18/05/2013
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Activités étrangères en Saint-Marquise

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Activités étrangères en Saint-Marquise

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9 Septembre 2003 - Renforcement des liens historiques entre l'Hausmanie et la République de la Saint-Marquise.



Les Drapeaux Haussmanniens et de la Sainte-Marquise

Afin de réintégrer le club des grandes puissances mondiale et de renforcer ça présence dans sont Commonwealth en Saint-Marquise, l'Hausmanie annonce le développement de plusieurs projets d'infrastructure économique et industrielle de grandes envergure, ainsi qu'une rencontre futur à Mont-Law entre l'Ambassadeur d'Hausmanie et le Premier Conseiller de la république de Saint-Marquise, afin de resserrer un lien historique fort un peu affaibli.



Un futur investissement massif pour le développement économique Marquois et le renforcement des acteurs Haussmanniens sur place.



L'Hausmanie demeure l’un des tout premiers partenaires commerciaux de Saint-Marquise, et ce sont près de 10 000 de ses entreprises et sociétés (dont les 20 grandes multinationales du pays) y ont exporté pour plus de 15 milliards de dollars en 2001. Un volume d’investissements qui a été multiplié par Douze depuis 1989. Mais les autorités Haussmanniennes juge qu'il est possible de mieux faire.

L'Hausmanie est présent sur le territoire Saint-Marquois depuis sont indépendance dans le milieu du XIXe siècles, notamment par le soutient logistique, militaire et économique (notamment par le biais du commerce) apporté pour consolidé sont indépendance vis à vis des anciens colonisateurs. Il interviendra un peu plus tard l'adhésion de cette jeune république à la Confédération Haussmanniennes des Etats Indépendants (C.H.E.I.). La République de Saint-Marquise étant membre de facto du Commonwealth d'Hausmanie, elle à pu bénéficier de tout les avantages de cette appartenance stratégique, par exemple :

Hausmania a écrit :
  • Plan National d'Urbanisation (Visant à loger l'ensemble des citoyens Marquois en Zone Urbaine et Rurale, durant le début du XXe siècle la jeune république ne possédé pas de fond nécessaire à la conduite d'une politique de logement et de réaménageant)
  • Industrialisation du secteur primaire et secondaire (visant à accroitre l'indépendance alimentaire et mécanique Marquois, plus de 500 entreprises Haussmanniennes s'y sont implantée durant cette époque)
  • Développement des Infrastructures de premier ordre (La construction de réseau routier, infrastructure portuaire et conception des réseau de télécommunication...)
  • La mise en place d'un système de santé performant

Et ce sont des exemples parmi tant d'autre...

Pour accompagner ce nouveau plan d'investissement majeur pour ce pays du Commonwealth Haussmanniens, le congrès vient de se doté d'un budget de Cinq Milliards de dollars (soit Sept Milliards-Cinq-Cent Millions de Boyard), une rencontre diplomatique imminente avec le Premier Conseiller de la République de Saint-Marquise. Les Hausmanniens annonce le développement de plusieurs infrastructures moderne et nécessaire à l'émancipation économique et technologique Marquois, le réseau routier et notamment l'extension du réseau autoroutier de Sainte-Marquise, qui est un des tallons d'Achilles de ce pays, Malgré la mise en applications du projet routier au milieu des années 50 et 60, ils demeurent insuffisant.

Mais cela ne constitue pas le seul plan de grande envergure des Haussmanniens, le transport civil et commercial demeure tout aussi important, même si il c'est très bien développée aux fil des années, les autorités veulent leurs donnée un coup de pouce encore plus important, tout comme la doté d'un réseau internet "débit standard et haut débit" et de télécommunication mobile "haute fréquence (HF) et ultra haute fréquence (UHF)", afin de redynamisé l'ensemble des secteurs économiques et logistique Saint-Marquois, mais aussi cela permettra de renforcer la présence des entreprises Haussmanniennes sur le territoire.

L'enjeu majeur du C.H.E.I. (Confédération Haussmanniennes des Etats Indépendants) pour l'Hausmanie et ses membres



Le sommet de la C.H.E.I. à Aumérine - 1979

Le Commonwealth, dit (C.H.E.I. /:Confédération Haussmanniennes des Etats indépendants) est une organisation intergouvernementale Haussmanniens composée de nombreux États membres anciennement colonisée qui sont aujourd'hui, unis et liée aux destins de l'Hausmanie.

Le Commonwealth a vue le jour au début du VIIIe siècle durant le processus de décolonisation du continent Aleucien. Il est formellement constitué par le protocole du Président Harold Hopkins en 1805, qui stipule que les états ayant bénéficié d'un quelconque soutient du gouvernement haussmanniens qu'il soit économique, commerciale, politique où militaire, soit membre de facto à la confédération. Le symbole de cette association est le président d'Hausmanie qui est chef de l'alliance. Les états membres peuvent être issue d'un régime monarchique ou républicain.

L'Hausmanie est l'une des grandes puissances économiques et technologiques mondiale où elle dispose d'une place particulaire dans l'histoire mondiale, Aleucienne et celle de Sainte-Marquise. Avec les états-membres du Commonwealth Haussmanniens (Confédération Haussmanniennes des Etats Indépendants [C.H.E.I.]) concentre le plus grand nombre de capitaux au monde, avec un réseau diplomatique conséquent à l'échelle mondial.

Durant le XIXe, l'Hausmanie, Soit Deux-Cents ans après sont indépendance, avait développée un réseau diplomatique de grande envergure sur l'ensemble du continent (avec des acteurs économiques, militaire [et para-militaire], politiques...) qui avait pour but d'étendre sont influence sur l'Aleucie, afin d'y faire reculer la présence des puissances colonisatrice et d'y diffuser les valeurs démocratiques post-coloniales qui fond aujourd'hui sa renommer sur la scène international. Mais ce n'était pas le seul point culminants de cette époque, la révolution industrielle à contribué énormément a la prospérité haussmanniennes, faisant d'elle l'une des grandes puissances économiques et industrielles du XIXe siècle, d'ailleurs aux milieux du XXe siècle l'Hausmanie prendra la tête du classement des grandes puissances mondiales, en 1989 (2 ans avant la crise) le PIB national avait atteint de 672 milliards de dollars, soit environ 10% à 15% du PIB mondial à l'époque (80s).

Cependant le développement éclaire qu'a connue l'Hausmanie au milieu du XIXe et début XXe siècle n'aurait pas était aussi rapide, si cette association intergouvernemental n'avait pas eu lieu, aujourd'hui largement tourné vers le secteur tertiaire et misant massivement sur l'innovation, l'Hausmanie à pourtant bien bénéficié des richesses en ressources naturelles de ses membres lui permettant de developpée l'ensemble de sont industrie, mais aussi lui permettent d'innover vers de nouveau moyens industrielle et technologique. Grand exportateur, C.H.E.I. lui a était très bénéfique, car les états du Commonwealth importait de nombreuse marchandises développée et produite en Hausmanie. Le PIB du C.H.E.I. (soit du Commonwealth) était d'environ 2 500 Milliards de dollars en 1987. Alors que le taux de croissance moyen du Commonwealth s'élevait à 5.8% de moyenne en 1988, la crise de 1992 fera plonger l'ensemble de l'alliance dans une dépressions financière et sociale sans précédant qui mettra près de Dix années à ce stabilisé.

C'est pour cela que les autorités Haussmanniennes reviennent sur le devant de la scène pour maintenir et renforcer cette organisation bicentenaire.


Une rencontre diplomatique important pour l'avenir du Commonwealth.



L'ambassadeur d'Hausmanie à Mont-Law à lancé une invitation au premier conseiller de la république de Saint-Marquise, sûr demande du pouvoir exécutif Haussmanniens, afin de scellé un lien historique affaibli depuis la Krach de 1992 qui plongea l'Hausmanie et l'ensemble des membres dans un repli sur soit diplomatique et financière, vis à vis de la scène international. Aujourd'hui l'ensemble de la classe politique reconnaissent leurs erreurs et regrettent de ne pas avoir affronté cette crise ensemble comme il a été fait par le passé.

Cette rencontre permettra de relancer la compétitivité de l'alliance face à des puissances émergeante et de nous replacer au centre des décisions mondiales.
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AGENCE FEDERALE DE LA PRESSE

27 janvier 2004 - Les soldats arkencans et ceux saint-marquois s'exercent mutuellement au combat de montagne dans le comté de Volcanside sur le Mont-Vargas.

Entraînement au combat en moyennes et hautes montagnes
Perché à plus de 3000 mètres d'latitude, le sergent Michael Mooney des régiments d'infanterie Saint-marquois, cherche à localiser la position d'une unité adverse, simulée par une section arkencane.

C'est sur le Mont-Vargas et ses 3000 mètres et quelques d'altitude, que les forces armées saint-marquoises ont donné rendez-vous aux forces armées arkencanes, pour amorcer leur formation au combat en hautes-montagnes. Ce stage, conçu et préparé par les ingénieurs académies militaires des deux pays, a pour but de préparer les forces arkencanes habitués des terrains en basse altitude et des progressions en terrains chauds et humides, à un engagement opérationnel sur des milieux enneigés et en altitude.

Le stage d’aguerrissement au combat, organisé au centre d'entrainement pour le combat tactique de montagne (litt. Le mountain combat tactical training center) prépare les cadres des troupes fédérales arkencanes à l’autonomie de décision en zone montagneuse, de manière à ce que l’encadrement maîtrise leur environnement de combat et ne soit pas subordonnés à un soutien actif de toute la chaine de commandement. Compte tenu du durcissement des engagements militaires contemporains et l’engagement diplomatique arkencan avec la République de Saint-Marquise ou le Front National Varanyen, il est apparu évident d’amener une pluvalue tactique aux stagiaires de ce stage pour conduire des actions de soutien militaire en théâtre montagneux, le relief dominant de la topographie des deux états précédemment cités. Toute la semaine, les chefs de groupe ont été confrontés à des scenarii tactiques nombreux et réalistes. Des situations notamment documentées à partir des retours d'expérience acquis sur la base des affrontements en altitude, entre les troupes impériales du Shah et les forces révolutionnaires.

L’exercice du jour repose par exemple sur l’interception d’un ennemi présent sur les cols tandis qu’il cherche à s’exfiltrer et à rejoindre une zone refuge. L’exercice est filmé par des drones et permet ainsi une analyse en période de debriefing.

Plusieurs objectifs rythment le stage d’aguerrissement au combat en haute montagne et viennent apprécier la réussite de ses stagiaires:
    Le premier objectif est orienté vers la reconnaissance de zone (appréciation des tenues de secteur).
    Le second intervient dans la localisation de l’ennemi (évaluation des déplacements sous couverture).
    Le troisième réunit l’interception et la destruction (une évaluation portée sur toutes les phases d’engagement de l’ennemi).

Outre les simulations d’engagement, le stage dispense des instructions tactiques autour de la gestion des armements par temps froid, du déplacement sur surfaces enneigées, de la construction d’abri de combat ainsi que des positionnements statiques. Malgré la rudesse des conditions d’exercice en montagne, le programme au stage est apprécié des chefs de groupe pour la transposition terrain qu’il offre et la reconstitution des situations d’engagements vécues par les forces révolutionnaires au Varanya.

Profitant de la saison hivernale, les forces armées internationales ont multiplié les entraînements pour offrir des situations concrètes et réalistes des théâtres d'affrontement en zones étrangères
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The World Post

9 février 2004 - SORTIE DU COMMONWEALTH HAUSMANIEN : La République de Saint-Marquise est-elle conditionnée par les avantages d’un rapprochement avec la Fédération d’Arkencheen ou les inconvénients de la République Fédérale d'Hausmanie?


Assemblée générale du Commonwealth en perte de vitesse?
La République de Saint-Marquise quitte la table du Commonwealth.


La sortie saint-marquoise du Commonwealth marque-t-elle une rupture avec la politique étrangère agressive de la Hausmanie?

C’est une question légitime qui intervient après la cascade des camouflets qui accompagnent les sorties politiques hausmaniennes. Un seul pays entretient aujourd’hui le statut de membre du Commonwealth : le Garaguay. En effet, après l’issue du vote au référendum portant maintien ou retrait du Commonwealth la Saint-Marquise a entériné à son tour un recouvrement de son indépendance politique. Nation pacifiste et tournée vers le progrès humain, les Saint-Marquois et leurs dirigeants ont usé leur capital sympathie que cet héritage historique qui entretenait plus de domination que de concertation dans les hautes sphères de leurs institutions.

D’une faible avance dont se contentera la démocratie, la République de Saint-Marquise présente un score de 52% en faveur d’un départ du Commowealth. “Un acte émancipateur” résumait la journaliste Margareta Crusillos après qu’elle eut sondé les avis de plusieurs citoyens restés sur la voie publique pour fêter l’annonce des résultats. Rejoint en 1899 sous l’impulsion de Harold Sheer, douzième président de la République septentrionale insulaire, le Commonwealth de Hausmanie, porté par des États aleuciens dans un monde condamné à la globalisation, est à bout de souffle. “Les clivages et le communautarisme continental déterminé par les héritages coloniaux n’a plus court en 2004” explique le politologue Remicio Granda.

“La Hausmanie a connu une guerre de proximité, par son opposition à la Confédération du Naka et son alliée la Fédération de l’Arkencheen dans les années 1940. Cette guerre aurait pu entraîner de facto tous les États membres du Commonwealth. Une réserve entretenue par ses membres avec raison puisque cinq ans plus tard, une Hausmanie perdante et essorée sortait du conflit, cédant sa réussite économique pour avoir convoité quelques îles conquises par l’Empire nippon au cœur du continent Halula.

Reconnaissant la souveraineté de l’Empire du Naka sur plusieurs îles halulanes et souhaitant éviter une interruption des flux commerciaux vers le Nazum car Albel et la Hausmanie avaient décrété qu’une île vierge devait rester vierge, la Fédération d’Arkencheen entra en guerre contre les deux nations aleuciennes. “Du point de vue de la présidence Arkencane de l’époque, il ne pouvait y avoir de guerre juste pour la libération de micro-territoires en Halula. L’installation de l’Empire dans les îles (quasi) vierges de Halula était de plus une aubaine commerciale pour tout le monde, à l’exception d’une République Fédérale de Hausmanie, qui avait des avantages commerciaux auprès des différents états membres du Commonwealth mais qui trouvait devant la Confédération du Naka un empire commercial en devenir.”

Avec la Confédération du Naka sur tout le littoral oriental de Nazum et ses nouvelles acquisitions halulanes, la nation nippone avait les moyens d’exclure économiquement le Commonwealth des principales voies commerciales vers le Nazum. C’est pour y mettre un terme qu’Albel et Hausmanie ont engagé des hostilités au large du Nazum, puis au large d’Aleucie à mesure que les combats s’intensifiaient. Laisser la guerre s’installer et durer là-bas était en revanche un coup de canife quotidien pour le commerce arkencan.
L’hostilité affichée par la République Fédérale de Hausmanie commença ce jour-là à entamer les soutiens d’un Commonwealth uni et indivisible, des soutiens maintenant occupés à panser les plaies d’une guerre internationale meurtrière.

Aussi, lorsque la République Fédérale a souhaité renouveler ses propos bellicistes à l’égard de la Fédération d’Arkencheen, avec un président se référant inlassablement à l’héritage meurtrier d’une guerre mondiale passée, de nombreuses personnalités publiques et même politiques dans le Commonwealth ont alerté sur la nécessité de se détacher d’un pâle reflet de puissance mondiale, enfermé dans un esprit vengeur.

L’avenir de la Saint-Marquise est-il dans la collaboration avec ses homologues paltoterrans?

Si la votation par référendum d’une sortie du Commonwealth traduit la volonté d’éloignement entre la Hausmanie et la Saint-Marquise, qu’est-ce qui justifie le rapprochement de cette dernière avec la Fédération d’Arkencheen? Est-ce une manoeuvre politique habile de la part de Saint-Marquise, pour réitérer et communiquer de manière positive sur son départ du Commonwealth? Les experts économiques doutent de cela, évoquant les avantages mutuels que peuvent entretenir Saint-Marquise et Arkencheen, dans la coopération.

Avec un PIB moyen de 113 520 livres saint-marquoises par an (soit 172 000 arkams), la République de Saint-Marquise entretient incontestablement les plus grosses fortunes enregistrées au niveau mondial. Pour comparaison, le PIB moyen annuel d’un actif de la Fédération d’Arkencheen est seulement de 18 600 arkams par an. De son côté, la Fédération ne tarit pas d’atouts elle non plus puisqu’elle est le pays le plus industrialisé au monde et enregistre un PIB supérieur de plus de 200 milliards d’arkams entre la seconde puissance économique mondiale (2e Hausmanie) et elle. Deux nations à forts potentiels qui ont des intérêts à entretenir la paix et la prospérité et qui peuvent se montrer complémentaires si l’on considère d’une part la société de fortunés Saint-marquois et le territoire (très) industrialisé d’Arkencheen, où des opportunités d’investissement sont omniprésentes, pour dynamiser la recherche et l’innovation.

En sus de ces points d'accroche, les véritables raisons d’un rapprochement politique entre la République de Saint-Marquise et la Fédération d’Arkencheen sont portées par des valeurs prônant la liberté d’entreprendre, d’innover, la sécurisation des routes commerciales internationales, la stabilisation de régimes démocratiques dans un continent aleucien en proie à la loi martiale (Hausmanie) et l’interdiction des sensibilités politiques avec une intégration des militaires dans la gouvernance du pays (Albel).
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Désir de Saint-Marquise

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C'est une conséquence un peu surprenante des drames qu'ont connu les Pharois ces derniers temps, mais qui donne chaud au cœur : les nombreuses démonstrations de soutien et d'affection spontanée des Saint-Marquois semblent avoir eu un effet très significatif sur le tourisme de l'île. En effet, le nombre de vols et de réservations pour la République de Saint-Marquise en provenance du Syndikaali connait un pic ces derniers jours. Comme si par delà l'Océan, les démonstrations de fraternité avaient réussi à rapprocher les citoyens de ces deux nations pourtant si éloignées, qu'elles avaient soudain rappelé à chacun que pour peu qu'il en fasse l'effort, il pouvait trouver un frère en chaque homme, une soeur en chaque femme, quelle que soit sa nationalité ?

Au delà du simple tourisme, on note également l'initiative de deux maires, des petits villages de Kylässä et Tavallinen, dans le sud du Syndikaali, de proposer des jumelages avec des villes Saint-Marquoises. A Pharot, la capitale, une association "les amis de Saint-Marquise" a également déposé sa demande pour être crée afin de nouer des liens culturels plus solides entre les deux nations, au moyen d'échanges, d'expositions et de festivités. Les Pharois ont toujours été un peuple curieux des autres, bien que cette curiosité ait parfois mené à des actes paradoxaux de piraterie et de pillages des œuvres culturelles et du patrimoine de leurs voisins. Réjouissons nous donc de voir ces élans cosmopolites se concrétiser dans des démarches d'ouverture plus saines et bienveillantes.
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LE RAPPORT SUIVANT A ÉTÉ CLASSÉ

TOP SECRET

PAR ORDRE DE LA DIRECTION DE GAZNOV


AVERTISSEMENT

GAZNOV a écrit :
Note : Si vous ne possédez pas les autorisations requises pour visionner ce rapport, vous êtes dans l'illégalité. Seuls les hauts rangs de la société peuvent se permettre de consulter les fichiers concernant la construction des réseaux de gazoducs et ses potentiels risques, accidents et problèmes. Si un des rapports publiés est transmis au public, la direction de GAZNOV vous poursuivra en justice et vous risquez d'en payer les frais. Vous avez été prévenus.



30/07/2004 - Débuts des chantiers du réseau de gazoducs, des sites de transits et de collecte et des plateformes de gaz

Salutations distinguées aux membres de la direction de GAZNOV,

Je vous apporte de bonnes nouvelles, mais surtout des nouvelles... intéressantes. Les premiers bateaux sont arrivés et je vous annonce que le chantier est officiellement ouvert. Nous avons 35 000 ouvriers sur place, recrutés en partie en Saint Marquise, même si la plupart des ingénieurs sont Maktois. Les conditions météorologiques sont acceptables et la houle n'est pas très forte, les plateformes se situent à 40 km des côtes non-loin d'une petite ville de Saint Marquise, un trou assez paumé si vous voulez mon avis, tellement paumé qu'ils ont manifesté pour nous faire partir, quelle bonne blague... Vous pouvez remercier les forces de l'ordres locales qui ont maté cette "révolte" si on peut appeler ça une révolte. Bref, assez parler des bouseux qui ne connaissent rien au potentiel de leur patelin, d'ailleurs : parlons-en du potentiel, vous allez être bluffé, croyez-moi.

Dès que nous sommes arrivés sur place, nous avons fait intervenir les moyens nécessaires afin de déterminer exactement où se trouvait le gaz ainsi que sa quantité et... seigneur, vous n'allez pas me croire, le gaz est en abondance, tellement que cela paraît anormal. Cette source est sûrement la plus riche de toutes les sources exploitées à ce jour, nous pourrons alimenter toute l'Aleucie rien qu'avec cette source, nous sommes bénis. Mais, cela implique beaucoup d'autres choses, si jamais cette source nous quitterai des mains, notre présence en Aleucie sera bref. Je suggère, pour le bien de l'entreprise, de falsifier la quantité de gaz naturel afin de ne pas trop attiser les regards dessus... Il faut également prendre des mesures un peu plus sécuritaires, il faut cacher cette zone du public : engager plus de personnel de sécurité et bien les armer, nous pouvons demander l'accord à Saint Marquise, si ils refusent, nous pouvons tout de même nous en dégoter; il faut également entourer la zone de grillages, fils barbelés, tout de même pas des mines -mais si ce n'est pas trop surréaliste, oui ça serait vraiment bien-; vous m'avez compris : il est nécessaire de protéger cet endroit.

Concernant les risques, honnêtement : ça reste du gaz, rajouter des mesures pour la contenir ne servirait à rien et ralentirait l'extraction. D'après moi, il n'y a aucun soucis à se faire : le gaz est entre de bonnes mains. Si il advenait, par erreur, qu'une des plateformes subit une fuite de gaz pouvant mener à l'explosion, il faut nier la faute de l'entreprise et trouver un fautif. Vu le contexte international, je suggère d'accuser un sabotage soit par des pirates ou des terroristes anti-gaz. Bien que cette situation semble irréaliste et qu'il y a, selon nos experts sur place, 4.8% de chance que la plateforme explose après une fuite de gaz, il est nécessaire de se préparer au cas où. Il ne faut surtout pas, mais alors vraiment, avouer avoir falsifier la quantité de gaz : si le public doute, envoyez une équipe d'experts "indépendants" sur la scène. Si Saint Marquise souhaite faire des analyses, essayez de soudoyer les autorités et faites leur comprendre que si GAZNOV chute, ils chutent également : perte d'emplois, plus de gaz j'en sais rien mais trouvez des arguments. Si jamais le secret est dévoilé, accusez la filière Aleucienne de la société d'avoir caché les chiffres et renvoyez certains individus pour que cela paraisse crédible : essayez au moins de sauver le vaisseau mère.

Les gazoducs commencent à être en construction, bientôt, toute Saint Marquise aura du gaz naturel et nous pourrons commencer les travaux en Izcalie et en Arkencheen.

La fin du chantier est fixée au 01/09/2004

Directeur du site d'extraction SAINT MA-01


FIN DE RAPPORT
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LE RAPPORT SUIVANT A ÉTÉ CLASSÉ

TOP SECRET

PAR ORDRE DE LA DIRECTION DE GAZNOV


AVERTISSEMENT

GAZNOV a écrit :
Note : Si vous ne possédez pas les autorisations requises pour visionner ce rapport, vous êtes dans l'illégalité. Seuls les hauts rangs de la société peuvent se permettre de consulter les fichiers concernant la construction des réseaux de gazoducs et ses potentiels risques, accidents et problèmes. Si un des rapports publiés est transmis au public, la direction de GAZNOV vous poursuivra en justice et vous risquez d'en payer les frais. Vous avez été prévenus.



09/009/2004 - Fin des travaux, débuts de l'extraction du gaz

A l'intention des membres de la direction de GAZNOV,

Je suis fier de vous annoncer que les travaux sont terminés ! Les ouvriers ont fait du bon boulot, bien qu'ils ne soient pas très malins dans certaines situations, mais sinon rien de très exceptionnel. Je vais vous répertorier tout les incidents ayant eu lieu lors des chantiers et ensuite parler de choses plus sérieuses et concrètes.

Incidents/Rapports chantier réseau MA1 :

Incident #1 : Six ouvriers sont tombés d'un échafaudage autour de la station de gaz en construction. Ils sont tout les six tombés à la mer à une hauteur correspondant à seize mètres de haut. Aucun mort seulement des blessures qui ont été causées par la force de la chute dans l'eau. Une vedette de l'entreprise les ont récupéré avant de les envoyer à l'hôpital le plus proche. Les ouvriers ont porté plainte accusant des échafaudages peu sécurisé. Après analyse de professionnels, les ouvriers sont fautifs et ont été renvoyés par la direction du site.

Rapport #1 : Nous avons dû effectuer un petit détour dans le réseau de gazoduc extraction-Bluepont car la zone est montagneuse mais surtout : il y a un parc national. Nous ne pouvons donc pas nous permettre de construire des gazoducs dans l'enceinte du parc ce qui justifie le petit retard de quelques jours.

Incident #2 : Une manifestation anti-gazoduc a été lancée vers Villecorn. Des locaux estiment que cela pollue et détruit la nature. Bien que la manifestation fût pacifique et encadrée par les forces de l'ordre, les manifestants ont bloqués les travaux pendant deux jours. Après quoi nous avons ordonné à nos ouvriers de faire des heures supplémentaires pour compenser la perte de temps qu'a été causée avec la mobilisation d'écologistes.

Bien, désormais parlons du site d'extraction. La plateforme est activée et le gaz se répand petit à petit dans tout Saint Marquise. Ce n'est qu'une question de jours avant Valmount. Nos premiers méthaniers sont d'ailleurs prêts à partir pour l'Izcalie. J'ai mis le mode d'extraction en mode normal, mais nous pouvons faire plus. C'est à dire pousser la bête à 120% ou même 150%. Nous augmenterons petit à petit, il ne faut pas se précipiter. Apprécions notre première implantation à l'étranger !

Directeur du site d'extraction SAINT MA-01


FIN DE RAPPORT
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Une catastrophe écologique près des côtes de Saint-Marquise ?


Hier soir le 23 novembre 2004, le navire pétrolier Gilead, immatriculé dans l'Archipel du Ponant, mais armé par la compagnie lofotène United Oil a lancé plusieurs appels de détresse aux gardes-côtes et à qui pouvait l'entendre. Il semblerait que l'imposant navire se soit immobilisé dans le Passage de Barthelemy peu après avoir traversé le Détroit du Skumring, suite à une voie d'eau dans la coque.


petrolier
Le Gilead en bien mauvaise posture


En effet, ce matin, le Gilead a été identifié et localisé à quelques miles des côtes de Saint-Marquise. Les vedettes des gardes-côtes Saint-Marquois ont en effet constaté la situation périlleuse du navire, et les opération de sauvetage de l'équipage ont alors débuté, assistés par des hélicoptères de la Sécurité Maritime Lofotène, dépêchés en urgence par le Département Fédéral des Affaires Maritimes des Provinces-Unies.

En effet, les autorités portuaires et maritimes des deux nations ont l'habitude de coopérer dans ce genre de situation accidentelle hélas fréquente dans ce passage régulièrement empruntés par les pétroliers et porte-containers, au vu de l'intense trafic et des nombreuses liaisons maritimes dans cette partie du monde.


Le navire pétrolier avait quitté Port-Saint-Anne, dans le Midlands des Provinces-Unies du Lofoten, à destination de l'Hausmanie. La United Oil a publié un communiqué officiel dans lequel elle prenait toute la mesure de la potentielle catastrophe à venir, affirmant qu'elle prendrait en charge l'intégralité du coût du pompage du pétrole qui pourrait potentiellement s'échapper des cuves du navire et s'est par avance excuser du "désagrément" causé. Elle a par ailleurs affirmé faire venir au plus vite son navire de pompage haute performance appelé "Pure cleaner", développé et mis au point pour intervenir au plus vite avant que la marée noire devienne hors de contrôle.

La United Oil est largement et souvent critiquée pour sa gestion médiocre des accidents et des dommages causés par sa flotte, et régulièrement accusée de ne pas mettre en place toutes les mesures nécessaires pour sécuriser et entretenir les énormes tankers. En outre, nous nous rappelons tous de la dramatique marée noire de 2002 sur les côtes du Northerlands, dans laquelle la compagnie avait refuser d'indemniser les pêcheurs et les villages côtiers, ayant décliné toute responsabilité dans l'accident causé selon elle par des aléas climatiques.


siege<br>

Siège de la United Oil à Kæviskborg

Plusieurs associations de défense et de protection de la nature des Provinces-Unies et de Saint-Marquise ont déjà annoncé qu'elles saisiraient co-jointement leurs justices respectives pour obliger cette fois la United Oil à assumer ses responsabilités en cas de marée noire.

Nous rappelons que le Gilead est classé dans la catégorie des super-tanker, transportant plus de 100 000 tonnes de brut. Les premièrs experts qui se sont rendus sur les lieux de l'accident ont identifié quelques fuites majeures mais ont affirmé que la majorité des cuves seraient intactes. Les opérations de pompage devraient débuter dès cet après-midi et ne pas s'interrompre jusqu'à aspiration intégrale du contenu des cuves du super-tanker.

Cet incident relancera t il le débat sur l'industrie pétrolifère des Provinces-Unies du Lofoten qui a largement contribué à la prospérité du pays, mais qui est en contradiction totale avec la volonté manifeste du gouvernement de devenir la vitrine de l'écologie et du green business ?
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Ciel encombré ?

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Merenlävät
Une entreprise à votre échelle.



Merenlävät, compagnie pharoise de transport maritime et de pêcherie depuis 1759.
4410
departmeentdefense
OPERATION "BLUE SKY" -

Comme convenu et en vertu de l'alliance entre la République de Saint-Marquise et les Provinces-Unies du Lofoten, ces dernières ont décidé de porter assistance à leur allié dans la gestion de la catastrophe naturelle que constitue l'entrée en éruption soudaine et violente du Mont-Vargas.

A cet effet, le Département d'Etat de la Sécurité Civile et celui de la défense ont conjointement décidé de procéder à l'envoi d'une Task Force afin d'aider à l'organisation de l'évacuation de la région sinistrée de GrandLake.
De nombreux avions de transport tactiques ont ainsi été affrétés par les autorités Lofotènes et se sont ainsi succédés sur le tarmac de l'aéroport régional d'Ingebørg afin d'établir un pont aérien entre cette région du Northerlands, et celle toute proche de GrandLake.

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Vivres, provisions, couvertures de survie, eau, médicaments, équipements médical, mais également de nombreux secouristes professionnels spécialisés dans les extractions et sauvetages en milieu difficile et hostile, et bien entendu une équipe multi-pluridisciplinaire composée de scientifiques aussi divers que variés, des vulcanologues bien sûr, mais aussi des climatologues, des météorologues, et des glaciologues, une discipline peu répandue mais très étudiée dans les Provinces-Unies.

secouristes

Il y avait bien sûr l'aide gouvernementale, très importante, mais pas seulement. De toutes les provinces du Lofoten des donations et des colis alimentaires affluaient en masse. Les citoyens des Provinces-Unies se sentaient particulièrement sensibles à la détresse de leurs voisins, parce qu'ils avaient déjà connu ce genre d'évènements par le passé, et que les Saint-marquois étaient considérés comme un peuple ami et culturellement très proche. Il était donc très naturel de leur venir en aide comme on vient en aide à son voisin de quartier. Tels étaient les sentiments qui les animaient, après en avoir fait de même quand il s'est agit de subvenir aux privations des Listoniens suite à la crise de Jadis.
Il y avait une sorte de solidarité particulière des habitants du continent nord-aleucien probablement renforcée par la sensation d'isolement et d'éloignement de leurs pays respectifs.


gardenationale

Le tout allait être encadré et supervisé par un détachement spécial de la Garde Fédérale habituée aux évacuations d'envergure et au maintien de l'ordre public en présence de populations en proie à la panique et aux possibles mouvements de foule. Ceux-ci embarquaient sur des hélicoptères spéciaux que l'on appelait les médicoptères, des unités mobiles aéroportées spécialisés dans le traitement et le rapatriement des blessés de guerre, et qui pouvaient même intervenir et opérer en plein vol.


mercy

Le navire-hôpital "Mercy" qui faisait la fierté de l'UP Navy avait aussi été déployé le long des côtes de la région de GrandLake au cas où des blessés prioritaires devaient être évacués en urgence.
Le Mont-Vargas ne semblait guère s'apaiser, et semblait vouloir faire ressortir toute sa colère et sa frustration après des dizaines d'années d'un sommeil prolongé.
Aussi, l'équipe d'experts et de scientifiques dépêchés sur place se mirent à travailler rapidement et en étroite collaboration avec leur homologues saint-marquois. En effet, puisque l'Angais étaient leur langue commune qu'ils maîtrisaient tous parfaitement, cela allait grandement simplifier la communication entre les deux pays, et mettre en commun les connaissances accumulées lors des précédents éruptions ou études de volcans actifs dans la Nord-Aleucie.


volcanologues

La Chaîne de Feu du Ponant regorge de glaciers et de volcans sous-marins assez remuants, et jamais totalement endormis, même si la dernière éruption majeure date de 1980, lors de l'explosion du Mont Saint-Ulrich qui avait vu tragiquement périr plus de 50 personnes non loin de Nørdvisk. Les scientifiques savaient au combien il était difficile voir impossible d'évaluer avec certitude ni même précision l'entrée en éruption de ces monstres, témoins de l'intense activité géologique de la Terre. Ces évènements, dramatiques parfois, montraient à quel point l'espèce humaine était peu de chose face à la force destructrice de la nature, et qu'il fallait toujours rester humble au devant de la terrifiante et grandiose colère de Mère nature.

Cette fois-ci c'était la ville de Bluepoint, capitale régionale de GrandLake et ses centaines de milliers d'habitants qu'il fallait sécuriser. L'ampleur de la tâche était à la mesure du gigantisme de la région, très grande, peu densément peuplée. Pour les autorités, le challenge allait être de regrouper la population et de n'oublier personne.
Mais surtout les cendres du nuage volcanique qui désormais recouvrait l'intégrité de la région représentait un danger non négligeable pour tous les aéronefs, aussi les évacuations autour du périmètre le plus proche du Mont-Vargas seraient prioritairement terrestres. Les évacuations aériennes seraient réservées aux cas d'urgence les plus critiques.


evacuation
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Le tourisme maguerrois en Saint-Marquise


Vous deviez vous en douter : les maguerrois ne sont pas libres de voyager où ils veulent. Malgré tout, avec la volonté d'ouverture du gouvernement Talmont, le régime totalitaire a décidé que les maguerrois peuvent voyager à t'étranger. Bien évidemment, ils ne peuvent pas aller partout dans le monde, notamment dans des pays communistes, musulmans et ennemis. Une liste avait été établie par le Ministère des Affaires étrangères pour indiquer les pays où les citoyens peuvent partir. Le point commun entre tous ces pays ? Aucun n'est considéré comme hostile par la République chrétienne-militaire du Magermelk. Quelques unes de ces destinations étaient plus mises en avant par le gouvernement que les autres car le pouvoir avait moins peur que ses citoyens prennent goût à la liberté dans ces pays. De plus, certains n'avaient pas une politique et des médias hostiles ou méfiants envers le Magermelk. C'est pourquoi la République de Saint-Marquise était une destination très prisée par les touristes maguerrois.

Tout le monde ne pouvait pas voyager : il fallait une autorisation spéciale, qui s'obtenait grâce au travail, au patriotisme et aux engagements de la personne. Si celle-là était militaire, elle avait d'autant plus de chance de pouvoir voyager. Cette autorisation s'obtenait après une demande au Ministère des Affaires étrangères. Quand celle-ci était acceptée, un grand nombre d'instructions était livré. Les principales sont :
  • Ne pas écouter les médias du pays qui sont certaines fois infiltrés voire contrôlés par des communistes et satanistes (même dans les pays capitalistes). Il vaut mieux écouter la chaîne Le petit Républicain international, une chaîne spéciale du Magermelk qui parle des informations pour les gens à l'étranger (avec des informations toujours contrôlées par le pouvoir), ou alors quelques rares chaînes du pays de voyage qui sont sur la même ligne politique que le Magermelk.
  • Peu échanger avec les locaux de politique ou du Magermelk car ils sont imprégnés de l'idéologie communiste.
  • Les endroits où il ne faut pas aller car ils sont des glorifications du socialisme.
  • Ne pas parler avec des musulmans juifs, ou personnes membres de mouvements politiques (sauf ceux d'extrême-droite).
  • Éviter de dire que l'on vient du Magermelk.
Le gouvernement maguerrois ne voulais surtout pas perdre le contrôle sur sa population ; ces mesures restrictives devaient protéger les citoyens de la liberté et de la démocratie.

Saint-Marquise faisait parti des États où les maguerrois voyageaient le plus, car le pays n'avait jamais eu de politique hostile au Magermelk, et les médias du pays n'étaient pas fondamentalement anti-magermelk. Je ne vais pas vous dire que Saint-Marquise est le meilleur ami du Magermelk, mais pour une fois qu'un pays ne déteste pas le facho d'Eurysie, le Magermelk voulait en profiter. De plus, cela pouvait aider à son image à l'international, un image bien plus belle que celle du pays totalement fermé au monde extérieur qui est resté pendant des dizaines d'années, et qui encore bien souvent reste dans la tête des gens.
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La tension, le stress...

Avant chaque intervention, les émotions submergent et bien que cette réaction est naturelle, elle n'en reste pas moins une difficulté à surmonter, apprivoiser, maîtriser et utiliser à bon escient.

L'agent de police se tourna vers elle. Voile élégant masquant une partie de sa chevelure tombant délicatement sur une épaule, elle respira profondément et ferma les yeux un faible instant... Une seconde qui dura une éternité.

La vie d'une personne était une fois de plus en jeu et l'association avait été contactée. La vie conjugale avait ses affres ; les incompréhensions, les disputes, les utilisations de psychotropes, le stress du quotidien et la charge mentale, les émotions et les hormones, l'adultère et les déceptions... Le mariage ou le concubinage pouvait être une belle histoire, un chérissement ou une ode à la vie. Toutefois, de malchance ou déraillement par destinée, cette douce musique pouvait aussi se transformer en cauchemar.

Elle ouvrit les yeux et confirma qu'elle était prête.

La police frappa à la porte d'une belle maison modeste de ce quartier résidentiel calme. Des agents se tenaient debout sur le porche en bois et le petit chemin en graviers traversant une pelouse fraîchement coupée. L'entretien de ce petit jardin était parfaitement en adéquation avec la culture locale.


POLICE, OUVREZ LA PORTE !


Un agent en uniforme sortit d'un véhicule de police en loin et plaça ses mains sur ses hanches en regardant de gauche à droite afin que l'intervention se fasse dans de bonnes conditions.

Après une courte attente, interminable au regard de la situation, la porte s'ouvrit timidement et une visage inquiet apparut dans l'entrebâillement.


Monsieur Qalb Mumazaq ? Monsieur, veuillez nous laisser entrer, je vous prie.


Les yeux cernés hésitèrent et eurent un tressaillement alors qu'une voix lointaine, étouffée se fit entendre au sein de la maison.


Monsieur Qalb Mumazaq, vous n'avez pas le choix, nous devons entrer.


Regardant de bas en haut et de gauche à droite, le regard de l'homme s'arrêta sur la femme auprès de l'agent de police et une expression indéchiffrable passa sur son visage l'espace d'un instant.
Doucement, le policier poussa la porte, d'une main ferme. La porte ne résista presque pas et le symbolisme de cette entrée fut vécue pleinement par les protagonistes présents.

Une fois la porte entièrement ouverte, Monsieur Qalb Mumazaq ayant reculé pour s'assoir sur les marches d'un escalier étroit faisant face à l'entrée, les agents de police entrèrent rapidement et se dirigèrent vers le salon et la cuisine attenants. Monsieur Qalb Mumazaq laissa tomber sa tête dans ses mains et laissa couler silencieusement les larmes.


...Madame ? Madame, veuillez poser votre ustensile de cuisine. Madame, écoutez moi...


La femme de l'association se dirigea vers Monsieur Qalb Mumazaq et se mit à genoux devant lui.


Tout est terminé. Nous vous l'avions promis, tout est terminé.


Elle passa son bras autour de ses épaules, tandis que des cris s'échappaient de la cuisine et que les agents de police invectivaient la femme à la coopération.


L'homme effondré continuait de pleurer et ne releva pas la tête alors que sa femme se faisait arrêter et lire ses droits.









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FAITS DIVERS




BRISONS LES TABOUS

Édition du 22 Mai 2007


L'association internationale A Lileunf a une fois de plus permis à une vie brisée d'être sauvée.
La police de Valmount est intervenue dans la banlieue Est de la ville, le 13 Mars 2007, dans le quartier du Green Hedgehog afin de permettre à une victime d'échapper des griffes de sa conjointe. Harcèlements, violences physiques et morales, la victime n'avait plus donné de nouvelles depuis plusieurs semaines à l'association A Lileunf qui l'aidait à monter un dossier face au désarroi et à la situation terrible qui perdurait depuis déjà deux longues années.

Nous ne dévoilerons pas le nom de la victime, ni de sa conjointe. Nous pouvons toutefois vous affirmer que le tribunal a d'ors et déjà condamné l'accusée à cinq années de prison ferme. La victime n'a pas souhaité s'exprimer publiquement et ouvre, dans le respect de la retenue et de la discrétion nécessaire à une convalescence physique et mentale, le sujet du tabou des violences conjugales.

L'association A Lileunf est active depuis plusieurs années au sein de Saint-Marquise, mais aussi à travers l'Aleucie et l'Eurysie depuis le début des années 2000. Association, presque institution au sein du pays des Tamurt n Althalj, soucieuse de défendre les droits de femmes et des hommes, A Lileunf est une référence incontournable dans un tabou sociétal universel.
Il y a de nombreuses facettes aux violences conjugales et les préjugés vont bon train.
"La victime l'avait un peu cherché", "si la victime savait se tenir à sa place aussi", "une petite claque ne fait jamais de mal", "c'est pas un bobo qui va briser un fondement sociétal et matrimonial, il faut savoir pardonner les écarts"... autant de réactions que nous pouvons lire sur l'Internet ou dans la presse internationale.

En gros, ce qu'il se passe chez soi, reste chez soi et pas besoin de l'étaler publiquement. Si nous ne sommes pas capables de gérer son conjoint ou sa conjointe, comment est-il envisagé de gérer le foyer familial ou même travailler...

Tout ceci est répugnant.
La police Saint-Marquoise a enregistré près de 4 000 violences conjugales par an sur l'ensemble du territoire dont 3 900 sur des femmes. Inacceptable alors que la République et notre Société sont exemplaires sur de nombreux points.
Les raisons sont nombreuses et impliquent à 70% la consommation d'alcool ou de drogues diverses. Les chiffres sont horrifiants : 75% des victimes font état de violence répétées et à 90% de violences physiques et atteintes psychologiques.

La police Saint-Marquoise estime que seulement 20% des violences conjugales mènent à une plainte auprès des forces de l'ordre. L'association A Lileunf, quant à elle, pense que seulement 30% des victimes cherchent une aide extérieure, afin de discuter, d'aiguiller et de conseiller.
A Lileunf fait état d'une forte hausse des demandes des victimes masculines ces trois dernières années.

Les statistiques sont insupportables.
Les hommes victimes, quant à eux, ne franchissent pas le pas auprès de la police Saint-Marquoise.
Il faut un immense courage afin de déposer plainte, de sortir de l'étau de son ou sa partenaire et d'accepter son statut de victime, de faire enfin avancer une situation, non pas de complaisance, mais de terrassement sous l'harcèlement et le joug de la peur.

Mais lorsque la pression sociétale nous empêche de franchir le pas de la porte du poste de police de peur du regard d'autrui, du ricanement ou de ne pas être cru... n'est donc pas que la société est cruelle ?

Une société cruelle, où les viols et tentatives de viols toucheraient presque 30 à 40 000 Saint-Marquoises et Saint-Marquois par an...

Comment nous comparons-nous à nos pays voisins ? Est-ce donc le réflexe de se comparer ?

Nous saluerons les efforts significatifs qui ont été faits par les gouvernements successifs et les forces de police qui brisent les tabous et favorisent un environnement de coopération et de poursuite de recherche de solutions avec les associations d'aide aux victimes. Les initiatives se multiplient afin d'éduquer et permettre aux victimes de sortir d'un isolement effrayant et des exemples comme A Lileunf doivent être accompagnées dans ce dur labeur.

Saint-Marquise n'est pas parfaite en ce jour, néanmoins Saint-Marquise n'a pas peur de briser les tabous.




Affiche de rue - Saint-Marquise - Association A Lileunf - 2007
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La lumière jaune orangée sur fond noir fusait à toute allure de manière régulière et fascinante.
Le casque était magnifiquement poli et disposait d'un design épuré et profilé, deux lignes de néons colorés partant du menton vers l'arrière de la base du crâne.
Il reflétait à présent parfaitement la couleur de l'aube, le bleu sombre se teintant de bleu azur à l'horizon.

Les lampadaires bordant la route s'éteignirent de manière synchrone et l'éclat du paysage défila à toute vitesse sur le casque noir.
Avec élégance, le véhicule suivait les courbes et les lignes blanches avec une sérénité que seuls les motards comprenaient réellement.

Il n'y avait aucune civilisation à des kilomètres à la ronde, toutefois le marquage routier était presque frais et le bitume en très bonne état.
Les conditions étaient parfaites pour le test du jour.

Le véhicule émettait un bruit différent de l'ordinaire ; comme si la combustion se faisait différemment, que la mixture du carburant dont nous étions toutes habituées était plus légère toutefois tout aussi bruyante. Il y avait un ronronnement, une vibration qui rassurait ; cette sensation qui était aussi recherchée par les conducteurs de véhicules motorisés et peut être plus pour les motos.

Alentour, le paysage s'étendait sur des kilomètres, plat et sombre, montrant quelques ombres grandissantes avec l'aube naissante. Sans ménagement, l'océan brilla presque de milles feux lorsque l'horizon passa du bleu azur à un blanc immaculé.
Saint-Marquise avait assurément les meilleurs infrastructures routières au monde et cette région septentrionale du pays permettait de ne point être importunée par les va et viens de l'économie.

Nul besoin de franchir les limites de vitesse pour apprécier le moment, comme certains clichés du motard le laisseraient penser.
La conductrice prenait le temps de réfléchir, vider aussi son esprit et parfaire les mesures sur son véhicule.

Directrice Générale de la plus grande entreprise privée Althaljir, elle avait bâti celle-ci autour de l'innovation et de la synergie accumulée par les Corporations en Recherche et Préservation, une spécificité et fierté Althaljir.
L'entreprise employait près de 9,000 personnes avec trois pôles principaux au sein de l'Althalj ; l'un sur la recherche de matériaux à Ifilku, l'autre en ingénierie entre Acilmun et Icemlet et enfin un dernier entre Asefsaf et Tifuzzel sur le design/conception.
L'Althalj avait misé sur la recherche étudiante, un cadre unique de formation, de réflexion et le besoin de répondre aux attentes sociétales environnementales et de bien être. L'approche technologique Althaljir ou la technologie elle même, avait semblé démodée et arriérée par le passé. L'utilisation des énergies fossiles était un moyen facile et efficace de développement, de réduire les coûts et de faire de l'argent tout simplement et les Tamurt n Althalj avaient rejeté, malgré elles peut être, ce virage de croissance. Toutefois le regard sociétal, pas seulement Althaljir, changeait et une volonté d'acheter une marque avec une histoire, avec une approche qui permettent de retrouver les valeurs et usages auxquels les gens aspirent, accélérait ce cheminement bienveillant.

Alther contribuait aux nombreux projets de travaux publics de l'Althalj, comme la co-conception et construction du train pour la ligne Icemlet - Lacrima di Perla avec les entreprises Fortunéennes ou la conception et fabrication des routes en basalte qui remplaçaient au fur et à mesure les revêtements bitumeux pour chaussées posés par GorillAth, mais aussi l'installation novatrice civile et aéroportuaire en carburant hydrogène. En effet, Alther travaillait d'arrache pied afin de permettre un virage technologique novateur vers cette technologie plus proche des valeurs de bienfaisance environnementale. L'entreprise aéronautique AlthaljAir travaillait de son côté sur un design pour l'aviation civile et AlthHydro sur la production nationale de cette énergie "nouvelle".

Les progrès étaient visibles, mais la technologie n'était pas encore mature.
L'Althalj avait encore des retards sur la miniaturisation, se refusant à s'engager sur des voies trop polluantes en terme d'extraction et de production et à travers ses freins, qu'elle s'infligeait, les avancées butteraient aussi sur un bilan carbone inacceptable pour les Althaljirs.

Afin d'obtenir de meilleurs résultats dans ses choix technologiques et éviter les investissements vers des impasses, Alther devait obtenir encore plus des cerveaux de ce monde, dans les pays qui maîtrisaient les technologies à même d'aider l'innovation Alther et parachever son oeuvre.

Ainsi, l'ouverture de succursales et agences à Saint-Marquise permettrait d'attirer des compétences spécifiques et généralistes, mais aussi des profils perçus par les recruteurs comme disposant de valeurs proches de l'Althalj.
De même que des bureaux avaient été ouverts de l'autre côté du bras de mer au sein des Provinces-Unies du Lofoten, à Fortuna ou à Agartha, il y avait une volonté de regarder vers le Pharois Syndikaali et peut être aussi vers le Grand Kah. Alther rechignait encore à s'ouvrir à l'Alguarena, sûrement fortement influencée par l'image véhiculée par les journaux nationaux, mais les avancées technologiques au sein de ce géant économique et industriel ne pouvaient être ignorées.



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ACTION RP : INSTALLATION DE L AMBASSADE

Un groupe d'individus fagotés comme des gens du dix-neuvième siècle débarquent au port de Verdante. Ils sont, pour ces messieurs, en queux de pie, haut de forme et gants blancs, et ces dames en crinolines, boucles anglaises et éventails. Un nombre important de domestiques font des aller-retours entre le yatch et le quais du port pour descendre un nombre considérable de malles en osier fort encombrantes qui sont ensuite chargés sur des camions de location.

Ils quittent rapidement le port et se rendent à Mont-Law où ils se dirigent vers une grande maison de maitre sur le Boulevard des Nations (au 24) , et y hissent rapidement le drapeau fleurdelisé de la Nouvelle Fides.

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Ambassade de Nouvelle Fides


Rapidement, un courrier part pour la chancellerie de Saint-Marquise. Il contient la revendication de l’extraterritorialité de l'ambassade (de manière très formelle), et un descriptif succinct de l'ambassadrice accompagné d'une photo :

Madame la Comtesse de Matoba, veuve de son excellence le Comte de Matoba, viendra sous peu vous présenter ses lettres de créance. En l'attente de ce jour qu'elle désire ardemment vivre, elle vous prit de bien vouloir accepter ses salutations sincères.


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ACTION RP : Influence sur la population
Détail : Installation du scoutisme traditionnel : Scouts Catholiques d'Aleucie (SCA) et Guides Catholiques d'Aleucie (GCA )

Recherchant ça et là aux alentours de Barthelemew tout ce que la région de Westmer peut compter de traditionalistes et de réactionnaires, la Matoba, ou plutôt son service d'ambassade, est parvenu à constituer deux groupes scouts, chacun pour l'un des sexes. C'est donc une vingtaine de famille qui forme l'embryon de l'influence de Nouvelle Fides sur le peuple de Saint-Marquise.

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La troupe Iere Barthelemew : Les éclaireurs, les scouts du sexe Fort

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La Compagnie 2eme Barthelemew : Les guides, les scouts du Beau Sexe

Le scoutisme, dans ses modalités traditionnelles, est une structure d'enseignement de la jeunesse qui tend à former une élite d'individus déterminés, droits et vigoureux. Conformes, donc ,à la doctrine de la Nouvelle Fides. Certes, ils ne sont que quarante, des deux sexes, mais ils formeront les meneurs de demain. C'est tout du moins la teneur de l'allocution de la Matoba à leurs parents.
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