13/05/2013
11:57:45
Index du forum Continents Afarée Cémétie

Activités étrangères en Cémétie

Voir fiche pays Voir sur la carte
399
Activités étrangères en Cémétie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Cémétie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Cémétie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
3395
Nuestro Dario

9 juillet 2003 - Raul Correa pousse ses valises et la chansonnette, en Cémétie !



Raul Correa prend un vol pour la Cémétie

Raul Correa à l'aéroport de Pomosejo d'où il a pris son vol sans retour pour la Cémétie.



Raul Correa réapparait sur les réseaux sociaux.


“Raul Correa est vivant !” annonçait d’un ton provocateur l’une de ses nombreuses fans arkohanes dans un blog dédié à l’icône de la musique aux sonorités levantines. Sur la photo, on pouvait voir celle-ci à l’entrée de l’aéroport de Pomosejo après qu’elle eut intercepté l’interprète de “Ce quelque chose” alors qu’il déchargeait ses valises. Une apparition inattendue pour les fans qui découvriront dans le même lesp rojets internationaux de leur star montante. “Un départ discret pour éviter le rassemblement et l’animosité d’une foule à l’entrée de l’aéroport” assure son manager, Rigoberto Covarrubias.

L’artiste quitte durablement la Fédération d’Arkencheen et ses fans !


Depuis sa dernière tournée accomplie en décembre dernier, Raul Correa avait tenu au secret l’ensemble de ses projets à venir pour l’année 2003. Amenée à échanger avec lui le temps d’embarquer à bord d’un vol pour la Cémétie, la fan a ensuite révélé sur son espace en ligne que Raul Correia lui avait partagé ses projets d'artiste pour le continent afaréen. Ses groupies arkencanes ne devraient plus entendre parler de lui avant les deux prochaines années, ou du moins elles ne devraient plus “l’entendre parler espagnol” quelques temps.

Décidé à rejoindre Héraclée, l’artiste fait effectivement place nette sur son calendrier des tournées arkencanes, “tout se passe là-bas !” déclarait le chanteur dans un dernier post en ligne alors qu’il se trouvait dos à l’écran des vols en partance pour l’Afarée.

“Je suis extrêmement fier de partir pour la Cémétie” explique Raul Correa. “C’est un projet qui m’a toujours tenu à cœur et a inspiré l’essence même de mes compositions jusqu’ici. Dès lors pour moi et contrairement à la lecture que certains auraient de mes chansons, on a tous quelque chose en nous de Cémétie n’était plus qu’une simple succession de mots… Je donne maintenant tout ce qu’il y a à donner, aussi bien sous l’angle professionnel que personnel car je sais, sans aucune hésitation, que c’est finalement ce qu’il y avait de plus juste à faire.”

Une décision spontanée qui inquiète les sponsors et agace son ancienne troupe de danseuses.


Un enthousiasme partagé par ses sponsors qui encouragent le chanteur à poursuivre la sortie de single en espagnol, pour se maintenir connecté avec ses fans arkohans. Si le chanteur souhaite garder le bénéfice des piliers de la production musicale que sont Vibrato et Lirismusica, il est très probable qu’il leur doit cette concession.

Si Raul Correa parle de retour aux sources après son décollage pour la Cémétie, le style Correa semble lui destiné à changer, après que son équipe emblématique de danseuses “les Correaïades” ait déclaré ne pas vouloir le suivre dans son installation en Afarée. En effet et bien que chacune des 4 danseuses décrit un homme enjoué et porté d’une force vive, elles ressentent néanmoins une certaine rancune à l’égard de ce qu’elles considèrent comme “un caprice téméraire”.
3760
La Voz Del Popolo

1er août 2003 - Raul Correa, victime d’une violente agression xénophobe après son arrivée en Cémétie.


Raul Correa à l'hôpital

Molesté en raison de ses origines et de sa couleur de peau, le chanteur international arkencan Raul Correa, continue d’alimenter les médias malgré lui.



Un fait divers traduisant une tendance nationale.


Depuis des années, plusieurs anonymes d’origine étrangères subissent la pression du nationalisme cémétien. Aujourd’hui, ce sont également des figures locales de premier plan qui subissent les agissements délétères d’une partie de la population. Longtemps engagé par sa musique prônant l’ouverture culturelle (cf: on a tous quelque chose en nous de Cémétie…), Raul Correa avait su esquisser quelques horizons lointains à ses fans, portés par des valeurs que sont le partage et la tolérance.

Mais son discours semble avoir trouvé ses limites à l’endroit même pour lequel il s’était fortement mobilisé, décidé à faire connaître (et reconnaître) le patrimoine de ce petit territoire d’Afarée du nord qu’est la Cémétie.

Une photo publiée sur la page officiel d’un de ses réseaux sociaux le présente à ses fans avec un large cocard et une entaille à l’arcade, le même jour des faits. “J’ai dû rapidement visiter un médecin pour faire constater les blessures et déterminer une incapacité temporaire. Des précieux éléments qui me serviront à poursuivre ces lâches qui à travers moi, s’en sont pris à l'humanité même."

Une communauté de fans et de métèques soudés derrière la star.


“Tu touches à Raul, tu touches à l’humanité” avait effectivement écrit une fan sur sa pancarte alors qu’elle stationnait devant l’hôpital qui a admis la star, et ce depuis qu’elle a appris la terrible nouvelle. Elle espère désormais très vite avoir des nouvelles rassurantes et peut-être même, comble du rêve, apercevoir son idole. Derrière ses fans, c’est également une large tranche des diasporas en Cémétie qui a de quoi s’inquiéter.

L’attaque, perpétrée par des cémétiens se revendiquant de souche et pour certains masqués, est selon le chanteur “une preuve de plus du sentiment de culpabilité et d'illégitimité qui les habitait, conscients du caractère honteux et misérable de leur méfait”.

Alors qu’il était sorti pour s’acheter un kébab dans l’entretemps de deux représentations sur scène, pas moins de 5 individus lui ont fait face, armés et les regards injectés de haine. Les auteurs ont commencé par entamer un chant nationaliste avant de s’enorgueillir et d’avoir le courage du nombre pour s’en prendre physiquement à l’idôle des femmes. Raul Correa, en plus d’avoir été frappé de plusieurs coups violents au visage et au ventre, aurait reçu un liquide chimique inconnu qui n’a pas été soumis à l’identification par les enquêteurs.

Un révoltant désintérêt des pouvoirs publics sur ce phénomène d'exclusion.


Avec des déclarations chocs telles que “faire un pas vers l’étranger que représente Raul Correa, c’est faire un pas de plus pour s’éloigner de l’opinion publique”, la presse locale en dit sur le statut de citoyen de seconde zone instauré à l’égard de ressortissants étrangers.

Raul Correa, depuis son lit d’hôpital, a promis de mobiliser ses fans et plus largement tous les citoyens de Cémétie ou d’ailleurs qui refusent la ségrégation opérée dans cette région “carrefour du monde”. La relative complaisance des autorités et de l’administration publique, bien muette sur ce fait divers certes mais qui traduit une (dangereuse) orientation nationale…

Des actions coups de poing antiracistes et des mobilisations citoyennes pour la tolérance sont en projet, a promis le chanteur.
2977
Prensa Libre

24 septembre 2003 - Raul Correa s’est marié à Menophoron.



Raul Correa et Ayah Tannous

Raul et Ayah Correa, le mariage heureux et interculturel dont la Cémétie a besoin.



Un véritable chemin de croix pour le chanteur expatrié.


Victime de ségrégation et craignant une expulsion administrative suite à la médiatisation de sa récente agression, la star arkencane et son épouse Cémétéenne ont avancé la date de leur mariage au 19 septembre dernier.

C’était une ovation particulière qui retentit à la sortie de la mairie de Menophoron lorsque Raul Correa, ressortissant arkencan en Cémétie et Ayah Tannous (Correa !) ont fait face à leurs 320 invités auxquels s’étaient mêlés plusieurs dizaines de badauds sur la voie publique. Car derrière les félicitations, beaucoup des invités et proches du chanteur étaient venus manifester un soutien réel à ses déboires en Cémétie, un pays estampillé de logiques identitaires marquées et dénoncées par une partie de la presse internationale.

Une discrétion de mise et des personnalités politiques locales en retrait.


Une cérémonie présidée par l’un des adjoints de la ville et faisant couler beaucoup d’encre sur l’absence du maire de Menophoron. Agenda complet? Volonté politique de ne pas s’associer au dossier Correa? Les spéculations allaient bon train pour tenter, au mieux de comprendre, au pire de faire comprendre à autrui les motivations autour d’une telle absence. Initialement, nous savons par le biais d’un proche du couple que les mariés avaient l’intention de se dire oui le 14 mai 2004. Mais craignant que la médiatisation faite autour de l’agression de Raul Correa n’invite l’administration à ne pas renouveler son visa l’année prochaine, ils auraient fait le choix d’avancer la date du mariage, en toute discrétion.

Depuis cet été, des rumeurs en lien avec une possible union commençaient à s’amplifier, particulièrement après que de nombreuses vidéos du chanteur sur son lit d’hôpital aient mis en avant et attiré l'œil des internautes sur une bague portée à l’annulaire de la main gauche du chanteur.

Qui est Ayah Tannous?


Raul Correa et Ayah Tannous ont démarré leur idylle lors d’un concert de la star arkencane à Pomosejo, en 2001. Ayah Tannous était ce soir-là l’une des 2 700 fans qui occupaient l'assistance.

Toujours discrète malgré l'excentricité de son époux, Ayah Tannous avait longtemps su échapper aux paparazzis qui sont, pour le coup, arrivés en même temps que les derniers invités. Après deux années passées en couple seulement, les inséparables franchissent une nouvelle étape de leur vie de couple. Ayah Tannous est une célébrité de petite notoriété en Cémétie, après qu’elle soit notamment apparue au sein d’une série familiale.

La rédaction se joint à moi pour leur souhaiter nos voeux de bonheur en Cémétie.
4506
La Voz Del Popolo

21 octobre 2003 - Agression de Raul CORREA : la star arkenco-cémétéenne réunit des milliers de personnes à Menaphoron pour une manifestation contre la xénophobie.



Manifestation à Menophoron pour dénoncer la montée de la xénophobie

Un peu moins de 3 mois après sa violente agression qui lui a valu une hospitalisation de 5 jours, la star binationale est sortie dans la rue pour dénoncer l’identitarisme ambiant en Cémétie.



Une réaction politique molle et intéressée.


Plus d’un mois, c’est le temps qu’il aura fallu entre l’agression dont a été victime la star par un groupuscule identitaire, et la dénonciation de ces faits par la classe politique, décidée à dénoncer le nationalisme comme mal de cette violence, sur un intervalle rigoureusement préparé si l’on considère le calendrier des élections législatives cémétéennes et les sondages jusqu’ici favorables aux forces nationalistes.

Pour le politologue Elvino Muarez, “le parti présidentiel a fait de la communication électorale à partir d’un fait divers dont la portée médiatique aurait pu conduire un élu à prendre publiquement la parole. A tort ou à raison, il n’en a rien été fait mais toujours est-il que les minorités présentes à Menaphoron, ne qualifient pas d’honnête l’appel à la tolérance émis de manière bien timide par le parti de la majorité présidentielle.”

Un discours en manque de conviction qui n’a donc pas su éviter une action de manifestation lancée en plein cœur de l’agglomération. Réunissant 7 000 personnes* selon les organisateurs, celle-ci a eu lieu ce mardi 14 octobre dès 9h30.

Des minorités en colère, des touristes effrayés et des citoyens scandalisés.


Dans le cortège, on pouvait apercevoir de nombreux anonymes portant des écriteaux et pancartes diverses, “je suis médecin née eurysienne, ça pose un problème?” “Cémétie et Héraclée, terre de tolérance, aux étrangers je laisse une chance !” “La Cémétie est un carrefour du monde, arrêtons cette ségrégation immonde !” pouvait-on lire sur plusieurs d’entre elles. Au-delà du choc émis à travers une partie de la population lorsqu’elle a appris qu’une personnalité de premier plan avait pu être agressée en pleine rue, le temps de son spectacle, c’est la léthargie institutionnelle entretenue autour de l’affaire.

“Aucune arrestation, une condamnation orale publique faite un mois plus tard et destinée à charger le camp nationaliste 3 jours avant les élections législatives… De qui se moque-t-on ?” fustige l’un des manifestants.

Plus d’actions administratives en faveur de l’interdiction et du démantèlement de tel ou tel groupuscule trahissant les valeurs de la principauté, une politique de lutte contre les discriminations et les actes de xénophobie dans les démarches administratives ou les entretiens de recrutement… les manifestants ne se sont visiblement pas contentés de critiquer l’existant mais ont proposé une ébauche des lignes directrices attendues pour casser la spirale infernale des violences xénophobes en Cémétie.

Forts de 45 députés sur 543, les partis politiques de la droite radicale cémétéenne et leurs idées jouissent d’une certaine légitimité auprès de la population locale. Pire encore, les courants politiques nationalistes trouvent une certaine institutionnalisation dans près d’un tiers des provinces cémétéennes, enregistrant deux gouvernorats (de Khargos et d’Ana Thaon) acquis aux partis de la droite radicale.

La Cémétie, un pays qui n'a pas le luxe d'adopter des politiques nationalistes.


A l’intersection du monde, à l’embouchure du pont terrestre entre nord et sud, sur les terres de la cité cosmopolite d’Héraclée, l’avenir de la Cémétie est résolument lié à l’interculturalisme. C’est pourquoi des milliers de cémétéens se sont résolus à dire non au climat ségrégationniste qui menace de poindre. Car si Raul Correa et bien d’autres personnes avant lui constituent de premières victimes visibles de ces violences ordinaires, les professionnels du tourisme cémétéens pourraient sur le moyen terme, en pâtir très vite si le pays ne parvient pas à détonner du bleue nuit et violet (couleurs officielles des deux principaux partis d’extrême droite).

Effectivement, jouissant d’un positionnement géographique (et donc d’un climat) relativement similaire, la Sérénissime République de Fortuna offre aujourd’hui plus de garanties au développement touristique régional.

* Action RP motivée par l’engagement de points d’influence sur Menaphoron, ouvert à des modifications si besoin.
4485
La Voz Del Popolo

11 novembre 2003 - Raul Correa, fondateur de l’Alternative Solidariste (Εναλλακτική Αλληλεγγύη), la nouvelle composante du puzzle politique cémétéen.



Raul Correa

Installé dans son QG de campagne, Raul Correa a enfilé les gants pour toucher du doigt le siège de la Mairie de Menorophon en 2004.



Une médiatisation constante du personnage.


Quatre mois seulement après son arrivée sur le sol cémétéen, Raul Correa continue d’entretenir les surprises alors qu’il a annoncé publiquement son engagement politique. L'interprète de “On a tous quelque chose en nous de Cémétie” se montre décidément sous une facette pluridisciplinaire maintenant qu’il souhaite ajouter la politique à ses activités principales ! Jusque là connu pour ses prestations musicales, la star binationale arkenco-cémétéenne a redéfini la relation qu’il souhaite entretenir avec le grand public cémétéen.

Et parce qu’il avait très certainement peur de faire comme un autre, Raul Correa ne s’est pas contenté de rejoindre la politique mais bel et bien de la réinventer.

Fondateur d’un nouveau parti qu’il souhaite présenter comme étant de centre-gauche, l’homme secoue l’échiquier politique des prochaines municipales de Menorophon, annoncées en 2004. “Nous y serons !” promettait-il à un parterre de supporters venu l’écouter pour son premier meeting politique. Il faut qu’à Menorophon et même sur le territoire national cémétéen, très peu jouissent de son présence médiatique.

Raul Correa veut s’inscrire dans la durée.


Galvanisé par les soutiens qu’il a reçu depuis sa terrible agression xénophobe en août, Raul Correa ne veut pas être “un effet de mode” et souhaite maintenant dépasser le cadre des manifestations pour la tolérance, qui ont rassemblé des milliers de personnes au sein de la grande agglomération de Menorophon.

Raul Correa conduira une liste pour les municipales de l’année prochaine et espère gagner la mairie de Menorophon avec. Nouvel invité chouchouté des médias, Raul Correa cumule les représentations publiques afin de faire connaître son projet politique.

Si le nom du parti n’est pas fermement arrêté, celui-ci tendrait vers “Εναλλακτική Αλληλεγγύη’ soit l’Alternative Solidariste, une allusion directe aux crises interculturelles et aux replis identitaires qui ont secoué le pays et provoqué la carrière politique du chanteur arkencan.

Un parti qui s’expose donc sous les valeurs de la tolérance, du vivre-ensemble et de la quête d’un sens commun.

Une position faiblarde au niveau national.


“Le centre gauche occupe un positionnement ambigu qui vient revendiquer être le porteur des valeurs de gauche mais s’affranchit avec force et vigueur de la gauche traditionnelle ainsi que de l’extrême gauche” nous rappelle le politologue Christopher Miggs. Une posture assumée qui peut réussir à un niveau cantonal mais qui devra se montrer moins clivante pour espérer entrer dans le paysage politique des suffrages nationaux estime le spécialiste.

Fédérer, c’est bien l’ambition affichée par ce nouveau parti politique cémétéen qui veut rompre avec les lignes politiques traditionnelles. Un ennemi qui peine à effrayer les ténors des partis nationalistes dont certains se frottent les mains d’assister à une certaine dislocation de l’électorat des socialistes, maintenant partagé entre près de trois sensibilités de gauche.

Le parti de l’Alternative Solidariste (Εναλλακτική Αλληλεγγύη) a la volonté de se montrer progressiste sur les questions de société, tout en répondant à certains dogmes moraux issus de l’histoire judeo-chrétienne du pays, qui abrite rappelons-le la cité cosmopolite d’Héraclée. “On ne veut pas dénaturer notre belle Cémétie, on veut dénaturer le système qui vous dit ce qu’est ou n’est pas la Cémétie. La Cémétie est une terre riche de ses personnes, qu’elles aient un passeport X ou Y… La Cémétie est un melting-pot de valeurs, ce n’est une liste exhaustive d’hôpitaux dans lesquels il faut être né pour se considérer cémétéens...”

Si les militants pour la tolérance et l’interculturalité ne parviennent pas à investir les champs électoraux au même titre qu’ils investissent les carrefours et la place de l’hôtel de ville à Menorophon, les rassemblements débutés en Cémétie auront très peu de chance de développer des effets concrets.
Prévues en 2004, les élections municipales de Menorophon enregistrent un nouvel outsider à la course pour la Mairie.
2322
El Boletin

10 janvier 2004 - Convergence des élus de gauche et du centre, pour le nouveau parti de Raul Correa, l’Alternative Solidariste (Εναλλακτική Αλληλεγγύη).


L'Alternative Solidariste
Le nouveau parti centre-gauche de Raul Correa siphonne ostensiblement les fondations des partis traditionnels de gauche.


Qu’ils soient discrets ou mis en scène de façons outrancières, de nombreux échanges avec des personnalités politiques de gauche ont ponctué l’agenda de Raul Correa cette semaine. En quête de têtes de liste pour les prochaines élections législatives, le phénomène politique de l’Afarée du Nord a également souhaité s’entourer d’hommes de terrain pour créer le lien avec les populations locales.

Si nous sommes encore loin de justifier une majorité parlementaire, la création d’un groupe d’élus en son sein pour les prochaines législatives reste à la portée du Cémétéen de cœur. Qu’il s’agisse de Nadeen Daher (ex-LKK) ou de Kamilah Nazari (ASK), plusieurs grands noms de la classe politique cémétéenne ont d’ores et déjà accordé leur confiance à ce “monsieur tout le monde” dont il revendique lui-même bien volontiers l’étiquette.

Un axe de communication assumé qui porte ses fruits, avec le ralliement de 12 figures de la gauche et la possible création d’une alliance politique, entre le Groupe des Régionalistes (centre) et l’Alternative Solidariste. Si cet accord ne traduit pas une réelle volonté d’assimiler l’ensemble des partis centraux sous une même bannière, il est à noter que dans les faits, le parti du Groupe des Régionalistes n’existe presque pas sur le plan politique et que cette convergence des élus et des combats politiques profitera à terme au parti principal, l’Alternative Solidariste.

Les centristes ont pactisé pour les prochains rendez-vous électoraux de 2004, de l’Alternative Solidariste ou du Groupe Régionaliste, on pourrait finalement croire que les plus ambitieux sont les seconds, tant le gap obtenu est significatif pour eux.

“Raul Correa inspire la gauche et expire le centre” pouvait-on lire sur la première page d’un éditorial local, pour traduire la réussite politique de ce tout jeune parti. “Ils ont réussi en moins de 2 mois ce que le centre s’acharne à faire depuis sa création, rassembler les plus modérés mais pas que, au sein d’une couleur politique fait de pragmatisme économique et social” commençait-on à chuchoter dans les couloirs du parlement cémétéen.

Un alignement des progressistes et des socialistes qui promet de rompre avec le nationalisme xénophobe qui trahit l’histoire culturelle d’un territoire qui s’est voulu le carrefour du monde.
341
Drapeau

Visite de travail du Ministre Pelousien des Relations Extérieures

Le Ministre des Relations Extérieures de la Pelousie a rendu une visite de travail à son Homologue de Cémétie. L'ordre du jour était les discutions et propositions d'accords en vu d'établir les relations diplomatiques et de coopérations entre les deux pays

Le Ministre des Relations Extérieures: Louis MBADINGA
Drapeau
1268
https://www.zupimages.net/up/23/10/hg6b.png
ONC attention danger !

Suite aux "exercices" organisés par plusieurs marines de l'ONC à l'embouchure de la Leucytalée, l'ONG Imperialism Watch interpelle les pays frontaliers : une coalition militaire, déjà responsable de l'invasion d'un pays, peut-elle faire la loi dans une mer où elle n'a aucun droit ? Peut-on se laisser prendre en otage par une flotte qui se rend virtuellement capable de couper l'accès à la Leucytalée aux nations qui s'opposent à son agendas économique ? Quel cadre et quelle légitimité pour des exercices aux allures de blocus ?

Derrière ces innocentes manœuvres, c'est un message clair envoyé à toutes les nations de la Leucytalée : nous pouvons à tout moment prendre le contrôle de la mer, et couper les routes commerciales qui vous sont vitales. Voilà quel chantage est opéré, terreau de l'impérialisme et marche pied des sanctions militaires et commerciales : dénonçons sans hésiter, restons vigilants !


⊘ ⊘ Hier le Prodnov, aujourd'hui le Kronos, demain peut-être vous ? ⊘ ⊘


Imperialism Watch est une Organisation Non Gouvernementale (ONG) fondée en 2009 et originaire du Pharois Syndikaali, elle réalise un travaille de surveillance des initiatives impérialistes, cherchant à attenter à la souveraineté des nations. Pour nous aider à surveiller l'impérialisme, partout où il sévit, nous recrutons des bénévoles et lançons une campagne de dons "against tyranny long live multipolarity".
0
Logo de l'agence fédérale de presse

15 Janvier 2010 - La gouvernance kronienne de Calabraise : le boucher collectionneur d’armes de destruction massive qui effraie le monde.


L'action kronienne portée par Baldassare Calabraise, une menace permanente et létale pour l'environnement social et économique mondial.
Le régime kronien de Calabraise : 1000 crimes et infamies, avec autant de casus belli, pour définitivement en finir avec la menace (clic gauche pour agrandir).

Calabraise, un boucher sanguinaire.

Si les dictatures totalitaires d’extrême-gauche ne représentent qu’une part infime des nations et des richesses de ce monde, force est aujourd’hui de constater qu’elles représentent néanmoins l’essentiel des foyers de tensions et de conflictualités à l’international. Déjà contrainte de défaire la dictature prodnovienne qui massacrait à tour de bras, la communauté internationale doit-elle s’emparer du cas de Baldassare Calabraise avant qu’il ne commette l’irréparable?

Il a longtemps été permis de citer parmi les bouchers les plus mondialement connus, le cas du dictateur communiste prodnovien Kuklin Viktor, auteur des exécutions sommaires contre sa population à Bridjesko, qu’il accusait d’avoir soutenu des terroristes ayant fait assassiner son prédécesseur. Bridjesko devenait alors à la face du monde, une boucherie à ciel ouvert que les pays eurysiens s’étaient juré de ne plus revoir, considérant la désolation apportée à tout un continent et les troubles persistants au Prodnov qui continuent actuellement de faire paraître un avenir incertain au-dessus de lui. Pourtant et malgré le fait que le nombre de victimes civiles ne surclasse pas (encore) les massacres perpétrés par Kuklin Viktor, d’autres dictateurs d’obédience communiste ont aujourd'hui signé d’une tâche rouge sang indélébile, des méfaits nouveaux. Ainsi, après la disparition du dictateur prodnovien Kuklin Viktor, les morgues et les veuves ont appris à redouter un nouveau bourreau en la personne de Baldassare Calabraise, le despote de la République de Kronos.

Dirigeant liberticide, ce tyran est surtout connu pour avoir ordonné la fermeture de ses frontières avec ses voisins eurysiens, la Youslévie en tête, sur qui il faisait peser la menace permanente d’un conflit armé. Mais cette fermeture des frontières s’est accompagnée d’une autorisation de recours à des tirs létaux contre toutes les personnes désireuses de la franchir. De franchir la frontière dans un sens mais également l’autre, ce qui implique donc l'exécution non chiffrée de civils kroniens ayant tenté de quitter le pays.

A ces exécutions sommaires, pour quiconque souhaiterait “quitter l’eldorado rouge”, s’ajoute également l’accomplissement de travaux forcés au sein d’usines chimiques installées sur le territoire kronien afaréen. La chaîne d’information d’état kronews ne s’en cache pas, à quoi bon se donner cette peine : le gouvernement kronien envoie par la force tout opposant politique (cf : manifestants ou toute personne susceptible d’avoir une pensée contraire à celle formatée par le régime Calabraise) dans des usines chimiques, pour l’accomplissement de travaux dangereux et forcés, avec pour seule contrepartie de pouvoir dormir et manger sur place. Un esclavagisme en Afarée qui ne dit pas son nom.

Le cynisme et la cruauté de la gouvernance kronienne, dirigés indistinctement contre son peuple qu’il devrait chérir, semblent donc ne pas connaître une quelconque limite, par sa capacité à utiliser ses soldats, les protecteurs du pays en personne, pour abattre des citoyens désireux de passer la frontière. Outre ces faits macabres, il est à porter à la connaissance du plus grand nombre, que de nombreux opposants politiques kroniens (comprenez par là, tout citoyen ayant eu envie ou besoin un jour d’exprimer son mécontentement envers la politique gouvernementale) travaillent contraints et forcés au sein d’usines chimiques afaréennes, sans qu’il soit permis que de quelconque protections leur soient fournis (gants, masques, combinaisons, lunettes anti-projection, rince-oeil, etc…). Le gouvernement kronien est une menace pour le monde mais aussi pour son peuple qui se meurt à petit feu sous l'ingéniosité de sa barbarie.

Calabraise, une menace permanente.

Si nous avons longuement pu évoquer la menace que le tyran kronien faisait peser sur son propre peuple, il nous appartient aujourd’hui de ne pas négliger la menace que ce dernier entretient sur la scène internationale. Une menace qui se veut permanente, du fait du rêve exprimé pour qui souhaite l’entendre, d’acquérir des missiles balistiques et projetables à des milliers de kilomètres du Kronos, sous une posture strictement offensive. Des missiles balistiques qu’il souhaite acquérir en très grand nombre, les identifiant comme “bien utile pour la suite” sous entendu utilisables à court, moyen et long terme… Le stockage de missiles balistiques entre les mains d’un boucher et l’attente de voir celui-ci en mesure de projeter sa menace balistique vers n‘importe quelle destination, notamment grâce à l’emploi de sous-marins lanceurs d’engins, laisse poindre un péril encore plus dangereux qu’il ne saurait être présentement.

La capacité d’un dirigeant à faire abattre sa population aux frontières et à la faire mourir à petit feu dans des usines chimiques sous le coup des travaux forcés, doit nous convaincre de l’incompatibilité de ce même dictateur à possiblement détenir de telles armes de destruction massive. Précisons d’ailleurs qu’une fois en leur possession, le dictateur d’Eurysie méridionale s’était targué de pouvoir cibler n’importe quel espace Youslève, zone urbanisée ou non confondues. Un rêve dont il défendait publiquement l’accomplissement sur sa chaîne d'État.

S’il est aujourd’hui indiscutable que les kroniens soient les premières victimes de la politique intérieure sauvageonne déployée par le tyran de Pendragon, la possibilité de voir cette barbarie s’étaler sur la scène internationale, touchant les nations étrangères avec lesquelles Baldassare Calabraise nourrit intentionnellement les conflictualités, n’a jamais été aussi proche que maintenant. Un risque et une menace insoutenables, un risque et une menace permanents, qui doit inviter chaque représentant du monde libre, à empêcher l’accumulation d’une telle capacité de nuisance par le tyran de Pendagron, fut-elle au moyen d’une intervention armée destinée à limiter, voire à supprimer, sa capacité de nuisance… Il faut dire qu’en matière de missiles balistiques, Baldassare Calabraise n’en est pas à son coup d’essai, après l’opportunité manquée pour lui d’implanter des bases militaires (pas moins de trois) dans le Nord-aleucien, auprès de l’Empire du Nord, un régime colonial acoquiné pour des raisons floues et obscures, au tyran de Pendragon.

Des bases installées à la hâte et sur lesquelles la gouvernance Calabraise aurait plein pouvoirs pour y installer des missiles balistiques, mettant à sa dangereuse portée, les populations lofotenoises. Un positionnement inadmissible qui avait obligé les États à faire pression sur l’Empire du Nord, pour entraver l’ouverture et la mise en place opérationnelle de ces bases militaires terriblement menaçantes pour les foyers urbains internationaux.

L’intervention militaire au Kronos, une évidence.

Dans ces circonstances, il est impératif de considérer la politique menée par le dirigeant et dictateur kronien pour ce qu’elle est, une menace permanente et létale pour les populations qui vivent, tant à l’intérieur de ses frontières, qu’à l’extérieur. Le tyran de Pendragon nourrit en effet les foyers de tensions et ses ambitions d’accumuler un nombre exponentiel d’armes de destruction massive, qu’il est prêt à diriger, sous le couvert de ses futurs sous-marins lanceurs d'engins, aux quatre points cardinaux du globe. “Comprenez bien que le tyran de Pendragon ne sera jamais moins menaçant que ce qu’il n’est actuellement. Plus le temps s’installera entre aujourd'hui et le jour de la pacification du gouvernement kronien, plus cette dernière sera coûteuse en vies humaines, considérant l’engagement plein et entier, voire obsessionnel, du dictateur eurysien pour l'entretien d’une force militaire à même de fournir la désolation où il le jugera bon.” explique un politologue de renom en Alguarena, Remicio Granda.

Devant un tel dilemme, l’entreprise d’une action armée contre les institutions névrosées kroniennes semble l’évidence, mais il appartient seulement aux acteurs de la scène internationale, de savoir quand jouer cette initiative, considérant le péril grandissant que le tyran de Pendragon semble déterminé à faire pousser à l’intérieur de ses frontières.
La paix contrainte face à Calabraise et Calabraise contraint à la pacification.

Tout n’est pas noir au tableau et de chaque malheur les héros ont l’opportunité de se dresser, serez-vous l’un d’eux? Si tel n’est pas encore le cas, ne tardez pas à considérer les capacités militaires et politiques de Baldassare Calabraise, pour entraver l’installation durable de la paix mondiale, ou encore à maintenir la suspension d’une épée de Damoclès alimentée par l’entretien ainsi que l'accroissement d’armes de destruction massives tirées depuis le sol kronien ou les eaux internationales grâce aux concours de sous-marins spécialisés et dédiés à cette tâche.

Dans ces circonstances, il est aisé de relever les casus belli entourant actuellement la gouvernance du Kronos, incarnée par Baldassare Calabraise. Dangereuse et mortelle, pour son peuple ainsi que celui des autres, l’autorité politique kronienne a entamé un long et dur rapport de force avec la paix, qui ne saurait être résorbé que par la pacification des institutions kroniennes, fut-elle au prix d’une révolution brutale et permanente.
3451
logo présidence fédéral alguarena

PROJET CONNU DU GRAND PUBLIC ALGUARENO - 8 mai 2010 - Réchauffement des relations entre la Fédération d’Alguarena et la Principauté de Cémétie, la présidente fédérale Mazeri Abrogara souhaiterait l’instauration d’une ligne directe entre les deux présidences.


Une ligne directe entre Alguarena et Cémétie.
La mise en place d’une ligne directe entre Aserjuco et Héraclée, serait un moyen notable pour l’évitement de conflits armés et indirects futurs entre les deux nations.


“Je voudrais pouvoir échanger en direct avec mes homologues cémétéens, sur tous les sujets susceptibles d’opposer nos intérêts…” avait formulé ainsi son souhait la Présidente Fédérale. Pour l’instauration d’une ligne directe entre les deux présidences, alguarena et cémétéenne, offrirait les leçons nécessaires à l’évitement d’une nouvelle confrontation armée indirecte, entre les forces alguarenas et cémétéennes.

En effet, cela permettrait tout d’abord une communication rapide et efficace entre les dirigeants des deux pays, ce qui peut aider à prévenir les malentendus et les escalades de tensions. Des experts et des conseillers ont effectivement supputé l’idée selon laquelle si les présidences cémétéennes et alguarenas avaient pu exprimer leurs attentes mutuelles sur la gestion de crise de la guerre civile varanyenne, elles auraient renoncé, au moins dans un premier temps, au déploiement d’une force armée sur place, pouvant privilégier la diplomatie en temps réel.
Cette ligne téléphonique de président à président aurait donc, si l’on en croit la volonté de la présidente fédérale elle-même, put oeuvrer dans le sens de la paix, en permettant des discussions franches et directes entre les deux pays, pour désamorcer tous les points de discorde susceptibles d’apparaître, là où l’intermédiarisation des relations diplomatiques à travers les ambassades, ralentit les échanges internationaux et génèrent en l'absence de négociations, des points de tension pouvant basculer vers un rapport de force armé.

Empêcher l’escalade de situations conflictuelles générées par un tiers étranger aux deux états (présentement le Varanya), favoriser une communication sans biais pour exposer les intérêts des deux nations sans les voir à travers un tiers, voici les nouvelles ambitions de politique étrangère portées par les opérations de rapprochement diplomatique entre Cémétie et Alguarena. Des ambitions nouvelles et fortes, qui tendraient à dresser un mea culpa autour du conflit varanyen, considérant les pertes humaines et les (nouveaux) foyers de crispations que la guerre civile a généré autour de ce pays (comme en Cémétie).

Échanger pour partager des visions mais également amorcer la confiance, grâce à des discussions sincères, informelles et possiblement spontanés tant cette ligne directe viendrait squizzer les nombreux maillons d’un protocole diplomatique chronophage et susceptible de dénaturer, de forme et de fonds, les propos échangés.

Outre le caractère concret qu’offre une ligne directe entre les deux états souhaitant bâtir une diplomatie, l’existence même de cette ligne offre une symbolique appréciable pour les deux nations, car lorsqu'il y a une ligne de communication ouverte entre les deux présidences, cela montre que les deux parties, ici alguarena et cémétéenne, sont prêtes à travailler ensemble pour résoudre les problèmes, ce qui peut être un premier pas important vers la réconciliation, voire l’évitement des débouchés conflictuels entre forces armées interposées. Dans l'ensemble, la mise en place d'une ligne directe entre ces deux présidences tout particulièrement, considérant les suites de la guerre civile varanyenne, peut être un moyen efficace de réduire les tensions, de prévenir les malentendus et de favoriser la résolution pacifique des problèmes dont la négligence a jusqu’ici laissé, des milliers de morts de parts et d’autres.
5182
Bandeau



DÉPARTEMENT D'INFORMATION PTOLÉMÉEN CHARGÉ DE LA CÉMÉTIE
23/11/2010

Cette communication s'adresse aux journaux cémétéens, ainsi qu'à tous ceux qui décideront de la lire.
Elle vous informe officiellement de toutes les erreurs qui font que ce journal cémétéen est, premièrement, mal informé, et deuxièmement en conséquence, un acteur de la désinformation mondiale.

Leonade Colone, au cours de la dernière élection « centronale » en 2010, n'a pas connu d'opposition à sa réélection.

Léonade Colone, Centron, représentant suprême de la république ptolémaïque, n'a jamais été élu. Ce ne peut donc être une "réélection", d'autant plus que celle-ci n'a pas encore eu lieu, puisque se tenant le 31 décembre de cette année.

alors même que celui-ci compte à son bilan de seulement deux mois une hausse problématique des flux migratoires entre les Sarranides voisins et la Ptolémaïe

Le bilan du Centron est celui de la république ptolémaïque. Et aux dernières nouvelles, chaque pays a des crises. D'autant plus que vous ne vous êtes sûrement pas assez informés au vu de la facilité hypocrite ou ignorante par laquelle vous parlez de cette situation.

Cette absence d'opposition constituée en Ptolémaïe pose la question de l'inexistence d'une alternance démocratique ou même de différentes factions au sein du pouvoir ; en l'état actuel des choses, la République ptolémaïque paraît bien peu préoccupée des enjeux démocratiques, elle qui serait pourtant sur le papier un régime démocratique.

La démocratie, ce n'est pas forcément la tension intérieure et une guerre froide civile interne, comme vous semblez le penser. Notre république est consultativo-démocratico-épistocratique : elle fusionne diversité des idées, professionnalisme, et universalisme. Et si notre république ne vous plaît pas, retournez voir vos concitoyens mourir de faim, comme à leur habitude.
Par ailleurs bien qu'en complément, il n'y a pas de factions en Ptolémaïe simplement parce que celles-ci sont inutiles comme expliqué précédemment. En revanche, les associations sont tout à fait autorisées comme indiquées dans notre législation :
Liberté d'association : garantie (créées et administrées par les citoyens de la république pour les droits et les nécessités qui les concernent (par exemple, les noirs et les blancs ont des besoins différents pour cause de peau et de cheveux) ).
Bien sûr, contrairement au rédacteur de votre journal, les Ptoléméens sont réfléchis et informés. C'est pourquoi ces associations se concrétisent sous forme de groupes de discussion publics via l'Assemblée pour communiquer et agir où qu'ils soient, dans un esprit de solidarité.

Le rôle de l'intelligence artificielle, pourtant une technologie encore mal maîtrisée en Ptolémaïe, est prépondérant pour comprendre le fonctionnement du régime ptolémaïque. Si, à son sommet, le Centron règne sans conteste, les citoyens proposent et débattent par le truchement d'un système numérique - ce qui n'est pas sans poser la question de l'égalité des chances dans l'accès à la « démocratie numérique » ptolémaïque, étant donné la géographie relativement aride et austère de la Ptolémaïe, à l'image de sa voisine la Cémétie.

Les intelligence artificielles ptoléméennes sont très bien maîtrisées, grâce à des partenariats d'enseignement de gestion informatique et numérique. D'autant plus que chaque site et logiciel dispose d'un mode d'emploi compréhensible par tous, qui ne permet pas pour autant de pirater ceux-ci !
Le Centron ne règne pas non plus "sans conteste", ni même ne "règne" finalement. L'expression de votre pensée instaure un paradoxe qui prouve votre incapacité à faire correctement votre travail, sans vouloir vous vexer.
Tous les Ptoléméens peuvent débattre, tant via Emeïs qu'en présentiel (ou les deux !).
Malheureusement pour vous aussi, la Ptolémaïe n'est pas spécialement aride : les dunes du désert de Colonéïe présent sur toute la frontière Sud (ou presque [plus de précisions bientôt]) sont poussées vers le Sud par les vents, reculant chaque année de plusieurs mètres ! Le reste du pays est plutôt fertile. cette différence est due aux grandes et nombreuses montagnes qui alimentent en eau nos rivières.
Pour revenir à votre remarque précédente, tous les Ptoléméens ont accès aux institutions numériques : nous vous rappelons que notre pays possède un sol des plus purs, dû à sa faible exploitation par les communautés nomades pré-ptoléméennes.

L'afflux d'un grand nombre de migrants à la frontière sarranio-ptolémaïque, ces derniers mois, n'a pu que renforcer cette inégalité d'accès au service public et à la démocratie numérique, puisque ces individus dans une grande précarité ont désordonné le bon déroulement du service public dans les zones frontalières.

Aucun service de communication, ptoléméen ou étranger, n'a rapporté ce genre de choses, qui sont de surcroix fausses : nous gérons du mieux qu'il puisse être la ville-camp de Sodane. Nous demandons juste des fonds étrangers pour nous soutenir, sans toutefois être en grande difficulté.

Selon les propos du chercheur, « la présence et l'admission sur le territoire ptolémaïque de groupes paramilitaires est probablement une conséquence directe de l'établissement du régime républicain, qui pour se légitimer dans le cadre de la transition de régime a dû s'appuyer sur ces corps francs qui sont devenus aujourd'hui un boulet attaché au pied de la République qui doit s'accommoder de ces anciens alliés de circonstance ».

Vous inventez des choses qui mérteraient peut-être l'attention des autorités cémétéennes. Nous allons formellement faire un signalement pour abus d'infox et désinformation, auprès de celles-ci. Nous n'avons jamais fait appel à des groupes paramilitaires. L'un a répondu à notre appel d'offres récent, et naturellement, nous l'avons accepté, ce qui ne fait pas de lui un "allié". Comme le stipule l'appel d'offres, ces vétérans ne sont ici chargés que du co-enseignement militaire, en collaboration avec les autorités ptoléméennes. D'autant plus que les modalités de voyage n'ont pas encore été établies, ils ne sont pas en Ptolémaïe en ce moment ! La stabilité intérieure de la république n'est due qu'à sa bonne constitution qui fait d'elle un régime de toutes les pensées.

une société ptolémaïque sécuritairement à bout de souffle, puisque l'armée ptolémaïque seulement composée d'une dizaine de milliers d'hommes est globalement sous-équipée, ce qui contraste beaucoup avec l'aspect militaire du régime et la menace d'ordre asymétrique présente sur le territoire »

La société ptoléméenne ne sera à bout de souffle que morte. Notre force armée n'est pas "composée d'une dizaine de milliers d'hommes". Certes, dix-mille sont déployés en service sur le territoire dont à Sodane, mais si vous vous étiez minimalement renseignés, vous auriez su que vingt-mille sont en ce moment même à l'entraînement, auquel prendront donc part les vétérans officiers de Militaires sans Frontières. Et face à cette situation que l'on peut très clairement qualifier de bonne, du matériel militaire arrive en continu depuis les ateliers de nos fournisseurs étrangers, auxquels nous avons déjà acheté près de 50 000 dollars géokratiens de machines de guerre et de transport !
Pour conclure notre réponse à ce passage, il n'existe aucune menace majeure sur le territoire ptoléméen : les suicides publics du 2 septembre n'étaient pas à proprement parler des attentats, puisqu'ils ne visaient pas physiquement les Ptoléméens, ce qui nous vous le rappelons, a été confirmé par le constact nul de victimes.

Ce journal hellénophone est présent sur le territoire ptolémaïque et, à moins d'interdiction, circule librement depuis les frontières entre la Cémétie et la Ptolémaïe.

La réponse présente qui vous est adressée sera publiée en Ptolémaïe, en contrepartie de votre article de presse désastreux. Ainsi, les Ptoléméens, et les étrangers, pourront constater par eux-mêmes l'application mensongère de la Liberté d'expression cémétéenne, face à laquelle les autorités de Cémétie se couchèrent jusqu'à maintenant.

Les services ptoléméens habilités vont de ce pas signaler votre production aux autorités cémétéennes, desquelles nous attendons un agissement réfléchi quand à votre oeuvre mensongère de désinformation totale.

La république vous salue.
0
Rejoignez le système de notation d'al-Pour pour un enseignement toujours plus performant !

Besoin d'une reconnaissance de votre niveau de langue ? D'avoir des repères pour enseigner aux générations futures ? L'échange de connaissances a toujours été partie prenante de l'avancée scientifique et sociale, alors rejoignez la conférence d'al-Pour !
En tant qu'état souverain, vous pourrez choisir d'adopter le système de notation sur une partie ou la totalité de vos centres éducatifs (collèges, lycées, universités et équivalents), et ferez bénéficier d'une mobilité accrue de vos étudiants. C'est également l'occasion d'avoir une vision globale du niveau des élèves, et de concerter avec des spécialistes à travers le globe.
Vous représentez une université, un lycée, ... ? Avec l'autorisation des autorités compétentes de votre pays, vous pouvez demander à rejoindre le programme et améliorer votre représentation à l'international, aider vos étudiants à voyager à l'étranger ou tout simplement vous appuyer sur un collectif solide !
N'hésitez plus et rejoignez maintenant !
Haut de page