29/05/2013
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[CIRASH] Enquête mondiale sur les langues, cultures et religions - Page 2

Les cultures du territoire Youslève:

Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
Les ethnies des Yous et des Lèves sont encore assez présentes dans les pays (un peu moins de 20 % chacune) mais du fait d'un brassage ethnique entre les deux depuis plus de huit siècles, une nouvelle ethnie domine depuis 400 ans, ce sont les Youslèves avec près de 40 % de la population, la minorité issue de l'immigration la plus importante sont les Basques avec un peu plus de 10 %, les autres minorités étant peu significatives même si depuis le milieu des années 90 une communauté issue de l'Afaree est entrain de se former à Baltos notamment.

Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
Les Yous sont au Sud du pays, les Lèves au Nord. Les basques sont eux dans les villes peuplées et industrialisées comme Breuillet ou Kronaï.

Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
La notion de Yous et de Lèves n'existant plus dans la conscience politique et sociale il vaut mieux regarder les inégalités sous la vision Youslève-étrangers. Dans ces cas là presque aucune personnalité politique n'est d'origine étrangère à part Heran Romeretegui, actuel Directeur du Conseil de la RFY qui est d'origine basque par ses quatre grands parents.


Les langues présentes sur le territoire Youslève :

Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?
98% des habitants savent parler le Youslève.
Le Youslève est parlé en tant que langue maternelle pour 89% des habitants de la Youslévie 4% des habitants parlent le Basque en tant que langue maternelle, 3% parlent le Yous en langue maternelle et 2% parlent le Lève en langue maternelle. Les 1% restants sont des dialectes trop peu représentatifs pour être considérés.
10% parlent le Lève presque couramment, pareil pour le Yous, le Basque est lui parlé presque couramment par 8% de la population.

Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
Le Youslève est parlé partout dans le pays, le Lève est parlé en grande partie au Nord, le Yous est parlé en grande partie au Sud. Le Basque est parlé par les membres de la diaspora Basque donc là où ils habitent, principalement à Kronaï et Breuillet.

Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ?
La langue officielle de la RFY est le Youslève, le Yous et le Lève sont reconnues.

Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?
Les Youlèves parlent très bien français car le Youslève est très proche du Français (c'est en fait du Français simplifié). Ils parlent donc Français à l'étranger mais aussi espagnol ou anglais, langues qu'ils apprennent à l'école très jeune.

Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
Il existe des vieux patois, notamment à l'Est, mais ils sont très peu parlés.
Des expressions propres à certaines zones géographique existent: au Nord des expressions tirées du Lève, du Youslève et du Basque sont utilisées alors qu'au Sud ce sont des expressions tirées du Youslève, du Yous et des dialectes Afaréens qui dominent.


Les religions présentes sur le territoire :


Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
De nombreuses religions cohabitent, l’hellénisme était très répandu durant le Moyen-âge, mais a petit à petit disparu, le christianisme est assez présent notamment grâce aux Basques (12%)

Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
Pas d'études réalisées sur le sujet.

A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
La plupart des habitants (plus des trois-quarts) sont athées.

L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?
La République Fédératrice de Youslévie est laïque, ne reconnaît aucune religion, n'en avantage aucune, ne persécute aucune minorité religieuse, n'acceptte aucune persécution quelle qu'elle soit et ne donne donc aucun jour férié en rapport direct avec une religion afin de respecter le principe d'égalité des religions. Cependant elle donne à tous les citoyens la possibilité de s'octroyer deux jours fériés en rapport avec leur culte, si ces derniers n'ont pas de cultes ils peuvent les utilisés à d'autres fins.
Second rapport général
16/01/2007

Carte factuelle des religions dans le monde

Cette carte se base exclusivement sur les données de l'enquête. (HRP : s'il y a des erreurs, faites-le moi savoir)

Carte

Changements majeurs :

  • Ajout des religions du Yuhanaca, de la Maronhi, de la Youslévie, de la Loduarie et de l'Elpidia.

Carte théorique des religions dans le monde

Cette carte se base sur les données de l'enquête, mais est complétée par des hypothèses sur les restes du globe. Elle n'est donc pas exacte, pouvant contenir des erreurs. Elle sera complétée avec les futures données de l'enquête.

Carte

Carte factuelle des cultures dans le monde

Cette carte se base exclusivement sur les données de l'enquête. (HRP : s'il y a des erreurs, faites-le moi savoir)

Carte

Changements majeurs :

  • Ajout des cultures du Yuhanaca, de la Maronhi, de la Youslévie, de la Loduarie et de l'Elpidia.
  • Rattachement de la culture izcale au groupe "Aleucéens", plutôt qu'au groupe "Syncrétiques"
  • Rattachement de la culture gallèse au groupe "Francien"

Carte théorique des cultures dans le monde

Cette carte se base sur les données de l'enquête, mais est complétée par des hypothèses sur les restes du globe. Elle n'est donc pas exacte, pouvant contenir des erreurs. Elle sera complétée avec les futures données de l'enquête.

Carte
Lyroc a écrit :
République Fédérale de Makt


  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • Makt fut habité lors de la Préhistoire par les "Eukas", ces derniers furent remplacés par les "Äplers" en -2 500 avant notre ère. Ces peuples étaient beaucoup plus grands que les autres humains de la planète, avoisinant facilement les 1m80/1m90. Les Äplers deviendront ce qu'on appelle aujourd'hui les "Maktois".

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • Les Äplers demeurent maître sur tout l'ensemble de la République. Le froid glacial n'a pas permis à d'autres peuples de s'installer sur le territoire maktois, et ces derniers étaient assez isolés du reste du monde avant de commencer les grandes incursions vikings du VIIIe siècle. On peut retrouver des Äplers en Lofoten, colonisé par Makt. Ce peuple s'étend alors de l'Eurysie au Nord de l'Aleucie.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • Comme évoqué plus haut, les Äplers demeurèrent maîtres sur Makt, malgré quelques minorités du reste de l'Eurysie du Nord, ils étaient fortement majoritaires. L'état considère cette culture nordique comme étant fondatrice de Makt en tant que Nation.



  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement
    • Le norvégien et le suédois sont les deux langues officielles de Makt. Mais, dans certaines régions, certains dialectes existent et sont forts différents des langues officielles comme l'Äpler, du même nom que le peuple, qui est une sorte de norvégien ancien.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Le suédois est plus utilisé dans l'est du pays, notamment à Lerwick. Mais le reste du pays parle le norvégien. L'Äpler est parlé dans les campagnes et les montagnes, zones rurales assez reculées, mais n'a pas de lieux géographiques précis.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat
    • Langue officielle : Norvégien/Suédois.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    • Un peu d'Äpler.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • L'Äpler et d'autres dialectes norvégiens dans l'ouest/sud.


    • Les religions présentes sur le territoire :

    • [list]
    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • Makt est à majorité chrétienne catholique romaine (76%). Il s'agit d'une des seules nations du Nord à avoir garder sa loyauté au Pape et à constituer la principale forme de catholicisme romaine classique dans cette région du monde. Il y a également 9% de protestants qui furent persécutés pendant des siècles sur le territoire, la plupart fuirent le pays pour rejoindre le protectorat maktois des Lofoten en Aleucie. Ainsi que 4% de croyance diverses (Islam, Buddhisme etc...) mais surtout des mythes nordiques et du paganisme (du nom de 'L'Abbaye de l'Etoile du Nord") comme les protestants, ils furent persécutés et la plupart s'installèrent au Lofoten.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • Le catholicisme s'étend sur tout le territoire.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)
    • Il y a 11% de forme d'irreligion (athéisme, agnostisme etc...). Il faut prendre en compte que nous prenons dans nos statistiques les religions en général des individus, qu'elle soit pratiquée ou non. Makt est traditionnellement très chrétienne, mais ça n'empêche pas que beaucoup n'aillent pas à la messe tout les dimanche.


    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.)

    • L'état maktois a bel et bien une religion et il s'agit du catholicisme romain. L'église et l'état collaborent pour construire un avenir plus sûr et loin des vices du monde.
    Enquête mondiale sur les langues, cultures et religions
    CIRASH


  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    La Principauté est un très vieil Etat-Nation et sa population est homogène culturellement mais accueille beaucoup d'immigrés qui finissent par s'intégrer dans le chaos ambiant

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    Presque tout le monde vit à Carnavale.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    Le français.

    • Les langues présentes sur le territoire :
    Le français

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique :
    Le français

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    Tout est à Carnavale.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat ?
    Le français

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?
    Les minorités issues de l'immigration parlent leurs langues natales, la ville est vaste et elle a des quartiers communautaires pour chaque minorité

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    Tout se passe à Carnavale, il n'y a pas de dialectes mais des différences de niveau de langue entre le langage populaire et celui de la noblese



  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    Carnavale suit le culte catholique romain/Catholar, il y a aussi des sectes sataniques très présentes dans certains quartiers

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    Tout se passe à Carnavale

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    Les données sont manquantes ! Tout dépend des quartiers mais à part quelques nobles libertins la plupart des gens croient en dieu puisque c'est une manière de se rendre la vie supportable

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?
    La religion d'Etat est le catholicisme romain/Catholar. Il n'y a pas de persécutions par l'Etat mais des lynchages et des persécutions contre les minrotés religieuses ont lieu régulièrement selon les quartiers, les sectes sataniques sont aussi très influentes et réalisent de sacrifices publics
    • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ? (exemple dans la Confédération kaulthique : il y a des Kaulthes (germaniques) et des Sapythes (slaves))


    Le Jashuria est un pays globalement homogène culturellement. Les Jashuriens – bien que constitués de différentes ethnies – ont une conscience nationale et culturelle suffisamment solide et cohésive pour former un seul bloc culturel. Si les Jashuriens du sud sont plus influencés par les cultures issues des anciennes terres aryédiques, les Jashuriens du nord montrent des influences culturelles plutôt marquées par leur proximité avec le Fujiwa et le Burujoa. Néanmoins, malgré les proximités culturelles, les Jashuriens forment un bloc culturel plutôt homogène.

    Des descendants de Fortunéens occupent encore le pays, notamment dans les grands centres urbains du sud. Les ethnies fortunéennes se sont bien intégrées à la population depuis plus de 200 ans, ce qui fait qu’il n’y a pratiquement plus de différences entres les Jashuriens et les Fortunéens, si ce n’est la langue.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ? (exemple dans la CK : la CK est principalement peuplée de Kaulthes, sauf la région du Säptar, au Sud-Est, qui est peuplée de Sapythes)

    Etant donnée l’homogénéité de la culture jashurienne dans le pays, les seules différences notables se trouvent au nord et au sud du pays, où les influences du Fujiwa, du Burujoa se font sentir au nord tandis que le sud est plutôt influencé par la culture aryèdique et iphlusienne. Les personnes de culture fortunéennes se trouvent plutôt dans le sud du pays, proches des anciens territoire des concessions fortunéennes.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ? (Les Kaulthes possèdent la quasi-totalité des fonctions de pouvoir.)

    L’Etat est de culture jashurienne et ceci est totalement accepté par la population. La prédominance de la culture jashurienne est consacrée dans la Constitution pour le Nouveau Millénaire, bien que les contours de la culture jashurienne soient plutôt flous et qu’à l’intérieur de cette culture coexistent des dizaines de pratiques culturelles. Le fait que la culture dominante soit jashurienne et que le pays soit d’une culture assez homogène a permis la persistance de l’Etat jashurien pendant des décennies. L’Etat n’est pas aux prises avec des cultures différentes et en concurrences.

    • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique : germanique, francien, anglo-saxon, chinois, sémitique...) ? (emple de la CK : le Kaulthe, une langue germanique, est parlé sur toute la partie peuplée par les Kaulthes. Le Sapythe, une langue slave, est parlée par les Sapythes).


    Trois langues sont parlées quotidiennement au Jashuria : le Jashurien, le Fortunéen et le Forto. Le Jashurien est la langue officielle de l’Etat et la langue la plus utilisée au sein du pays. Le Fortunéen, issu directement de la période coloniale, est la langue des échanges et sert principalement comme un signe de distinction sociale, mais aussi de communication avec l’étranger. Enfin, le Forto, un dérivé globbish du Fortunéen mélangé à du Jashurien et d’autres langues, reste l’une des langues les plus parlées dans les mégalopoles jashuriennes. S’il ne bénéficie pas d’un statut reconnu, le Forto est la langue du quotidien pour de nombreux Jashuriens baignant dans le cosmopolitisme des grandes métropoles.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ? (exemple dans la CK : la partie kaulthe parle kaulthe, la partie sapythe parle sapythe.)

    Les dizaines de dialectes jashuriens ne sont plus parlés qu’en-dehors des métropoles. Le Forto, facile à apprendre, a remplacé dans le quotidien la plupart des dialectes hérités des siècles passés, ce qui a facilité la compréhension des Jashuriens les uns envers les autres. Si tout le monde parle le Jashurien dans tout le pays, il est de notoriété commune que les dialectes locaux sont encore parlés dans le centre du pays, là où les communautés peuvent entretenir des traditions séculaires. La présence des temples bouddhistes les plus connus dans la région joue aussi comme un facteur de préservation de la langue, les Jashuriens ayant été assez précautionneux au fil du temps sur la préservation de leur histoire.

    Il est de notoriété commune que les élites parlent le Fortunéen et que les gens du commun parlent le Forto. Le Fortunéen, bien que de plus en plus parlé par les jeunes générations, reste un élément de distinction sociale ayant encore du prestige au sein de la société jashurienne. Parler le Fortunéen et non pas le Forto vous situe immédiatement dans une certaine catégorie sociale et assoit votre crédibilité.

    Le Forto reste cependant parlé essentiellement au sein des grandes mégalopoles du pays afin de pouvoir communiquer efficacement avec le plus d’étrangers possibles, surtout ceux qui viennent de la Péninsule du Nazum. Le Fortunéen étant la langue des échanges, il est parlé aussi dans les métropoles, mais pas nécessairement pas les mêmes strates de la population. A la répartition géographique, horizontale, s’ajoute alors une stratification verticale de la répartition des langues au sein de la population.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ? (exemple CK : le Kaulthe est la langue d'Etat, le Sapythe est reconnu par l'Etat.)

    La Troisième République du Jashuria ne reconnait officiellement que le Jashurien classique, tel qu’il est enseigné à l’école. Si le Fortunéen est utilisé dans les échanges internationaux et dans certains documents officiels pour traduction, il s’agit là uniquement d’une commodité permettant aux Jashuriens de dialoguer avec les autres nations. Le Forto, sorte d’argot mélangeant le Jashurien et le Fortunéen, reste encore non reconnu par l’Etat, mais très souvent pratiqué dans les mégalopoles jashuriennes.

    Premièrement, le choix du Jashurien fut pris pour consolider une appartenance nationale à des groupes ethniques divers, tout en échappant à la sphère d’influence de Xing. A partir d’une politique de valorisation des racines de l’Empire Yahudharma et de sa mission unificatrice, les historiens et les linguistes de l’époque firent la promotion du Jashurien comme étant à la fois un élément de renaissance nationale et un vecteur d’appartenance à une communauté de destin. Cette campagne de promotion du Jashurien fut un parcours difficile. Alors qu’il aurait été plus efficace de valoriser une langue étrangère inconnue du peuple pour ne promouvoir aucune ethnie par rapport à une autre, les législateurs décidèrent de redonner ses lettres de noblesse à une langue ancienne, qu’ils ajoutèrent à un roman national en pleine construction. Grâce à l’appui des intellectuels et à une base populaire soucieuse de former une communauté de destin, le Jashurien s’imposa comme la langue officielle du pays, sans pour autant dévaloriser les langues locales.

    Deuxièmement, le choix du Fortunéen fut opportuniste. En effet, afin de conserver des relations cordiales avec l’empire maritime, malgré la séparation politique, les Jashuriens décidèrent de conserver le Fortunéen comme une langue capable de dynamiser le pays et de l’ouvrir sur le monde, le Fortunéen étant à l’époque la langue du commerce. La Fortunéen étant considéré comme la langue mondiale du commerce, de la technologie et de la science, son usage officiel devait accélérer le développement et l’intégration du Royaume du Jashuria dans l’économie mondiale.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ? (exemple CK : les Kaulthes parlent bien le Walserreichien, qui ne diffèrent pas beaucoup de leur langue natale, et parlent aussi le Latin pour la diplomatie internationale.)

    Les Jashuriens apprennent un minimum de deux langues durant leur cursus scolaire : le Jashurien et le Fortunéen. S’il n’est pas rare qu’une partie des élèves apprennent un langage supplémentaire, comme le Xing ou le Kah-Tanais, la maîtrise des deux langues reste indispensable pour pouvoir évoluer dans le Jashuria contemporain. Il existe bien entendu au Jashuria de nombreux dialectes locaux et les choses ne sont pas aussi cloisonnées qu’elles pourraient l’être, la langue évoluant avec ceux qui l’utilisent et se mélangeant avec les us et coutumes locales. On compte par exemple le Jashurien des Docks, un Jashurien « globbish » et « internationalisé » qui s’est transformé suite au contact prolongé des dockers jashuriens avec les pays étrangers. Au global, le Jashuria accueille trois types de langues : le langage officiel – le Jashurien académique et parlé - , les langues étrangères et les langues locales. La distinction entre ces langues est actée dans la loi de 2001 sur les questions relatives aux langues parlées et écrites au Jashuria. Cette loi est une version réactualisée d’une loi datant de la Seconde République du Jashuria, qui elle-même date des us et coutumes de la Première République.

    A l’étranger, les Jashuriens préfèrent utiliser le Fortunéen, plus courant et plus répandu au sein de la population mondiale. Lorsqu’ils se retrouvent entre personnes de la même communauté nationale, les Jashuriens ont tendance à parler Jashurien. En revanche, par politesse, les Jashuriens qui accueillent des étrangers dans leurs groupes de discussions parlent le Fortunéen, ce qui est plus courtois pour les échanges.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ? (exemple CK : il y a de nombreux dialectes kaulthes (le Kaulthe classique en Kaulthie, le Wassenbergeois au Wassenberg, le Höngarais à l'Est du Höngar, le Widger sur tout le Widgen...), et les Kaulthes ne se comprennent pas toujours totalement d'une région à une autre.)

    Le Jashurien comprend plusieurs dizaines de dialectes dont les locutions sont précieusement conservées depuis des siècles dans les temples des différentes religions. Depuis quelques décennies, le pays a réalisé un immense travail d’archivage et de reconstitution de certains dialectes perdus afin de pouvoir traduire dans le Jashurien actuel des textes écrits dans des dialectes anciens. Si les dialectes locaux sont en perte de vitesse face à la prédominance du Jashurien classique, du Fortunéen et du Forto, il n’en reste pas moins que ces dialectes appartiennent à la richesse culturelle des populations et que ces dernières ont réussi à faire en sorte que si la langue se perd , les écrits, eux, restent. Malgré les dialectes présents sur son territoire, le Jashuria peut se targuer d’avoir une population qui de la pointe sud à la pointe nord du pays, peut se comprendre et parler la même langue.

    • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ? (exemple CK : la CK est très majoritairement catholique impériale, une branche de la chrétienté ayant cédé avec le catholicisme classique, et suivant l'Eglise catholique impériale.)

    Au début du XXIe siècle, les principales religions présentes sur le territoire de la Troisième République du Jashuria sont le Bouddhisme, le Taoïsme et l’Hindouisme. Si le Bouddhisme reste la principale religion du pays, elle partage le podium avec le Taoïsme, plutôt implanté au nord du pays, et l’Hindouisme, plutôt ancré dans le sud. Les religions du Livre, à savoir l’Islam, le Christianisme et le Judaïsme sont extrêmement minoritaire dans le pays.

    Etant donné la structure de ces religions, le cléricalisme n’a pas une signification aussi importante. Les clercs des différentes religions ne constituent pas des ordres clairement définis et n’ont donc qu’un poids politique très fragmentaire. Les quelques organisations existantes ne sont pas de nature à pouvoir dicter la liturgie des différentes religions.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ? (exemple CK : le Catholicisme impérial s'étend assez uniformément sur le territoire kaulthique, excepté au Säptar ou l'orthodoxisme est légèrement plus présent.

    Au Jashuria, les trois principales religions sont présentes sur tout le territoire. L’Hindouisme a sa plus forte concentration de croyants du côté de la région des perles, car historiquement connectée au bassin culturel et religieux de l’hindouisme originel. Les religions taoïstes et confucéennes disposent d’une plus grande présence dans le nord du pays, dans la région d’Azur, où la proximité avec les nations du Burujoa et du Fujiwa a permis leur diffusion. Le Bouddhisme est quant à lui beaucoup plus présent dans le centre du pays, de part le rayonnement de la capitale régionale d’Ankévran et la présence de centres religieux historiques.

    Les religions extrêmement minoritaires comme le protestantisme, le soufisme et le judaïsme ne se retrouvent que dans les grandes métropoles, où leur présence est à peine marquée. Ces religions sont généralement vénérées par des étrangers où des groupes très spécifiques du Jashuria, qui ne disposent d’aucun poids politique au sein du pays et restent minoritaires.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)

    Selon le dernier recensement effectué sur base déclarative en 2005, la population jashurienne de plus de 18 ans comporte environ 15% d’athées. Le taux d’athéisme est plus fort au sein des nouvelles générations, chez les 18-24 ans et se concentre principalement dans les grandes cités du pays. Ce chiffre est cependant à modérer en lumière des données suivantes. Beaucoup de Jashuriens se réclament du Bouddhisme, du Taoïsme ou de l’Hindouisme sans pour autant le pratique avec assiduité. Questionnés sur leur rapport à la religion, 60% des interrogés déclarant s’inscrire dans un régime de croyances estiment ne pas avoir une pratique soutenue de leur foi et restent dans une pratique relâchée et cantonnée aux rituels les plus communs et les fêtes laïcisées.

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.

    La Troisième République du Jashuria est une république parlementaire laïque. La séparation des églises et de l’Etat est consacrée dans la Constitution pour le Nouveau Millénaire de 2001, bien qu’elle existe dans les faits depuis plus d’un siècle. La séparation des églises et de l’Etat est facilité par le manque de structuration des religions en des clergés influents et capables de peser dans les institutions politiques. Si le Jashuria est la terre des milles dieux et des esprits innombrables, ceux-ci ont la délicatesse de ne pas intervenir dans les affaires des mortels quand ceux-ci délibèrent des taxes, des programmes scolaires et des projets économiques.

    La société jashurienne est cependant profondément attachée à la spiritualité, notamment au travers des trois religions principales : le Bouddhisme, le Taoïsme – et ses mouvements connexes – et l’Hindouisme. Cependant, la question de l’athéisme ne se pose pas dans les mêmes termes que dans les sociétés occidentales. Dans le pays où les dieux et les esprits marchent aux côtés des mortels, être athée, agnostique ou apostat n’est pas mal vu car il s’agit moins de croyance que de respect de rites quotidiens qui enchantent le paysage ordinaire du Jashuria. Ainsi, de nombreux athées entretiennent les petits rituels qui permettent la vie en communauté, comme les offrandes aux esprits. La société jashurienne étant de nature tolérante et ne disposant pas de clergés unifiés capables de peser de tout leur poids dans la création d’une orthodoxie religieuse, les mœurs sont plutôt relâchées et les religions prises pour ce qu’elles sont : des croyances qui structurent un rapport au monde.

    Les persécutions religieuses n’ont plus cours depuis le XIXe siècle. Les moines bouddhistes ont rangé depuis longtemps leurs matraques et les gourous de sectes sont étroitement surveillés par l’Etat. Les dernières tensions concernaient les relations entre les chrétiens fortunéens et les Jashuriens d’obédiences bouddhistes du sud du pays. Etant donné que le christianisme n’a pas le vent en poupe depuis au moins un siècle et que le processus d’évangélisation du Jashuria a concrètement échoué, les évangélistes chrétiens ne sont plus en mesure de constituer une menace pour l’ordre public. Le principal problème du Jashuria en matière de religion reste le phénomène des gourous, présent dans le Bouddhisme, qui constitue un véritable souci de santé publique et de sécurité des personnes. Le pays a mis les moyens pour surveiller les dérives sectaires et dispose une cellule renforcée au sein de l’Etat pour quantifier, qualifier et traiter les phénomènes sectaires.
    Les cultures du territoire :

    Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

    L'Empire Burujoa est multiculturel, ainsi nous retrouvons les coreo-nippon, les chinois, les sibériens, les Amérindiens où l'on retrouve un melting-pot de culture : l'ancestrale culture indigène : Qanaka, des eurysiens avec notamment les anciens colons du Norstalkian mais également des nobles déchus du Canta après la révolution de 1817 sans oublier les colons coreo-nippon. Et enfin les polynésiens / océaniens.

    Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

    La culture coreo-nipponne est surtout présente à la métropole Ylma Jinu, la chinoise au Xinemane, la sibérienne au Vomogorod, l'amerindienne à Cendane et la polynésienne à Tairopototo. Les coreo-nippon sont cependant présent de manière non négligeable dans toutes les colonies de l'empire.

    Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

    L'État ne reconnaît pas le principe même des cultures propres à chaque région et donc théoriquement aucune culture n'est dominante ou inférieure dans l'empire. Cependant, la culture coreo-nipponne a une place toute particulière dans les hautes sphères de l'État, la concentration des instances étatiques dans la capitale Karaimu et le métissage quasi inexistant de la famille impériale, comme dans toutes les familles de l'empire, font que les coreo-nippon sont plus favorisés à travers les politiques publiques. Cependant depuis le couronnement de Catherine Ière, une Cendanoise originaire du Canta, les politiques publiques se veulent plus mixtes.

    Les langues présentes sur le territoire :

    Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?

    Les principales langues parlées dans l'empire sont : le japonais, le coréen, le Shinzu-Kim un mélange des deux langues précédentes, le russe, le chinois, le polynésien, l'anglais et l'allemand.

    Comment sont répartis géographiquement ces langues ?

    Le japonais est parlé dans le Sud d'Ylma Jinu, le coréen dans le Nord et le Shinzu-Kim surtout dans les trois provinces du Grand Karaimu. Logiquement le russe est parle au Vomogorod, le chinois au Xinemane et le polynésien à Tairopototo. Enfin l'allemand est la langue dominante de l'ouest de Cendane et l'anglais à l'est de la colonie.

    Quelle est la langue officielle de l'Etat

    La langue officielle de l'État est le japonais. C'est dans cette langue que sont rédigés tous les actes et décrets impériaux et c'est aussi cette langue qui est parlée par la famille impériale.

    Quelles sont les langues reconnues ?

    Les autres langues reconnus sont le chinois, l'anglais et le coréen. La plupart des actes et décrets sont également rédigés en anglais, chinois et coréen.

    Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?

    Dans chacune des colonies il existe une forme de dialecte mélangeant la langue locale dominante et le japonais ou le coréen. Ainsi au Xinemane, le chinois et le japonais forme le Gangsukingsu. Au Vomogorod le russe et je japonais forme le Staisunki. À Cendane l'anglais et le coréen forme le MoonMoon ainsi que le Schwarsuki pour l'allemand et le japonais. Et à Tairopototo le polynésien et le japonais ont créé le Taparu No Tsumata.

    Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?

    La diplomatie burujoise utilise cette force d'avoir une variété de language pour faciliter les échanges. Ainsi en Eurysie et en Aleucie se sont avant tout des fonctionnaires de Cendane qui sont envoyés, de même pour Tairopototo pour le paltoterra...

    Sinon le reste de la population utilise sa langue natale même si dans la plupart des cas ils ont des rudiments d'autres langues.

    Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

    Dans chaque province de l'empire il y a différents dialectes qui consiste plus en des variantes plus ou moins marquées de la langue dominante qu'en une véritable langue différente.

    Les religions présentes sur le territoire :

    Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ?

    Les deux religions majoritaires sont le christianisme avec ses trois branches : catholicisme, protestantisme et orthodoxie et l'Hanaoïsme. Bien évidemment vu la population de l'empire il y a également d'autres religions mais en parts très minoritaires.

    A quel groupe peut-on les associer ?

    l'Hanaoïsme peut être rattaché aux religions traditionnelles asiatiques avec d'une part les valeurs d'harmonie, de bien-être, de "zen" et de l'autre un polythéisme autour des éléments et une monarchie de droit divin.

    Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?

    Il existe une grande institution de référence par religion. Pour l'Hanaoïsme c'est principalement le Temple de Karaimu et son grand prêtre qui "dirige" la religion, le Temple supervise les monastères de formation des prêtres et organisé certaines fêtes religieuses. Cette institution a été créé de toute pièce par l'administration impériale en 1765 pour accroître son influence sur une religion qui pouvait représenter une menace certaine pour la famille impériale.

    Ensuite pour les chrétiens, il y a les évêchés de JinCity et Vilmokaraïd, qui sont aussi très fortement influencé par l'administration impériale.

    Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?

    l'Hanaoïsme est ultra majoritaire à Ylma Jinu (98%) et au Xinemane (89%) et est présent de manière non négligeable dans les autres colonies. Au Vomogorod, c'est le christianisme orthodoxe qui est majoritaire (56%) suivi par le catholicisme (27%) et le protestantisme (11%). À Cendane, c'est le protestantisme qui est majoritaire (62%) suivi par l'Hanaoïsme (16%) et le catholicisme (14%). Enfin à Tairopototo c'est le catholicisme qui est très majoritaire à 87%.

    A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ?

    L'athéisme, l'agnosticisme et l'irreligion sont extrêmement minoritaires au Burujoa, de l'ordre de 1 à 2%.

    Et le sont-ils plus à certains endroits ?

    Il existe quelques "poches" d'athéisme dans les grandes villes que sont Karaimu et Jin City, dans la banlieue de Karaimu certains quartiers atteignent les 8-9% d'athéisme.

    L'Etat a-t-il une religion ?

    L'État a une religion puisque la légende raconte que se sont les dieux qui ont demandé par songe dans une nuit "rayonnante" à la famille Burujoa de prendre le pouvoir sur Ylma Jinu et en faisant apparaître des montagnes d'or dans leur maison au réveil. De ce fait la famille Burujoa entretien le culte des dieux hanaoiste. Cependant ce culte s'amenuise, encore plus depuis le couronnement de l'impératrice Catherine Ière, de confession catholique.

    Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    Bien que l'État est religieux, il ne tolère aucune persécution, notamment du fait de 'a grande diversité des cultes pratiqués. Même si certains heurs existent entre communautés dans les villes les plus cosmopolites, la police et le système judiciaire répriment durement les hauteurs des actes anti religieux, de quelques natures ils soient.
    Royaume-Soudé du Frial et de Youslévie de l'Est

    Les cultures du territoire :

    Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

    RSFYE a écrit :
    Notre Royaume est composé de deux groupes culturels majoritaire :

    - Les Frialans, l'ethnie majoritaire, elle est endémique à la région et est présente depuis au moins le IXe siècle dans sa région.
    - Les Youslèves de l'Est, minorité qui n'en n'est pas réellement une, elle comptabilise plus de 30 millions de personnes, elle était présente avec la création due Royaume, et serait une ethnie proche des Yous de Youslévie.

    Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

    RSFYE a écrit :
    Les Frialans résident pour la plupart dans les 6 province que formait le Royaume de Frial, le "noyau" du Royaume. Les Youslèves résident en majorité dans la Youslévie de l'Est, région administrative de la Province de Triastro, TR



    Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

    RSFYE a écrit :
    La Reine Graziella IX est issu de la Maison Mella, une famille de nobles Frialans, elle est aujourd'hui mariée avec un noble Youslève. Le pouvoir est pour la plupart du temps détenu par les Frialans.

    Les langues présentes sur le territoire :

    Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?

    RSFYE a écrit :
    L'italien est la langue la plus parlé dans les provinces Frialanes, avec des locuteurs parlant aussi Youslève dans la province de Sarone du a sa proximité avec la Youslévie. Le dialecte Frialan est parlé par les ainés dans tout le Frial. Le français et le Youslève sont aussi parlés en Youslévie de l'Est, et sont les langues majoritaires des habitants.

    Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ?

    RSFYE a écrit :
    La langue officielle de l'État et de l'administration est l'italien. Le Youslève est reconnu comme langue régionale d'usage en province de Sarone, SR et de Triastro, TR.

    Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?

    RSFYE a écrit :
    Notre peuple apprend comme première langue l'italien, car elle est langue d'État. La seconde langue est le plus souvent le Youslève en région est, ou le Portugais en région ouest.

    Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

    RSFYE a écrit :
    Comme précisé plus haut, le Frialan est un dialecte du Frial, parlé surtout par une majorité de nos ainés. C'est une langue qui est amenée à disparaitre au profit de l'Italien.

    Les religions présentes sur le territoire :

    Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?

    RSFYE a écrit :
    Sur un point de vue national, il y'a environ 50% de catholiques, pour 46% d'athées, laissant 4% de religions n'ayant pas de lieux de culte dans notre pays.

    Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?

    RSFYE a écrit :
    La partie Frialane de notre pays est à majorité catholique de tradition, on estime à 87% le nombre d'adeptes de l'Eglise Catholique. La Youslévie de l'Est est à 94% athée

    L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    RSFYE a écrit :
    L'État, dans sa constitution a déclaré la neutralité religieuse du pouvoir. De ce fait, l'État n'a pas de religion. Dans l'usage, le catholicisme est majoritaire au sein des gouvernants. Nous offrons à nos administrés une liberté de culte totale.
    Grand Duché de Transblêmie

    Note importante : cette étude a été réalisé par des historiens, linguistes et géographes extérieurs à la Transblêmie, ce type d'enquête n'y étant pas autorisée. Elle peut donc comporter des approximations ou des erreurs.



  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • On distinguera en Transblêmie une dichotomie culturelle principale, puis des sous-divisions culturelles plus locales.

      Dans un premier temps, il faut distinguer la culture transblême, majoritaire dans les grands centres urbains du pays et qui fait l'objet d'une politique normative très agressive de la part du gouvernement, du groupe blêmo-nazuméen qui regroupe l'ensemble des cultures traditionnelles nazuméennes régionales, hybridées avec la culture historique blême. Celles-ci sont multiples et assez innombrables sans moyen d'enquête de terrain. La géographie du territoire de la Transblêmie tend à isoler les villages les uns des autres ce qui assure naturellement une certaine pluralité culturelle dans les montagnes où les politiques "civilisatrices" du gouvernement ont du mal à s'implanter.

      Les cultures blêmo-nazuméennes sont largement majoritaires dans le pays en terme purement démographique, mais opprimées politiquement.

      La culture transblême (que nous distinguons de l'ancienne culture blême) est une reconstruction assez artificielle et fantasmée des pratiques culturelles antérieures à l'exode du peuple blême et harmonisée avec le projet fasciste du gouvernement. Cette culture, bien que créée quasiment de toute pièce et régulièrement amandée pour s'adapter aux travaux des historiens officiels transblêmes, est tellement matraquée et nécessaire à la survie quotidienne qu'elle a fini par s'imposer majoritairement dans les centres urbains.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    • La culture transblême est uniquement présente dans les grands centres urbains qui sont les lieux du pouvoir politique et militaire transblême. Etant artificielle, elle n'existe que sous des formes très balbutiantes dans le reste du pays.

      Tout le reste du pays est ponctué des cultures blêmo-nazuméennes.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    • La culture transblême est officiellement la seule présente en Transblêmie, selon les chiffres du gouvernement. Elle est également la seule légalement autorisée, l'expression de cultures non-transblême pouvant être théoriquement un motif de persécution.

      Si l'on sait que ces persécutions existent, leur ampleur et leur intensité reste toutefois difficilement estimable. Il est probable que le gouvernement de Transblêmie n'ait pas réellement les moyens d'appliquer une politique culturelle agressive sur l'ensemble de son territoire.



  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement
    • Le blêmien est parlé par une majorité de la population. Localement de nombreux dialectes sont également pratiqués.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    • Le blêmien est la langue majoritaire car véhiculaire, elle sert de liaison entre les différentes vallées qui n'ont pas toutes les mêmes dialectes et pourraient sans cela peiner à se comprendre. Si tout le monde ne parle pas blêmien, les autorités et notables locaux dans les villages ainsi que les commerçant connaissent la langue pour des raisons d'accessibilité aux marchés régionaux et de négociation avec les autorités gouvernementales.

      Un village où personne ne parle le blêmien s'expose au risque de ne pas pouvoir se défendre contre les exactions des chasseurs de loups et des inquisiteurs.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat
    • Le blêmien.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?
    • Leurs dialectes locaux (difficilement quantifiables).

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    • Les dialectes sont omniprésents, malgré les efforts du gouvernement transblême, les politiques d'harmonisation langagière n'ont jamais donné de résultats hors des grands centres urbains très policés.



  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    • Officiellement, la Translêmie est un Etat athée, du moins se définit-elle ainsi.

      Toutefois, les croyances millénaristes y ont fonction d'une forme de culte d'Etat ne disant pas son nom. La Transblêmie se prévaut d'un mysticisme scientifique et religion et science sont amalgamés de manière étonnement cohérente dans la doctrine idéologique officielle de l'Etat. On peut raisonnablement parler de culte d'Etat millénariste, certains analystes voyant même dans le Grand Duché une forme de théocratie moderne, bien que la Transblêmie rejette ces appellations.

      Nous savons toutefois de source sûre que de puissants reliquats de religion orthodoxe sont pratiqués au quotidien par la population et ont fortement influencé le mysticisme transblême. La filiation avec l'Eglise chrétienne orthodoxe est indéniable, bien que celle-ci ait été quelque peu hybridée par les folklores régionaux et le culte d'Etat.

      A ce titre, il est raisonnable de dire que le ministère de la planification du millénaire fait office d'Eglise pour la Transblêmie. Du moins y remplit-il des fonctions comparables.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    • On distinguera les grands centres urbains gagnés au millénarisme du reste du territoire pratiquant une forme de christianisme orthodoxe hybridé.

      Dans les faits, la distinction est assez floue et plusieurs témoignages concordant tendent à faire penser que même au sein de l'administration et des élites transblêmes le culte des idoles reste assez présent, quoique pratiqué en secret.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l’irréligion (entre 1 et 4 %)
    • Dans son acceptation large, la Transblêmie est extrêmement religieuse.

      L'athéisme traditionnel (c'est à dire non teinté du mysticisme transblême) est perçu comme un signe d’allégeance aux idées socialistes et persécuté à ce titre. Si des formes de religions "hérétiques" sont présentes sur le territoire, celles-ci sont nécessairement pratiquées en secret ce qui rend leur estimation impossible à ce stade.


    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.
    • Les persécutions religieuses sont systématiques envers les individus s'éloignant de la doctrine officielle du Grand Duché.

      Le ministère de la planification du millénaire, un organe d'Etat chargé de théoriser et préparer l'avènement de la prophétie blême peut être raisonnablement comparé à une Eglise dont les travaux amendant et précisent en permanence la doctrine officielle de l'Etat.

      Encore une fois, cette comparaison est faite à titre d'illustration. La Transblêmie refuse l'idée d'avoir une religion ou d'être associée à des croyances mystiques. Dans la doctrine officielle transblême, toutes les formes de mysticisme reconnues sont matérialistes et prouvables par la science. Elles ne relèvent d'aucune force ou puissance divine supérieure et invisible, tout est empirique et mesurable.
    Enquête mondiale sur les langues, cultures et religions

    Rapport sur les Provinces-Unies du Lofoten

    emblemedesprovincesuniesdulofoten

    Ce rapport a été édité et publié en 2007 par le Département d'Etat Fédéral à la Culture et paru dans un guide à destination des touristes venus visiter les Provinces-Unies du Lofoten

  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

    • Les Provinces-Unies étant un pays relativement jeune (seulement 400 ans d'existence) issue de l'expansion coloniale maktoise, le premier groupe culturel majeur est issue des descendants des premiers colons eurysiens de la République de Makt (75% de la population environ). Ce groupe culturel n'est pas homogène, il est composés par plusieurs communautés historiques, par exemple les Protestants réformés francophones ayant massivement fuit les persécutions religieuses dans la très catholique Makt. Les colons eurysiens faisaient déjà parti de plusieurs groupes culturels différents, les descendants des premières tribus scandinaves, dont le marqueur principal est l'usage du Norvégien comme langue maternelle, et les autres immigrants et peuplades nord-eurysiennes, de culture pharoise principalement, mais également Norstalkienne dans une moindre mesure.

      Le deuxième groupe culturel est de culture amérindienne, formé par les tribus inuits (15% de la population totale), aussi appelés Natifs par les colons. D'abord combattus durant la période coloniale, ils sont incorporés par la nouvelle république formée après la guerre d'indépendance, toutefois sur le papier ils sont sensés bénéficier des mêmes droits et devoirs. Dans les faits, les peuplades Inuits sont régulièrement opprimées, mis de côté et ségrégés jusqu'au début du 20ème siècle, avant le Native Rights Act de 1909, qui formalise de fait leur intégration au sein des Provinces-Unies pour en faire des citoyens lofotènes de statut égal avec leurs compatriotes. Leurs spécificités culturelles sont reconnues, et les langues amérindiennes enseignées à l'école depuis 1962.
      Il existe 4 peuplades ou clans, dans l'ordre d'importance et du poids démographique :
      -Le Clan des Abéquins
      -Le Clan des Ildorinques
      -Le Clan des Nanavük
      -Le Clan des Tegulican

      Chacun de ces clans possèdent une représentation officielle au sein du CNA le Conseil National Amérindien, chargé de défendre les intérêts des clans autochtones et de promouvoir leur langue et culture au sein des Provinces-Unies.

      Le troisième groupe, égal à peu près 1 vingtième de la population totale soit 5% représente l'ensemble des nationalités qui n'appartiennent pas aux deux groupes précédents. Les Provinces-Unies ayant été traditionnellement une terre d’accueil et d'immigration, surtout avant la période dite du Grand Repli, où le pays possédait de très nombreux comptoirs commerciaux et des enclaves un peu partout dans le monde, draînant en son sein une multitude de ressortissants de différents pays, essentiellement des Alguarenos, des Izcales, des Fortunéens, des Jashuriens, et des communautés Afaréennes.







    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

    • -Le groupe dit des colons eurysiens, s'est réparti sur le territoire de manière fort singulière, dû à la l'histoire coloniale des Provinces-Unies. Le sous-groupe le plus nombreux est dit celui des anglophones, langue du commerce et des affaires, dont l'épicentre est la capitale Pembertøn, est majoritairement présent dans le Sutherlands, mais également dans une grande partie du Midlands, et de moindre importance dans le Northerlands, mais sont globalement présents dans tout le pays. Le sous-groupe issus des Réformés Francophones se sont concentrés dans le Midlands, et plus particulièrement à Port-Saint-Anne, la troisième ville du pays. Près de 85% de la population de la métropole et ses environs. Mais ils sont également présents, dans des proporitions inférieures, dans toutes les provinces du territoire national.
      Enfin, les locuteurs norvégiens, les moins nombreux sont essentiellement implémentés dans le Northerlands, et l'Archipel du Ponant, sans toutefois, à de rares exceptions, dépasser les autres communautés.


      Le groupe amérindien des Natifs
      est réparti uniformément sur le territoire, toutefois chaque clan possède son aire géographique traditionnelle et culturelle :
      -Les Abéquins sont situés majoritairement dans le sud et le centre du pays,
      -Les Ildorinques sont situés au centre et au nord-ouest du pays.
      -Les Nanavük quand à eux sont répartis principalement sur les côtes nord, nord-est, et dans tout l'Archipel du Ponant
      -Les Tegulican enfin, sont concentrés au niveau de la frontière entre le Midlands et le Northerlands, et possèdent un territoire étroit et restreint.

      Le troisième groupe dit des immigrés, est réparti uniformément sur tout le territoire, excepté sur l'Archipel du Ponant, dont la rudesse du climat et les conditions difficile d'accès limitent drastiquement la part d'immigrés dans ces provinces reculées.



    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique : germanique, francien, anglo-saxon, chinois, sémitique...) ?

    • Les langues nationales officielles sont l'Anglais (majoritaire, parlée quotidienne par 75% de la population), le Français (parlée par 45% de la population) et enfin le Norvégien (parlée quotidiennement par 20% de la population). Bien entendu, beaucoup de Lofotènes sont bilingues et trilingues, maîtrisant à différents niveau de compétences ces 3 langues. Seuls 1,5% de la population ne maîtrisent pas au moins l'une de ses 3 langues, très majoritairement parmi le groupe culturel des autochtones.

      Les langues inuits sont trop nombreux pour être listées, officiellement le Conseil National Amérindien reconnaît 14 dialectes, avec leur syntaxe et grammaire propre. Beaucoup d'autres dialectes et langues locales ne sont que des dérivés des 14 langues inuits principales. 10 de ces langues sont désormais enseignées dans des écoles.
      13% de la population totale des Provinces-Unies maîtrise au moins l'une de ces langues inuits.

      La langue des signes est également reconnue et enseignée en milieu scolaire. Près de 22% de la population est capable de s'exprimer basiquement en langue des signes



    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ? (exemple dans la CK : la partie kaulthe parle kaulthe, la partie sapythe parle sapythe.)

    • La répartition des langues est en tout point conforme est calquée sur la répartition géographique des groupes culturels, exception bien sûr de la langue des signes. L'Anglais est bien évidemment majoritaire et demeure la langue la plus parlée sur l'ensemble du territoire, même dans les Provinces les plus reculées.
      Si l'Anglais est stable, et tends à progresser très légèrement, le Français en revanche, est en net recul, par rapport au Norvégien, qui suscite depuis quelques années un engouement et intérêt qui se confirme et voit son nombre de locuteurs augmenter de manière significative, même dans le Sutherlands, pourtant acquis aux Anglophones.


    • Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ?

    • L'administration fédérale reconnaît l'usage des trois langues que sont l'Anglais, le Français,et le Norvégien, à statut égal. Les langues inuits bien que reconnues et enseignées, ne sont pas utilisées dans les documents officiels de l'Etat.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?

    • C'est très majoritairement l'anglais qui est usité à l'étranger, même par les Natifs. Considérée comme la langue des affaires, alliées à une technicité et grammaire plutôt simple, elle est plébiscitée par les Lofotens, même par les locuteurs Norvégiens.
      En revanche, à Makt, qui a conservé le Norvégien comme langue principale, cet idiome est conservé traditionnellement, bien que pratiqué par une minorité de Lofotens. L'accent en revanche est foncièrement différent. Alors que le Maktois a évolué et a dérivé depuis le 16ème siècle, le Norvégien des Lofotens, plus rustique, est demeuré inchangé depuis l'époque coloniale, ce qui induit de nombreuses différences orthographiques et de prononciation, voir de vocable.



    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

      Les dialectes amérindiens sont parlés essentiellement voir exclusivement sur les territoires ancestraux des clans inuits qui les occupent. Même les Natifs intégrés parlent une des trois langues officielles nationales lorsqu'ils ne vivent pas à proximité de leurs territoires. En revanche, les dialectes inuits sont très différents les uns des autres, expliquant pourquoi le Conseil National Amérindien utilise l'Anglais et le Français pour coordonner et communiquer entre les clans.

  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?

    • Les religions pratiquées et officiellement représentées au sein des Provinces-Unies sont :
      - Le Protestantisme représentée par l'Eglise Réformée des Provinces-Unies
      - L'Abbayisme, représentée par l’Abbaye de l'Etoile du Nord
      - Le Catholicisme, représentée par l'Eglise Catholagnaise et Apostolique des Provinces-Unies
      - La religion Animiste, représentée par les différents clans du Conseil National Amérindien (en réalité, il y a plusieurs animismes, religions, et croyances, presque autant qu'il existe de villages inuits, très majoritairement polythéistes)
      -Autres : Bouddhisme, Islam, religion hébraïque, mais ces derniers n'ont pas de représentation ou d'institution officielle.



    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?

    • Le Protestantisme est présent sur l'ensemble des Provinces-Unies, c'est la religion dominante, qui a été diffusée très largement pendant la période coloniale et post coloniale, notamment grâce à la relative tolérance de l'administration du Protectorat de l'époque. Sa présence est beaucoup plus remarquable et importante dans les Provinces francophones. Toutefois il existe des temples protestants répartis uniformément, même jusque dans les provinces reculées de l'Archipel du Ponant.
      Le Catholicisme, qui était la religion pratiquée par les loyalistes et l'administration coloniale maktoise, est très minoritaire. Les ressentiments de la population à l'égard de la religion de la métropole a largement contribué à sa mise en minorité, puis aux très nombreuses conversations de masse qui ont eu lieu peu après la guerre d'indépendance. Elle est concentrée dans la capitale et ses alentours, dans le Sutherlands.
      L'Abbayisme, une religion polythéiste syncrétique, qui reprends à son compte la mythologiqe et le folklore nordique, gagne en popularité depuis plusieurs années. Plus un art de vivre et une culture qu'une véritable religion, elle possède néanmoins son propre clergé et ses prêtres ainsi que ses églises, ses Stavkirke, et est majoritaire dans le nord du pays, le Northerlands, ainsi que dans l'Archipel du Ponant, où elle concurrence le Protestantisme, qui actuellement en déclin.



    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?

    • Les citoyens lofotènes sont majoritairement irréligieux. Ils sont plus de 54% à se déclarer athées, ce qui en fait l'une des pays les moins religieux du monde. Cette part, qui n'a fait que progresser de manière continue et non interrompue depuis des siècles tends, très légèrement, à s'inverser depuis quelques années.

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    • L'Etat est officiellement athée, et la liberté de culte est garantie par la Charte d'Union, la constitution lofotène.
      En revanche, le Protestantisme conserve encore toute son influence et son empreinte dans la société civile. Plutôt progressiste, elle a permit,en ne s'opposant jamais frontalement aux gouvernements fédéraux, l'établissement d'avancées sociales significatives en matière de droits civiques, l'égalité sexuelle, les droits LGBTQIA+, la reconnaissance de la ségrégation envers les amérindiens....etc.

      L'écrasante majorité des Chanceliers et de Conseillers d'Etats étaient protestants, bien que depuis plusieurs mandats, les derniers Chanceliers(ères) ont fait part de leur agnosticisme ou athéisme.
      Le Catholicisme lui, a toujours été plutôt mal vu. Considéré comme archaïque et réfractaire sur de nombreux thèmes de société, les politiciens et officiels concernés ont souvent tût ou sont restés évasifs quant à la pratique du culte catholagnais. Mais la grande tolérance religieuse de la société lofotène a toutefois permit l'élection d'Atreus Fjörgyn, fervent catholique pratiquant et qui ne s'en ait jamais caché, à la fonction suprême de chancelier fédéral.

      L'Abbayisme quant à lui, est la seule religion qui progresse et gagne des "parts de marchés" parmi les fidèles, à tel point que des campagnes de recrutement pour devenir prêtre ou prêtresse s'accroissent ces dernières années.

      Les croyances animistes pratiquées par les clans Inuits décroissent également inéluctablement, avec le déclin démographique inhérent aux autochtones. De plus, les jeunes générations abandonnent généralement leurs religions ancestrales lorsque ces derniers s'aventurent et s'intègrent dans les centres urbains des Provinces-Unies.
    Les cultures du territoire :

    Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ? Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?
    Les Baïrs (nord du pays), Tehas (centre du pays), les Sehras (sud-est du pays) et Balaï (nord-est du pays) constituent les principaux groupes culturels du Banaïrah. Les Khalili occupent quant à eux l'île de Destanh.

    Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    La culture dominante est celle des Tehas (groupe arabe et magrébin), mais les différents groupes culturels accèdent au pouvoir, au moins local via les assemblées.

    Les langues présentes sur le territoire :

    Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique : germanique, francien, anglo-saxon, chinois, sémitique...) ?
    Le Tehak est la langue dominante et est parlée dans l'ensemble du pays. Il s'agit d'une langue proche de l'arabe. Des dialectes tribaux diverses subsistent encore, même en milieu citadin. Ils restent toutefois majoritairement utilisés par les nomades.

    Comment sont répartis géographiquement ces langues ?
    Celles-ci sont réparties de manière comparables aux groupes ethniques existant.
    Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ?
    Le Tehak est la langue officielle, l'arabe est parlé par la majorité de la population métropolitaine et fait partie des langues reconnues. Le grec ancien et le latin sont également reconnus car utilisés dans le domaine de la recherche. Quant aux dialectes tribaux, ils peuvent être reconnus localement, ce qui est le cas à Destanh notamment.

    Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?
    Etant donné la position géographique du Banairah, ce dernier a été influencé par la civilisation hellénique, faisant ainsi parti des pays limitrophes "tampon" avec la culture arabe. Le poids de l'Histoire a joué en la faveur de l'adoption de cours de grec moderne en tant que langue vivante secondaire dans les écoles. Le grec connaît un succès relatif dans le milieu scolaire et étudiant, principalement du fait de son utilisation dans l'ensemble du bassin bohrino-leucytaléen, jusqu'en Kaulthie dans les milieux nobles et cultivés. C'est cette portée économique et culturelle qui incite les Banairais à l'apprendre et l'utiliser à l'étranger, leurs voyages se cantonnant souvent à cette région entre autres pour des raisons pécunières. Le poids économique régional de pays comme la Cémétie qui conserve aujourd'hui encore son statut de première puissance afaréenne, et ce malgré de récentes contestations de ce titre par le Banairah et dans un proche avenir par l'Althlaj, ou de nouveaux venus comme Elpidia aux grandes réussites économiques a en effet de quoi motiver les futurs commerciaux et ingénieurs de demain.
    Le grec n'est pas la seule à occuper cette position : quoique moins porteur, le latin reste encore utilisé dans quelques pays -d'Eurysie par exemple- mais ces derniers se font rares sur la scène internationale, laissant cette langue dans une position secondaire. Le Grand Kah, à vrai dire, constitue l'un des seuls pays importants internationalement reconnaissant encore le latin. A noter également que les descendants d'immigrés eurysiens francophones parlent pour la plupart encore la langue de leurs aïeuls, ouvrant une autre sphère linguistique peut-être plus porteuse, rassemblant des pays disparates comme la Francisquie ou l'Izcalie.

    Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?
    De nombreux dialectes sont encore parlés au Banairah, et restent principalement utilisés du fait de l'importance des populations tribales, nomades et campagnardes. Le milieu urbain quant à lui est un centre d'impulsion du Tehak tel que parlé nationalement, avec des différences de vocabulaire et d'accents. Ces différences sont d'autant plus observables que les régions sont enclavées. La structure autonomiste du Banairah protège sans aucun doute les parlers locaux, notamment à travers l'importance des médias communaux.

    Les religions présentes sur le territoire :

    Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?
    La population banairaise, héritière d'une dépréciation de la religion dans son ensemble, se déclare majoritairement agnostique. Les études tablent sur une plage de 50% à 70% d'agnostiques, cependant les sociologues avançent l'hypothèse d'une activité religieuse plus intense que celle prévue par les chiffres, considérant que les Banairais considèrent la religion comme un ensemble de croyances appartenant au domaine du privé, du personnel et ne devant donc faire l'objet d'aucune mise en avant, fût-elle minime. L'Histoire du Banairah, marquée par des conflits religieux intenses, internes comme externes, ainsi que le développement de courants philosophiques pro-sciences et méfiants vis-à-vis de l'extrémisme religieux explique en grande partie la trace indélébile que l'on constate encore de nos jours. Plus récemment, la découverte de groupes terroristes favorables à l'instauration de la charia et hostiles à l'idéologie étatique rend le sujet encore plus sensible, qui est souvent considéré comme tabou, défrayant la chronique à chaque contestation de lois sur la religion inadaptées à l'époque actuelle et dont le plus célèbre et controversé exemple est l'interdiction des lieux religieux publiques.

    Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?
    La religion musulmane (sunnite) est présente sur l'ensemble du territoire, avec un taux de pratiquants bien plus élevé dans la région de Balaya. Cette région hérite d'un passé beaucoup plus centré sur la religion sunnite, et ce au-delà de l'annexion du royaume éponyme par le Banairah. En effet la démonstration de la puissance de la nation vainqueur et le contentement des populations locales passent par une politique de construction d'édifices religieux impressionnants. On peut citer la mosqué d'El Khayat construite en ce but. Les musulmans sunnites sont fortement présents dans l'île de Destanh où ils concurrencent leurs frères chiites. Leurs différences poussent ces derniers à se livrer une guerre qui ne dit pas son nom, résultant parfois à des affrontements violents dans les rares centres urbains de l'île.

    A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?
    Comme expliqué précedemment, l'irreligion est plus présente dans le Banairah "ancestral" (le Banairah actuel privé de Destanh et de Balaya), et dans les villes frappées par les conflits religieux il y a de cela plusieurs siècles. Néanmoins, nombreux sont les agnostiques présentant en vérité des croyances inspirées des cultes animistes tribaux et de l'islam.

    L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?
    L'Etat banairais est laïc. Néanmoins, l'état n'empêche pas pour l'instant le financement local de fêtes ou édifices religieux, ce qui laisse cette faille juridique (faille vis-à-vis de leur interdiction désormais plus que caduque des lieux de prière publiques, d'autant plus que leur interdiction est soupçonnée par certains de contribuer aux tensions) à la merci des volontés locales.
    Encore une fois, il s'agit de l'islam sunnite qui reste la religion dominante, pour des raisons historiques et géographiques, mais aussi culturelles.
    Aucune instance administrative publique comme privée n'organise ou ne participe à des persécutions religieuses, ce qui n'empêche pas l'existence de tensions locales œuvrant à l'échelle de l'individu ou du collectif religieux, tensions pouvant malheureusement déboucher sur des violences. La proximité des chiites et des sunnites à Destanh est à l'origine de luttes parfois frontales mais peu médiatisées du fait du tabou que représente ce problème. La venue de migrants varanyens questionne également : seront-ils l'objet d'agressions du fait de leurs croyances (les Varanyens pratiquant le zoroastrisme ou l'islam, islam qui peut être chiite et donc ouvrir un nouveau théâtre de tension dans une région balayenne très fervente) ou seront-ils les persécuteurs ? La religion pèse en effet bien plus au Varanya qu'au Banairah, ainsi les règles banairaises pourraient être considérés par ces derniers comme abusives voire blasphématoires.

    Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

    • Groupes culturels du territoire Lendave : Korosques (Slaves, 35,3%), Biscères (Latins du sud, 25,8%), Dolentes (Germaniques, 18,4%), Balavodes (Slaves, 6,6%), Notranes (Germaniques, 5,4%) et Lendave (Métissages des 3 ethnies principales, 4,5%)
      Minorités reconnues : Kaulthes (Germaniques, 1,7%), Reimines (Latins du sud, 0,9%), Sapythes (Slaves, 0,7%)

    • Comment sont réparties géographiquement ces cultures ?

    • Carte Ethnologique de Lendavie - Institut de Géographie de Lendavie, 2008

      carte

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

    • Pas de culture dominante, la stabilité de la nation est due à une bonne entente ethnique

    Les langues présentes sur le territoire :


    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?

    • Langues officielles : korosque (langue des Korosques, slave méridional), biscère (langue des Biscères, langue romane), dolente (langue des Dolentes, germanique), balavode (langue des Balavodes, slave) et notrane (langue des Notranes, dialecte Kaulthe germanique)
      Langues reconnues : kaulthe (langue des minorités Kaultes du nord), sapythe (langue des minorités Sapythes de l’ouest), reimine (langue romane des minorités Reimines du sud) et Latin (langue diplomatique)


    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?

    • Les Lendaves sont formés aux 3 principales langues du pays (korosque, biscère et dolente), et l’apprentissage d’au moins une de ces trois langues est obligatoire en plus de la langue maternelle. Le notrane étant proche du dolente, les locuteurs d’une des langues comprennent souvent l’autre, et son enseignement n’est pas obligatoire. En république de Notranie, les citoyens peuvent choisir entre le notrane et le korosque. Le balavode fait exception, n’étant proche d’aucune des autres langues (langue proche du sapythe parlé dans le Säptar), et son enseignement n’est pas obligatoire, les citoyens de la République de Balavodë pouvant choisir entre le korosque et le balavode.
      Hors du pays, les Lendaves parlent souvent le Latin, qui fait office de langue diplomatique.
      Les autres langues reconnues peuvent être enseignées, mais ne sont pas obligatoires.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

    • De nombreux dialectes sont présents sur le territoire, mais n’ont pas de statut officiel, et ne sont pas enseignés à l’école, la Lendavie se concentrant sur les 5 langues officielles.

    Les religions présentes sur le territoire :


    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?

    • 3 religions principales sont présentes sur le territoire : Le catholicisme romain, principalement majoritaire chez les biscères et les notranes, le catholicisme impérial kaulthe majoritaire chez les dolentes, et le christianisme orthodoxe majoritaire chez les korosques et les balavodes. Ces trois églises sont reconnues, mais les édifices religieux datant d’avant 1941 ont été nationalisés et appartient à l’état qui les entretient et les restaure, bien que les églises puissent encore y officier et les utiliser, moyennant paiement.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?

    • De manière assez uniforme, la domination communiste de la Lendave entre 1949 et 1981 a augmenté le nombre d’athéistes, si bien que 55% de la population Lendave se déclare athée. Chez les korosques, ce taux monte à 67% (le plus élevé chez un groupe culturel), tandis qu’il est de 45% chez les biscères (taux le plus bas)

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    • L’état est complètement laïque et séparé de la religion, qui n’a pas le pouvoir d’intervenir hors des lieux de cultes. Toutes les religions reconnues sont tolérées, l’état garantissant la liberté de culte, même si les cultes reconnus par l’état comme sectes sont prohibées
    République Impériale Pétroléonienne


    Données de ClovaStats, 2007.

    Les cultures du territoire :

    Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

    ClovaStats a écrit :
    Les différentes ethnies présentes en Clovanie sont les suivantes :
    - les Clovaniens (55%)
    - les Polites (10%)
    - les Almariens (5%)
    - les Rioltaves (5%)
    (métissés : 25%)

    Comment sont réparties géographiquement ces cultures ?

    ClovaStats a écrit :
    e

    Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ? (Les Kaulthes possèdent la quasi-totalité des fonctions de pouvoir.)

    ClovaStats a écrit :
    Les Clovaniens sont le peuple de souche de l'Empire, ils sont donc fortement présents dans la capitale, mais les ethnies sont égales en droit et les différences factuelles qui existaient entre elles sont effacées, si l'on écarte le fait que certains métiers sont plus exercés par certaines ethnies, par tradition. Les noms d'ethnies ne sont utilisées que pour différencier physiquement les individus.


    Les langues présentes sur le territoire :


    Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?

    ClovaStats a écrit :
    Le clovanien, une langue francienne est la langue la plus parlée en Clovanie. Le slavec, langue slave de la religion Ortholique n'est parlée que par les prêtres, mais le slavec populaire, sa version facilitée, est apprise à l'école et sue par les clovaniens. L'argot marin, dialecte d'inspiration slave et francienne est aussi parlé par les marins, ainsi que le français.

    Comment sont répartis géographiquement ces langues ?

    ClovaStats a écrit :
    Le clovanien est parlé sur l'entièreté du territoire, l'argot marin sur les côtes, et le français au nord.

    Quelle est la langue officielle de l'Etat ? Quelles sont les langues reconnues ?

    ClovaStats a écrit :
    Le clovanien et le slavec sont les deux langues officielles de la République Impériale Pétroléonienne. L'argot marin, le slavec populaire, ainsi que le le français sont aussi reconnues par l'Empire.

    Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'expriment-ils le plus souvent à l'étranger ?

    ClovaStats a écrit :
    Les clovaniens apprennent le russe et parlent le français à l'étranger.

    Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

    ClovaStats a écrit :
    L'argot marin est parlé sur les côtes de la Clovanie.


    Les religions présentes sur le territoire :

    Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer ?

    ClovaStats a écrit :
    L'Ortholicisme est la religion la plus répandue sur le territoire et peut être associée à l'Orthodoxie, à ces différences près : le Christ est absent de la religion, le Surhomme, la Volonté de puissance, le Dernier Homme sont des concepts ajoutés par Nietzki, le prophète des Ortholiques.
    Le Catholicisme est aussi présent, bien que très minoritaire.

    Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?

    ClovaStats a écrit :
    L'Ortholicisme est pratiqué sur tout le territoire, le Catholicisme est pratiqué au Nord.

    A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?

    ClovaStats a écrit :
    Les Clovaniens sont extrèmements religieux, seuls les membres les plus farouches de l'extrême gauche sont athées et se comptent en milliers. Le taux d'irreligion est donc de 0%.

    L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    ClovaStats a écrit :
    L'Ortholicisme est la religion d'Etat et est la religion dominante en Clovanie. Les catholiques sont parfois moqués, mais leur religion est respectée par l'Etat et les élites qui lui reconnaissent un grand patrimoine et une utilité indéniable dans l'histoire et dans la santé mentale des individus.
    Grand Kah

    Les Communes Unies du Grand Kah représentent un défi tout particulier pour les statisticiens de tout ordre essayant d'obtenir un aperçu clair de ses répartitions culturelles et religieuses. Issue d'une structure post-coloniale allant de pair avec l'arrivée de plusieurs cultures étrangères à sa région d'implantation, il faut aussi prendre un compte un solde migratoire très élevé et un système politique imposant un fonctionnement si différent du reste du monde sur certains aspects qu'il en soulève mécaniquement la question : qu'est-ce qui entre ou non dans la définition d'une culture. Est-ce que les habitudes, les tabous, codes ayant pour origine une culture politique donnée peuvent à terme entrer dans la culture sociale ? Est-ce qu'il faut considérer l'importante éducation politique composant la seule condition d'entrée sur le sol de l'Union comme un acte d'assimilation culturelle ? Où doit-on considérer la langue parlée et les quelques éléments traditionnels que les uns et les autres reproduisent encore en héritage de leurs ancêtres comme le véritable marqueur culturel viable?

    En bref un sino-kah-tanais et un hispano-kah-tanais sont-ils avant tout nazuméens et eurysien en vertu d'une langue, ethnie et d'éléments traditionnels, ou leur capacité à comprendre des mêmes codes et à reconnaitre un compas éthique similaire en fait-il tout deux, avant tout, des kah-tanais ?

    La réponse choisie, très fortement influencée par la présence de très nombreux universitaires kah-tanais dans le monde de la recherche sociale, est qu'il existe indubitablement une culture kah-tanaise propre, mais que celle-là, de par son syncrétisme, sa volonté de créolisation constante et son aspect polyglotte et polymorphe, doit être comprise comme une vérité concrète et évolutive.

  • Les cultures du territoire :

    • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    • Originellement, le territoire du Grand Kah métropolitain était dominé par différentes principautés, confédérations tribales et cités-états de cultures méso-paltoterranes. On parle des cultures nahualtèques, chan-chans, macro-zoeltèques, ayan, macro-nueltèques et amazériens. Ces cultures présentent des caractéristiques communes. Croyances mythologiques et pratiques religieuses comparables, science mathématique, astrologique, système d'écriture et de numérotation similaires. Ces cultures sont aussi séparées par certains aspects : organisation du cercle familiale traditionnel, aspects de la langue, cuisine et habillement, etc. La plupart de ces civilisations ont des origines communes ou ont convergé par commerce, l’immigration, les alliances et les conquêtes successives. Le principal facteur de différenciation demeure finalement les importantes différences écologiques des espaces occupés par ces cultures, par ailleurs séparées par des terrains parfois compliqués à traverser (massifs montagneux, jungles), imposant des styles de vie radicalement opposés et empêchant une régionalisation totale de certains pratiques.

      Les cultures exo-paltoterrannes sont arrivées à partir de la fin du quatorzièm siècle, avec l’arrivée des premiers envahisseurs eurysiens et nazuméens.

      Les invasions nazuméennes furent principalement menées par des empires de culture nippons et catheyennes, avec une légère prédominance nippone qui se renforça lors de guerres coloniales successives. L’existence de comptoirs austro-nazuméens dans la région peut être considérée comme globalement anecdotique.

      Du côté eurysien, ce furent plusieurs empires qui menèrent plusieurs politiques coloniales selon un ordre beaucoup plus désorganisé. Conquêtes de villes côtières, création de comptoirs commerciaux, implantations de pirates etc. En résulte tout de même une très forte implantation de populations franciennes, romans (spaniardes) et – plus moindre – listoniennes (lusophones).

      À partir du seizième siècle le gros de la région est sous contrôle total de la colonie nippone, qui essaie d'imposer une centralisation des pratiques religieuses, culturelles et politiques. Cette tentative participera notamment à la montée des mécontentements débouchant sur la révolution de 1774, après laquelle le Grand Kah entamera son Histoire de puissance indépendante. Il existait déjà les fondements d'une culture commune basée sur le mélange des cultures cohabitants. Après la révolution, le phénomène s'accélère notamment du fait d'une politique culturelle syncrétique visant spécifiquement à une meilleure cohabitation des différentes cultures, à laquelle s'ajoutent des vagues d'immigrations toujours pas taries à ce jour.

      Enfin, les communes exclaves présentent majoritairement des cultures propres à leur région d'implantation. Perlesites (nelnelluan, chapa rui), Anglo-Norse, celto-francienne (Marquises), maghrébines, austro-nazuméennes. Ces exclaves ont toutes rejoint l'Union de leur plein grès et un véritable effort a été fait par la population locale pour en adopter les codes, largement facilité par la nature relativement autarcique du marché culturel Kah-tanais, véritable soft-power destiné à un marché intérieur particulièrement réceptif.

    • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

    • Le Grand Kah était une confédération, il est techniquement possible de déterminer commune par commune quelle culture domine un espace géographique donné. Dans les grandes lignes : la culture nahualtèque est présente dans les environs de Lac-Rouge. La culture chan-chans autour de Chan Chimù et du nord de l'Union, la culture macro-zoeltèque s'étend de Tlacuahian à la côte ouest, la culture ayan occupe le sud-est de l'Union, la culture macro-nueltèques une grande partie du sud-ouest, et la culture amazérienne la pointe est faisant face au Yuhanaca (bien qu'étant techniquement répartie à travers toute la jungle, les cultures nueltèques et ayan contenant d'importantes traces amazériennes, mélangées à des éléments culturels propres et à l'influence nahualtèque).

      La culturelle catheyenne est principalement représentée sur la côte sud-ouest, la culture Niponne s'enfonce de la côte Ouest jusqu'à Lac-Rouge, la culture Francienne occupe le nord-est, la culture spaniarde le sud-est jusqu'à Lac-Rouge, la culture listonienne cohabite avec la culture amazérienne.

      La plupart des grands centres urbains sont fondamentalement multi-culturels, et l'importante immigration depuis plus de deux siècles a donnée lieu à la création de très nombreuses communes de culture différente. Il y a des poches clairement slaves, germaniques, varates, même alkubules depuis quelques décennies.

    • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

    Le Grand Kah est une confédération. Fondamentalement, son État n'a pas de culture dominante. On peut cependant considérer que la culture propre à la confédération est proprement... Kah-tanaise. C'est une culture politique issue du syncrétisme des cultures traditionnelles et coloniales. Les méthodes de communication modernes tendent à renforcer la diffusion de ce bloc culturel plus unitaire.

  • Les langues présentes sur le territoire :

    • Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire ?
    • Si on se limite aux langues représentées de façon importante dans l'Union, les langues parlées en son sein sont le japonais, le chinois, le coréen, le nahuatl, le quechua, le macro-ayan, le spaniard, le listonnien (portugais), le francien, les langues arabes et berbères, le norse, et l'anglais. 75% de la population apprends aussi à parler le syncrelingue, aussi nommé syncrelangue, construction artificielle utilisée lors de la révolution mais depuis largement adoptée par la société civile. Tous les enfants apprennent essentiellement le syncrelingue, puis une seconde langue - généralement indigène - selon la région d'implantation.

    • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?

    • Similairement aux cultures. Les deux sont intimement liées.

    • Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ?

    • La charte constituante confédérale protège le droit des communes à employer la langue de leur choix dans leur fonctionnement quotidien. En d'autres termes toutes les langues peuvent être reconnues selon la commune. Cependant la Confédération utilise principalement le syncrelingue, qui avait été créé dans ce but-même.

    • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ?

    • La question de la langue est très importante au sein du Grand Kah, notamment pour permettre aux habitants de différentes communes de communiquer entre-eux. La plupart des kah-tanais parlent deux langues, généralement la langue majoritaire de leur commune puis le syncrelingue, bien que dans certains territoires - notamment urbains - la langue "majoritaire" soit en fait le syncrelingue, auquel cas on apprendra plutôt la langue "traditionnelle" d'un de ses parents. Dans la conception générale de la population il ne s'agit pas tant d'une langue secondaire que d'une seconde langue pleinement comprise. Le niveau de maîtrise du syncrelingue est très élevé parmi les citoyens l’apprenant. Les kah-tanais utilisent leur langue traditionnelle lorsqu'ils se déplacent à l'étranger. Plus rarement, certains apprennent une troisième langue de leur choix.

    • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

    Les dialectes sont omniprésents sur le territoire. Généralement issus d'un mélange de langues traditionnelles, coloniales et indigènes. L'éloignement géographique et le relatif isolement de certaines communes donne aussi lieu à la création d'expressions, d'accents et d'éléments vernaculaires propres. Le plus étonnant reste sans doute le patois franco-celte largement utilisé dans les communes exclave eurysiennes.

  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Églises ou institutions religieuses sont présentes ?

    • De très nombreuses religions sont présentes sur le territoire kah-tanais, charriées par le flot ininterrompu de nouveaux habitants ou arrivées avec les premiers colons. Les principales religions présentes sur le sol de l'Union restent le téotlisme (et autres animismes paltoterrns), les religions chrétiennes (avec une large majorité de catholiques), des taoïstes et des shintoïstes.

      Des organisations religieuses sont tolérées, quoi que très encadrées. On peut par exemple noter la création récente du "Temple du Travail Damaniste" à Commune Ville-Libre, ou le cas très particulier de l’Église Catholique Kah-tanaise, rattachées au Saint-Siège de Catholagne mais appliquant des règles adaptées aux lois de l'Union.

    • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?

    • Les religions nazuméennes sont principalement pratiquées sur la côte Ouest, les cultes chrétiens sur la côte est. Les religions traditionnelles, téotlistes, animistes sont pratiquées sur tout le territoire. La pratique organisée de culte pour les religions minoritaires est rendue difficile par l'éclatement géographique des croyants, qui se répartissent sur tout le territoire.

    • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ?

    • Athées/Agnostiques : 37%
      Téotlistes : 17%
      Chrétiens : 14%
      Taoïstes : 8,6
      Shintoïsme : 5%
      Juifs : 3,5%
      Bouddhistes : 3,3%
      Musulmans : 3%
      Hindouistes : 2,2%
      Zoroastristes : 2%
      Damanistes : 1,8%
      Sikhes : 1%
      Autres (sectes, religions locales, New Âge, ultraminoritaire etc) : 1,6%

      L’irréligion progresse au sein de la population du fait d'une éducation confédérale largement rationaliste. La plupart des individus se reconnaissant comme membres d'une communauté religieuse ou d'une autre son non-pratiquants et une infime minorité d'entre-eux ont une vision rigoriste de leur foi.

    • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ?

    • Il n'y a pas de religion d’État. Le téotlisme, les cultes chrétiens et les grandes religions asiatiques sont bien représentées dans certaines communes. Les religions organisées sont tolérées mais largement surveillée, notamment l’Église catholique à laquelle on reproche sa collaboration avec la dernière junte militaire, ce qui s’est traduit par de nombreuses saisies de biens, condamnations de prélats, etc. Du reste, beaucoup de fondamentaux religieux sont jugés réactionnaires. Le Grand Kah et ses communes ont, à plusieurs reprises, imposé d’importantes modifications à la pratique de certaine religions. Ainsi, les femmes sont admises à tous les rangs de l’administration de l’Église catholique Kah-tanaise, ce qui fit grincer de nombreuses dents à travers le monde mais n’entraîna pas de condamnation de la part de la papauté.

      De manière générale la question religieuse est traitée comme une question personnelle, et les institutions religieuses comme des hiérarchies d'exploitation, d'où un certain particularisme dans l'organisation des cultes sur le sol du Grand Kah.
    PRINCIPAUTÉ DE CÉMÉTIE

    Les cultures du territoire :

    Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?
    Le territoire de la Principauté de Cémétie est principalement divisée entre helléniques (grecs) et hiptiques (coptes, démotiques), avec des petits groupes culturels haut-thaonien (nilotiques, soudanais, nubiens), lengadocien (colons d'origine occitane) et ivrite (hébreux). Un essor des varanyens (persans) est notable avec les vagues migratoires lors du conflit au Varanya en 2006.

    Comment sont répartis géographiquement ces cultures ? Si la culture hiptique occupe un espace géographique très important, son poids dans la démographie du pays n'est pas aussi grand (seulement un tiers de la population est hiptophone). Comme suit :
    Carte des cultures
    Carte des cultures par nome en Cémétie

    Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?
    Les helléniques dominent largement les structures institutionnelles. Les hiptiques contrôlent un peu l'arrière-pays, les communes et quelques institutions régionales. Les lengadociens ont un statut d'autonomie régionale (gouvernorat autonome de Ginhac) et les autres populations de la région sont gommés de la carte administrative (car pèsent peu). Des ministres issus de la communauté hiptique sont cependant de plus en plus nombreux et la nomination en 2008 d'un Prothypourgos (Premier ministre et chef du gouvernement) issu de la communauté hiptique, Abraam Tadros, joue en la faveur de cette communauté qui reste globalement snobée par les hautes sphères du pouvoir.

    Les langues présentes sur le territoire :

    Quelles langues sont parlées quotidiennement sur le territoire (essayer de les lier à un groupe linguistique : germanique, francien, anglo-saxon, chinois, sémitique...) ? L'hellénique, du groupe linguistique du même nom, est la langue la plus parlée, partagée par une grande majorité de la population (langue officielle, institutionnelle et véhiculaire. L'hiptique est la seconde langue la plus parlée du pays (un tiers de la population) et langue maternelle/vernaculaire de tous les hiptiques et est héritée de l'hiptique ancien, langue des pharaons pré-helléniques ; la communauté linguistique a appris à s'organiser contre les tentatives d'épuration culturelle et l'hiptique, du groupe linguistique nord-sémitique, est relativement épargné. Le lengadocien, issu des langues romanes et toujours rattaché à celles-ci, dispose d'un statut spécial, comme l'hiptique, de langue reconnue par le pays. Les institutions régionales autonomes garantissent la survie de la langue, qui sert également aux affaires et à échanger avec l'Eurysie. L'ivrite, du groupe linguistique nord-sémitique, pratiqué par la communauté du même nom, est très hermétique et comporte peu de locuteurs surtout en-dehors de la communauté. L'alti-thaonien, du groupe linguistique sud-sémitique/chamito-sémitique du sud, est parlé par une petite communauté noire du sud du pays. Le varanyen, du groupe linguistique aryen, est pratiqué par la diaspora dispersée entre différentes villes du pays et sans accroche géographique forte.

    Comment sont répartis géographiquement ces langues ? De la même manière que pour les cultures (cf. carte plus haut). Le lien entre cultures et langues est très fort en Cémétie.

    Quelle est la langue officielle de l'Etat (préciser si il y en a plusieurs) ? Quelles sont les langues reconnues ? La langue officielle est l'hellénique, mais le lengadocien et l'hiptique sont reconnues comme langues secondaires de la Cémétie. Les autres langues ne disposent d'aucune reconnaissance institutionnelle.

    Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ? Comment s'exprime-t-il le plus souvent à l'étranger ? L'hellénique est la langue véhiculaire du pays, pratiquée par une grande majorité de la population, notamment dans les zones à fort échange (villes, vallées fluviales et le long des grands axes de circulation ferroviaire et routière). Les cémétiens s'expriment souvent en hellénique à l'étranger, les citoyens de langue hiptique ayant cependant des liens avec les pays frontaliers au sud de la Cémétie et y pratiquant leur langue, comme les haut-thaoniens. Les lengadociens pratiquent leur langue à l'internationale car facilement compréhensible pour les populations éduquées d'Eurysie.

    Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ? Des itérations régionales existent mais sont très peu différentes des langues en elles-mêmes.

    Les religions présentes sur le territoire :

    Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ? La grande majorité de la population cémétéenne est chrétienne, partagée entre Eglise orthodoxe du patriarcat d'Héraclée pour helléniques et hiptiques et Eglise catholique autonome de Ginhac pour les lengadociens. Les ivrites pratiquent le judaïsme et les haut-thaoniens, comme les varanyens, sont en majorité convertis au christianisme orthodoxe.

    Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ? Comme suit :
    Carte des religions en Cémétie
    Carte des religions en Cémétie

    A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? L'athéisme est peu présent en Cémétie, la religion jouant un fort rôle communautaire et national. Quelques communautés se développent dans les grands centres-villes urbanisés et suréduqués, mais ces chiffres restent très faibles.

    L'État a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? Officiellement, l'Etat cémétéen est neutre vis-à-vis des religions mais en réalité la grande majorité des institutions sont chrétiennes orthodoxes et pro-chrétiennes ; à l'exception du judaïsme et du zoroastrisme, la plupart des autres fois et confessions sont maltraitées par l'Etat central et la puissance publique.
    Sérénissime République de Fortuna


    Les cultures du territoire :


  • Quelles sont les différents groupes culturels présents sur le territoire ?

  • Officiellement, il n'y a qu'une seule culture au sein de la Sérénissime, la culture Fortunéenne cela va de soit. Ceci dit, il ne faut pas s'arrêter à ce simple état de fait car il est plus complexe qu'il ne laisse à paraître car en vérité ladite culture "unique" n'en est pas une. Entendons par là que la vocation universelle, mondialiste et progressiste de la Sérénissime, sa nature profonde donc, délaisse le concept de culture en tant que tel, considérant ces dernières comme un ajout future à celle de Fortuna. En somme du point de vue fortunéen, il s'agit ni plus ni moins que d'un immense "Melting Pot" trouvant ses sources plusieurs siècles auparavant et qui n'a ainsi cessé d'absorber d'autres coutumes, traditions peuplades et ainsi de suite.

    Cependant, malgré cette considération quelque peu philosophique et plus théorique que pratique, il existe bien évidemment des us et des ethnies en fonction des régions, mais dans la croyance commune, il est de bon aloi de parler de sous genres quand on souhaite les différencier ce pour des considérations purement idéologique pourrait-on dire puisque les moeurs classiques en Fortuna consistent à juger un homme à son mérite, à ses capacités plutôt qu'à ses origines, aussi accorde-t-on en fin de compte peu de considération à l'idée de groupes culturels.

    Toutefois, la doctrine républicaine pour des raisons purement administrative classe l'ensemble des Fortunéens en trois grands groupes afin de faciliter ses manoeuvres bureaucratiques, l'on distingue ainsi le Fortunéen métropolitain du Fortunéen Canossien et des Fortunéens d'Outre-mer qui sont les trois grands groupes incluant eux même des sous-genre, ce que l'on nommait plus les ethnies. De manière générale, les métropolitains se distinguent en fonction des grandes métropoles et régions attenante, ce qui donne à titre d'exemple les Régallien sur l'île mère et la capitale, les Destinois sur la péninsule Rivolienne ou encore les Némésien de Léandra. La même logique s'applique à Canossa, cependant, les territoires d'outre-mer quand à eux voient en fonction des région des associations de proximité, l'île de Caspary en face de Novigrad entre autre abritant des ethnies hélléniques fortunéennes se voit administrativement lié alors à l'île de Rosdhos à l'est du canal de Théodosine de par les usages de la populace et la similitude de l'autogestion locale.

    Nota Bene : Cette conception particulière du domaine de cultures et d'ethnies si elle peut être assez intrigante n'en reste cependant qu'un procédé purement pratique vivant à simplifier au maximum les analyses à faire sur le sujet. De fait, la Sérénissime naturalisant et intégrant des individus comme des peuples en son sein aujourd'hui encore et depuis des siècles, cela va de soit qu'il serait presque impossible de faire les comptes avec précision selon les standards classiques, d'où ce tour de passe-passe administratif.


  • Comment sont répartis géographiquement ces cultures ?

  • Comme mentionnée plus haut, les Fortunéens de métropole occupent l'île Mère, les territoires bordant le Lidos et la péninsule Léandrienne d'Ostremont. Les fortunéens de Canossa demeurent sur l'ensemble de la Paltoterra Fortunéenne, à savoir la "Grande émeraude" et les îles se trouvant légèrement au nord de celle ci. Enfin, les Fortunéens d'Outre-mer se trouvent partout à travers l'Afarée, le Nazum et l'Halula au sein des divers territoires insulaires et enclaves continentales dispersés ci et là, il est toutefois à noter que ces derniers sont sujet à des influences plus poussées des états voisins, lesdites influences étant variables en fonction des nations dans la région.


  • Quelle est la culture de l'Etat et/ou la culture dominante ?

  • Dans les faits, les Fortunéens de Métropole étaient encore majoritaires il y a quelques décennies de cela, mais désormais ce statut revient aux Canossiens tandis que ceux d'outre-mer demeurent les éternels troisièmes. L'on estime en termes de Statistique que Canossa abrite environ 40 % de la population totale de la Sérénissime, la métropole environ 36 % et l'outre-mer environ 24 %.


  • Les langues présentes sur le territoire :

  • Quelles langues sont parlées quotidiennement

  • Deux langues dites majeures sont parlés quotidiennement au sein de la Sérénissime, l'Italien (Dit le Fortunéen) parlé à travers l'ensemble du territoire à travers le globe et le Portuguais (Une variante Fortunéenne) parlé principalement à Canossa, certaines îles et dans certaines parties de la métropole. Dans l'ensemble l'on ne retient généralement que ces deux là cependant, les territoires étant extrêmement variés dans leurs composantes et nombreux à travers le monde, de très nombreux dialectes et patois locaux sont ainsi encore bien vivant en tant que langue, il n'est d'ailleurs nullement un euphémisme de souligner que chaque territoire d'outre-mer notamment dispose pour des raisons autant historiques que pratique de dialectes propre. Aussi, il n'est pas rare de voir parler des langues dites étrangères, à savoir officielle dans d'autres états, ce en fonction des régions ainsi les enclaves Nazuméennes de Fortuna ont tendance à voir le Jashurien être parlé couramment à titre d'exemple.


  • Comment sont répartis géographiquement ces langues ?

  • Comme mentionnée plus haut, l'Italien (Le Fortunéen) est parlé à travers tout le territoire, le Portuguais dans la partie occidentale de la métropole, dans les archipels à l'ouest de l'afarée composant le triangle d'or et bien évidemment à Canossa. Et derrière les territoires d'outre-mer ont chacun des dialectes propres dans l'ensemble.


  • Quelle est la langue officielle de l'Etat

  • Officiellement, l'Italien (Fortunéen) est le langage national et est considérée du point de vue légal et des institutions comme tel, ayant court ainsi dans l'ensemble du territoire de la Métropole aux possessions de Leste en passant par Canossa et l'Oeste. Cependant, la constitution Fortunéenne reconnaît le droit aux localités des territoires hors métropole de désigner d'autres dialectes ou langues officielles qui n'auront cependant de valeur légale que dans lesdites localités et point au delà. Afin d'éviter toutefois une mascarade administrative complexe et sans fin dû à ses concessions issues de la nouvelle constitution de 1953, il est de coutume que les documents, textes et autres créations transcrites dans divers langages "officiels" au gré des localités disposent systématiquement de copies en fortunéen.


  • Quelles langues parlent les habitants du territoire en parallèle à leur langue usuelle ?

  • Les contacts avec les autres nations et civilisations étant monnaie courante, il n'est pas rare pour chaque fortunéen de parler plusieurs langues, de fait là encore leur choix varie en fonction des localités, les territoires du Nazum favoriseront en général l'enseignement du Jashurien tandis que ceux d'Afarée de l'est préfèreront le Tehak et ainsi de suite. Il n'y nullement de modèle prédéfini, les variations et possibilités étant en somme infinis. La seule certitude en fin de compte est que les cursus littéraires sont hautement prisés et considérés au sein de la société fortunéenne dû à la nécessité de concilier par la langue avec les étrangers et permettre un dialogue productif et récurrent.


  • Des dialectes sont ils présents ? Comment sont-ils répartis sur le territoire ?

  • Comme dit précédemment il existe en soit autant de dialectes que de territoires d'outre-mer fortunéen, et dans une moindre mesure la métropole dispose aussi de variantes du Fortunéen bien que régionales uniquement et assez méconnues. Les principales "variantes" étant le Rivolien, le Léandrais et le Miraglien, qui demeurent toutefois bien plus similaire de la langue originelle dans son usage que le "Canossien" en tant que tel. [quote][/list]

  • Les religions présentes sur le territoire :

    • Quelles sont les différentes religions présentes sur le territoire ? A quel groupe peut-on les associer (chrétien, musulman, bouddhiste...) ? Quelles Eglises ou institutions religieuses sont présentes ?

    • [quote]La liberté de culte étant un droit fondamental garanti par la constitution républicaine, il va de soit que nombreuses sont les religions présentes au sein de Fortuna. Entre autre, l'on retrouve notamment les trois grands groupes monothéistes que sont la Chrétienté, l'Islam et le Judaïsmes et ce dans leurs divers courants notamment pour les deux premiers tel que le Catholan, le Protestantisme, l'Orthodoxie, le Chiisme, le Sunnisme et ainsi de suite. L'on notera aussi dans certains territoires la présence de cultes dit "Orientaux" incluant les groupes Bouddhisme, Theravāda, Hindouistes voir même Confucianiste ou Taoïste et c'est là sans compter sur des panthéons considérés comme païen qui bien que mineurs et peu répandu sont aussi présents.


  • Comment ces religions sont-elles réparties géographiquement sur le territoire ?

  • En premier lieu, les trois grandes religions monothéistes sont présentes à travers tous les territoires fortunéens sans exceptions, ce malgré que les divers courants est cependant des préférences de régions selon toute vraisemblance vis à vis de leur présence. Ainsi, l'Islam sera plus souvent présent en Afarée, l'Orthodoxie sur les îles de Leucytalée et à l'est du canal de Théodosine tandis que les protestants préfèrent orbiter en métropole continentale, les juifs favorisant surtout pour leur part la région de Miraglia et l'île mère. Les groupes "Orientaux" pour leurs part sont surtout au Nazum tandis que les panthéons païens siègent principalement dans les îles d'Halula. Le Christianisme Catholan pour sa part est sans conteste le grand maître de Canossa.


  • A quel taux l'athéisme, l'agnosticisme et plus largement l'irreligion sont-ils présents sur le territoire ? Et le sont-ils plus à certains endroits ? (exemple CK : la population est encore très profondément religieuse, laissant très peu de place à l'irreligion (entre 1 et 4 %)

  • De manière générale, l'athéisme supplante toutes les religions, ce pour des raisons autant idéologique qu'historique ainsi que la doctrine politique de la Sérénissime qui a maintenu dans ce domaine un certains cap depuis des siècles sans discontinuer. Entre autre, l'on estime l'athéiste comme majoritaire vis à vis des religions "majeures" au sein du territoire et orbitant autour de 36% de la population. De manière générale, cet état de fait est surtout constatable en métropole.


  • L'Etat a-t-il une religion ? Quelle religion est plus ou moins dominante dans la société, et où ? Y'a-t-il des persécutions religieuses ? (exemple CK : les catholiques romains, même s'ils sont plutôt peu, sont persécutés par le pouvoir et par la population catholique impériale. La religion d'Etat est le catholicisme impérial.

  • La Sérénissime n'a pas de religion officielle, comme le disait un dicton du moyen-âge après tout "Fortunéen avant chrétien", et cette maxime est encore très vrai de no jours. Cependant, et selon les sondages, l'on estime la répartition des religions comme tel :

  • 1ère "religion" : Athéisme (36 %)
  • 2ème religion : Catholique (30 %)
  • 3ème religion : Chrétienne hors Catholicisme [Ascendants majeur pour le protestantisme et l'Orthodoxie] (9 %
  • 4ème religion : Islam (8 %)
  • 5ème religion : Judaïsme (5 %)
  • 6ème religion : Bouddhisme / Theravāda (4 %)
  • 7ème religion : Hindouisme (3 %)
  • 8ème religion : Confucianisme / Taoïsme (3 %)
  • Autres cultes & panthéons mineurs & / ou païens (2%)

  • Qui plus est, la coexistence des divers cultes est dans l'ensemble pacifique et les persécutions inexistantes, ce dû à la législation républicaine mettant l'accent sur la liberté de culte et aux moeurs traditionnelles réprouvant les excès religieux. Ceci dit, il est relativement mal vu, au moins à Rio de Canossa de n'être point Catholan.
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