Compte-rendu de la commission d’enquête géopolitique transblêmienne sur le cosmopolitisme,
en partenariat avec l’Observatoire de la question fortunéenne.L’affaire de Jadis, analyse et véritésA rebours des versions unanimement délivrées par des nations dont l’agendas cosmopolite amène systématiquement au travestissement de la réalité, une autre lecture plus éclairante et critique des évènements permets de révéler leur sens caché.
La méthode néo-scientifique transblêmienne offre à qui est prêt à faire preuve d’esprit critique et d’exigence intellectuelle des clefs de compréhension particulièrement bienvenues dans un monde largement gangréné par la parole médiatique des pseudo-démocraties libérales dont la faiblesse morale les oblige à avancer politiquement masquées, dans une parodie bien-pensante de la force des authentiques nations autoritaires.
Les petits pays occidentaux se sont adonnés à un balais ridicule, va-et-vient sodomite de provocations et contre-provocations autour du port de Jadis, bastion vulgaire d’une civilisation eurysienne en déclin au cœur des territoires littéralement sauvages des peuplades segrenaises. A l’image de sa localisation géographique, Jadis est peuplé de trou-du-cul largement arriérés et dont la seule contribution économique au monde consiste pour l’Empire Listonien à faire valoir sa capacité à entretenir une caste de parasites à ses frais, littéralement sous perfusion métropolitaine, et ainsi réaliser aux yeux de ses voisins une démonstration de son poids politique à travers le monde consistant à gâcher des ressources pour des gens n'en valant pas la peine.
Alors pourtant qu'on reconnait la grandeur civilisationnelle d'une nation à sa capacité à s'expurger de ses éléments les plus faibles pour progresser sans cesse vers un idéal d'efficience grâce à la pureté génétique et un ordre social et moral toujours en quête d'autodépassement, certains pays comme l'Empire Listonien semblent s'entêter à préserver en leur sein des foyers parasites, signe d'une évidente faiblesse morale.
Y a-t-il une autre motivation à défendre Jadis ? Aucune.
Pourtant ce port dont le marasme démographique et économique le vouait à court termes à la consanguinité entrepreneuriale et humaine s’est vu depuis quelques semaines projeté au cœur de toutes les attentions des principales puissances de la région. Attentions qui comme le mildiou essaiment chez les plantes faibles, attirant dans sa crise hystérique des nations inférieure comme le Jashuria*.
Cette farce grotesque prêterait à sourire si elle ne cachait pas en vérité des intensions inavouées de la part d’un certain peuple vicié : la Sérénissime Fortune.
*Note du comité de relecture : la civilité de la nation Jashurienne a été remis en débat pendant la rédaction de cet article, le mépris de l’auteur doit être sujet à caution et attendre les conclusions des scientifiques. Afin de favoriser la neutralité scientifique et dans un soucis d’objectivité, certaines parties ont été supprimées au moment de l’édition.
Au cœur de la crise de Jadis, la ronde évidente des cosmopolitesComme bien souvent pour comprendre, il suffit d’observer les faits. Quelles sont les nations engagées dans la crise de Jadis ? Tout d’abord l’Empire Listonien dont l’influence décadente pourrie comme autant de métastases coloniales sur tous les continents du monde. Pendant maléfique du vicieux Empire, la République de Fortune qui dans un mimétisme siamois entreprenait dès le XIIIème siècle de bâtir son tentaculaire réseau de boutiquier, amas stérile de cailloux en haute mer et de plages désertées, dans une hystérie compulsive caractéristique des enfants imbéciles qui pour se rassurer de leur incapacité à survivre par eux-même accumulent les provinces comme d'autres la nourriture. Cette corruption du cerveau primaire faisant ressurgir chez les fortunéens des réflexes fœtaux, comment s'étonner ensuite que cette nation fasse depuis des siècles l'état d'une pensée pré-adolescente de dépendance vis-à-vis de sa mère nourricière : la mamelle atrophiée du mercantilisme marchand qui pompe grâce à la plu-value le fruit du travail des honnêtes-gens ?
Ajoutons à ce cocktail cosmopolite les pathétiques Provinces-Unies du Lofoten que leurs prétentions misérabilistes ont porté au chevet de la moitié des criminels d’Eurysie en essayant d’en aspirer le sang. Kotios, Damanie, Empire Latin, autant d’échecs diplomatiques et militaires pathétiques qui auraient dû mettre la puce à l’oreille de cette nation autiste sur l’état de dégénérescence de ses élites et son incapacité structurellement génétique à produire des stratégies cohérentes. Dans la chute de ce pays ridicule viennent comme autant de golems sans volonté propre la Sainte-Marquise et le Segren, deux pays arriérés s’il en est et dont la morale politique de soumission perpétuelle les voue au seul destin de se ranger devant la première puissance bitarde venue pour que celle-ci les pousse en les enculant.
Reste le Jashuria qui [
document caviardé] ainsi que les socialistes dégénérés du Pharois, nation endémiquement alcoolique et dont la faible population implique une consanguinité structurelle, cause évidente de sa déficience naturelle dans tous les arts nobles tels que l’architecture et la peinture. Pêcheurs dégénérés prospérant sur le pillage des nations plus élégantes et que l’histoire broiera à l’instant où le monde en retrouvant sa grandeur décidera de mettre fin à leur psychose autogestionnaire agressive et délirante, en même temps que sera éradiquée toute forme de maladie mentale par le feu.
Enfin, l’Empire Latin Francisquien semble avoir décidé de jouer un rôle dans cette affaire, sans doute pour ramener un peu d’ordre et de bon sens.
Les acteurs posés, qu’ont-ils en commun ? Leur cosmopolitisme. Chacun d’eux tente à sa manière d’imposer ses vues hors des frontières nationales sacrées où devraient pourtant rester cantonnées leurs folies. Les matérialistes communistes y auraient sans doute diagnostiqué un conflit d’impérialisme mais ce serait là une vision de bien courte vue, classique de leur incapacité à penser le monde dans sa totalité et ses vices.
Si ces pays s’adonnent à ce spectacle pathétique sans raison claires, c’est bien que celles-ci sont cachées et trouvent leur paroxysme dans l’intervention de la perfide Fortune au sommet de réconciliation accueillant l’Empire Listonien d’une part et la coalition patchwork des Provinces Unies du Lofoten, ses mignons Segren et Sainte-Marquise et le Jashuria ce [
document caviardé].
Voilà le premier pas, sous la bonne figure morale de champion de la paix, la répugnante Fortune se présente en gendarme du monde. Combien de temps avant qu’au nom de ses intérêts cosmopolites elle ne devienne une référence en termes de gestion de crise ? Combien de temps avant que ces nations enfarinées de bon sentiments ne déclarent souhaiter mettre en place les institutions de diffusion de leur faible morale pacifiste ? Reprenant leur combat éternel, ces forces qui tentent depuis des millénaires d’imposer leur pouvoir aux nations saines du reste monde se remettent à l’action : il nous faut rester vigilants. La coopération internationale avance masquée son agendas unificateur cosmopolite de tous les pays sous un seul gouvernement, celui de la race traitre, métisseurs en anti-puristes, cabale dégénérée contre le bon sens et la prophétie millénariste de l’avènement du Grand Empire Blêmien.
Ceux-là, les déficients, tremblent devant notre supériorité évidente et voudraient corrompre ce qui peut l’être avant le grand affrontement. Sous le masque de leurs valeurs grimace la face répugnante de leurs véritables ambitions : vicier le sang-pur pour troubler la grande dichotomie entre les maîtres naturels et les esclaves naturels.
Nous ne sommes pas dupes.