02/06/2013
12:54:36
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[CIRASH] Enquête mondiale sur les langues, cultures et religions

Enquête mondiale sur les langues, cultures et religions
CIRASH

Les géographes et ethnologues kaulthiques du CIRASH ont initié le 15 mai 2007 une ORC (Opération de Recherche Congressionnelle) dont l'objectif est la création d'une carte ethnolinguisitique et religieuse du monde.

Il est donc demandé aux Etats ou autres organisations qui le souhaitent de publier ci-dessous un rapport sur les cultures, les langues et les religions présentes sur leur territoire.

Les informations nécessaires sont :

  • Les cultures (ou groupes ethnolinguistiques) du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ? (exemple dans la Confédération kaulthique : il y a des Kaulthes (germaniques) et des Sapythes (slaves))

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ? Sur quels territoires sont-elles majoritaires ? (exemple dans la CK : la CK est principalement peuplée de Kaulthes, sauf la région du Säptar, au Sud-Est, qui est peuplée de Sapythes)

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ? (Les Kaulthes possèdent la quasi-totalité des fonctions de pouvoir.)

  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique : germanique, francien, anglo-saxon, chinois, sémitique...) ? (emple de la CK : le Kaulthe, une langue germanique, est parlé sur toute la partie peuplée par les Kaulthes. Le Sapythe, une langue slave, est parlée par les Sapythes).

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?(exemple dans la CK : la partie kaulthe parle kaulthe, la partie sapythe parle sapythe.)

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ? (exemple CK : le Kaulthe est la langue d'Etat, le Sapythe est reconnu par l'Etat.)

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ? (exemple CK : les Kaulthes parlent bien le Walserreichien, qui ne diffèrent pas beaucoup de leur langue natale, et parlent aussi le Latin pour la diplomatie internationale.)

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ? (exemple CK : il y a de nombreux dialectes kaulthes (le Kaulthe classique en Kaulthie, le Wassenbergeois au Wassenberg, le Höngarais à l'Est du Höngar, le Widger sur tout le Widgen...), et les Kaulthes ne se comprennent pas toujours totalement d'une région à une autre.)

  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ? (exemple CK : la CK est très majoritairement catholique impériale, une branche de la chrétienté ayant cédé avec le catholicisme classique, et suivant l'Eglise catholique impériale.)

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ? (exemple CK : le Catholicisme impérial s'étend assez uniformément sur le territoire kaulthique, excepté au Säptar ou l'orthodoxisme est légèrement plus présent.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.

    N'hésitez pas à rajouter autant d'informations que vous le voudrez, et même de mettre des liens vers des posts qui traitent déjà plus ou moins ces questions.
    République du Vogimska

    Données datant du 18 mai 2007.


    Les cultures du territoire :

    Le Vogimska est principalement peuplé de vogimskans (92.7%). Il existe des minorités prodnoviennes (2.8%), lutharoviennes (1.9%), pharoises (1.7%) et autres (0.9%).

    Les minorités sont généralement intégrées à la population, et ne s'isolent pas du reste du peuple, à l'exception de la petite ville de Gdyorigorod, une ville située à la frontière prodnovienne peuplée de 2420 habitants, à 98% de prodnoviens. Les pharois et lutharoviens sont relativement présents dans le nord du pays.

    Les vogimskans sont dominants au Vogimska.

    Les langues présentes sur le territoire :

    La plupart des immigrants slaves (prodnoviens, lutharoviens, ...) parlent le Russe Vogimskan, en raison de la proximité linguistique entre les peuples slaves. Les pharois du Vogimska ont généralement plus de mal avec le Russe Vogimskan, seulement 16% d'entre eux peuvent communiquer couramment avec les vogimskans.

    Géographiquement, la majeure partie du pays parle le Russe Vogimskan, à l'exception de Gdyorigorod qui parle majoritairement Prodnovien. Les habitants de la région du Gordyp (à l'exception de Mostrigrad qui parle à 74% uniquement le Russe) sont pour l'écrasante majorité bilingues, le Vieux Vogimskan étant encore enseigné dans les écoles de cette région, même pendant l'ère communiste.

    Les langues officielles sont le Russe Vogimskan, et le Vieux Vogimskan depuis 2005. Le Prodnovien et le Lutharovien sont reconnus.

    Les vogimskans se débrouillent généralement bien en Prodnovien et en Lutharovien, en raison de la proximité linguistique. 9.1% des vogimskans prétendent parler couramment une langue étrangère autre que le Lutharovien et le Prodnovien, avec en majorité le Français (4.6%), le Pharois (2.4%) et le Walserreichien (2.1%).

    La seule langue qualifiable de dialecte au Vogimska est le Vieux Vogimskan, qui est parlée au Gordyp.

    Les religions présentes sur le territoire :

    L'athéisme est majoritairement présent au Vogimska (61.2%), un héritage du passé communiste du pays. La plupart des religieux sont de confession orthodoxe.

    Il n'y a pas de religion d'Etat au Vogimska, cependant les seuls lieux de culte autorisés sont les églises orthodoxes, qui sont majoritaires, ainsi que les églises catholiques et protestanes. Aucunes persécutions religieuses ne sont à déplorer, du moins pas officiellement.
    Communauté d’Izcalie


  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • L'Izcalie est un pays multiethnique, fondée par des colons eurysiens installés depuis le XVe siècle et d’immigrations successives jusqu’à aujourd’hui. L’Institut Izcalie des Statistiques distingue cependant quatre groupes ethniques : les individus issus de la colonisation ancienne (parmi lesquels les autochtones amérindiens, les eurysiens, les hispaniques et les noirs afarées), ceux issus des vagues d’immigration plus récentes (en provenance des pays non cités précédemment), les métis et les individus d’origine inconnue. Plus d’informations à ce sujet

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • La répartition de ces groupes ethniques est plutôt uniforme sur l’ensemble du territoire. Néanmoins, les populations autochtones occupent plus significativement les terres intérieures et montagneuses de l’Izcalie. Le Nord-est de l’Izcalie est également réputé comme étant davantage de souche eurysienne blanche.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • L’Izcalie est le fruit d’une colonisation eurysienne qui a échoué, en ce sens où les institutions n’ont pas concrétisé sa domination culturelle sur le territoire national. Le pays est multiculturel même si linguistiquement et institutionnellement l’influence eurysienne est sans équivoque. Mais la culture izcalie n’en reste pas moins très syncrétique. De manière générale, l’Etat insiste peu sur l’idée d’une identité culturelle collective : les Izcaliens sont unis par un projet commun plutôt que par une quelconque identité culturelle. Le système izcale est à ce titre très individualiste.



  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement
    • Le français s’est imposé à l’ensemble de la population, l’espagnol est également parlé localement. Enfin, le nahuatl (langue aztèque) est quant à lui encore parlé par la communauté autochtone.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Le français est parlé de manière quasiment uniforme sur le territoire izcale, le nahuatl recoupe la région à forte population autochtone (dans les régions montagneuses). L’espagnol est enfin parlé principalement tout au sud du pays, dans des régions géographiquement proches de l’Alguarena.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat
    • Aucune langue n’est réellement reconnue par l’Etat, au sens où la Constitution n’en mentionne aucune. Mais de facto, le français est la langue officielle, à l’instar de l’espagnol et du nahuatl car ce sont les seules langues dans lesquelles les actes administratifs sont traduits.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    • Pas de différence par rapport à leur langue usuelle.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • (Note HRP : Pas encore défini. Je comptais d’ailleurs faire un article sur les différents accents et parlers locaux, à l’image de la véloxie de Témolin, qui désigne le débit de parole très rapide des habitants de cette région.


  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • Le pays est à majorité irréligieux (47.74 %). Les communautés religieuses les plus importantes sont les catholiques (18.16 % de la population izcale), les protestants (17 %), les téotlistes (religion issue de la mythologie aztèque IRL, à hauteur de 8.95 %) et d’autres religions plus mineures (orthodoxie pratiquée par la communauté novigradienne, islam, judaïsme).

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • Carte détaillée et interactive des religions par district
      Catholicisme plutôt présent au nord-ouest, protestantisme au nord-est, téotlisme dans les régions montagneuses.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)
    • 47.74 % d’Izcales dits irreligieux (athées ou agnostiques).


    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.

    • Non, l’Etat est laïc et garantit la liberté religieuse totale. Dans certaines rares localités très fermées et unies par la même croyance, les autres croyants peuvent faire l’objet d’un rejet, à l’instar des Îles Sabène, au nord-est de l’Izcalie, qui est un reliquat calviniste rigoriste.
    Pharois Syndikaali


  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • Le Syndikaali appartient à la sphère culturelle albienne, regroupant les anciennes nations qui composaient autrefois le Royaume d'Albi : Pharois, Norstalkien, Genevier et Finnevalta. La culture pharoise correspond à la partie nord-est de la péninsule. S'il est acquis que les pharois ont à une époque composé une ethnie à part, celle-ci s'est largement diluée au sein des autres groupes albiens tout au long de l'histoire. La proximité avec l'ancienne capitale, Albigärk, a largement contribué à cette homogénéisation. Toutefois, séparés par le marécage de Suo, la côte nord a longtemps fait figure d'exception dans le paysage albien comme un repaire de pirates et d'aventuriers. A la chute de la Couronne d'Albi, avec la séparation des autres nations et l'indépendance de la capitale, c'est la culture de la côte nord qui est devenue hégémonique au Pharois, servant de contre-modèle à la monarchie et parce qu'une grande partie des révolutionnaire y avaient leurs bastions.

      Un deuxième groupe culturel existe au Syndikaali, c'est celui des "bûcherons" c'est à dire les habitants qui occupent l'intérieur des terres et coexistaient avec les cultures cotières pharoises. Les bûcherons forment encore aujourd'hui une population marginalisée et très minoritaire, rassemblant quelques dizaines de milliers d'individus. Si elle fit pendant des siècles l'objet de discriminations et de méfiance, des projets de désenclavement sont aujourd'hui à l'oeuvre au Syndikaali.

      La région du Détroit, qui accueille des commerçants et marins venus du monde entier, est tout à fait multiculturelle et cosmopolite. Les voyageurs de tous les pays s'y croisent et font des affaires, reprennent des forces avant de reprendre la mer. Les gouvernements locaux l'ont bien compris et mettent cette diversité en avant comme une richesse.

      Enfin, le Syndikaali a récemment accueillit plusieurs vagues de migrations. Des réfugiés francisquiens tout d'abord, puis un nombre important de citoyens de l'Empire Listoniens lors de l'intégration de la Caprice Coast au territoire pharois. Ces derniers représentent aujourd'hui un dixième de la population, bien que n'étant pas composés uniquement de listoniens métropolitains (la Caprice Coast étant un territoire culturellement proche d'autres régions pharoises), le choc culturel n'est pas toujours significatif.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • Les bûcherons se trouvent dans le marécage de Suo.
      Les Francisquiens se concentrent tendanciellement à Helmi.
      Les ex-listoniens plutôt dans le Détroit, zone commerçante et cosmopolite.

      La culture pharoise, issue des Pharois de la côte nord, est aujourd'hui dominante par rapport à la culture albienne qui s'impose toutefois encore à Albigärk et Kanavaporti.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • Le Syndikaali fonctionne de manière fédérale, certains territoires bénéficiant de grands degrés d'autonomie, il n'y a donc presque pas de politique d'homogénéisation culturelle, chacun étant libre de s'installer dans des régions correspondant à son tempérament. La culture insulaire pharoise reste toutefois factuellement dominante et influence largement les institutions du pays, ce qui a pour effet de la diffuser.



  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement
    • Le nouveau pharois est la langue veiculaire du Syndikaali.
      Les autres langues sont tolérées voire institutionnalisées dans certaines régions spécifiques. Le Syndikaali travaille également à préserver des liens avec les langues sœurs : Norstalkien, Finnevaltai et Genevois, chacune étant très proches des autres, une intercompréhension est toujours possible à minima.

      Chaque vague d'immigration a apporté sa propre langue avec elle. Si le Nouveau Pharois reste un prérequis pour les démarches administratives, les écoles privées et le système horizontale de libre associations en coopératives permets aux migrants de ne pas être trop handicapés par les questions linguistiques.

      Le vieux Pharois reste encore traditionnellement parlé dans certaines communauté de pêcheurs et des phalanstères côtiers ayant décidés de vivre en autonomie.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Le nouveau pharois s'impose sur tout le territoire.
      Le vieux pharois se retrouve plutôt sur la côte nord du pays.
      Le Norstalkien est présent sur la frontière ouest.
      Le Listonien est langue officielle dans le Détroit, à la Caprice Coast et à Porto Mundo.
      Des quartiers d'Helmi ont adopté le francisquien.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat
    • La langue officielle est le Nouveau Pharois.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    • La plupart des habitants du Syndikaali maîtrisent le finnois et certains le suédois dans les régions cosmopolites et multiculturelles des villes du Détroit.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • La langue des bûcherons, bien que non reconnue, reste pratiquée dans le marécage de Suo. Elle est relativement proche de l'ancien pharois quoique la compréhension puisse s'avérer compliquée si celui qui la parle ne fait pas d'effort en ce sens.


  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • Les religions pharoies ont fait l'objet d'un article dans le Journal de Pharot. Un athéisme/agonosticime superstitieux y est majoritaire, suivi du culte abyssale, une religion païenne et folklorique locale, suivie des religions du groupe chrétien et enfin, plus minoritaires, musulmans.

      L'église abyssale dispose d'un ministère au sein du gouvernement pharois. Il n'est toutefois pas une religion d'Etat, son existence étant dû à des arrangements politiques désormais anachroniques datant du dernier siècle.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • Les religions du groupe chrétien sont majoritairement présentes sur la côte sud du fait de la présence d'Albigärk, la capitale de la royauté albienne qui s'était tourné vers l'Eurysie a son apogée et ses croyances, au point d'en faire une religion d'Etat.
      Le culte abyssale est présent sur la côte nord, dans les communautés isolées et sur la pointe.
      Le catholicisme est toutefois fortement présent dans le Détroit du fait des communautés listoniennes qui y habitent.
      Enfin, l'orthodoxie a ses entrées à Helmi grâce à la diaspora francisquienne.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)
    • Athées : 22%
      Agnostiques : 35%
      Abyssaux : 15%
      Catholiques : 6%
      Protestants : 7%
      Orthodoxes : 2%
      Musulmans : 5%
      Autres : 8%


    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.

    • L'Etat est laïc et assez blasphémateur. De manière générale les Pharois respectent assez peu les religions qu'ils ont tendance à moquer et tourner en dérision, au grand damne des croyants. Ce tempérament remontrait entre autre à la révolution de 1830 ayant soulevé les républicains contre une couronne de droit divin, mais également des traditions pirates qui ont pendant des années razzié les côtes où se trouvaient des monastères et églises particulièrement riches. Par opportunisme, les Pharois sont donc souvent moins croyants que superstitieux.
    Novigrad


  • Les cultures du territoire :

  • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

  • Le territoire novigradien est une synthèse du multiculturalisme présent depuis plus d’un millénaire dans la région. Véritable point de passage des vagues migratoires historiques des slaves, le territoire est donc le fruit d’une longue histoire autour du métissage et des déplacements de populations. Aujourd’hui le peuple novigradien contemporain semble être un mélange entre les ethnies helléniques originelles et les envahisseurs slaves qui s’installèrent dans la région au cours du haut-moyen-âge.

    L’ethnie « Novi » représente le principal groupe culturel ethnique du pays, historiquement elle est le résultat du métissage entre les envahisseurs varègues de Vlad le Sang-Mêlé et les citoyens helléniques qui peuplaient le territoire depuis le néolithique. C’est une population fière et naturellement très ouverte sur le monde, elle constitue l’ethnie la plus prospère du pays. (HRP : Inspiration « Bulgare »)

    L’ethnie « Salvin » représente le second groupe culturel ethnique du pays, historiquement elle est issue d’une vague migratoire apparue sur le territoire au cœur de l’antiquité autour de -570 avant notre ère. C’est une population laborieuse et productive qui constitue en majorité les classes ouvrières du pays. (HRP : Inspiration « Serbo-Croate »)

    L’ethnie « Ouroul » représente le troisième groupe culturel ethnique du pays, historiquement elle est le résultat des premières vagues migratoires des slaves du nord. Selon la légende, les Ourouls sont les descendants des guerriers varègues qui s’installèrent dans les montagnes de l’Ourak en prévision de l’invasion du territoire novirien. C’est une population très rude et résiliente au tempérament historiquement conflictuel envers le pouvoir en place. C’est l’ethnie la plus pauvre du pays et celle qui constitue majoritairement les rangs de l’armée fédérale. (HRP : Inspiration « Ukrainien »)

    L’ethnie « Kopt » représente le quatrième groupe culturel ethnique du pays, historiquement elle est l’ethnie qui fut la moins impactée par les invasions migratoires. Sa proximité avec les populations rémiennes fut très importante dans son développement permettant une forme de syncrétisme culturel avec le peuple de Théodosine. C’est l’ethnie la plus minoritaire du pays et pourtant c’est celle qu’on retrouve le plus dans les cercles intellectuels et artistiques novigradiens. (HRP : Inspiration « Grecque continental »)

    Bien évidemment, le territoire accueille aussi une minorité issue de la Slovanie qui était autrefois une province novigradienne. Celle-ci est très proche culturellement des Salvins qu’ils considèrent comme des cousins. (HRP : Inspiration « Slovène »)

  • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

  • L’éparpillement des groupes culturels sur le territoire novigradien est le fruit d’une politique de déplacement des populations qui fut réalisée sous le régime soviétique au début du XXème siècle. L’objectif gouvernemental était alors clairement de renforcer l’unité de la nation en combattant les sentiments régionalistes. Néanmoins on peut sans trop prendre de risque se dire que les ethnies se trouvent majoritairement autour de leur foyer géographique historique.

    Le foyer historique des Novis est donc la province fédérale de Novir, celui des Salvins est la province fédérale de Sova, celui des Ourouls est la province fédérale de l’Ourak, enfin, celui des Kopts est la province fédérale d’Elassa.

  • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

  • Malgré une politique d’inclusion menée depuis près de deux siècles, la culture dominante reste de loin celle de la principale ethnie du pays : les Novis. Ces derniers composent majoritairement la classe politique à l’échelon fédéral.


  • Les langues présentes sur le territoire :

  • Quelles langues sont parlées quotidiennement

  • La population novigradienne est tout particulièrement multilingue, il est courant que les novigradiens parlent au minimum trois langues. Cet attrait polyglotte permet une forme d’union culturelle inter-ethnique qui maintien la cohésion sociale dans le pays. La langue « Novi » (Bulgare) est la langue administrative de la nation, c’est celle qui occupe la scène nationale et qui est inculquée en priorité aux jeunes novigradiens. Toutefois les langues régionales sont reconnues et utilisées par les différents gouvernements provinciaux ainsi que par les médias locaux.

  • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?

  • Le Novirien (Bulgare) est de partout sur le territoire et surtout dans la province de Novir.
    Le Salvin (Serbe) est surtout dans la province de Sova.
    Le Varègue (Ukrainien) est surtout dans la province de l’Ourak.
    Le Rémien (Grec moderne) est surtout dans la province d’Elassa.

  • Quelle est la langue officielle de l'Etat :

  • La langue nationale est le Novirien (Bulgare).

  • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?

  • La plupart des citoyens pratiquent au minimum trois langues. La langue bulgare, la langue attachée à leur groupe culturel et au moins une langue étrangère. (Généralement : Russe, Italien ou Allemand)


  • Les religions présentes sur le territoire :
  • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?

  • Historiquement le Novigrad est un pays très attaché à la chrétienté orthodoxe de Théodosine. Néanmoins sous l’impulsion des influences étrangères, on remarque une diaspora religieuse très territoriale notamment à l’Ouest principalement catholique. L’athéisme progresse néanmoins grâce à l’héritage soviétique encore fortement présent dans les mémoires novigradiennes. Il existe aussi une minorité juive implantée depuis des siècles dans la province d’Elassa.

  • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?

  • Christianisme Orthodoxe : 38%
    Athéisme et Agnosticisme : 35%
    Christianisme Catholique : 15%
    Christianisme Réformé : 8%
    Judaïsme : 3%
    Paganisme : 1%


  • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

  • Novigrad est un état laïc où la liberté de culte est en vigueur.
    Rapport sur la répartition des groupes culturels
    Institut National de l'Information Publique - juin 2007

    Gallouèse

    À la demande des chercheurs en ethnologie et en linguistique du Congrès International des Recherches Archéologiques, Spatiales et Humaines (C.I.R.A.S.H.), et sous l'impulsion de l'Institut National de l'information Publique (I.N.I.P.) gallèsant, nous, chercheurs à l'Université de Vallètez, proposons le rapport suivant, afin d'aider à nos éminents collègues dans leur recherches. Nous leur souhaitons par la même bien du courage.


  • Les cultures du territoire :

  • Introduction : le Duché de Gallouèse est un Etat descendant en ligne directe de l'Empire Francien, et il regroupe ainsi différentes cultures franciennes e bretonnantes, comme ses voisins. Pour citer notre Dictionnaire Culturel (2006 - éditions LUC) :
    La Gallouèse se situe à un carrefour culturel; ou plutôt englobe plus de terres qu'elle ne le devrait. Il y a quatre aires culturelles majeures : la gallouèse, le françisc pour les plus importants, ainsi que le brezhoneg ou est-nostrie et le Réthairie. Notons que ces peuplades sont aujourd'hui largement gallinisées, créant une culture gallèsante.

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • La culture la plus présente en Gallouèse est la culture gallèse, à mi-chemin entre la culture francienne et la culture bretonnante, qui sont également présente sur le territoire. C'est la culture gallèse qui est le berceau du pays, tandis que les deux autres, plus périphériques, ont souvent réclamées leur indépendance. Ajoutons que le "rapport des forces" entre ces deux cultures minoritaire n'est pas égal : la culture bretonnante est très minoritaire, tandis que la culture francienne est très importante dans le pays. Enfin, un sous-groupe culturel de la culture gallèse aspire à être reconnu comme une culture à part entière : le groupe réthairien.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • La culture gallèse est celle du centre du pays, autour de trois aires sous-culturelles principales : Ligert, Nonques et Holéons. La culture Réthairienne domine la région rurale de Poifflins. La culture Bretonnante, ou Est-nostrienne, influence les côtes frontalières du Nord-Ouest. Enfin, la culture francienne, outre les quelques cas isolés tout le long des frontières, se concentre dans la région de Valteuse, où elle est représentée par la culture françisc.
      carte approximative des aires culturelles en Gallouèse

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • Malgré une tentative de fédéralisation de l'Etat au cours du XXème siècle, le Duché de Gallouèse est un pays centralisé sur la culture gallèse; la famille ducale est gallèse, les institutions nationales sont localisées à Ligert, etc. (Cependant, il convient de notifier que le pays s'est ouvert à la culture francienne : la noblesse n'est plus réservée aux galllèse, le français est reconnu par l'État, et des membres du gouvernement sont francien)


  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique : germanique, francien, anglo-saxon, chinois, sémitique...) ?
    • L'INIP rescence trois aires linguistiques : le français, le gallo et le brzonèq, correspondant aux trois aires culturelles. Le français et le gallo sont des langues d'oïl parlées dans l'Empire Francien; et le brzonèq (ou brezhoneg, parfois connu sous le nom de "breton") est une langue celtique, issue de la péninsule nostrienne.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Historiquement, les régions gallèsantes parlaient les différents dialectes de la langue gallèse, les françisc parlaient le francien, et une vaste région de l'ouest du pays, correspondant au Duché de Sofîrnie parlait le brzonèq. De nos jour, le gallo ligérien s'est largement répandu sur tout le territoire, en sofîrnie, en réthairie, et autres. La frontière linguistique gallo-bretonnante a reculé vers la frontière nostrienne. Le francien a évolué vers le français, et défend sa place de langue majoritaire en françisc.
      Néanmoins, le gallo se diffuse largement dans tout le pays, et les locuteurs natifs des autres langues de gallouèse doivent suivre un enseignement gallo à partir de 8 ans.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ?
    • La seule langue officielle du Duché de Gallouèse est le gallo. Le pays reconnaît également le français, ainsi que l'espéranto depuis 2000 (bien que la langue ne soit pas utilisée dans le pays. La question de la reconnaissance du brzonèq est en débat depuis 2006

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?
    • Les locuteurs du gallo parlent souvent le français, pour mieux communiquer au sein de leur pays mais aussi à l'international. Les francophones apprennent quant à eux le gallo, l'usage de leur langue maternelle leur suffit à l'étranger. L'apprentissage de l'espagnol et de l'anglais étant proposé par l'enseignement public, un nombre conséquent de gallèsants savent s'exprimer dans ces langues et les comprendre.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • L'intégralité des locuteurs gallo sont concentrés en gallouèse, les gallo de gallouèse parlaient donc des dialectes variés, dont deux ont survécus : le gallo ligérien et le gallo réthairien.
      Le breton parlé en gallouèse diffère légèrement de celui parlé en Nostrie.


  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • Une grande majorité des gallèsants sont chrétiens, parmis lesquels la plupart sont fidèle à l'Église Catholique. Une part non négligeable de Protestants, calvinistes et luthériens, sont présents sur le territoire. Une partie des croyants du pays constituent des minorités juives et musulmanes.
      Mais une partie croissante de la population, quoiqu'encore largement minoritaire, est aujourd'hui athée.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • Il n'y a pas de répartition géographique notables, si ce n'est que les campagnes sont exclusivement catholiques, et que les minorités religieuse se regroupent donc dans les villes.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    • La population est encore majoritairement religieuse, mais du fait de la dictature qui régissait le pays entre 1952 et 1988 en partie avec le soutient de l'Église, l'athéisme est croissant dans les villes du centre (autour de 15% de la population).

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?
    • L'État gallèsant est partiellement laïque : le institutions qui détiennent le pouvoir sont laïques, mais la famille ducale, à la tête de l'État, et de ce fait la noblesse, sont catholique; de plus le catholicisme a le statut de "religion de la majorité des gallèsants".



    Dr Didier Locaresme, professeur de "cultures et civilisation francienne", Université de Montlouatre, Valteuse
    Joseph Monnay, professeur de "ethnologie et ethnographie eurysienne", Université de Montlouatre, Valteuse
    Michal Tergoret, linguiste agrégé de l'INIP

    Merci au Dr Jean Roux, docteur en Anthropologie des religions, pour son aimable contribution.

    logotype des université de Valteuse
    Rapport officiel de l'assemblée des espadas:

    Ce rapport a pour objectif de permettre d'avoir au monde une meilleure connaissance de la République de Alsamen

    Les cultures du territoire:

    Le Rokario est peuplé majoritairement par les rokariens (75%) qui sont les descendants des colons arrivés au 18 éme siècle ils vivent à l'est du pays, d'autre part on trouve les lusitaniens (20%) issus de l'immigration du XIX éme siècle qui sont à l'ouest et ils vivent principalement dans la zone montagneuse.
    Et enfin on trouve le peuple Sace (5%) qui sont les descendants des indigènes, qui résident au NGL.
    Cette présence de seulement 3 ethnies s'explique par l'isolement du pays qui est encore appliqué aujourd'hui.

    Drapeau

    Les langues présentes sur le territoire:

    L'Asghartien est la langue parlée majoritairement, elle est reconnue comme la langue sacrée des textes de Alsamen, par conséquent elle fut inculquée de force à tous les habitants avec ou sans consentement.
    Néanmoins la République tolère le dialecte Sace dans la zone du NGL du fait de son statut spécial de zone protégée.
    Donc environ seulement 5 % parle le Sace, on remarque aussi la présence de l'anglais qui est parlé couramment par 15% de la population en langue secondaire parmi les rokariens, et le lusitanien a pratiquement disparut, résultant des politiques d'assimilation, et la volonté de créer une Nation unie dans le culte de Alsamen et donc par la langue de l'asghartien.

    Les religions présentes sur le territoire:

    Ici il n'y a pas de place pour d'autres croyances, seulement le culte de Alsamen, l'aigle de la justice et de la morale domine, les autres cultes sont interdits en principe.
    Néanmoins les renseignements internes ont repérés d'autres cultes, notamment Yaldaboth qui est vénéré par une partie minoritaire des lusitaniens, qu'on estime à 4,3 de la population.
    Alsamen est la religion d'Etat, les autres formes sont en principes combattus, mais la religion exige la tolérance donc en principe il n'y aura pas de problème, sauf si il y a des actions pour répandre une croyance autre que Alsamen sur le territoire.
    République Socialiste Fédérative de Lutharovie



    Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    La Lutharovie est assez uniforme culturellement. Ainsi, le groupe culturel Lutharovien est largement majoritaire sur l'ensemble du pays.
    Il existe une minorité non négligeable de Pharois, pour la plupart des travailleurs immigrés venus en Lutharovie depuis que le Pavel Gosslov a commencé à coopérer avec le Pharois.
    Des minorités Prodnoviennes et Vogimskanes sont aussi présentes sur le territoire Lutharovien.
    Il existe aussi quelques différences culturelles chez les Lutharoviens des montagnes par rapport à la plupart des Lutharoviens ne vivant pas dans les montagnes.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    Les Lutharoviens sont majoritaires dans toute la Lutharovie. Les Pharois quant à eux, se concentrent à Merengrad, tandis que les Prodnoviens et les Vogimskans sont présents dans certaines grandes villes, à l'Est du pays, comme St-Pavelsburg ou Suvolka.

    • Quelle est la culture de l'État et/ou la culture dominante ?
    Bien que la Lutharovie soit une fédération, et que l'État est tolérant envers les minorités culturelles, la culture "officielle" du pays est la culture Lutharovienne.



    Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement ?
    La langue la plus parlée en Lutharovie est le Lutharovien, aussi appelé le Russe Lutharovien, proche du Prodnovien ou du Vogimskan. La langue Pharoise est parlée dans certains quartiers de Merengrad.

    • Quelle est la langue officielle de l'État?
    La langue officielle de l'État est le Lutharovien.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    Les Lutharoviens se débrouillent en Vogimskan et en Prodnovien. Certains Lutharoviens parlent couramment le Pharois afin de faciliter le contact et les échanges avec les Pharois.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    Il n'existe pas de dialecte à proprement parler en Lutharovie, mais il y a quelques différences linguistiques liés aux zones géographiques de la Lutharovie : les Lutharoviens des montagnes ont un accent typique, des sonorités et quelques mots différents par rapport aux Lutharoviens du Sud-Ouest par exemple, qui ont un accent propre à eux aussi.



    Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Églises ou institutions religieuses sont présentes ?
    La Lutharovie est un pays historiquement orthodoxe. Encore aujourd'hui, le christianisme orthodoxe est la religion majoritaire en Lutharovie, bien que la majorité de la population Lutharovienne ait embrassé l'athéisme depuis le début du XXème siècle en parallèle de la montée du communisme en Lutharovie. Certains Lutharoviens prétendent aussi être athées pour s'attirer les faveurs du Parti Communiste, alors qu'ils sont croyants. Des minorités protestantes et catholiques sont aussi présentes, bien qu'elles soient discrètes. La première juridiction de l'Église orthodoxe en Lutharovie est le Patriarcat de Pravalna.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    L'orthodoxisme est présent sur tout le territoire Lutharovien et laisse peu de place aux autres religions. La communauté catholique se concentre au Sud-Ouest du pays, tandis que la communauté protestante est éparpillée un peu partout en Lutharovie.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    Il y a 49 % d'irreligieux en Lutharovie (44 % d'athées, 5 % d'agnostiques)

    • L'État a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses?
    L'État Lutharovien est athée. Il restreint donc toutes les religions au profit de l'athéisme. Cependant, l'orthodoxisme garde tout de même une grande place dans la société. Il existait, durant la présidence de Gyugo Gosslov et au début de celle de son fils Vladimir Gosslov (soit des années 1920 aux années 1950 environ), une répression - parfois féroce - des religions. À présent, celles-ci sont de plus en plus acceptées par le régime communiste.
    Fédération de Canta

    Les cultures du territoire :

    Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

    Dans la Fédération de Canta le principal groupe culturel est bien évidemment le groupe cantais. Mais les cantais sont divisés en trois grandes familles culturels et ethniques :

    - Les Cata : peuple assez rustre du Nord du pays qui vit surtout dans des territoires un peu difficiles. Ils sont souvent vus comme le peuple qui protège le pays. Ils sont souvent représentés comme des êtres doués d’une force surhumaine dans les légendes Nata et Ets. La légende veut qu’ils descendent de Feuergeist, de Wassergeist, d’Himmelsgeist et de Lebensgeist, esprit du feu, de l’eau, du ciel et de la vie, protecteur de la Dicarpie, du Toipou, de l’Elsace et du Nord qui leur ont offert la robustesse, la malice et la connaissance .

    - Les Nata : peuple vivant dans tous les milieux de Canta : plaine, bord de mer, montagne… Ils sont souvent vus comme le peuple qui fait avancer le pays. Ils sont souvent représentés comme des êtres d’une très grande intelligence et beauté, presque des anges dans les légendes Ets et Cata. La légende veut qu’ils descendent de Erdgeist, de Tagesgeist, de Lichtgeist et de Schattengeist, les esprits de la terre, du jour, de la lumière et de l’ombre et protecteur de la Frochine, de la Ckey, de l’Erdrin et du Baden qui leur ont offert la beauté, la force physique et l'intelligence.

    - Les Ets : peuple du bord de mer qui a longtemps vécu en harmonie avec la nature, ils sont souvent représentés comme des fées ou des elfes bienveillants dans les mythes et légendes Cata et Nata. La légende veut qu’ils descendent de Nachgeist, l’esprit de la nuit et protecteur de Canta qui leur a offert la tolérance, la créativité et la réflexion

    Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

    Les cata peuplent majoritairement le Nord du pays : Terres du Nord, Toipou et Dicarpie. Pour les Nata c’est plutôt le Sud avec la Frochine, la Ckey et le Baden. Les Ets sont majoritaires dans les Pays de l’Erdrin. Dans chacune de ces régions la culture majoritaire représente plus de 75% des habitants. Enfin l’Elsace a la particularité d’être la seule région multiculturelle avec environ 29% de Nata, 34% de Cata et 37% de Nata.

    Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

    Officiellement l’Etat n’as pas de culture cependant le fait que les deux régions les plus importantes, la Ckey et le Baden, soit Nata tout comme la famille royale fait que la culture Nata est souvent plus valorisée, plus mise en avant par les institutions. Les trois régions fédérées du Nord essaient d'utiliser leurs diverses compétences pour à leur tour promouvoir la culture Cata.

    Les langues présentes sur le territoire :

    Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?

    Si la division culturel peut paraître simple pour les langues c’est une tout autre chose, puisqu’il existe pas moins de 6 grandes langues maternelles et toute sont parlées quotidiennement par des individus selon la répartition suivante :
    allemand : 31%
    danois : 23%
    norvégien : 16 %
    français : 15 %
    suédois : 9%
    suomi : 6%
    Le français est considéré comme la langue du savoir et de la richesse et est parlé quotidiennement par la noblesse.


    Comment sont répartis géographiquement ces langues ?

    Aucune délimitation géographique claire ne peut être formulée, ainsi il est parfaitement possible que dans une même cage d’escalier un francophone, un germanophone et un danophone se côtoient. Cependant il existe deux exceptions : la Frochine qui compte une majorité de francophones : 61% et quelques villages du Nord exclusivement germanophones.

    Quelle est la langue officielle de l'Etat ? Quelles sont les langues reconnues ?


    L’Etat reconnaît toutes les langues parlées dans le pays et essaye autant que faire se peut de les respecter et donc toutes les publications officielles sont écrites dans les 6 langues. Cependant seul l’allemand est assurée d’être traduit et le français, langue de la noblesse, est la langue de référence dans les discussions avec eux et dans les universités.

    Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?

    L’allemand est appris à tous en plus de leur langue maternelle ce qui permet de lier les habitants même si le français s’impose de plus en plus dans les études.

    Des dialectes sont-ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

    Chaque province dispose d’un dialecte propre avec un certain nombre d’expressions ou mots originaux mais c’est surtout dans les accents que les distinctions peuvent être faites. Dans les grandes villes on peut même distinguer des accents par quartier.

    Les religions présentes sur le territoire :

    Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer ? Quelles Églises ou institutions religieuses sont présentes ?

    La société cantaise est dominée par le catholicisme rounnais, une branche du catholicisme qui se caractérise surtout pour son respect envers le "mythe des esprits”. Le catholicisme rounnais est surtout dirigé par le cardinal de Roune et le souverain. Représentant près de 95% des rounnais et présente dans toutes les tranches d’âges les autres religions ne sont que très minoritaires.

    Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?


    Bien que portant le nom de la capitale fédérale, Roune, le catholicisme rounnais est pratiqué dans tout le pays. Seule Roune est dotée d’un temple pour les cultes asiatiques, Le Roto dispose de deux temples pour les cultes réformes ét les deux villes ont une mosquée et une synagogue, de petite taille.

    A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irréligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?

    L’athéisme, l’agnosticisme et l’irreligion ne représentent qu’environ 1,2% des cantais.

    L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    L’Etat assume parfaitement sa religion et le souverain est d’ailleurs le co chef du catholicisme rounnais. cependant étant donné la place de la religion dans le pays cela ne pose pas de problèmes à personne. Il est difficile d’estimer si des persécutions ont lieu étant donné que seulement 3,8% des rounnais croient en une autre religion, des incidents ont déjà eu lieu à Roune et Le Roto entre les communautés juives et musulmanes.
    Premier rapport sur les religions
    17/11/2007

    Carte factuelle des religions dans le monde

    Cette carte se base exclusivement sur les données de l'enquête. (HRP : s'il y a des erreurs, faites-le moi savoir)

    Carte

    Carte théorique des religions dans le monde

    Cette carte se base sur les données de l'enqûete, mais est complétée par des hypothèses sur les restes du globe. Elle n'est donc pas exacte, pouvant contenir des erreurs. Elle sera complétée avec les futures données de l'enquête.

    Carte
    République Fédérale d'Elpidia

  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • Elpidia est un pays bi-ethnique par la force de l’histoire. A l’origine le territoire elpidien était peuplé de tribus de cultures slaves. Cependant l’arrivé progressives des colons helléniques venus de la Novir antique a progressivement réduit la prédominance des slaves elpides durant toute la période antique.

      Elpidia est donc composé de deux groupes ethnico-culturel : les hellènes (culture helléniques) et les slaves (culture slave).

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • Les deux groupent culturels sont présent sur tout le territoire elpide dû au passé esclavagiste du pays cependant ils ne sont pas répartis de manière homogènes sur tout le pays. En effet, les hellènes sont majoritaires dans le sud tandis que dans le Nord et une partie de l’Est du pays (globalement plus agricole) les slaves sont majoritaires.

      Voici la carte :
      https://cdn.discordapp.com/attachments/975433441023762472/988866292108910673/unknown.png

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • La culture de l’Etat et la culture dominante sont la culture hellénique.



  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement
    • Le grec est la langue principale parlé au quotidien. Du fait de la mise en esclavage des populations slaves pendant plusieurs siècles les dialectes slaves ont eu du mal à subsister sur le territoire elpide.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Le grec est parlé sur l’ensemble du territoire elpide. Le slave est parlé de manière éparse, il n’y a pas de statistique officiel sur la répartition linguistique du slave en Elpidia.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat
    • Le grec moderne.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    • Les elpidiens parlent uniquement grec.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • A part quelques dialectes slaves qui subsistent de manière éparse sur le territoire, il n’y a pas d’autre langue parlé.


  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • La religion principale sur le territoire est celle du « Panthéon des Hellènes » (HRP : équivalent de la religion hellénique). Il s’agit d’un paganisme hellénique qui perdure depuis l’antiquité.

      Il existe chez quelques populations slaves un certain culte des ancêtres (religion polythéiste) qui lui aussi perdure depuis l’antiquité.

      Les religions du Livre n’ont jamais réussi à pénétrer le territoire.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • Le panthéon des Hellènes est suivi sur l’ensemble du territoire elpidien.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    • La population est très pieuse et suis avec attention les rituels religieux du « Panthéon des Hellènes », sans toutefois être sous l’emprise de celle-ci. La religion a suivi les évolutions culturelles et scientifique ce qui explique que le « Panthéon des Hellènes » soit encore très populaire à tel point que le taux d’irreligion est vraiment marginal (à peine 1%).


    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    • La religion d'Etat est la religion du « Panthéon des Hellènes », néanmoins l'Etat se porte garant du respect et de la protection de toutes les croyances (sur le plan constitutionnel).

      Dans les fait, le culte des ancêtres étant une forme de polythéisme est plutôt bien toléré par la population. Toutefois, concernant les religions monothéistes, la population elpide voit d’un très mauvais oeil les adeptes de ces types de religions et ont tendance à les ostraciser. Ce qui explique que les religions du Livre ne se soient jamais implanté en Elpidia.
    Premier rapport sur les cultures
    19/11/2007

    Carte factuelle des cultures dans le monde

    Cette carte se base exclusivement sur les données de l'enquête. (HRP : s'il y a des erreurs, faites-le moi savoir)

    Carte

    Carte théorique des cultures dans le monde

    Cette carte se base sur les données de l'enquête, mais est complétée par des hypothèses sur les restes du globe. Elle n'est donc pas exacte, pouvant contenir des erreurs. Elle sera complétée avec les futures données de l'enquête.

    Carte
    INSTITUT SCIENTIFIQUE NATIONNAL DE LA LODUARIE-INFORMATIONS RELATIVES A LA CULTURE LODUARIENNE A L'INTENTION DU CIRASH



    Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • La principale culture loduarienne est le Français, culture la plus ancienne. On peut compter dans le nord du pays une minorité de franciens. Suite à la conquête du Reylos par la Loduarie, de nombreuses minorités slaves et russes se sont implantés en Loduarie. Elles font maintenant partie intégrante de la Loduarie.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • La culture française est présente sur tout le territoire national. On peut compter des minorités franciennes dans la région de Dolinne et au nord de la métropole. La culture russe et slave est quand à elle présente sur la péninsule d'Astrana en plus grande majorité, avec une petite partie à l'est de Lyonnars.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • La culture dominante est le français, mais le régime communiste a promu l'égalité totale entre toutes les cultures. Ainsi,les cultures minoritaires (franciens, russes et slaves) ont une égalité totale des droits.


    Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?
    • Le français est la langue nationale et officielle de la Loduarie. En raison de la présence non négligeable de minorités russes et slaves du Reylos (7%), le russe et le vraï sont les deux langues reconnues sur le territoire national.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Le français est parlé sur l'ensemble du territoire national. Le russe, quant à lui, est parlé sur la péninsule d'Astrana et par les militaires.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat ?
    • La langue officielle de la Loduarie est le français. Le russe et le vraï sont également reconnus au vu des minorités russes et slaves du Reylos, mais ne sont pas des langues officielles.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?
    • Il n'y a plus aucun patois en Loduarie, en raison de l'éducation poussée des années 1800. Il reste néanmoins des variantes du français dans certains endroits, comme dans le région de Dolinne. Pour la diplomatie, les loduariens avisent en fonction du pays avec lesquels ils discutent.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • Il n'y a aucun dialecte en Loduarie, seulement quelques accents assez prononcés dans certains endroits les plus reculés.


  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • On peut compter en Loduarie plusieurs religions, notamment le christianisme. Il y a une égale part de christianisme catholique que de christianisme orthodoxe en Loduarie. On peut aussi compter quelques minorités musulmanes et juives, ainsi que d'autres minorités comportant toutes les autres religions présentes dans le monde.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • Les religions sont très mal réparties sur le territoire. On peut compter le minorités sur les littoraux et dans les grandes villes, tandis que les deux catholicismes sont un peu plus présentes dans les campagnes.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    • Environ 90% de la popuation est athée. En effet, le régime communiste a mis en place énormément de restrictions contre toutes les religions. De plus, les années sombres ont dégouté une grande part de la population de la religion. Les zones le plus athées sont celles des villes, les plus croyantes sont les zones campagnardes.

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?
    • L'état ne possède aucune religion et est officiellement athée. De plus, l'état a mis en place de nombreuses et importantes restrictions contre toute forme de religion. Malgré tout, le christianisme reste la religion la plus anciennement présente en Loduarie. Il n'y a aucune persécution entre religions, mais le gouvernement conserve sa ligne de restrictions contre les religions. Toute personne ne respectant pas les restrictions imposés doit être traduite en justice.

    Rapport officiel de l'institut scientifique national de la Loduarie
    À revoir.


    Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • La culture hégémonique en Maronhi est nippone et trouve ses origines dans la colonisation nazuméenne de l'ouest de Paltoterra. On peut compter dans l'arrière pays une minorité d'autochtones maronhos représentant près de 20% de la population. On retrouve aussi des minorités d'origines diverses : cathayenne (chinoise), annamite (vietnamien) et hangugeo (coréen), peu à peu absorbées dans la culture nippone d'abord par la conquête puis par l'éducation de la Première république maronhienne.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • La culture nippone est principalement présente sur le littoral et les frontières nord et sud, sur le bord de fleuves. Il existe néanmoins des minorités de culture nippone et cathayenne dans l'arrière pays, que ce soit en montagne ou en pleine foret vierge. La culture autochtone maronhos est quand à elle cantonnée à l'arrière pays, principalement en pleine foret, proche de fleuves secondaires.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • La culture dominante est nippone, même si officiellement elle se présente comme syncrétique (certains aspects des cultures autochtones et des autres cultures créoles-nazumis ayant été absorbés dans la culture des gouvernants, notamment en religion.)


    Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?
    • Généralités :

      Le créole maronhien est la langue nationale et officielle de la Maronhi, parlée par l'intégralité de la population. Pour les créoles, elle est à la fois une langue maternelle et usuelle alors que pour une majorité des autochtones maronhos, elle représente une langue secondaire, apprise à l'école, puis usuelle en dehors du village d'origine. Ces autochtones maronhos ont pour langues maternelles et usuelles leurs dialectes locaux, divergents dans les différentes régions du pays, mais appartenant tous à la même famille de langues.

      Le créole maronhien est la langue officielle de Maronhi, parlée par l'ensemble du peuple maronhien. Elle est la langue des documents officiels et de l'éducation. Cette langue s'est développée à partir de la simplification et du mélange de différentes langues, notamment de parlers issus de la famille des langues nipponiques de l'est du Nazum, de divers dialectes créoles-nazumis (annamite, cathayen & hanhugeo) et autochtones-maronhos (familles des langues kwanés, ahminis & teyos) du plateau de la Maronhi. La langue officielle maronhienne est donc, comme ses cousines du Nazum, une langue atone. Même si l'idée semble similaire à celle d'une langue mélangée ou hybride, ce créole est souvent caractérisé par une tendance à systématiser sa grammaire héritée en éliminant des irrégularités ou par la régulation de la conjugaison des verbes irréguliers. En créole maronhien il n'y a pas de conjugaison à proprement parler ; le verbe conserve la même forme quel que soit le sujet.
      Les principaux apports des langues autochtones concernent principalement des mots pour décrire plus précisément la nature et les animaux ; ceux des langues nazumis importées en Maronhi à des concepts religieux, philosophiques, artistiques, à des expressions à des interjections. Comme n'importe quelle langue, le créole maronhien est caractérisé par un système de grammaire, possèdent un vocabulaire stable et étendu, et sont acquis par des enfants en tant que langue maternelle.

      En maronhien, « langue maronhienne » se dit mawoniogo (マロニ語). Les caractères マロニ désignent « la Maronhi », et le dernier caractère, 語, signifie « langue ». Toutefois, les Maronhiens utilisent aussi le mot kokugo (国語, littéralement : « langue du pays » ou « langue nationale ») pour faire référence à leur langue. Son vocabulaire s'est notablement enrichi, au cours de l'Histoire, par le truchement de divers emprunts depuis l'ère coloniale : le plus remarquable est la présence de nombreux vocables issus ou dérivés des dialectes maronhos, la plupart servant à décrire la nature maronhienne avec la plus grande précision. Le créole maronhien contemporain, s'obstinant à ne pas emprunter dans les langues étrangères, continue aujourd'hui d'élaborer de nouveaux mots, notamment pour les technologies naissantes.

      À noter que les alphabets utilisés pour le créole n'ont quasiment pas évolués et sont restés proches, voir similaires sur certains aspects, aux alphabets employés au Tahoku, au Burujoa, au Fujiwa et même au Grand Kah. Cela s'explique particulièrement par la prédominance de colons d'origines nipponiques et par l'absence totale d'alphabets autochtones en Maronhi. Les types d'écritures du créole maronhien sont composés de différents systèmes graphiques ; un système regroupant deux alphabets syllabaires ; et un système de logogrammes communément appelés "caractères spéciaux". La compilation des alphabets syllabaires ont donné lieu à de nombreux homophones que seule l'écriture en logogrammes permet de différencier. De ce fait, il est inenvisageable d'abolir les caractères spéciaux pour instaurer une écriture purement phonétique, puisque l'utilisation des logogrammes, bien que plus complexe, permettent une véritable différenciation des mots. Mais la langue reste évolutive, et les moyens contemporains de communication, nécessitant moins de temps et de rigueur d'exécution, ne sont pas entravés en Maronhi. Au contraire, les caractères spéciaux ont des avantages puisqu'ils représentent aussi des condensés d'information transmissible pas un seul et unique caractère. La calligraphie, en particulier celle des caractères spéciaux, est considéré comme un art primordial de la vie maronhienne et exige un certain nombre de règles pour que les caractères soient correctement dessinés (placement du pinceau, épaisseur correcte, ordre de réalisation, etc.)

      Le nippon (nommée nihongo en Maronhi) est une langue nazumi-orientale parlée particulièrement sur les îles et péninsules de l'est du Nazum (Burujoa, Fujiwa, Tahoku) et dans la province d'Ogata sur le plateau maronhien.

      L'annamite (nommé betonamu en Maronhi) est une langue austro-nazuméenne parlée particulièrement dans le sud du Nazum continental et dans la province de Hué sur le plateau maronhien.

      L'hangugeo (nommé kankoku en Maronhi) est une langue nazumi-orientale parlée particulièrement sur les îles et péninsules de l'est du Nazum (Burujoa, Fujiwa, Syrah-Istrée) et dans la province de Sung sur le plateau maronhien.

      Le cathayen (nommé yue en Maronhi) est une langue nazumi-orientale parlée particulièrement dans le centre du Nazum continental (Empire Xin) et dans la province de Jingyu sur le plateau maronhien.

      Les langues kwanés forment une famille de langues indigènes de Paltoterra, parlées sur le plateau maronhien et établies sur la partie nord-est du pays, entre le fleuve Matahou et la frontière nord avec le Grand Kah. Elles comportent les ethnies maronhos suivantes : les Kuli'nas et les Kwayaks.

      Les langues ahminis forment une famille de langues indigènes de Paltoterra, parlées sur le plateau maronhien et établies au cœur du pays, entre le fleuve Opaya, le fleuve Matahou et la chaînes de montagnes des Lances du Ciel. Elles comportent les ethnies maronhos suivantes : les Awanapis, les Ikikwés et les Hmonékis.

      Les langues teyos forment une famille de langues indigènes de Paltoterra, parlées sur le plateau maronhien et établies sur la partie sud-est du pays, entre le fleuve Opaya et la frontière sud. Elles comportent les ethnies maronhos suivantes : les Amjahos et les Onaghos.


    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Généralités :
      Le créole maronhien est parlé sur l'ensemble du territoire national. Les dialectes maronhos, sont quant à eux, principalement parlés dans des villages reculés de l'arrière pays. À noter qu'une poignée de familles du littoral continuent à pratiquer les langues de leurs aïeux nazuméens, plus ou moins proches du créole maronhien (de l'ymlasien en passant par le fujiwan).

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat ?
    • La langue officielle de la Maronhi est le créole maronhien, mixte de langues nazuméennes et autochtones majoritairement influencé par le groupe des langues nipponiques.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?
    • Il n'existe quasiment pas de différences par rapport à leurs langues usuelles. A noter que les Maronhiens de l'étranger, ou voyageant à l'étranger sont principalement des créoles ne parlant uniquement que le créole maronhien.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • Il existe une poignée de dialectes autochtones maronhos, présents uniquement dans l'arrière pays, appartenant tous à une seule et meme famille de langue (arawakienne).


  • Les religions présentes sur le territoire :



    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • On peut compter en Maronhi une religion prédominante : l'animisme maronhien, un mélange des héritages animiste et chamaniste. On peut aussi compter quelques minorités de sectes mêlant animisme et philosophie bouddhiste, ainsi qu'une part infime d’irréligieux.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • L'animisme maronhien recouvre la totalité du territoire et touche toutes les populations (créoles et maronhos). Les sectes se retrouvent, quant à elles, principalement dans les grandes villes du littoral, tout comme la population irréligieuse.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    • Les athées, agnostiques et irréligieux représentent 1,4% de la population, et sont, comme les sectes, présents presque exclusivement sur le littoral, dans les grandes agglomérations.

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?
    • L'Etat entretient avec opiniâtreté sa religion, véritable reflet de sa culture bâtarde qui tend à se généraliser, et contrôle activement les sectes qui naissent sur son sol. La foi et la pratique religieuse sont officiellement libres pour tous. Cependant, l'interdiction de financer ou de bâtir des lieux de prières pour les religions étrangères ne permet pas un développement de ces dernières. La fermeture des frontières, l'interdiction de prosélytisme, et la mentalité méfiante des Maronhiens n'encouragent pas non plus un quelconque changement à venir. Il n'y a aucune persécution envers les communautés religieuses mineures, ni de conflits entre religions. Le gouvernement place tout de même un certain nombre de restrictions sur les religions et les sectes ne s'inscrivant pas dans une conservation des valeurs maronhiennes. L'Etat traduit en justice le prosélytisme et le non respect de ses restrictions, pouvant amener jusqu'à plusieurs années de travaux forcés au bagne.
    Confédération Impériale du Yuhanaca


  • Les cultures du territoire :

  • Cultures au sein de la Confédération Impériale du Yuhanaca


    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • La Confédération Impériale du Yuhanaca possèdent une culture assez homogènes mais regroupent tout de même plusieurs minorités culturelles. Le premier groupe culturel est le groupe est le groupe Yuhanaca. Majoritaire, il regroupe près de 70% de la population de l'empire. Le second groupe, issu du premier et très proche est le groupe Yuhanaca du sud qui regroupe 17% de la population de l'empire. On trouve également des groupes culturels Inacs et Teltocs, issu des peuples antiques précolombiens relativement proche culturellement du Yuhanaca. Le groupe culturel Linéens, issu d'époque d'indépendance, souvent vu comme un sous groupe du Yuhanac. Enfin, le dernier groupe Paltoterran se trouve être le groupe Amazerian, un groupe culturel fort différent mais fort minoritaire, rattaché au groupe aborigène de la forêt dense. Deux groupes insulaires et un groupe euryzien complète le tout : Les Pamaleos et les Inastas sur les iles à l'ouest, un groupe latin sur l'archipel jaune. Il est a noté que la plupart des cultures se sont inter alimenté et on, en grande partie, incorporé d'importants éléments Yuhanac.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • La répartition des cultures au sein de la Confédération Impériale dépend des aires de peuplements des peuples dont elles sont issus. Les zones de cultures Inacs et Teltocs occupent les territoires qui étaient autrefois ceux des royaumes antiques associés. La culture Linnéenne est répartie sur l'intérieur des terres de l'orage, territoire peu dense et associé historiquement à la ligue libre. Les cultures du groupes insulaires occupent les zones les moins peuplés de l'archipel ouest de la Confédération. Enfin, les cultures eurysiennes sont majoritairement présentes dans l'archipel jaune.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • La culture dominante est la culture Yuhanac.



  • Les langues présentes sur le territoire :

  • Langues au sein de la Confédération Impériale du Yuhanaca


    • Quelles langues sont parlées quotidiennement
    • Il existe de nombreuses langues sur le continent, plus ou moins parlés. Le Yuhanac, la langue principale, est parlé dans toute la Confédération. On trouve ensuite trois langues du même sous groupes : Le Meanoc, issu des cultures Inacs et Teltocs, le Ipstil, langue propre au Yuhanaca du Sud, et d'Arveste, langue historique de la Ligue Libre. On rencontre également trois langues d'origine Eurysienne : Le Français, l'Anglais et l'Espagnol. Enfin, deux langues insulaires et une langue aborigène complète l'ensemble des langues parlées quotidiennement : Le Pamaleos, l'Inasta et l'Amazerian.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Si le Yuhanac est parlé partout sur le territoire de l'empire, les autres sont essentiellement territoriales. Le Meanoc est parlé sur l'Ouest du sous continent et l'Arveste peut être trouvé sur la partie Est. L'Ipstil est propre au Yuhanaca du Sud et aux terres de feu. Les langues Eurysiennes sont parlés dans les zones où se sont trouvé des comptoirs ou, des diasporas. L'espagnol est plus précisément présent dans l'archipel jaune. Enfin, les langues insulaires sont parlés dans les iles à l'ouest de l'Empire.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat
    • Le Yuhanac.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    • Les Yuhanacs sont souvent au moins tri-lingue. Ils parlent couramment le Yuhanac, très souvent la langue régionale de leur territoire, et une langue étrangère, les plus courantes étant le français, l'espagnol, l'anglais ou bien encore le russe.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • Il existe des dialectes géographiques du Yuhanac. La plupart des régions ont ainsi leur propre façon de parler le Yuhanac. En dehors de ses specificités, il existe également de nombreux dialectes dans les langues régionales, notamment dans l'Arveste et le Meanoc. A noter qu'Apa Alta possède un dialecte du Yuhanac fort éloigné de sa base, ainsi qu'un dialecte fort différent du Ipstil.


  • Les religions présentes sur le territoire :

  • Religions au sein de la Confédération Impériale du Yuhanaca


    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • La principale religion dans la Confédération Impériale est le Matahanac. Polythéïsme basé sur une longue mythologie, le culte est pratiqué depuis plus de 2600 ans sur le sous-continent. On trouve également des religions endémiques, comme le Symbolara, pratiquer par les Amazerians, ou bien le Pamatenas et l'Inastatena pratiquer dans les iles de l'ouest. Enfin, il existe également une pratique du catholicisme dans les lieux de grande diasporas ou dans l'archipel jaune.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • L'ensemble du territoire pratique le Matahanac. Les autres religions sont pratiqués très localement.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)
    • Environ 7% de la population est irreligieuse.


    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.)

    • Même si la liberté de culte est assuré sur tout les territoires de la Confédération Impériale, il reste un lien étroit entre pouvoir impérial et religion. En effet, dans la religion Matahanac, l'Empereur est un descendant du dieu Soleil.
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