Rencontre EDLF - Albion - Page 2

20 Avril 2005 - Latios - Rencontre diplomatique entre la République Fédérale d'Albion et l'Empire Démocratique Latin Francisquien :

"Unité ; Indivisibilité ; Loyauté."


Resté souriant et avec un ton plus ou moins amical jusqu'à là, le lieutenant répondit enthousiasment au Premier Consul lorsque celui-ci lui fit part de sa rencontre avec quelqu'un de qualifié. Il n'est que lieutenant mais il allait être le premier officier à rencontrer un haut gradé étranger. Rien de quoi exploser de joie mais pour Reyes, c'était une étape importante de sa carrière professionnelle. Lorsque l'armée albionaise se trouvait en position de faiblesse ou à bout de souffle, des hommes talentueux sont apparus et ont toujours rétablis la situation. Presque comme un cycle. Il espérait faire partie de ces hommes-là, arrivés ici par leur seul talent militaire, lui n'était pas noble comme aurait pu l'être le haut gradé qu'il s'apprêtait à rencontrer. Lui avait un père comptable et une mère analyste. Il aurait dû finir dans la finance mais il a trouvé son domaine de prédilection, l'armée.

Lorsque le Premier Consul sortit de la salle, Lewis s'adressa directement à Reyes, en albionais bien entendu.
Lewis :" Lieutenant, je sens une lourde atmosphère vous concernant. Evitez votre arrogance habituelle de militaire et soyez courtois."
Reyes :" Vous ne me faites pas confiance, Lewis ? Pourtant, j'ai été correct jusqu'ici. La diplomatie n'est pas mon point fort mais je sais me comporter correctement. Je suis militaire, d'accord. Mais cessez de me traiter comme un barbare."
Lewis :" Evitez juste de faire n'importe quoi. On ne sait pas comment les militaires de ce pays sont. Je sais pour les diplomates car ce sont des règles internationales mais les militaires ne respectent pas toujours les règles, au contraire des diplomates. Vous comprenez ce que je veux vous dire ?"
Reyes :" Je ferais de mon mieux dans ce cas."
Lewis soupira de soulagement, Reyes reste raisonnable. Au moins, on ne lui a pas affilié un général quatre étoiles avec un égo surdimensionné et il s'en félicité lui-même si il n'avait pas demandé la présence d'un attaché militaire. C'est le Ministre qui en avait décidé autrement.
Lewis :" Merci."
Lorsque le haut-général francisquien entra dans la dite salle, Reyes le regarda et l'observa de haut en bas. Il n'avait décidément pas la corpulence auquel il aurait pu s'attendre, Teint jeune, presque mais en aucun cas allure sportive à première vue. Rien à voir avec les quatre hommes qui l'escortaient ni lui-même. Reyes était un homme imposant, à l'air bon vivant, à la posture confiante et à une musculature qui se voit à travers les plis des manches longues de son uniforme.
Reyes :"C'est un plaisir partagé. Nous allons pouvoir aborder le domaine de la défense entre personnes qualifiées dans le domaine, général. Ou haut-général ? Ce grade n'existe pas chez nous. Vous faites la différence ici ?"

Napoléo de Thase : En tant que chef d'état-major et puisque sa majesté impériale alias ma sœur m'a délégué sa charge de cheffe des armées je suis le seul et unique haut-général dans le pays. Les autres ne sont que des généraux.

Auguste de Lathange : Bien bien bien. Je vais pouvoir me retirer puisque monsieur le ministre est arrivé. Messieurs je vous souhaite une bonne continuation en espérant que cette rencontre soit glorieuse à nos deux nations.

Le Premier Consul serra la main du secrétaire général, salua le lieutenant puis s'en alla

Golionios : Bon, je suis donc de retour et je suis navré d'avoir dû m'absenter mais désormais nous sommes sûr que le lieutenant et que le haut général vont pouvoir nous appuyer n'est-ce pas monsieur le secrétaire?

Napoléo de Thase : Oui bon dépêchons je suis pas un grand diplomate moi et j'ai franchement autre chose à faire sans vouloir offenser ces messieurs évidemment mais vous m'avez appelé alors que j'étais occupé ailleurs alors grouillez-vous

Golionios : Hum. Oui enfin bref donc nous allons pouvoir commencer :

L'empire Démocratique Latin Francisquien possède une armée puissante et qui peut défendre notre nation contre toute menace qu'elle soit navale, terrestre ou aérienne ce qui est idéal pour un état et sa souveraineté. Mieux encore, nous avons pu acquérir des missiles qui ont tous deux une portée de 1000 kilomètres et rassurez-vous on ne compte surtout pas les utiliser sur la république d'Albion haha en plus les francisquiens et le gouvernement apprécie ce pays qui est calme et ne fait pas de vagues. Nous en avons bien besoin en Eurysie à vrai dire.

Napoléo de Thase : Et bien, votre humour est à revoir. Je ne serais pas étonner que ces messieurs reparte de cette rencontre offenser, en nous déclarant la guerre préventivement ou alors apeurés voir peut-être même les trois. J'espère que le premier zigoto n'a pas été comme ça avec vous?

20 Avril 2005 - Latios - Rencontre diplomatique entre la République Fédérale d'Albion et l'Empire Démocratique Latin Francisquien :

"Unité ; Indivisibilité ; Loyauté."


Encore ce sale humour. Ces barbares n'ont ni leur langue ni leur humour dans la poche. Soit, il faudra faire avec. Peut-être qu'un jour, les Francisquiens auront un humour plus fin lors d'une prochaine rencontre. Si il y en a une.
Lewis :" Cela ira. Nous sommes exposés à cet humour depuis notre arrivée. Je sais que ce n'est pas intentionnel, tant que cela ne dépasse pas certaines limites."
On ressentait un ton froid et lourd dans le fond de sa voix, preuve de sa lassitude mais aussi de son désir de passer à autre chose. Il est là pour négocier, pas pour faire des blagues et son regard insistant est la preuve concrète de son état d'esprit.
Reyes :" Avant que mon collègue continue, j'aimerais faire un point sur votre dit missile. Vous ne nous avez décrit que sa portée mais quel est son utilité ? C'est un missile balistique ? Un missile air-air ou air-sol ? Un missile sol-air ? Un missile antichar ? Le terme "missile" est assez vague, nous souhaiterions quelques détails au moins sur son utilisation tactique, je ne veux pas forcément sa fiche technique à moins que vous comptiez nous le vendre. "
Lewis :" Quant à moi, je vous laisse d'abord préciser à mon collègue et je vous demanderais d'en venir au bout de votre exposé. Evitons de faire attendre Monsieur le haut-général. "

Npaoléo de Thase : Ça ne m'étonne pas, enfin. Le dit missiles est un missile balistique MRBM avec comme portée maximale 1000 kilomètres. Je ne pense pas que monsieur le ministre avait comme projet de vous le vendre donc passons à autre chose.

Golionios : Oui passons, passons. En réalité nous supposons que la république fédérative d'Albion a eu comme toute nation un passé glorieux et nous pensons que ce passé n'est pas encore du passé justement.

20 Avril 2005 - Latios - Rencontre diplomatique entre la République Fédérale d'Albion et l'Empire Démocratique Latin Francisquien :

"Unité ; Indivisibilité ; Loyauté."

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"Unité ; Indivisibilité ; Loyauté."

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"Unité ; Indivisibilité ; Loyauté."

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"Unité ; Indivisibilité ; Loyauté."