[Lermandie-Yukanaslavie] Une rencontre qui aurait du être fait il y a longtemps

Lieu: Palais Présidentiel, Bradis, République de Lermandie

Date: 13/02/2016

"Voilà une rencontre qui aurait du être fait il y a longtemps."

Tel est la phrase que la Ministre Johnson avait exprimée au Président Duval.
En effet, bien qu'il n'y a eu que près peu de dialogue entre la République de Lermandie et la Fédération de Yukanaslavie, il semblerait bien que les intérêts du gouvernement Fédérale de Yukanaslavie soient alignés avec l'actuel gouvernement de Lermandie, notamment au niveau de l'Alliance pour la Sécurité Economique Aleucienne.
Durant la future réunion, il est prévu de parler diplomatie mais aussi et surtout d'un partenariat économique de grande ampleur entre la République de Lermandie et la Fédération Yukanaslavie, nottament avec la rupture économique récente entre la Fédération de Sterus et la République de Lermandie.

Et dans ce cadre, le Président Duval attendit le représentant de la Fédération Yukanaslavie devant la porte d'entrée principale de sa résidence de fonction habillée chaudement à cause de la température proche de 0°C mais la neige ayant fondu, divers endroits du sol de la capitale lermandienne fut geler. Mais il se tenait prêt à serrer la main à son homologue.

Président Fédéral Moctezuma III Kalpàn

La lermandie

Une incroyable opportunité commerciale qui n'avait pu être prévue par le régime Yukanaslave. Suite aux tensions récentes entre Stérus et le pouvoir de Bradis, il était à prévoir que les choses bougent, mais pas aussi loin que la rupture de la majorité des traités commerciaux entre les deux pays. Ce changement stupéfiant avait aussitôt été saisie par Moctezuma III et son nouveau gouvernement représenté par le Vice-Président Zapàn Moremore.

La Yukanaslavie, dans ses échanges diplomatiques, ne s'était jamais aventurée dans les régions nordiques du continent Aleucien. Cependant, l'opportunité lermandienne - que certains groupes yukanaslaves appelaient déjà "le Nord Trésor"- basculait totalement le jeu géopolitique. A présent, la Fédération avait une opportunité pour devenir une puissance économique Aleucienne réputée et importante.

Cependant, simplement penser commerce serait une grand erreur. Bien que la potentielle signature de traités commerciaux pourrait renforcer la présence yukanaslave en Aleucie du Nord, précisément dans le nord de la péninsule de l'Occizyan, à travers diverses entreprises comme Gazoka, elle pourrait se décliner en un renforcement des relations diplomatiques entre Bradis et Uzusco, pouvant amener, dans le cas le plus favorable et développé, à une véritable coopération militaire poussée entre les deux pays, dans l'intérêt de leurs défenses respectives.

Mais il ne fallait pas se précipiter. Il fallait jouer finement et dans un processus long. Moctezuma III Kalpàn, président fédéral de la Yukanaslavie, représentant de son pays pour cette rencontre, savait quelle chance ils disposaient, et il devait l'utiliser à bonne escient pour le bien de son peuple - et évidemment de celui de Bradis.

C'est pour cela que dans l'avion présidentiel qui se dirigeait vers Bradis, un homme important était aussi présent : Akalpàn Perzoka. Ce dernier, dont le nom était connu de tous et toutes, n'était pas moins que le dirigeant de Gazoka, la plus puissante entreprise du pays. Il avait lui aussi repéré l'opportunité que représentait les dernier évènements survenus entre la Stérus et la Lermandie. Et il comptait bien toucher quelques mots dans cette affaire.

C'est alors que l'avion atterrit dans l'aéroport de la capitale Lermandienne, et que la délégation yukanaslave descendit pour saluer le représentant lermandien qui n'était pas moins que le Président Duval. Lorsqu'il arriva devant le dirigeant de Bradis, Moctezuma III Kalpàn dit avec un visage souriant :

"Monsieur Duval, c'est un honneur d'être accueillit dans votre somptueuse capitale. Je suis persuadé que nous allons réaliser de grandes choses ensembles. La Yukanaslavie et la Lermandie ont beau être séparés par de nombreux pays, nous savons que de solides relations pourraient se former, pour le bien de nos deux nations"

Michel Duval: "Monsieur Kalpàn, l'honneur de vous rencontrer est tout à fait réciproque. Et je vous souhaite la bienvenue en Lermandie. J'ose dire que cette rencontre sera extrêmement profitable entre nos deux grandes nations".

Le Président Duval sera chaleureusement la main au chef de l'Etat de la Yukanaslavie, immortalisé par la presse lermandienne et yukanaslave avant d'inviter à renter dans le Palais Présidentiel. Et il en profitat pour saluer les autres membre de la délégation yukanaslave .

Néanmoins, pendant le trajet jusqu'à son bureau, le Président Duval eu soudainement une certaine inquiétude. En effet, le Président Duval avait toujours en mémoire la rencontre catastrophique entre lui et la délégation sterusienne. Et même s'il savait que cette rencontre se passera bien mieux, il ne pouvait s'empécher d'etre inquiète. Et peut-être qu'en cas d'échec de cette rencontre, qui devrait normalement réussir puisque que son homologue semble bien plus raisonnable que le Consule Pandoro ( ou plutôt Miranda Ceprus puisque ce fut elle qui dirigeait le dialogue coté sterusien), il devrait songer à penser à demissionner.

Après etre rentrer dans son bureau, ou divers personnalités plus ou moins connu fut présente et assise sur les confortable fauteuil près indépendance, le Président Duval invita la délégation yukanaslave à s'assoir.

Michel Duval: "Mesdames, messieurs, avant de commencer, je vous présente Nicolas Lupin, mon Ministre de la Guerre, Mme Julia Dupin, PDG de la CML-CGM et mon Ministre de l’Économie, Richard Ferrano".

Le Président Duval laissa le temps à la délégation diplomatique yukanaslave salué les invités lermandiens.

Michel Duval: "Alors M. Kalpàn, que pouvons faire pour vous?"

Président Fédéral Moctezuma III Kalpàn

Une de plus. Une serrée de main encrée dans les livres d'histoire.
A force, le président fédéral commençait à y être habitué. Les photographes et journalistes étaient toujours ébahis et heureux d'avoir leur petites photos souvenirs d'un évènement dont ils ne verront plus jamais les autres jours.
Dans le cas actuel, Moctezuma III Kalpàn ne pouvait pas trop leur prouver le contraire. Cette rencontre était historique sur bien des aspects. Il espérait au fond de lui que le président Duval accepterait facilement ses futures propositions, et, à l'inverse, le dirigeant de la Yukanaslavie accepterait, pour le bien des deux pays, les propositions lermandiennes.

Alors qu'ils se dirigeaient vers le président Duval en sortant de l'avion, Moctezuma III Kalpàn tenait fermement sur sa côte son dossier concernant cette rencontre. Il était important de ne pas perdre un seul document. Surtout pour une occasion exceptionnelle. Il repensa notamment aux dires de son ami Azbauc Cualli : "La Lermandie, si tu gères avec brio cette rencontre, pourrait devenir l'un, voir le plus important état avec lequel nous commercerions à l'avenir".
Il n'avait pas tort. La Lermandie, face à l'impasse de sa situation avec Stérus, était obligé de trouver de nouveaux fournisseurs, et qui de mieux que les premiers producteurs de gaz naturels mondiaux ? Après tout, la Yukanaslavie possédait des réserves immenses, il fallait en user intelligemment et stratégiquement. Tout était important, car par la suite la Fédération pourrait - espérait Moctezuma III Kalpàn - dialoguer à la même table des puissances que Teyla, Tanska ou Sylva ( bien qu'il reste encore une grande marche pour atteindre ces géants ).

Après avoir écouté la présentation des membres lermandiens présents lors de cette rencontre, Moctezuma III Kalpàn fit de même avec le chef de l'entreprise Gazoka :

"Nous sommes enchantés de faire vos connaissances. Quant à moi, je tenais à vous présenter monsieur Akalpàn Perzoka, dirigeant de l'entreprise Gazoka. Il sera présent lors de cette rencontre notamment quand nous aborderons les thèmes économiques."

Il prit quelques secondes en observant le paysage lermandien, avant de suivre les représentants de Bradis et de les suivre jusqu'au cabinet du Président Duval. Durant le trajet, le Président Fédéral repensa aux nombreux enjeux, aux traités préparés à l'avance, tout en dialoguant discrètement de temps à autres avec Akalpàn Perzoka, lui serrant la main à plusieurs reprise.
Une formalité purement symbolique, pour bien montrer que Gazoka soutient le régime yukanaslave, repensa Moctezuma III Kalpàn. La politique de la Fédération est ainsi faite.

C'est alors qu'ils arrivèrent enfin au bureau du Président de Bradis. Après que les présentations ont été faites concernant l'équipe lermandienne, Moctezuma III Kalpàn répondit au président Duval d'un air chaleureux :

"Monsieur le président, je vous remercie de tous les honneurs que vous me faites en m'accordant le droit de débuter cette rencontre et les négociations qui vont se poursuivre.
J'aimerais débuter, si vous me le permettez, par toucher le sujet qui je pense, vous ravira le plus : l'établissement d'échange de ressources, notamment concernant celles énergétiques. Nous avons cru comprendre, avec les récentes tensions avec Stérus, que vous manquez de nations exportant chez vous l'énergie utile dans de nombreux domaines.
Akalpàn Perzoka, dirigeant de l'entreprise Gazoka, s'est montré très favorable à l'établissement d'exportation de gaz naturel yukanaslave en Lermandie. Cela vous permettrais de clairement vous rendre indépendant économiquement de la cour de Barba et de pouvoir compter sur un pays allié - si vous me permettez ce terme - et membre de l'Alliance pour la Sécurité Economique Aleucienne. De plus, de part notre utilisation de cette source d'énergie depuis une trentaine d'années environ, nous pouvons vous assurez que cette ressource est stable et surtout, de qualité rare sur le marché Aleucien.
Nous pouvons vous fournir un certain stock considérable, de part la présence des plus grandes réserves de gaz au monde qui sont présentes sur le sol d'Uzusco, vous n'avez qu'à nous demander ce qu'il vous manque et nous pouvons y remédier.
Dans le cas où vous accepteriez de procéder à cet échange, sachez qu'il sera difficile cependant d'établir des gazoducs entre nos nations, car les distances séparant la Yukanaslavie et la Lermandie sont bien trop grandes pour être parcourue. Cependant, nous pouvons transmettre par voie maritime en transformant la ressource en gaz naturel liquéfié qui seront transportés par des navires méthaniers qui s'arrêteront dans vos ports fournir ces cargaisons.

Qu'en pensez vous ?"

Le Président Duval écouta avec attention la proposition de son homologue yukanaslave. Et bien qu'à première vue, une telle opportunité ne se représentera pas deux fois, il a conscience que remplacer le pétrole, une ressources très utilisés par les industries et les transports en Lermandie, va être très compliqué.

Michel Duval: "Monsieur le président, bien que votre proposition de nous exporter du gaz naturel liquéfié, il faut que vous ayez conscience que notre secteur des transports dépend presque exclusivement du pétrole, même nous possédons des resserves de gaz, qui sont franchement négligeable par rapport à votre pays, et qui sont utilisé par nos centrales au gaz pour la production d'électricité, mais aussi pour le gaz domestique.
De plus, étant donné que nos infrastructures actuelles ne sont pour l'instant pas connues pour exporter ou recevoir du gaz naturel, cela nécessitera du temps pour les construires, même si je pense qu'avec l'aide de l'entreprise Gazoka, nous pourrions rendre des terminaux portuaire dédier oppérationnel en moins de deux ans. Et j'évoquerais que la CML-CGM, notre armateur de transport commerciaux, va devoir, durant cette durée, ce procurer ces fameux méthaniers pour le transport de votre gaz naturel liquéfier à destination de la Lermandie

Néanmoins, dans un souci de santé public et environnementale, deux éléments auxquels mon gouvernement les juge important, divers entreprises lermandienne (voir westalienne), poussé par l'actuelle crise diplomatique entre la Lermandie et le gouvernement de Pandoro, sont en plein développement sur des moteurs qui fonctionneraient au gaz naturel, en paralèment avec la technologie des voitures électriques.

Ensuite, de notre côté, nous pourrions discuter de divers partenariats dans le domaine logistique et économique, scientifique et militaire. En effet, je pense que votre grande nation a un grand potentiel de développement économique ce qui permettra de nous renforcer mutuellement.

Par exemple, je pense à la CML-CGM serait intéressé de recruter de la main d'œuvre yukanaslaves dans le but de réduire ces coûts, ou MANBRAMA qui pourrait vous fournir des locomotive ferroviaire fiable et efficace."

Président Fédéral Moctezuma III Kalpàn

Prêtant l'oreille avec attention à la réponse du Président Duval, Moctezuma III Kalpàn avait bien compris les enjeux et les difficultés dont faisait face la Lermandie, et il savait que les échanges ne pourraient s'effectuer si un certain... don de soi n'y étais pas mis. En effet, si Bradis ne dispose pas des bâtiments maritimes pour transporter le gaz naturel, alors la Yukanaslavie, par l'intermédiaire de l'entreprise Gazoka, pouvait fournir ces navires.

Tournant son regard vers Akalpàn Perzoka, dirigeant de Gazoka, il lui fit signe de savoir ce qu'il en pensait. Assez logiquement, il semblait favorable à l'idée, et, par son regard de retour au président fédéral, hocha la tête en signe d'acceptation. C'est alors que Moctezuma III Kalpàn se retourna vers le Président Duval, et, avec un air calme et posé, dit :

"Monsieur le président, n'ayez craintes. Je sais que Gazoka ne tentera pas de faire concurrence aux potentielles autres entreprise autour du secteur gazier chez vous, elle apportera seulement et uniquement les ressources nécessaires pour faire prospérer l'économie Lermandienne.
De plus, en sachant la difficulté lermandienne de produire des méthaniers et de transporter par voie maritime le gaz naturel, je vous propose que l'entreprise Gazoka prend en charge ces déplacements. Vous n'auriez qu'à prendre la cargaison. Il faudra seulement, dans ce cas, nous laisser l'autorisation de débarquer chez vous.
Et pour vous soutenir afin de vous rendre autonome dans ce domaine, la Yukanaslavie est prête à vous envoyer des ingénieurs afin de produire en un temps record de nouveaux méthaniers lermandiens."

Il marqua une petite pose, avant de reprendre :

"C'est un honneur de savoir que vous voyez en ma nation un grand potentiel dans le domaine logistique et économique, scientifique et militaire. Je suis tout ouïe à connaitre vos propositions et ce que celles-là concernent.

Pour répondre à votre dernière "réplique" - Il fit un petit rire amical, typique pour créer une atmosphère détendue et fraternelle - la Yukanaslavie n'a pas besoin de nouvelles locomotives malheureusement. Nos ingénieurs dans le domaine métrisent déjà des technologies pouvant être considérée comme innovantes dans le domaine, comme nos "rails aériens" qui passent aux raz des montagnes et au dessus des jungles de la Fédération. Cependant, une coopération entre les ingénieurs yukanaslaves et lermandiens afin d'aller encore plus loin dans ce secteur n'est pas à exclure. Je serais même particulièrement heureux d'apprendre que vous partagez ma proposition dans votre coeur.

Pour ce qui concerne de l'emploi de yukanaslaves dans vos entreprise comme la CML-CGM et MANBRAMA, sachez que l'idée est très intéressante et que j'y porte une attention toute particulière. Il est connu - les chiffres le disent bien - que la fédération est plutôt moyenne voir pauvre en terme de Produit Intérieur Brut par habitants. Je serais ainsi honoré de pouvoir permettre à de nombreuses familles de mon peuple de pouvoir vivre plus décemment en soutenant, je l'espère, un précieux allié et ami.
Ainsi, il est envisageable, et même certain, que ce projet voit le jour. Il faut cependant que vous accordiez aux yukanaslaves le droit de résidence en Lermandie, en cas de prise d'emploi sur votre sol. Dans le cas inverse, nous pouvons hypothétiser des implantations d'entreprises lermandiennes sur le sol yukanaslave pour palier à ce problème, bien que cela entrainerait des soucis de gestions et de temps, afin de tout construire sur place.

Qu'en pensez vous Monsieur le Président, avez vous autre chose à rajouter concernant ce sujet ?"

Le Président Duval se sentit un peu rassurer par les propos de son homologue yukanaslave.

Michel Duval: " Monsieur le président. Il serait tout à fait possible de faire intervenir des ingénieurs de votre nation pour aider nos principaux ports pour être équipé de terminaux dédiés au gaz naturel liquéfié.
Donc il serait pertinent que mon gouvernement puisse accorder à vos maîtres d'œuvre spécialisé dans la construction de ces fameux terminaux méthaniers, assister par nos entreprises nationales.
Sachez que ces installations seront gérées par l'Administration des Installations Portuaires (ou ADINPORT), un service public en charge de la gestion des zones portuaires lermandienne en République de Lermandie.
Et bien sûr, une possible implantation d'entreprises yukanaslave pourrait être possible en Lermandie si il y a une certaine réciprocité.

Et oui, mon gouvernement et moi estimons que votre grande nation à un grand potentiel puisque votre pays est situé à l'extrême sud d'Aleucie, ce qui fait que votre pays pourrait devenir la porte d'entrée du commercial sud-aleucienne.

C'est pourquoi, je pense que mettre en place un partenariat économique pour soutenir le développement de votre pays. Et je pense qu'organiser une alliance entre la CML-CGM et son équivalent yukanaslave, mais je n'exclue pas du tout une fusion des deux sociétés, en concernant bien les parts appartenant aux divers propriétaires. Et ainsi permettre à la CML-CGM de devenir un des principaux acteurs majeurs du commerce international.
Cette solution permettra ainsi de faciliter et de soutenir une potentielle diaspora entre nos deux pays.
Car je dois doit l'avouer, malgré les problèmes économiques liés à la rivalité Lermandie-Sterus, la République de Lermandie commence à manquer de la main-d'œuvre pour notre industrie.

Enfin concernant la technologie des rails aériens, la République de Lermandie avait des projets de ce genre mais a été rapidement abandonné à cause de trois points qui nous semblent essentiels:
- le coût très important d'un déploiement de cette infrastructure alors que le réseau ferré classique existe déjà;
- un coût de maintenance beaucoup plus important que des voies classiques (il est plus facile d'entretenir des voies sur terre que d'entretenir des voies aériennes)
- un problème de sécurité pour les passagers et les employés car en cas d'une défaillance de la voie, une chute de de machines-tracteur (avec ses wagons) causera la mort de tous les passagers et leurs personnels, comme un crash d'avions.

Mais je n'exclurais pas un partenariat technologique dans le domaine car la Lermandie, au coté de Westalia et de l'Empire du Nord, à un projet de construction d'une ligne de Train à Grande Vitesse reliant Bradis et Columbia, la capitale de Westalia.

Après, je souhaiterais porter un projet qui fut porté par la Coopération Aleucienne des Nations, la Transaleucienne.
Mais pour déployer ce projet, il faudra évidement mettre en commune nos infrastructure ferroviaire sur le long terme".