29/10/2017
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Activités intérieures en Karty - Page 7

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Ici seront communiqués partiellement les articles de la constitution Kartienne. Vous demeurez libres de demander l'écriture d'un article précis afin de compléter ce texte de lois, à bon entendeur.

Préambule.
La souveraineté.
Le Chancelier.
Le Tsar.
Le Conseil Militaire.
Le Conseil Ministériel.
Le Conseil des Elus.
Le Conseil Constitutionnel et Judicaire.
Les droits fondamentaux.
Le territoire.
L'économie.

Préambule
AlinéaLe peuple Kartien affirme et proclame son attachement aux droits de l'homme, aux principes démocratiques et à la souveraineté nationale. Ce présent texte de lois s'inscrit dans la continuité de la première constitution impériale de 1909 rédigée par la Kaiser Von Flitch, ainsi que la seconde constitution impériale de 2015 rédigée par le Tsar Stanislas I. Ce présent texte de lois est majoritairement rédigé par la Chancelière Angèle Orlovski, approuvée de la volonté populaire par l'intermédiaire du Conseil des Elus mais aussi par l'approbation symbolique du Conseil Constitutionnel et Judiciaire.

Article I: Forte du principe démocratique, la République Impériale de Karty assure l'égalité de tout citoyen Kartien devant la loi, quel que soit sa religion, sa race, son sexe ou son origine. Par cet article, la République Impériale de Karty acte son attachement fondamental à l'égalité des sexes, valeur considérée essentielle au bon fonctionnement d'une société moderne.



La souveraineté
Article II: La langue de la République Impériale est majoritairement le russe, cohabitant d'une minorité italienne et allemande.
L'emblème national demeure le drapeau tricolore vert-blanc-rouge, en son milieu l'aigle noir aux lauriers, symbole Kartien d'origine.
L'hymne national est "Катюша".
La devise de la République Impériale demeure "patrie, armée, honneur".
La République Impériale de Karty est formée par 40 provinces.

Article III: La souveraineté nationale appartient au peuple, par l'intermédiaire de ses représentants.
La suffrage est direct, universel, égal et secret.
Sont considérés électeurs, sous les conditions déterminés par la loi, tout citoyen Kartien fort de sa majorité.

Article IV: Les partis politiques militent par le suffrage des citoyens, se formant et s'exerçant librement, sous réglementations du Conseil Constitutionnel et Judicaire, garant de ce présent texte de lois. Lesdits partis sont représentés au Conseil des Elus, institution où les lois sont votées.



Le Chancelier
Article V: Le Chancelier de la République Impériale de Karty est élu pour une durée de 5 ans au suffrage universel direct. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.

Article VI: Le Chancelier est garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités. Il demeure garant du pouvoir diplomatique, de sa représentation et communication.

Article VII: Le Conseil Constitutionnel et Judicaire est l'organe chargé d'annoncer, organiser et assurer les élections de la Chancellerie. Ce suffrage suit les règles de la majorité absolue, donnant majoritairement suite à un second tour entre les deux candidats principaux. Cette situation ne s'effectue point si, lors du premier tout, l'un des candidats obtient plus de 50% des voix.

Article VIII: Le Chancelier nomme entièrement les membres de son gouvernement, celui-ci comporte donc l'ensemble des ministres, excepté le Ministre de la Défense Nationale, ainsi que l'institution du Cercle des Six. Le Chancelier est en liberté de conserver l'ancien gouvernement, le destituer ou bien le changer partiellement à tout moment. Ce groupement de personnalités forme le Conseil Ministériel, dont le Chancelier est à la tête.

Article IX: Le Cercle des Six, suivant les fondements de l'article VIII, est nommé par le Chancelier. Cette institution est composée des six Grands Ambassadeurs de la République Impériale de Karty, un par secteur évoqué ci-joint. L'Eurysie de l'Ouest, l'Eurysie de l'Est, l'Aleucie, l'Afarée, le Nazum, le Paltoterra et le Nivérée. Cette même institution est, avec le Chancelier, détenteur du pouvoir diplomatique.

Article X: Le Chancelier n'est point en capacité de proposer quelconque loi, se faisant seulement par le Conseil des Elus. Toutefois, là réside la seule exception, le Chancelier est en liberté d'outrepasser ledit Conseil par la voie du référendum. Dans le cas positif, ledit référendum s'applique sans consultation du Conseil des Elus. De même, cette initiative ne peut que provenir de la Chancellerie.

Article XI: Le Chancelier n'est point détenteur du pouvoir militaire, ce dernier étant détenu par le Ministre de la Défense Nationale. Toutefois, en cas de crise d'une gravité prononcée, à noter une guerre directe et totale, le Chancelier est en capacité de déclarer l'état de guerre. Auquel cas, l'ensemble des pouvoirs sont transmis entre les mains du Tsar, ce dernier devra impérativement rendre lesdits pouvoirs une fois la crise résolue. A noter le caractère exceptionnel de cet article, ce dernier ne peut être modifié par le Tsar, si tantôt ce dernier obtient les pouvoirs.



Le Tsar
Article XII: Hors état de guerre, et donc dans la plus grande majorité du temps, le Tsar ne possède qu'un rôle symbolique. Ce dernier ne possède aucun pouvoir quelconque, à seule exception rare de celui d'éventuelle représentation diplomatique.

Article XIII: Durant état de guerre, suivant les fondements de l'article XI, le Tsar doit être dans un premier temps convoqué expressément et publiquement par le Chancelier. Ce dernier transmettra l'ensemble des pouvoirs au Tsar, celui-ci devra les rendre impérativement une fois la crise réglée.

Article XIV: Le rôle du Tsar est assuré par les liens du sang au sein de la famille Valaski, celle qui par l'intermédiaire de Stanislas Valaski, a largement œuvré pour l'actualité de ce régime.

Article XV: A titre symbolique, la famille impériale réside au sein de la demeure Valaski, proche de la ville de Wikingia.



Le Conseil Militaire
Article XVI: Hors état de guerre, et donc dans la plus grande majorité du temps, le Conseil Militaire est composé de l'état-major de la République Impériale de Karty. Celui-ci étant dirigé et choisi par le Ministre de la Défense Nationale.

Article XVII: Suivant les fondements de l'article XVI, l'état-major est nommé par le Ministre de la Défense Nationale. Ledit état-major est composé des plus hauts gradés militaires, à noter les généraux et certains commandants.

Article XVIII: Le Ministre de la Défense Nationale exerce un unique mandat d'une durée de dix ans, et est nommé par le principe du balancier continu. En effet, ledit Ministre est nommé par l'état-major que son prédécesseur a choisi, ce à sa mort ou fin de son mandat.

Article XIX: Suivant les fondements de l'article XIII, durant état de guerre, le Tsar accède à la tête du Conseil Militaire.



Le Conseil Ministériel
Article XX: Suivant les fondements de l'article VIII, le Conseil Ministériel est composé des ministres, excepté celui de la Défense Nationale, ainsi que des membres du Cercle des Six, le tout étant dirigé par le Chancelier.

Article XXI: Le Conseil Ministériel est donc l'équivalent du gouvernement, lequel détermine et conduit la politique de la nation.

Article XXII: Au même titre que le Conseil des Elus et le Conseil Militaire, le Conseil Ministériel se place sous le giron du Conseil Constitutionnel et Judicaire, dans les fondements de l'article [à faire]. L'ensemble de ces conseils forment les 4 Grands Conseils de la République Impériale de Karty, le moteur du régime.



Le Conseil des Elus
Article XXIII: Le Conseil des Elus vote la loi, au même titre qu'il vote la constitution, à seule différence que la majorité n'est pas à moitié mais au 2/3, mais n'en a pas le pouvoir. De fait, l'application de la loi se fait par le Conseil Ministériel, l'application de la constitution par le Conseil Constitutionnel et Judicaire. La loi et la constitution sont donc votées au sein des députés, à la majorité.

Article XXIV: Le Conseil des Elus est formé chaque premier janvier, où sont élus 405 députés conformément au découpage électoral du cinquième alinéa de l'article II. En effet, le suffrage est, pour ce conseil, par découpage géographique. Le peuple élit 10 députés par province, excepté la province capitale, à noter Volkingrad, qui en compte 15.

Article XXV: Le peuple, pour le Conseil des Elus, ne vote pas pour un candidat contrairement aux élections de la Chancellerie, il choisit un parti politique. Lequel organisera comme bon le semble l'envoi de ses députés à l'assemblée en fonction de ses résultats.

Article XXVI: Un parti politique obtient un député tous les 10%, pour la province capitale le chiffre est de 6,7%. Ce découpage suit un système de marge et d'arrondi, permettant d'exclure les partis politiques dont la représentation n'est possible.

Article XXVII: Chaque parti politique se doit d'être représenté d'un Président et d'un Vice-Président, lesquels siégeront obligatoirement au Conseil des Elus. A noter que pour le parti au pouvoir, le Chancelier est également Président dudit parti. Toutefois, afin de conserver la séparation des pouvoirs, ledit et unique parti sera représenté uniquement par son Vice-Président.

Le Conseil Constitutionnel et Judicaire
Article XXVIII: Le Conseil Constitutionnel et Judicaire est composé par l'ensemble des juges de la République Impériale, ainsi que des neuf Consuls.

Article XXIX: La fonction de juge suit classiquement sa voie, un emploi nécessitant des études en droit.

Article XXX: Les neuf Consuls sont élus tous les 5 ans, ils sont dans la possibilité de n'effectuer qu'un seul mandat. En vertu de l'importance et des capacités nécessaires, l'élection de ces consuls suit un suffrage censitaire. De fait, les 9 consuls sont élus parmi les juges et entre les juges, permettant la bonne conscience du droit et de la loi.

Article XXXI: Le Conseil Constitutionnel et Judicaire suit deux fonctions, le constitutionnel et le judicaire par son nom. Le domaine judicaire est assuré par les juges, la justice civile. Le domaine constitutionnel, à noter la justice d'Etat, est assuré par les 9 Consuls.

Article XXXII: Suivant les fondements de l'article XXXI, le domaine constitutionnel relève d'une sorte de cours suprême. De fait, les 9 Consuls sont en capacité, conformément à l'ensemble de cette constitution, en capacité de censurer toute décision et de destituer quelconque personne. Ce type de décision est à l'appui seul de la constitution, et est effectuée au vote parmi les 9 Consuls. La seule exception réside à la destitution du Chancelier, nécessitant 7 des 9 voix des Consuls, du fait est que le Chancelier est un représentant populaire.

Article XXXIII: Le Conseil Constitutionnel et Judicaire, suivant les fondements de l'article XXXII, est en capacité de censurer les décisions, mais n'est pas en capacité d'en émettre. Ce conseil fait unique office d'une sorte de police qui réprime les décisions anticonstitutionnelles, mais n'est pas en capacité d'émettre une quelconque proposition.

Article XXXIV: Suivant les fondements de l'article XIII, la passation du pouvoir en état d'urgence est la seule décision qui ne peut être censurée par ce conseil.



Les droits fondamentaux
Article XXXV: La République Impériale de Karty garantie à ses citoyens les libertés individuelles et politiques que sont la liberté d'expression et de presse, la liberté de manifestation pacifique, la liberté de conscience et de religion, le droit au pluralisme politique et la protection de la vie privée.

Article XXXVI: La République Impériale de Karty garantie à ses citoyens les droits civils et juridiques que sont le droit à l'égalité devant la loi, le droit à un procès équitable, le droit à la défense juridique, l'habeas corpus, la présomption d'innocence et enfin l'interdiction des peines humiliantes et dégradantes.

Article XXXVII: La République Impériale de Karty garantie à ses citoyens les droits sociaux et économiques que sont le droit au travail en bonne condition, le droit à la protection sociale et l'assurance maladie, le droit au repos, le droit de grève encadré par la loi, le droit à la scolarisation gratuite jusqu'à la majorité, le droit au logement décent et enfin le droit à la santé.

Article XXXVIII: La République Impériale de Karty garantie à ses citoyens les droits politiques et culturels que sont la conservation du patrimoine et des traditions, le droit de vote et enfin le droit de militer politiquement et librement.

Article XXXIX: La République Impériale de Karty garantie à ses citoyens les droits de la personne et de l'intégrité que sont le droit à la vie, le droit à l'intégrité physique et morale et enfin le droit à l'égalité des sexes, suivant les fondements du premier article de cette constitution.

Article XL: Suivant les fondements des articles XXXV à XXXIX, les droits impliquent devoirs. La République Impériale de Karty impose donc à ses citoyens les devoirs que sont de respecter la loi, de défendre la patrie en cas de guerre, de payer l'impôt et enfin de respecter la liberté d'autrui.

Article XLI: Suivant l'ensemble des fondements sur l'égalité des sexes et considérant l'évolution moderne des sociétés, la République Impériale de Karty garantie le droit à l'avortement encadré classiquement par la loi.


Le territoire
Article XLII: Suivant les fondements du cinquième alinéa de l'article II, la République Impériale de Karty est une nation unitaire composée de 40 provinces. Chacune de ces provinces est dirigée par un gouverneur élu du peuple tous les 5 ans, avec une possibilité de trois renouvellements. Il est à noter que la République Impériale de Karty n'est point une fédération, l'autonomie des provinces est strictement limitée, suivant grandement les fondements de l'article XXIV qui dictent le découpage géographique et électoral.

Article XLIII: Suivant les fondements de l'article XXIV, Volkingrad est dite province capitale, de fait, Volkingrad est la capitale de la République Impériale de Karty. La principale différence de ce nom réside à l'élection de 15 députés et non 10, contrairement aux autres provinces.



L'économie
Article XLIV: L'économie de la République Impériale de Karty suit le principe de propriété privée, bien que l'Etat puisse intervenir pour l'intérêt général.

Article XLV: La République Impériale de Karty garantie à ses citoyens la liberté d'entreprendre, dans le respect de la loi.

Article XLVI: L'impôt suit les règles classiques de la proportionnalité, il est affecté au budget national.

Article XLVII: Le budget de l'Etat est soumis au vote chaque année.

Article XLVIII: L'Etat se réserve le droit de nationaliser certains secteurs du fait de leur importance, à noter la santé, la défense ou encore l'énergie.

Article XLIX: La République Impériale de Karty acte son soutien financier à son agriculture et industrie nationale.

Article L: La corruption et l'enrichissement illicite de hauts-fonctionnaires est considéré comme de la haute trahison, pouvant susciter la convocation des neuf Consuls et non de la justice civile normalement appliquée.

Article LI: Les retraites sont assurées par le principe de capitalisation, encadrée par l'Etat.

HRPCe post est également présent ici, je le poste là car j'ai juste édit, ça sert à notifier le changement.
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Plateau du débat télévisé


Présentateur-"Bonsoir citoyens du monde ! Car oui, je ne m'adresse pas seulement au peuple de Karty aujourd'hui, mais à l'ensemble du globe ! En cette soirée, une invitée de marque, philosophe et politiste reconnue dont la renommée dépasse nos propres frontières, Askinia Meldovara ! Ses travaux, publiés et débattus dans de nombreuses universités, font notamment l'objet de géopolitique et de politique, le fonctionnement du communisme notamment, mais aussi le facteur interventionniste de certaines nations sur notre globe. Dame Meldovara, nous vous remercions d'avoir accepté notre invitation. Le sujet pour cette soirée, un certain manifeste Altrechtois, du politiste Kaspar Rothenstein. Entrons directement dans le vif du sujet, Dame Meldovara, semble-t-il que votre opinion soit déjà bien tranchée sur ce sujet ?"

Philosophe Kartienne, Askinia Meldovara

Askinia Meldovara-"Bonsoir, oui en effet, je puis assurément vous communiquer mes visions. En premier lieu, ce manifeste Altrechtois me paraît fort irréaliste, une utopie pour être franche. Ce que je me contenterais de nommer Ordre Mondial, à noter une institution régente du globe qui serait composée de l'ensemble de ses pays, possède une large liste de défauts..."

Présentateur-"Justement, vous employez là des termes forts. Ordre Mondial, utopie, irréalisme, votre vision demeure droite. Or, Kaspar Rothenstein affirme l'inverse de vos dires, il pourrait qualifier cette institution de prometteuse disons. La thèse principale reste avant tout que le monde est divisé en d'innombrables pôles, tous facteurs de division, nourrissant plus les tensions qu'ils ne les apaisent. Au hasard, l'exemple de l'OND et de Carnavale est pris. Carnavale, malgré sanctions et bombardements, continuerait théoriquement de prospérer."

Askinia Meldovara-"A juste titre, l'exemple Carnavalais est proposé. Toutefois n'extrapolons pas, un exemple seul n'est aucunement une vérité générale. Je tâcherais cependant de vous répondre, dans la mesure de cette possibilité limitée. Vous citez, tout comme le politiste Altrechtois, une seule et unique organisation internationale. L'OND n'est point le mal du monde, si tantôt l'on critique la division des organisations internationales, il me paraît nécessaire d'en condamner sa globalité, que ce soit l'ONC ou encore l'UICS. Un monde polarisé, revenons en. Cet Ordre Mondial, s'il venait à aboutissement, ne deviendra que le terrain de jeu de ces mêmes pôles. En bref, les membres de l'OND agiront dans leur intérêt, un groupement de pays comme l'URSN en fera de même, chaque nation œuvrera pour elle-même et non pour ce prétendu et irréaliste bien commun."

Journaliste-"Vous nous expliquez donc que chacun agira pour soi, mais n'est-ce pas précisément la situation actuelle ? Vous décrivez l'égoïsme des nations comme une fatalité, tandis que sieur Rothenstein affirme que ces intérêts seraient encadrés par cette organisation. Ne prenez-vous point ici trop vite le parti du cynisme et de la dénonciation, n'écartez-vous point qu'un Ordre Mondial, même imparfait, apaiserait un minimum les tensions mondiales ?"

Askinia Meldovara-"Des questions probantes, je l'accorde. Pour être exacte, oui, la situation mondiale est ainsi faite. Créer une institution régnante du globe, même si le sentiment initial est positif, ne changera en aucun cas la situation. Lorsque les nations concourent actuellement sur un libre champ, déplacer ces conflits au sein d'une organisation ne changera rien. En bref, ces mêmes nations ne feront que se battre sous un autre système, les tensions elles, resteront inchangées. De surcroît, un tel institut se doit d'être doté de moyens de pression, ce afin d'appliquer ces décisions. Prenons à titre illustratif la peine de mort, pratiquée par certains pays, jugée immorale par d'autres. Imaginons que l'Ordre Mondial décide d'imposer l'interdiction de cette peine sous des prétextes de droits humains, des nations y seront opposées, ce même si le vote en dit le contraire. Quels seront les moyens d'imposer cette décision si ce n'est des leviers militaires ? En bref, ce pseudo "ordre" ne sera qu'une organisation comme une autre, un vecteur de tensions."

Journaliste-"Très bien, mais j'observe donc une contradiction. Vous affirmez que cette institution serait soit impuissante faute de moyens, soit un vecteur de tensions si elle devenait justement puissante. Finalement, vous dites que quoiqu'il arrive, faible ou fort, ce projet est voué à l'échec ?"

Askinia Meldovara-"Exactement, c'est là le paradoxe, vouloir contrôler ce qui ne peut pas l'être. Croyez-vous sincèrement qu'il est possible de dompter la scène internationale ? Non, ce serait là une envie des plus démesurées. De surcroît je ne peux qu'attirer votre attention sur un fait, cette organisation sera victime de l'appropriation de certains de ses membres. A titre d'exemple, l'Altrecht souhaite accueillir les infrastructures de cet Ordre Mondial, ou bien suggère-t-il Visonza. Que ce soit l'un ou l'autre, la prétendument neutralité n'est guère possible, dès lors que l'on installe l'Ordre dans un pays."

Journaliste-"L'appropriation, c'est là l'un des cœurs de votre argumentaire. Dame Meldovara, l’argument de Rothenstein est simple, mieux vaut une enceinte imparfaite où l’on débat, plutôt qu'aucune enceinte du rien. Que proposez-vous en substitut ?"

Askinia Meldovara-"Un substitut ? Assez simplement aucun en réalité, chaque conflit nourrit l'impérialisme et l'interventionnisme de certains pays, prétextant la dorure du "grand protecteur". A cette heure le monde fonctionne sans Ordre, et il continuera de fonctionner sans."

Journaliste-"Prenons par conséquent l'exemple de Carnavale encore une fois. N'est-ce pas irresponsable de rejeter cet Ordre, sachant qu'il aurait pu trouver voie pacifique à la situation ? Estham, deux millions de morts, des frappes chimiques... Un monde sans coordination nourrit les conflits, c'est là tout du moins la thèse défendue par le politiste Altrechtois."

Askinia Meldovara-"Je me répète, Carnavale ne peut être pris comme un argument fatal. Lorsque vous bâtissez un argumentaire, l'illustrez-vous par un seul exemple ? De surcroît, lorsque l'OND est intervenu à Carnavale, la situation s'est bien plus qu'enflammée. Imaginons donc un Ordre Mondial, peut-être plus puissant, en capacité de confronter Carnavale, à noter que cette pression ne peut que se faire par la force. De quels effectifs sera composée cette force ? Dans la théorie, il faudrait que chaque membre fournisse un contingent militaire. Imaginons donc ma patrie, la République Impériale de Karty. Comme beaucoup d'autres nations, elle refusera de verser le sang de ses citoyens pour un conflit factuellement extérieur."

Journaliste-"Ah, je vois. Vous dites donc que cette organisation impliquerait des forces comparables à des sacrifices que peu d'Etats seraient enclins à fournir. Soit, faut-il conclure que toute régulation totale est vouée à l'échec ?"

Askinia Meldovara-"Dans la mesure où il n'existe pour l'heure aucune réelle organisation de stabilité ou de sécurité régionale, est-il seulement concevable d'en imaginer une à l'échelle mondiale ? J'aborde un autre point, tout aussi problématique, le système de vote. Imaginons une nation A, et une nation B. La Nation A est beaucoup moins influente que la nation B, elle dispose toutefois du même impact électoral. Dans le cas où le principe démocratique du suffrage est respecté, que gagne la nation B, qui est pourtant en supériorité initiale en terme de puissance ? Rien, elle perd même de cette puissance, en acceptant de se mettre au niveau d'Etats plus faibles. Aussi, certaines nations ne sont point reconnues par certains, dans quelles mesures sont-elles acceptées à cet organisme ? L'Altrecht elle-même n'est pas reconnu par ne serait-ce que 3/4 du globe."

Journaliste-"C'est un point intéressant que vous soulevez, Dame Meldovara. D'une part l'égalité du vote qui nivelle vers le bas les grandes puissances, d'autre part, la question de reconnaissance de diverses nations. C'est précisément là l'argumentaire de sieur Rothenstein, que les puissances faibles ou intermédiaires soient entendues. Vous semblez dire que cette égalité est une faiblesse, qui rendrait l'organisation bancale dès sa création."

Askinia Meldovara-"C'est exact. Comme je l'ai dit, une grande puissance perdrait de son poids en se joignant à cet Ordre Mondial. Je vous le demande, que serait cet Ordre sans la présence des grandes puissances ?"

Journaliste-"Ne faudrait-il donc pas accorder un poids plus important à ces puissances, une sorte de proportionnalité ?"

Askinia Meldovara-"Vous décrivez ici la scène internationale actuelle, tout simplement. Inutile de créer une organisation où les grandes puissances auraient un pouvoir, étant donné qu'elles le possèdent dores et déjà"

Journaliste-"Très bien, il semble que nous avons fait le tour de votre analyse. Nous vous remercions sincèrement d'avoir partagé votre expertise et vos réflexions..."
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Controverse communiste, premier acte


Rappels historiques.
La vision chancelloise.
Le lancement des débats.


Rappels historiques
Rappels historiques

alinéaUne idéologique qui a ravagé Karty, rien de plus, rien de mois. Des dizaines de milliers de morts, parmi civils, militaires, femmes, enfants, aucune exception, ce jusqu'au dirigeant de Karty. De fait, par leurs attentats, le Parti Communiste Kartien a réussi à assassiner le défunt Kaiser Von Blonski. Considérant ces attentats, cet assassinat politique, mais aussi l'ancienne guerre civile qui a réellement ravagé la nation Kartienne, l'ancien gouvernement par l'intermédiaire des assemblées a acté la censure du PCK...


La vision chancelloise
Chancelière Angèle Orlovski, dirigeante de la République Impériale de Karty

Chancelière Angèle Orlovski a écrit :Malgré le plan international, malgré le plan historique, le communisme et ses mouvements proches s'apprêtent à être débattus au sein du Conseil des Elus. Si je ne suis personnellement guère favorable à ces opinions, la voix populaire sera écoutée, comme toujours.

Le lancement des débats
Vice-Président de la Grande Coalition Républicaine, sieur Dragomir Karsän

alinéaEn vertu de la déclaration républicaine, faisant de la nouvelle Karty un régime à part entière, une nouvelle constitution fut adoptée. Faite sur certaines bases de l'ancienne constitution de l'ex-Saint Empire de Karty, une question se pose. L'article LIV, à noter l'interdiction et censure de tout mouvement affilié au Parti Communiste Kartien, doit-il être maintenu ? C'est là tout le principe de la Controverse Communiste, une séance au Conseil des Élus qui vise uniquement l'étude de ladite question. À cette heure, le parti politique majoritaire avec une quasi majorité absolue demeure la Grande Coalition Républicaine, ayant pour Présidente la Chancelière Orlovski. Afin de respecter convenablement la séparation des pouvoirs, le parti au pouvoir demeure le seul représenté par son Vice-Président, à noter dans le cas de la Grande Coalition Républicaine, sieur Dragomir Karsän. Également nommé maître de séance pour l'occasion, le Vice-président du parti majoritaire ouvre les débats.

Vice-Président Dragomir Karsän de la Grande Coalition Républicaine-"Mesdames et messieurs les députés, que cette séance du Conseil des Elus commence. À l'ordre du jour, vous le savez, l'étude de l'article 54 de notre ancienne constitution. Aujourd'hui, ou bien dans les jours qui suivent, déterminera un avenir historique pour la République Impériale. Soit le chemin de la conservation, soit le chemin du renouveau. Soit le maintien de l'interdiction communiste, soit le choix de lui donner la voix. Afin de commencer cette thèse, mesdames et messieurs les députés, j'octroie la parole aux représentants du Front Populaire Kartien, principaux défenseurs de cette nouvelle acceptation. Sieur Niasöy, sieur Primavera, la parole vous est donnée."
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Controverse communiste, deuxième acte


AlinéaAujourd’hui est un jour particulier. En effet, ce dernier sera peut-être marqué dans l'histoire, comme étant la possible acceptation des communistes en Karty, du moins au Conseil des Elus. Ce qui demeure déjà un possible grand pas, vers une politique davantage démocratique et plus représentative pour l'ensemble des citoyens.

C’est alors que le Vice Président de la Grande Coalition Républicaine, Dragomir Karsän, entama les premiers mots de ce débat, plaçant dès lors le sujet sur la table. Il était question de l'article LIV de l'ancienne constitution, fallait-il le maintenir ou l'abolir ? Le Président du Front Populaire Kartien ainsi que son Vice-Président étaient tous deux très concentrés, la pression qu’ils subissaient suite à la responsabilité de l'arrivée d’un possible nouveau parti allié était bien omniprésente. Tandis que Mark Niasöy relisait son texte avec un soin particulier, le Vice Président du parti au pouvoir et choisi maître de séance pour l'occasion, venait de finir son discours d’introduction en donnant la parole au Front Populaire. Dans un premier temps, la tête de liste du FPK tourna les yeux vers le maître de séance, et d’une voix bienveillante, il annonça.

Président du Front Populaire Kartien, Mark Niasöy

Président Mark Niasöy-"Bonjour, sieur Karsän, merci de m’accorder le privilège d’ouvrir ce grand débat. Il prit alors une courte pause, se tournant vers les autres députés, tant ceux de l’ultra-droite jusqu’aux centristes, tout en reprenant. Bonjour à vous aussi, très chers collègues députés, représentants du peuple Kartien, je ne peux que vous remercier pour votre présence, en ces jours lourds de sens. J’entame donc ce débat, avec une approbation historique. Oui. Les Communistes Kartiens de 1855 ont eu recours à une arme qui ne doit jamais plus être utilisée pour faire entendre l’avis populaire à cette époque, j'entends la violence. Oui, dans cette ère où la démocratie n'était qu’une idée, ces vieux communistes se sont servis des armes, ce qui a engendré des pertes importantes dans les deux camps. Il était normal qu’après la victoire dite nationaliste, le PCK soit interdit ! Pour maintenir une stabilité interne et empêcher que cela ne se reproduise, je ne peux que le souligner. Je laisse, à présent, la parole à sieur Primavera."

Vice-Président du Front Populaire Kartien, Léolio Di Primavera

Vice-Président Léolio Di Primavera-"Cependant, et pour empêcher à tout jamais une nouvelle tragédie sans précédent, notre grande République Impériale de Karty s’est démocratisée ! Offrant ainsi le droit d’expression à la droite, au centre comme à la gauche, ce qui fut une nouveauté révolutionnaire. Mais aujourd’hui, nous sommes au 21ème siècle. Depuis les communistes Kartiens du 19ème siècle, les pensées ont changées, les mentalités ont évoluées. Y compris ce Parti Communiste Kartien, a évolué. Les revendicateurs de ce nouveau parti réclament le retour des exilés communistes de nationalité kartienne, et souhaitent faire partie de notre assemblée. C'est en tant, certes Vice-Président de mon parti, mais surtout et avant tout porte-paroles de ces personnes, que je vous parle. Certains d’entre eux sont restés parmi nous, espérant un jour pouvoir être représentés parmi les murs de la démocratie. Bien que certains les détestent au plus haut point, ils n'en restent pas moins des hommes avec des idées différentes. Aujourd’hui, devant vous, par mon discours, il est temps de les accepter parmi nous, même si leurs descendants ont fait l’erreur de commettre un crime irréparable. Puisse le Kaiser Von Blonski reposer en paix. Devons-nous réellement continuer à persécuter cette descendance au-delà, et même la nouvelle génération Kartienne qui croit en l’égalité ? Cela ne peut plus durer ! Bien que nous soyons tous d’accord pour dire que cette guerre civile était une erreur, cela fait déjà 162 ans que les communistes ont été punis, et le sont toujours. Ne serait-t-il pas temps de les accepter dans notre grande République Impériale de Karty ? D'outrepasser ces vieilles erreurs du passé, commises il y a de cela presque 2 générations précédentes ?"

HRPAfin d'être réellement réaliste pour ces débats, ce n'est pas moi, Kartyusha, qui ait rédigé l'argumentaire du Front Populaire. Ce mérite revient à Draco, joueur de Barvynie, qui a été revu et corrigé par PatateS, joueur de Gallouèse. Moi, Kartyusha, n'ait fait que très peu de modifications sur le texte initial, juste de quoi faire coller à la vibe de mon pays.
5174
Controverse communiste, troisième acte


L'annoncement.
Union Centre Eurysienne.
Parti Intégration Multilatérale.
Parti Totalité Libérale.
Parti Renouveau Impérial.
Parti Reconquête Royale.


L'annoncement
Vice-Président de la Grande Coalition Républicaine, sieur Dragomir Karsän

AlinéaSieur Dragomir Karsän, Vice-Président de la Grande Coalition Républicaine, autrement dit GCR, parti au pouvoir. Deux traditions trônent au Conseil des Elus. En premier lieu, le parti au pouvoir est le seul à être représenté par son Vice-Président. De fait, le Président dudit parti étant le Chancelier, le rôle lui étant conféré dès lors sa prise de pouvoir, une obligation constitutionnelle. Afin de respecter la séparation des pouvoirs, aujourd'hui et dans ce cas, Dame Angèle Orlovski possédant à la fois le rôle de Chancelière et de Présidente de la GCR, elle ne peut siéger à l'assemblée nationale.

En deuxième lieu, pour autre coutume, la nomination du maître de séance. Chaque séance du Conseil des Elus est présidé par un maître de séance, choisi aléatoirement chacune des fois. Lorsqu'un député obtient ce rôle, temporairement donc, son parti politique doit être toujours le dernier à s'exprimer. C'est par conséquent le cas pour Dragomir Karsän, chef de file de la GCR au Conseil des Elus, et maître de séance. Tout cela s'inscrit dans la constitution, en vertu de l'article XXVII.

Vice-Président Dragomir Karsän de la Grande Coalition Républicaine-"Vos paroles sont entendues, confrères du Front Populaire Kartien. En vertu du 27ème article de notre présente constitution, la Grande Coalition Républicaine s'exprimera en dernier sur le présent sujet, ma personne portant le titre temporaire de maître de séance. Cette précision effectuée, chaque parti politique de l'hémicycle est invité à se prononcer. A noter que le Front Populaire Kartien est le principal défenseur de la thèse présentée, la remise en question de l'article 54 de notre ancienne constitution."


Union Centre Eurysienne
Vice-Présidente de l'Union Centre Eurysienne, Dame Elise Décare

Vice-Présidente Elise Décare de l'Union Centre Eurysienne-"Mesdames et messieurs les députés, je tâcherais d'introduire la vision de l'UCE par ces mots. La présentation du contexte régional est une pleine nécessité, car oui, un pays n'est pas seulement son fonctionnement intérieur, mais aussi et surtout grandement influencé par ses pays régionaux.

L'UCE demeure depuis sa création l'ambassadrice d'un projet, la naissance d'une institution régionale. C'est pourquoi nous nous réjouissons très sincèrement des actions de la Chancelière, elle qui entame des pourparlers avec les grandes puissances centreurysiennes en vue de cet institut. La coopération est une nécessité, peut-être verrons-nous un jour le développement d'espaces transfrontaliers.

Ces pourparlers se sont étendus jusqu'à la nation Estalienne, ce qui marque déjà un avancement. La nation Kartienne accepte de dialoguer avec des pays dits d'extrême gauche si ce n'est d'ultra gauche, pourquoi faudrait-il les autoriser à l'extérieur et les censurer à l'intérieur ? C'est par cette situation ma foi paradoxale que l'UCE se montre en faveur de l'abolition pleine et complète de l'article 54 de notre constitution. De plus, une telle action ne renverrait qu'un rayonnement démocratique des plus croissants.
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Parti Intégration Multilatérale
Président du Parti Intégration Multilatérale, Sieur Joseph Orvatchev

Président Joseph Orvatchev du Parti Intégration Multilatérale-"Lorsque ma collègue de l'UCE estime pouvoir organiser son discours à travers des mouvements internationaux, j'en ferais de même. Vous le savez tous, le Parti Intégration Multilatérale vise la volonté d'intégration de notre patrie au sein d'une organisation internationale, tout en particulier l'OND ou encore l'ONC. Que ce soit l'un ou l'autre, le communisme et ses dérivés ont toujours été un danger à l'international. Le Grand Kah pour l'ONC en soi, la Loduarie pour l'OND. Voyez-y la réalité de ces mouvements rouges, une entrave à notre future intégration internationale !"


Parti Totalité Libérale
Présidente du Parti Totalité Libérale, Dame Giulia Moretti

Présidente Giulia Moretti du Parti Totalité Libérale-"Si les arguments du PTL ne sont guère les mêmes que le PIM, nous observons la même position sachez-le. Le communisme, l'anarchisme et toutes ces sortes de principes révolutionnaires et dictatoriaux sont une menace pour toute économie ! Par l'abolition de la propriété privée, le communisme supprime tout simplement les bons fondements d'une économie stable. Le communisme s'inscrit dans l'exact opposé du capitalisme, système pourtant majoritairement utilisé sur le globe."


Parti Renouveau Impérial
Députée Ana Awerr, Vice-Présidente Ilta Rebelko, Président Adimir Avneaï, du Parti Renouveau Impérial

Président Adimir Avneaï du Parti Renouveau Impérial-"Hum, une question ardue en somme. Tâchons de prendre l'histoire pour ce qu'elle est, c'est bien l'Empire qui a mis fin à cette guerre civile rouge n'est-il pas ? Euh... Aussi, il est bien connu que l'Empire de Karty puis le Saint Empire de Karty furent tous deux déstabilisés par ces idioties... Evitons de répéter malencontreusement l'histoire, le PRI émet un avis défavorable, conservons ce 54ème article..."


Parti Reconquête Royale
Président du Parti Reconquête Royale, Sieur Otto Von Müller

Président Otto Von Müller du Parti Reconquête Royale-"Cessez donc d'écouter ce bêtiser ! Le Front Populaire estime pouvoir bafouer notre histoire en ces lieux ! C'est tout simplement inadmissible ! Les communistes ont jadis ravagé notre pays à de très nombreuses reprises, et voilà que vous voulez le retour des sales rouges ?! Voulez-vous sérieusement à nouveau faire tomber Karty dans les méandres du sang et de la guerre, très chers et estimés 'collègues' du Front Populaire ? Nous disons tout simplement tout haut ce que tout le monde pense tout bas je vous le dis, ces communistes devraient finir au bout d'une corde ! Vous crachez sur votre drapeau, vous insultez la mémoire de nos ancêtres ! "
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Controverse communiste, quatrième acte

Vice-Président de la Grande Coalition Républicaine, sieur Dragomir Karsän


Vice-Président Dragomir Karsän de la Grande Coalition Républicaine-"Monsieur Otto Von Müller, le Parti Reconquête Royale est prié de tenir ses propos ! Vous faites ici l'usage de menaces de morts, en êtes-vous seulement conscient ? En vertu de notre constitution et de nos lois, le PRR et plus particulièrement votre personne obtient un rappel à l'ordre, de tels propos n'ont pas leur place au sein de l'hémicycle et représentent une entrave au fonctionnement démocratique.

Ce rappel effectué, je délaisse le rôle de maître de séance en reprenant les paroles du parti que je préside, la Grande Coalition Républicaine. L'ensemble de vos partis politiques ont pu exprimer leurs avis et positions, c'est donc à la GCR de s'exprimer... En tant que Vice-Président de ce parti, j'estime, au nom du peuple, que notre assemblée nationale n'est pas apte à étudier cette question. Cette dernière relève bien plus de la volonté populaire que de la nôtre, mesdames, messieurs. C'est pourquoi, j'en fais appel au référendum, en devra être à l'origine notre Chancelière. Sous les cas d'éventuels refus, je vous prie de vous en référer à notre constitution, celle-ci qui stipule bien que le référendum outrepasse les décisions du Conseil des Elus. Ce sera tout, la séance en est clôturée.
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