Activités étrangères en Gallouèse

Activités étrangères en Gallouèse

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Les Chevaliers du Devoir

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Ce 26 février 2011 Carnavale a éclipsé la nuit.

LA FÊTE DES SIMPLES
Aux frontières communes avec le Duché de Gallouèse et depuis sa reconnaissance comme une Nation Amie, les villageois gallèsants auront l'immense surprise de voir débarquer aux abords de leurs villages les plus campagnards et rustiques des étrangers. Des étrangers aux vêtements médiévaux qui ne pourront qu'évoquer sans erreur la mode Cananéenne. Se déplaçant en foule, ces drôles de visiteurs seront habillés comme des bouffons avec des combinaisons multicolores et alourdis de grappes entières de grelots. Il sera facile de constater à leur faciès, élocutions et manières qu'il s'agit là de ce qu'on pourrait qualifier poliment de fous.

Les Simples chercheront à gratifier les enfants gallèsants de cadeaux de toute sortes sorties de grandes hottes accrochées dans leur dos. La plupart du temps il s'agira de jouets de bois représentant des animaux. Parfois de pochettes de papier de pétards ou encore de bourses de fruits confits. Quelques Prêtres accompagnants les Fous rassureront les craintifs et expliqueront qu'ils s'agit là de la Fête des Simples et que cette année, le Temple a décidé de partager cette célébration culturelles avec ses voisins.

Le petit défilé de Fous durera environ trois heures, après quoi ils retourneront de leur coté de la frontière.

Désinformation et insultes : comment la presse "libérale" Gallèsante tente de faire s'effondrer le sommet de Lyonnars.
L'on aurait pas dû s'attendre à ce que le contraire arrive. Il y a peu, le journal Gallèsant "Le Clëron", a publié un article discutant ni plus ni moins du sommet réunissant les pays et mouvements communistes et socialistes du monde entier, dont l'organisation était en cours depuis plusieurs mois en arrière déjà. Et sans surprise, rien qu'en lisant le titre racoleur que cet article affiche, le doute n'était désormais plus permis concernant le message que ce journal allait faire passer à ses lecteurs. Et force est de constater que les journalistes du Duché de Galouèse, dont le pays fut confronté à des échecs diplomatiques cuisants concernant la diplomatie régionale et Eurysienne, en plus d'avoir participé à l'UNIL, organisation internationale en état de mort cérébrale et qui n'a de toute manière jamais fonctionné, semblent très donneurs de leçons. Retour sur cette article carburant à la désinformation et à l'insulte.

Il a été appuyé, dans cet article, le départ de deux délégations étrangères. La première, une dont on se serait bien passé de toute manière, la délégation Translavique, avide de raison et de supériorité sur les autres délégations, et incapable de se remettre en cause ou juste de se confronter à la réalité du monde. La deuxième, plus discutable il est vrai, la délégation des communistes Pharois (et non exclusivement des pirates Pharois, car une telle venue des forces pirates Pharoises aurait été refusé en l'état). À vrai dire également, si il est vrai que ces départs représentent, mais uniquement pour le cas Pharois, une certaine forme d'échec, ce que nous reconnaissons, ce n'est en tout cas très certainement pas un constat durable et véritable de toute la situation. Car si ce sommet est actuellement en place, c'est pour une chose : unir sous une bannière les mouvements communistes et socialistes du monde, tout en mettant fin à la complaisance qui a pu être fait avec les systèmes capitalistes du monde. Le Camarade Sakari, qui fut autrefois un véritable camarade de lutte, est passé de ce côté complaisant, côté qui laisse le système capitaliste s'infiltrer dans les esprits et coupé la tête de notre idéologie, ce subtilement.

Par ailleurs, certains propos, provenant de la délégation Translavique, et repris par Le Clëron, se sont révélés fort insultants pour notre pays, et plus particulièrement pour notre camarade secrétaire général, qui s'est vu ablufé des termes "grandiloquent et suffisance" venant des journalistes du Clëron, "hypocrite, violent, et dictateur" ainsi que "malade mental" venant des représentants Translaviques. On pourrait se demander d'où sort ce défoulement de haine et pourquoi celui est invoqué. Sa provenance, elle est claire, à savoir la fertile imagination des accusateurs, et ses raisons, claires aussi : faire le plus de dégâts dans ce qui peut apparaître une menace. Les journalistes du Clëron, eux reste dans leur ligne idéologique, les Translaviques eux cherchent depuis un certain temps, par tous les moyens, à détruire tout ce qui n'est pas comme eux le pensent. L'on a pu le constater à leur première prise de parole, nous vendant la perfection de leur système, crachant allègrement sur toutes les autres manières de penser et avec une égocentricité explosant tous les records.

Mais si désormais, le Clëron pense que l'entreprise en cours à Lyonnars n'aboutira pas, ou seulement sur une soi-disant "consommation du divorce" entre deux socialisme, nous sommes loin des faits. Les peuples représentés au sein du sommet finiront par s'unir, indépendamment de ceux qui quittent le navire à quai, pensant pouvoir faire autrement.

Le commerce sitado-gallèsant
30/05/2013
La Gallouèse représentait un marché intéressant pour les sitades.

D'abord, l'agriculture céréalière et bovine de la Gallouèse étaient une alternative de bonne qualité aux autres grosses sources d'importation de la Sitadie. Il n'était ainsi pas rare que les entreprises sitades achètent de la farine, de la viande de bœuf et du lait gallèsants.

Concernant les flux commerciaux de la Sitadie vers la Gallouèse, il n'était pas rare de retrouver en Gallouèse des produits d'origine sitade. Ainsi, Rotos, géant sitade de la production d'engins motorisés, était un fournisseur de moteurs à bas prix pour les entreprises et l'Etat gallèsants. Rotos équipait ainsi plusieurs secteurs agricoles de la Gallouèse. Calocatanes, entreprise sitade spécialisée dans l'outillage et le matériel agricole, vendait aussi de nombreux produits en Gallouèse, grâce à leurs prix très compétitifs. Calocatanes était toutefois concurrencée par deux autres entreprises sitades, dont l'outillage était plus cher mais de meilleur qualité : Aballon et Cevix.

L'intensité de la relation commerciale sitado-gallèsante était toutefois à relativiser. La politique protectionniste du gouvernement gallèsant empêchait fréquemment les entreprises sitades de percer sur le marché gallèsant, tandis que les sitades réchignaient à acheter les produits gallèsants en raison de prix trop élevés comme résultat des politiques douanières.

L'existence de barrières entre les marchés sitades et gallèsants était bien trop frustrante pour les firmes sitades, qui faisait régulièrement pression sur le gouvernement de la République pour parvenir à convaincre la Gallouèse de s'ouvrir au merveilleux monde de l'industrie sitade... et de ses prix machiavéliquement bas.