L'important budget alloué à la recherche médicale renforce l'apparition de produits pharmaceutiques d'origine maronhienne sur le marché national et permet aux acheteurs d'éviter les produits étrangers soumis aux taxes relatives à la sûreté économique.
Le chef du département de la santé, Nhia Toshi, a fait état, jeudi à Siwa, de la régulation des importations pharmaceutiques nationale et de la réduction de la facture d’importation de 25% en 2009 par rapport à 2008, pour atteindre 25 billions d'ikkōs alors qu’elle s’élevait à plus de deux fois et demi ce chiffre précédemment. Dans son intervention sur les principales réalisations du secteur lors des travaux de la rencontre entre le gouvernement et les représentants de l'Académie maronhienne des sciences, Nhia Toshi a fait savoir que la facture d’importation avait été drastiquement réduite, l'économie faite ayant ainsi permis au secrétariat de l’Industrie pharmaceutique d’être un investissement rentable pour l’État. La conception de ce secrétariat de l’Industrie pharmaceutique a permis, en un laps de temps record, de redynamiser le secteur et de relever les défis pour préserver la sécurité sanitaire à travers le renforcement du tissu industriel pharmaceutique, la levée des obstacles face aux investisseurs et l’accélération de la mise en service des nouvelles unités de production. Il a relevé que le nombre d’acteurs pharmaceutiques activant dans le domaine de la production s’élevait à près de 400 laboratoires, dont 189 spécialisées dans la production des médicaments permettant de couvrir plus des trois cinquième des besoins nationaux. Ces chiffres sont appelés à augmenter pour atteindre 69 nouveaux projets d’investissements, dont 57 projets de fabrication des produits pharmaceutiques et 35 projets de production des équipements médicaux, précise Nhia Toshi.
Augmentation des stocks de médicaments locaux dans une pharmacie de quartier à Siwa, photographie, 2009.
Le nombre de médicaments de fabrication locale a également augmenté, passant donc à 2931 médicaments sur un total de 3752 médicaments figurant sur la nomenclature nationale, précise le chef du département. Les nouveaux articles bientôt présents en pharmacie sur l'ensemble du territoire devraient ainsi mettre à disposition une offre plus abordable que les actuels articles étrangers soumis aux taxes relatives à la sûreté économique développées dans les années 1980. De plus, le chef du département a évoqué les principaux fondements de la récente stratégie de son département reposant sur trois grands axes principaux, à savoir la poursuite de la promotion de l’investissement et de la production pharmaceutique nationale, le renforcement de la couverture des besoins nationaux en produits pharmaceutiques et équipements médicaux nécessaires, et la mise en place d’un plan d’action pour l’exportation des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux. Pour rappel, les travaux de la rencontre entre le gouvernement et l'Académie maronhienne des sciences ont été organisés sous le regard direct de la Gran Man, Awara Kouyouri, sous les perspectives du développement local et de la souveraineté économique.
Le nombre de médicaments de fabrication locale a également augmenté, passant donc à 2931 médicaments sur un total de 3752 médicaments figurant sur la nomenclature nationale, précise le chef du département. Les nouveaux articles bientôt présents en pharmacie sur l'ensemble du territoire devraient ainsi mettre à disposition une offre plus abordable que les actuels articles étrangers soumis aux taxes relatives à la sûreté économique développées dans les années 1980. De plus, le chef du département a évoqué les principaux fondements de la récente stratégie de son département reposant sur trois grands axes principaux, à savoir la poursuite de la promotion de l’investissement et de la production pharmaceutique nationale, le renforcement de la couverture des besoins nationaux en produits pharmaceutiques et équipements médicaux nécessaires, et la mise en place d’un plan d’action pour l’exportation des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux. Pour rappel, les travaux de la rencontre entre le gouvernement et l'Académie maronhienne des sciences ont été organisés sous le regard direct de la Gran Man, Awara Kouyouri, sous les perspectives du développement local et de la souveraineté économique.