OPERATION CARAMEL MOU 2 : LANCEMENT DE LA SECONDE PHASE OPERATIONNELLE

Lancement de l’opération Caramel Mou 2 et du plan Clôture de Jardin
Nombre de points accumulés le 06-07-2017 (06-09-2025) : 134 162
Mise en place des usines culturelles le 06-09-2025 :
Préambule :
L’opération Caramel Mou 2 est une opération militaire visant à faire tomber le gouvernement actuel du Chandekolza afin que la région retrouve une certaine stabilité. Depuis maintenant plusieurs années, l’Akaltie, sous couvert de l’Empire Anticolonial, pille la région par le biais du Công, gouverneur du Chandekolza. Bien loin de s’intéresser au sort du peuple dont il a la charge, le gouverneur local de cette ancienne marche du Trône du Dragon profite de sa position pour se servir dans les caisses de l’Etat et entretenir un réseau de corruption extensif. Cette situation a des conséquences internes graves : gabegie économique, infrastructures non entretenues, absences de perspectives économiques, corruption rampante, … Malgré une scène politique pluraliste, les fidèles du Công possèdent encore la majorité des sièges au Parlement local et contribuent à entretenir une situation humainement dramatique. Le Chandekolza est aussi divisé, entre les locaux et les ethnies ushongs issues de l’Empire Xin. Malgré de timides revendications autonomistes, le poids du gouvernement local, protégé par l’Akaltie et par l’Empire Anticolonial, pèse de tout son poids sur ces revendications, façon chape de plomb, créant une citoyenneté à deux vitesses dans ce territoire.
La société chandekolzane est divisée en trois catégories : les pauvres des villes, les pauvres des champs et les ultra-riches vassalisés par le Công. Le paysage urbain chandekolzan est constitué de villes surpeuplées et mal organisées, aux infrastructures défaillantes, quand celles-ci ne sont pas carrément manquantes. L’eau potable n’atteint pas les standards des autres pays, les services publics urbains sont pires qu’à Estham pendant les bombardements et les conditions des logements y sont au moins aussi déplorables qu’à Kotios il y a quelques années. Dans les campagnes, la situation ressemble à celle du siècle précédent : des communautés villageoises vivant d’agriculture de survivance et d’élevage de bovins et de volailles. L’accès à l’aide médicale y est au mieux fragmentaire et les écoles installées par la « bienveillance » du Công pour se faire continuellement réélire manquent cruellement de personnel et de fournitures. Quant à la culture, elle n’est pas dans les priorités des habitants des campagnes, tant la vie y est chiche. A bien des égards, les habitants des campagnes s’en sortent mieux que ceux des villes, dans la mesure où ceux qui parviennent à s’approprier des terres – notons que le cadastre est une invention récente dans la région – parviennent à subvenir à leurs besoins. Si les grandes exploitations agricoles sont rares, les habitants occupent la plupart du temps quelques hectares de terrain, seul ou à plusieurs, pour engranger les récoltes et faire paître les troupeaux. Toutefois, si cette agriculture et cet élevage de subsistance fonctionnent, ils ne permettent pas de créer une économie tirant l’ensemble des acteurs du monde agricole vers le haut. La révolution industrielle, qui a eu lieu dans la quasi-totalité du Nazum, est abordée très différemment. La complexité de la géographie du Chandekolza rend chaque victoire humaine sur la nature particulièrement ardue et les machines pour permettre l’essor économique du monde agricole manquent cruellement. En résulte une surconsommation des parcelles viables, plutôt qu’une augmentation conséquente des terres arables par la viabilisation des terrains. Cette situation – population nombreuse et manque de terres arables – fait que des tensions s’observent dans de nombreux villages, qui se battent parfois violemment pour des motifs de propriété des terrains.
Face aux pauvres des champs, les pauvres des villes. Entassés dans des logements ne respectant pas les normes de sécurité les plus élémentaires, les citoyens des ville chandekolzanes ne sont pas dans une situation plus reluisante que leurs homologues ruraux. Les réseaux d’eau potable sont défectueux, et les services publics défaillants. En cause, l’absence de politique volontariste quant à la mise en place et à la maintenance desdits réseaux, sauf en période électorale. La moindre maladie devient rapidement un problème communal et peu peuvent se targuer de dépasser les 60 ans sans être complètement brisés par l’existence frugale et chiche des citadins. Les enfants sont encouragés à partir du pays pour faire leurs études à l’étranger, dès qu’ils le peuvent, plutôt que de rester prisonniers du gourbi. Il y a une vie, et elle n’est pas au Chandekolza. Les villes sont dilapidées, les routes défoncées et les services sans-dessus-dessous, tant et si bien que partout où l’œil se pose, il tombe soit sur une décharge à ciel ouvert, soit sur des débris.
Mais si la plupart des Chandekolzans vivent dans une situation des plus chiches, il reste une dernière partie de la population qui elle, ne côtoie jamais les 90% de la population. Bien à l’abri dans ses gated communities, les 10% les plus riches du Chandekolza sont bien entendus ceux qui ont largement profité des avantages fournis par le Công. Propriétaires de grandes entreprises, mafiosos, fonctionnaires hauts placés, … cette population vit bien à l’abri de ses murs et derrière ses forces de sécurité, ne quittant le confort de leurs communautés que pour aller à l’aéroport ou se rendre dans les hauts lieux du pouvoir. Cette aristocratie chandekolzane mondialisée vit dans un monde à part et a largement fait son beurre sur le dos des plus pauvres avant de placer son argent dans les grandes place-fortes financières du Nazum et de l’Aleucie, s’offrant un train de vie digne de ses ambitions.
La tension entre les différentes strates de la population ne fait qu’augmenter à mesure que le temps passe et que le Công et ses affidés gangrènent le pays. Pourtant, celui-ci, par le biais de la corruption et de ses réseaux d’intérêts, parvient à chaque mandat à être réélu par le truchement des urnes. Pourtant, personne n’est dupe. Il n’est pas une élection sans que les Chandekolzans eux-mêmes ne dénoncent les pratiques les plus anti-démocratiques dans les bureaux de vote : présence de forces militaires privées, bourrage d’urnes, vol de bulletins, vote des morts, … Mais malgré la présence de forces d’opposition, le Parlement reste encore et toujours en majorité dominé par l’alliance improbable des conservateurs et des fidèles du Công, empêchant toute possibilité d’amélioration de la situation. Les ordres du jour sont expédiés, les votes tronqués et les débats tranchés sans plus de cérémonie, tant et si bien qu’il courre la rumeur qu’être député au Chandekolza, c’est devenir un sourd-muet.
Il faut ajouter à cette situation la condition historique dans laquelle est placée la région. Ancienne marche de l’Empire Xin, le Chandekolza avait rejoint l’Union des Cités d’Akaltie au début du siècle dernier, afin de profiter des largesses de l’Akaltie, sous la forme de subsides et d’une intégration progressive dans le système akaltien. Force est de constater qu’un siècle plus tard et malgré les discours du Công, les citoyens ne voyaient toujours pas les promesses akaltiennes se réaliser. Pire encore, les subsides akaltiennes, déjà détournées par le Công et ses sbires, se tarissaient, laissant la situation péricliter. Vuu Vietchinh, bien que sûr de sa position, ne parvenait plus à convaincre quiconque qu’il était capable d’améliorer les choses. Beaucoup de politiciens, qui avaient cru dans les promesses akaltiennes, se détournaient désormais du pays qui n’avait finalement rien fait pour les aider depuis des décennies, au profit de nouveaux investisseurs, plus proches. La grogne montait et les partis politiques se reconfiguraient désormais sur de nouvelles alliances. Le Parti du Peuple Chandekolzan (PPC) et le Parti de la Fidélité au Công perdaient désormais du terrain dans l’opinion publique, sous la pression d’autres partis locaux. Des réseaux mafieux, comme le Vrai Parti du Peuple du Chandekolza (VPPC) se maintenaient comme ils pouvaient, profitant de la corruption du pays tandis que le Groupement Conservateur Chandekolzan se retrouvait dans une impasse, face à des revendications de plus en plus fortes du Parti de l’Unité Ushong, cherchant à redonner de la dignité aux populations ushongs du nord du pays. En face, la Parti Anti-Corruption et le Parti Pro-Jashurien montaient en puissance, bien résolus à sortir de ce boulet qu’était la Ligue Anticoloniale, représenté par le Parti de la Prospérité par la Ligue, en large perte de vitesse. Alors que se reconfiguraient les réseaux politiques et les alliances, une nouvelle alliance secrète était née entre le Parti Pro-Jashurien et le Parti Anti-Corruption, ainsi que le Parti de l’Unité Ushong. Cette alliance, bien que neuve, visait à combattre la corruption, mais surtout, à tirer le Chandekolza vers le haut en sortant définitivement de la Ligue Anticoloniale et en déposant Vuu Vietchinh. A ce titre, le renouveau de l’Empire Xin au nord symbolisait une nouvelle promesse pour le pays, qui, dans son état actuel, ne pouvait se tenir seul sur ses deux jambes sous peine de s’écraser mollement sous le poids de ses ambitions retrouvées.
La récente action du Công avait réveillé de nombreuses puissances désireuses de se tailler la part du lion dans le flanc de la gazelle chandekolzane. Constatant l’appauvrissement de son filon akaltien et sentant le vent tourner, le gouverneur du Chandekolza, depuis son palais, avait édicté une mesure qui avait ébréché le sanctuaire qu’était le Nazum : des bases militaires contre de l’aide humanitaire. Cette action avait complètement déstabilisé la région, ouvrant la porte à l’arrivée de marchands d’armes, de bellicistes en manque de sensations fortes, de touristes militaires perdus, de pourvoyeurs de harengs et de communistes. Se fichant pas mal de contrôler quoi que ce soit pourvu que l’argent et l’aide humanitaire coulent à flot, le Công s’était largement lavé les mains de cette situation, créant une instabilité diplomatique forte, tout en renforçant sa position dans le pays. En effet, quelques discours lénifiants avaient suffi à calmer l’opinion publique : « des patates et des harengs pour tout le monde ! » Toutes les couleuvres étaient bonnes à avaler pour peu que le pays ne sombrât pas dans l’anarchie. Mais cette stabilisation progressive du Chandekolza avait eu des conséquences importantes sur la région : elle avait complètement déstabilisé le jeu des acteurs économiques et politiques locaux, à commencer par l’Empire Xin, qui se voyait directement menacé à ses portes, et la Troisième République du Jashuria, qui n’approuvait pas le fait que la clôture de son jardin soit fracturée par des Eurysiens et des Nazuméens septentrionaux aux bottes crottées. Et disons-le crument, le jardin avait été salopé ! A peine débarqués, les Rimauriens avaient tenté des livraisons d’armement à la Ramchourie voisine afin d’entretenir la guerre civile. Le Jashuria avait réussi à mettre la Rimaurie au pas
L’Empire Xin, le Trône du Dragon, s’était réveillé et il entendait bien affermir son emprise sur cette ancienne marche turbulente qu’était le Chandekolza. Le Trône du Dragon faisait porter son ombre sur le nord de la région, réactivant les réseaux des territoires autonomes ushongs et menant une importante campagne de propagande sur la restauration impériale et la permanence du Mandat du Ciel et de la Terre. Au désordre akaltien, l’Empire Xin proposait l’ordre et la stabilité, un cadre dans lequel prospérer … ce qui ravissait la Troisième République du Jashuria et son allié velsnien. Ce n’était pas par pure bonté d’âme que le Jashuria se portait garant de l’Empire Xin, mais pas calcul politique. Le symbole qu’était l’Empire importait pour la stabilité du Nazum, mais les feudataires du Xin étaient quelque peu turbulents. Si l’Empire faiblissait, c’était tout le médian qui devenait le ventre mou du Nazum et à ce titre, le cas de la Ramchourie était éloquent. La guerre civile s’y éternisait sans que le Xin ne réagisse véritablement pour mettre la région au pas. Le Jashuria craignait que si les troubles s’intensifiaient, il deviendrait impossible de rétablir l’ordre dans la région et de faire du Xin le mur sur lequel le Jashuria pourrait s’appuyer. La République des Deux Océans avait besoin de l’existence du Xin autant que celui-ci avait besoin de la présence des Jashuriens à ses côtés. Question d’affinité sans aucun doute … ou de connivence historique. Les Jashuriens voyaient le Nazum comme un grand jardin paisible confié à la responsabilité de plusieurs jardiniers prenant soin de leur secteur respectif. Le Xin avait toute sa légitimité en tant que jardinier, au vu de son apport historique à la prospérité nazuméenne.
Conscients que la situation au Chandekolza ne pouvait plus durer, le Trône du Dragon, la République des Deux Océans et la Sérénissime République de Velsna s’étaient réunis à Ankévran, au Palais des Murmures, afin d’établir un plan d’action. Objectif : stabiliser le Chandekolza et refermer la brèche ouverte par les actions inconsidérées du Công. Les bases militaires étrangères, qu’il s’agisse des bases poétoscoviennes, socialistes ou rimauriennes, devaient disparaître du Nazum afin d’éviter que ces concessions ne deviennent des avant-postes pour menacer les intérêts du Médian et du Sud. Le cas de la Poëtoscovie était à ce titre assez édifiant. Non content d’avoir considérablement armé son petit atoll, le pays n’avait même pas daigné faire la moindre action humanitaire dans la région du Chandekolza, se contentant de rester sur sa petite concession. La Rimaurie avait tenté de devenir une plateforme de trafic d’armes. Le Menkelt restait dans sa concession et faisait former ses soldats par le Jashuria, … Le problème restait la Confédération Socialiste du Nazum. Retranchée sur son île et maintenant les populations locales sous sa coupe, le groupement de nations socialistes avait largement armé sa concession, sans procurer la moindre assistance concrète autre que la livraison de quelques tonnes de pommes de terre, qui pourrissaient dans les entrepôts. Seuls apports concrets des socialistes : des tensions internationales et des défilés militaires.
La Troisième République du Jashuria avait largement fait plus que sa parten matière d’aide humanitaire. Profitant de l’incapacité des autres nations à se structurer et à faire front uni contre ses exigences, le pays avait mis au pas la plupart des bases militaires de la région, imposant des restrictions drastiques en matière de personnel militaire et imposant le transit du matériel militaire par ses installations. Depuis la base d’Ashoka non loin de Jib-Outhi, l’Etat-major avait installé une grande partie du Contingent d’Intervention Extérieur et construit des baraquements militaires imposants, flanqués d’un aérodrome et d’un port pour la flotte jashurienne. En quelques mois, la petite base d’Ashoka était devenue un port militaire et un hub logistique important, qui accueillait aussi bien les militaires jashuriens que les humanitaires en provenance du pays. Le Jashuria ne s’était pas contenté de livrer de l’aide humanitaire sous la forme de nourriture, de fournitures de santé et autres joyeusetés. Il avait concrètement œuvré pour mettre en place de nouvelles infrastructures afin de soutenir concrètement le développement économique des régions rurales dans le pays. Les militaires, alliés aux humanitaires, quadrillaient les régions rurales nuit et jour pour distribuer l’aide humanitaire, rencontrer les populations locales, définir des plans d’action et réaliser les travaux. En l’espace de plusieurs années sur place, les Jashuriens avaient réussi à tisser un important réseau d’acteurs dans la région et construit plusieurs installations d’importance : des puits, des centres médicaux, des écoles, une station d’épuration, des logements, … Les patrouilles du Contingent d’Intervention Extérieur mettaient tout en œuvre pour réaliser des cartographies propres du Chandekolza, tandis que les humanitaires, eux, essayaient de prévenir des éventuelles catastrophes naturelles qui émaillaient le quotidien de ce territoire inhospitalier. Le Chandekolza était devenu un petit laboratoire pour expérimenter tout un tas de principes et de protocoles dans un contexte à fort enjeu humanitaire. Les laboratoires jashuriens participaient activement à la mise en œuvre des semences résistantes aux conditions météorologiques les plus dures et oeuvraient avec les agriculteurs locaux pour concevoir de nouvelles rizières et viabiliser des terres agricoles, notamment sur les zones marécageuses. Les résultats étaient pour l’instant assez encourageant, notamment via l’introduction d’espèces qui étaient jusqu’alors inconnues au Chandekolza.
Les relations avec le Parti Pro-Jashurien étaient au beau fixe, malgré quelques problèmes comme la dernière charge du Parti Anti-Corruption contre le PPJ. Le Jashuria avait dépêché des hommes de la Sérénité pour essayer de fluidifier les relations entre le PPJ et l’Etat-major jashurien, mais surtout, avait encouragé le PPJ à se rapprocher du PAC pour rediriger leur ire vers le principal problème du pays : le Công. Pendant des mois, la Sérénité avait géré les relations avec le PPJ afin de lui donner les armes rhétoriques et les outils pour s’allier avec le PAC et le parti autonomiste ushong. L’idée était de structurer une opposition frontale au Công et de proposer une motion de censure visant à le destituer de sa position. La procédure de censure était quelque chose d’assez compliqué à obtenir, mais les représentants du peuple étaient suffisamment échaudés pour la vouloir. En effet, l’arrivée au Chandekolza des communistes avait considérablement mis le feu aux poudres. Après les évènements du Mokhaï et les frasques de la Loduarie et du Communaterra, nul chandekolzan ne souhaitait faire d’un pays déjà malade une succursale des communistes. Si la situation persistait, nul doute que d’ici un an ou deux, le Chandekolza ne devienne un véritable champ de bataille, un gourbi infâme dans lequel nulle échappatoire n’existerait. Les forces politiques libérales du Chandekolza, conscientes du problème, préparaient donc la motion de censure visant à destituer le Công définitivement afin de donner un avenir à la région.
Mais la procédure de destitution du Công n’était que la première étape d’un plan plus vaste. L’objectif du Xin, du Velsna et du Jashuria était de s’assurer de la stabilité de la région sur le long terme en la ramenant dans l’orbite des feudataires de l’Empire des Ushongs. Cette stabilité ne pourrait être acquise qu’en plaçant à la tête du Chandekolza un dirigeant fidèle au Trône du Dragon et aux intérêts jashuriens dans la région et surtout … en expulsant toutes les bases militaires illégitimes de la région. La clôture du jardin avait besoin d’être réparée et les intrus aux bottes crottées éjectés manu militari. Ce n’était qu’une fois que cette situation serait réglée que le Xin, le Velsna et le Jashuria pourraient se concentrer sur la Ramchourie voisine, dont la guerre civile n’avait que trop duré. Les Jashuriens préférait une région stable, sous l’égide des Ushongs, plutôt qu’une mosaïque d’Etats fantoches à couteaux tirés les uns contre les autres, ce qui mécaniquement, ouvrait le jardin nazuméen à toute une série d’interventions extérieures que le Jashuria seul ne pourrait gérer.
La première étape du plan Caramel Mou 2 était de mettre en place cette procédure de destitution par le biais du PAC, du PPJ et du Parti de l’Unité Ushong, en tablant sur l’efficacité de la mesure. Suite aux discussions entre le PAC et le PPJ, les données concernant la corruption du Công seront publiées ainsi que d’importants rapports montrant la manière dont il a vampirisé tout l’argent qui était dévolu à l’amélioration des conditions de vie dans la région, afin de détourner ses plus proches alliés de sa cause. Dans le cas où cette résolution ne serait pas votée, les organisateurs de la motion de censure ont reçu pour consigne de déclencher des manifestations dans les grandes villes du Chandekolza et de marcher vers le palais du Công afin de le faire plier. A partir de là, deux options se dessinent … La première est une réaction positive du Công, qui rendra son tablier, tandis que le Xin reprendra en main la région. La seconde est une réaction négative du Công, qui prendra les armes pour mater les émeutiers. Dans tous les cas, l’armée du Xin reprendra en main la région et mettra au pas les affidés du Công.
Afin d’empêcher une quelconque intervention extérieure lors des manœuvres du Xin à partir du nord de la région, le Velsna et le Jashuria positionneront leurs flottes respectives autour à l’embouchure du détroit chandekolzan et encercleront la base poëtoscovienne, coupant ainsi les lignes d’approvisionnement des différentes forces en présence. Les Jashuriens déploieront le Contingent d’Intervention Extérieure dans la région et communiqueront aux différentes bases terrestres étrangères l’ordre de ne pas bouger d’un pouce sous peine de se prendre des tirs d’artillerie. L’enjeu est de calmer les velléités des différents squatteurs et d’éviter les coups de feu. Pendant toute la durée de l’opération de renversement du pouvoir en place, les Velsniens et les Jashuriens maintiendront le blocus sur le Chandekolza tandis que le Xin prendra le contrôle des principales villes du pays, accompagné par les forces coalisées contre le Công. Les Jashuriens préfèreront la solution qui minimise les pertes militaires et civiles à leur strict minimum, mais ne s’interdiront pas de faire feu sur quiconque s’interposera dans cette opération de rétablissement de l’ordre régional.
Une fois le contrôle total de la région acquis par la coalition entre le Velsna, le Jashuria et le Xin, la coalition demandera au pouvoir en place de virer les pays suivants du territoire :
- La Poëtoscovie
- La Confédération Socialiste du Nazum
- La Rimaurie
- Le Saint Empire Menkelt
- Achos
Les bases du Sud-Kazum, de la Monkarie pourront rester dans la région, sous le patronage du Jashuria, qui les prendra sous son aile pour être sûr que rien ne vienne perturber les opérations dans la région. L’aide humanitaire antérinienne et tanskienne transitera désormais vers la base Ashoka du Jashuria. Description des opérations précédentes
Lors de la première opération Caramel Mou, le Jashuria a acquis les bonus et les malus suivants :
Reconnaissance militaire : Réussite standard : En cas de réussite standard, le Jashuria parvient à obtenir des données fiables sur la géographie aux alentours des zones urbanisées et sur les axes de circulation principaux, les forces et les faiblesses du Chandekolza à ces emplacements. Ses avant-postes sont bien installés et permettent de mailler correctement le territoire dans les régions les plus fréquentées. Sa couverture radar est nickel et peu de choses lui échappent. Il convient d'insister que cette reconnaissance est effective dans les cœurs urbains et dans leurs alentours, ainsi qu'au niveau des grandes routes et points stratégiques. Les zones plus reculées, les villages périphériques et les chemins isolés dans une zone de flou avec une surveillance moindre.
Récole d’informations sensibles : Échec standard : Le Chandekolza est trop peuplé et trop complexe pour parvenir à une récolte d’informations sensibles en si peu de temps. Le Jashuria ne peut pas établir un réseau d’informations suffisamment fiable pour obtenir des choses croustillantes. Cela prendra plus de temps.
Progagande idéologique : Réussite standard : La propagande idéologique fonctionne. La population voit les Jashuriens d’un œil positif et voit en eux un peuple amical, qui a à cœur le développement du Chandekolza. Les missions jashuriennes dans la région sont facilitées par une opinion publique favorable.
Corruption de politique : Échec critique : Les Jashuriens ne parviennent pas à s’assurer du contrôle de l’administration et pire encore, un parti local se monte… contre eux !
Sur le plan militaire, les Jashuriens possèdent une connaissance accrue de la région et sur le plan politique, d’une bonne image. Malheureusement, le PPJ a dû se confronter au PAC, qui a vu d’un très mauvais œil les tentatives de corruption des fonctionnaires pour les retourner en faveur des Jashuriens. Cependant, durant les derniers mois, le PPJ a mené une campagne interne visant à négocier avec le PAC un accord de non-agression et une alliance occulte pour affronter le véritable ennemi : le Công et des sbires. Si le Parti Pro-Jashurien a aussi fait de même avec les Autonomistes Ushongs, il espère que cette alliance de circonstance permettra de mener le pays vers une nouvelle voie. Malheureusement, le PPJ sait que le PAC pourrait se retourner contre lui si jamais les choses dégénèrent. Pendant ce temps, les Jashuriens ont continué leur collecte d’informations sensibles.
Justificatifs RP des différentes actions menées :
Rencontre Velsna – Xin – JashuriaActivités étrangères au ChandekolzaDescription des opérations de la phase Caramel Mou 2
1-Récolte d’informations sensibles – Phase 2
Les drones du Jashuria survolent le ciel du Chandekolza depuis des mois. Ses espions, ses humanitaires et ses soldats commencent à bien connaître les environs. Le PPJ est à la botte du Jashuria et la présence jashurienne au Jashuria ne fait plus aucun doute. Mieux encore, les nations extérieures consultent le Jashuria pour y faire venir de l’aide humanitaire au lieu de passer par le Chandekolza directement. Au cœur d’un réseau assez important et au vu de son investissement, peu de choses échappent encore au Jashuria dans la région. Il doit bien y avoir quelque chose de croustillant sur le Công du Chandekolza, une affaire parmi toutes les autres affaires qui pourrait le faire tomber et déclencher l’ire du peuple ! Les Jashuriens sont persuadés qu’au milieu de tout ce fatras d’affaires de corruption, de négociation indue d’influence et de pots-de-vin, le Công doit avoir un sacré cadavre dans le placard qui, s’il était révélé au grand jour, pourrait faire pencher la balance du côté des coalisés et surtout, rallier définitivement le PAC au PPJ.
Objectif de l’opération :
- Trouver une affaire tellement scandaleuse qu’elle fera vaciller le Công sur ses appuis et lui fera prendre des décisions stupides pour l’étouffer
- Trouver du croustillant sur les hauts-fonctionnaires qui gravitent dans l’entourage du Công. Si on ne peut avoir la tête pensante, on aura ses lieutenants !
- Donner au PAC des gages de la bonne foi du PPJ pour transformer le pacte de non-agression en alliance objective contre le règne du Công.
Conséquences de l’opération :
- Réussite critique : En cas de réussite critique, le Jashuria obtient du croustillant sur le Công et surtout sur une grosse partie de ses lieutenants. Le PAC est particulièrement satisfait du résultat et se ligue avec le PPJ contre le Công. L’affaire fait tellement de bruit que d’autres partis encore hésitants ou neutres dénoncent publiquement le Công pour éviter d’être pris dans l’embrasement de la politique locale.
- Réussite standard : En cas de réussite standard, le Jashuria parvient à trouver du croustillant sur le Công chandekolzan ou le cas échéant sur ses lieutenants proches. Le PAC s’allie au PPJ, mais l’affaire ne fait pas suffisamment de bruit pour rallier d’autres partis à la cause des coalisés. Il n’en reste pas moins que l’affaire fait du bruit et fait vaciller le Công ou ses lieutenants sur leurs trônes.
- Echec standard : En cas d’échec standard, le Jashuria n’est pas encore parvenu à collecter suffisamment de renseignements pour avoir le soutien total du PAC. Il ne découvre pas d’affaires plus intéressantes que celles qu’il connait déjà (à savoir que la politique chandekolzane est corrompue … waouh …) et ne peut que maintenir son pacte de non-agression avec le PAC.
- Echec critique : En cas d’échec critique, le Jashuria n’a non seulement pas réussi à découvrir quoi que ce soit sur le Công, mais ses actions irritent profondément le PAC, qui se dissocie définitivement du PPJ au slogan du « tous pourris » et il ne sera pas possible pour le PPJ de compter sur le PAC pour ses prochaines opérations.
2-Exacerbations de tensions ethniques – Phase 1
L’action du Xin ces derniers mois a été de mettre en place les conditions d’un réveil des autonomistes ushongs dans les territoires au nord du Chandekolza. Profitant de l’appel lancé par le Trône du Dragon et ses revendications légitimes sur la région, la Troisième République du Jashuria a demandé au PPJ de se mettre en relation avec les autonomistes ushongs du nord pour créer un programme politique commun de reconnaissance des minorités et d’égalité des droits. Le PPJ entame des négociations avec les autonomistes pour joindre leurs forces et déposer le Công du Chandekolza.
Objectif de l’opération :
- Négocier une alliance avec les autonomistes ushongs dans le nord du Chandekolza
- Parvenir à fédérer les minorités ushongs du Chandekolza autour d’une motion de censure du Công.
Conséquences de l’opération :
- Réussite critique : En cas de réussite critique, le PPJ obtient non seulement l’accord des autonomistes, mais aussi un grand soutien de la part des populations locales, qui vont grossir les rangs des contestataires.
- Réussite standard : En cas de réussite standard, le PPJ parvient à s’allier avec les autonomistes ushongs pour déposer leur motion de destitution du Công.
- Echec standard : En cas d’échec standard, le PPJ n’arrive pas à établir une plateforme commune avec les autonomistes ushongs. Ils devront faire cavaliers seuls et ne mèneront pas d’actions communes pour les prochaines semaines.
- Echec critique : En cas d’échec critique, le PPJ se prend les pieds dans le tapis et se fâche avec les Ushongs du nord, tant et si bien que ceux-ci s’opposeront désormais politiquement au PPJ.
3-Reconnaissance militaire – Phase 2
Les Jashuriens approfondissent leur reconnaissance militaire du Chandekolza depuis des mois. C’est à partir de leur précédente réussite que l’Etat-major jashurien va améliorer la reconnaissance du territoire chandekolzan pour pouvoir obtenir un avantage décisif si jamais les choses venaient à tourner à la guerre de positions. Armés de plusieurs avant-postes et après des mois de cartographie du terrain, les soldats jashuriens veulent consolider définitivement leur ancrage dans la région par le biais de leurs cartes, radars et patrouilles, ainsi que leur réseau d’informateurs. Toutes ces données sont par la suite transmises aux Xins et aux Velsniens.
Objectif de l’opération :
- Poursuivre les opérations de reconnaissance militaire pour les campagnes
- Poursuivre les campagnes de reconnaissance sur les positions adverses
- Mettre à jour les connaissances des Jashuriens sur la région
Conséquences de l’opération :
- Réussite critique : En cas de réussite critique, les Jashuriens ont un contrôle total des renseignements militaires de la région.
- Réussite standard : En cas de réussite standard, les Jashuriens parviennent à compléter leurs cartes avec les données issues des campagnes et des camps ennemis
- Echec standard : En cas d’échec standard, les Jashuriens ne parviennent pas à obtenir plus de renseignements que ceux obtenus.
- Echec critique : En cas d’échec critique, les Jashuriens reçoivent des informations erronées sur les campagnes
6- Proposition de sécession – Phase 1
Le PPJ va agir pour proposer au Parlement une destitution effective du Công du Chandekolza. Le parti sait qu’il s’agit de son moyen occasion pour pouvoir faire changer les choses. Espérant s’allier avec les autres partis avant de déposer sa motion de destitution, le PPJ est prêt à s’engager, même s’il y va seul. Cette proposition de sécession se fera d’abord par le vote du Parlement, avec une motion de destitution par les urnes afin de remplacer le Công et ses affidés par de nouveaux représentants conscients que le temps de la Ligue Anticolonial est révolu et qu’il faut devenir pleinement nazuméen pour pouvoir prospérer. Si le PPJ ne parvient pas à passer par le Parlement, il passera par la rue et déclenchera des manifestations monstrueuses. Le PPJ compte sur plusieurs facteurs pour améliorer ses chances : une alliance avec le PAC, une alliance avec les autonomistes ushongs, le ralliement de dernière minute des autres partis à sa cause et la mise en lumière d’une affaire bien crade que le Công ne pourra pas ignorer.
Objectif de l’opération :
- Destituer le Công
- Mettre en place un gouvernement pro-coalition
- Sortir de la Ligue Anticoloniale
Conséquences de l’opération :
- Réussite critique : En cas de réussite critique, le Công et son administration sont purgés sans heurts. Les contradictions du régime sont trop grosses pour être ignorées. Le PPJ prend effectivement le pouvoir dans la région et instaure un agenda pro-jashurien et pro-xin sur le territoire.
- Réussite standard : En cas de réussite standard, le Công est destitué, mais il faudra des mois voire des années pour purger l’administration, juger les personnes et faire en sorte de retrouver une situation normale dans la région. Le PPJ va devoir composer avec les reliquats des partis d’opposition, mais tiendra une posture pro-jashurienne et pro-xin.
- Echec standard : En cas d’échec standard, la motion de destitution ne passe pas. Le PPJ doit descendre dans la rue et déclenche des manifestations pour bloquer le pays.
- Echec critique : En cas d’échec critique, la motion de destitution ne passe pas. Le PPJ est immédiatement arrêté pour trahison envers le Công et ses membres jetés en prison. La peur s’empare du peuple qui refuse d’aller dans les rues.
Et si tout ceci ne fonctionne pas ?
Si la proposition de sécession obtient un échec ou un échec critique, Velsna, le Jashuria et le Trône du Dragon déclencheront l’opération Clôture de Jardin.
OPERATION CLOTURE DE JARDIN
Si la motion de censure du Công du Chandekolza ne fonctionne pas, il est probable que le PPJ soit dans la rue, ou en prison. Dans les deux cas, le Jashuria, le Xin et le Velsna interviendront au Chandekolza pour rétablir l’ordre et déposer eux-mêmes le Công au nom de la démocratie, de la liberté et autres justifications permettant de bien se faire voir à l’international. Le casus belli sera publié officiellement et transmis au bureau du Công pour la forme.

Plan de campagne au Chandekolza mené par la coaliton velsno-jashuro-xinoise
Dès la publication du casus belli, l’Empire Xin envahira le Chandekolza par le nord, au travers des territoires autonomistes ushongs. L’enjeu est de soulever la population en présentant le Trône du Dragon comme un libérateur et de rapidement fondre vers la côte afin d’entourer les bases des autres pays. Comme le veut la publication du casus belli, les bases situées à Jib-Outhi ne seront pas considérées comme hostiles, sauf si des tirs ont lieu. Les troupes du Xin effectueront la jonction avec les troupes jashuriennes tandis que plusieurs divisions se rendront dans l’est du pays pour entrer en contact avec les territoires religieux du Drahma et les convaincre de se soulever contre l’oppression du Công et contrôler l’estuaire. Pendant ce temps, les forces coalisées jashuro-xinoises, avec l’aide des divisions velsniennes, accosteront dans les abords de Saypalbon Tempoh et encercleront la capitale afin d’y détruire les poches de résistance et d’envahir le palais du Công pour l’arrêter.
Par mesure de sécurité, la base poëtoscovienne sera encerclée par les flottes velsniennes et jashuriennes. Cette précaution est prise au regard de la complète irrationnalité de la Poëtoscovie, qui pourrait se mettre à tirer dans tous les sens juste pour la beauté du geste. Les Velsniens et les Jashuriens ont pour consigne de ne pas tirer, sauf si la Poëtoscovie tire en premier. Auquel cas, l’atoll sur lequel se trouvent les Poëtoscoviens sera rasé par le feu velsnien et jashurien pour l’exemple.
Les Jashuriens renforcent leur présence depuis des mois dans la région, afin d’être certains que les bases étrangères ne commencent pas à faire n’importe quoi. La nouvelle composition des troupes est la suivante. Le Contingent d'Intervention Extérieur relocalise une grosse partie de ses activités dans la région de Jib-Outhi, profitant des conditions exceptionnelles de sa situation géographique pour s'entrainer et faire en sorte que les autres bases se tiennent tranquilles. Les Jashuriens utiliseront leur flotte pour aider les Velsniens à maintenir le blocus du Chandekolza. La base Ashoka servira de point de relais pour les troupes du Xin, mais aussi pour une partie de l’aviation jashurienne. HRP : La base morznik n’est pas considérée comme co-belligérante de par la protection dont elle jouit pendant encore quelques mois. Elle est de ce fait ignorée.
COMPOSITION DES FORCES JASHURIENNES DANS LA REGION CHANDEKOLZANEFlotte de guerre jashurienne - JAS – 1 sous-marins d’attaque niveau 1
- JAS – 1 porte-avion de niveau 5
- JAS – 1 pétrolier ravitailleur de niveau 3
- JAS – 1 destroyer de niveau 1
- JAS – 2 corvettes de niveau 9
- JAS – 1 corvette de niveau 5
- JAS – 1 frégates de niveau 4
- JAS – 2 frégates de niveau 1
- JAS – 2 patrouilleurs de niveau 10
- JAS – 1 porte-hélicoptères de niveau 8
- JAS – 1 transporteur de chalands de débarquement de niveau 8
- JAS – 4 chalands de débarquement de niveau 7
- JAS – 4 chalands de débarquement de niveau 3
Force aérienne jashurienne - JAS – 20 chasseurs-bombardiers de niveau 8
- JAS – 20 avions de chasse de niveau 10
- JAS - 10 avions d’attaque au sol de niveau 10
- JAS - 2 bombardiers stratégiques de niveau 8
- JAS - 2 bombardiers gunship de niveau 6
- JAS - 2 bombardiers furtifs de niveau 5
- JAS – 5 drones de reconnaissance de niveau 8
- JAS – 2 avions ravitailleurs de niveau 9
- JAS – 5 avions de transport tactique de niveau 5
- JAS – 1 avion de guerre électronique de niveau 8
Contingent au sol : - JAS - 3000 professionnels spécialisés dans les opérations extérieures
- JAS - 3000 armes de niveau 11
- JAS – 300 mitrailleuses lourdes de niveau 10
- JAS – 300 mortiers légers de niveau 8
- JAS – 300 lance-roquettes de niveau 9
- JAS – 300 lance-missiles antichar de niveau 9
Contingent mécanisé :
- JAS – 40 mortiers tractés de niveau 10
- JAS – 40 canons tractés de niveau 10
- JAS – 20 canons automoteurs de niveau 9
- JAS – 10 lance-roquettes multiple de niveau 10
- JAS – 30 lance-missiles antiaériens mobiles de niveau 10
- JAS – 30 canons antiaérien mobiles de niveau 10
- JAS – 20 chars légers de niveau 9
- JAS – 20 véhicules de combat d’infanterie de niveau 5
- JAS – 10 chars d’assaut de niveau 8
- JAS – 20 camions de transport de niveau 10
- JAS – 10 camions-citernes de niveau 10
- JAS – 5 véhicules radars de niveau 6
- JAS – 5 véhicules de transmission radio de niveau 7
- JAS – 5 chars de dépannage de niveau 8
- JAS – 5 véhicules de déminage de niveau 9
- JAS – 5 bulldozers de niveau 10
Contingent d’appui aérien :
- JAS – 10 hélicoptères d’attaque de niveau 8
- JAS – 10 hélicoptères de transport moyen de niveau 10
- JAS – 10 hélicoptères de transport lourd de niveau 8