaux destinés au recyclage. Ce protocole amélioré pourrait inclure des techniques avancées de tri et de traitement, permettant ainsi de maximiser la récupération des ressources précieuses contenues dans les déchets organiques. En affinant les méthodes de recyclage, le LHV espère non seulement accroître l’efficacité de ses opérations, mais également réduire l’impact environnemental de ses activités. Cette approche proactive pourrait également servir de modèle pour d’autres industries, en démontrant l’importance de l’innovation dans la gestion des déchets.
Titre III – Compagnie Minière de DrovolskiLa CMD, ou Compagnie Minière de Drovolski, n’a qu’un seul objectif en tête : remplacer l’homme par la machine dans l’ensemble de ses opérations. Cette ambition, bien que paraissant à première vue impossible à réaliser, motive l’entreprise à investir massivement dans la recherche et le développement. De nombreux efforts sont ainsi déployés pour concevoir et perfectionner des automates qui, bien qu’ils ne soient pas encore totalement autonomes, possèdent néanmoins la capacité de prendre des décisions basées sur des algorithmes avancés et des données en temps réel. La CMD mise énormément sur les avancées technologiques en informatique qui se produisent à l’échelle mondiale. Ces progrès pourraient permettre de surmonter les défis actuels liés à l’automatisation et à l’intelligence artificielle, ouvrant ainsi la voie à une transformation radicale de l’industrie minière. En intégrant des systèmes de plus en plus sophistiqués, la CMD espère non seulement améliorer l’efficacité de ses opérations, mais également réduire les coûts liés à la main-d'œuvre humaine. Cette vision futuriste de l’industrie minière pourrait également avoir des répercussions significatives sur l’emploi et la structure économique de la région, suscitant à la fois des espoirs et des inquiétudes quant à l’avenir du travail dans ce secteur.
Titre IV – TomaTo CorpLa TomaTo Corp, qui manifeste un intérêt marqué pour le Beno-10, un composé essentiel dans le processus de transformation des tomates, devrait entreprendre des efforts pour produire ce dernier par ses propres moyens. L’objectif ultime de cette initiative est de devenir un acteur industriel intégré dans la secteur de la transformation des tomates, ce qui permettrait à l’entreprise de contrôler l’ensemble de la chaîne de production, depuis la culture jusqu’à la transformation finale. Le Wanmiri, en tant que site de recherche et développement, semble être le lieu idéal pour mener à bien ces essais. En effet, ce territoire offre des conditions propices à l’expérimentation et à l’innovation. L’objectif fixé pour l’horizon 2030 est ambitieux : il s’agit de réduire de 10 % les fusions de cœurs, un enjeu crucial pour améliorer l’efficacité des processus de transformation. Cependant, il est important de noter que, malgré ces projets prometteurs, le Wanmiri n’a pas encore donné son feu vert pour le lancement officiel de ces initiatives. Cette attente pourrait retarder le calendrier prévu et nécessiter des ajustements stratégiques de la part de la TomaTo Corp pour s’assurer que ses ambitions ne soient pas compromise.
Titre V – InfluenceL’industrie de l’influence représente actuellement 2 % du PIB. Bien que ce chiffre puisse sembler modeste, il soulève néanmoins des questions cruciales quant à son utilisation. Actuellement destinée principalement à la propagande interne, cette industrie pourrait également servir à protéger l’empire contre les influences de nations étrangères, qui pourraient être préoccupées par notre capacité à alimenter leurs propres causes. L’empire envisage cette éventualité, notamment en ce qui concerne les régions proches de la Translavya et du Saint Empire de Karty, qui sont hautement instables et particulièrement violentes. À ce jour, aucune croissance significative n’a encore été recherchée dans ce domaine. Les principaux lieux ou le Drovolski pourrait exercer une influence future, en raison de sa présence historique, sont, par ordre croissant d'importance, le Wanmiri, Velsna, Antegrad, la Kartvélie et la Diambée. Chacun de ces territoires représente des partenariats potentiels, qu'ils soient économiques, militaires ou de recherche. L’établissement de relations solides dans ces régions pourrait renforcer la position de l’empire sur la scène internationale et lui permettre de mieux naviguer dans un environnement géopolitique complexe.
Titre VI – OPPÀ l'horizon 2020, l'Office de Promotion de la Pollution (OPP) a défini des objectifs ambitieux qui visent à renforcer son rôle en tant qu'entité phare dans la gestion et la promotion des activités polluantes, tout en célébrant les bienfaits indéniables de la pollution sur l'économie et l'industrie. Parmi ces objectifs, l'OPP prévoit de multiplier les initiatives visant à encourager les industries à maximiser leur production, même si cela implique une augmentation des émissions polluantes. En effet, l'Office entend promouvoir une vision où la croissance économique prime sur les préoccupations environnementales, en mettant en avant des campagnes de sensibilisation qui valorisent les avantages de la pollution, tels que la création d'emplois dans les secteurs les plus polluants. De plus, l'OPP ambitionne de développer des partenariats stratégiques avec des entreprises et des gouvernements, afin de faciliter l'exportation de technologies polluantes vers des pays en développement, où les normes environnementales sont moins strictes. En parallèle, l'Office prévoit d'intensifier ses efforts pour cartographier et analyser les flux de pollution à l'échelle mondiale, en utilisant des outils technologiques avancés, afin de mieux comprendre les dynamiques de la pollution et d'identifier de nouvelles opportunités d'expansion, le Nazum ?
Titre VII - Le Grand Concours de la PollutionAh, quelle déception ! Le Grand Concours de la Pollution, cet événement tant attendu qui promettait de célébrer les géants industriels du monde entier pour leur capacité à empoisonner notre chère planète, a décidé d'abandonner ses futures éditions. Pourquoi, me demanderez-vous ? Eh bien, il semblerait que le classement n'ait pas changé d'un iota, et que la monotonie des résultats ait eu raison de l'enthousiasme ambiant. Les mêmes titans de la pollution, avec leurs pratiques bien rodées, se sont une fois de plus hissés au sommet, comme s'ils avaient tous signé un pacte secret pour s'assurer que rien ne bouge. Les lauréat, déjà bien connus du public, continuent de briller par leur capacité à transformer des paysages naturels en déserts stériles, et à transformer de l'air pur en un brouillard toxique. Industries Obéron, Cant’Elec, Dalyoha, et les autres, tous se retrouvent encore une fois sur le podium, comme des champions d’un sport où la dévastation est la seule mesure de succès.