18/05/2013
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Encyclopédie générale
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« Les roses de l’Impératrice à jamais berceront Warenburg »
La Kaulthie est un pays de poésie, qui vit encore bercé par les rêves, et en a oublié de suivre le monde.

Lexique

La Kaulthie est un pays germanique où vivent les Kaulthes.

La Confédération kaulthique est un état qui englobe la majeure partie de la Kaulthie, mais aussi quelques provinces qui ne sont pas kaulthes, voire pas germaniques. On peut aussi appeler cette Confédération la Confédération impériale kaulthique (son nom officiel), l’Empire kaulthique, et il n’est pas rare qu’elle soit tout simplement nommée « l’Empire » par ses habitants et ceux des régions voisines.

Les Kaulthes sont donc le peuple germanique qui vit en Kaulthie, mais, aujourd’hui, par extension, ce sont aussi les autres habitants de la Confédération kaulthique (comme les Sapythes, qui vivent dans le Säptar, enclave de la Confédération de culture slave)
Certains utilisent cependant le nom de « Kaulthiques » pour différencier les habitants de la Confédération du peuple kaulthe en général.
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Peuple, langue et culture

Les langues germaniques sont dominantes, au sein de la Confédération. On compte parmi elles le kaulthe, très proche de l’allemand, et ses dialectes. Les plus grands états kaulthiques ayant mené des politiques linguistiques visant à promouvoir une langue nationale, plusieurs dialectes kaulthiques sont devenues des langues à part entière. Parmi elles : le widger et le höngarais.

La population kaulthe est très pieuse, et chaque kaulthe est très chauvin de son état. L'élite kaulthe rassemble de nombreuses têtes à l'origine de la plupart des brevets scientifiques dans le monde, mais aussi des artistes de grande renommée. Les kaulthes sont très ouverts au monde sauf sur le plan des idées. Après des siècles de propagande et de culte de l'empereur, ils rejettent tout ce qui pourrait menacer les régimes en place, et sont donc pour l'immense majorité de fervents conservateurs. Le républicanisme, le communisme ou encore le fascisme n'ont jamais vraiment réussi à s'implanter au sein de la Confédération.

La plupart des kaulthes vit de l'agriculture, mais n'y voyez pas un pays pauvre et encore trop médiéval : la Kaulthie s'est modernisée et les kaulthes cultivent à l'aide des dernières technologies. Basés sur un système économique féodal, aucune grosse entreprise privée à l'image occidentale n'existe. Les Kaulthes mettront d’ailleurs plus souvent l’honneur, la famille et le patriotisme devant la recherche du profit.

Les Sapythes, quant à eux, sont un petit peuple slave vivant dans l’enclave sud-est de la Confédération. Leur intégration à cette dernière s’explique par un héritage du comté de Säptar, où ils vivent, par le Duc de Höngar, il y a près de deux siècles. Les Sapythes ont été un des rares peuples non-germaniques étant restés fidèles aux états kaulthiques. Cependant, les mouvements indépendantistes se font de plus en plus fréquents depuis quelques années.
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Système politique

Note HRP :

Ce système n'est aujourd'hui plus d'actualité ; le système actuel est celui du Second Empire

La Confédération kaulthique est divisée en une multitude d’Etats très indépendants les uns des autres. Ces Etats se sont, dans l’Histoire, souvent fait la guerre, et dans plusieurs d’entre eux, de nombreux territoires au sein d’un Etat sont les fruits d’une annexion d’une partie d’un autre Etat. Ces Etats peuvent se déclarer la guerre entre eux, comme c’est le cas du duché de Mustheid et du duché de Wassenberg (cf …).
Cependant, l’Empereur est considéré comme étant le chef de la Confédération.



Système politique


La Confédération et l’ensemble de ses états sont des Etats de droit. Leur système est effectivement féodal, mais il est très structuré par leurs lois. Le texte fondamental de toutes ces lois est la Constitution impériale, et chaque autres Constitutions doit être en accord avec celle de l’Empire pour fonctionner.
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Histoire

La Confédération kaulthique était à l'origine un très vaste ensemble de petits états qui ont accepté d'être temporairement dirigés par un Protecteur, qui avait pour mission de mobiliser toutes les armées kaulthiques contre les invasions des nomades. Ce Protecteur était Aldaric.

A la mort d'Aldaric, les nomades n'avaient toujours pas réussi à prendre contrôle des terres kaulthiques. Alors les états kaulthiques, qui avait apprécié la présence d'un protecteur qui dirigeait les armées coalisées, élirent le premier Empereur, qui fut le fils d'Aldaric, Sergeric. Celui-ci entreprit des campagnes contre les nomades, puis engagea la construction de la Grande Muraille des Kaulthes. A sa mort, son petit-fils Vithmiris fut élu empereur, et il mourut avant de laisser place à son propre fils Arius, élu à son tour par l'ensemble des états kaulthiques.

De base, les électeurs pour un Empereur étaient chaque dirigeant de chaque état kaulthique, et ils pouvaient élire n'importe quel homme de Kaulthie. Puis, à la mort d'Arius fut décidé que seuls les descendants de l'Empereur précédent pouvaient être élus. Ainsi était né la puissante dynastie des Aldaringiens.

Le fils ainé d'Arius, Hildebar, fut alors élu Empereur. Accompagné de sa femme l'Impératrice Rose, ils augmentèrent les pouvoirs de la Couronne impériale, et le rôle d'Empereur qui n'était auparavant que militaire couvrait à présent certains domaines de l'économie et des lois. Hildebar mena une grande campagne de conquête, annexant de nombreux territoires tout autour de la Kaulthie. Ses descendants perpétuèrent cette quête, la justifiant comme étant une "Conquête d'Eurysie", et gagnaient beaucoup de territoires. Cependant, ils leur arrivaient aussi d'en perdre.

Le pouvoir impérial fut à son apogée sous le règne de Karl II le Subterfuge. Couvrant une bonne partie de l'Eurysie, la Confédération était un état uni, et le pouvoir de l'empereur était absolu et incontestable. Les anciens états kaulthiques n'avaient plus aucun pouvoir, et leurs dirigeants n'avaient qu'un rôle moral. Et, depuis le règne d'Elric premier, arrière-grand-père de Karl, il existait au sein des kaulthes un culte de l'empereur. Durant le règne de Karl, les catholiques kaulthiques firent scission avec les autres catholiques, et reconnurent l'empereur comme étant le chef de l'Eglise catholique, remplaçant ainsi le pape.

Le pouvoir impérial commença à s'affaiblir à la mort de Karl le Subterfuge, et déclina peu à peu au profit des états, qui se voulurent de plus en plus indépendantiste vis à vis de la Confédération. Finalement, une révolution scinda le pays, et plusieurs états déclarèrent leur indépendance, réduisant considérablement la taille de la Confédération.

Aujourd'hui, la Confédération est minuscule, comparée à ce qu'elle avait pu être. Cependant, elle persiste encore, et l'empereur est toujours présent, et toujours de la lignée directe d'Aldaric. Il a très peu de pouvoir, ne peut pas vraiment agir au sein des états, et n'a presque plus qu'une valeur morale qu'autre chose.

Les états kaulthiques sont principalement des monarchies constitutionnelles qui ont résisté au passage de nombreuses révolutions pour la démocratie. Elles sont les héritières d'un système féodal, et de nombreuses institutions sont indépendantes des décisions de leur monarque. Il existe aussi quelques évêchés et républiques au sein de la Confédération.

Le culte de l'empereur est toujours présent, et il reste le guide de la foi catholique selon la majorité des kaulthes. Il suscite beaucoup les légendes, notamment parce qu'on le voit très rarement.
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Religion

La religion majoritaire en Kaulthie est le Catholicisme impérial. Elle partage une histoire commune avec le Catholicisme romain de Catholagne, mais depuis le « Schisme d'Elric », où l’Empereur Elric s’était proclamé Guide de la Foi, les Kaulthes ont petit à petit renié leur allégéance au Pape catholar, avant de se tourner vers le culte de l’Empereur.

Les Catholiques romains sont assez discriminés : de nombreuses lois les privent de certains droits, les autres Kaulthes font preuve de beaucoup d’intolérance avec, et il existe même certaines institutions qui tentent de les convertirent, comme l’Inquisition impériale et l’Inquisition almarägeoise. Cette intolérance est la conséquence de nombreuses années de guerres entre états kaulthiques catholiques romains et catholiques impériaux au nom de l’intégrité religieuse et du combat de l’hérésie, les imépriaux étant aujourd’hui triomphant.

Les autres religions sont cependant bien plus tolérées. L’Islam, bien que peu présente, est bien accueillie. La chrétienté orthodoxe, un peu plus présente, a fait l’objet de rencontres entre Empereur et Patriarche. Certaines élites sont orthodoxes, notamment dans la famille royale du duché de Mustheid.

Le Judaïsme est assez présent en Kaulthie. Cela s’explique par la présence d’un état kaulthique juif pendant près d’un siècle : l’Etat Libre Juif. Cet état s’était créé suite à l’accès de Einrich von Vaderham au trône du Comté de Maneim. Einrich était le cousin juif du Comte de Maneim, mort sans enfant. Faute de succession, Einrich est devenu Comte de Maneim, réformant cet état féodal en une république juive. Aujourd’hui, l’Etat Libre Juif n’existe plus, ayant été annexé par de nombreux états revendiquant son territoire, mais les Juifs qui s’y été installés peuplent toujours l’Empire, portant maintenant le nom de Karythes.
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Economie

Le libéralisme a eu du mal à s’implanter dans l’Empire, mais le système économique féodal actuellement en place s’y apparente aujourd’hui beaucoup. Cependant, les différents Etats interviennent souvent dans les affaires économiques.

En Kaulthie, on préfère acheter local, à des gens que l’on connait, à des amis, dans les marchés du village, plutôt qu’à des entreprises étrangères. Acheter étranger est mal vu quand ce n’est pas une question d’intérêt culturel.

« On fait tout mieux soi-même » est une devise assez présente dans la plupart des familles, qui produisent pour elles-mêmes certains produits, notamment la nourriture.
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Relations avec l’étranger

Les Etats kaulthiques voient d’un très mauvais œil ce qui pourrait faire chuter leur système féodal, et ils se montrent très hostiles lorsque les étrangers les appellent à la réforme ou à la révolution. Le communisme est, pour eux, un enfer qui ne devrait jamais prendre place en Kaulthie. La démocratie libérale à l’image de l’Occident, bien que se rapprochant plus du système actuel, les laissent cependant méfiant et sceptique : les souverains veulent garder leur pouvoir.

Les quelques républiques existant en Kaulthie ne sont pas très égalitaires, et craignent qu’on tente de les réformer.

Cependant, toutes ces idées, tant qu’elles restent en dehors de l’Empire, sont très tolérés des Etats de la Confédération.

Le peuple kaulthe, quant à lui, est assez ouvert, mais reste très patriote. Les idées d’une révolution leur font peur : ils ne souhaitent surtout pas bouleverser leurs habitudes de vie. Quant à l’indépendantisme, il a été très combattu par la propagande impériale ces dernières années, et est devenu quasiment inexistant - excepté au Säptar, où il gagne en importance.
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Franz II von Warenburg, Empereur de la Confédération kaulthique

Franz II

Franz von Warenburg est né le 2 janvier 1990 dans le Palais impérial de Warenburg. Il est le fils de l’Empereur Maximilian et d’Emilie von Heidler.

Maximilian régnait déjà depuis 20 ans. Ayant accédé au trône au lendemain des révoltes indépendantistes, Maximilian a surtout mené une politique de reconstruction et de conciliation avec les états kaulthiques. C’est grâce à lui qu’aujourd’hui, les Etats kaulthiques encore restants font toujours partie de la Confédération. Il a renforcé énormément renforcé les liens entre la Couronne impériale et le Duché de Wassenberg, notamment en épousant Emilie von Heidler, soeur de Niklas von Heidler, actuel duc. Cette alliance tacite entre le Wassenberg et l’Empereur aurait, dit-on, empêcher le Höngar d’entamer une insurrection pour son indépendance. Maximilian est également à l’origine de nombreux travaux autour de Warenburg, ayant permis à la ville de s’étendre considérablement et d’en faire une véritable métropole eurysienne. Il est cependant mort en 2001 d’une chute à cheval, évènement étant devenu un symbole ironique de son conservatisme bien de trop poussé.

Franz, alors âgé de 11 ans, était alors encore trop jeune pour régner, et Emilie devint régente. Très appréciée des états kaulthiques, Emilie a cependant eu de nombreux différends avec son frère Niklas von Heidler. Des dissensions au sein de la famille impériale naissent lorsque Franz a 13 ans, provoquant une crise diplomatique entre états kaulthiques, la "crise de la Régence". D’un côté, Emilie, supportée par Jakob Moser, Reichbishof d’Almaräg, qui appréciait sa politique de modernisation, et par Elmar von Hammerstein, Duc de Höngar, qui voyait en Emilie une solution pour affaiblir le Wassenberg. De l’autre, Niklas von Heidler, qui voulait retrouver la stabilité politique et juridique de son ami défunt, Maximilian, et qui se voulait conservateur, et Franz, qui voulait récupérer le trône malgré son âge, honorer la politique de son père, et maintenir la loyauté du Wassenberg.

La « crise de la Régence » se termina en février 2004 avec « le coup d’Etat de l’Hiver ». Alors que la régente Emilie et le duc de Höngar étaient en train de traiter sur un statut autonome pour ce dernier, Franz et Niklas von Heidler décidèrent d’agir en prenant d’assaut le Palais impérial avec des partisans parmi les forces spéciales impériales. Emilie fut assassinée durant les affrontements par son propre fils Franz avec qui elle était donc en constant et profond désaccord. Elmar, subjugué, ne riposta pas et repartit pour sa capitale deux heures après l’assassinat. Le lendemain, le 14 février 2004, Franz fut couronné Empereur de la Confédération kaulthique sous le nom de Franz II.

Les causes de ce coup d’Etat et de la réaction de ses acteurs sont encore assez floue, mais la présence d’un conflit familial fort est assez probable. Maximilian et Emilie ne s’aimaient pas, et le mariage était uniquement politique. Ils eurent donc trois enfants : Franz, Karl et Evelyn. Evelyn aurait très mal vécu cette situation familiale à cause de la froideur de ses parents entre eux. Sous pression à cause du mal-être d’Evelyn, Emilie aurait secrètement choisi d’entamer une lutte contre les mariages arrangés, qui se transforma avec le temps en lutte contre les traditions et pour le progressisme. A la mort de Maximilian, Emilie devint régente et entama des actions progressistes, mais Franz et Karl, malgré leur jeune âge, les désapprouvèrent très vite car ils les jugeaient dénuées de sens et de réflexions et bien trop extrêmes. Franz et Karl n’ont jamais été vraiment conservateurs, et ont plutôt désapprouvé le « fanatisme » que développait leur mère avec sa volonté de casser tout le système politique mis en place. Cependant, ils se sont donc vite associés au Duc de Wassenberg pour lutter contre la folie de leur mère. Lors de l’assassinat d’Emilie, exécuté par Franz et salué par Karl, le Duc de Höngar s’enfuit avec Evelyn vers sa capitale, et décida de ne pas riposter directement contre l’avènement de Franz mais plutôt de former Evelyn pour qu’elle lutte contre son frère et contre toute la dynastie impériale.

Franz, devenu Empereur, renoua depuis de bonnes relations avec le Reichbistum d’Almaräg, et maintint les liens avec le duché de Wassenberg. Il est vu comme quelqu’un d’ambitieux, mais aussi de calculateur, mystérieux et de très froid. Franz a un objectif secret : faire de la Kaulthie une nation unie menée par l’Empereur, et pour cela, il compte renforcer le pouvoir impérial comme au temps de Karl le Subterfuge.
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Histoire
L'Impératrice Rose, symbole humaniste et historique de l'Empire

L'Impératrice Rose

Si les Kaulthes ont développé un culte de l’Empereur très fort, l’Impératrice Rose, bien que morte il y a des siècles, a à jamais marqué le cœur des Kaulthes et inspire encore aujourd’hui les domaines artistique et littéraires en Kaulthie.

Rose-Marie Vasiliev est issue d’une famille de nobles eurysiens assez hétéroclite. Son père, Dimitri Vasiliev, était un noble venant de l’Eurysie orientale et sa mère, Christiana Demaratos, était une riche marchande grecque issue de la noblesse. Rose-Marie né en Eurysie occidentale, mais passe son enfance dans l’Empire rémien. Elle y étudiera énormément la théologie et la politique.

Lors du pillage de leur ville, elle, ses sœurs et leur mère sont capturées par des soldats germains, tandis que leur père est tué devant leurs yeux. Emmenées dans le pays des pillards, ils y vivront deux ans en tant qu’esclaves, jusqu’à ce que leur mère meure. Rose-Marie décide alors d’adopter la culture et la langue de ses ravisseurs, et devint ainsi catholique. Elle se lie ensuite d’amitié avec l’évêque local, qui l’achète et la libère, lui redonnant son statut de noble.

Lors de l’annexion de la ville germaine où elle habite par l’Empereur kaulthe Hildebar, ce dernier rencontre la jeune noble et décide de l’épouser. Rose-Marie rentre à Warenburg avec Hildebar, où ils se marient, et où elle devient l’Impératrice Rose.

Le jeune couple, avec d’un côté un stratège militaire puissant et charismatique et de l’autre une intrigueuse douée en politique, extrêmement cultivée et poétique, provoquera alors le début d’un âge d’or pour l’Empire kaulthique.

Tandis que Hildebar mène une campagne d’unification des peuples germaniques, notamment avec son annexion éclair de la partie sud du Holzland et du Kupferland ainsi que de Nissau et Wemar, qui dépendront de l’Empire jusqu’à la Première Guerre Germanique au XVIIe siècle, l’Impératrice Rose s’occupe des affaires intérieures de l’Empire et s’impose comme une puissante figure politique. Elle entame des réformes économiques fortes, et instaure notamment les Guildes marchandes, qui sont à l’époque très dépendantes de la Couronne impériale. Elle établit un domaine impérial dirigé directement par la Couronne impériale, et dont font partie les titres de Comte de Warenburg et de Prince de Stellbraum.

Rose a un tel réseau d’influence qu’elle réussit à faire accéder un de ses cousins, Iosif Demaratos à la tête d’un nouvel état kaulthique : le Duché de Mustheid. Encore orthodoxe, Iosif Demaratos accueille une grande partie de sa famille et de ses proches, et une diaspora grecque orthodoxe se créé dans le nouvel état. Lui et ses enfants deviennent ensuite officiellement catholiques, et Iosef devient Joseph Premier. Il obéit à l’Impératrice au doigt et à l’œil, faisant de la Mustheid l’Etat fantoche de Rose. Le Duché s’étend et annexe la multitude de comté qui formait jusqu’alors la région, puis, face à la rivalité croissante entre le Wassenberg et la Couronne impériale, mène une guerre de répression. La rivalité entre le Duché de Mustheid et celui de Wassenberg né à ce moment-là.

Lorsque Hildebar revient victorieux du Holzland, l’Impératrice est en fâcheuse posture à cause d’une coalition entre le Wassenberg, l’Almaräg et le Schwrög pour renverser le pouvoir impérial. Hildebar mène ses armées et assiège successivement les trois capitales des insurgés, et l’Impératrice profite du chaos des combats pour imposer ses décisions à la Confédération. Ceci marque le début d’une ère de souveraineté dans tous les domaines pour la Couronne impériale.

L’Impératrice instaure un système d’impôts impériaux, rassemble les lois sur les privilèges et devoirs seigneuriaux de toutes les régions pour ne faire qu’un texte de loi applicable à toute la Confédération et renforce le lien féodal entre seigneurs et vassaux. Elle créé ensuite des Guildes artistiques, qu’elle fréquente beaucoup. Rose créé le Reichmark, une monnaie commune à tous les Etats kaulthiques. Elle mettra du temps à être utilisée, et prendra après sa mort le nom de Rosenmark.


L’Impératrice arbore toujours des roses comme symboles, et de nombreux poètes parleront des Roses de l’Impératrice. Ce symbole est encore extrêmement présent en Kaulthie, et est un emblème national avec l’Aigle impérial. L’hymne kaulthique, Ich hab die Nacht getraümet, est un des symboles du mouvement de la Rose Noire, notamment avec ses références implicites à l’Impératrice Rose. « Rosmarienbaum », qui signifie romarin, peut aussi signifier Arbre de Rose-Marie, en langue kaulthique. Les paroles de ces hymnes sont encore très énigmatiques, mais son lien avec l’Impératrice est évident.

Puis, un jour, Rose publie un roman qu’elle aurait écrit durant plusieurs années : Sankt Adalberts Grab (La tombe de Saint Adalbert). Ce livre humaniste s’inscrit comme le pionnier du mouvement de la Rose Noire, mouvement humaniste promouvant les liens humains plutôt que les valeurs idéologiques ou religieuses. Le Catholicisme impérial, né quelques années plus tard, adoptera quelques idées de la Rose Noir, mais le mouvement s’inscrira surtout dans les revendications des mouvements anarchistes bien des siècles plus tard.

Rose, après avoir publié son livre, mène une politique humaniste en soutenant les peuples minoritaires de la Confédération, en construisant des hôpitaux, en instaurant des aides pour les pauvres dans le domaine impérial ou encore en créant un troisième type de guildes : les Guildes humanistes (équivalent des associations caritatives actuelles). Elle est également à l’origine de la création des catacombes et de la cathédrale de Warenburg.

L’Impératrice Rose est aujourd’hui un symbole humaniste, notamment avec son esprit visionnaire et moderne. Elle a apporté de nombreuses choses au pays, dans les domaines économique, culturel mais aussi politique et religieux. L’Impératrice Rose est également à l’origine des débuts de l’ère de la souveraineté impériale en Kaulthie, ère terminée depuis plus de deux siècles avec un déclin continuel.

« Les roses de l’Impératrice à jamais berceront Warenburg. », c’est le motto de la capitale impériale, qui s’est vue émergée grâce aux réformes économiques et à la création d’un domaine impérial par Rose, qui lui permet aujourd’hui d’être une capitale stable et prospère.
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Politique
Le Duc Elmar, le Réprouvé

Elmar von Hammerstein

La maison des Hammerstein règne aujourd'hui sur plusieurs états kaulthiques, tenus par un ingénieux engin juridique d'un côté par Maria von Hammerstein, cheffe de la maison, et de l'autre par la force et l'autorité le puissant Duc Elmar von Hammerstein, son cousin, pas moins puissant.

Les Hammerstein sont issus de l'antique dynastie des Fiotor, une dynastie slavique de chefs de guerres nomades. C'est avant la création de la Confédération kaulthique que Branimir obtient du Roi de Tisbruch la Baronnie de Hammerstein, dans l'actuelle Matasvitt. S'ensuit alors une lente mais progressive montée au pouvoir, d'abord par l'acquisition par ses descendants du Comté de Perimud, puis du Royaume de Matasvitt et du Comté de Karbing. L'Âge d'or des Hammerstein commence alors, en tant que grands seigneurs de l'Empire kaulthiques, qu'ils servent loyalement. Avec le mariage entre la comtesse de Höngar et Karl von Hammerstein, ils parviennent même à acquérir le Höngar, en en faisant un duché. Mais leur scission avec la dynastie impériale commence lorsque, dans la volonté de s'attirer les bonnes faveurs des marchands juifs dans une période de crise économique (qui mènera aux Révolutions kaulthiques), l'Empereur Friedrich II leur octroit le Comté de Karbing, le révoquant aux Hammerstein. Une longue période de déclin marque la dynastie, qui se relève tout de même, mais sans le Comté de Perimud et de Karbing. De plus, le Duc Eugen de Höngar installe le système héréditaire de primogéniture dans son duché, détériorant subitement ses relations avec la jeune cheffe de la maison, Maria.

Les Hammerstein se retrouvent alors divisés, entre le puissant Eugen, qui a réussi à annexer le Karbing, puis le Säptar qu'il a intégré à la Confédération, et Maria, qui dirige un ensemble de petits états fantoches appartenant à des membres de la famille. Dans ses dernières années de règnes, Eugen tente de faire du Duché de Höngar une nation indépendante dont la vocation serait de reprendre le contrôle sur les territoires jusqu'alors occupés par la Confédération, et fonder ainsi un état unitaire sur lequel régneraient avec force ses descendants. Ce projet meurt en 1999 avec son initiateur, avant même qu'il ne puisse être mis en place - et cela sûrement en raison d'une alliance tacite entre le Wassenberg et l'Empereur Maximilian, qui aurait empêché Eugen de déclarer son indépendance jusqu'alors.

Maria est vieille et Eugen et mort, laissant à son fils Elmar le Duché de Höngar. Elmar commence son règne en force en multipliant les erreurs diplomatiques à l'encontre du Wassenberg, dont il ne cache même pas vouloir déposer le Duc. Elmar veut instaurer une monarchie absolue et forte pour pouvoir refaire de l'Empire un état glorieux dominant l'Eurysie, et convoite le Trône impérial. Le duc de Wassenberg, grand conservateur et défenseur du féodalisme, représente pour lui un poids de masse, notamment par sa protection de nombreuses provinces revendiquées par Elmar. De plus, il éprouve un certain antagonisme pour celui qui aurait empêché son père d'achever son rêve d'indépendance.

Avec un début de règne difficile sur le plan diplomatique, Elmar se rattrape cependant en reprenant le réseau d'alliances de son père, et, lors de la Régence d'Emilie von Heidler, il saute sur l'occasion pour sympathiser avec elle afin de renverser Niklas, son frère duc de Wassenberg. Cependant, c'est un échec cuisant, notamment avec le Coup d'Etat de l'Hiver de Franz von Warenburg.

Aujourd'hui, Elmar von Hammerstein est le centre-même de la géopolitique kaulthique. Il est animé d'une haine profonde envers le Duc de Wassenberg et l'Empereur Franz, détient la soeur de cette dernière, qu'il forme pour le renverser. Il doit aussi temporiser avec les Communalistes, qui deviennent de plus en plus nombreux au sein de son état, sans pour autant trop détériorer ses relations avec la République de Schwrög, rivale du Höngar que son père a réussi à calmer en pactisant avec pour éviter des insurrections communalistes. Elmar convoite également l'Arovaquie, revendiquée par l'Empereur. Pour finir, il doit tenter de maintenir des relations stables avec les autres Hammerstein, toujours en rogne contre lui et son père.

Le maître suprême du Höngar parviendra-t-il à maintenir son pouvoir et à renverser ses ennemis ?
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Religion
Le Dévotisme

Croix dévotique

Le Dévotisme, ou Christianisme dévotique (dont les croyants sont appelés « Dévoués ») est un mouvement religieux fanatique chrétien né dans la Confédération kaulthique au XIXe siècle. Les Dévoués suivent une sorte d’« extension » de la Bible chrétienne appelée « Code du Devoir ». Ce code a été écrit par un moine kaulthique du XIXe siècle, Berthold Manheim (ou Saint Berthold). Il rassemble de nombreuses idées d’anciens mouvements chrétiens fanatiques, et propose une réinterprétation de la Bible très différente des interprétations classiques. Le Code du Devoir appelle à une obligation pour chaque Chrétien de convertir les païens et les athées et de combattre ceux qui s’y opposent, vus comme des envoyés du Mal. Le Code du Devoir fait donc de ce mouvement un mouvement hostile, intolérant et profondément fondamentaliste.

Origines

De nombreux mouvements chrétiens fanatiques ont précédé le Dévotisme, ayant poussé les Kaulthes à partir en croisade contre les païens et les athées. Cependant, aucun d’entre eux n’était vraiment codifié, et aucun d’entre eux n’a survécu au passage du temps. Le Dévotisme, avec le Code du Devoir, a rassemblé nombre de ces mouvements, marquant le début d’un mouvement unifié et permanent. L’affaiblissement de la Couronne impériale kaulthique et donc de l’Eglise catholique impériale a provoqué l’essor du Dévotisme au XIXe siècle. Cependant, l’Eglise catholique impérial ayant initié des campagnes de tolérance religieuse, le Dévotisme s’en est vu combattu, et est devenu beaucoup plus discret. Il connait cependant une période de renaissance depuis l’accès au pouvoir des Von Kirchstein, famille dévouée höngaraise, au Comté de Tisbruch en 1973. Aussitôt, le Tisbruch est devenu le lieu central du Dévotisme, accueillant de plus en plus de ses croyants.
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Histoire
Chronologie de l'Histoire kaulthique
Première Partie

Antiquité

  • Epoque celte - Les Celtes peuplent la Kaulthie, à l'époque appelée par les Rémiens "Gaeldia". Ses habitants sont les "Gaeldites".

  • Invasions germaniques - Les Germains envahissent la Gaeldie vers l'an -50, et s'y installent durablement. Les Gaeldites sont vite assimilés.

Antiquité tardive

  • Invasion de l'Ipharie - Les Germains envahissent l'Ipharie (Arovaquie) et fondent le Royaume d'Arovaquie. Les Germains arovaques se convertissent au christianisme.

  • Création du Royaume de Kaulthie, chrétien -Lorsque les Rémiens récupèrent l'Arovaquie, certains Germains chrétiens reviennent en Gaeldie. Des Germains gaeldites deviennent chrétiens, et fondent le Royaume de Gaeldie, qui deviendra le Royaume de Kaulthie. Les Germains chrétiens de Gaeldie se feront donc appeler les Kaulthes, tandis que les "païens" garderont leur nom de Gaeldites.

  • Dislocation du Royaume de Kaulthie -La Kaulthie mène une guerre contre des nomades slaves, ces derniers comptant l'envahir. Elle en sort victorieuse, mais au prix d'être disloquée en plusieurs états.

Moyen-Âge sombre

  • Ere des Royaumes kaulthes - Les Royaumes kaulthes vivent une période plutôt paisible, ne menant des guerres qu'entre eux.

Milieu du Moyen-Âge

  • Invasions slaves - Les nomades slaves tentent de nouveau d'envahir la Kaulthie.

  • Création de la Coalition des Etats kaulthes - Les Royaumes kaulthes décident de se réunir temporairement sous la direction d'un Protecteur, Aldaric, chargé de mobiliser les armées kaulthes contre les invasions nomades.

  • Création de l'Empire kaulthique -A la mort d'Aldaric, son fils Sergeric est élu Empereur. L'Empire kaulthique est fondé.

  • Règne de Sergeric

  • Campagnes contre les slaves - Sergeric mène des campagnes contre les nomades slaves, menant ses armées assez loin à l'est de l'Eurysie.

  • Construction de la Grande Muraille des Kaulthes - Afin de protéger la Kaulthie des nomades slaves, Sergeric engage la construction d'une grande muraille, allant de l'est des Altars kaulthiques au Widgen.

  • Règne de Vithrimis - Vithrimis, fils de Sergeric, est élu Empereur à la mort de son père.

  • Règne d'Arius - Arius, fils de Vithrimis, est élu Empereur à la mort de son père.

  • La succession devient dynastique - A la mort d'Arius, il est décidé que la succession au titre d'Empereur sera désormais réservée aux enfants de l'Empereur défunt, et non plus à tout le monde. La dynastie des Aldaringiens est née.

Moyen-Âge tardif

  • Règne d'Hildebar - Hildebar, fils ainé d'Arius, est élu Empereur à la mort de son père.

  • Campagne d'unification des peuples germaniques - Hildebar mène une grande campagne de conquête des territoires voisins de la Kaulthie, jusitifiée par une volonté d'unifier les peuples germaniques

  • Conquête du Wassenberg

  • Conquête des peuples germaniques du Nord - Annexion du sud du Holzland et du Kupferland ainsi que de Nissau et Wemar. Défaite contre les Walserreichiens du nord.

  • Conquête du Mährenia

  • Conquête du Werinn

  • Conquête de la Mahre - Annexion de la Matasvitt, du Silbranien et de l'Almaräg.

  • Début de l'Ere Rose - Hildebar se marie à Rose-Marie Vasiliev, qui devient l'Impératrice Rose. Elle l'aidera durant son règne, menant de nombreuses réformes et devenant un symbole national.

  • Création des Guildes marchandes

  • Révolte de la Coalition - Le Wassenberg, l'Almaräg et le Schwrög se révoltent pour renverser le pouvoir impérial. Victoire d'Hilderbar.

  • Essor du pouvoir impérial - le rôle d'Empereur, qui n'était auparavant que militaire, coubre désormais certains domains de l'économie et des lois.
  • Règne de Karl Ier - Karl, fils ainé de Hildebar, est élu Empereur à la mort de son père. Celui-ci tente de maintenir l'Empire de son père, mais perd quelques territoires au sud.

  • Règne de Aldaric II - Aldaric, fils de Karl, est élu Empereur à la mort de son père. Son règne est marqué par la reconquête des territoires perdus par son père.

  • Premier règne de Franz Ier - Franz, fils d'Aldaric, est élu Empereur à la mort de son père.

  • Début de la "Conquête d'Eurysie" - Franz entame une "Conquête d'Eurysie", suite de la campagne d'unification germanique. Il est violemment arrêté aux portes de l'Arovaquie par les troupes de l'Empereur rémien, et y est emprisonné.
  • Premier règne de Heinrich Ier - Heinrich, fils ainé de Franz, est élu Empereur, Franz étant considéré comme mort dans les donjons de l'Empereur rémien.

  • Le titre d'Empereur devient héréditaire - Heinrich instaure la primogéniture : le fils ainé de l'Empereur défunt deviendra Empereur sans élection.

  • Guerre des deux couronnes - Lorsque Franz réussit à se libérer de l'Empereur rémien en signant un pacte de non-agression et qu'il revient en Kaulthie, Heinrich refuse de lui céder à nouveau la couronne. Une guerre civile éclate.

  • Second règne de Franz Ier - Franz et ses partisans gagnent la guerre. Cependant, Franz meurt de maladie au bout d'un an.

  • Second règne de Heinrich Ier - Heinrich succède à son père, cette fois en toute légitimité.

  • Règne d'Aldaric III - Aldaric succède à son père Heinrich.

  • Règne d'Arius II - Arius succède à son père Aldaric.

XVe siècle - XVIIIe siècle

  • Règne d'Elric Ier - Elric succède à son père Arius.

  • Création du Culte impérial - Grâce à une popularité croissante, Elric Ier réussit à instaurer un Culte impérial parmi les chrétiens kaulthiques. De nombreuses icônes de lui sont installées dans les églises.

  • Règne d'Aldaric IV - Aldaric succède à son père Elric.

  • Elric est canonisé - Elric est canonisé par le Pape, devenant Saint Elric. Cela s'explique par une volonté de la Papauté de se rapprocher de nouveau de l'Empire kaulthique, qui gagne de plus en plus en pouvoir et qui se permet de ne plus écouter le Pape. Cependant, Aldaric utilise cette action pour renforcer le Culte impérial dont il hérite.

  • Renforcement du pouvoir impérial - Le statut confédéral de l'Empire décline, laissant place à une sorte de fédération gouverné par l'Empereur.

  • Règne de Karl II "le Subterfuge" - Karl succède à son père Aldaric.

  • Apogée de la "Conquête d'Eurysie" - Karl conquérit de nombreux territoires, s'imposant comme une puissance centrale en Eurysie.

  • Apogée du pouvoir impérial - Karl cède totalement avec le système confédéral-fédéral en supprimant les Etats kaulthiques, déjà presque obsolètes, et en instaurant un Empire unifié et centralisé. Sa capitale, Warenburg, prospère.

  • Schisme catholique - Tout puissant, Karl décide de céder avec le Pape, les relations entre l'Empire et la Papauté étant très dégradées. Il instaure une Eglise catholique impérial, dont il devient le maitre, le représentant de Dieu. Il hérite des fonctions papales.

  • Instauration de l'hérédité absolue - L'ainé de Karl étant une fille (ce qui n'était jamais arrivé depuis l'instauration de la succession par hérédité), Karl précise explicitement qu'il veut que ce soit sa fille Maria qui hérite de son titre impérial, et non ses fils.

  • Règne de Maria Ière - Fille ainée de Karl, Maria devient la première Impératrice kaulthique à la mort de son père. Son pouvoir est très contesté, et Maria doit faire face à de nombreuses révoltes. Elle meurt au bout de deux ans de règne.

  • Règne d'Arius III - Arius succède à sa mère Maria.

  • Réinstauration des Etats kaulthiques - Proie à un conflit familial remettant en cause sa légitimité et ne parvenant pas à maintenir l'Empire kaulthique, Arius réinstaure les Etats kaulthiques, mais maintient son statut d'Empereur absolu.


  • Règne d'Aldaric V - Aldaric succède à son père Arius.

  • Instauration de l'hérédité à préférence masculine - Pour éviter une perte de légitimité comme durant le règne de Maria, Aldaric instaure l'hérédité à préférence masculine : l'ainé des garçons héritera du titre d'Empereur, mais en cas d'absence de garçons, l'ainée des filles sera l'héritière.

  • Déclin du pouvoir impérial - Depuis le scandale de l'accès de Maria au trône, l'Empereur perd en légitimité et son pouvoir est de plus en plus contesté. Les Etats kaulthiques gagnent de plus en plus en pouvoir.

  • Première Guerre Germanique (1780-1784) - Durant les dernières années de règne d'Aldaric, le Walserreich profite de la faiblesse et le déclin de l'Empereur pour lui délcarer la guerre et annexer le Holzland, le Kupferland, Nissau et Wemar.

  • Traité de Warenburg (1784) - Aldaric, subjugué par sa perte de pouvoir sur les Etats kaulthiques et par la guerre avec le Walserreich, signe un traité, cédant le nord de l'Empire au Walserreich et instaurant la Confédération impériale kaulthique. Les Etats kaulthiques deviennent beaucoup plus autonomes, l'Empereur ne joue plus qu'un rôle secondaire.
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