Création de pays : LA CATHOLAGNE
Généralités :
Nom officiel : Les États papaux de la sainte île Catholagne
Nom courant : La Catholagne
Gentilé : Catholar·e·s
Inspirations culturelles : Vatican, Suisse, Malte
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) :
Latin
Italien
Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Anglais
Allemand
Drapeau :
Devise officielle : Par la paix, je demeure
Hymne officiel :
Capitale : Sancte
Population : 1 000 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Un des plus anciens et petit pays que puisse compter le globe. Régime théocratique par excellence, les enjeux de pouvoirs et les magouilles politiques sous fonds de foi ont longtemps rendu tumultueuse la vie de l’état.
Ses armes ne sont pas les fusils mais bien la culture, la diplomatie, le sport, le marché et les banques. Pays neutre par excellence dans les conflits mondiaux, ils cherchent toujours à tempérer les guerres qui frappent le monde et, le temps des discussions, à abriter les intérêts financiers de chacun au cas où les choses tourneraient mal.
La majorité sont de bonne foi mais quelques corrompus entachent toujours la réputation des autres.
Le pays lui-même est divisé entre progressistes et conservateurs. Au cours des dernières décennies l’état perd en influence ce qui le tiraille entre tradition et modernisme.
Basé sur une île, sa géographie lui a donné par le passé de nombreux avantages de protection. L’île est connue pour avoir depuis toujours accueilli tous les nécessiteux, elle comprend donc de nombreuse nationalités en son sein, d’où son surnom de « havre ».
À l‘âge des explorations du monde, l’état s’est agrandi en établissant son ordre sur 3 autres îles pour garantir le passage et l’accueil de ceux qui en auraient besoin. À moins qu’il ne s’agisse de vestiges d’une époque belliqueuse d’anciens papes…
Maintenir une paix globale et convertir le plus grand nombre sont ses deux enjeux de toujours.
Mentalité de la population :
Tôt ou tard les habitants de la Catholagne sont ou ont été des réfugié·e·s fuyant la misère ou la guerre, ou bien de simples pèlerin·e·s en quêtes de paix spirituelle ou encore des membres dévoués à l’église.
C’est donc un peuple qui tient cher à la paix. Les discussions politiques et géopolitiques sont au cœur des préoccupations de la population. C’est un peuple simple, qui sait se surmener pour sa prospérité puisqu’il l’a fait par le passé. Ils n’hésitent que peu à prendre les armes pour ce qui leur reste s’ils étaient menacés, la foi les guidant.
L’état étant bâti à l’origine sur une île, le peuple s’est très tôt tourné vers la mer ce qui en fait en général de d‘excellents navigateurs et de très bons commerçants.
Place de la religion dans l'État et la société :
Bien évidemment, la religion tient la place centrale de l’État.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
_ La papauté : Le pape est élu à vie ou jusqu’à sa démission. Il est le guide spirituel du pays et par conséquent son chef suprême.
_ Le collège des cardinaux : Les cardinaux sont nommés à vie par le pape à travers toutes les nations du monde. Ce sont également eux qui élisent en leur sein le futur pape après la mort du précédent. Ils votent les lois qui régissent l’église et sa visée spirituelle, l’interprétation des textes et des voies à suivre.
_ La commission pontificale : Il s’agit de 100 religieux nommés pour 6 ans par le pape après un vote à titre indicatif de la population. Ils sont l’équivalent d’une assemblée ou d’un parlement. Ils proposent au pape les lois qui régissent le quotidien des habitant·e·s du pays.
_ L’ordre d'Aegidis (dans sa forme courante, l'ordre de l'égide) : Il s’agit d’un ancien ordre de militaires et de moines remontant à plusieurs siècles. Il s’est établi sur un total de 3 îles pour sécuriser un accès ainsi qu’un refuge à tous les croyant·e·s. Aujourd’hui, le pape confie à l’ordre toutes les armées du pays à l’exception faite de sa garde rapprochée. L’ordre reste indépendant bien que fidèle au pape. Le commandeur qui dirige l’ordre est donc le seul haut fonctionnaire qui n’est pas nommé par le pape. Il est cependant de coutume que le pape lui accorde sa bénédiction lors de sa nomination, ne pas la recevoir saperait toute son autorité. L’ordre est composé de soldats et de chevaliers (nommés par le commandeur qui élisent à vie le commandeur une fois décédé).
Principaux personnages :
Pape Clément XV (dirigeant)
Cardinal gouverneur Angelo De Donatis (équivalent du premier ministre)
Prélat/préfet Gérald Cyprien Lacroix (président de la Commission pontificale)
Chancelier Pietro Parolin (Gardien des sceaux pontificaux)
Nonce apostolique Kurt Koch (Chef de la diplomatie)
Cardinal trésorier Raymond Leo Burke
Camerlingue Stanisław Ryłko (successeur temporaire)
Commandeur George Alencherry (chef des armées)
Politique internationale :
La Catholagne se veut être une terre d’accueil, de prospérité et de diplomatie. Elle n’a pas vocation à entrer en guerre mais bien à jouer à la dure loi du marché et du commerce. Sa difficulté viendra de son régime théocratique, les confrontations des différentes fois rendront sa politique subtile puisque, bien sûr sous des apparences pacifiques, l’un des buts premiers de cet état est la conversion du plus grand nombre sur le globe.
Vu la petite taille de son territoire, de son nombres d’habitant·e·s, et de son armée, l’état vise la première place sur le plan géopolitique pour mettre tous les atouts de son côté.