13/03/2013
13:55:24
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[VALIDÉE] République Fédérale de Novigrad

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Nom officiel : République Fédérale de Novigrad
Nom courant : Novigrad ou R.F.N
Gentilé : Novigradien(ne)
Inspirations culturelles : Croatie – Bulgarie – Ukraine – Grèce – Serbie – Slaves méridionaux – Byzantins.

Situation géographique :



Langue(s) officielle(s) : Novi (Bulgare) – C’est la langue fédérale administrative et la première langue du pays.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Grec moderne – Ukrainien – Serbo/Croate – Ce sont des langues régionales reconnues.

Drapeau :
Drapeau fédéral du RFN

Devise officielle : От съюза нашата чест се възражда - (De l’Union, notre honneur renait.)

Hymne officiel :
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Monnaie nationale : Florin Novi (ƒN)
Capitale : Novigrad C.F – Capitale Fédérale Novigrad. (12.500.000 d’habitants)
Population : 41 000 000 d’habitants.

Présentation du pays :

Bassin fertile de la civilisation Eurysienne antique et bouillon de cultures inspirées au fil des siècles par les grandes migrations et les colonisations de la région, Novigrad s’illustre à travers une histoire riche mais agitée. Les premières traces de la civilisation locale remontent d’après les archéologues à l’antiquité antérieure et commencent aux alentours de 5 000 années avant notre ère. On estime que les tribus locales se seraient sédentarisées assez tôt autour des terres fertiles en amont du fleuve bayrön qui se déverse plus au sud. C’est notamment grâce à cette émergence assez précoce de la civilisation que le commerce et la navigation se développèrent relativement tôt dans le bassin Novi permettant une ouverture aux civilisations helléniques dès l’antiquité ainsi que la colonisation de l’intérieur des terres et des côtes maritimes de la région afin d’établir des avant-postes commerciaux.

C’est finalement à cette époque que sera d’ailleurs fondée la cité portuaire de Novigrad qui porte aujourd’hui le même nom que la nation dont elle est la capitale, elle fut construite au bord de l’embouchure du fleuve Bayrön qui rencontre alors la mer Leucitanéenne. Son emplacement stratégique pour le commerce entre l’Est et l’Ouest mais aussi plus tard avec le continent d’Afarée permet alors à la ville de devenir une mégapole antique prospère qui influencera culturellement tout son territoire devenant un véritable symbole pour les tribus. Véritable joyau disputé d’abord par les ethnies locales mais aussi par les nombreuses influences étrangères qui vinrent se mêler à la région au fil de l’histoire, la cité profite d’un large patrimoine architectural et historique qui fait la fierté de ses habitants.

L’histoire novigradienne est donc mouvementée, en effet, d’abord cité-république autonome elle s’est rapidement vue colonisée par un empire voisin (byzantin) bien plus puissant à l’époque avant de reprendre sa liberté plusieurs siècles après vers le premier millénaire grâce notamment aux victoires militaires d’un héros national : Antov le Libérateur. Fils d’un noble novi, Antov est devenu un véritable symbole en menant les troupes rebelles face aux colonisateurs et en libérant son peuple. Mais c’est lors du moyen-âge qu’un autre héros national fait son apparition, Vlad le Sang-Mêlé ou encore Vlad le Conquérant pour les plus fanatiques. Celui-ci était le fils bâtard d’une guerrière nordique qui s’était éprise d’un jeune pêcheur novi lors d’un raid sur les terres de ce dernier. Même s’il fut mis au monde dans les terres lointaines du nord de l’Eurysie, le jeune homme grandit en écoutant les récits de sa mère sur les terres prospères où vivait son père, sa fascination pour Novigrad fut telle qu’il leva rapidement une armée lorsqu’il atteignit l’âge adulte. Lui et les varègues qui l’accompagnaient conquirent en quelques décennies ce qu’on considère aujourd’hui comme le territoire national de Novigrad. Vlad et ses descendants régnèrent 400 ans et ainsi furent à l’origine de la création de la Grande-Principauté de Novigrad qui fut la forme quasi-finale de l’État jusqu’à l’époque moderne.

La principauté s’illustra particulièrement vers le moyen-âge tardif et la période de la renaissance, devenant une nation phare de l’Eurysie qui rayonnait par sa prospérité et ses conquêtes. Les frontières novigradiennes dépassèrent d’ailleurs pendant longtemps celles de la nation contemporaine mais celles-ci furent perdues progressivement au fil de la période moderne du fait des guerres civiles incessantes qui fragilisaient la monarchie locale. Un autre épisode particulièrement intéressant de l’histoire militaire locale se déroule notamment en 1506, lorsque les troupes de la principauté arrêtèrent les invasions barbares de l’Est lors d’une bataille particulièrement sanglante où l’armée locale sera pratiquement annihilée. Cependant la bravoure des Novigradiens ainsi que l’efficacité de sa célèbre cavalerie palatine ailée permit de mettre fin aux ambitions des envahisseurs et probablement de sauver l’Eurysie d’un grand péril.

Lors de l’époque moderne, Novigrad participe activement à la politique internationale et aux guerres eurysiennes profitant toujours d’une cavalerie de hussards réputés. La nation suit tant bien que mal la course à l’armement et aux nouvelles technologies comme les fusils et les canons. Pendant un temps, la principauté n’a pas à rougir face à ses voisins de l’Ouest et c’est notamment grâce au développement fulgurant de son exploitation minière dans les régions du nord. Néanmoins la monarchie locale commence à s’essouffler et elle perd de nombreux territoires, sa centralisation exagérée vacille progressivement vers une régionalisation du territoire alors que les tensions ethniques ne faiblissent pas.

C’est alors que commence la période funeste que les historiens appellent « le siècle du corbeau » en référence aux charognards qui se nourrissaient des cadavres abandonnés sur les routes. Pendant près de 70 ans le pays sera ravagé par plusieurs catastrophes à tel point qu’on évoquera souvent une punition divine. Tout commence en 1766 lorsqu’un navire accoste à Novigrad et contamine la ville avec une peste étrangère. L’épidémie se répandra à une vitesse effrénée à cause de la surpopulation locale, les savants de l’époque seront incapables d’arrêter la marche funeste de la maladie qui touchera l’ensemble du pays provoquant des millions de morts sur plusieurs années. S’ensuivra des périodes de famine dans les régions les plus pauvres de la nation ainsi qu’une hausse considérable de la criminalité. Cela débouchera sur une vague de conflits religieux et ethniques provoqués par une explosion des tensions et l’écart des richesses toujours plus important notamment entre les ethnies du Sud et celles du Nord. Cette période restera particulièrement ancrée dans les mentalités novigradiennes tant les cicatrices de plusieurs décennies difficiles s’incorporèrent dans la culture locale. On considère aujourd’hui que cette époque funeste causera à la principauté l’accumulation d’un certain retard alors que l’époque de l’exploration mondiale débutait chez ses voisins eurysiens, tandis que la monarchie novi tentait de maintenir le pays en un seul morceau et de conserver le pouvoir en n’hésitant pas à user de la force, le pays se replia sur lui-même pendant la majeure partie du 18ème et 19ème siècle.

En 1895, l’autocentrisme novigradien fut rattrapé par l’émergence d’idéologies venues de l’extérieur, le communisme s’implanta assez aisément dans certains bastions de la province septentrionale de l’Ourak et bientôt ce fut l’ensemble de la classe ouvrière qui se souleva. La décadence toujours plus grandissante de l’aristocratie n’aidant pas à maintenir un climat de paix sociale. Les historiens appellent cette période « la révolution d’Octobre », en référence au 6 Octobre 1895 où les milices communistes prirent officiellement les armes en assiégeant l’une des principales places fortes des frontières nordiques de la nation. La révolution durera plus de cinq ans coûtant des centaines de milliers de vies dans un conflit violent entre deux idéologies totalement opposées. La finalité de cet affrontement résultera par une victoire fulgurante des rouges ainsi que l’exécution de l’ensemble des héritiers au trône de la Grande-Principauté de Novigrad. Cela mena en toute logique à l’avènement d’une République Populaire de Novigrad gouvernée par une main de fer par le Camarade Viktor Orbo, un ancien militaire autoritaire. Malgré les déboires de ce gouvernement autoritaire on peut aujourd’hui lui accorder le crédit de profondes réformes sociales qui mirent fin aux privilèges et permirent la séparation de l’église et de l’état malgré des protestations dans les régions les plus superstitieuses.

Finalement c’est la mort du dictateur en 1942 qui libérera le pays en donnant le courage aux classes sociales intellectuelles de mener une contre-révolution afin de mettre fin à la domination communiste autoritaire. Un conflit de dix années s’ensuivit s’ajoutant au palmarès déjà bien garni de la nation. Cela se terminera par l’instauration d’une république fédérale inspirée des courants libéraux de l’ouest, néanmoins la situation catastrophique du territoire poussa l’état à s’enfermer principalement dans des politiques isolationnistes et de protectionnisme économique jusqu’au 21ème siècle. Cette période de paix relative provoquera un boom de la natalité et l’émergence d’une nouvelle génération moins traditionnaliste et plus sensible à l’ultra-libéralisme avec une véritable envie d’ouvrir la nation au reste du monde. Un processus retardé jusqu’ici par le développement de milices indépendantistes voire extrémistes notamment dans la région de l’Ourak qui ont focalisés l’attention de l’Etat.

Aujourd’hui les enjeux de la nation novigradienne sont nombreux, elle va devoir faire face à son retard en redynamisant son industrie ainsi qu’en modernisant ses infrastructures publiques. Sa volonté de s’ouvrir progressivement au monde se fera tout en ayant l’obligation de maintenir la cohésion sociale entre les différentes provinces fédérales. La création d’un mythe historique commun et les politiques éducatives visant à promouvoir l’unité nationale ont grandement améliorés les relations entre les ethnies locales toutefois certaines dynamiques traditionnelles ont la peau dure suivant les régions et c’est donc un défi constant pour le gouvernement fédéral. La surpopulation notamment dans la capitale fédérale est l’autre enjeu contemporain afin d’éviter l’émergence d’une fracture sociale au cœur même de la nation. L’objectif de l’action publique contemporaine étant de remettre à niveau la nation afin que celle-ci puisse reprendre une place importante sur la scène internationale tout en construisant les bases de partenariats solides avec le monde extérieur.

Notre aventure commence alors que le nouveau gouvernement fédéral en place depuis déjà deux années, d’ailleurs principalement issue des nouvelles générations, vient de réaliser une opération importante en arrêtant le principal chef terroriste de la dernière milice indépendantiste de l’Ourak. Le gouvernement espère que cette nouvelle facilitera la transition de la nation vers une société plus mondialisée et surtout ambitieuse.

Mentalité de la population :

Pour comprendre les mentalités novigradiennes, il faut tout d’abord comprendre les dynamiques ethniques territoriales. En effet, même si aujourd’hui la mobilité est plus présente que dans l’ancien temps et qu’il est bien évidemment possible de trouver une forme de mixité notamment dans les villes. La répartition territoriale ethnique reste relativement logique aux vues des foyers culturels régionaux.

La province fédérale de Novir est la plus peuplée, elle se situe principalement au sud central et englobe les terres qui entourent le fleuve principal du pays. C’est un territoire au climat subtropical de type Leucitanéen. La province est le foyer des Novis, l’ethnie principale du pays. L’économie locale tourne en majorité autour du secteur tertiaire et c’est la région la plus urbanisée. Les Novis sont généralement de bons commerçants et ils composent presque 70% de la classe supérieure.

La province fédérale de Sova est la seconde plus peuplée du pays, elle est située à l’ouest et profite d’un climat similaire à Novir. C’est une région surtout maritime où la population se concentre sur le front marin, la province est le foyer des Salvins qui sont historiquement la première ethnie à s’être fédérée aux Novis. L’économie locale tourne principalement autour de la pêche et des manufactures, la province concentre plus de la moitié de la classe ouvrière de la nation.

La province fédérale de l’Ourak est la troisième en termes de population, c’est pourtant une région rurale et montagneuse située autour des frontières nord du pays. Elle bénéficie d’un microclimat continental plus frais que chez ces voisins du sud. C’est le foyer des Ourouls, une ethnie qui descendrait des varègues de Vlad selon la légende. Son économie est surtout en rapport avec l’extraction des ressources minières notamment sa précieuse mine de diamants mais aussi de l’exploitation de ses napes phréatiques et des réserves forestières. Etonnamment malgré la propension de la province à la révolte, elle est aussi l’une des principales fournisseuses en recrues pour la police et l’armée.

La province fédérale d’Elassa est la plus petite et la moins peuplée du pays. C’est une région au climat subtropical aride concentrée autour des frontières est du territoire national. C’est le foyer des Kopts, une ethnie particulièrement pieuse et studieuse. Elle abrite la plus grande université du pays et une mouvance artistique active, c’est d’ailleurs la région la plus privilégiée des intellectuels. Son économie tourne donc autour de l’éducation, du marchandage artistique mais aussi de quelques secteurs de pointes impliquant les laboratoires d’états qui s’abreuvent en personnels qualifiés grâce à l’université locale.

Globalement, le peuple novigradien est un peuple fier et pragmatique. Sa rudesse est en quelque sorte l’héritage de son histoire parfois compliquée et pas toujours paisible. Ces cicatrices intériorisées poussent la population locale à se montrer méfiante, même si pas forcément malveillante, envers les grands changements et les influences étrangères. Néanmoins c’est un peuple au potentiel grandissant qui sait faire preuve de détermination et même d’ambition sociétale. La nouvelle génération est moins conservatrice et plus libérale, elle est concernée par l’idéal de cohésion sociale et souhaite prendre part à la vie publique de la nation.

Place de la religion au sein de l'État :

Depuis la révolution communiste, l’église est officiellement séparée de l’Etat même si cela n’a pas toujours été le cas dans l’histoire du pays. On assiste à une envolée de l’athéisme et l’agnosticisme depuis cette période. Le Patriarche de Novigrad reste toutefois un personnage important de la scène publique nationale grâce à une population orthodoxe encore nombreuse.

D’après les derniers sondages, la population est répartie de la manière suivante : 38% d’orthodoxes, 35% d’athéisme et agnosticisme, 15% de catholiques, 8% de réformés, 3% de juifs, 1% de paganisme.

Institutions politiques :

La République Fédérale de Novigrad est une démocratie républicaine de type fédérale avec un régime parlementaire bi-représentatif et une séparation des pouvoirs bien établie.

- Gouvernement Fédéral : Exécutif sans premier ministre, le gouvernement est nommé par le Chancelier qui fait office de chef de la nation et du gouvernement, celui-ci est élu au suffrage universel. (Mandat de 10 ans)
- Haut-Sénat : Législatif avec la particularité de n’avoir qu’une seule chambre. Les sénateurs sont au nombre de 820 représentants et ils sont élus au suffrage universel. (Mandat de 5 ans)
- Cour Suprême Fédérale : Plus haute autorité judiciaire. Les juges sont au nombre de 41 et ils sont nominés par un vote sénatorial. (Mandat de 20 ans)
- Gouvernement provincial : Exécutif régional pour chacune des provinces fédérales, le gouvernement provincial est nommé par le Gouverneur, celui-ci est élu au suffrage universel. (Mandat de 5 ans)
- Armée Fédérale : Etroitement liée à l’exécutif fédéral du fait de la position de chef des armées du Chancelier mais aussi de chef d’état-major du ministre de la Guerre et de l’armement (toujours un militaire de carrière). Elle dispose d’une subdivision en armée de l’air, marine et armée terrestre qui eux-mêmes disposent d’une hiérarchie plutôt commune aux armées contemporaines.
- Police Fédérale : Etroitement liée à l’exécutif fédéral, le chef de la police fédérale est nommé directement par le Chancelier et peut dépendre dans les faits du ministre de l’Intérieur.
- Direction des Services de Renseignements : Etroitement liée à l’exécutif fédéral, le directeur des services est nommé par le Chancelier. En plus des renseignements extérieurs et du contre-espionnage, elle dispose aussi d’une police politique secrète.

Principaux personnages :

- Alexandrov Logan Antov : 43 ans, Chancelier.
- Viktor Dyakonov Nikolov : 47 ans, Ministre de l’Intérieur.
- Varban Emilov Ilev : 55 ans, Ministre des Affaires Etrangères.
- Kristina Mihaelova Atanasova : 48 ans, Ministre de l’Économie et du Commerce.
- Georgi Zdravkov Tsankov : 51 ans, Ministre du Travail et de l’Industrie.
- Rosa Radkova Popova : 43 ans, Ministre de l’Education Nationale et de l’Enseignement Supérieur.
- Général Bogdan Ognianov Tsankov : 61 ans, Ministre de la Guerre et de l’Armement & Chef d’Etat-Major.
- Zlatko Evgeniev Nankov : 64 ans, Ministre de la Justice.
- Margarita Penkova Spasova : 47 ans, Secrétaire d’Etat à l’Agriculture et aux ressources alimentaires.
- Sivo Gavrilov Svetkov : 52 ans, Secrétaire d’Etat à la cohésion ethnico-sociale.
- Angelina Lyobomirova Dacheva : 49 ans, Secrétaire d’Etat à l’innovation.
- Kostadin Markov Bunev : 53 ans, Secrétaire d’Etat des affaires maritimes.
- Bayan Iskrenov Alexov : 50 ans, Secrétaire d’Etat des finances et du budget.
- Nayden Filipov Paskalev : 48 ans, Secrétaire d’Etat à la Culture et du Patrimoine.
- Vyara Nikolaieva Savova : 46 ans, Secrétaire d’Etat de la coopération provinciale.
- Gabriela Hristova Antov : 37 ans, Porte-Parole du Gouvernement Fédéral.
- Vlad Desislavov Ivanov : 56 ans, Commissaire-Général de la Police Fédérale.
- Viktor Olbar Alexios : 59 ans, Directeur des Services de Renseignement et de la Police Politique.
- Stanislav Yordanov Dobrev : 45 ans, Gouverneur de la Province Fédérale de Novir.
- Milenko Jović : 47 ans, Gouverneur de la Province Fédérale de Sova.
- Artur Bohdanovych Tymchenko : 53 ans, Gouverneur de la Province Fédérale de l’Ourak.
- Vassilis Rossos : 60 ans, Gouverneur de la Province Fédérale de Elassa.
- Razvigor Dragomirov Valerieva : 73 ans, Patriarche de Novigrad.
- Georgios Moraitis : 50 ans, Président de l’Université Fédérale Elassienne.


Politique internationale :

La R.F.N ouvre progressivement ses frontières au monde extérieur, de ce fait elle cherchera à obtenir des partenaires fiables notamment chez les démocraties semblables à son régime politique. Elle est tout particulièrement intéressée par des échanges commerciaux et technologiques. La volonté politique est de pouvoir réussir à insérer le pays dans les enjeux géopolitiques tout en conservant une démarche prudente dans son implication directe. De plus, le gouvernement souhaite ouvrir le pays au tourisme afin de pouvoir financer le maintien de son patrimoine.

Quelques faits en vrac :

- Sport : Le pays dispose d’une ligue de football et d’une ligue de rugby. Le sport national est la lutte. La boxe est aussi un sport relativement apprécié des populations et le MMA est d’ailleurs légal. L’équitation est culturellement très respectée surtout dans les zones rurales.
- L’égalité des sexes est admise depuis près d’un siècle notamment grâce au rôle des femmes dans la reconstruction du pays.
- L’usage du cannabis est légal et il est plutôt bien admis puisqu’il était utilisé dans la médecine traditionnelle locale.
- La moyenne d’âge national est relativement basse puisqu’elle n’est seulement que de 36,5 ans.
- Un service militaire obligatoire de 3 ans est instauré entre l’âge de 17 et 20 ans. Les jeunes obtiennent donc le certificat national à 17 ans et reprennent des études supérieures après 20 ans.
- La conscription est possible dans le cas où le Chancelier déclare l’état de guerre.
- La gastronomie locale est généralement à base de plats comprenant de l’huile d’olive, les fromages de brebis sont aussi très populaires ainsi que la charcuterie, le poisson et les agrumes.
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Juste, les références irl sont proscrites. Il va falloir que tu changes le nom de ton pays (Novigrad étant une ville de Croatie).
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Oui enfin ... Novigrad, c'est assez générique quand même pour que ça passe partout. C'est comme Dimitrovgrad ou Newtown ... t'en as partout. Donc je vois pas trop où est le souci ^^
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On a bien le Lofoten qui sont des îles norvégiennes ^^ Et ça ne dénature pas le jeu, ça ne change rien à part qu'il y ait un nom assez réaliste
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Bonsoir. Merci pour vos retours. Si je retire une lettre comme par exemple Novgrad, est-ce que c'est mieux ?
Hormis le nom, ma fiche est terminée.
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