Cela fait maintenant une semaine que les discussions concernant la candidature de la RFY à l'ONC ont débutées et les tensions n'ont pas tardé à pointer le bout de leur nez.
Les Libéraux et les Démocrates militent ardemment en faveur du OUI, les premiers étant ceux qui ont déposés ce projet sur la table, les seconds étant les principaux alliés au sein du Conseil. Cependant, on peut se questionner sur la loyauté de certains des 156 membres du Congrès du côté du PD, certains devraient hésiter et ne pas forcément suivre les ordres de la Présidente du parti, Morgane Ibarra.
Pour les Socialistes, les troisièmes au Conseil, la division sur ce sujet est bien plus profond. En effet, les tensions autour d'une potentielle candidature à l'Organisation des Nations Commerçantes traduit de la plus pure des manière le schisme qui ne devrait pas tarder entre une partie plus vieille et expérimentée du parti menée par le Président Oedipo Abeyta, la plupart étant des vieux loups présents au Congrès depuis le mandat de d'Elio Cerda, et les jeunes et plus extrémistes réunis sous la bannière du jeune mais pas moins ambitieux Icaro Devisani. Les premiers devraient respecter le principe selon lequel un parti membre du Conseil suit une proposition du parti majoritaire au Congrès alors que les seconds devraient s'abstenir et suivre la motion de référendum même si ces derniers ne devraient pas trop provoquer Vaillancour, les places au Conseil sont trop chères.
Du côté Ecologiste, on est tiraillé entre suivre une mesure considéré "de bon sens" et donc de voter en faveur du OUI et l'option de mettre un vrai coup aux Libéraux en votant NON, quoi qu'il arrive ils devraient signer la motion de référendum.
Pour les Patriotes et les Communistes pas de doutes, il voteront massivement et presque exclusivement contre cette mesure jugée "suicidaire" car elle laisserait "entrer le loup de l'impérialisme et du mercantilisme dans la bergerie" selon Hegias Goulet du PC et "serait une porte de sortie pour les cerveaux youslèves et une porte d'entrée pour une immigration illégale" pour le PP. Les partis autonomistes Yous et Lèves devraient eux aussi voter massivement contre
Donc, si on fait un court résumé des forces en présence, on peut considérer que le OUI a d'hors et déjà 400 voix en sa faveur (Libéraux+Démocrates), que le NON lui récolte d'office 190 voix environ (Communistes+Patriotes+Yous+Lèves). Le OUI serait donc à une soixantaine de voix d'obtenir la validation du Congrès, ça ne devrait pas être compliqué en additionnant les votes pour parmi les 327 voix dont disposent les Ecologistes et les Socialistes.
Le suspens aura sans doute lieu au moment où la motion de référendum devra attendre la barre fatidique des deux tiers du Conseil, c'est-à-dire 617 voix. Aux 190 votes en faveur du NON devraient alors s'additionner presque toutes les voix des Ecologistes (177), une grande partie des 150 voix des Socialistes et une petite partie des démocrates. Cependant, même avec ça la motion devrait échouer a plus de 70 votes.
Mais, les frondeurs pourraient saisir la Grande Chambre de Youslévie qui pourrait alors ordonner la tenue de ce référendum au vu du nombre de partis qui ont eu une majorité de membre votant en faveur de ce dernier. Le vote des Socialistes serait alors décisifs.
Tout les yeux sont donc braqués sur le PS et surtout sur Devisani et Abeyta, est ce que le plus grand parti du pays est sur le point d'imploser ?
Les Libéraux et les Démocrates militent ardemment en faveur du OUI, les premiers étant ceux qui ont déposés ce projet sur la table, les seconds étant les principaux alliés au sein du Conseil. Cependant, on peut se questionner sur la loyauté de certains des 156 membres du Congrès du côté du PD, certains devraient hésiter et ne pas forcément suivre les ordres de la Présidente du parti, Morgane Ibarra.
Pour les Socialistes, les troisièmes au Conseil, la division sur ce sujet est bien plus profond. En effet, les tensions autour d'une potentielle candidature à l'Organisation des Nations Commerçantes traduit de la plus pure des manière le schisme qui ne devrait pas tarder entre une partie plus vieille et expérimentée du parti menée par le Président Oedipo Abeyta, la plupart étant des vieux loups présents au Congrès depuis le mandat de d'Elio Cerda, et les jeunes et plus extrémistes réunis sous la bannière du jeune mais pas moins ambitieux Icaro Devisani. Les premiers devraient respecter le principe selon lequel un parti membre du Conseil suit une proposition du parti majoritaire au Congrès alors que les seconds devraient s'abstenir et suivre la motion de référendum même si ces derniers ne devraient pas trop provoquer Vaillancour, les places au Conseil sont trop chères.
Du côté Ecologiste, on est tiraillé entre suivre une mesure considéré "de bon sens" et donc de voter en faveur du OUI et l'option de mettre un vrai coup aux Libéraux en votant NON, quoi qu'il arrive ils devraient signer la motion de référendum.
Pour les Patriotes et les Communistes pas de doutes, il voteront massivement et presque exclusivement contre cette mesure jugée "suicidaire" car elle laisserait "entrer le loup de l'impérialisme et du mercantilisme dans la bergerie" selon Hegias Goulet du PC et "serait une porte de sortie pour les cerveaux youslèves et une porte d'entrée pour une immigration illégale" pour le PP. Les partis autonomistes Yous et Lèves devraient eux aussi voter massivement contre
Donc, si on fait un court résumé des forces en présence, on peut considérer que le OUI a d'hors et déjà 400 voix en sa faveur (Libéraux+Démocrates), que le NON lui récolte d'office 190 voix environ (Communistes+Patriotes+Yous+Lèves). Le OUI serait donc à une soixantaine de voix d'obtenir la validation du Congrès, ça ne devrait pas être compliqué en additionnant les votes pour parmi les 327 voix dont disposent les Ecologistes et les Socialistes.
Le suspens aura sans doute lieu au moment où la motion de référendum devra attendre la barre fatidique des deux tiers du Conseil, c'est-à-dire 617 voix. Aux 190 votes en faveur du NON devraient alors s'additionner presque toutes les voix des Ecologistes (177), une grande partie des 150 voix des Socialistes et une petite partie des démocrates. Cependant, même avec ça la motion devrait échouer a plus de 70 votes.
Mais, les frondeurs pourraient saisir la Grande Chambre de Youslévie qui pourrait alors ordonner la tenue de ce référendum au vu du nombre de partis qui ont eu une majorité de membre votant en faveur de ce dernier. Le vote des Socialistes serait alors décisifs.
Tout les yeux sont donc braqués sur le PS et surtout sur Devisani et Abeyta, est ce que le plus grand parti du pays est sur le point d'imploser ?