11/03/2013
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Activités étrangères en Youslévie

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Activités étrangères en Youslévie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Youslévie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Youslévie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Giorgio
HRP a écrit :
Le RP ne peut pas être utilisé directement

Le 17 Septembre 2008
Giorjio Almanohi passe la frontière Youslève sans trop d'encombre, en même temps, il n'est pas très dur de la franchir, il suffit de passer par les montagnes...
Giorgio Almanohi se trouve maintenant dans un autre pays, il est donc en sécurité, mais pour combien de temps...
Il lui faut maintenant trouver un moyen de prendre un avion et de fuir dans un pays lointain, sans papier, et tout en étant recherché... Ça ne sera pas simple.
Giorgio a prévu au moins un mois de vivres s'il doit rester dans les montagnes, mais lors de son départ précipité, il n'a préparé aucun plan, il lui reste tout à prévoir... Au pire, il peut toujours rester caché en Youslévie, et pourquoi pas reprendre ses activités ?
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L'ambassade Lofotène en Youslévie, un objet de curiosité qui attire tous les regards

ambassadelofotenesedjan

Les Provinces-Unies, la nation nordique par excellence, s'était installée au cœur de la capitale youslève, à Sedjan, après une sollicitation diplomatique réussie, les deux pays souhaitant un rapprochement mutuel, renforcé par la victoire électoral des libéraux.
De son nom officiel, l'Hôtel Consulaire des Provinces-Unies du Lofoten, faisant référence direct aux activités de l'ancien bâtiment rénové et réhabilité pour l'occasion : le Casino d'Eden, une salle de spectacle grandiose adossé à un établissement hôtelier de luxe ayant fait faillite dans les années 60.
Le lieu de divertissement par excellence où se côtoyaient joyeusement les artistes et la jeunesse dorée de l'époque. N'existe il pas endroit plus approprié que celui là pour accueillir la représentation diplomatique lofotène ?

C'était un véritable bijoux d'architecture art déco dans un écrin de dorures et de stucs, son imposante façade domine toujours l'une des places principales de la ville, la Place des Héros de la République. Le Casino a ouvert ses portes en 1928 et a été conçu par les architectes Cassiano Florencio Dias et David Belcourt-Darville. Au sommet de l'immense façade de plâtre blanc se trouve une frise en pierre représentant des acteurs stylisés évoquant une scène de théâtre. Au rez-de-chaussée se trouvait une arcade de boutiques et la grande salle de spectacle était accessible par une série d'escaliers qui menaient au premier étage où se trouvait l'entrée du Casino. Les lofotènes attachaient une importance toute particulière aux années 20 et 30, le Golden Age, où l'apogée de la nation mercantile, qui se targuaient d'avoir établit des comptoirs commerciaux à travers le monde, et dont les navires parcouraient toutes les mers du globe. Une époque fascinante de tous les possibles, d'autant plus qu'elle s'était terminée de manière plutôt abrupte par une violente crise économique dont le pays failli ne pas se relever.

Atrium
L'Atrium de l'Hôtel Consulaire, les cabines où l'on vendait des tickets ou des friandises ont été enlevées, et parfois remplacées par des drapeaux lofotènes.

Les sièges du grand auditorium étaient situés au niveau de l'orchestre et deux balcons au-dessus.
Le propriétaire de l'époque, Louis Descombes, riche industriel ayant fait fortune dans le textile, était un amoureux et un mécène des arts, et plus particulièrement des arts figuratifs. Passionné d'art déco, il voulait faire de son Casino un véritable temple dédiée à la gloire de ce style qui avait le vent en poupe dans ces années là.
Il connut cependant une fin moins glorieuse que celle de son inauguration. La famille Descombes, criblée de dettes, ne parvint pas à maintenir à flots l'onéreux bâtiment, qui faute d'entretien, tomba quelque peu en ruine, et fut fermée en 1961 pour raison de sécurité en attendant des travaux de réhabilitation et de mise aux normes qui ne vint jamais. Depuis, il fut purement et simplement abandonné, avant d'être racheté par un fond de pension lofotène, depuis peu propriété de la Citizen Bank. Elle entreprit une rénovation complète de l'extérieur, puis initia celle de l'intérieur dans le but de convertir le bâtiment en hôtel de luxe. Le projet ne fut jamais achevé à son terme, et la banque céda pour une bouchée de pain le bail et les murs au Département d'Etat des Affaires Etrangères qui décida de parachever les travaux.


interieurambanssade
L'ancien restaurant, reconvertit en salon-bar pour les visiteurs de l'Hôtel Consulaire, appelé le Salon Lífþrasir, du nom de l'un des derniers être humains de Ragnarök dans la mythologie lofotène. On dit qu'on y trouve les meilleurs alcool importés du monde

Après 12 mois seulement, un record, l'Hôtel Consulaire pouvait de nouveau ouvrir ses portes et accueillir du public. Enfin tout du moins les diplomates lofotènes. La façade avait été conservée mais légèrement modifiée en supprimant les deux immenses espaces d'affiches de films publicitaires de films et en "ouvrant" l'espace en fournissant un atrium qui avait pour but d'impressionner et de donner au visiteur une sensation de grandeur et d'espace. Les salles de réunion sont apparemment en forme de tarte pour s'adapter à l'intérieur de l'ancien espace de l'auditorium, et pour optimiser tout l'espace. D'autres modifications structurelles avaient été apportée à l'édifice, mais pour des raisons de sécurité évidentes, la nature exacte de celles ci est demeurée ...confidentielle.
Toutefois il était tout à fait possible à la population de pénétrer dans l'enceinte consulaire, tout du moins dans l'Atrium, ou bien de se restaurer dans le Salon Lífþrasir, non sans avoir préalablement passé un contrôle de sécurité assez poussé, cela va sans dire. Toutefois cela ne semblait pas freiner l'irrésistible envie de se plonger à nouveau dans les décors envoutants des années 30, et de se prendre au jeu, à se surprendre à flâner tels les acteurs et célébrités de cette époque sulfureuse.

ambassadriceamerindiennne
Mme Selma Katla'kondirek, ambassadrice des Provinces-Unies en Youslevie, nommée en mars 2008

L'ambassadrice des Provinces-Unies, Selma Katla'kondirek, d'origine amérindienne de la tribu des Abéquins et membre du parti-social démocrate lofotène, était une amie intime du Chancelier Fédéral Atreus Fjörgyn. Elle avait bien entendu rencontré le ministre des affaires étrangères dès sa prise de fonction et présenté ses hommages à Mme Leone Vaillancour.
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autorisation

Un mois après leur arrivée à la frontière du Kronos, des troupes du contingent de maintien de la paix de Manche Silice commandées par le colonel Ernesto Huevos ont mis les pieds en territoire youslève. Le congrès de Youslévie a validé la création de points de passages et les autorités nationales ont désigné quatre corridors exclusifs. Les unités vont ainsi pouvoir patrouiller de part et d'autre de la frontière.

Témoignage de Rafael Das Brumas, soldat de première classe en permanence à Lokeren
"A notre arrivée en Youslévie, nous avons été accueillis par une dizaine de soldats. L'accueil a été courtois. J'ai proposé une cigarette à un jeune homme comme je l'ai vu dans des livres d'histoire sur les fraternisations entre armées mais il m'a fait signe qu'il n'était pas intéressé. La discussion n'est pas facile, mon chef d'unité, le lieutenant Alfonso Carbajal, vient de Matka, il comprend la langue et fait office d'interprète.

Après trois jours de bivouac aux abords de la frontière, j'ai été autorisé avec deux autres collègues à partir en permission à Lokeren, la grande ville située à une vingtaine de kilomètres. Accompagnés par des soldats youslèves jusqu'à notre hôtel, les habitants nous dévisageaient, la plupart avec curiosité, quelques-uns avec suspicion. Une fois douchés, nous nous sommes changés en tenue civiles et avons retrouvés des guides locaux pour une visite de Lokeren.

J'ai été très marqué par notre passage dans un camp de réfugiés du Kronos. Ils sont installés ici depuis un an. Ils ont fui la guerre civile. Je n'en avais jamais entendu parler. Une femme avec un enfant en bas-âge dans les bras m'a expliqué que son mari avait été tué sur ordre de Baldassarre Calabraise, [i]"un dictateur sanguinaire à qui il faudrait un jour faire payer pour ses crimes"
. Pour adoucir cette journée intense, nous avons été invités au stade municipal pour assister à un match de football de l'équipe locale"[/i]

Témoignage de Javier Lopetegui, soldat de première classe en permanence à Ivinios

"En permission, j'ai décidé de me rendre à Ivinios dans la région du Sud-Des Saisies parce que l'on m'avait dit que c'était une station de ski sympa. Arrivé sur place, immense déception, il n'y avait plus de neige. Apparemment l'hiver a été doux. Cela ne fait pas les affaires de la population locale qui, du fait des tensions avec le Kronos, reçoit beaucoup moins de touristes ces dernières années.

Il y a un quartier particulièrement mal fréquenté dans une zone en friche où l'on peut trouver tout un tas de paradis artificiels et de belles de nuit. Certaines jeunes recrues se rendent là-bas pour décompresser après ce mois intense loin de l'Ostremont. Je ne veux pas les juger mais ce serait dommage qu'ils terminent la mission à cause d'une chaude pisse (ou pire).

J'ai rencontré un vasque qui travaille dans une brasserie. Il avait un portrait de l'ex-directeur Romeretegui accroché à la cheminée centrale et évoquait avec nostalgie ses six ans de mandats. Il assure que depuis l'arrivée au pouvoir de Leone Vallancour, il ressent un sentiment de relégation sociale insupportable et songe comme des milliers de compatriotes à émigrer. Je trouve cela très triste et lui ai recommandé la Manche Silice"
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DOSSIER CLASSÉ SECRET DÉFENSE

Message secret
Information secrète réservée aux personnes autorisées
2285
Journal national

Serrage de main

14 février 2009| Une rencontre au sommet pour la paix en Eurysie.


Le porte-parole du gouvernement, Giorgi Knesset, a annoncé il y a maintenant trois jours, la tenue d’une rencontre avec de nombreux états eury-siens concernant la paix, la sécurité et la stabilité sur le continent. Sous l’impulsion de la ministre des affaires étrangères Eleonóra Kemenes, des dizaines d’invitations ont étés envoyés aux principaux États eurysiens afin de pouvoir discuter ensemble d’une désescalade continentale. Le secrétaire général de la Loduarie communiste, personnage extrêmement controversé a annoncé participer à cette rencontre ainsi que le Président de la République kronienne. Lors de cette rencontre « plusieurs grands et houleux sujets seront abordés », nous confie un conseiller de l’actuel Premier ministre, Bálint Nemeth. Rappelons-nous, il y a maintenant deux ans l’Eurysie fut secouée entre coups d’État, montée du communisme et chute des régimes en place. Plusieurs pays sombrèrent ainsi dans l’anarchie la plus totale mettant ainsi en danger les gouvernements voisins. De ces troubles sont nés des tensions entre ces nouveaux gouvernements et leurs voisins. La crise au Prodnov a révélé il y a peu de temps de nouveau point chauds, qui, avec le temps, risquent de devenir la source d’un conflit qui deviendra rapidement mondial.

Le sommet se tiendra ce lundi pour une durée de 3 jours avec plus de 9 participants, chefs d’État ou de gouvernement. Parmi eux, le Pharois Syndikaali, les Communes-Unies du Grand Kah, Canta, Kronos, la République libre du Prodnov, la République de Peprolov, le Jashuria, la manche Silice et la Loduarie Communiste. Malgré ses nombreux participants l’on peut noter plusieurs absents dont la République fédératrice de Youslévie et le Royaume-Soudé. Les raisons de ces absences n’ont pas encore étés communiqués par le cabinet, bien que le gouvernement youslève n’est pas manqué de se plaindre contre cette « non-invitation », qualifiant même la rencontre de « sommet de la honte ». Des propos qui furent rapidement évoqués par la ministre des affaires étrangères qui n’a pas manqué de faire de l’humour affirmant que la directrice Leone Vaillancour, sont « trop occupée à montrer les muscles avec les dirigeants kronniens pour s’intéresser à la diplomatie et à la compréhension ». Pour cette rencontre qui restera sans doute dans l’histoire, un dispositif exceptionnel a été mis en place pour protéger les différents hommes d’État. Plus de 2 000 policiers seront mobilisés ainsi que l’accès à la ville portuaire de Leylo totalement bloquée.
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16/05/2009 à 6 heures
Aéroport Ezio Arnages (Sedjan)

Suite à l'allocution de la directrice du conseil de la république fédératrice de Youslévie, Leone Vallancour, actant la militarisation complète de la frontière avec le Kronos, la mission de maintien de la paix de Manche Silice touche à sa fin. Une soixantaine de militaires va être évacuée vers l'Ostremont par voie maritime via le Kronos. Un effectif équivalent doit regagner le pays via la Youslévie.

Retouraubercail

Le colonel Ernesto Huevos a réuni ses hommes autour du point de passage de Lokeren pour annoncer solennellement la fin de la mission. Une cérémonie était organisée en présence de représentants des armées kroniennes et youslèves avec l'envoie des couleurs des trois pays avec l'accompagnement d'un orchestre composé de soldats des trois nations, jouant les trois hymnes nationaux. "Je retiens la grande coopération de chacun tout au long de cette mission qui a démarré en janvier. Nous rentrons avec le sentiment du devoir accompli, dans le respect de vos souverainetés. Je sais que de part et d'autre de cette frontière, qui a bien failli se transformer en ligne de front, il y a des soldats valeureux, au service de leur nation, qui ont su garder leur sang-froid en toute circonstance. Perdre l'un de mes hommes, d'une balle négligemment tirée aurait été un drame dont je ne me serai pas remis. Rompez et à bientôt en Manche Silice pour ceux qui nous quittent dès demain".

Sous escorte armée des soldats youslèves, les dizaines de soldats siliquéens montèrent dans un bus en direction de la capitale, Sedjan, Lokeren ne disposant pas d'aéroport. Un vol spécial à destination de Rio de l'Estuaire a été affrété tôt pour éviter de perturber le trafic habituel et sécuriser la zone. Arrivé dans le terminal de l'aéroport Ezio Arnages, le major Oskar Preklad ordonna au soldat de première classe Rafael Das Brumas, de faire l'appel. En égrainant les noms de la soixantaine d'éléments, le militaire récoltait de timides "présent", tant les hommes étaient fatigués par le trajet. Pensant avoir entendu répondre l'ensemble du corps expéditionnaire, il confirma au major Preklad que tout le monde était présent. Les soldats montèrent à bord de l'appareil qui décolla vingt-minutes plus tard pour la Manche Silice. Dans l'avion, plusieurs soldats dévisagèrent l'un des passagers qu'ils ne reconnaissaient pas comme l'un des leurs. Das Brumas intima d'un regard agressifs les militaires interrogatifs d'ignorer la présence de cet individu mystérieux.

Qui a profité du convoi pour quitter la zone krono-youslève et pourquoi ? A-t-il pris la place d'un soldat siliquéen ? Autant de question encore en suspend tant que la mission ne s'est pas réunie comme convenu à Rio de l'Estuaire le 21 mai, avec l'arrivée de la deuxième partie du contingent par la mer.
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El Globo

13 juin 2009 - La candidature youslève jouit d’un fort soutien en provenance des sphères politiques alguarenas.

Soutien à l'international pour une adhésion de la République youslève à l'Organisation des Nations Commerçantes.
Différentes nations, dont la Fédération d’Alguarena, membre fondateur de l'Organisation des Nations Commerçantes, encouragent l’adhésion de la Youslévie.


Sa gouvernance, représentée par la présidence fédérale d’Alguarena de Mazeri Abrogara, une personnalité très attachée à la paix et la pacification de l’Eurysie, exprime “un soutien inconditionnel” à la demande d’adhésion formulée par la République Fédératrice de Youslévie.
Le soutien alguareno à la candidature youslève pour l’intégration de l’ONC, intervient pourtant dans un contexte géopolitique difficile sur le théâtre eurysien, où les tensions entre la république communiste de Loduarie et la république fédératrice de Youslèvie sont à leur apogée, obligeant jusqu’ici au concours altruiste de la Trépublique silicienne, qui a dépêché un contingent militaire sur place en vue de tenir un no man’s land susceptible d’empêcher la rencontre entre les deux forces armées rivales. Un geste salvateur et bienveillant qui avait capté l’attention des autorités alguarenas, donatrices de plusieurs drones de reconnaissance afin que la République de Manche Silice puisse oeuvrer, sans exposer inutilement la vie de ses soldats, à la surveillance et au maintien de la paix sur place.

Il faut dire, qu’il soit question de la Manche-Silice ou de la Youslévie, qu’il faut être sacrément engagé en faveur de la paix pour ne pas céder aux provocations agitées par les différentes représentations communistes eurysiennes, loduarienne et kronosienne en tête, des provocations matérialisées par d’inlassables mouvements de troupes aux frontières avec la Clovanie (depuis la Loduarie) et la Youslèvie (depuis le Kronos).

Une situation périlleuse, au sein de l’un des continents les plus belliqueux au monde, compte tenu des différents points de tension et d’affrontements armés qui l’ont traversé sur la dernière décennie… La demande d’adhésion de la Youslévie à l’ONC, est donc dans ce contexte là une échappatoire au conflit, par un effet dissuasif fort et la reprise des activités économiques ou commerciales qui auraient pu être impactées par la crainte d’un conflit armé entre les deux nations eurysiennes.

La présidente fédérale Mazeri Abrogara, soucieuse de ne laisser paraître aucune ambiguïté quant à son soutien à la candidature youslève en faveur d’une intégration prochaine de l’ONC, a déclaré réaffirmer “un soutien plein et entier à la souveraineté de la République de Youslèvie, acteur de premier plan pour le maintien de la paix en Eurysie” déclarant parallèlement à ces propos, ne jamais reconnaître pour solution viable les démonstrations de force édictées par les nations communistes eurysiennes, “un fléau gangréneux niché dans le sein nourricier qu’est l’Eurysie pour le monde, ce vieux continent berceau des principales civilisations connues à ce jour…”

En sus de la présidente fédérale Mazeri Abrogara, ce sont plusieurs personnalités politiques qui se sont exprimées en faveur de la demande d’adhésion youslève, reconnaissant à ce pays une posture responsable, retenue et mesurée, dirigée vers l’intérêt commun par la quête perpétuelle d’un évitement de la guerre en Eurysie.
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La diaspora Lofotène de Youslévie enthousiaste à l'idée de rejoindre l'ONC

C'est à l'initiative de la communauté lofotène de Youslévie, présente depuis des années dans cette région d'Eurysie occidentale à la suite des vagues migratoires du Grand Repli (ndlr : dépression économique et ultraconservatisme des années 30) qu'une marche a été organisée dans les rues de la capitale en vue d'affirmer un soutien affiché à la candidature récente de leur pays d'adoption à l'ONC.

La manifestation, pacifique, bon enfant, et pleine de bienveillance, a réuni pas moins de 8000 personnes dans la métropole de Sedjan, et dans une moindre mesure dans les autres villes provinciales, incluant bien entendu de nombreux Youslèves mais également beaucoup d'étrangers et d'expatriés, qui voient en l'adhésion de leur nation l'opportunité d'améliorer grandement leur situation et de mettre un terme aux potentielles menaces et intimidations exercés par leurs remuants et agités voisins communistes, toujours prompts aux pressions militaires et diplomatiques de toutes les sortes.

manifestationyouslévie


Les récentes tensions frontalières avec le régime ultra autoritaire de Kronos, suivies d'escalades puis de désescalades avec la Loduarie, l'autre dictature communiste de la région, avaient fait prendre conscience à de nombreux habitants de la république youslève de leur délicate position en Eurysie.
Le gouvernement libéral de Léone Vaillancour, qui avait par ailleurs pu compter sur un soutien électoral massif des expatriés lofotènes, puisqu'elle avait remporté pas moins de 80% des suffrages de leur communauté, avait ces derniers temps multiplié les gages de stabilité économique et de crédibilité politique, tandis que s'agitaient les régimes autoritaires eurysiens, armés et soutenus plus ou moins officiellement par d'autres grandes puissances mondiales telles que le Grand Kah et le Pharois, voyant un intérêt à maintenir un niveau de tension diplomatique et de potentialité conflictuelle sur le vieux continent.

Un conflit à plus large échelle ainsi qu'une invasion de la Youslévie par les communistes fut même il y a peu envisagé comme un scénario plausible et avait fait quelque peu paniquer les milieux politiques et économiques de la république eurysienne, qui avait alors augmenté son budget militaire, mis en quête de soutiens à l'étranger, et pris des mesures de renforcement et de protection aux frontières. L'intervention salutaire de la Manche Silice et un miraculeux retour à la raison du leader Kronosien avait semble t il permit l'installation d'un climat favorable à la détente et éloigner la perspective peu réjouissante d'une nouvelle guerre en Eurysie, qui aurait selon toute vraisemblance impacté toute la région, déjà fort instable depuis la crise du Prodnov et les jeux d'influences et manœuvres d'intervention orchestrées par les autres puissances. L'ONC et la sphère communiste en tête.

Un bras de fer qui peut dégénérer à tout moment, bien que jusqu'à présent les gouvernements des différents acteurs régionaux et mondiaux ont toujours su se maîtriser et faire preuve de retenue et de modération, et se sont pour le moment contentés de démonstrations de force et de manœuvres dissuasives sans se risquer à un conflit direct. A l'exception notable de la Loduarie, toujours encline à mettre de l'huile sur le feu et semblant saisir chaque opportunité de s'immiscer dans des luttes de pouvoir qui ne la concernent pas, histoire de rajouter au chaos ambiant.

Les Lofotènes présents en Youslévie se sont principalement installés dans la capitale, où ils occupent de nombreux postes dans des secteurs aussi variés que l'industrie et l'économie tertiaire, touristique notamment.
Hôtels, casinos, établissements de divertissements en tout genre, et également commerces de bouche sont, sans surprise, souvent tenus par des ressortissants des Provinces-Unies.

Récemment le consulat lofotène avait fait peau neuve, et s'était ostensiblement démarqué de ses pairs, afin d'affirmer la présence des Provinces-Unies et de rassurer la communauté des nombreux expatriés, dont l'inquiétude et l'angoisse avaient finit par les gagner durant la crise frontalières.

Malgré tout, même si le processus d'adhésion est officiellement enclenché, il se doit avant toute chose d'être examiné et validé par les membres du bureau exécutif de l'ONC, qui doivent donc désormais se pencher sur les critères d'éligibilité et les garanties économiques de la Youslévie, avant de se prononcer. Un processus plus ou moins là mais nécessaire, assurance du sérieux et de la légitimité de l'organisation.

Beaucoup d'observateurs politiques internationaux et de diplomates quant à eux, attendent avec impatience et circonspection la réaction des voisins communistes à cette adhésion, quelle sera donc la nature de leur réponse s'il devait y en avoir une.
1950
[CLASSÉ SECRET DÉFENSE]

Opération Y-FBD-1
Classe : opération militaire Internationale


Message secret
Information secrète réservée aux personnes autorisées


HRP a écrit :
Merci au joueur de la Youslévie de ne pas paniquer et de ne pas prendre de décisions hâtive, attends l'arbitrage des modos pour ça
Merci ;)
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El Globo

10 juillet 2009 - Les industriels de l’armement alguarenos voudraient toucher le marché youslève.

Vedettes lance-missiles antinavires
Compte tenu des tensions grandissantes entre l’état youslève et les nations communistes eurysiennes, les industriels de l’armement alguarenos aimeraient positionner des produits de qualité au sein de ses armées.


Une machine industrielle forte et à la pointe des dernières technologies est un élément, si ce n’est essentiel, important au sein d’une politique de défense en 2009. Toutefois, malgré son renforcement depuis les années 2000, l’industrie de l’armement n’a pas connu un bond technologique au sein de chaque état à travers le monde et un bon nombre d’entre eux se bat encore, ou à minima envisage sa défense nationale, avec des équipements rustiques et totalement obsolètes.

Aujourd’hui, après avoir été les pionnières de la commercialisation d’armements à l’international, les sociétés Benca et Marbone ont constaté un renforcement de la concurrence et une mondialisation, comme tout le reste, de l’appareil de production des industriels de l’armement internationaux. Cette concurrence renforcée sur le marché international de l’armement, renforce les contraintes budgétaires des industriels qui cherchent à produire autant mais à moindre coûts. Dans ce contexte, le développement des exportations devient une nécessité, le marché intérieur permis par les forces armées fédérales n’étant pas extensible. De plus, il est à noter que les armées fédérales recherchent actuellement la modernisation de leur parc militaire, une modernisation inscrite au travers d’un long processus impliquant parfois jusqu’à plusieurs années de recherche. Aussi, les productions militaires issues de l’industrie alguarena à l’instant T, n’ont pas vocation à équiper les forces armées fédérales mais les états de la scène internationale.

Si le volume d’armements actuellement commercé à l’international tend à baisser d’année en année, le degré de technologie embarqué dans ces équipements militaires apparaît de plus en plus important. On vend moins mais de meilleure qualité, tous les industriels des nations à l’international sont concernés par le phénomène…
Le marché youslève, une opportunité nourrie par la Loduarie et le Kronos. Si le développement des opportunités d’exportations est un enjeu de tous les jours pour les industriels de l’armement à travers le monde, l’identification de ces opportunités n’est jamais chose aisé et il appartient à ces industriels, d’analyser scrupuleusement l’évolution de la situation géopolitique mondiale, pour apprécier les marchés internationaux les plus faciles à pénétrer.

Sous ce registre, il est permis de noter que la Youslèvie est un état particulièrement concerné par le développement d’une politique de défense et de réarmement, considérant la cristallisation des tensions dans ses relations bilatérales avec le Kronos et la Loduarie.

Manoeuvres militaires hostiles à ses frontières, discours d’intimidations visant à ébranler l’opinion publique locale, la batterie d’actions offensives graduelles dirigées contre les institutions et la société civile youslèves ont amené ces derniers à l’accomplissement de premières mesures réactionnaires, notamment portées par la demande d’adhésion du pays au sein de l’Organisation des Nations Commerçantes. Les menaces multiples qui ont assailli la Youslèvie sur les douze derniers mois oblige à une politique de défense claire et implacable, pour nourrir une capacité défensive dont le pays ne peut aujourd’hui se targuer, en opposition face à un seul de ses ennemis intimes, loduarien pour le nommer précisément. Sur un plan naval, la Youslévie n’a pas les moyens de tenir, aussi minimes soient-ils, ses accès côtiers vers la mer leucytaléenne. Composés d’un patrouilleur et d’une dizaine de vedettes équipées de façon très sommaire, les éléments de la marine youslève ne peuvent pas, à ce jour, constituer un groupe naval, se limitant davantage à une garde côtière.

Compte tenu d’une faible exposition aux espaces maritimes, cet état de fait pourrait passer pour un choix tactique judicieux s’il avait permis de compenser les deux autres armes des forces militaires nationales : l’armée de terre et l’armée de l’air. Malheureusement, sur ces registres également le constat reste assez sévère, puisque seule une vingtaine d’appareils obsolètes est dédiée à la défense antiaérienne. Aucun appareil capable d’exercer des frappes de représailles sur un territoire ennemi. Un territoire ennemi, possiblement inaccessible, compte de l’absence totale également, d’avions ravitailleurs. Les capacités de projection de la force aérienne youslève sont, malgré la présence d’un important nombre d’appareils de transport, inexistantes.

Le seul sursis de la nation pourrait reposer dans le déploiement des lance-roquettes multiples, des unités qui constituent à elles seules, une force de frappe conséquente et non négligeable. Mais considérant leur faible mobilité et l’absence d’une réelle force militaire terrestre capable d’occuper des positions défensives à l’intérieur des frontières youslèves, elles seraient très vite atteintes et engagées, aussi éloignées de la ligne de front qu’on puisse les envisager. Par ailleurs, faut-il préciser que ces unités, si elles ont vocation à être déployer sous une posture défensive, seront nécessairement à mettre en comparaison des capacités d’artillerie des États limitrophes à la Youslèvie. Si cette comparaison devait se poursuivre avec les forces d’artillerie kronosiennes, un avantage kronosien serait à concéder, étant donné la capacité de ce dernier à pouvoir déployer, non pas plus de lance-roquettes multiples que son voisin youslève, mais des batteries plus modernes, disposant d’une meilleure puissance de feu, d’un temps de recharge plus efficient, etc…

En définitive, considérant les tensions en cours dans l’espace Sud-Eurysien et les capacités militaires de la République de Youslévie, il est à noter que la paix ne tient pas de sa capacité à pouvoir dissuader une action militaire conjointe du Kronos et de la Loduarie, mais de celle à pouvoir cumuler les concessions et les actions infamantes envoyées de la part de forces communistes ennemies aux aguets. Dans ce contexte, la République de Youslévie est “condamnée à la guerre” et à l’internationalisation, si elle souhaite espérer sur le court et moyen terme, réaffirmer ses possessions souveraines et un certain effet sur les capacités militaires de ses détracteurs.

Mais que les opinions publiques youslèves et eurysiennes se rassurent, il existe sur les marchés de l’armement internationaux suffisamment d’équipements pour entretenir une force dissuasive, tant sur un plan quantitatif que qualitatif. Après, face à cela, il faut considérer la (faible) capacité de l’outil industriel militaire youslève pour entretenir ce contingent militaire. Si une recommandation était permise aux autorités politiques youslèves, elle se porterait sur le développement très prochain d’une force de réaction rapide, nourrie par différents petits véhicules de combat modernes, à même de s’opposer à une force blindée hostile, d’installer une ligne de front qui préserverait l’artillerie d’un contact direct avec l’ennemi. Une voire trois escadrilles de chasseurs bombardiers modernisés (avec un foutu avion ravitailleur de dieu) pour couvrir de longues distances et permettre une première réaction rapide en cas de menaces distantes (comme des frappes d’artillerie ennemies loin derrière la ligne de front).

Sur le plan naval, les industriels alguarenos produisent des vedettes très modernisées, dont la puissance de feu d’un bâteau vient égaler, et même surclasser, celle d’un patrouilleur standard.

Les experts sont donc formels, pour un budget de cent millions de pesetas alguarenas, la République de Youslèvie a les moyens de compenser l’écart militaire entretenu depuis quelques années avec les puissances intermédiaires, notamment celles communistes appartenant à son environnement directement limitrophe.
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Madame Orvokki Järvenpää, ainsi que sont assistant, monsieur Hemminki Kemppainen se retrouvèrent tous les deux à la gare d'Hauta-Aho, l'une des deux seules gares du pays. Madame Järvenpää habitait à Hauta-Aho même, tandis que monsieur Kemppainen habitait dans un petit village en périphérie. Les deux diplomates, prirent le train à la première heure en direction de la capitale Paasilinna. Après un voyage passer dans les meilleures conditions, les deux protagonistes arrivèrent sous les coups de neuf heures du matin dans la capitale. Après un traditionnel discours de la présidente, concernant les formalités et après la prise de parole à la presse, nos deux diplomates furent invitées dans le bureau de la présidente. Madame Pokka avait à leur parler.

Pasi Pokka : Bien, je vous ai choisi tous les deux pour votre joie de vivre significative. Dans la missive que j'ai reçue concernant notre échange d'ambassadeur avec la Youslèvie, j'ai senti madame Leone Vaillancour quelque peu tristounette. J'ai bien réfléchi et je pense que cette atmosphère morose ressentit lors de la lecture de ce message, reflète de l'humeur générale régnant en ce moment en Youslèvie. Les conflits récents les opposant à des forces belliqueuse, j'ai nommé les forces armées de Kronos, y est sûrement pour quelque chose. Voici pourquoi vous avez été choisis parmi les nombreux candidats disponibles, vous devez essayer de mettre un peu de joie dans la vie des Youslève. Je vous en sais capable.
De plus, vous serez chargé de me remettre un rapport détaillé des événements se déroulant en Youslèvie tous les mois d'octobre.
Ceci étant dit bonne chance à vous, représenter pour le mieux le Finnevalta, c'est votre mission.

Une fois ce petit ordre donné par la présidente, nos deux ambassadeurs, se dirigèrent vers le port de Paasilinna, vers dix heures du matin. Une fois au port nos deux diplomates ainsi que la délégation les accompagnants embarquèrent dans le bon vieux navire cargo Finnevaltai, direction l'aéroport de Pharot au Syndikaali. Une semaine avant, l'avion de ligne nommé Flokon, gentiment donner par nos frères Albiens du Pharois Syndikaali, avait été acheminer à l'aéroport de Pharot.
Une fois arriver, au alentour de quatorze heures, après quelques heures de bateau, la délégation Finnevaltaise se prépara à monter dans l'immense avion de ligne. C'était la première fois qu'une délégation Finnevaltaise allait survoler les terres Eurysienne. La plupart étaient angoissées à l'idée de cette nouvelle perspective. Le voyage allait durer environ 5 - 6 heures de Pharot à Sedjan.

Trajet

Forte heureusement, le voyage, c'est admirablement bien passer pour notre délégation malgré de nombreux hauts de cœur ressentit ou exprimer directement par nos Finnevaltai préféré. Arriver à Sedjan vers vingt et une heure la délégation Finnevaltaise se rendit directement à l'ambassade, un magnifique bâtiment sans doute prévu à cet effet. Ils furent accueillis rapidement par des représentants Youslève, qui leur firent visiter les locaux. Après cela et bon repas typique de la Youslèvie, nos diplomates ainsi que leur délégation décidèrent de ce coucher compte tenu de leur journée de demain qui s'annonce extrêmement chargé. Comme toute celle à venir en fait...
2007
L'International, le journal Loduarien de l'actualité mondiale.


En Youslévie, la guerre des ondes est lancée


Annonce choc de ces derniers temps en Youslévie : la radio "Radio Wingston" a été officiellement reconnue par le gouvernement Youslève. À l'aurore des tensions avec la régime communiste de Kronos, cette annonce a toute son importance : la Youslévie reconnaît la présence de terroristes hostiles à son voisin sur son territoire encourage leur "combat".
Petit retour sur la situation.

Il y a quelques mois, un présentateur radio de la Radio Wingston décide de virer du côté terroriste et prononce un discours anti-communiste sur une radio massivement écouté par les ouvriers Kroniens. Pour des raisons inconnues, ce présentateur ne se présentera pas à son travail le lendemain.
Malgré tout, certains de ses collègues acquis à ses idées partent en Youslévie et décident de continuer sa "sainte" action, publiant chaque jour toujours plus de programmes anti-communistes et terroristes, incitant la population Kronienne à la conversion à leur "combat" de terroriste.
La chose aurait pu s'arrêter d'elle même avant d'occasionner d'importantes pertes parmi le peuple Kronien, mais cette option est maintenant plus à négliger. La raison : ces terroristes sont soutenus.

La Youslévie, dans sa grande humanité, à décidé de soutenir des terroristes revendiquant un président qui n'a pas osé ordonner à son armée de tirer sur leurs compatriotes. Une action qui cette fois çi, est pleinement condamné par la Loduarie.

Secrétaire Général de la Loduarie communiste, Geraert-Wojtkowiak Lorenzo a écrit :

En reconnaissant "Radio Wingston", la Youslévie reconnaît et soutien des terroristes hostiles à Kronos. En reconnaissant ces terroristes, la Youslévie lance une escalade qui aboutira peut être encore, au malheur des populations et à une escalade militaire. Nous devons éviter cela, et cette fois çi l'évitement de cette situation passera par son nouvel initiateur, la Youslévie.

N'oublions pas que la Youslévie a longtemps exigée la retrait des troupes Kroniennes de la frontière Kronienne-Youslève pendant 2 ans jusqu'à ce que Kronos décide, dans l'optique de ne pas faire plus angoisser son peuple ainsi que le peuple Youslève, de retirer ses troupes. Dans ce cas là, si une escalade militaire est lancée, ce sera la Youslévie qui sera responsable.
À elle de voir quel choix elle fera.
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15 Janvier 2010 - La gouvernance kronienne de Calabraise : le boucher collectionneur d’armes de destruction massive qui effraie le monde.


L'action kronienne portée par Baldassare Calabraise, une menace permanente et létale pour l'environnement social et économique mondial.
Le régime kronien de Calabraise : 1000 crimes et infamies, avec autant de casus belli, pour définitivement en finir avec la menace (clic gauche pour agrandir).

Calabraise, un boucher sanguinaire.

Si les dictatures totalitaires d’extrême-gauche ne représentent qu’une part infime des nations et des richesses de ce monde, force est aujourd’hui de constater qu’elles représentent néanmoins l’essentiel des foyers de tensions et de conflictualités à l’international. Déjà contrainte de défaire la dictature prodnovienne qui massacrait à tour de bras, la communauté internationale doit-elle s’emparer du cas de Baldassare Calabraise avant qu’il ne commette l’irréparable?

Il a longtemps été permis de citer parmi les bouchers les plus mondialement connus, le cas du dictateur communiste prodnovien Kuklin Viktor, auteur des exécutions sommaires contre sa population à Bridjesko, qu’il accusait d’avoir soutenu des terroristes ayant fait assassiner son prédécesseur. Bridjesko devenait alors à la face du monde, une boucherie à ciel ouvert que les pays eurysiens s’étaient juré de ne plus revoir, considérant la désolation apportée à tout un continent et les troubles persistants au Prodnov qui continuent actuellement de faire paraître un avenir incertain au-dessus de lui. Pourtant et malgré le fait que le nombre de victimes civiles ne surclasse pas (encore) les massacres perpétrés par Kuklin Viktor, d’autres dictateurs d’obédience communiste ont aujourd'hui signé d’une tâche rouge sang indélébile, des méfaits nouveaux. Ainsi, après la disparition du dictateur prodnovien Kuklin Viktor, les morgues et les veuves ont appris à redouter un nouveau bourreau en la personne de Baldassare Calabraise, le despote de la République de Kronos.

Dirigeant liberticide, ce tyran est surtout connu pour avoir ordonné la fermeture de ses frontières avec ses voisins eurysiens, la Youslévie en tête, sur qui il faisait peser la menace permanente d’un conflit armé. Mais cette fermeture des frontières s’est accompagnée d’une autorisation de recours à des tirs létaux contre toutes les personnes désireuses de la franchir. De franchir la frontière dans un sens mais également l’autre, ce qui implique donc l'exécution non chiffrée de civils kroniens ayant tenté de quitter le pays.

A ces exécutions sommaires, pour quiconque souhaiterait “quitter l’eldorado rouge”, s’ajoute également l’accomplissement de travaux forcés au sein d’usines chimiques installées sur le territoire kronien afaréen. La chaîne d’information d’état kronews ne s’en cache pas, à quoi bon se donner cette peine : le gouvernement kronien envoie par la force tout opposant politique (cf : manifestants ou toute personne susceptible d’avoir une pensée contraire à celle formatée par le régime Calabraise) dans des usines chimiques, pour l’accomplissement de travaux dangereux et forcés, avec pour seule contrepartie de pouvoir dormir et manger sur place. Un esclavagisme en Afarée qui ne dit pas son nom.

Le cynisme et la cruauté de la gouvernance kronienne, dirigés indistinctement contre son peuple qu’il devrait chérir, semblent donc ne pas connaître une quelconque limite, par sa capacité à utiliser ses soldats, les protecteurs du pays en personne, pour abattre des citoyens désireux de passer la frontière. Outre ces faits macabres, il est à porter à la connaissance du plus grand nombre, que de nombreux opposants politiques kroniens (comprenez par là, tout citoyen ayant eu envie ou besoin un jour d’exprimer son mécontentement envers la politique gouvernementale) travaillent contraints et forcés au sein d’usines chimiques afaréennes, sans qu’il soit permis que de quelconque protections leur soient fournis (gants, masques, combinaisons, lunettes anti-projection, rince-oeil, etc…). Le gouvernement kronien est une menace pour le monde mais aussi pour son peuple qui se meurt à petit feu sous l'ingéniosité de sa barbarie.

Calabraise, une menace permanente.

Si nous avons longuement pu évoquer la menace que le tyran kronien faisait peser sur son propre peuple, il nous appartient aujourd’hui de ne pas négliger la menace que ce dernier entretient sur la scène internationale. Une menace qui se veut permanente, du fait du rêve exprimé pour qui souhaite l’entendre, d’acquérir des missiles balistiques et projetables à des milliers de kilomètres du Kronos, sous une posture strictement offensive. Des missiles balistiques qu’il souhaite acquérir en très grand nombre, les identifiant comme “bien utile pour la suite” sous entendu utilisables à court, moyen et long terme… Le stockage de missiles balistiques entre les mains d’un boucher et l’attente de voir celui-ci en mesure de projeter sa menace balistique vers n‘importe quelle destination, notamment grâce à l’emploi de sous-marins lanceurs d’engins, laisse poindre un péril encore plus dangereux qu’il ne saurait être présentement.

La capacité d’un dirigeant à faire abattre sa population aux frontières et à la faire mourir à petit feu dans des usines chimiques sous le coup des travaux forcés, doit nous convaincre de l’incompatibilité de ce même dictateur à possiblement détenir de telles armes de destruction massive. Précisons d’ailleurs qu’une fois en leur possession, le dictateur d’Eurysie méridionale s’était targué de pouvoir cibler n’importe quel espace Youslève, zone urbanisée ou non confondues. Un rêve dont il défendait publiquement l’accomplissement sur sa chaîne d'État.

S’il est aujourd’hui indiscutable que les kroniens soient les premières victimes de la politique intérieure sauvageonne déployée par le tyran de Pendragon, la possibilité de voir cette barbarie s’étaler sur la scène internationale, touchant les nations étrangères avec lesquelles Baldassare Calabraise nourrit intentionnellement les conflictualités, n’a jamais été aussi proche que maintenant. Un risque et une menace insoutenables, un risque et une menace permanents, qui doit inviter chaque représentant du monde libre, à empêcher l’accumulation d’une telle capacité de nuisance par le tyran de Pendagron, fut-elle au moyen d’une intervention armée destinée à limiter, voire à supprimer, sa capacité de nuisance… Il faut dire qu’en matière de missiles balistiques, Baldassare Calabraise n’en est pas à son coup d’essai, après l’opportunité manquée pour lui d’implanter des bases militaires (pas moins de trois) dans le Nord-aleucien, auprès de l’Empire du Nord, un régime colonial acoquiné pour des raisons floues et obscures, au tyran de Pendragon.

Des bases installées à la hâte et sur lesquelles la gouvernance Calabraise aurait plein pouvoirs pour y installer des missiles balistiques, mettant à sa dangereuse portée, les populations lofotenoises. Un positionnement inadmissible qui avait obligé les États à faire pression sur l’Empire du Nord, pour entraver l’ouverture et la mise en place opérationnelle de ces bases militaires terriblement menaçantes pour les foyers urbains internationaux.

L’intervention militaire au Kronos, une évidence.

Dans ces circonstances, il est impératif de considérer la politique menée par le dirigeant et dictateur kronien pour ce qu’elle est, une menace permanente et létale pour les populations qui vivent, tant à l’intérieur de ses frontières, qu’à l’extérieur. Le tyran de Pendragon nourrit en effet les foyers de tensions et ses ambitions d’accumuler un nombre exponentiel d’armes de destruction massive, qu’il est prêt à diriger, sous le couvert de ses futurs sous-marins lanceurs d'engins, aux quatre points cardinaux du globe. “Comprenez bien que le tyran de Pendragon ne sera jamais moins menaçant que ce qu’il n’est actuellement. Plus le temps s’installera entre aujourd'hui et le jour de la pacification du gouvernement kronien, plus cette dernière sera coûteuse en vies humaines, considérant l’engagement plein et entier, voire obsessionnel, du dictateur eurysien pour l'entretien d’une force militaire à même de fournir la désolation où il le jugera bon.” explique un politologue de renom en Alguarena, Remicio Granda.

Devant un tel dilemme, l’entreprise d’une action armée contre les institutions névrosées kroniennes semble l’évidence, mais il appartient seulement aux acteurs de la scène internationale, de savoir quand jouer cette initiative, considérant le péril grandissant que le tyran de Pendragon semble déterminé à faire pousser à l’intérieur de ses frontières.
La paix contrainte face à Calabraise et Calabraise contraint à la pacification.

Tout n’est pas noir au tableau et de chaque malheur les héros ont l’opportunité de se dresser, serez-vous l’un d’eux? Si tel n’est pas encore le cas, ne tardez pas à considérer les capacités militaires et politiques de Baldassare Calabraise, pour entraver l’installation durable de la paix mondiale, ou encore à maintenir la suspension d’une épée de Damoclès alimentée par l’entretien ainsi que l'accroissement d’armes de destruction massives tirées depuis le sol kronien ou les eaux internationales grâce aux concours de sous-marins spécialisés et dédiés à cette tâche.

Dans ces circonstances, il est aisé de relever les casus belli entourant actuellement la gouvernance du Kronos, incarnée par Baldassare Calabraise. Dangereuse et mortelle, pour son peuple ainsi que celui des autres, l’autorité politique kronienne a entamé un long et dur rapport de force avec la paix, qui ne saurait être résorbé que par la pacification des institutions kroniennes, fut-elle au prix d’une révolution brutale et permanente.
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EXERCICES D’ENTRAÎNEMENT CONJOINTS ENTRE LA MILICE FÉDÉRALE DES PROVINCES-UNIES ET L'ARMÉE RÉPUBLICAINE YOUSLEVE



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Un contexte géopolitique défavorable en Eurysie occidentale :

L’Etat Major Lofotène, sur approbation du Département d’Etat à la Défense, et ses homologues de l’Etat-Major Youslève, avaient décidé de réaliser des manœuvres d’entraînement inter-armées conjoints en Youslévie, près de la frontière kronienne.
Les inquiétudes allaient en s’accroissant sur la sauvegarde et la préservation de l’intégrité du territoire youslève face à la pression et aux intimidations quasi permanentes et exponentielles exercées par le turbulent voisin kronien sur la région frontalière séparant le régime communiste de la république libérale.
Comment ne pas penser l’insoutenabilité du contexte géopolitique, à savoir qu’une démocratie libérale, membre de l’ONC de surcroît, que l’on pourrait qualifier de capitaliste dans le paradigme socialiste, partage une si longue frontière commune avec un régime situé aux antipodes de son idéologie politique ? Comment donc Baldassare Calabraise vivait la situation, à savoir qu’à quelque encablures à peine de son état ultra-policier parmi le plus répressif du monde, et qui exerçait un contrôle absolu et total de sa population, allant jusqu’à tirer au lance missiles sur des désespérés prêts à tenter le “crime” de l’expatriation, existait un pays où les citoyens jouissaient de l’exercice de la plupart des libertés humaines fondamentales ?
Une tolérance qui a souvent été testé dans ses limites et poussée jusqu’à ses derniers retranchements, au vu des récents incidents frontaliers entre le Kronos et la Youslévie, qui avaient pu en outre être désescaladés in extremis grâce à une intervention inopportune de la Manche Silice.


La Manche Silice, désormais hors jeu, paie cher ses errements diplomatiques :

Mais cela était clairement révolu,le gouvernement tripartie de la Manche Silice ne pouvait désormais plus constituer une médiation alternative en toute objectivité, tant ce pays avait en peu de temps ruiné et détruit sa crédibilité en terme de neutralité, non seulement en se compromettant clairement avec le régime totalitaire de Calabraise, dont le rapprochement était à la fois incompréhensible et contre-productif sur le plan diplomatique, mais le concept même de neutralité avait volé en éclat.

Comment les Siliquéens pouvaient sincèrement espérer à nouveau tenir ce rôle d'interlocuteur crédible en demeurant fiables et dignes de confiance, quand les dirigeants de la Manche Silice décidèrent sur un coup de tête de miner les eaux de l’Arcanie voisine en surréagissant de manière assez impromptue par rapport aux exercices navals opérés par la Sérénissime République de Fortuna, les Provinces-Unies, l’Alguarena et la Youslévie ?

Comment pouvoir continuer à se déclarer foncièrement impartial et sans parti pris, alors que la Manche Silice est le synonyme de l'interventionnisme à tout va et sans vraiment savoir de quoi il en retourne vraiment : envoi de troupes à la frontière kronienne, largage de mines dans les eaux arcaniennes voisines, et cela continuait encore, envoi de troupes en Tchérie, compromission avec le Liberaltern, et peut être même bientôt des troupes au Valheim que cela n'étonnerait guère les observateurs internationaux. Le pays serait il davantage interventionniste que la Fédération de l'Alguarena elle même ? Cela laisse songeur, à voir comment le Triumvirat s’implique à tout va et dans tous les sens sans évaluer à aucun moment donné l'impact potentiel dans toutes les zones de conflits dont les tenants et aboutissants lui échappent manifestement.
La Manche Silice aura beau s'évertuer à chanter à tue tête qu’ils sont "neutres", d'aucuns n'y croiront, hormis peut être Baldassare, probablement heureux que la Manche Silice lui serve de zone tampon accessoire.
La définition de la neutralité en Siliquéen doit sûrement avoir une toute autre signification, différente de celle que l'on accorde généralement sur le plan de la diplomatie internationale. Toutefois, ces maladresses à répétition qui frisent parfois avec l'absurde auront produit des effets inattendus auprès du gouvernement Youslève. Comme leurs homologues lofotèns, ils sont parvenus à la conclusion qui s’imposait dès lors : La Manche Silice est aussi neutre que la Thylacine Corporation est une œuvre caritative et ne peut pas donc constituer un médiateur légitime.


Une collaboration accrue des services de renseignements extérieurs Youslèves et Lofotèns :

Dans ces conditions, c’est tout naturellement que le Ministère de la Défense Youslève, considérant la Manche Silice comme ayant perdu toute légitimité à agir en tant que facteur de stabilité régionale s’était tourné avec l’un de ses alliés aleuciens.
Une décision appuyée en outre par le Service de Sûreté et de Renseignement Extérieur Youslève le SSREY, aussi appelé le Service. Ce dernier avait récemment développer puis accélérer le processus de collaboration avec le F.S.D des Provinces-Unies, en commençant par le partage d'informations classifiées.

generalOscar Deranos
Le Général en chef Oscar Deranos qui commande les forces armées de la Rébublique de Youslève, et qui plaide pour une coopération étroite entre les armées de l'ONC.


Cela faisait des semaines déjà que le F.S.D alertait en vain le cabinet de la Chancellerie lofotène sur les risques d’une attaque d'ampleur inédite, sans en préciser la nature, de la part de l’UNCS sur des membres de l’ONC. Et malheureusement pour elle, la République Youslève était la plus proche et la plus facile d’accès géographiquement face aux forces de l’UNCS. Si demain, toutes les armées rouges se mettaient en ordre de marche et convergaient inéluctablement vers la capitale Sedjan, en utilisant le territoire kronien comme avant-poste avancé, alors la Youslévie serait probablement balayée et occupée avec des pertes humaines significatives. En tout cas telle était le teneur des rapports confidentiels qui émanent du département d'analyse géostratégique du F.S.D.
De plus, les forces armées communistes étant sensiblement reconnues pour leur sadisme, leur cruauté et leur barbarie à toute épreuve, grâce aux tactiques développées par leurs stratèges dont la finesse et la dextérité est celle d’un char d’assaut de 68 tonnes dévalant une colline à vitesse maximale.

D’après une note interne de l’une des 8 sous divisions du renseignement youslève, à savoir le département “Interprétation et Regroupement”, le scénario d’une invasion terrestre et aérienne de la Youslévie par les forces communistes kroniennes était plausible à environ 67%, soit une probabilité assez élevée qui justifiait l’envoi d’une task force conséquente afin que celle ci se coordonne et améliore sa manœuvrabilité et sa capacité d'interopérabilité avec les forces républicaines youslèves, déjà fort expérimentées et conscientes de la menace constituée par le régime de Pendragon.
L’actuelle directrice du SSREY Daria Altamirano avait transmis cette information à ses collègues de Pembertøn.

C’était en outre une fantastique opportunité commerciale également de montrer quelques exemplaires et produits du savoir-faire lofotène en matière d’industrie et de technologie militaire. Magdalena Armstrong, Conseillère d’Etat à la Défense n’étant pas peu fière de pouvoir démontrer également les prouesses techniques du tout nouveau bombardier gunship de type Áslaug, sortie tout droit des usines d’assemblage de la Vengerberg Enterprise. Quoiqu’il en soit, les informations du F.S.D, corroborées par les derniers évènements dont le lancement de la flotte de l’UNCS vers celle de l’O.N.C avaient fini de convaincre le Cabinet de la Chancellerie des Provinces-Unies, et effacé les dernières réticences de certains de ses membres. Principalement les conseillers écologistes du cabinet, peu réceptifs aux scénarios du pire, et voulant croire contre vents et marées qu’il était toujours possible de discuter avec monsieur Calabraise. “Même les fous peuvent parfois être raisonnés à force de persuasion”.
Les dernières informations relayées par Kronews, le média d'État kronien et l’annonce de silos à missiles en nord afarée avaient fini de balayer tous les espoirs ténus d’une quelconque négociation.

La Task Force Jörmungandr, et la rencontre entre généraux :

legeneralsanchez
Le Général de Brigade Enrique Sanchez, 62 ans, d'origine alguarenos, commandera la Jörmungandr.

Il fut laissé le soin au Général de Brigade Enrique Sanchez de s’occuper et de mettre sur pieds la Task Force Jörmungandr. Celle-ci fut donc déployée et atterrit dans un premier temps à l’Aéroport Militaire de Sedjan. Escortées par les forces armées de la République Youslève, le terrain d’entraînement sélectionné fut bien entendu celle du sud, la Province de Lokeren, une région industrielle, dont les infrastructures urbaines et ses zones présentants de nombreuses usines et entrepôts, offrait des conditions parfaites de manœuvrabilité en situation périurbaine, voir de guérilla.
Le Général Sanchez rencontra donc son homologue chargé de diriger les troupes youslèves pour cet entraînement, le Général Oscar Deranos. Curieuse coïncidence et fait du hasard, les deux hommes sont hispanophones et pourront donc à loisir échanger dans leur langue maternelle. En effet le Général de Brigade Sanchez est Alguareno-Lofotèn, immigré dans les Provinces-Unies, dans la région de la Nouvelle-Arcoa, depuis l'âge de 5 ans avec ses parents, puis naturalisé à ses 16 ans, afin de pouvoir rentrer dans la Milice Fédérale.

Outre les équipements et véhicules militaires conventionnels, et l’invité surprise du bombardier gunship, le Général Sanchez avait décidé de faire intervenir le corps spécial des Jägers. Les Jägers, qui signifient “chasseurs des bois” en vieux norrois sont un groupe d'élite d'opérations spéciales de la milice des Provinces-Unies. Ils sont formés pour mener des opérations spéciales en territoire hostile, pour la plupart clandestines. Les Jägers sont connus pour leur entraînement très rigoureux, voir extrême et leur aptitude à mener des missions de longue durée dans des environnements réputés très difficiles. Les Jägers sont également reconnaissable, hors mission officielle, par le port du béret de couleur bleu ciel ou azur. Voilà pourquoi ils sont aussi quelquefois surnommés les “Bérets Bleus” dans la culture populaire.

jägers
Le corps spécial d'élite des Provinces-Unies, les Jägers, coutumiers des terrains d'opération difficiles

Assez classiquement les exercices conjoints débuteraient par l’alignement et la mise en compatibilité des procédures et protocoles de communications entre les deux armées, qui ne partageaient pas la même langue. Ensuite les premiers mouvements de divisions blindées, de support d'artillerie et de couverture aérienne allaient pouvoir ouvrir le bal.










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