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7 septembre 2016 - Martha Fulton, future présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes?


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Quatre ans après son départ à la retraite, Martha Fulton réinvestit le champs médiatique et politique, dans lequel elle entend décrocher la présidence de l'Organisation des Nations Commerçantes.


Son départ à la retraite était un évènement remarqué, moins de cinq ans après celui-ci, Martha Fulton fait volte face pour, je cite, "ressusciter l’Organisation des Nations Commerçantes" et provoquer plus que jamais les adhésions à "cette merveilleuse organisation porteuse de la dissuasion mondiale et de la prospérité partagée". C'est un dinosaure, au sens anthologique du terme, qui se présente aux portes de l'ONC et de sa présidence.

Une vie politique active rétablie, pour laquelle Martha Fulton entend se tenir comme la figure tutélaire d'un ancien monde dont elle s'est faite en quelque sorte la sage-femme, assistant et construisant plus d'une décennie de diplomatie alguarena. Mais si fin de carrière il devait y avoir, le cap est maintenant donné et connu, ce sera au terme d'une mandature en qualité de présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes. Un acte de consécration, dont elle n'entend pas se priver, pas tant pour des ambitions personnelles qu'elle avait déjà convenu de mettre au placard, mais considérant l'agonie environnant une institution qui s'est faite le pilier de la sécurité mondiale et du droit au libre-échange de la décennie passée.

Désignée en avril 2016 dernier, comme la représentante permanente de la Fédération d'Alguarena auprès de l'Organisation des Nations Commerçantes (ONC), l'ancienne figure de proue de la diplomatie alguarena entend bien officialiser une candidature prochaine à la présidence de cette même organisation, pour lui éviter la déshérence et l'inscrire dans les enjeux géopolitiques contemporains qui la concernent, à l'heure où les effervescences diplomatiques alimentent une rcomposition géopolitique et géoéconomique globale. Une candidature voulue, une candidature attendue, une candidature naturelle.

Ce qui avait duré des mois et s'était fait un subtil murmure dans les couleurs feutrés des plus hautes institutions du pays, court aujourd'hui derrière les actes de sa concrétisation, modélisant un narratif pour laquelle la presse locale affiche déjà un engouement desp lus certains.

Portée par une expérience dont personne au sein des institutions fédérales ne peut prétendre rivaliser, comptabilisant pas moins de seize années à la tête de la diplomatie fédérale, Martha Fulton espère profiter d'un crédit sans égal et parfosi encensé par la presse étrangère elle-même, la désignant parmi les femmes les plus influentes en 2012. Si son retour en avril dernier avait été suivi d'un enthousiasme et avait ravivé l'espoir d'un renouveau stratégique pour l'organisation marquée d'une perte de vitesse, l'annonce de sa candidature à la présidence de l'ONC en septembre prend plus d'une personne au dépourvu malgré un soutien et une approbation réelle del a classe politique. "Une feuille de route ambitieuse mais cohérente" nous confie l'un d'eux dans les couloirs du département aux affaires étrangères, couvert d'anonymat.

Au travers de sa candidature, Martha Fulton ne propose rien de moins que son énergie et sa disponibilité, pleine et entière, dans la reconstruction des leviers diplomatiques de l'organisation, au carrefour d'un monde en mutation.

Dans sa ligne de mire, la volonté de travailler de concert l'ensemble des volets, économique, scientifique et politique, pour réaffirmer les lignes rouges de l’organisation qui lui permettront d'avoir une diplomatie intelligible à chacun.

Domaine scientifique : Valoriser l'innovation et la coopération
  • Focalisation des projets internationaux sur les domaines à haute valeur ajoutée (aérospatial, santé publique, défense), concrétisés d'états d'avancement périodiques donnés à certains programmes de recherches porteurs d'amélioration sur les champs précités. Les projets pourront être relancés au travers du Bureau des Aides au Développement, afin de lui procurer seconde vie.
  • Formalisation des accords de coopération scientifiques, déplacements périodiques de chercheurs, chargés de visiter un pays membre pour la poursuite d'un projet scientifique nourri sous la forme d'un groupe de travail.
(Bénéfices hrp : axes de développement RP à l'accroissement des influences étrangères partagées).

Domaine économique : Amorcer la transparence et la compétitivité des forces et faiblesses économiques de l'organisation.
  • Mise en place de rapports économiques récurrents sur les flux d’import-export, contre subvention de l'organisation, sous réserve d'une restitution rigoureuse.
  • Compilation harmonisée des dispositions légales nationales (droit du travail, normes sociales, salaires) pour évaluer la compétitivité de chaque économie.
  • Mise en relation des états membres avec un organisme de prêts bancaires à taux préférentiels, doté de garanties interétatiques adaptées aux besoins des pays membres en développement.
  • Annuaire stratégique des grandes entreprises multinationales, pour renforcer la lisibilité et la gouvernance économique mondiale.
(Bénéfices hrp : intégration des pays membres aux supports et aides annexes à la plateforme : la carte des imports/exports de Mesolvarde,
Vue d'ensemble sous un formulaire des visions économiques, sociales, religieuses de chaque état membre,
dépoussiérage de la Banca Pasatiàs,
Développement du lore économique national via les entreprises stratégiques, par exemple comme il en est question en Alguarena sous le volet économique).

Domaine politique : réaffirmation des mandats et lignes rouges.
  • Evaluer les impacts des mesures de l'ONC sur ses Etats membres, pour restaurer l'adhésion autour des décisions collectives ou les révoquer si nécessaire.
  • Redéfinir des objectifs à l'ONC, avec l’identification des lignes rouges diplomatiques et clarification si nécessaire des mécanismes d'action de l'organisation. En l'absence d'adhésion à ces lignes rouges, il sera peut-être nécessaire d'évoquer les conditions dans lesquelles un état membre souhaite définitivement se retirer de la présente coopération.
  • Dialogue structuré et liaisons privilégiées avec les grandes organisations internationales, notamment l'OND et le Liberalintern pour normalisation les relations et rationaliser à chacun les enjeux et les objectifs de nos organisations respectives.
  • Commande d'une étude autour des capacités militaires de chaque état membre, pour identifier les moyens de dissuasion actuels et ses lacunes.

Avec Martha Fulton comme présidente de l'organisation, nul doute que l'ONC peut s'offrir les moyens d'un leadership affirmé et au rayonnement puissant, au service d'une feuille de route destinée à restructurer l'organisation dans son fond. A 79 ans, Martha Fulton ne semble avoir rien perdu de son dynamisme et de sa volonté, tranchante et ne fuyant aucune discussion, elle a d'ores et déjà indiqué que les ambitions escomptées pour l'organisation ne pourraient souffrir de la tiédeur et du scepticisme de ses états membres dont le changement de gouvernance a pu redéfinir ds caps différents. Respectée pour son indépendance de pensée, elle incarne à travers ces premiers éléments de langage, une diplomatie sans fioriture, lucide et résolument tournée vers la coopération pragmatique. Son retour sur le devant de la scène mondiale intervient dans un contexte où l'ONC a cruellement besoin d’une voix forte, simultanément technicienne, stratège et visionnaire.

Pour le nouveau président fédéral Luis Saragoza-Medina, sa présence est un atout stratégique majeur : elle lui offre un relai naturel et d'expérience vers les cercles diplomatiques mondiaux tout en conférant à son jeune gouvernement une assise crédible et expérimentée. "Martha Fulton, c'est la Mazeri Abrogara que Luis Saragoza-Medina aurait aimé avoir durant son mandat, sous forme de tuilage..." explique un député du MPF.

Une aide, un atout et une réponse? Une réponse en tout cas espérée aux défis mondiaux, qu'il soit question de ceux croissants dans la Paltoterra, ou bien de l'état du commerce mondial et des institutions internationales décriées et inaudibles. "On voit de plus en plus les gouvernements agir sous bannière seule, les organisations internationales ne sont plus audibles. La redynamisation de l’Organisation des Nations Commerçantes donnerait assurément le "La" d'une dynamisation générale des autres institutions, posées en miroir à celle-ci.

Martha Fulton, sa candidature, le cap, notre vision.

Au-delà des réformes préalablement exposées, Martha Fulton entend porter ou rapporter une philosophie, celle d'un multilatéralisme, éclairé, solidaire, mais ferme dans les positions qu'il aura souhaité établir. Une fermeté et un sens de la promesse donnée encore mis à mal aujourd'hui par l'échec militaire de la défense du Prodnov, face à une force communiste invasive et contre laquelle une partie des gouvernements alliés ont fait preuve, selon les termes de Mazeri Abrogara à l'époque, de déloyauté envers les engagements politiques et militaires formulés auprès de la République du Prodnov Libre.

Indépendamment de ce qui adviendra de sa candidature au sein de l’organisation, celle-ci trouve déjà à l'échelle de l'archipel, un certain soutien plurisectoriel entre l'opinion publique et la classe politique, toutesl es deux prêtes désireuses de rallier un projet aux heures fades de la nostalgie d'une situation ébranlée par les mutations d'une époque rendue insaisissable à ses états-membres.
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J'habite près d'un désert chimique ?
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L'environnement CRAMOISIE© est sous contrôle mais peut avoir tendance à se propager ponctuellement...

SI TOUT DEVIENT CRAMOISI
JE CONTACTE PRINTEMPÉRIE !

La charge de l'agent chimique est faible au-delà de 300km mais si le vent vient de CRAMOISIE©, des résidus toxiques peuvent malgré tout se propager sur de longues distances.

SI CA SENT L’ŒUF POURRI
JE CONTACTE PRINTEMPÉRIE !

Le projet CRAMOISIE© a pour ambition de faire fleurir le désert en un nouveau jardin d'Eden : la flore locale n'est ni désirée ni tolérée ! Merci d'éviter la transmission de tout agent organique (pollen, graines, jeunes pousses, mycélium, etc.) en lavant vos vêtements à la javel avant de pénétrer le désert rouge (de manière générale, ne pénétrez pas le désert rouge).

SI J'INTRODUIS DES GRAINES EN CONTREBANDE
JE RISQUE UNE GROSSE AMENDE !

Le projet CRAMOISIE© est un projet de peuplement évangélique, afin de garantir le salut des âmes des colons, Carnavale souhaite éviter au maximum les contacts entre les Néocarnavalais et les autochtones afaroïdes.

SI J'AI LA PEAU LA PEAU BRONZÉE
J’ÉVITE DE TROP M'APPROCHER !

SI J'AI LA PEAU NOIRE
J’ÉVITE DE ME FAIRE VOIR !

Le désert rouge est une terra nullius, personne n'y a jamais vécu, personne n'était là, toute affirmation contradictoire pourra être considérée comme du révisionnisme historique et de l'anti-carnavalisme.

SI J'AVAIS DES AMIS SUR LE TERRITOIRE DE CRAMOISIE
VITE VITE JE L'OUBLIE !
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1er novembre 2016 - Le président fédéral Luis Saragoza-Medina voit dans l'intégration de la Grande République de Velsna à l'ONC, les limites de l'ouverture de l'organisation.

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Extrait d'un échange privé, et même en fin de compte, d'un plaidoyer, explicitant les leviers du Président-fédéral alguareno Luis Saragoza-Medina, pour freiner la candidature velsnienne pour l'ONC.


Luis Saragoza-Medina : Très chère Martha, je te remercie vivement de donner suite aussi rapidement à mon rendez-vous, toi qui doit être je l'imagine assez bien, sur mille fronts après ton investiture. J'aurais préféré mêler cet échange à un bon repas à El Bradillo, nous devrons nous contenter de cet échange téléphonique. Problème de riches dirons-nous !

Martha Fulton : Mon cher Luis, je t'en prie. Mais tu sais au-delà d'un restaurant j'aurais pu préférer mêler à cet échange de rapports formels, de courbes et graphiques un peu pus explicites. J'ai lu ton mémo et même si j'en comprends l'idée générale, les arguments peinent encore à me monter à l'esprit.

Luis Saragoza-Medina : J'étais conscient de la pesanteur de votre agenda, je ne voulais pas l'accabler davantage de fichiers qui n'auraient eu que pour effet immédiat d'allonger inutilement l'objet de cette réunion. Aussi je me permets ce discours plus ou moins direct, je le conçois tout à fait !

Martha Fulton : Partagez l'objet de vos tourments Lulu, mais je ne crois que trop peu à la coincidence des agendas et semble entrevoir les raisons de votre sollicitation.

Luis Saragoza-Medina : C'est le gage d'une clairvoyance qui finira e convaincre tout le monde de votre appétence pour le poste !

Martha Fulton : Ô flatteur flagorneur, partagez moi votre besoin, que l'on voit ensemble comment vous en passer.

Un rire débridé passa au travers du binôme, dévoilant ses zygomatiques, se faisant le signe d'un bref passage à vide de Luis Saragoza-Medina, qui se sait désormais attendu sur la qustion.

Luis Saragoza-Medina : Et bien l'honnêteté m'oblige à vous confier comme la candidature de Velsna vient m'inquièter au plus haut point. Non pas par une vieille xénophobie économique dont Ulvèz Perogalata saura mieux soigner sa mise en scène populiste que moi non, mais par souci de cohérence institutionnelle. Car s'il est bien question d'une adhésion de Velsna à l'ONC sur le papier, m'est avis que la Grande République de Velsna propose non pas en réalité d'adhérer à notre logique mais de faire adhérer l'ONC à la sienne. Cette étude de candidature, c’est rien de moins qu'une greffe sur notre institution, d'un corps étranger.

Martha Fulton : Etranger, on y vient xénophobe !

Un rire complaisant ponctuant l'instant de la conversation. De l'humour, mais dans les faits il est très probable que les deux n'en pensent pas moins... Ce qui incita d'ailleurs Martha Fulton a renchérir à rebrousse poils.

Martha Fulton : Vous savez aussi bien que moi que l'Organisation des Nations Commerçantes doit trouver un second souffle. Ceci ne passera nécessairement que par l'intégration de sensibilités nouvelles que la Grande République de Velsna peut se prévaloir d'incarner. Le retrait catastrophé d'une partie du contingent du maintien de la paix au Prodnov, le tarissement des contributions du Miridian, le repli politique du Lofoten sur les questions de politique étrangère de l'ONC, ce n'est pas mainte affaire qu'il nous faut solder, avec l'aide nous l'espérons de Velsna.

Luis Saragoza-Medina : Mais Martha, ouvrir la porte n’implique pas d'abdiquer autour de nos fondations. La Grande de Velsna était en guerre civile il y a encore quelques années. Savez-vosu seulement avec qui l'on partage le pain?

Martha Fulton : Le Bajusid et le Pontarbello étaient aussi en guerre il y a moins de dix ans. Soupçonnez vous qu'ils puissent présenter un quelconque danger pour la coopération avec l'Alguarena. Pure rhétorique nous savons pertinemment que non. Velsna se présente désormais sous les traits d'un acteur stable, prospère et investi, avec une structure juridique et politique limpide, pour faciliter nos échanges. Refuser un CV comme le sien serait un message terrible envoyé au reste du monde.

Luis Saragoza-Medina : Velsna n'a même pas posé sur la table les conditions de son intégration à l'organisation. Quel alignement tarifaire? On parle de la troisième puissance mondiale tout de même. Quelles sont les billes qu'il entend faire valoir pour détenir une candidature qui pèse? Une guerre civile, des mafias... Ces types ce sont une main tendue ou un bras tordu? Interrogeons-nous...

Martha Fulton : C'est l'avantage premier des fonctionnaires de cette organisation que d'adopter une mesure de la situation qui transcende les cas individuels. Oui, l'intégration de Velsna ne sera pas sans difficulté pour certains états membres qui, par l'ouverture de voies commerciales maritimes internationales à Velsna, l'intégration du pays à nos tarifs préférentiels, vont essuyer une concurrence plus aiguë qu'elle ne l'a jamais été. On parle et vous l'avez dit, de la troisième puissance mondiale.

Après s'il fallait vous administrer un "tranquillisant oral", je vous indiquerais que l'économie mondiale est actuellement en reflux. Les petits Etats s’agrippent aux flux logistiques comme à des bouées, aussi dans le cas de Velsna, si Velsna devient membre, nous sécurisons un réseau commercial couvrant deux hémisphères, avec un accès facilité aux ressources clés de nos industries auprès de zones eurysiennes politiquement désarticulées. Des zones eurysiennes désarticulées, si bien qu'elles n'ont pas de leader à la détermination de coûts d'export que nosu serions en mesure d'imposer. La Grande République de Velsna a une économie suffisamment structurante pour porter avec elle une politique commerciale régionale, je préfère l'avoir de notre côté de la fenêtre plutôt que l'autre...

La flotte marchande de Velsna on y a pensé? Sans le chiffrer avec exactitude on devine assez facilement qu'il doit avoir autant de navires de fret civils que Fortuna, pour la simple et bonne raison qu'ils doivent quotidiennement mettre ne place des liaisons de biens et de personnes entre leurs territoires ultramarins. Intégrer un nouveau membre qui justifierait peut-être d'une flotte marchande sensiblement proche à celle de Fortuna, ce n'est pas une annexion mais le gage d'une injection d'oxygène pour un réseau commercial mondial qui nous profitera à tous.

Luis Saragoza-Medina : Mais tout ça à quels prix Martha? Ne pensez-vous pas que Velsna ne transportera pas plus e produits d'états membres que celui de ses concurrents? Ses sociétés traitant avec nous, dans le cadre d'un accord de tarification préférentiel, son secteur privé tirera mieux profit de contrat passé à l'extérieur de l'organisation. Nous avons passé plus de quinze ans à viabiliser l'agriculture fédérale, à recouvrir une indépendance agricole. C'est un saut dans l'inconnu, à pieds joints. Si on laisse une flotte marchande velsnienne gagner nos côtes sans contrepartie douanière d'ampleur.

Martha Fulton : J'AI passé. J'étais la conseillère fédérale aux affaires étrangères de Mazeri Abrogara, il n'y a pas un accord ou une mesure gouvernementale que je n'ai pas eu à lire. Aussi justement, plutôt que laisser mourir ces agriculteurs, ne leur offririons nous pas l'accès à des crédits velsniens? Velsna on l'a dit, c'est neuf millions de personnes qui sortent d'une guerre civile et demeurent encore à couteaux tirés. On ne s'accordera pas Luis, c'est aux membres de l'ONC de négocier leurs partenariats, nous on créait des opportunités. Velsna en est une. On ne peut pas se murer derrière des montagnes de sel quand le commerce et les lois du marché s'expriment. Je te rappelle pas où l'on est...

Luis Saragoza-Medina : Ne mélangeons pas la vitalité velsnienne avec sa voracité. Les autres états, exception faite peut-être de l'Alguarena, ne pourront soutenir des perspectives de croissances identiques à celles velsniennes. Si les capitaux sur place ont à choisir, ils préféreront Velsna c'est sûr.

Martha Fulton : Et c'est pour ça que, identiquement à ces capitaux, les autres états membres auront à faire des choix. En ma qualité de Présidente de l'ONC j'ai fait les miens. Je ne bloquerai pas une candidature comme celle-ci. Soit dit en passant, le jour dédié au vote est déjà posé au calendrier, je ne le supprimerai pas pour des situations d'effarouchement face à ce que nous essayons de créer à l'origine même de cette organisation, des dynamiques commerciales prospères et des opportunités faites à chacun d'entreprendre, de bâtir. Navré Luis, je n'ignore pas tes craintes, sache-le. Et je ne les méprise pas non plus, loin de là. Tu es comme toujours, un marqueur de précaution et de probité phosphorescent, c'est-à-dire prêt à briller dans les nuits les plus sombres. Mais là, nous sommes à un stade où il faut sauver l'architecture même de l'organisation, par des économies qui pèsent, à une heure où des économistes nous disent que la deuxième puissance mondiale tiendrait son économie de phalanstères et de coopératives.

Si nous attendons que chaque intégration soit précédée d'une tripotée de normes pour l'harmonisation de chaque point économique de nos balances commerciales, nous allons mourir d'immobilisme. La Grande République de Velsna est une opportunité. Brutale, clairement oui. Mais réelle. Et surtout, rare.

Luis Saragoza-Medina : Alors toi et les autres, vous êtes décidée ?

Martha Fulton : Je le crains Luis, je suis favorable à son intégration. Mais je suis disposée à ce que vous fassiez sortir un groupe e travail que l'on pourrait présenter ocmme une cellule d'aide à l’intégration de Velsna. Les sujets et les nécessités d'investissement ne manqueront pas au lendemain de son intégration. J'attends encore quelques votes mais tout porte à croire que nous aurons consensus favorable...
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ALERTE

Prévisions du centre métrologiques de Printempéribourg : puissants vents remontant l'Afarée en direction du nord-ouest.

CRAMOISIE© appelle à la vigilance : évitez les sorties en extérieur entre 8h lundi et 13h mardi (ces estimations peuvent être amenées à évoluer - consultez notre site internet). En cas de nécessité, porter un masque en tissu sur le visage et des lunettes de piscine pour se protéger les yeux. Une hydratation régulière est importante. Dans la mesure du possible, ne pas avaler sa salive en cas d'arrière-goût d’œuf dans la bouche.

En cas de choc toxique, contactez Grand Hôpital.

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5 novembre 2016 - Martha Fulton officialise l'acceptation de l'Organisation des Nations Commerçantes à voir la Grande République de Velsna intégrer ses Etats-membres.

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Wilster, Martha Fulton lors d'une conférence extraordinaire de l'ONC, le 5 novembre 2016 à 10h42 au cours de laquelle elle a officialisé l'intégration de la Grande République de Velsna.

Comme un fait exprès, les rayons du soleil illuminaient avec une certaine vigueur la salle du bâtiment de l’Organisation des Nations Commerçantes en Alguarena, comme si la volonté d'offrir à cet instant une dimension appréciable et chaleureuse était connue d'avance, alors même que Martha Fulton, présidente récemment élue de l'Organisation des Nations Commerçantes, venait seulement de franchir la double porte qui la jetait désormais face à un parterre de journalistes venu relater ses propos. Un bâtiment officiel, institutionnel, porteur d'une architecture que les détracteurs de l'organisation pourraient qualifier d'orgueilleuse, conceptualisé autour de voûtes marbrées et de balcons chargés en ornements avec en tête les drapeaux se référant à l'organisation ou à ses Etats membres.

A l'approche de la présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes, les délégués des états membres présents à l'allocution se distinguèrent moins nettement, tant la présence de Martha Fulton se voulait un fait remarquable à chacun. Petite, fragile, énergique, distinguée, Martha Fulton était un ensemble de tout et son contraire. Une moustache portée au centre d'un visage féminin, un zèbre dépourvu de rayures, une voiturette montée sur les routes d'un monster-truck. Tout et son contraire. Un contraste saisissant pour une personnalité insaisissable.

Pour autant aujourd'hui, le centre de l'attention était finalement ailleurs, tourné vers la Grande République de Velsna qui avait, plusieurs mois auparavant, signifié sa candidature pour rejoindre l'Organisation des Nations Commerçantes sous un statut d'Etat membre. Une initiative, une aubaine, mais qui restaient malgré tout suspendues à quelques sources d'appréhension comme tout d'abord la stabilitép olitique de la Grande République de Velsna, après la récente guerre civile qui a vu s'affronter plusieurs familles patriciennes telles que les Di Grassi, les Scaela et les Vinola. La question des perturbations commerciales étaient également sur la table, considérant le poids économique de Velsna dans le paysage mondial et l'incapacité d'une partie de l'ONC à surclasser le tissu économique velsnien.

Pour la circonstance, les visages étaient donc graves mais enjoués, considérant les opportunités tracées par la Grande République de Velsna, reléguant à la marge les incertitudes nées de sa situation politique passée. Dans le premier rang, les délégations de Fortuna, du Lofoten et d'Alguarena échangeaient quelques regards complices, témoins de la genèse déjà ancienne des liens diplomatiques ayant abouti à cette cérémonie. Derrière elles, les journalistes accrédités observaient la scène avec une tension contenue, leurs micros déjà levés en attente des premiers mots.

A la tribune, les caméras fixèrent la silhouette élégante de Martha Fulton, drapée dans un tailleur noir sobre, mais qui n'enlevait rien de l'aura projetée au départ du personnage. Son visage demeurait impassible, presque méditatif. Il ne trahissait ni la solennité du moment, ni le poids de la charge qu'elle portait, après avoir récemment été élue le mois précédent. Derrière elle, les membres du Comité d'admission de l'ONC, pour une large partie les représentants des membres fondateurs, s’étaient levés d’un seul bloc lorsqu'elle avait pris place. A l'exception de Martha Fulton, aucune individualité transparaissait, aucune tête ne sortait du cadre.

La présidente de l'ONC, Martha Fulton, adressa quelques salutations, aux personnes qu'elle crut reconnaître plus loin dans la salle. Ce fut seulement ensuite, d'une amorce calme mais audible à chacun, soutenu par une conviction intarissable, que la présidente de l'organisation des nations commerçantes prit la parole. Et Martha Fulton amorça ce qui allait devenir l'un des discours les plus importants de sa présidence : celui porté sur l'intégration d'un nouveau membre, des années après une relative léthargie de l'organisation, une léthargie largement alimentée par l'échec du maintien de la paix au Prodnov et l'invasion de son territoire par un invraisemblable rouage d'infanterie à la logistique sommaire ou inexistante.

"En Velsna, nous avons vu plus qu’un simple acteur commercial émergent, nous avons vu une nation au destin poussé par les vents du commerce, une République forgée dans la volonté populaire et un Sénat qui a su choisir le cap de la modernité, du pragmatisme et de la solidarité intercontinentale, aux heures les plus sombres de notre temps, dans un monde en perte de repères. L'Organisation des Nations Commerçantes, engagée dans la pérennité des flux commerciaux et dans la stabilisation des cours internationaux visant à permettre à chacun un approvisionnement et la satisfaction des besoins nationaux sous contrôle, est l'un deux.

Trois mots pour une doxa palpable à chacun : Paix, prospérité et partage. Trois mots créant le microcosme dans lequel les membres de l'organisation entendent inlassablement se projeter.

Aussi, nous avons perçu dans la demande d'adhésion velsnienne en avril dernier, plus qu'une requête administrative, une sorte de manifeste politique. Le partage d'une vision éclairée, la poursuite d'une ambition commune. Car devant la gravité de l'instant qui voit notre monde roulant au sommet d'une colline cernée de lave et du chaos, l'affirmation et la réaffirmation de nos idéaux sera synonyme de second souffle à même de taire les flammes qui entendent nous dévorer.

L'ONC AVEC VELSNA, VELSNA AVEC L'ONC !

L'intégration de la Grande République de Velsna à l'ONC n'est pas un évènement, mais une suite logique. Une suite logique donnée à un acte de foi tourné vers les idéaux d'une coopération économique étrangère aux entraves, affranchie des postures archaïques et des blocages idéologiques. L'ONC, elle, est une porte et chaque état-membre une poignée destinée à ouvrir le monde d'opportunités derrière elle. Aussi symboliquement que ça, l'ONC fait aujourd'hui le choix d'ouvrir ses portes à la Grande République de Velsna.

Réjouissons nous de voir la Grande République de Velsna, troisième puissance économique mondiale, s'inscrire à la faveur de notre projet. Une volonté perceptible dans un engagement passé avec la Sérénissime République de Fortuna, une diplomatie active avec les Provinces-Unis du Lofoten et des partenariats naissants avec le Miridian.

En dépit des crises politiques qui ont secoué votre illustre et grande République, nous avons été attentifs à la manière dont vous avez su faire du commerce un outil de paix, de stabilité et de projection. Votre entrée dans ce cercle est l'évidence.

Bienvenue et merci !

Car à travers cette adhésion, la Grande République de Velsna ne vient pas égoïstement frapper à notre porte avec l'ambition égocentrée de renforcer son propre appareil commercial, non. Elle vient, comme l'a honorablement rappelé votre candidature, annoncer ses intentions de concourir à la structuration commerciale de notre monde, celle qui donne son lot de riz au juste prix à un wanmirien miséreux, celle qui fournit à un mesolvardien les matières premières nécessaires au maintien de ses activités industrielles. Le commerce qui compte vraiment, surpassant les logiques partisanes."
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Jean Texteur souhaite racheter le club de Calcio de Munda

Le prétendu milliardaire ayant la double nationalité teylaise et samienne a, dans une interview accordée à la presse velsnienne, énoncé son souhait de racheter le club de Calcio de Munda, qui serait, selon les rumeurs, en vente. Bien que les dirigeants aient réfuté vouloir vendre, la plupart des membres de l'industrie du football velsnien estiment qu'il s'agit d'une stratégie pour faire monter le prix de vente. Décryptage.

L'homme qui disait il y a dix ans, dans un style provocateur rarement inégalé : "Je suis favorable aux crises économiques, ce sont des périodes durant lesquelles je m'enrichis", avait-il dit en marge d'un forum économique à Samiens, souhaite racheter le très mythique club de Calcio de Munda. Cette phrase n'était pas passée inaperçue à l'époque et avait fait naître une polémique qui avait terminé chez les politiques, avec des réactions de tout le champ politique. Toutefois, force est de reconnaître, outre l'aspect moral de sa phrase et de ses actions, que le prétendu milliardaire, "autodiagnostiqué milliardaire", comme il l'a fait écho il y a deux mois sur le réseau social, a fait fortune dans le rachat d'entreprises de toute sorte en faillite pour les revendre à prix d'or. Ce modèle d'affaires, centré sur l'acquisition d'actifs "en difficulté" pour les restructurer et les céder avec une forte plus-value, s'appliquerait-il désormais au football ? Le Calcio de Munda, club emblématique de la Grande République de Velsna, mais dont les finances sont dans le rouge et dont le domaine sportif pâtit de plus en plus de la situation financière du club, semble correspondre au profil recherché par Jean Texteur dans sa quête de revente des entreprises en situation de faillite.

En postant sur Echo Internationale sa prétendue fortune, Jean Texteur met la pression sur les dirigeants du Calcio de Munda. En outre, poster ce post à cette période, deux semaines après une interview annonçant son intérêt pour l'achat du club, l'homme d'affaires à la double nationalité tente de mettre la pression sur les dirigeants en s'attirant la bienveillance des supporters du club. La manœuvre audacieuse, mais habituelle pour l'homme d'affaires, place Jean Texteur comme un sauveur du club et que les dirigeants actuels doivent vendre le club. Certains y verront une astucieuse manœuvre pour que le club survive, d'autres y verront une manœuvre cynique dont l'objectif est de faire baisser le prix d'achat du club. L'objectif de la manœuvre est aussi de rassurer les journalistes sportifs, les dirigeants du club et les supporters quant à la capacité de Jean Texteur à mettre les fonds nécessaires pour assurer la survie du club. En effet, la carrière de Jean Texteur est bien entendu remplie de réussites économiques, mais elle est remplie tout autant d'échecs "malheureux" selon les membres de son entourage, mais qui "s'expliquent par un contexte défavorable à chaque fois", toujours selon son entourage.

Jean Texteur en a dit plus dans son interview à un média velsnien, affirmant que le projet s'inscrira dans un projet à long terme et de réussite sportive. Un moyen efficace pour contrer une image de "vautour" que voudraient lui coller les supporters méfiants quant à un rachat par le Teylo-Samien. Mais l'homme d'affaires aura à gravir une montagne devant lui pour convaincre les ultras du club. Un des supporters a déjà prévenu sur Echo International : "On ne veut pas d'un magnat de l'argent, mais d'un homme qui respecte notre identité !". La rhétorique et les arguments de Jean Texteur n'ont visiblement pas suffi à convaincre l'ensemble du public velsnien qui reste dubitatif. Toutefois, prévoyant de telles réactions, Jean Texteur aurait déjà préparé une contre-offensive. Des rumeurs persistantes dans le milieu des affaires teylais et samiens, et relayées par la presse spécialisée, font état de son intention de dévoiler prochainement des plans concrets qui iraient bien au-delà du simple rachat. Ces rumeurs disent que l'homme d'affaires voudrait faire de la rénovation des infrastructures du club la priorité de son action lors de son arrivée au club. Des grands noms du football velsnien sont évoqués dans les soirées, dans lesquelles on retrouve l'entourage de Jean Texteur, pour des nominations à la direction sportive du club.

Le rachat d'un club velsnien n'est pas anodin et sera bénéfique à l'homme d'affaires. Le football est un marqueur politique au sein de la société velsnienne. Cette politisation du sport donne de la visibilité aux clubs professionnels, qu'ils soient au top de leur forme ou de leur méforme. Il ne faut pas s'y méprendre, le rachat d'un club aussi important dans l'histoire du football velsnien permettra à l'homme d'affaires d'établir des connexions avec les milieux économiques velsniens et même politiques, si ce rachat doit être aidé ou validé par les plus hautes sphères politiques velsniennes. Le club de Calcio bien géré et sportivement convaincant sera une machine à influence dans le paysage velsnien et pourrait convaincre des vendeurs hésitants de vendre à Jean Texteur si le projet au Calcio est réussi. Mais tout d'abord, le rachat doit être validé par toutes les parties, ce qui n'est pas encore fait.

D'autres rumeurs circulent à propos des projets de l'homme d'affaires. Celui-ci souhaiterait bâtir une galaxie de clubs sportifs avec des projets ambitieux à l'international et pour chaque club sportif. Il userait de la méthode qui a fait sa réussite, à savoir le rachat de clubs en faillite. Une affaire de réussite et de chance pour Jean Texteur ?


Journal de la République Concordienne et Fédérale de Samiens
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11/02/2017

Le Courrier de Troitsiv

Quel avenir pour la Kresetchnie au sein de la Ligue de Velcal ?

Viktor Bodnar, Président de la Confédération de Kresetchnie
Le Président de la Confédération de Kresetchnie, Viktor Bodnar, s'est rapidement exprimé concernant la position du gouvernement confédéral sur une éventuelle réforme de la Ligue de Velcal.

Une situation incongrue. Par son adhésion à l'Organisation des Nations Commerçantes, la Grande République enfreint les règles d'adhésion de la Ligue de Velcal, pacte de défense à la création duquel elle est elle-même à l'initiative, contredisant par ailleurs le préambule de la charte fondatrice de l'alliance rédigé par ses propres sénateurs, lequel stipule que le pacte a vocation à « briser la mécanique de domination des grands blocs et des hégémonies ». Il est difficile de ne pas inclure l'Organisation des Nations Commerçantes dans cette catégorie, celle-ci ayant été fondée notamment sous l'impulsion des Îles-Fédérées d'Alguarena qui représentent de loin la première puissance économique et militaire mondiale. Il faut dire que la politique extérieure de la Grande République a bien changé depuis ces temps reculés où elle se hissait en défenseur du tiers monde contre les grands blocs de puissance. Se plaçant jadis au premier rang de la lutte contre l'hégémonie de l'Organisation des Nations Démocratiques sur le continent eurysien, l'élite sénatoriale velsnienne en est aujourd'hui réduite à s'aligner sur les intérêts d'Aserjuco tout en copulant avec Manticore, fer de lance de l'OND sur le continent. Au-delà des incohérences juridiques que pose l'irrespect de ses propres clauses par la diplomatie velsnienne, la cumulation de ces engagements défensif, auprès de l'ONC d'un côté et de la Ligue de Velcal de l'autre, semble incompatible avec le respect d'une ligne diplomatique claire et structurée.

Visiblement bien consciente de ces écueils, la Grande République a pris l'initiative de proposer un plan de refonte de la Ligue de Velcal. Annulant totalement le caractère multipolaire de l'alliance, le projet a vocation à transformer en ligue commerciale libre-échangiste protégée de manière unilatérale par l'armée velsnienne, devenant de fait une annexe mineure de l'ONC sous protection de la Grande République. L'adhésion de cette nouvelle mouture revient à un bouleversement total du jeu d'alliances et de l'orientation diplomatique de ses membres, les alignant sur l'un de ces grands blocs vis-à-vis desquels ils réclamaient jusqu'alors leur droit à l'indépendance. Du côté de la Confédération de Kresetchnie, elle-même membre fondatrice de la Ligue de Velcal, une éventuelle position favorable à ce nouvel ordre constituerait un retournement majeur de l'orientation des relations internationales du pays. En effet, la défense de la Confédération, au-delà des capacités militaires de ses États membres, repose principalement sur la garantie de protection offerte par la présence de deux bases militaire du Royaume de Teyla sur le territoire hotsalien, l'une aérienne et autre terrestre, dont l'implication de la garnison permanente dans un conflit armé se déroulant en Kresetchnie entraînerait de fait l'engagement de l'ensemble des membres de l'Organisation des Nations Démocratiques, en vertu de l'article VI du Traité de Bandarhan.

Rapidement interrogé sur le revirement de la position velsnienne lors d'une conférence de presse, le Président de la Confédération de Kresetchnie, Viktor Bodnar, a exprimé une position réservée quant aux propositions avancées par la Grande République, sans pour autant fermer totalement la porte à une éventuelle poursuite de la participation de la Kresetchnie à la Ligue de Velcal, y compris sous sa forme nouvelle. Une attitude qui n'est certainement pas sans lien avec l'implication du Royaume de Teyla et du reste de l'Organisation des Nations Démocratiques dans la guerre contre la Principauté de Carnavale, dont ils se trouvent à l'initiative. Mobilisant la quasi totalité des forces aériennes et des capacités logistiques de l'armée teylaise et de l'OND, ce conflit affaiblit considérablement la propre sécurité de la Kresetchnie, tout en montrant les limites du dispositif de défense stratégique de la Confédération. Si l'on pourrait considérer cette situation comme provisoire et non représentative de la présente situation quant à la capacité de l'Organisation des Nations Démocratiques à assurer la protection de la Kresetchnie, ce serait oublier le caractère récurrent des croisades idéologiques lancées de manière périodique par les pays membres de l'OND. Hier le Hvitnesland, aujourd'hui Carnavale... et demain ? Il semble que l'effectivité de la garantie de défense offerte par le Royaume de Teyla revêt un caractère intermittent s'apparence atavique, qui tend à déranger les autorités confédérales et le gouvernement hotsalien.

Que dire alors des éventuelles implications d'un réalignement sur Velsna et l'Organisation des Nations Commerçantes ? « Nous ne fermons pas la porte au projet porté par la Grande République pour le futur de la Ligue de Velcal » a affirmé le Président de la Confédération en réponse aux interrogations de la presse, « mais afin que nous puissions acter un renforcement de notre alliance avec Velsna, encore faudrait-il que la Grande République se comporte pleinement en allié à notre égard ». Le point bloquant réside en effet dans l'attitude trouble observée par le Sénat des milles sur le dossier de l'occupation raskenoise. Considérée comme un allié de premier plan par la Grande République, notamment du fait des intérêts économiques et commerciaux qu'elle entretient sur son territoire, l'Empire Raskenois bénéficie de la protection permanente d'une garnison velsnienne, dont la présence sur place est clairement tournée contre la Kresetchnie dans le cadre du différend qui l'oppose à Eberstadt autour de la question des territoires occupés. « Il est impensable de remettre en cause nos alliances, et notamment l'accord de coopération militaire signé avec le Royaume de Teyla, sans avoir la garantie que nos intérêts sont respectés par nos éventuels nouveaux alliés » a affirmé Viktor Bodnar. Le président kresetchnien a énoncé à ce titre un certain nombre de conditions prélables à la participation de la Kresetchnie au nouveau format de la Ligue de Velcal, notamment « la reconnaissance officielle et sans condition de la souveraineté de la Confédération de Kresetchnie sur l'intégralité de son territoire, y compris celui qui demeure occupé illégalement par l'Empire Rakenois, jointe d'une dénonciation publique de cette même occupation », « un soutien diplomatique à la restauration de la souveraineté de la Confédération sur l'entièreté de son territoire », ainsi que l'assurance « d'une neutralité bienveillante, si ce n'est un soutien, en cas d'intervention militaire des forces armées kresetchniennes dans les territoires occupés, et la garantie d'un engagement des forces armées de la Grande République à nos côtés en cas d'attaque raskenoise sur notre territoire ».
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Un article de presse en trois colonnes avec une illustration qui est une Photographie en demi-teinte ou tramage d'un couple dans un aéroport et s'apprétant à prendre un avion

L'émigration makotane, In les Nouvelles du Makota, le 9/03/17
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press09/04/2017

L'hygiène à Velsna, un sujet tabou et trop peut abordé


En pensant à la Grande République de Velsna, on a souvenu l'image d'une nation moderne, millénaire, puissante et raffinée, mais ce qu'on ignore souvent, c'est que l'entièreté des systèmes de caniveau de la capitale (qui, au passage, porte le même nom que le pays...) sont plus qu'obsolètes ! L'office du tourisme velsnien présente cela comme une prouesse technologique, un caniveau datant du XVIème siècle, mais il oublie généralement de préciser à quel point il est défectueux ! Des quartiers entiers de Velsna sont embaumés dans une odeur d'immondice 24h/24, et sept jours sur sept ! A vrai dire, il est même très courant que les déjections des quelques 3 millions d'habitants de la ville remontent par les bouches d'égout, à des endroits inopinés, et ne croyez pas que cela épargne les quartiers touristiques ! Une voyageuse achosienne nous a confié avoir été aspergée par les brunes ordures de la cité en tentant de prendre une photo d'une belle fontaine ! Elle n'avait pas pensé à vérifier au préalable si elle ne se trouvait pas au-dessus d'une bouche d'égout ! Cela doit faire partie du "charme de l'ancien" décrit par l'office du tourisme susnommé ! Pendant ce temps, le système de traitement des eaux usées d'Achos est l'un des plus avancés au monde. Et jamais nos égouts n'ont aspergé nos touristes de manure.

Mais, pensez-vous que cela était tout ce qu'il y avait à dire sur l'hygiène à Velsna ? Eh bien non ! Déjà, un peu d'histoire ! Jusqu'au XVIIIème siècle, les riches oligarques velsniens avaient une peur bleue de...l'eau. Et, à cause de cette peur, ne se lavaient donc tout bonnement pas, préférant couvrir leur odeur corporelle par des tonnes de parfum, et leurs cheveux bouffer par le poux de perruques ! Bonjour l'image de nation civilisée ! Par comparaison, à la même époque, les Achosiens avaient déjà inventé le savon depuis plus de mille ans, et les bains étaient hebdomadaires, si ce n'est quotidiens. Mais, pensez-vous que cela ait réellement changé ? Avez-vous déjà emprunté les transports en commun à Velsna? Vous seriez rapidement pris de haut-le-coeur dû au rejet de transpiration des velsniens! Le déodorant ne semble en effet pas avoir atteint cette latitude ! Étrange, dans la mesure où le pays se trouve sous toutes les latitudes du monde ! Un autre touriste a rapporté à notre journal à quel point la visite de Velsna était un véritable défi olfactif. Quand ce n'était pas les égouts qui diffusaient une odeur nauséabonde, c'était les habitants, et quand ce n'était pas les habitants...c'était les murs !

Une envie pressante et vous avez peur de vous soulager dans les toilettes, due aux systèmes d'évacuation défectueux ? Eh bien faites comme les locaux, urinez où vous vous trouvez ! Car s'il y a bien une chose que l'on remarque à Velsna, c'est l'incroyable odeur d'ammoniaque. Toute la ville sent l'urine et cela à cause des gens se soulageant à même les murs. Pourquoi vous demandez-vous sûrement ? Eh bien, car le système d'évacuation est si ancien qu'il est quasiment impossible de le modifier, et ainsi rajouter des toilettes publiques dans les endroits les plus fréquentés. Résultat, des murs jaunis par des centenaires d'urine. Mais rassurez-vous, si vous vous sentez sale après l'avoir fait car vous n'avez pu vous laver les mains, à Velsna, seulement 57 % des habitants pratiquent cet usage "raffiné et civilisé". (Cette statistique monte à 74 % à Achos, qui est, je vous l'accorde, encore trop bas comparé aux 97 % d'Azur). Faites donc attention quand vous serrez la main à un velsnien !

Et, quand l'odeur du centre-ville vous aura rebuté, que les émanations de locaux vous auront étourdis et que seul le doux parfum de la mer pourrait vous libérer les narines de ces odeurs immondes, sur quoi tomberez-vous ? L'odeur douce et subtile du kérosène pour paquebot. Une odeur si douce qu'elle est cancérigène et dangereuse pour la planète. Vraiment, la preuve d'une ville moderne, civilisée qui a su éduquer les populations barbares du nord.

un article de Aingealag MacLùcaidh, journaliste pour Y Llais Achosiaidd
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Un nouvel arrivant sur le marché du jeu vidéo relance la guerre culturelle de plus belle des Landrins contre Rasken.


Just no Apex

Une reconstitution amateur du Logo du jeu.





Ce n'est un secret pour personne, la guerre civile Velsnienne a eut des conséquences importantes dans tous le monde Fortunéen, redistribuant des cartes, rappelant à tous les dangers qui menacent le rêve, mais surtout ont vu d'innombrables morts dont beaucoup avaient de la famille de l'autre côté de l'Eurysie ou même à travers le monde au sein des divers territoires et protectorats rattachés à la Sérénissime République de Fortuna, mais ceux ayant de très loin été les plus touchés demeurent sans contestent les Landrins de la péninsule d'Ostremont. Chose qui quelque part n'a rien d'étonnant de par le fait que leurs cousins Velsniens faisaient la part belle de la rubrique nécrologique à la fin des hostilités lorsqu'il fallut faire le bilan, Dino Scaela avait de fait beaucoup de soutient, certains de la première heure, d'autres gagnés à la force de sa verve qui quoi que l'on puisse penser de l'individu demeurait extrêmement habile avec les mots autant qu'il était un mécène apprécié à travers diverses strates de la Société. Même plusieurs années après ces tristes évènements, nombreux sont encore ceux qui n'arrivent pas à faire le deuil et refusent de tourner la page, occasionnant de multiples conséquences aux effets variés se répercutant un peu partout dans la société Fortunéenne

L'une de ces conséquences les plus impromptues, passant souvent sous les radars, n'est nul autre qu'une net baisse de l'appréciation des sociétés Raskenoises, quoique présenter les choses ainsi relève à dire vrai de l'euphémisme. En réalité, la côte de popularité de tout ce qui se rapporte à l'Empire du Pétrole et des Margoulins est littéralement en chute libre alors que l'image et la réputation de ce dernier et de tout ce qui s'exporte par de là ses frontières subit depuis des mois une vaste offensive coordonnée par les malcontents de l'action de leurs mercenaires dans la guerre civile Velsnienne. Ces derniers étant devenu bien malgré eux l'épicentre d'une haine née du deuil qu'ils attirent et canalisent à eux seuls tant ils apparaissent comme des coupables désignés idéaux dans l'esprit de certains. L'industrie du cinéma Fortunéenne dont Dom Sergio Scaela, Patricien de la branche fortunéenne de la famille, est un des grands noms s'affaire à faire la misère à ce que l'on n'hésite plus à qualifier clairement de boucs émissaires. Une authentique guerre culturelle qui a trouvée un écho au delà de Léandra même, une part certaine de l'Armata suivant le très populaire Amiral Deria qui ne lésine pas non plus sur les termes peu éloquent lorsqu'il s'agit de parler de la monarchie pétrolière, pire encore sans doutes, les conservateurs de l'église Catholane qui disposent encore d'une influence notable et notamment dans Canossa de Paltoterra ont rejoint le mouvement, érigeant margoulin et séides d'Apex Energy l'entreprise phare du pays comme des serviteurs de l'Antéchrist et des démons sur terre, alimentant plus que de raison un brasier qui couvait déjà. Ironie du sort, les derniers venus de cet Axe "anti-rasken", ne sont nul autres que les lobby écologistes qui cherchaient de toute manière une occasion depuis bien longtemps de s'opposer frontalement à Apex et aux autres grandes industries Raskenoises n'étant point les élèves les plus assidus lorsqu'il s'agit de respecter les bienfaits de Mère Nature.

Mais désormais, la guerre culturelle en cours a franchit un nouveau cap, l'industrie du Jeu Vidéo rejoignant le mouvement sans prendre la moindre paire de pincette par ailleurs. Des développeurs indépendants ont en effet sorti, de nul part selon les magazines spécialisés, un jeu nommé littéralement "Just no Apex", laissant peu de doutes quand au caractère délibéré de ce ciblage caractérisé. Toujours est-il que ce dernier semble avoir été un franc succès sur le marché, se vendant comme des petits pains via les plateformes de distribution de contenu en ligne ainsi que en version matérialisé dans les magasins des grandes surfaces, s'annonçant potentiellement comme un candidat très sérieux aux Jeux de l'année, mais surtout comme l'un des plus rentables de par les premières estimations réalisés par les observateurs du marché qui témoignent d'une courbe de ventes exponentielle qui commencerait même à toucher à l'étranger.

Pour autant, si il y a un message politique clair dont les développeurs ne se dissimulent guère, soutenant vouloir parler via le détournement de sujets sérieux comme le cas du mercenariat et de ses exactions, ainsi que de la puissance d'entreprises hors de contrôle qui captent progressivement droits et libertés en se métamorphosant elles même comme des tyrans, le parti pris semble un peu trop poussé pour que cela ne soit pas non plus un tant sois peu personnel jugent certains experts en géopolitiques. La blessure de la guerre civile Velsnienne est encore fraîche et douloureuse, c'est là une forme d'exultation de la douleur jugent-ils magnanimement. Ceci dit, les observateurs du Marché tendent à soutenir une autre version, comme quoi ce n'est pas tant le message que la qualité du jeu et le côté amusant ainsi que addictif du gameplay qui a su conquérir le coeur des joueurs. Le Jeu se présente en effet comme un vaste monde ouvert dans un pays insulaire Fictif aux vagues accents culturels qui ne sont pas sans rappeler Velsna ainsi que les cités de la Dodécapoles, plusieurs lieux ressemblant de fait à des sites réels. Le scénario fait incarner aux joueurs un Ex-soldat des forces spéciales de ce pays qui après des années mystérieuses passés à l'étranger s'en retourne chez lui et retrouve une terre méconnaissable, le gouvernement a perdu toute prise sur quoique ce soit et n'est plus qu'un fantoche, l'armée a été démantelée tout comme le sénat et ce sont désormais le Conglomération Pétrolier d'Apex Energy et ses hordes de mercenaires qui tiennent d'une main ferme la pays depuis que d'immenses gisements pétroliers ont été découverts là bas.

Il appartient alors au joueur de devenir le libérateur de sa terre natale et de combattre Apex et ses sbires, clairement désignés comme des antagonistes, globalement le jeu s'il contient une trame principale ainsi que des missions annexes en lien avec des factions de guérilleros et autres rebelles, laisse une vaste marge de manoeuvre aux joueurs, s'inscrivant dans une démarche partielle d'une forme de bac à sable. Diverses activités sont ainsi disponibles allant des courses en véhicules terrestres, aériens ou naval, de presque tout types, à la destruction pure et simple de bases armés de mercenaires entières ou de plateformes pétrolières grâce à un arsenal des plus vastes voir même des méthodes peu orthodoxes laissés à la discrétion de chacun pour ne citer que ça. Mais l'un des gros points forts demeure les performances qui ont été optimisés de tel manière à pouvoir supporter un chaos perpétuel en plein coeur de l'action, au plus grand bonheur de la clientèle qui redouble de compliments sur Just No Apex.

Toutefois, comme l'on pouvait s'y attendre, des critiques émergent aussi, mais la plupart ne concernent ni le gameplay ni les éventuels problèmes et bugs qui peuvent handicaper les expériences de jeu. De fait, c'est le message Politique, ou plutôt le fait d'ériger Apex Energy en tant qu'Antagoniste qui a du mal à passer, notamment comme l'on peut s'en douter chez une bonne part de la population Raskenoise biberonnée au pétrole de leur fleuron national. Toutefois, le point le plus litigieux demeure le Boss Final de la trame scénarisée dont le modèle n'est pas sans rappeler l'Empereur de Rasken Stanislas Schutzenberger, dont les cheveux gominés caractéristiques ont reçu une attention toute particulière dans leur conception, donnant naissance à l'Antagoniste en chef "Stanislâche Rattenberger" qui brille par son avarice mais surtout sa couardise ainsi que sa passion pour les Rats, disposant de plusieurs comme animaux de compagnie. De plus, le modèle semble avoir été volontairement raccourci dans ses proportions comparé aux schémas 3D d'origine, les as de l'informatique ayant fouillés les fichiers ayant trouvé une note abandonnée dissimulée dans ceux ci avec quelques mots : Un mètre et demi d'impérialisme. Des propos régulièrement repris par la presse Bergrosish de la confédération Kresetchnienne, qui laissent penser à une forme d'hommage et qui tendent à confirmer la thèse du caractère très personnel de l'opposition frontale face au Fleuron de Rasken.

En effet, les experts géopolitiques se rappellent aisément que les divers groupes se positionnant contre la monarchie pétrolière Raskenoise ont commencé il y a quelques mois à multiplier les gestes symboliques afin de saluer la lutte de la Confédération et notamment de son membre fort qu'est l'Hotsaline qui a elle même subit les affres de l'Impérialisme Raskenois directement et continue de souffrir des conséquences encore à ce jour. D'aucun se demandent alors si il n'y pas une volonté de pousser à une jonction des lutes, voir d'influencer le gouvernement Fortunéen subtilement et progressivement afin de le faire basculer lui aussi directement dans le mépris envers Rasken. La question demeure entière et il est légitime de la poser, toutefois il est encore trop tôt pour émettre des conclusions. Les observateurs n'hésitent pas à dire que les prochains mois vont être très intéressants et qu'il va falloir ouvrir l'oeil afin d'être aux premières loges de potentielles évolutions notables, ce alors que la Sérénissime traverse une période incertaine avec de multiples assassinats ou tentatives d'assassinats ayant visée sa caste politique, prenant déjà de multiples vie au sein du Sénat Républicain et jetant un voile d'incertitude sur toute la Sérénissime alors que la Polizia travaille d'arrache-pied pour résoudre ces affaires que beaucoup considèrent comme liés même si aucune annonce officielle n'a confirmé la chose.
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