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27/01/2006 - Gordyp : Mostrigrad rend les armes !

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Affiche collée en masse dans les grandes villes du Vogimska, y compris Mostrigrad après sa libération





Aujourd'hui est un grand jour pour la République du Vogimska, pour sa souveraineté, ainsi que pour la stabilité en région d'Eurysie de l'Est.



Les séparatistes communistes Gordypskis occupant Mostrigrad ont rendu les armes en ce 27 juillet 2006, le drapeau blanc a été hissé depuis le bâtiment administratif de Mostrigrad à 01h43 heure locale.




Après plusieurs mois de siège par l'Armée Nationale Vogimskane et l'Armée Pharoise, la ville de Mostrigrad, occupée par les communistes du Gordyp depuis novembre dernier s'est rendue aux armées vogimskanes et pharoises.

Les soldats en poste autour de Mostrigrad sont entrés dans la ville à 01h55, à 02h39 il est estimé que la deuxième ville du Vogimska est entièrement sous contrôle de l'État. Les civils et prisonniers, épuisés et affamés par les trois mois de siège ont été nourris dans l'heure qui suivait la libération de Mostrigrad, grâce au programme d'aide humanitaire pharoise, et aux vivres apportés par l'État Vogimskan, le tout encadré et surveillé de très près par les armées pharoises et vogimskanes. On estime les pertes civiles à plus de 750 morts dû au siège de Mostrigrad, moins de 210 morts parmi les combattants communistes. Près de 2600 civils dans un état grave sont transférées aux hôpitaux d'Oulersk, Agonopol et Kazinsk, à défaut de pouvoir être hospitalisées à l'hôpital de Mostrigrad car étant en état de ruines, impossibilité également de transfert vers l'hôpital de Mozharsk, en raison de la reconstruction de ce dernier suite à sa destruction due à la bataille de Mozharsk du 30 septembre 2005 au 02 octobre 2005, qui fait suite à l'auto proclamation d'indépendance de la République Communiste du Gordyp le 28 septembre 2005.

Les responsables des armées vogimskanes et pharoises sur place affirment que les populations civiles ne sont pas délaissées, et sont même au cœur des opérations militaires depuis la libération de la ville, des vivres ainsi que des soins de première nécessité ont été apportés aux populations, un hôpital de fortune a été monté à la place centrale de Mostrigrad, autour des bâtiments partiellement en ruine. Des patrouilles constantes sont effectuées par les soldats vogimskans à travers toute la ville, et plusieurs dizaines de médecins militaires ont été appelés en renfort pour venir en aide aux populations.

04h21, près de 2h et demi après la libération de Mostrigrad, le Lieutenant Pankov ordonne la traque puis l'arrestation des derniers combattants communistes de Mostrigrad, pendant que ceux ayant déjà été arrêtés débutent leur transfert vers la capitale, où ils seront mis en attente de la décision du Dirigeant de la République du Vogimska.




«La libération est une réussite, la ville est plus calme qu'elle ne l'a jamais été et les populations civiles ont été mises en sécurité, elles sont nourries et soignées, également logées dans un hangar isolé au mieux avec les moyens du bord pour ceux n'ayant plus de foyer. Je pense qu'on peut tous être fiers de ça.» explique un responsable militaire pharois à la presse vogimskane.

«On a fait de notre mieux.» affirme le Lieutenant Pankov.


Sans oublier que tout cela se passe au milieu de la nuit, tout le monde est épuisé, excepté le Lieutenant Pankov et ses hommes qui semblent pouvoir monter la garde pour le restant de la nuit sans problème. Nombreux sont les civils à devoir se réfugier dans l'un des deux hangars encore épargnés par les bombardements par soucis de logements, afin de pouvoir passer la nuit dans un semblant de chaleur.

Malgré certains débordements de civils en colère envers les soldats vogimskans, le calme reste plat, aucun ne prend encore conscience de ce qu'il vient d'arriver, après environ trois mois de siège et de bombardements. La ville s'endort rapidement au bruit des camions militaires des patrouilles vogimskanes et des rares coups de feu tirés contre les combattants résistant encore malgré la libération.






Soldat vogimskan en face du bâtiment administratif de Mostrigrad, partiellement épargné par les bombardements
Soldat vogimskan en face du bâtiment administratif de Mostrigrad, partiellement épargné par les bombardements.
Quelques heures après la libération de Mostrigrad.
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