09/10/2017
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La Sénémite - Page 6

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sigle

Le Sadr est vengé

A l'attention des services diplomatiques de l'Empire islamique de Churaynn

Que la Paix, la Miséricorde et la Bénédiction d'Allâh soient sur vous.

Excellences,

Le Sadr est vengé ! Nous avons appris les représailles redoutables que vous avez fait subir au prétendu "Haut" Etat d'Altrecht, pour avoir violé l'immunité diplomatique et l'honneur du Churaynn, à travers des sévices infligés à la personne du Sadr sur lesquelles je ne reviendrais pas. Votre décision de répliquer par des frappes sur le territoire altrechtois peut être jugée défavorablement par les plus pacifistes des pacifistes, néanmoins il est indiscutable que le Churaynn méritait d'obtenir une réparation face à ce tort qui lui avait été infligé. C'est désormais chose faite.

A l'issue d'une conférence de presse, le Bloc Nationaliste Eurysien a confirmé qu'il ne ferait pas de cet événement un motif d'escalade. Vous les avez fait reculer. C'est un motif de grande fierté pour votre gouvernement et votre diplomatie, qui restaure la dissuasion et la crédibilité de ses menaces, parvenant avec brio à éviter en même temps un embrasement malvenu. Force est de constater que le Churaynn vient là de remporter une victoire symbolique éclatante.

Pour cette raison, j'appelle vos Excellences à la mesure quant au Bloc Nationaliste Eurysien, avec lequel les choses sont en fait loin d'être réglées. D'abord, ce Bloc profère des menaces à votre encontre et vous interdit la Mer Blanche. Je gage que vous n'aurez de toute façon aucun intérêt à naviguer dans ces eaux froides. Si l'un de vos navires s'y aventurait pourtant, il serait frappé par le Bloc ; et la situation redeviendrait dangereuse.

Conformément à notre accord de défense vis-à-vis du Bloc, l'Azur se tient prêt à défendre le Churaynn en cas d'attaque sur ses intérêts vitaux. Il est néanmoins implicite que dans la situation actuelle, nous devrions nous tenir à distance de la Mer Blanche, au moins pour un temps ; le Diwan espère la résolution finale de cette crise en obtenant bientôt des Etats membres du Bloc l'annulation de leurs menaces à votre égard, pour que soit restaurée votre liberté de navigation - et la nôtre.

En effet, le Bloc est encore aux prises avec la coalition afaréenne dont vous faites partie au large de l'enclave de Zentralafareen. Une situation très tendue sur place menace de faire éclater un conflit majeur. La diplomatie est d'abord privilégiée par le collectif afaréen. Il est absolument nécessaire que nous parvenions à une issue négociée à la crise, qui devra absolument mettre en place l'indépendance et la décolonisation de ce territoire. Dans cet intermède de pourparlers, il semble préférable de coordonner l'action des Afaréens en la matière.

Notre accord de défense est toujours valide, cependant je vous indique que le Diwan souhaite essentiellement une bonne coordination des Etats afaréens. Si le Bloc venait à attaquer la coalition afaréenne, l'Azur réagira avec vigueur ; s'il attaquait des forces churaynn, nous pourrions y voir une activation de notre accord de défense ; cependant tout cela sera scruté avec une grande attention car le Diwan recherche d'abord la paix.

J'espère, Excellences, que vous admettrez comme moi votre première victoire symbolique contre le Bloc, et consentirez donc à coordonner toutes vos actions futures dans la crise actuelle avec les autres Etats afaréens au sein d'un collectif d'action horizontal.

Avec l’optimisme du travail,
signature
Houria Ben-el-Teldja
Ministre des Affaires étrangères de plein exercice
19.05.2017
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Generalsekretariat für Außenpolitik


Provenance : Secrétariat général pour la politique étrangère du Haut-État d'Altrecht
Destination : La Sénémite, Empire du Churaynn

Très cher ennemi du Churaynn, nous contactons votre nation afin d'organiser une rencontre en territoire neutre. Nous avons quelque chose à vous proposer afin de stopper cette guerre inutile, une proposition que vous ne refuseriez pas. Mais la confidentialité d'une telle proposition ne peut se faire que par une rencontre en face à face. Sans enregistrement ni micro. Ainsi, nous restons dans l'attente de votre réponse nous indiquant le choix de poursuivre la guerre ou de négocier une paix gagnante pour nos deux nations.

L'Altrecht vous salue.
1905
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Missive officielle de la Confédération de Qadishapolis


Estimé Sadr,

Nous vous adressons ici la même missive que nous avons transmise au Generalsekretariat für Außenpolitik altrechtois. La Confédération de Qadishapolis, du fait de sa neutralité conférée par son rôle de gardienne de la ville trois fois sainte, n'a pas pris position concernant les escarmouches opposant l'Altrechter Hochstaat et l'Empire de Churaynn. Toutefois, la situation actuelle nous a poussée à sortir de notre mutisme.

En effet, l'Altrechter Hochstaat, en représailles à une action hostile de l'Empire, a décidé de bombarder l'entrée du canal que nous partageons avec le Churaynn. La Confédération de Qadishapolis est donc directement touchée par le conflit opposant vos deux pays en faisant d'elle une victime collatérale. La situation ne peut pas continuer ainsi. Vos agissements et la vitesse à laquelle les tensions ont escaladées nous laissent craindre le pire, surtout depuis que nous sommes inclus contre notre gré dans cet engrenage infernal.

Nous vous proposons donc une solution simple. Nous ne cherchons pas à savoir qui a attaqué le premier ou si les réponses de l'un étaient proportionnées aux provocations de l'autre, nous voulons juste retrouver un semblant de calme dans la région et ne pas plus menacer le canal, qui est vital pour la Confédération, et les populations civiles environnantes. Comme nous avons été entraîné de force dans ce conflit, nous nous estimons donc légitimes à proposer une médiation. Nous vous invitons donc à Eliopolis afin de pouvoir entamer un dialogue tripartite entre l'Altrechter Hochstaat et l'Empire de Churaynn, avec la Confédération de Qadishapolis en conciliateur.

Cher Sadr, en nous emmenant avec vous dans cette guerre en tout point évitable, vous exposez une population civile musulmane innocente. Mais surtout, vous mettez en péril l’État gardien de l'équilibre entre les trois religions abrahamiques, et par la même occasion de la ville de Qadishapolis, troisième ville sainte selon le Coran. Vous comprendrez donc notre préoccupation vis-à-vis de la conjoncture.

En attente de votre réponse, que nous espérons de tout cœur positive.
Cordialement.

Nesrine Marahavi
Héraut de la Confédération de Qadishapolis
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Communiqué solennel du Grand Royaume du Roi des Rois Kémimide
Maître de nombreuses nations, Souverain des peuples d’Afarée, des rives du Nadir aux hauts-plateaux de Tembouk, et des confins du monde

À l’attention de toutes les satrapies extérieures, enfants de l’Afarée

Peuples afaréens, souverains et conseils des royaumes et républiques qui bordent nos fleuves et nos montagnes, écoutez la parole qui émane du Trône : le Roi des Rois vous adresse, une invitation dont la dignité impose d’elle-même le respect, car elle procède de la responsabilité que nous partageons envers l’Afarée tout entière. Que nul n’y voie une main qui s’impose sur sa juridiction : vous demeurez extérieurs à l’Empire dans l’exercice de vos lois et de vos sceptres ; mais vous n’êtes pas étrangers à sa protection, car l’Empire vous tient en satrapies extérieures, membres reconnus d’un même corps historique et moral que le Roi des Rois s’est juré de garder. C’est en cette qualité, qui n’amoindrit ni votre honneur ni votre souveraineté, que Sa Majesté vous convie, avec solennité et bienveillance, à vous joindre sous son égide pour délibérer ensemble de ce qui, désormais, exige l’attention unanime de l’Afarée : le destin de la Kabalie.

Depuis des mois, la Kabalie endure l’épreuve, et chacun sait, sans qu’il soit besoin d’en noircir davantage l’encre, que la main de Carnavale pèse sur elle avec une brutalité dont le souvenir souillera quiconque aura détourné le regard. La Kabalie n’est pas une marge lointaine ni un litige d’érudits : elle est une part sensible de notre monde, un pivot de nos mémoires, un peuple dont la voix s’affaiblit sous la poussière des ruines et le vacarme des armes. Quand la Kabalie s’étiole, c’est l’Afarée qui se disperse ; quand la Kabalie est menacée, c’est la personne même du Roi des Rois qui est atteinte, car le souverain impérial n’est pas un simple monarque de frontières, il est le protecteur sacré des siens. Dès lors, persister dans le mutisme ou la solitude serait trahir l’évidence : aucun État afaréen ne peut, sans se renier, laisser ce peuple affronter seul la nuit qui se referme.

C’est pourquoi Sa Majesté vous invite à paraître, par délégation dûment accréditée, à une grande réunion tenue sous l’autorité du Trône, afin que l’Afarée, rassemblée, parle d’une seule voix. Il ne s’agit pas d’une tribune eurysienne (creuse) ni d’un décor de protocole, mais d’un moment grave où les souverains, dirigeants et leurs envoyés prendront, face et avec le Roi des Rois, la mesure des devoirs qui s’attachent aux liens de parenté politique que nous revendiquons depuis des siècles. Chacun sera entendu dans l’ordre, chacun exposera sans feinte la vérité de sa position, et tous, à la fin, auront à cœur d’ordonner leurs volontés pour que, de l’assemblée, sorte une parole ferme : une parole qui fixe la ligne d’action commune, qui établisse le secours immédiat, qui dessine la restauration possible, qui préserve la Kabalie des appétits étrangers et l’enracine, après l’orage, dans l’espace naturel de l’Afarée. Ainsi, l’on ne se contentera pas de commenter la douleur ; l’on se disposera à la soulager, par des voies concrètes de soutien humanitaire, de coordination logistique, d’accueil raisonnable des familles déplacées, de protection des routes, des ports et des greniers, et, si la sagesse collective l’ordonne, par l’appui diplomatique et économique susceptible de rompre l’étau qui l’écrase.

Que nul ne s’inquiète cependant d’y voir un empiètement sur ses prérogatives : l’Empire ne revendique ni vos sceaux ni vos lois ; il affirme la primauté d’un devoir de protection, et rappelle la hiérarchie morale qui unit l’Afarée autour du Trône et de vos indépendances. Cette hiérarchie n’humilie personne : elle ordonne, elle stabilise, elle garantit que la parole du Roi des Rois, lorsque les temps sont dangereux, demeure le point fixe vers lequel se tournent les regards. En conséquence, les échanges relatifs à cette réunion devront être adressés directement à Sa Majesté, selon le protocole impérial, dans les formes respectueuses qui sont dues à son rang ; pour ce qui touche à la sûreté des déplacements, à l’acheminement des délégations, à l’usage éventuel et strictement neutre des ports impériaux, il reviendra au Triumvir de la Guerre, Baruk Altemar, d’en fixer les modalités pratiques ; pour l’hébergement, l’intendance et la comptabilité des dépenses, le Triumvir du Trésor, Zakhna Mendel, arrêtera les dispositions nécessaires ; et pour l’ordre public, la circulation, la tenue des salles et la police des cérémonies, le Triumvir de l’Intérieur, Hadrien Sulkar, veillera, avec ses services, à ce que rien ne vienne troubler la dignité des travaux. Vous recevrez, en temps utile, les indications de date, de lieu et de rite, transmises par la diplomatie, et chacune de vos chancelleries saura reconnaître, dans l’invitation scellée du Sceau d’Or, l’empreinte du Trône.

D’ici là, Sa Majesté vous enjoint, avec la fermeté douce d’un père à ses enfants, de préparer la substance de vos positions : non des slogans, mais des engagements ; non des prudences qui masquent l’inaction, mais des offrandes de bonne volonté qui puissent être tenues sans péril pour vos peuples. Il s’agira d’envisager, avec lucidité, l’accueil provisoire d’une part mesurée des déplacés kabaliens selon les capacités de chacun, l’ouverture de couloirs humanitaires sous garantie commune, la création de fonds d’assistance placés sous la garde conjointe des satrapies extérieures et de l’Empire, la préservation absolue de la neutralité des zones mises à disposition par l’Empereur, neutralité sans laquelle toute aide se transformerait en prétexte de discorde, et enfin l’harmonisation des démarches diplomatiques afin que l’Afarée ne parle pas en chœur dissonant, mais comme une seule puissance aux voix multiples. Que nul n’ignore, en outre, que la dignité de cette œuvre tient à l’attitude de chacun : la courtoisie entre délégations sera observée avec une rigueur comparable à celle que l’on exige sur un champ de manœuvre ; toute offense au Trône, au peuple kabalien, ou à l’un quelconque des peuples afaréens, sera tenue pour une faute contre l’unité.

Si l’on vous invite, c’est parce que l’instant n’admet plus les demi-mesures. L’Afarée est plus grande que l’addition de ses frontières ; elle est une famille politique, un espace spirituel et historique dont le Roi des Rois est le garant. Répondre à cet appel, c’est vous hisser à la hauteur de votre propre histoire ; y manquer, c’est vous résigner à voir se défaire, morceau par morceau, ce que des générations ont patiemment bâti. Que chacun vienne donc avec l’assurance de son rang, avec l’humilité de celui qui sait ce qu’il doit à plus vaste que lui, avec le courage tranquille des gouvernants qui préfèrent la charge du devoir aux commodités de l’inaction. La Kabalie nous regarde ; l’Afarée nous regarde ; et le monde, qui nous observe, apprendra aujourd’hui si notre unité est un mot d’apparat ou une réalité capable de secourir les siens.


Scellé sous l’autorité de Sa Majesté le Roi des Rois, Protecteur des Peuples d’Afarée.


" Scellé sous mon autorité, "
Sa Majesté le Roi des Rois

Le Corps des Scribes transmet et porte foi au présent communiqué, et demeure à la disposition des satrapies extérieures pour toute correspondance relevant du protocole Impérial.
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MAE

A l'intention de Son Excellence, Malsiento Yazido, Sadr de l'Empire Islamique de Churaynn



Excellence, Cher voisin,

La République Fédérale de Tanska vous demande aujourd'hui des explications formelles et sincères quant à la frappe balistique ayant eu cours de votre part à l'encontre du Haut Etat d'Altrecht. En tant qu'Etat voisin, nous faisons preuves selon nous d'une patience importante à l'égard de la politique militariste et profondément violente de la part de votre Empire à l'égard de son voisinage proche, comme ce fut le cas pour la République des Trois Nations, mais aussi plus généralement à l'égard de plusieurs autres Etats que votre diplomatie ne saurait porter en amitié, et c'est tout à fait compréhensible.

Si votre diplomatie est votre, et que vous déterminez vous-même la voie à prendre pour en accomplir la finalité, nous devons tout de même à nouveau vous mettre en garde contre le chemin dangereux que vous empruntez. Il est non seulement semé de nombreuses embûches que votre gouvernement n'est en l'état pas capable ni de prévoir et donc d'anticiper, mais aussi simplement de répondre pour, mais il est aussi un chemin qui sera parsemé d'autres acteurs qui n'attendent que votre prochaine erreur au tournant pour en saisir l'occasion.

A ce titre, votre décision de militariser le détroit de Sudéiss, que vous partagez de façon paritaire avec la Confédération de Qadishapolis est à nouveau tout à fait regrettable et pourrait rapidement se retourner contre vous si des Etats décident d'une part d'en réduire la capacité commerciale, ou pire d'autre part d'en saisir l'occasion pour tenter d'en assumer la gestion du fait de votre politique qui met à mal la stabilité régionale mais aussi le commerce. L'Isthme d'Afarée est une région sensible dans le monde, elle compte des territoires, qu'ils soient métropolitains ou d'outre-mer, de plus de sept nations. 38 millions d'hommes et de femmes peuplent cette zone. Si Tanska compte plus d'un million et demi de citoyens dans la région, vous en comptez près de cinq qui sont pour une bonne partie traversée par des idées d'autonomie sinon d'indépendance. Il serait préférable que votre gouvernement juge dès lors mieux la manière dont il compte gouverner la République de Sudéiss autrement qu'en lieu de passage pour des destroyers afin de tirer des missiles balistiques sur l'Eurysie. Faute de quoi, la gouvernance de ce territoire pourrait rapidement être perçue, localement mais aussi régionalement, comme néfaste tant pour l'expression de demandes légitimes des populations locales mais aussi comme une menace pour la stabilité régionale. Pour le bien des six autres nations et des dizaines de millions d'habitants de la région, nous vous serions gré de mettre un terme immédiat à cette politique de militarisation abusive du canal et de son emploi à des fins offensives pour revenir à une logique plus commerciale et diplomatique.

Plus vos actions s'étendent dans le temps, moins le Parlement de Kyli et le million et demi de tanskiens seront satisfait des mesures de sécurité ayant cours dans la province. Nous vous demandons ainsi d'éviter de nous imposer une hausse de nos dépenses budgétaires dans la région alors que nos forces armées sont déjà employées sur d'autres régions pour d'autres raisons qui vous sont sans doute bien connues.

Mar Loftsson, ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska
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Revolutionäres Diplomatisches Sekretariat von Altrecht


Provenance : Secrétariat diplomatique révolutionnaire d'Altrecht
Destination : La Sénémite, Churyann

La paix soit sur vous. Nous vous adressons cette missive dans l'objectif de vous avertir que le Haut-État d'Altrecht n'est plus. Le régime tyrannique a été renversé, et c'est désormais notre gouvernement de transition révolutionnaire qui se charge de la diplomatie. Nous révoquons donc officiellement la déclaration de guerre en vous envoyant un document officialisant la fin définitive de celle-ci.

L'Altrecht vous adresse ses salutations distinguées.

Traité de paix a écrit :
Traité de paix officiel Altrechto-Churyann :


Les deux nations et les belligérants de celle-ci s'engagent à cesser les affrontements entre eux. Dans cet esprit de paix, et sans être forcés :

- L'Altrecht et le Churyann s'engagent à mettre fin au conflit en cours.
- L'Altrecht et le Churyann ne désignent pas de vainqueur ou de perdant.
- L'Altrecht et le Churyann s'engagent dans la voie diplomatique pour renouer des relations cordiales.
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À l’attention du Ministère des Affaires Étrangères de l'Empire de Churaynn,

Salutations

Nous avons le plaisir de vous adresser cette correspondance afin d’explorer la possibilité d’ouvrir des usines Volgrin sur le votre sol, dans le but de produire et vendre nos véhicules dans votre pays. Cette initiative viserait à renforcer la coopération économique et industrielle entre nos nations, tout en facilitant l’accès de vos citoyens à des véhicules de qualité.

Pour vous permettre d’évaluer cette proposition, nous joignons ci-dessous des informations détaillées sur nos capacités de production et nos ressources : information Volgrin

Nous espérons que ces informations permettront à vos services d’évaluer la faisabilité de notre projet. Nous restons bien entendu disponibles pour toute discussion ou visite de vos équipes afin de définir les conditions et modalités d’une implantation éventuelle.

je vous adresse mes salutations respectueuses.



Rodion Kerzhakov
Ministre des affaires étrangères


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Drapeau

Société de fabrication d'armes fédérale

La Société de fabrication d’armes fédérale vous informe que vous avez remporté les enchères pour l’acquisition de 10 hélicoptères d’attaque de niveau 1. Vous disposez de trois mois, soit jusqu’au 10/10/2017, pour effectuer le paiement de 7 500 unités internationales. Passé ce délai, la récompense sera attribuée à une autre personne.

Cordialement.
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Revolutionäres Diplomatisches Sekretariat von Altrecht


Provenance : Secrétariat diplomatique révolutionnaire d'Altrecht
Destination : La Sénémite, Churaynn.

La paix soit sur vous. Nous venons officiellement demander la paix avec votre nation. La guerre n’a fait que trop de dégâts et l’Altrecht ne souhaite pas vous causer plus de tort. Voyez ce message comme une main tendue et comprenez bien que le chemin de la paix est toujours le plus difficile comparé à celui de la violence.

Nous vous proposons donc une paix « blanche », sans vainqueur ni vaincu. Une paix à effet immédiat. En cas de refus de votre part, nous vous proposons au moins un cessez-le-feu.
Dans l’espoir d’une réponse favorable et rapide.

L’Altrecht vous adresse ses salutations distinguées.
1910
Armoiries du Khasserat de la République Directe

Ministère des Affaires Extérieures du Banairah

A l'intention des services diplomatiques de l'Empire de Churaynn.

Estimés collègues,

Suite aux frappes perpétrées par vos forces militaires sur la République des Trois Nations et l'Altrecht, nous nous voyons obligés de convoquer l'ambassadeur churayn afin de discuter des volontés et objectifs précis de l'Empire. En tant que nation voisine potentiellement exposée à des retombées de contre-attaques face à vos agressions perprétées sans l'ombre de négociations ou d'ultimatum adressés aux cibles, la République Directe du Banairah regrette le manque de communication de ses frères occidentaux. La propagation fulgurante des conflits à l'international et la course à l'armement de ce début de siècle font craindre à nos services une perte de dynamisme du commerce civil indispensable au développement serein de notre région, et cela d'autant plus que l'Afarée reste encore et toujours l'objet de convoitises de la part de puissances étrangères, notamment eurysiennes, comme le démontre la guerre civile au Gondo, ceci restant bien malheureusement qu'un seul exemple parmi d'autres. Le Ministère partage votre inquiétude et votre volontarisme pour la lutte contre le colonialisme, ses formes modernes et la réminiscence des acquis honteux des siècles derniers, mais pas vos méthodes qui pourraient bien mettre à mal la cause en poussant vos cibles à s'en défendre d'autant plus : militairement bien-sûr, mais aussi culturellement et aux niveaux de leurs services d'espionnage, présageant paradoxalement de plus forces ingérences dans la région. Une approche indirecte de promotion de l'autonomisation, et à terme, de l'indépendance, aurait été, à notre avis, plus sage. Quoi qu'il en soit, nous saluons votre démarche, tardive mais bienvenue, d'excuses officielles et de désescalade. A l'aube de ce tournant de crise, il reste toutefois nécessaire de discuter de la communication entre nos deux commandements, mais aussi des garanties de confiance que l'Empire serait en mesure de donner au Banairah afin d'éviter de tels écueils à l'avenir.

Sincèrement,


Siriam Amza, Ministre des Affaires Extérieures au Banairah
Saroud Al'Tenhè, Khasser du Banairah
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