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Activités étrangères au Grand Kah - Page 8

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Le velsnien libéré, la social-démocratie au cœur ! informations offertes par le Groupe industriel Falieri a écrit : Fabrizio Lograno, 16 septembre 2016

La guerre des chiffres entre Antegrad et Ouwanlinda: quand le décompte des morts devient un levier politique


Il faut avoir vécu dans une grotte ces derniers mois pour ne pas avoir entendu parler de la dernière crise politique en date en Afarée de l'Ouest. Non pas que cette région est particulièrement connue pour sa grande stabilité, ou ses régimes démocratiques, mais il faut bien l'admettre: cette affaire concerne indirectement la Grande République de Velsna, ou plutôt, elle est en lien avec un pays qui autrefois, figurait comme étant le joyau de l'ancien Empire colonial. A priori, ce facteur n'a pas grand chose à voir avec la situation actuelle, mais c'est précisément une situation de rapport post-colonial qui est à l'origine de l'escalade entre les deux nations de l'Ouwanlinda et de l'Antegrad, à savoir l'implication des deux pays dans la guerre civile gondolaise (à bien des égards, les escarmouches Ouwanlinda-Antegrad sont un conflit périphérique dans lequel se sont jetés les deux dictateurs).

Mais plus que tout, cette crise nous enseigne des éléments précieux de communication et de propagande dans un contexte de tension. En effet, au lendemain du bombardement de l'Antégrad de l'Ouwanlinda, puis de l'assassinat du chef d'état autoproclamé de l'Antegrad Idi Amar en réponse, il semblerait que les deux entités aient joué des coudes, dans un affrontement entre communicants: d'un côté l'Antegrad, soutenu indirectement par trois puissances afaréennes, en particulier Azur, et dont le soutien du Duché de Sylva, lié à l'ancien dictateur par les liens du commerce. De l'autre, l'Ouwanlinda, qui semble être en train de rassembler du soutien parmi des membres de la communauté internationale dans une optique alter-mondialiste, ce vers quoi le dictateur Ateh Olinga se dirige tout naturellement au vu de son engagement pan-afaréen débordant sur une forme locale et exotique de socialisme. En résulte une flopée d'engagements, de prises de paroles et de tentatives de tirer la couverture à soi depuis désormais plusieurs semaines. D'un côté, on argue que la mort d'Idi Amar était méritée au vu de la nature controversée de son régime et des attaques contre l'Ouwanlinda ayant précédé son assassinat, quand de l'autre on considère Ateh Olinga comme un danger public pouvant réitérer son action sur d'autres chefs d'état à sa portée. Sacré casse tête que de dénouer le vrai du faux dans un cadre où nous avons le choix entre des articles kah tanais probablement financés par son gouvernement et les communiqués du gouvernement de l'Antegrad que le Duché de Sylva paraît reprendre pour argent comptant et sans le moindre filtre, malgré encore une fois, la nature du régime antégrain où la liberté de presse n'est pas garantie.

Dans ce cadre, que nous reste-il de la vérité ? Pouvons nous seulement avoir des sources fiables sur les motivations des deux belligérants ? Sur la véracité des accusations que l'on porte contre eux ? Sur le décompte des morts ayant eu lieu jusqu'à présent ? Car il faut le noter: depuis le début de la crise, la victime de ce conflit dont on parle le moins semble être indéniablement la vérité. Les chiffres déployés par l'un ou l'autre camp, celui des victimes, serait ainsi devenus rien de plus que des éléments de communication que l'on reprend pour faire valoir sa position, et renforcer ses appuis diplomatiques. Mais qu'en est-il véritablement du bilan humain provoqué par cette crise ? Heureusement, les équipes du Velsnien Libéré sont parvenues à trouver plus amples informations sur le sujet, qui n'ont pas été faciles d'accès au vu de la nature de ces deux régimes où la rétention de la vérité est monnaie commune, et où celle-ci est bien souvent considérée comme une arme de guerre. Pour en savoir davantage, il nous faut reprendre depuis le début, et identifier les relais de communication des gouvernements en cause, aux évènements auxquels ils renvoient et au passif de fiabilité ou non des informations qui en sont issues.


La question des médias ouwanlindais: quand un dictateur dit la vérité (pour une fois)

De loin, l'Ouwanlinda est le pays qui a le moins communiqué sur le bilan des pertes depuis le début de l’escalade, se targuant de chiffres évoqués une seule fois dans le cadre des suites du bombardement antégrain de la base militaire de Cascade-Croco. Comme souvent, c'est Ateh Olinga lui-même qui assure le service après vente de la presse officielle du pays. Le chef d'état s’adresse volontiers à ses sujets/citoyens sans intermédiaire, et à priori sans beaucoup de filtres au vu des digressions observées dans ses discours. L'Ouwanlinda, pour une dictature de ce type, ne semble pas avoir les moyens d'un contrôle strict des médias du pays, à défaut d'en avoir la volonté, et une presse d'opposition, bien que relativement timide et probablement apeurée par la possible répression, semble exister. Du moins, les ouwanlindais semblent être en mesure de pouvoir obtenir des journaux étrangers. L'accès à internet en revanche, est plus difficile au vu de l'état des infrastructures numériques ouwanlindaises.

Dans ce contexte, qu'en est-il de la position ouwanlindaise sur cette "bataille des chiffres" ? Si l'on en croit les discours présidentiels, le bilan total des victimes des opérations de bombardement s'élève à quarante ouwanlindais. Olinga n'hésite pas à rappeler ce nombre de manière récurrente depuis l'évènement, ce qui confirme l'importance que prend celui-ci dans la communication ouwanlindaise, et dans l'argumentaire de la défense des actes qui ont suivi. Qu'en est-il de la confirmation ou non d'un tel bilan ? Comme on le sait, les ctioyens velsniens n'ont pas le droit de cité en Ouwanlinda, aussi l'accès à un bilan complet a nécdessité de la part de nos équipes la mise en place de quelque ruse et d'aide de la part de partenaires étrangers. Nous avons donc dû obtenir l'information tant recherché de la part de journalistes achosiens, dont le gouvernement a des vues plus favorables du régime olinganien. A partir de là, il a fallu pour ces derniers effectuer la difficile tâche de remonter les sources de l'information dans un pays où les infrastructures ne permettent le bon relais des communications, de même que son régime paraît peu disposé au reportage indépendant. Malgré tout, les défaillances étatiques du pays ont paradoxalement aidé ces derniers à passer les mailles du filet gouvernemental ouwanlindais. Et la conclusion de l'enquête a surpris notre rédaction: le gouvernement ouwanlindais semble avoir dit la vérité à ce sujet. Même si nous n'avons trouvé des informations que sur 38 des 40 victimes supposées, force est de constater que leur décès a bien été enregistré par les administrations olinganiennes, facilitées par les registres militaires, et par la collaboration que certains chefs de village ont offert à nos partenaires achosiens.

Cette nouvelle a été particulièrement surprenante du fait qu'il n'est pas courant pour un régime de la sorte de faire ainsi, la plupart préférant minimiser les conséquences humaines pour ne pas paraître en position de faiblesse. Mais ce n'est pas la stratégique qu'a adopté l'Ouwanlinda, qui compte sur un soutien international que cette action antégrine rendrait possible. Parfois, même ce type de régime peut faire usage de la vérité à ses propres fins, lorsque la situation s'y prête.


Exagérations et flou dans les médias antégrains:

C'est lorsqu'on comprend la stratégie de communication des dictatures que l'on peut identifier leurs besoins du moment. Tout comme l'Ouwanlinda, l'Antegrad doit absolument rassembler tout le soutien politique possible afin de tirer meilleur parti de la situation. Or, si l'Ouwanlinda, sur la guerre des chiffres, semble avoir vu en la vérité une chose bien commode qui n'avait pas besoin d'être déformée, il en a été bien différent pour les médias aténgrains, ou plutôt le médiat antégrain, puisque seul le Journal "Le Grain" semble être distribué en masse, et relayé par la télévision locale. L'Antregrad a une approche de la communication bien différente de son adversaire, et l'image d'une "dictature cool" est favorisée par le commerce international ai sein duquel ce pays est désormais un acteur. En effet, le commerce et les retombées financières associées permet parfois de passer l'éponge sur des aspects peu enviables de nos partenaires, que l'on aurait tendance à mettre sous le tapis pour faire bonne mesure. L'Antegrad a de la chance en ce sens, car le Duché de Sylva est un partenaire de longue date, en particulier dans le cadre du commerce d'uranium, mais nous reviendrons à son rôle plus tard.

Le gouvernenent de l'Antegrad donc, ne relaie sa communication officielle que par l'intermédiaire du Grain. Il convient donc de nous fier à la fiabilité de ce média par le degré de pertinence que ses articles peuvent avoir hors du cadre de la crise ouwanlindaise. Le Draim est un journal généraliste dont les thèmes d'actualité les plus récurrents sont sans conteste l'annonce d'exercices militaires, accompagnée d'annonces de résultat sportifs, curieux mélange qui peut laisser entendre l'existence d'une société de loisir, somme toute limitée. De prime abord donc, il n'y a que peu de conclusions que l'on peut tirer, jusqu'à le début de la crise diplomatique avec l'Ouwanlinda. En effet, il paraissait évident que le traitement médiatique du bombardement de Cascade-Croco par les deux gouvernements. Il est courant que les chiffres revendiqués de tels évènements ne soient pas les mêmes, entre deux gouvernements, et ce n'est pas là chose choquante dans le cadre de nos enquêtes. Mais de là à constater une telle différence entre le bilan des pertes donné par les autorités ouwanlindaises et celles de l'Antegrad, témoignent d'une différence de perception de la réalité que nous n'avions pas constaté depuis un certain temps. En effet, alors que l'Ouwanlinda annonce une quarantaine de morts dans le cadre de l'attaque, relativement proche des chiffres officiels et dont l'erreur semble être davantage dûe à la faiblesse structurelle de l’État Ouwanlindais, l'Antegrad de fent au même moment d'un communiqué évoquant le chiffre de "plusieurs millions de morts". Dans un premier temps, nous pouvions penser à une erreur de frappe, mais il s'avère que c'est bien là la version des évènements brandie par Idi Amar.

Au delà du caractère grotesque de la manœuvre, cela soulève plusieurs interrogations: en premier lieu, il paraît incompréhensible que les services de propagande aient considéré comme pertinent sur le plan médiatique pour les interêts à long terme de l'Antegrad: d'une part car le chiffre en lui même est totalement disproportionné et ne reflète en rien la réalité des faits observés par nos équipes, mais d'autre part, ce mensonge crée un précédent sur la propension du gouvernement antégrain à l'extrapolation et au mensonge, vis à vis de ses partenaires comme de sa propre population.

Dans ce cadre, l'attaque ouwanlindaise sur l'un des palais présidentiels aboutissant à la mort d'Idi Amar est au centre de la propagande gouvernementale antégrine, tout comme celle de Cascade-Croco est au centre de la propagande ouwanlindaise. Cette attaque au missile qui a totalement pétrifié la plupart des observateurs internationaux a été immédiatement suivie de condamnations de l'ouwanlinda par un certain nombre de nations, comme l'Azur ou le Finnjouri, qui du reste, n'ont pas remis en cause les chiffres des pertes avancés par leur partenaire, alors même que l'on connaît désormais la tendance à la déformation. Car sans en remettre en cause la nature profondément choquante de l'acte, dont la brutalité nous paraît inconnue en Eurysie, les chiffres avancés par l'Antégrad nous semblent sortis d'un chapeau.

En effet, le journal du Draim a bien entendu, au vu de l'ampleur de l'évènement, effectué une couverture médiatique de la mort du président et de l'attaque. Le bilan a été établit par ce dernier à une dizaine de morts, mettant l'accent sur le fait qu'il s'agissait de civils, sans en détailler davantage sur leur identité. Et le problème réside bien là: l'imprécision du Draim sur cet aspect semble d'entrée de jeu apparaître comme troublante, d'autant qu'aucun autre média n'a couvert les évènements, le Draim étant à priori le seul média du pays. Dans ce même article, est répété le bilan de "dizaines de millions de morts" infligés à l'Ouwanlinda lors des bombardements de Cascade-Croco, ainsi que des témoignages de manifestation devant l'ambassade de l'Ouwanlinda en Antegrad, ambassade qui n'existe pas, et d'agressions envers de supposés employés de l’ambassade, qui eux non plus, n'existent pas.

Ces éléments ont été le premier "cri d’alerte" sur le degré de confiance que l'on peut accorder aux chiffres exprimés par le Draim. Il a donc été décidé par nos équipes de procéder à une enquête sur le terrain, qui au vu du contexte politique, a été tout aussi difficile que celle effectuée par nos collègues achosiens en Ouwanlinda. Toutefois, à contrario du premier cas, il nous a été possible de nous rendre en Ategrad en personne. Sur place en revanche, il nous a été très difficile d'accéder à des informations pertinentes sur le bilan final de l'attaque. En premier lieu, les lieux du bombardement nous ont été rendu impossibles d'accès. Il a fallu donc nous appuyer sur des relais indirects, et qui ne sont pas des sources gouvernementales, ce qui a été, comme nos lecteurs pourront le comprendre, relativement compliqué à obtenir. Nous n'avons eu accès à aucune photographie de victime extirpée des décombres, ou de toute autre dépêche de presse émise par un autre média que le Draim. Pour extirper la vérité de sa caverne, il nous a donc fallu recourir à des méthodes alternatives. Car si le site de l'explosion n'est pas accessible au public, il en est autrement de l'endroit où les corps finissent leur course: à savoir les morgues de la capitale antégrine, où l’enregistrement des entrants a fait l'objet de notre part d'une enquête aussi fastidieuse que chronophage. Le résultat est sans appel: sur la dizaine de morgues recensée, aucune n'a fait état d'une entrée de corps en provenance du site de l'attaque dans les jours suivants. Cependant, dans le même temps, nous avons pu observer la mise en place d'une cellule de soutien de l'armée antégrine à neuf blessés. Se pourrait-il que le gouvernement de l'Antegrad troque blessés et morts afin d’alourdir le bilan de manière artificielle ? Probable. Cette hypothèse a été conformée par nos recherches que nous oavons également mené dans les différents états-civils de la capitale, où là encore, aucune décès associé à l'attaque autre que celui d'Idi Amar n'a été constaté.

Toute cette affaire a le mérite de mettre au devant de la scène le degré de véracité que l'on peut accorder à certains pays, ce qui n'a toutefois pas empêcher certains de tomber dans le piège...

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Brochure à diffuser aux voisins de CRAMOISIE :

VOUS ÊTES VOISIN DE CRAMOISIE ?

Quelle chance !
Mais cela nécessite quelques précautions...


Fleurs

J'habite près d'un désert chimique ?
Je suis les instructions et je reste stoïque !


ATTENTION

L'environnement CRAMOISIE© est sous contrôle mais peut avoir tendance à se propager ponctuellement...

SI TOUT DEVIENT CRAMOISI
JE CONTACTE PRINTEMPÉRIE !

La charge de l'agent chimique est faible au-delà de 300km mais si le vent vient de CRAMOISIE©, des résidus toxiques peuvent malgré tout se propager sur de longues distances.

SI CA SENT L’ŒUF POURRI
JE CONTACTE PRINTEMPÉRIE !

Le projet CRAMOISIE© a pour ambition de faire fleurir le désert en un nouveau jardin d'Eden : la flore locale n'est ni désirée ni tolérée ! Merci d'éviter la transmission de tout agent organique (pollen, graines, jeunes pousses, mycélium, etc.) en lavant vos vêtements à la javel avant de pénétrer le désert rouge (de manière générale, ne pénétrez pas le désert rouge).

SI J'INTRODUIS DES GRAINES EN CONTREBANDE
JE RISQUE UNE GROSSE AMENDE !

Le projet CRAMOISIE© est un projet de peuplement évangélique, afin de garantir le salut des âmes des colons, Carnavale souhaite éviter au maximum les contacts entre les Néocarnavalais et les autochtones afaroïdes.

SI J'AI LA PEAU LA PEAU BRONZÉE
J’ÉVITE DE TROP M'APPROCHER !

SI J'AI LA PEAU NOIRE
J’ÉVITE DE ME FAIRE VOIR !

Le désert rouge est une terra nullius, personne n'y a jamais vécu, personne n'était là, toute affirmation contradictoire pourra être considérée comme du révisionnisme historique et de l'anti-carnavalisme.

SI J'AVAIS DES AMIS SUR LE TERRITOIRE DE CRAMOISIE
VITE VITE JE L'OUBLIE !
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Communiqué de Tadashi IV, empereur des Saintes Terres du Burujoa et de tout le Peuple Burujois

L'Empire Burujoa fustige les démonstrations inconsidérées de puissance navale en Mer d’Azur et appelle à l’unité vigilante des peuples souverains contre la logique des blocs armés.

Sous la lumière immuable de Sa Majesté Impériale Tadashi IV, empereur des Saintes Terres du Burujoa et de tout le Peuple Burujois, l’Empire Burujoa adresse à la communauté des nations civilisées un message d’avertissement, de lucidité et de fermeté face aux convulsions stratégiques qui menacent à nouveau l’équilibre sacré de la Mer d’Azur.

Nous avons pris connaissance avec une vigilance inquiète de l’activation récente de forces armées étrangères dans notre sphère régionale commune. Bien que ces manœuvres ne visent pas officiellement notre auguste Empire, leur ampleur et leur théâtralité relèvent d’une logique belliqueuse inadmissible qui ne saurait être ignorée.

L’Empire Burujoa, dans sa grandeur pacificatrice, condamne sans équivoque ces démonstrations de force, qui ricanent au visage des peuples aspirant à la stabilité et piétinent les vestiges à peine cicatrisés des crises récentes. La Mer d’Azur ne peut redevenir le terrain de jeu cynique de puissances extérieures éprises de domination technique et de suprématie numérique.

Notre loyauté envers le peuple frère du Shogunat du Fujiwa reste inaltérable, forgée dans les flammes d’une histoire commune et trempée dans l’acier de notre coopération stratégique. L’Empire Burujoa, tout en refusant l’escalade gratuite, se tiendra toujours aux côtés de ses alliés véritables lorsqu’ils sont menacés par l’encerclement ou la pression armée déguisée.

Néanmoins, nous ne perdons pas de vue que certaines puissances engagées dans ces exercices sont également nos partenaires dans d’autres champs de coopération. À ce titre, nous appelons tous les camps à cesser immédiatement cette spirale d’intimidation, et à renouer avec l’esprit de non-agression mutuelle et de dialogue que cette région a toujours su incarner.

L’Empire Burujoa rappelle que la paix ne se bâtit pas sur les missiles simulés, mais sur le respect partagé des souverainetés. La véritable force d’une nation ne réside pas dans le vrombissement de ses machines de guerre, mais dans la justesse de sa parole, la rigueur de sa diplomatie et la noblesse de ses intentions.

Nous lançons un appel ultime à la raison : que cessent les jeux de guerre sur nos eaux ! Que la Mer d’Azur redevienne un espace de lumière, de commerce et de communion entre les peuples !

L’Empire Burujoa, pilier du calme parmi les tempêtes, gardien de l’équilibre entre les forces, continuera d’agir en conscience et avec grandeur pour préserver l’harmonie stratégique régionale. Ceux qui choisissent la voie de la provocation doivent savoir que les regards impériaux sont ouverts et que la mémoire de l’Empire est longue.
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ALERTE

Prévisions du centre métrologiques de Printempéribourg : puissants vents remontant l'Afarée en direction du nord-ouest.

CRAMOISIE© appelle à la vigilance : évitez les sorties en extérieur entre 8h lundi et 13h mardi (ces estimations peuvent être amenées à évoluer - consultez notre site internet). En cas de nécessité, porter un masque en tissu sur le visage et des lunettes de piscine pour se protéger les yeux. Une hydratation régulière est importante. Dans la mesure du possible, ne pas avaler sa salive en cas d'arrière-goût d’œuf dans la bouche.

En cas de choc toxique, contactez Grand Hôpital.

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Privatisations : tout doit disparaître !
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Grand Forum des mercenaires de Volterra

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La vraie liberté t'attend...

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Communiqué officiel Kah-tanais vis-à-vis d'Estham : un message appelant à la réflexion.

Alors qu'Estham connaît le pire carnage de notre ère et peut-être même de l'humanité, les réactions fusent à juste titre. Parmi elles, celle du Grand Kah qui a tenu un discours quelque peu frappant pour les populations sylvoises, d'une manière ou d'une autre selon les orientations politiques. Tout cela ne serait que la conséquence de la montée du capitalisme et de tout le colonialisme et impérialisme qui en découle, et la manœuvre militaire sylvo-nordique aurait été plus qu’inappropriée pour traiter la question. Les sylvois sont loin d'être particulièrement en désaccord avec cette déclaration, pas quand les mouvements collectivistes et communistes sont aussi forts, ou que la désapprobation des conflits est simplement aussi présente. Mais il y a un point qui gène malgré tout et à côté duquel passe le Grand Kah : la responsabilité générale à cause du laissé-faire dont tout le monde a été coupable, capitalistes comme communalistes tel que le Grand Kah. Pourquoi Carnavale ne s'arrête pas ? Parce qu'on ne l'a jamais arrêté, tout simplement. Par confort, peur voir même par complicité, l'intégralité des gouvernements ont laissé faire et seule l'OND a osé apporter une réponse concrète allant au-delà du discours d'opposition. Quand une frappe balistique a frappé un temple dans l'Empire du Nord (décidément), une réponse proportionnelle a été apportée, une réponse qui n'engageait pas à l'escalade. Carnavale s'est montré étonnement rationnelle et en accord avec ses intérêts, évitant une escalade inutile. C'est de cet enseignement que l'affaire a été réitérée pour apporter une réponse concrète qui, selon les éléments à disposition, était optimale. Quelle erreur fatale !

Mais si frapper était fondamentalement inutile, si se dresser frontalement contre Carnavale et son entreprise morbide était absolument une mauvaise idée, que faire ? Et surtout, qui s'engageait à le faire ? Là encore, tout aussi opposé que soit une frange sylvoise de la manière dont s'est menée l'intervention, il reste un élément qui fait l'unanimité : derrière le confort de la contestation passive et le rappel que seuls ceux qui tentent activement peuvent rencontrer un échec cuisant, voir stupide, il y a au final bien peu d'autres solutions qui sont proposées et encore moins qui sont appliquées.
Carnavale fonctionne de manière mystérieuse, et entendons par là qu'on ne sait tout simplement pas comment elle fonctionne et continue de fonctionner. C'est une ruine polluée, aucune forme d'organisation n'en ressort et seul la loi du pur chaos semble y faire effet. Dès lors, que faisons-nous ? Que proposent ceux qui, après avoir laissé faire tant d'année et tenu des discours pour expliquer en quoi l'opération sylvo-nordiste était vouée à l'échec ? Quelles solutions avons-nous ? Rien n'est communiqué, pas même de vague tentative d'expliquer la nécessité de créer des mouvements disruptifs en Carnavale, d'y instiguer la contestation et de la faire s'effondrer sur son poids. Pas même de belle parole sur les grandes lignes d'un plan pacifique et efficace dont on ne verra jamais les détails. Et là arrive à un second problème : la passivité générale à laquelle appelle ce genre de discours.

Carnavale n'est pas devenue du jour au lendemain une antithèse de l'humain ni une menace balistique globale. C'était progressif, pas à pas, missile par missile qu'elle s'est hissée jusque-là, sous les regards du monde, sans aucune discrétion. Personne n'a rien fait, personne ne s'y est opposée. Et ces même qui n'ont rien fait critique maintenant et appelle à... continuer de ne rien faire. Non, il ne faudrait surtout pas poursuivre l'escalade ! Il y a eu assez de mort ! Arrêter toute opposition et laissez faire Carnavale amènera-t-il à moins de mort ? Carnavale elle-même doit compter une mortalité démesurée, on ignore toujours le nombre de victimes en Kabalie. On ignore qui seront les prochaines une fois que les familles dirigeantes carnavalaises auront une nouvelle lubie. Kabalie a été entaché parce qu'on espérait s'arrêter avant un carnage, parce qu'on estimait qu'aucun massacre n'était justifié par la nécessité d'arrêter Carnavale. Et présentement Carnavale en a commis deux, et continuera d'en commettre,et il faudrait s'arrêter ? Laisser faire jusqu'à quand ?

Car là est un point important : l'opération Dreamland n'est pas juste une vengeance ni un besoin de justice. Ce serait mathématiquement idiot de réclamer des morts chez Carnavale qui n'annuleront pas ceux d'Estham ou de Kabalie. Mais ce serait mathématiquement tout aussi idiot de laisser Carnavale perpétuer son carnage abominable par peur d'assister à un massacre. Carnavale est un monstre hideux et il est strictement impossible de se dire défenseur du genre humain, et de continuer de ne rien faire et laisser faire cette bête ignoble.

Et là vient un énième problème dans le communiqué officiel du Grand Kah, jugé d'incohérence ou d'hypocrisie : comment critiquer les mécanismes capitalistes ayant débouché sur tous les maux qui nous amènent ici, quand le Grand Kah soutient financièrement Carnavale pour sécuriser sa sphère d'influence ? Les critiques contre le capitalisme et impérialisme sont pertinentes, et s'appliquent de fait à tous ceux qui se sont acoquiné avec Carnavale à un degré ou un autre pour se tailler une base de projection, une extension à leur allonge militaire.
Le Grand Kah a une base militaire en Carnavale, est parfaitement au courant de tout ce qui s'y est fait, de ce qui en sort. Les termes du contrat qui les lient sont flous, mais on se doute qu'ils sont financiers, en plus de représenter un incontestable soutien politique à Carnavale : nous faisons suffisamment confiance à Carnavale pour apprêter nos navires de guerre chez eux, elle nous fait suffisamment confiance pour nous y autoriser, nous nous entendons suffisamment bien pour contracter cet accord. Et pour quelle raison ? Surveiller la Loduarie ? Puis la Clovanie ? Puis le prochain point de tension vers lequel se tournera le regard du Grand Kah pour mener ses luttes idéologiques et l'expansion d'une sphère d'influence ? Il est d'ailleurs bon de noter que l'une des priorités du Grand Kah, au même titre que de venir au secours des populations sinistrées, est de sécuriser ces acquis.

Vient un autre secret de polichinelle que les politiciens sylvois ignorent par politesse dans les communiqués officiels : cette retenue du Grand Kah s'explique assez simplement par le bénéfice qu'il obtient du chaos général et de la fracture mondiale, et des pertes qu'il aurait à soutenir une intervention de l'OND et une coalition mondiale qui s'articulerait autour pour anéantir la menace carnavalaise, de même que la perte de Carnavale constituera, au même titre que la perte de la Loduarie, d'un point de tension en moins pour entretenir une division si profitable au Grand Kah. Cette posture n'est pas morale ni idéologique, pas directement en tout cas. Elle est avant tout politique, militaire, basée sur les intérêts : Carnavale est un monstre ignoble, laisser l'OND organiser une battue serait coalisé le monde autour d'elle, abattre la bête serait retirer une épine du pied de cette organisation.

Ces nombreuses discussions amènent à une conclusion assez pessimistes chez les sylvois qui reprendront la conclusion du communiqué kah-tanais : La Guerre restera profitable, pour tous y compris pour le Grand Kah.

Il faudra y mettre fin, quoiqu'il en coute.
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  • Généreux !
Philippe Géminéon ouvre un hôpital de campagne destiné à soigner les secouristes Kah-tanais rendus malades par Carnavale.
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La Pompe à Convictions
Un blog de Frédéric Lardon

https://www.revue-ballast.fr/wp-content/uploads/2018/11/lordon002.jpg

À paraître : À qui profite la guerre ?

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AMÉTHYSTE CASTELAGE

Améthyste Castelage

salue la déclaration de la citoyenne Meredith, une femme de paix et de sagesse.

L'actuel bombardement par l'OND de la Principauté de Carnavale, en plus de risquer la destruction de l'un des patrimoine architecturaux les plus précieux du monde, a déjà causé environ 6 000 morts selon les estimations de Grand Hôpital ce qui correspond jusque là à un accroissement de la mortalité moyenne de 0.08% à Carnavale. Les conséquences gênantes sont nombreuses pour la Principauté : perturbation de la circulation, fragilisation des structures de certains immeubles dont l'effondrement n'était pas prévu avant 2018, manipulation du cours de la bourse et déstabilisation du marché pur et parfait. Pire, elle dérange la reconfiguration interne de la Principauté suite au suicide massif de sa noblesse et l'échec de son projet eschatologique. Les chantiers ne manquent pas à Carnavale, les bombardements de l'OND n'arrangent rien à l'affaire.

Face à un tel déchainement de rouspétances mesquines, Améthyste Castelage salue la position du Grand Kah et renouvelle sa légitimité à intervenir à Carnavale pour apporter une aide bienvenue dans ces moments troublés pour la population civile. Contrairement à l'OND, le Grand Kah se montre d'une grande aide et un partenaire constructif. Les actions de l'OND en revanche n'aboutissent qu'à tout détruire, ce qu'Améthyste Castelage dénonce comme une preuve d'immaturité. Elle invite d'ailleurs les militaires à aller aider les victimes d'Estham plutôt que de faire des ronds dans le ciel de la Principauté en larguant des bombes à l'aveugle.

Concernant les demandes de pourparlers émises par l'OND, Améthyste Castelage rappelle qu'elle est joignable via le standard de la mairie au +66600007724 pendant les horaires d'ouverture. Le planning de mademoiselle Castelage qui doit réorganiser un pays millénaire est assez serré et l'OND est priée de prendre rendez-vous comme tout le monde. Aucun passe-droit ne saurait être toléré.
5193
Communication du Ministère des Affaires Étrangères.
Portant la sur déclaration des Communes Unies du Grand Kah - quelques heures après la déclaration de la Convention Générale

Blason



Le Gouvernement de Sa Majesté, à travers la voix du ministère des Affaires Étrangères réfute fermement les propos énoncés par la Convention Générale du Grand-Kah, organe des Communes Unies du Grand-Kah, concernant les actions et les objectifs de l'Organisation des Nations Démocratiques concernant la Principauté de Carnavale, dont fait partie intégrante le Royaume de Teyla.

Le Gouvernement de Sa Majesté et l'ensemble des acteurs teylais partagent l'impérieuse nécessité d'une assistance humanitaire, nécessitant une coordination avec l'Organisation des Nations Démocratiques, dans des échanges diplomatiques cordiaux. Toutefois, le ton de la déclaration de la Convention Générale des Communes Unies du Grand-Kah ainsi que le renversement accusatoire dans l'argumentation de la Convention Générale, obligent à une clarification tant sur les responsabilités et les intentions des acteurs concernés.

Premièrement, et c'est sans doute le point le plus préoccupant, sans plus de précision de la part de la Convention Générale, les Communes Unies du Grand Kah affirment que "Le nouveau pouvoir qui s'organise à Carnavale a formellement sollicité notre intervention humanitaire et a publiquement annoncé son intention de négocier l'adhésion de la Principauté à notre Union". La situation actuelle paraît bien floue à tous les acteurs en présence, y compris au sein de la Principauté de Carnavale qui subit une transition de pouvoir. Dans le contexte actuel, il est difficile d'observer une légitimité reconnue, de la part de tous les acteurs légitimes de la Principauté de Carnavale, envers la "nouvelle autorité politique" qui a fait les demandes aux Communes Unies du Grand-Kah. En outre, la légitimité et la représentativité, deux valeurs intrinsèques aux Communes Unies, ne sont pas actuellement clairement définies pour le soi-disant nouveau pouvoir de la Principauté de Carnavale.

Les Communes Unies du Grand Kah à travers le communiqué de la Convention Générale souhaitent précipiter l'entrée au sein des Communes Unies du Grand-Kah de la Principauté de Carnavale, qui reste une entité dont la réalité du pouvoir interne est incertaine, sans légitimation et représentativité reconnues par la population de Carnavale ou les autres maisons Carnavalaises. La volonté et la précipitation des Communes Unies du Grand-Kah ne ressemblent pas à une volonté semblable à un"principe universel et non exclusif" mais, hélas, à une tentative d'annexion rapide, sans que le peuple de la Principauté de Carnavale puisse avoir donné son avis de manière libre, indépendante et assurément représentative, sous le couvert d'une aide humanitaire.

De plus, la déclaration de la Convention Générale révèle une malhonnêteté sur les opérations humanitaires au sein de la Principauté de Carnavale. Comme le démontre l'opération humanitaire opérée par la Sérénissime République de Fortuna, l'Organisation des Nations Démocratiques est ouverte aux opérations humanitaires quelle que soit la nature de l'entité exerçant lesdites opérations humanitaires. Elle réitère son appel afin que les entités souhaitant participer aux opérations humanitaires contactent l'Organisation des Nations Démocratiques, afin que l'organisation soit, pour des raisons évidentes, prévenue des lieux des opérations et du nombre de personnes engagées. À cet égard, le Royaume de Teyla rappelle qu'il peut fournir une protection armée aux entités opérant des opérations militaires dans une certaine limite, l'Organisation des Nations Démocratiques n'opérant pas sur le sol de la Principauté de Carnavale.

Malgré les clarifications verbales voulues par les Communes Unies du Grand Kah, le Royaume de Teyla peine à croire les déclarations de la Convention Générale, étant donné les actions des Communes Unies du Grand-Kah. À ce titre, la Convention Générale s'étonne des déclarations du Duché de Sylva, et le Royaume de Teyla confirme que des tensions publiques basées sur des échanges privés sont un véritable problème. Toutefois, le Royaume de Teyla ne fait pas les mêmes observations concernant les causes de ces tensions publiques. Nous notons les volontés de transparence des Communes Unies, mais les simples déclarations ne sont pas suffisantes afin de dissiper les doutes au regard des échanges privés entre les acteurs, les accusations publiques et les détournements de propos des membres de l'Organisation des Nations Démocratiques de la part de la diplomatie des Communes Unies. Tous ces actes, à répétition, tendent à réduire la confiance entre les acteurs, pourtant nécessaire au bon déroulement des opérations militaires et humanitaires, ainsi qu'à la préservation de la paix et de la stabilité mondiale.

Le fait qu'un partenaire comme le Duché de Sylva des Communes Unies du Grand-Kah doive faire part publiquement de ses inquiétudes concernant les actions dont les actions et leurs intentions ne sont pas claires à l'intention de l'Organisation des Nations Démocratiques, de la défense de la Principauté de Carnavale, et du futur de la Principauté de Carnavale tendent à indiquer une perte de confiance, que ne peut balayer une communication pouvant démontrer du mépris.

Il est de la responsabilité des Communes Unies du Grand-Kah de permettre le rétablissement de cette confiance, nécessaire, entre tous les acteurs, par des clarifications, dans des échanges privés de préférence, à l'intention des membres de l'Organisation des Nations Démocratiques, du Duché de Sylva ou encore à travers une communication au Secrétaire général de l'Organisation des Nations Démocratiques. Le Royaume de Teyla encourage à un dialogue plus approfondi entre tous les acteurs concernés et sait que ses partenaires sont tout aussi impatients d'établir un dialogue approfondi afin que la situation soit le plus rapidement clarifiée pour l'ensemble des acteurs.
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La vie est parfois pleine de surprises !

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