
Activités étrangères au Wanmiri - Page 6
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Posté le : 29 sep. 2025 à 21:18:33
Modifié le : 29 sep. 2025 à 22:33:48
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🎵 Jingle de communication Fang Industries(tm) 🎵

Fang Industries
Bureau du Mme. Maxime Che Fang, Présidente-Directrice Générale et Fondatrice de Fang Industries,
Tour Fang, étage 99.
1, Boulevard de l'Axe du Levant,
Tàvusu Pyàhu, District Fédéral
République Fédérative d'Icamie

Maxime appelle un à un tous les investisseurs wanmiriens, les uns après les autres, pour leur faire part de ses idées.
Objet : Message Vocal en provenance directe de Maxime Che Fang, à destination des différents investisseurs wanmiriens ayant investi dans la dette souveraine messaliote.
Messieurs, mesdames, bonjour,
Maxime Che Fang à l'appareil, j'imagine que vous me connaissez. Pour ceux dont ce n'est pas le cas, je suis la présidente-directrice-générale de Fang Industries, et sa fondatrice. Nous avons vraisemblablement déjà fait affaire, ne serait-ce qu'indirectement.
Je serais directe : je vous propose de racheter vos parts dans les obligations souveraines messaliotes. Je suis prête à rajouter 10% sur la somme que vous avez engagé, par obligation. Cela devrait couvrir vos frais et même vous offrir une coquette plus-value. Je suis même prête à discuter, si d'aventure vous aviez à redire sur ces conditions. You do you, comme ils disent en Caratrad.
J'espère que l'on pourra se trouver un terrain d'entente, et dans le pire des cas, on se verra à l'Hôtel de Coeur.
Bonne journée !
Mme. Maxime Che Fang,
Présidente-Directrice Générale et Fondatrice de Fang Industries,
Sou a CEO, caralho.

Fang Industries
Bureau du Mme. Maxime Che Fang, Présidente-Directrice Générale et Fondatrice de Fang Industries,
Tour Fang, étage 99.
1, Boulevard de l'Axe du Levant,
Tàvusu Pyàhu, District Fédéral
République Fédérative d'Icamie

Maxime appelle un à un tous les investisseurs wanmiriens, les uns après les autres, pour leur faire part de ses idées.
Objet : Message Vocal en provenance directe de Maxime Che Fang, à destination des différents investisseurs wanmiriens ayant investi dans la dette souveraine messaliote.
Messieurs, mesdames, bonjour,
Maxime Che Fang à l'appareil, j'imagine que vous me connaissez. Pour ceux dont ce n'est pas le cas, je suis la présidente-directrice-générale de Fang Industries, et sa fondatrice. Nous avons vraisemblablement déjà fait affaire, ne serait-ce qu'indirectement.
Je serais directe : je vous propose de racheter vos parts dans les obligations souveraines messaliotes. Je suis prête à rajouter 10% sur la somme que vous avez engagé, par obligation. Cela devrait couvrir vos frais et même vous offrir une coquette plus-value. Je suis même prête à discuter, si d'aventure vous aviez à redire sur ces conditions. You do you, comme ils disent en Caratrad.
J'espère que l'on pourra se trouver un terrain d'entente, et dans le pire des cas, on se verra à l'Hôtel de Coeur.
Bonne journée !
Présidente-Directrice Générale et Fondatrice de Fang Industries,
Sou a CEO, caralho.
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4, cours Fagunce
Ier arrondissement
01000 Messalie
Wanmiri
La Banque Océane souhaite louer vos usines culturelles
Madame, Monsieur,
J'ai l'honneur de vous proposer la location de votre usine culturelle à la Banque Océane, institution réputée et vénérable de notre cité hellénique, selon les termes d'un contrat avantageux. Cette location, qui n'enlèvera rien à la liberté de vos médias, consiste à permettre à la Banque, pour une durée limitée de dix-huit mois, et en échange d'un montant de 10'000 points par unité culturelle payés par avance, de disposer de cette unité pour acquérir de l'influence à l'étranger. Cet accord, qui permettra d'assurer à la Banque Océane les moyens de se prémunir contre les défauts de paiement et d'assurer la défense de ses intérêts, c'est-à-dire de celui de ses clients, respecterait tous vos droits liés à la propriété privée, qui sont protégés par la Constitution messaliote.

22.09.2017
La Banque Océane paye l'intégralité de cette location par avance pour un montant de 10'000 points internationaux par usine pour 18 mois.
Le nombre des usines culturelles concernées par cet accord est de 1.
Le présent contrat est fait dans le droit messaliote. Il doit le cas échéant être révisé ou défait devant un juge.
Signataires
Fait à Messalie, le 22.09.2017
Pour la Banque Océane : Anastase Emphyonis, président
Pour la Fondation Alienov :
Posté le : 06 oct. 2025 à 23:36:12
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05.10.2017
Votre demande de construction d'usine a été acceptée !
Merci d'avoir choisi Chalcédémone pour installer une nouvelle usine marémotrice Voltyx. Les profits perçus seront versés sur votre compte bancaire à la Banque Océane en fin de chaque trimestre (fin de chaque mois IRL).
Messalie remercie ses Bienfaiteurs.
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La TomaTo Wanmiri étend encore ses activités vers l’internet et la téléphonie à bas prix. Dans une idée de diversification, la TomaTo a contacté ÉlectroLing pour produire et distribuer des téléphones hors d’usage ou considérés comme des déchets, tels que TomaTo puisse les vendre pour un prix minimal à une population encore peu connectée. C’est dans cette idée qu’est née BananoCom, un moyen pour les Wanmiriens de comprendre comment utiliser un téléphone; oui, même les illettrés. De sorte que les compagnies du Wanmiri puissent utiliser la téléphonie comme extension de la chaîne de direction et puissent mieux organiser les ouvriers et les récoltes. La TomaTo pense que cette extension d’activité ne peut qu’être rentable, étant donné que l’essentiel du coût est amorti par l’usage de rebuts industriels. C’est donc avec espoir que la compagnie compte généraliser l’usage du téléphone BananoCom. Pour ce faire, le plus efficace est d’utiliser la jalousie en donnant aux contremaîtres des téléphones à titre gratuit pour induire des envies auprès de leurs ouvriers, de sorte de contaminer la population à l’idée d’avoir un portable, moyen pour la compagnie de collecter les salaires qu’elle octroie.
Vous avez toujours rêvé de pouvoir communiquer avec Sivagundi ?
C’est maintenant possible. Rejoignez nous dans toutes les coopératives agricoles TomaTo ou directement en boutique.
Posté le : 15 oct. 2025 à 15:44:30
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Opération "MAMA" pour Mauvais Alliage pour Mauvaise Alliance (littéralement en espagnol : Mala aleación para mala alianza ")

"On a été touché par une torpille ?" "Oui, par une torpille noire." Exemple de communication anti-navires wanmiriens.
La propagande commerciale et militaire est toujours un exercice délicat qui repose aussi bien sur des arguments pertinents qu'une communication audible, voir, hégémonique. Imposer une idée peut s'appuyer sur des réflexions simplistes, du moment qu'elles dominent les médias. Et ça, le complexe militaro-industriel alguarenos et les Jaguar Paltoterran avaient démontré une certaine maitrise de cette propagande en envahissant les points de discussion : journaux télévisés ou radios, forum publics, réseaux sociaux et autres centres d'échanges d'idées, il n'y a pas un point où ces propos n'étaient pas relayés par les trolls et propagandistes pontarbello-Alguarenos. Les industriels wanmiriens ne se laissèrent évidemment pas faire et s'appuyèrent sur des éléments plus concrets pour riposter à l'agression médiatique, mais avec une vigueur et réactivité insuffisante pour contrecarrer complètement la propagation de ces messages décrédibilisant. Au moins, ces derniers n'avaient pas eu le monopole médiatique et se voyaient affubler de contre-arguments bien intégrés par une partie de la population, limitant ainsi l'emprise de cette désinformation. Mais les communications appuyées de montages tels que la "mamie westalienne" se faisant harceler par Sterus et les Jaguar avait malgré tout fait mouche et on se retrouvait maintenant avec une part notable de la population, y compris militaire, assez découragée dans une moindre mesure par les performances techniques wanmiriennes.
- L'idée que les productions industrielles wanmiriennes soient "de la merde" se vulgarisent assez bien, dans l'esprit des classes politiques et états-majors de ce monde. Si bien que toutes les nations justifiant d'une production militaire wanmirienne peuvent se voir appliquer des malus en combat, par la confiance dégradée des soldats dans l'équipement (malus à -25%?). Autrement dit, c'est l'ensemble de la production wanmirienne qui est impactée et dont l'efficacité peut être remise en cause pendant un conflit, allant jusqu'à -25% d'efficacité pour tout équipement de conception wanmirienne (c'est-à-dire employés sous la bannière du Wanmiri ou d'ailleurs). Les malus imputables peuvent être challengés ou perçus comme des maximas.
Réussite mineure :
- "Les productions wanmiriennes c'est l'acier creux c'est vrai, mais bon, ça fait le job", l'information est acquise à chacun mais l'incidence plus limitée. Les combats impliquant du matériel wanmirien naval peuvent subir des malus (de l'ordre de 15%?). Autrement dit, -15% d'efficacité sur les éléments maritimes de conception wanmirienne (c'est-à-dire employés sous la bannière du Wanmiri ou d'ailleurs). Les malus imputables peuvent être challengés ou perçus comme des maximas.
Echec mineur :
- La désinformation ne prend pas, statu quo, ce sont des points de vue partagés mais face auxquels les états majors internationaux restent assez peu sensibles.
Echec majeur :
- La campagne de désinformation portée contre les industries de l'armement wanmiriennes est connue, des financements de consultants et d'experts peuvent fuiter dans la presse pour mettre en exergue le soutien appuyé d'industriels de l'armement alguarenos à ces manoeuvres de manipulation de l'information.
Posté le : 22 oct. 2025 à 01:01:29
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Troisième flotte - Au large du Wanmiri
Dans le cadre de sa mission, la Troisième Flotte de la Marine Nationale Poëtoscovienne a arraisonné un navire n'arborant aucun pavillon.
Il apparait que le capitaine du navire et que l'ensemble de son équipage étaient de nationnalité wanmirienne. Or, le bâteau se trouvait en haute mer.
Il apparait que ce navire participe à un transport d'esclaves séparés en deux groupes et originaires, selon leurs dires, du Wanmiri et du Chandekolza.
Les esclaves ont été considérés de facto comme libres. Le navire a été immobilisé et sera conduit dans les plus brefs délais vers la base navale poëtoscovienne la plus proche dans le cadre d'un examen judiciaire complet, où la responsabilité pénale des auteurs des infractions présumées est engagées devant les juridictions poëtoscoviennes.
Une notification relevant l'ensemble des faits est communiquée à ce sujet aux autorités du Wanmiri.
Posté le : 22 oct. 2025 à 14:47:17
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21.11.2017
Votre demande de construction d'usine a été acceptée !
Merci d'avoir choisi le deuxième arrondissement de Messalie pour installer une Maison de la Wanya. Les profits perçus seront versés sur votre compte bancaire à la Banque Océane en fin de chaque trimestre (fin de chaque mois IRL).
Messalie remercie ses Bienfaiteurs.
Posté le : 24 oct. 2025 à 01:12:39
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Un changement de cap à la suite d'un arraisonnement particulier
Source : Ministère de la Défense - Informations publiques
Tandis que peu de traités internationaux permettent d'établir l'existence d'un véritable droit de la mer comme l'entendent certaines puissances internationales ou régionales, comme le Jashuria au Nazum, certaines notions légales issues de la coutume permettent malgré tout d'engager des actions où les forces armées poëtoscoviennes s'illustrent comme défenseures de l'intérêt commun.
En effet, dans les eaux internationales, on considère en l'absence de toute législation que le pavillon du navire fait foi quant à la législation s'appliquant à son bord en haute mer. Il est par ailleurs reconnu quasi-universellement la liberté de navigation à laquelle ne peut faire obstacle aucune puissance, sinon à des fins sécuritaires (lors d'un exercice militaire, d'une intervention spéciale), environnementales ou opérationnelles (à proximité de structures énergétiques notamment). Cependant, le cas des navires n'arborant pas de pavillon est synonyme d'une absence de droit sur mer, mais également d'une absence de responsabilité civile et pénale. Si cela signifie en théorie que les individus qui s'y trouvent jouissent d'une liberté totale, il est à noter qu'ils ne demeurent donc pas sous la protection d'un quelconque État où la compétence ne serait plus. Cela donne donc libre champ aux forces poëtoscoviennes pour agir.
Enfin, dans le cadre d'une opération de surveillance, les navires suspects, par le changement récurrent de pavillon, d'identification, par refus de communication, par fuite manifeste ou par signalement international, peuvent également donner lieu à un arraisonnement à condition qu'un usage de la force soit nécessaire et proportionné. Ainsi, la Poëtoscovie se réserve le droit d'intervenir auprès des navires arborant un pavillon étranger à condition qu'il existe des preuves permettant de suspecter le fait que le navire se livre à des actes que la coutume reconnait comme illicites. On notera dans un premier temps les crimes reconnus par l'État de pavillon, auquel cas les suspects seront remis à la Justice de leur pays à condition qu'ils n'y risquent pas la torture, mais aussi les crimes contre l'humanité, les crimes de guerre, le transport ou la traite de migrants, l'espionnage, la piraterie, le transport ou la traite d'esclaves, le déversement de produits hautement toxiques dans l'océan ou le sabotage d'infrastructures marines et sous-marines (câbles notamment). Il est à noter que tout navire suspect arraisonné à tort sera indemnisé pour les dommages ainsi que le retard causé.
Dans le cas où des ressortissants étrangers seraient arrêtés par les forces poëtoscoviennes, la diplomatie de la Nation Littéraire s'engage sollennellement à en informer l'État concerné, à traiter l'individu dans le plus strict respect de ses droits et de la dignité ainsi qu'à livrer l'individu, non à l'État dont il est ressortissant, mais à l'État de pavillon du navire, considérant que l'application de la loi revient de droit à l'État en question, le navire y étant déclaré, même dans le cas où celui-ci se trouverait en haute mer. Il est à noter qu'il ne sera fait aucune distinction entre les États, à l'exception qu'il ne sera remis aucun individu risquant la torture une fois rapatrié.
Concernant la Troisième Flotte poëtoscovienne présente au large du Wanmiri, celle-ci a pour mission première de veiller à ce que le transport d'esclaves n'ait pas lieu dans le sud-nazum. Les forces poëtoscoviennes sont prêtes à travailler conjointement avec toute autre puissance se reconnaissant dans cette lutte. La reconnaissance officielle et effective de cet objectif débute dès à présent, motivée par l'arraisonnement récent d'un navire participant vraisemblablement d'un réseau organisé dans les eaux où mouille déjà la flotte poëtoscovienne.
Dans le cas de ce navire précisément, comme le veut la ligne diplomatique et militaire poëtoscovienne, le Wanmiri a été informé que des ressortissants à lui avaient été interpellés. Toutefois, le navire n'arborant pas de pavillon, la Justice a décidé de manière indépendante d'engager la responsabilité pénale des Wanmiriens présents en haute mer pour transport d'esclaves, lesquels sont considérés de facto comme libres.
Pour tout État souhaitant avancer dans le cadre de la lutte contre la criminalité maritime, il lui est proposé un échange d'accès aux ports militaires poëtoscoviens sur son sol et ses bases étrangères contre l'accès aux ports militaires de l'État en question pour les navires militaires poëtoscoviens afin que l'examens des navires arraisonnés puissent avoir lieu dans les meilleures conditions possibles et sans devoirs les conduire en Poëtoscovie.
Posté le : 24 oct. 2025 à 01:13:03
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Deux nouveaux navires arraisonnés et un laissé passé
Source : Ministère de la Défense - Informations publiques
Dans le cadre des opérations de la Troisième Flotte de la Marine Poëtoscovienne contre le transport illégal d'esclaves, plusieurs navires ont été arraisonnés afin de vérifier leur conformité avec le droit coutumier de la mer et la législation des États du pavillon. Il est à noter que les navires concernés ne représentent qu'une infime partie du trafic maritime croisé par la flotte, et que les forces armées poëtoscoviennes.
Dans un premier temps, il est à réaffirmer l'engagement poëtoscovien en faveur de la paix internationale et des principes fondamentaux de la stabilité régionale, notamment avec le Wanmiri, État partenaire indispensable au sud du Nazum et avec lequel la Poëtoscovie entretient des liens, notamment commerciaux et culturels, importants. Dans ce cadre, l'opération Neptune est bien conduite au large du Wanmiri mais, toujours, en haute mer, loin des eaux territoriales du Wanmiri ou de toute autre revendication maritime de cet État. Par ailleurs, une coopération internationale avec toutes les puissances volontaires est à ne pas exclure, de façon à ce que la portée des opérations soit accrue.
Un premier navire a été arraisonné tôt en ce matin du 21 novembre 2017, refusant d'établir un contact radio avec le porte-avions, navire amiral de ce groupe aéronaval. De pavillon wanmirien, un contrôle a établi que le travail effectué à bord du navire l'était en partie par des mineurs que le droit poëtoscovien interdit de travailler, faisant encourir un risque pénal pour le capitaine du navire. Cependant, le bateau a pu repartir sans être inquiété, les enfants étant rémunérés et ne relevant pas de l'esclavage, cela ne s'opposant donc pas à la législation wanmirienne qui fait foi à bord d'un navire qui arbore le pavillon de cet État du Sud-Nazum. "Pour lutter contre le travail des enfants, il ne s'agit pas d'envoyer un groupe aéronaval dans les eaux internationales, il faut surtout entamer des discussions entre les États afin que le cadre juridique des contrôles en mer soit international, et que ce genre de faits puisse engager la responsabilité pénale de leurs auteurs auprès des juridictions compétentes, ici devant les tribunaux du Wanmiri", explique le responsable de l'opération Neptune.
Par ailleurs, dans le cas des navires investis d'une mission officielle, soit gouvernementale soit militaire, le groupe aéronavale poëtoscovien se plie totalement car, logiquement, l'État du pavillon est responsable des actes qui s'y comettent, et, en cas d'atteinte à la législation dudit pays, les individus auraient été obligatoirement remis à la Justice de l'État concerné.
Une autre intervention en mer a eu lieu contre un navire à pavillon poëtoscovien, avec, à son bord, un équipage de plusieurs nationnalités. Parmi les individus arrêtés se trouvaient un Jashurien et un Wanmirien, tous deux accusés de transport et commerce de contrefaçons de luxe. L'État du pavillon étant la Poëtoscovie, la Justice qui s'appliquera sera donc celle de la Nation littéraire, dans le respect des droits de la défense et devant un juge indépendant. Comme prévu, les autorités jashuriennes et wanmiriennes seront informées de ces arrestations, et les consuls ou des substituts du consul pourront rendre visite aux prévenus afin de s'assurer des bonnes conditions de détention, de l'exercice d'une justice indépendante et impartiale, mais pourront également assister la défense des individus accusés.
Un second navire a été arraisonné en cette journée du 21 novembre 2017, sans pavillon, et transportant 12 esclaves, lesquels ont été considérés comme libres de facto, et bénéficieront d'une aide à la réinsertion sociale une fois de retour en Poëtoscovie Continentale ou, si les individus le souhaitent individuellement et sans pression de la part des autorités poëtoscoviennes, seront renvoyés dans leur pays d'origine. L'équipe n'a pas souhaité indiquer sa nationalité, sans doute par peur qu'en étant renvoyés devant la justice de leur pays, ceux-ci seraient soumis à des traitements inhumains.
Afin d'effectuer des ravitaillements, une demande sera formulée auprès des autorités compétentes du Wanmiri afin que les navires de guerre poëtoscoviens puissent pénétrer dans les eaux territoriales wanmirienne afin de faire le plein de nourritures et de carburant. En cas de refus, des navires investis d'une mission gouvernementale seront envoyés aux ports wanmiriens afin d'acheminer les marchandises nécessaires vers le groupe aéronaval.