14/02/2017
17:43:42
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Organisations internationales Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne

ASNA - Encyclopédie et informations

2275
Agence Spatiale des Nations Aleuciennes

L'Agence Spatiale des Nations Aleuciennes est l'organisation regroupant notamment les États-membres de l'ASEA sur la coopération spatiale.
Son siège est situé à Tikalan, en Akaltie, proche de son centre spatial équatorial, d'où sont lancés tous les engins spatiaux aleuciens.
Le centre de contrôle général se trouve à Kopip, en Napalawie. Les centres de recherche et développement des technologies spatiales sont pour la plupart dans les autres pays participants (Sterus, Lermandie, Westalia, Yukanaslavie, Hasparne, Saint-Marquise et Icamie).
L'ASNA possède aussi 4 observatoires astronomiques : un sur l'île de Nacuot (Akaltie), dans l'hémisphère Sud, un au Sterus sur l'équateur et deux en Lermandie dans l'hémisphère Nord.
Un réseau universitaire a également été monté entre les pays membres afin de former les futur(e)s ingénieur(e)s qui travailleront pour l'agence et les entreprises partenaires.

Carte des différents sites de l'ASNACarte des différents sites de l'ASNA
Le centre spatial de Tikalan, situé sur la côte du Nord du territoire de la cité qui lui a donné son nom. Il comprend trois pas de tir, adaptés pour les tests et utilisation de plusieurs lanceurs sur la même période.

Plan du centre spatial de TikalanLe centre spatial de Tikalan

Index de l'ASNA

Informations générales
Activités
Programmes
Modèles d'engins spatiaux
Infrastructures
  • Le Centre Spatial de Tikalan
  • Les observatoires méridionaux, équatoriaux et septentrionaux
  • Le Centre de Contrôle de Kopip
Partenaires


Mise en forme pour les programmes[center][size=2][b]NomDuProgramme[/b][/size][/center]

[b]Période de fonctionnement :[/b] nombre
[b]Nombre de satellites dédiés :[/b] nombre
[b]Nombre planifié de satellites dédiés :[/b] nombre
[b]Modèles des satellites utilisés par le programme :[/b] modèle

[justify]texte[/justify]

[center][img=lien]légende[/img]
[i]légende[/i][/center]
Mise en forme pour les lanceurs[center][size=2][b]NomDuLanceur[/b][/size][/center]

[b]Période de service :[/b] nombre
[b]Nombre de lancements effectués :[/b] nombre
[b]Nombre de lancements réussis :[/b] nombre
[b][size=0.8][HRP][/size] Matérialisé par :[/b] X missiles lvl 8

[justify]texte[/justify]

[center][img=lien]légende[/img]
[i]légende[/i][/center]
Mise en forme pour les satellites[center][size=2][b]NomDuSatellite[/b][/size][/center]

[b]Période de service :[/b] nombre
[b]Nombre de ces satellites en orbite :[/b] nombre
[b]Programmes utilisant ces satellites :[/b] programme

[justify]texte[/justify]

[center][img=lien]légende[/img]
[i]légende[/i][/center]
818
Historique des lancements
Aleucia I | 4 lancements
Aleucia II | 24 lancements

Liste publique d'engins en orbite contrôlés par l'ASNA
Kolko - cartographie | 4 appareils actifs
GPA - géolocalisation | 15 appareils actifs
Faunus - télécommunications | 5 appareils actifs
1131
Aleucia I

Période de service : 2014-2015
Nombre de lancements effectués : 4
Nombre de lancements réussis : 3
[HRP] Matérialisé par : 1 missile lvl 8

Aleucia I est le premier lanceur fonctionnel développé entièrement par des agences aleuciennes. D'abord créé par l'ASSTAK (l'agence stéruso-akaltienne), c'est ensuite l'ASNA qui a repris le projet avec la fondation de l'ASEA. Depuis la mise en service d'Aleucia II, il n'est plus en service car ainsi devenu obsolète.

Quatre lancements ont été effectués avec Aleucia I, dont le troisième s'est soldé par un échec. Des prototypes de satellites, qui ont entre autres permit la construction des actuelles constellations Kolko et GPA, ont été envoyés en orbite au moyen de ces fusées. Il s'agissait des premières réussites de l'ASNA, qui ont mené à la construction du plus grand réseau de satellites de la planète, étalée sur

Avec ses 237 tonnes de masse avec chargement et au décollage, Aleucia I ne permettait cependant pas d'envoyer plus de deux tonnes, et ce en orbite basse, principale visée depuis le Centre Spatial de Tikalan pendant cette période d'essai. Les moteurs qui la propulsaient sont du modèle Julius MK1, qui a été développé par les laboratoires et entreprises lermandiennes.

Le lanceur Aleucia I décollant du site de Tikalan, en 2014.
Le lanceur Aleucia I décollant du site de Tikalan, en 2014.
848
Aleucia II

Période de service : depuis 2015
Nombre de lancements effectués : 24
Nombre de lancements réussis : 24
[HRP] Matérialisé par : 2 missiles lvl 8

Aleucia II est le second lanceur créé par l'ASNA, afin de pallier aux limites techniques de son prédécesseur, Aleucia I. Contrairement à ce dernier, qui avait encore de gros défauts de conception dû à sa fabrication encore mal installée et faite à la hâte, Aleucia II a pu profiter des nombreuses mesures effectuées durant les quatre tests de son prédécesseur.

En plus de pouvoir atteindre l'orbite basse, Aleucia II est également capable de déposer des satellites sur les orbites moyenne et géostationnaire (soit jusqu'à environ 36.000 kilomètres d'altitude). La masse du satellite emporté n'est cependant dans ce cas pas très élevée, en plus du fait que la fusée ne peut en orbiter qu'un à la fois jusqu'à présent.

Le lanceur Aleucia II décollant du Centre Spatial de Tikalan, en 2015.
Le lanceur Aleucia II décollant du Centre Spatial de Tikalan, en 2015.
2054
Géolocalisation Planétaire Aleucienne (GPA)

Période de fonctionnement : depuis 2015
Nombre de satellites dédiés : 15
Nombre planifié de satellites dédiés : 24
Modèles des satellites utilisés par le programme : Kivila

Le programme GPA est l'un des premiers programmes complets lancés par l'ASNA, après la série de petits lancements sans grande importance qui n'ont pas toujours réussi à placer leurs satellites en orbite.

Il a pour projet de fournir la géolocalisation aux engins militaires comme civils des États participant au programme, et ce, sur tous les points du globe. Contrairement à la géolocalisation depuis le sol, il ne nécessite aucunement d'installer des infrastructures sur tous les lieux d'intérêt. Au moyen d'à peine vingt-quatre satellites, il sera prochainement possible de couvrir la planète entière, y compris des zones complètement inhabitées telles que la Niverée, le milieu de l'océan ou le désert d'Afarée du nord.

Les satellites fonctionnent en calculant en permanence leur position grâce à leurs horloges atomiques embarquées, qui leur permettent de connaître avec précision l'heure qu'il est, à la nanoseconde près. Avec un calcul de trajectoire, ils déterminent ensuite leur emplacement, qui est envoyé par signaux réguliers à tous les engins utilisant GPA (voitures, avions, navires...). Les récepteurs connaissent ainsi la position précise de plusieurs satellites (quatre sont requis pour que la position soit triangulée avec précision, un cinquième permet de confirmer cela), et peuvent facilement déterminer la leur.
Cependant, étant donné la différence gravitaire qui existe entre la surface de notre planète et l'orbite sur lequel se trouvent les satellites de GPA (environ 20.000 kilomètres au-dessus du niveau de la mer), un décalage constant se produit dans les horloges embarquées, même s'il s'agit des plus performantes existantes. Toutes les heures environ, un signal est émit par le Centre de Contrôle de Kopip pour remettre à l'heure tous les satellites. Un décalage d'une seule seconde localiserait tous les récepteurs sur la Lune, ce qui entacherait fortement la crédibilité du programme.

Une modélisation montrant les trois séries de satellites en orbite et le nombre d'entre eux directement visibles depuis une position donnée.
Une modélisation montrant les trois séries de satellites en orbite et le nombre d'entre eux directement visibles depuis une position donnée.
1072
Kivila

Période de service : depuis 2015
Nombre de ces satellites en orbite : 15
Programmes utilisant ces satellites : GPA

Les satellites Kivila ont été créés dans le cadre du programme GPA, un programme de l'ASNA visant à se doter de capacités de géolocalisation par satellite. A cet escient, les satellites Kivila permettent, une fois mis en réseau avec plusieurs autres du même modèle, de localiser en permanence les utilisateurs au sol qui disposent d'un récepteur apprêté pour.
Avec une masse de 730 kilogrammes et deux panneaux solaires embarqués, leur durée de vie est actuellement estimée à douze ans, bien que les plus vieux situés en orbite n'aient pas encore deux ans d'âge. Ils emportent également quatre horloges atomiques, disposant de systèmes de calcul de l'heure différents, afin de conserver une mesure du temps la plus précise possible, ce qui est vital pour le bon fonctionnement de la géolocalisation. Ils ont tout de même régulièrement besoin d'une remise à l'heure effectuée depuis le sol, afin de rester certain qu'ils ne dévient pas trop à cause de leur position en orbite relativement haute.

Modélisation 3D d'un satellite Kivila en orbite dans le cadre du programme GPA.
Modélisation 3D d'un satellite Kivila en orbite dans le cadre du programme GPA.
1210
Yulnhol

Période de service : depuis 2015
Nombre de ces satellites en orbite : 4
Programmes utilisant ces satellites : Kolko

Les satellites Yulnhol, nommés d'après la cité akaltienne où se trouve l'IMCY (l'un des principaux instituts cartographiques fournissant l'Akaltie et l'ASEA) servent à l'observation de notre planète. Ils sont pour le moment uniquement utilisés par le programme Kolko, un programme visant à rassembler assez d'images satellites pour créer des cartes précises du monde entier. Le satellite pèse plus d'une tonne et est doté d'un panneau solaire, lui assurant une autonomie énergétique plus que raisonnable.

Yulnhol permet d'observer le sol depuis l'espace dans plusieurs bandes de lumière, allant des infrarouges aux ultraviolets. Cela lui permet de ne pas se restreindre aux images prises par temps clair, et d'améliorer la qualité générale de celles qu'il prend au dessus d'un ciel dégagé. Cinq sont actuellement en service pour le compte de l'ASNA, ce qui permet un temps de réactualisation de deux jours (soit le fait qu'un satellite passe forcément au-dessus d'un même point de notre planète deux jours après son prédécesseur sur l'orbite). En prenant en compte les conditions météorologiques qui ne sont pas toujours idéales, l'IMCY dispose en permanence d'images satellites comptant parmi les plus récentes au monde.

Vue 3D d'un satellite Yulnhol du programme Kolko.
Vue 3D d'un satellite Yulnhol du programme Kolko.
691
Barba

Période de service : depuis 2016
Nombre de ces satellites en orbite : 5
Programmes utilisant ces satellites : Faunus

Les satellites Barba constituent le premier modèle de satellites aleuciens de télécommunications, permettant ainsi aux civils pour le moment de communiquer facilement depuis n'importe quel point du globe. Le but est de tester le système de Barba avec la constellation Faunus afin d'ensuite développer un modèle adapté aux communications militaires, demandant plus de discrétion dans les transferts de données sensibles.

Ils pèsent environ 700 kilogrammes chacun et permettent de transmettre à minima plusieurs kilobits à chaque seconde, montant jusqu'à 1 Mb dans les meilleures conditions.

Un satellite Barba du programme Faunus en orbite.
Un satellite Barba du programme Faunus en orbite.
739
Dakantia

Période de service : aucune pour le moment
Nombre de ces satellites en orbite : aucun pour le moment
Programmes utilisant ces satellites : aucun pour le moment

Les satellites Dakantia portent le nom d'une ville westalienne abritant l'université des mines du pays. Cette université avait justement participé, lors des premières missions de l'ASNA effectuées avec le lanceur Aleucia I, en envoyant dans l'espace un petit satellite pour l'étude des sous-sols de notre planète. Dans cette lignée, les satellites Dakantia qui partiront bientôt pour l'orbite serviront notamment aux entreprise minières dans la détection de nouveaux gisements intéressants, sans qu'une prospection longue et difficile n'aie à être faite au sol.
Modélisation de ce à quoi ressemblera un satellite Dakantia en orbite.
Modélisation de ce à quoi ressemblera un satellite Dakantia en orbite.
Haut de page