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[RP] Alfan - Vannkilde / Ma' Almanbae

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14/04/2006, Est de Tifuzzel



Les tremblements pouvaient paraître agréables dans un premier temps ou prodiguer de l’indifférence, toutefois après deux heures de piste, le postérieur en prenait un sacré coup.

La route flanquait les parois rocheuses, avec une glissière neuve, des gravats pilés grossièrement, une rigole mi-profonde pour évacuer les eaux du côté intérieur. A l’extérieur, derrière la glissière, une combe se dissimulait en contrebas à quelques mètres par endroits ou à plusieurs dizaines de mètres pour d’autres. Les arbres étaient encore nombreux à cette altitude et il suffisait de regarder vers les hauts pics qui se cachaient dans les nuages gris pour discerner la source de vie de l’Althalj, partout et massive, cette neige et glace prédominante que l’on disait autrefois… éternelle.


Cette nouvelle « route » se réduit du fait de plots oranges alignés pour laisser à des ouvriers tout loisir de continuer la pose du macadam, un rouleaux compresseur, de confection Banairaise, s’attelant à la tâche, le conducteur debout, la moitié du corps à l’extérieur du véhicule pour communiquer efficacement avec ses collègues. La cheffe donnait des instructions, un casque au logo GorillAth sur la tête tandis qu’un ouvrier affichait un panneau de la taille de sa tête indiquant au véhicule de passer.

Se déportant vers l’extérieur, le conducteur roulait prudemment afin d’éviter d’éjecter des cailloux sur les travailleurs.

Le macadam était posé par couches afin d’obtenir une stabilisation de la fondation, sur plusieurs centaines de mètres, les véhicules posaient et aplatissaient et enfin venait la pose du revêtement.
Et ce revêtement pouvait interpeller certains, car celui-ci était une spécificité Althaljir, qui avait été un investissement national de cette dernière décennie.
Non loin de la couleur de l’asphalte classique, il y avait une différence dans sa pose et au niveau de l’odeur. Vous savez cette odeur particulière du goudron. Ici, cette odeur était bien moins présente et interpellait.
L’Althalj utilisait la fibre de basalte, dans la lignée de la nécessité personnelle et Althaljir du respect de l’environnement. Les études de GorillAlth avaient été validées par la Sororité ; le coût de construction et de pose était plus cher, mais ce revêtement disposait d’une résistance plus importante que ses contreparties et par ailleurs l’Althalj ne tirait ainsi pas sur sa production minimale d’hydrocarbures.



Ils ont commencé en amont par le site de construction pour se diriger ensuite vers l’aval. C’est plus facile d’aller vers le bas… Il y a encore un bout de chemin. Vous verrez, ce sera plus agréable lorsqu’ils auront fini la route.


Le conducteur avait un fort accent Althaljir, mais parlait Français avec aisance.
Les experts Lofotèns regardaient avec intérêt les environs et les différences culturelles. Le bus, de marque Jashurienne, datait un peu, mais avait la réputation de durer et d’être de bonne facture. Dans l’Althalj, les véhicules étaient majoritairement du Nazum et du Banairah. Et ceci allait sans doute bientôt changer, car la Maktaba avait investi dans cette industrie dans l’optique de diminuer les émissions nocives et polluantes et trouver des solutions environnementales sur le long terme.

Dans cette Afarée sous développée, l’Althalj trônait avec le % de PIB le plus fort en matière de recherche & développement, aux côtés de l’Eurysienne Carnavale.
La Maktaba avait encore des ambitions d’augmenter les capacités R&D de l’Althalj pour rattraper des retards latents en recherche fondamentale et commerciale, mais surtout dans des domaines niches et d’importance toute relative outre-Althalj : la fibre basaltique, des automobiles moins polluantes, des concepts économico-sociétaux afin d’accompagner la croissance et redistribuer équitablement les fruits du succès de cette région Ouest Afaréenne ou orienter la consommation Althaljir vers une consommation raisonnable, dans les us et coutumes Althaljirs.


Et ici, au sein des montagnes, l’Althalj misait sur la production hydroélectrique.
Il n’était pas question de suréquipement ici, mais bien de la construction d’un nouveau barrage. Les études avaient été concluantes, la région, en aval vers l’Ouest de Tifuzzel, ne serait pas impactée négativement par cette nouvelle rétention.

Ils arrivèrent enfin vers un espace plus large de la route, où de nombreuses machines étaient garées. Des portacabines s’amoncelaient en un petit village, ou peut être tel un fortin postapocalyptique rangé en contrebas d’une masse rocheuse allant d’un pan de la montagne, surplombante et vertigineuse, vers le pan de sa sœur en face. Et en son centre, là où les deux montagnes s’entrelaçaient, les bras s’étaient déliés et un trou béant avait été creusé par un glacier autrefois massif et aujourd’hui disparu.


Le Tayaar Saghir (Alth : تيار صغير) était le nom de ce nouveau site de production hydroélectrique.
Pour les Lofotèns, il ne fut pas surprenant de voir qu'une usine de fabrication de béton avait été construite et brillait encore. De part et d’autre, le terrassement avait commencé et les pelleteuses et camions s’affairaient.









Les familles des experts étaient restées dans la ville principale à trois heures de route de là. Tifuzzel était la grande ville sur les Côtes Brisées.
Le vent séchait, l’humidité de l’océan rafraîchissait et l’herbe rase verte où paissaient les moutons, rappelaient certaines régions du Lofoten.

Dans des maisons récentes, les familles découvraient une société où la femme était omniprésente dans toutes les positions à responsabilités. Toutefois Tifuzzel était bien différente d’Asefsaf la traditionnelle et portait une attention toute particulière au concept de la « plénitude intérieure » ; à travers la religion, à travers la solidarité et l’écologie.

Les familles Lofotènes n’auraient pas accès à des hypermarchés ou aux malls de l’Aleucie, mais aux magasins d’un classicisme régressif avec l’once Afaréenne qui en faisaient les points de rencontre et de discussion des femmes, des hommes, des vieux et des jeunes :

La boulangerie et ses pains et pâtisseries sucrées à la pistache, la boucherie et l’agneau et le mouton ou la chèvre omniprésents,
L’épicier et ses conserves Tryloniennes et Banairaises et les bocaux Althaljirs et Fortunéens,
La lingerie et sa douce senteur locale d’une lessive Althaljir typique d’Asefsaf,
Le magasin de vêtements et les modes Pharoises pour les jeunes et traditionnelles et colorées Althajirs, de même que ses rouleaux de tissus et tapis à ne plus en finir, aux motifs nombreux et travaillés, ou les poteries blanches et bleues et des bijoux en argent à perte de vue,
Les terrasses paisibles ou des restaurants bruyants où les gens se retrouvaient autour d’une télévision à tube cathodique dans le coin en hauteur, diffusant un évènement sportif ou les nouvelles du monde et avec chance le dimanche les dessins animés pour les familles…
Et enfin l'Appel à la prière de la muezzine, qui vous fait frissonner d'humilité, du haut de la belle et ancienne mosquée.

La vie Althaljir était encore simple.



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03/11/2006, Est de Tifuzzel



D'épais nuages de poussières étaient soulevés par les innombrables pelleteuses et bulldozers de l'Althlaj qui avait déployé des moyens impressionnants pour ce chantier titanesque qui l'était tout autant, la plus grande centrale hydro-électrique de toute l'Afarée aux dimensions grandioses, fruit d'un partenariat inédit entre la compagnie Lofotène NorthStream Power, et la société Gorillath.


northstreeampower

Un immense travail avait été accompli depuis les premiers coups de pioche, qui avait été inaugurés par les retiraient le derniers gravats du chantier, qui était très avancé. La retenue était déjà pratiquement achevée, alors que des ouvriers de la Gorillath s'attelaient à installer et à finaliser les raccordements des premières turbines "made in United-Provinces of Lofoten" comme il était inscrit en grandes lettres capitales à la peinture pochoir, rappelant à tous les investissements et capitaux massifs qui avaient été injectés dans ce projet.

La Chancellerie des Provinces-Unies croyait beaucoup au potentiel de développement de cette région d'Afarée, autrefois largement négligée dans le concert des nations, et il fallait réparer cette erreur. Si les investisseurs et autres porteurs de capital privés avaient fait montre d'une certaine forme de réticence et de méfiance à l'égard d'une nation comme l'Althalj, qui certes présentait des gages de stabilité et des signaux économiques faibles tous dans le vert, cela restait l'Afarée, continent de guerre, de pauvreté, et d'instabilité.

Cependant, tous furent rassurés quand le parlement l'Ålthing, débloqua des fonds d'investissements à hauteur de 100 millions de Dråkks, soit à peu près l'équivalent de la moitié du budget de l'entretien de l'armée fédérale, ce qui provoqua par ailleurs un afflux inespéré de capitaux sur ce projet, portée la première compagnie privée de conception et d'exploitation de centrales hydro-électriques, la puissante NorthStreamPower.

ingenieureenchef

L'ingénieure en chef, responsable de la partie motorisation du projet, Agnietta Christenssøn fit par de ses inquiétudes à sa collègue de la Gorillath :

"Je suis préoccupée par les retards de fabrication liée aux alternateurs de génération Thunder, certains des composants spécifiques ne sont produits que par des entreprises jashuriennes, et les tensions croissantes avec la Listonie, ont sérieusement impacté les délais. Sans ces pièces capitales notre barrage ne seront rien d'autre qu'un moulin à eau de luxe.
On a aussi identifié quelques micro-fissures sur le revêtement extérieur de la retenue au point 45B, ils sont en train d'analyser tout cela avec le spectre à ultra-sons, en espérant qu'il ne s'agisse pas d'un défaut de de matière du ciment.
Autrement, il faudra revoir et renforcer toute la structure par des passants d'acier et refaire un façadage. Il nous faut prendre aucun risque dans ce domaine, nous avons appris de nos erreurs, une tragédie qui remonte aux années 70, avec l'effondrement d'un barrage d'altitude qui avait provoqué la mort de 250 personnes"


Toutefois, malgré ces éceuils et potentiels retards, inhérents à tout chantier de cette envergure, le Tayaar Saghir (Alth : تيار صغير) avait déjà fière allure et suscitait déjà l'admiration et l'engouement des populations locales. On parlait volontiers de "cathédrale hydro-électrique", ou de "barrière des géants", bref, on ne manquait pas de superlatifs pour qualifier

barrageeant






Pour le reste, on peut dire que l'Althalj soignait son image et mettait un point d'honneur à satisfaire tous les besoins des familles lofotènes, qui avaient probablement beaucoup plus d'exigences que ne pourraient en avoir les habitants de l'Althlaj en terme de confort et de modernité, mais contrairement aux idées reçues et à ce que laisser présager les très grandes différences culturelles et géographiques, il semblerait contre toute attente que les Lofotènes se soient admirablement acclimatés à la région.

L'environnement des Côtes Brisées disposait en effet d'un micro-climat particulier, moins aride et sec que les Lofotènes n'auraient pu le supposer.
De plus les très nombreux commerces locaux enchantèrent les premiers familles installées là aux frais de la compagnie NorthStream Power, si les intérieurs rappelaient fortement les inspirations nordique,s il n'était pas rare de voir accrochés aux murs des paires de ski ou de raquettes, et quelques traditionnelles tapis en poils de rennes, les nouveaux venus eux avaient adopté les codes vestimentaires du coin, des vêtements aériens, légers mais couvrants tout de même, ils avaient même appris quelques mots Althaljirs pour les usages quotidiens et pratiques, et raffolaient, il faut le dire, de la cuisine locale, radicalement différente de la gastronomie lofotène, essentiellement composée de produits de la mer.

Les Lofotèns étaient majoritairement athées, bien que quelqu'un encore étaient des abbayistes, et pratiquaient le culte des célébrations des anciens dieux du nord. Sinon la communauté protestante se réunissait dans un temple de fortune, en toute discrétion et un peu à l'écart de la ville. Il s'agissait là de la principale différence entre les Althaljirs et les Lofotèns, et la religion étant affaire délicate pouvant susciter incompréhension et dans le pire des cas, défiance, ici ce n'était pas le cas.

La première école Lofoteno-Althaljir vit le jour quelques mois à peine après l'arrivée des premiers Lofotèns, car quand il était apparu que l'installation serait temporaire mais sur le long terme, les experts et autres ingénieurs décidèrent de faire venir leurs enfants, puis leurs conjoints, et ce sont des familles tout entières qui décidèrent d'émigrer. Les adolescents semblaient beaucoup plus à leur aise que leurs aînés pour communiquer en langue Althaljir, pourtant aux antipodes de la grammaire gutturale Lofotène, sans parler de l'écriture et d'une lexicographie qui n'a plus rien à voir avec la langue germano-scandinave.

Puis, comme un processus naturel, s'ensuivit des installations de commerçants issus des Provinces-Unies, d'abord une petite épicerie d'importation de produits lofotèns, dont certains restaient absolument essentiels et indispensables afin d'éviter le mal du pays, ce fut ensuite un restaurant, puis un café, un hôtel pour accueillir les proches en visite ou en vacances, et à eux aussi, il fallait leur fournir des produits et des services. Une boulangerie par ci, une brasserie par là....la communauté compta à la fin de ce mois de novembre 2006 pas moins de 7000 ressortissants des Provinces-Unies, ce qui fit de l'Althalj la première diaspora en Afarée, bien loin devant le Banairah, dont les Lofotèns se concentraient essentiellement sur les plateforme off-shore de forage et d'exploitation pétrolières.
On finit même par parler des "Nouvelles-Provinces-Unies". Toutefois certaines familles furent contraintes à repartir dans la mère patrie, des difficultés d'adaptation furent notées, notamment en matière d'emploi. Chose assez singulière, les "hommes" de la famille eurent beaucoup plus de difficulté à trouver un poste ou une occupation qui ne soit pas déjà détenue par une femme. Plus déconcertant et perturbant pour une société, qui malgré son progressisme en matière d'avancées sociales, demeurait une société masculine, majoritairement dominée par les hommes. Le complexe-militaro-industriel, celui de la finance et de la recherche scientifique, restaient des sanctuaires de masculinité, des "exceptions" culturelles lofotènes où l'homme avait une assise indéniable.
Très difficile donc de comprendre, pour un banquier ou un directeur de recherche, qu'il faille rester à la maison avec les enfants pendant que leurs épouses s'échinaient dans des bureaux d'études.

Dans l'hémisphère sud, pour le moment, seul le Jashuria rivalise avec ses 9000 résidents permanents, mais nul doute que les essaimages portés par un PIB/habitant en constante augmentation et une explosion des investissements étrangers continueront de pousser nombre de ressortissants des Provinces-Unies à s'expatrier toujours plus loin, et toujours plus longtemps.



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Les casques des travailleuses formaient un lac bleu et blanc en aval de l'immense barrage principal du Tayaar Saghir.
La déformation du paysage n'était pas dans la nature Althaljir et il avait fallu de longues décennies de discussions, débats et de communication afin de rassurer quant à l'exception Althaljir et la nécessité de regarder vers un avenir énergétique à travers la puissance délivrée par l'Altilal Almujamada, la vaste Dorsale Glacée.

Les barrages étaient extrêmement nombreux au sein des Tamurt n Althalj, toutefois le Tayaar Saghir était sûrement le projet le plus complexe et abouti de l'ambition Althaljir.
Les évolutions des glaciers en amonts, les études de pluviométries, les calculs de potentiels bouleversements climatiques, les modèles de conceptions, les scénarii de faisabilité, le sourcing de matériaux et d'une supply chain aux standards AG, les impacts écologiques (faune, flore, paysage, structures), le panel de compétences et de moyens mis en oeuvre généraient une preuve à soi même de la nouvelle donne Althaljir sur le marché de l'énergie.


Le Tayaar Saghir est en fait un réseau de barrages sur plusieurs vallées et combes permettant une rétention d'eau graduée et peu invasive en amont au sein de l'Altilal Almujamada.
La production hydroélectrique se fait sur plusieurs niveaux de cette région de la Dorsale Glacée et permet diverses technologies connues et utiles afin de permettre une production d'électricité en continu.

Les différents barrages en amont génèrent de l'électricité qui permet de repomper l'eau retenue dans des bassins et barrages en aval afin de disposer d'une production continue en fonction de l'utilisation en alternance des barrages hydroélectriques. Ce système de "pile" évite par la même occasion les diminutions de production en fonction de l'heure de la journée ou de la force du vent, ne permettant pas à d'autres moyens de productions de fonctionner aux capacités escomptées. Ce système, déployé sur d'autres systèmes Althaljirs plus anciens, combine des équipements et designs novateurs permettant des gains d'efficacités intéressants pour le réseau électrique Althaljir.

A travers la coopération Lofoteno-Althaljir, le Tayaar Saghir était un projet immense, mais qui souhaitait éviter la dévastation d'un environnement de montagne par la recrudescence de bassins et lacs. Les ingénieurs Lofotens avaient participé la conception et à la construction du projet. Le projet Alfan (Projet d'amélioration des équipements hydroélectriques Althalj) de la Maktaba n'arriverait pas à son terme avec la mise en opération du Tayaar Saghir, étant un plan sur le long terme de renouvellement constant d'entretien, de renouvellement et de suréquipement.


Néanmoins l'occasion était belle, car ce projet, en parallèle d'Alfan, avait étonné par sa section en aval, attachée au barrage principal du Tayaar Saghir.
Lié au projet Jaman (Projet de construction/amélioration de quatre aéroports au standards internationaux, Icemlet, Acilmun, Asefsaf, Ifilku) de la Maktaba, des pipelines, neufs et enfouis, sillonnaient les terrains difficiles de l'Althalj pour rejoindre le Tayaar Saghir où la première centrale de production intégrée d'hydrogène voyait le jour.
Une partie de la production hydroélectrique qui n'était pas stockée à travers le système de "pile" ou qui n'était pas distribuée sur le réseau électrique Althaljir permettait la production par électrolyse du nouveau pari de la Maktaba : l'hydrogène.
Cette production, encore inefficace sous bien des aspects, devait permettre une première source fiable pour les besoins Althaljirs en attendant de trouver une percée majeure dans le secteur. Les R&P Althaljirs travaillaient d'arrache pied afin de permettre une production d'hydrogène utilisant moins d'énergie, peu voir non polluante et permettant des volumes suffisants et constants. Le Tayaar Saghir ne pourrait soutenir une production nationale à lui seul, toutefois nous étions à une première production intégrée et d'importance mondiale.


Les Tamurt n Althalj savaient cet investissement hautement risqué. L'hydrogène pouvait à tout moment devenir une énergie obsolète ou trop chère et c'est dans un contexte très... Althaljir que l'ensemble des secteurs technologiques se mobilisaient afin de rentabiliser cette voie nouvelle.
  • AlthaljAir regardait vers de nouvelles conceptions dans l'aviation civile ne pouvant stocker l'hydrogène dans les ailes, comme dans les standards actuels.
  • Alther poussait dans la direction de la pile à combustible, faisant face à la difficulté majeure de devoir utiliser des matériaux rares et des sources et procédés éloignés des standards AG.
  • La Force Matriarcale Ilahmique souhaitait limiter la dépense aux hydrocarbures conventionnels pour ses équipements et permettre une autonomie militaire et sécuritaire.
  • Les Althaljirs estimaient ce projet primordial à la fierté nationale et à la plénitude intérieure, de ce sentiment d'avoir eu un impact positif sur le territoire nationale et environant.


Enfin la dernière facette du Tayaar Saghir était le déversement progressif ou lors de trop plein dans les nappes phréatiques Sahrannes.
Le projet du Grand Aqueduc de l'Afarée de l'Ouest était en négociation avec les Territoires Libres Sahrannes, mais aussi avec les pays frontaliers.
En effet, l'Altilal Almujamada était une bénédiction régionale et l'Althaljisme nouveau ne pouvait pas escompter une utilisation Althaljir seule.
Les relevés hydriques au sein de l'Althalj rentraient dans le classement des sports nationaux et permettaient un aperçu général des quantités et volumes transférables au sein des vastes rivières souterraines du Sahra. L'altruisme était moteur de la plénitude personnelle et/ou Ilahmique.


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