Centre-ville Pembertøn
La capitale des Provinces-Unies du Lofoten avait revêtu son manteau de neige cotonneuse, qui tombait en abondance à cette époque de l'année. En effet, nous étions rentrés dans ce que l'on appelait la Saison Blanche.
Les nuits étaient tellement longues que quelques heures à peine de soleil, dardaient de leurs rayons bienfaiteurs les terres gelées du pays nordique, avant de disparaître aussi vite qu'ils étaient venus.
Mais cela n'empêchait guère la trépidante et sulfureuse cité et ses habitants de s'activer, la ville n'était pas en sommeil hivernal bien au contraire, cette période de l'année était propice à de très nombreuses festivités et activités sportives, dont les célèbres rencontres sportives de Biathlon et de Hockey, dont les championnats de fin d'année battent leur plein, ou encore les traditionnels festival nordiques, héritées des traditions passées de l'histoire millénaire maktoise, que l'ancienne colonie avait conservé de son ancienne métropole tutélaire.
C'est dans ce contexte que les Provinces-Unies avaient décidé d’accueillir la nation de la République de Segren, qui se trouvait sur l'île voisine de Sainte-Marquise. Il se trouvait que ce jeune pays était à la fois proche de par sa géographie, mais également de par ses valeurs compatibles avec la démocratie et le marché libre, les deux piliers fondateurs de la Charte d'Union, la constitution du Lofoten. Il était donc tout naturel, voire inéluctable, que les deux nations se rencontrent, d'autna tplus qu'elles partageait un autre point commun, et non des moindres, elles abritaient des communautés amérindiennes, plus ou moins intégrées. Certes, les anciens colons leur avait ait la guerre, deux fois même pour être exact, mais les tribus étaient désormais en paix avec les citoyens d'origine eurysienne, qui, probablement dû à une grande culpabilité et une conscience humaniste qui s'était rapidement développée, leur avaient accordé très tôt des droits et l'égalité totale, dès la fin du XIXème siècle. Ces mesures avaient alors désamorcés les principaux conflits et sujets de discorde entre les Lofotèns et les natifs nord-aleuciens. Mais d'autres problèmes existent toujours, et la discrimination envers ces communautés, bien que pénalisée, n'a malheureusement toujours pas disparu.
La capitale des Provinces-Unies du Lofoten avait revêtu son manteau de neige cotonneuse, qui tombait en abondance à cette époque de l'année. En effet, nous étions rentrés dans ce que l'on appelait la Saison Blanche.
Les nuits étaient tellement longues que quelques heures à peine de soleil, dardaient de leurs rayons bienfaiteurs les terres gelées du pays nordique, avant de disparaître aussi vite qu'ils étaient venus.
Mais cela n'empêchait guère la trépidante et sulfureuse cité et ses habitants de s'activer, la ville n'était pas en sommeil hivernal bien au contraire, cette période de l'année était propice à de très nombreuses festivités et activités sportives, dont les célèbres rencontres sportives de Biathlon et de Hockey, dont les championnats de fin d'année battent leur plein, ou encore les traditionnels festival nordiques, héritées des traditions passées de l'histoire millénaire maktoise, que l'ancienne colonie avait conservé de son ancienne métropole tutélaire.
C'est dans ce contexte que les Provinces-Unies avaient décidé d’accueillir la nation de la République de Segren, qui se trouvait sur l'île voisine de Sainte-Marquise. Il se trouvait que ce jeune pays était à la fois proche de par sa géographie, mais également de par ses valeurs compatibles avec la démocratie et le marché libre, les deux piliers fondateurs de la Charte d'Union, la constitution du Lofoten. Il était donc tout naturel, voire inéluctable, que les deux nations se rencontrent, d'autna tplus qu'elles partageait un autre point commun, et non des moindres, elles abritaient des communautés amérindiennes, plus ou moins intégrées. Certes, les anciens colons leur avait ait la guerre, deux fois même pour être exact, mais les tribus étaient désormais en paix avec les citoyens d'origine eurysienne, qui, probablement dû à une grande culpabilité et une conscience humaniste qui s'était rapidement développée, leur avaient accordé très tôt des droits et l'égalité totale, dès la fin du XIXème siècle. Ces mesures avaient alors désamorcés les principaux conflits et sujets de discorde entre les Lofotèns et les natifs nord-aleuciens. Mais d'autres problèmes existent toujours, et la discrimination envers ces communautés, bien que pénalisée, n'a malheureusement toujours pas disparu.
Les nuits étaient tellement longues que quelques heures à peine de soleil, dardaient de leurs rayons bienfaiteurs les terres gelées du pays nordique, avant de disparaître aussi vite qu'ils étaient venus.
Mais cela n'empêchait guère la trépidante et sulfureuse cité et ses habitants de s'activer, la ville n'était pas en sommeil hivernal bien au contraire, cette période de l'année était propice à de très nombreuses festivités et activités sportives, dont les célèbres rencontres sportives de Biathlon et de Hockey, dont les championnats de fin d'année battent leur plein, ou encore les traditionnels festival nordiques, héritées des traditions passées de l'histoire millénaire maktoise, que l'ancienne colonie avait conservé de son ancienne métropole tutélaire.
C'est dans ce contexte que les Provinces-Unies avaient décidé d’accueillir la nation de la République de Segren, qui se trouvait sur l'île voisine de Sainte-Marquise. Il se trouvait que ce jeune pays était à la fois proche de par sa géographie, mais également de par ses valeurs compatibles avec la démocratie et le marché libre, les deux piliers fondateurs de la Charte d'Union, la constitution du Lofoten. Il était donc tout naturel, voire inéluctable, que les deux nations se rencontrent, d'autna tplus qu'elles partageait un autre point commun, et non des moindres, elles abritaient des communautés amérindiennes, plus ou moins intégrées. Certes, les anciens colons leur avait ait la guerre, deux fois même pour être exact, mais les tribus étaient désormais en paix avec les citoyens d'origine eurysienne, qui, probablement dû à une grande culpabilité et une conscience humaniste qui s'était rapidement développée, leur avaient accordé très tôt des droits et l'égalité totale, dès la fin du XIXème siècle. Ces mesures avaient alors désamorcés les principaux conflits et sujets de discorde entre les Lofotèns et les natifs nord-aleuciens. Mais d'autres problèmes existent toujours, et la discrimination envers ces communautés, bien que pénalisée, n'a malheureusement toujours pas disparu.
La capitale des Provinces-Unies du Lofoten avait revêtu son manteau de neige cotonneuse, qui tombait en abondance à cette époque de l'année. En effet, nous étions rentrés dans ce que l'on appelait la Saison Blanche.
Les nuits étaient tellement longues que quelques heures à peine de soleil, dardaient de leurs rayons bienfaiteurs les terres gelées du pays nordique, avant de disparaître aussi vite qu'ils étaient venus.
Mais cela n'empêchait guère la trépidante et sulfureuse cité et ses habitants de s'activer, la ville n'était pas en sommeil hivernal bien au contraire, cette période de l'année était propice à de très nombreuses festivités et activités sportives, dont les célèbres rencontres sportives de Biathlon et de Hockey, dont les championnats de fin d'année battent leur plein, ou encore les traditionnels festival nordiques, héritées des traditions passées de l'histoire millénaire maktoise, que l'ancienne colonie avait conservé de son ancienne métropole tutélaire.
C'est dans ce contexte que les Provinces-Unies avaient décidé d’accueillir la nation de la République de Segren, qui se trouvait sur l'île voisine de Sainte-Marquise. Il se trouvait que ce jeune pays était à la fois proche de par sa géographie, mais également de par ses valeurs compatibles avec la démocratie et le marché libre, les deux piliers fondateurs de la Charte d'Union, la constitution du Lofoten. Il était donc tout naturel, voire inéluctable, que les deux nations se rencontrent, d'autna tplus qu'elles partageait un autre point commun, et non des moindres, elles abritaient des communautés amérindiennes, plus ou moins intégrées. Certes, les anciens colons leur avait ait la guerre, deux fois même pour être exact, mais les tribus étaient désormais en paix avec les citoyens d'origine eurysienne, qui, probablement dû à une grande culpabilité et une conscience humaniste qui s'était rapidement développée, leur avaient accordé très tôt des droits et l'égalité totale, dès la fin du XIXème siècle. Ces mesures avaient alors désamorcés les principaux conflits et sujets de discorde entre les Lofotèns et les natifs nord-aleuciens. Mais d'autres problèmes existent toujours, et la discrimination envers ces communautés, bien que pénalisée, n'a malheureusement toujours pas disparu.
Rue du Mont d'Argent, Département Fédéral des Affaires Etrangères
Mme Brunehilde Wanger, Conseillère Fédérale aux Affaires Etrangères, allait accueillir comme il se doit la délégation segrenaise, et comme convenu elle avait convié des membres éminents des communautés amérindiennes, dont les territoires ancestraux s'étalaient autrefois sur la plupart du continent de Nord-Aleucie, une rencontre qui s'annonçait certainement haute en couleurs et authenticité.
La Garde Fédérale, comme l'exigeait la procédure en pareille circonstance, s'était déployée tout autour du bâtiment fédéral, ainsi qu'à l'intérieur, afin de garantir un niveau de sécurité optimal.
B. Wanger : "- Au nom du Gouvernement Fédéral des Provinces, Unies du Lofoten, je souhaite la bienvenue à Mademoiselle Abey Sioux, Ministre des Affaires Etrangères du Segren, ainsi qu'aux membres de sa délégation et aux dignes représentants des tribus de l'estimée République du Segren. Oh et pour ceux qui ne me connaissent pas je suis Madame Wanger, conseillère fédérale aux affaires Etrangères, votre homologue Lofotène.
Avez-vous fait bon voyage mes bons amis ? Le temps est un peu rude en ce moment, mais j'imagine que vous et moi y sommes parfaitement habitués, cela ne devrait pas être un problème, toutefois, chocolat chaud, café et autres collations vous attendent à l'intérieur, entrer vite au chaud !"
La Garde Fédérale, comme l'exigeait la procédure en pareille circonstance, s'était déployée tout autour du bâtiment fédéral, ainsi qu'à l'intérieur, afin de garantir un niveau de sécurité optimal.
B. Wanger : "- Au nom du Gouvernement Fédéral des Provinces, Unies du Lofoten, je souhaite la bienvenue à Mademoiselle Abey Sioux, Ministre des Affaires Etrangères du Segren, ainsi qu'aux membres de sa délégation et aux dignes représentants des tribus de l'estimée République du Segren. Oh et pour ceux qui ne me connaissent pas je suis Madame Wanger, conseillère fédérale aux affaires Etrangères, votre homologue Lofotène.
Avez-vous fait bon voyage mes bons amis ? Le temps est un peu rude en ce moment, mais j'imagine que vous et moi y sommes parfaitement habitués, cela ne devrait pas être un problème, toutefois, chocolat chaud, café et autres collations vous attendent à l'intérieur, entrer vite au chaud !"