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[PRESSE] Journal du Kongoinko | Maison des Lettres du Savoir - Page 3

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Pharmaceutique : importation médicamenteuse réduite

30 août 2009

L'important budget alloué à la recherche médicale renforce l'apparition de produits pharmaceutiques d'origine maronhienne sur le marché national et permet aux acheteurs d'éviter les produits étrangers soumis aux taxes relatives à la sûreté économique.


Le chef du département de la santé, Nhia Toshi, a fait état, jeudi à Siwa, de la régulation des importations pharmaceutiques nationale et de la réduction de la facture d’importation de 25% en 2009 par rapport à 2008, pour atteindre 25 billions d'ikkōs alors qu’elle s’élevait à plus de deux fois et demi ce chiffre précédemment. Dans son intervention sur les principales réalisations du secteur lors des travaux de la rencontre entre le gouvernement et les représentants de l'Académie maronhienne des sciences, Nhia Toshi a fait savoir que la facture d’importation avait été drastiquement réduite, l'économie faite ayant ainsi permis au secrétariat de l’Industrie pharmaceutique d’être un investissement rentable pour l’État. La conception de ce secrétariat de l’Industrie pharmaceutique a permis, en un laps de temps record, de redynamiser le secteur et de relever les défis pour préserver la sécurité sanitaire à travers le renforcement du tissu industriel pharmaceutique, la levée des obstacles face aux investisseurs et l’accélération de la mise en service des nouvelles unités de production. Il a relevé que le nombre d’acteurs pharmaceutiques activant dans le domaine de la production s’élevait à près de 400 laboratoires, dont 189 spécialisées dans la production des médicaments permettant de couvrir plus des trois cinquième des besoins nationaux. Ces chiffres sont appelés à augmenter pour atteindre 69 nouveaux projets d’investissements, dont 57 projets de fabrication des produits pharmaceutiques et 35 projets de production des équipements médicaux, précise Nhia Toshi.

Augmentation des stocks de médicaments locaux dans une pharmacie de quartier à Siwa, photographie, 2009.
Augmentation des stocks de médicaments locaux dans une pharmacie de quartier à Siwa, photographie, 2009.

Le nombre de médicaments de fabrication locale a également augmenté, passant donc à 2931 médicaments sur un total de 3752 médicaments figurant sur la nomenclature nationale, précise le chef du département. Les nouveaux articles bientôt présents en pharmacie sur l'ensemble du territoire devraient ainsi mettre à disposition une offre plus abordable que les actuels articles étrangers soumis aux taxes relatives à la sûreté économique développées dans les années 1980. De plus, le chef du département a évoqué les principaux fondements de la récente stratégie de son département reposant sur trois grands axes principaux, à savoir la poursuite de la promotion de l’investissement et de la production pharmaceutique nationale, le renforcement de la couverture des besoins nationaux en produits pharmaceutiques et équipements médicaux nécessaires, et la mise en place d’un plan d’action pour l’exportation des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux. Pour rappel, les travaux de la rencontre entre le gouvernement et l'Académie maronhienne des sciences ont été organisés sous le regard direct de la Gran Man, Awara Kouyouri, sous les perspectives du développement local et de la souveraineté économique.


La Patrie ou la Mort, nous vaincrons.

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Recherche : fouilles du château seigneurial de Mopota

27 octobre 2009

Après six ans de fouilles sur le site du château seigneurial de Mopota, l'Institut national d'archéologie préventive maronhienne dévoile une partie de ses découvertes au public.


À l'occasion d'un projet immobilier, l'Institut national d'archéologie préventive maronhienne a réalisé en 2004 un diagnostic archéologique afin de déceler la présence de vestiges au nord d'Iwako et Heiyan dans la province de Jingyu. Prescrite par l'État, cette opération a été l'occasion d'étudier, sur une surface de près de 4 800 mètres carré, les vestiges d'une forteresse de l'Ère du lotus étincelant connue jusqu'alors uniquement par les textes. C'est dans la partie inondable et non constructible du projet immobilier, que les archéologues ont mis au jour les vestiges. Dans le reste de l'emprise, une ancienne carrière remblayée au XIXe siècle a détruit les autres témoins de cet ouvrage.

Le château seigneurial dit du Mopota n'était connu que grâce aux archives. Les premiers textes mentionnant une forteresse dans les environs remontent au début du XVIIe siècle. Ils racontent l'assassinat, en 1603, du seigneur de Mopota sous les yeux du chroniqueur Itsu-Ouyang. Bao Ma, le seigneur précédent, ou "omo", avait entreprit la construction du château à la fin du XVIe siècle. Il souhaitait en faire l'un des "verrous" de son fief. Centre du pouvoir dans la région, le château sera brûlé à la fin du XVIIe durant les insurrections chrétiennes qui secouèrent la région.

Archéologues de l'Institut national d'archéologie préventive maronhienne sur le site du château seigneurial de Mopota, photographies, 2009.
Archéologues de l'Institut national d'archéologie préventive maronhienne sur le site du château seigneurial de Mopota, photographies, 2005 & 2008.

Les archéologues ont découvert des pieux en bois et une maçonnerie rectangulaire très arasée implantés dans la grave en aval du mur d'enceinte. Datés du XVIe siècle par la dendrochronologie, ces éléments correspondent au château de Heiyan qui a précédé le château construit par Bao Ma. Les vestiges de la forteresse consistent en une portion de 84 mètres de long de mur d'enceinte, exhumés de remblais de démolition. Ce mur, d'une largeur d' 1,40 mètre, s'appuie sur de larges remblais. Des fragments de poutres datées de la toute fin du XVIe et placées contre les fondations, témoignent des travaux de construction du château. Une porte de 5,70 mètres de côtés constituait une entrée orientale du château. Ouvrage classique pour l'Ère du lotus étincelant, elle est comparable à la porte du Crapaud du château de Lawao à quelques kilomètres.

Une tour rectangulaire de 18 mètres de côté se situait à l'intérieur, au milieu de la cour. Habituelle pour un tel édifice, il s'agirait sûrement d'une tour d'habitation destinée à l'usage exclusif du seigneur et de sa famille. Au nord, au-delà du rempart, un mur prolonge ce dernier et dessine un ouvrage avancé triangulaire, protégeant l'entrée dotée d'un pont fréquemment restauré au cours de l'époque moderne. Au XVIIe, trois tours rectangulaires de plus de 10 mètres de côté, munies de larges contreforts en pente sont ajoutées au mur d'enceinte, dominant la plaine inondable. L'ancienne porte orientale est englobée dans un nouveau dispositif par l'adjonction de deux de ces tours. Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, un mur placé entre les contreforts des tours de la porte renforce l'entrée. À la suite de ces derniers travaux, la forteresse est incendiée jusqu'à sa destruction complète qui sera suivie par la construction d'une demeure d'agrément au XVIIIème siècle.


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Musique : titres les plus écoutés de 2009

29 novembre 2009



Voici la liste des cinq premiers titres du classement musical reflétant la popularité des musiques les plus vendues et écoutées de l'année 2009 en Maronhi. Comme il en est de coutume, les chanteurs et chanteuses nominés seront appelés pour participer au Grand Concert du solstice d'hiver dans la nuit de 21 au 22 décembre.

Résultats des deux dernières années ici : 2008 et 2007


  • 1
  • Kimi Ara - Esprit joyeux

  • 2
  • Ruri Murakami - Toujours, peu importe combien de fois

  • 3
  • Miyu Imai - Murmure des fleurs

  • 4
  • Eiji Ono - Venus

  • 5
  • Bai Bi Shiori - Les dunes de Mokinao


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    Sport : fin des championnats internationaux de Tir à l'Arc

    15 décembre 2009


    Retour sur les championnats internationaux de Tir à l'Arc organisés à Fujiao et sur l'extraordinaire performance de notre équipe nationale.



    Les championnats internationaux de Tir à l'Arc se sont déroulés il y a peu à Fujiao. Cette compétition, qui rassemble des archers de haut niveau venus des quatre coins du monde, a été l'occasion pour la ville de dévoiler toute sa richesse patrimoniale et culturelle. Fujiao a en effet une longue histoire dans l'organisation de compétitions de tir à l'arc. Depuis plus de 40 ans, la ville accueille les championnats nationaux de kyudo et de yabusame, deux disciplines qui ont largement contribué à forger l'identité du tir à l'arc au Maronhi. La ville était donc parfaitement équipée pour accueillir une compétition d'une telle envergure.

    Notre sélection, grande favorite de la compétition, n'a pas déçu les sélections internationales. Nos athlètes ont survolé la compétition avec 7 podiums sur 8, dont 5 titres mondiaux. Cette domination s'explique en particulier par la présence d'une jeune génération d'athlètes prodiges, particulièrement chez les femmes. Les performances des athlètes féminines maronhiennes ont été historiques. Kunika Ohara en tir intérieur, Hisayo Kotani en tir campagne et Kumi Yoshikawa en tir 3D ont toutes été particulièrement brillantes, faisant honneur à la tradition du tir à l'arc en Maronhi. Cependant, la déception est venue de Fai Hsiao, qui a réalisé une maigre performance en tir 3D, avec une petite 13e place. Les hommes n'ont pas été en reste avec les victoires serrées de Naoharu Sumita en campagne et Utsumi Kazushi en extérieur.

    Au-delà de la compétition, l'organisation de ces championnats internationaux a été l'occasion pour les autorités de partager la philosophie maronhienne du tir à l'arc avec les archers du monde entier, l'arc étant bien plus qu'une simple arme de chasse ou de guerre. C'est un véritable art de vivre, une recherche d'harmonie entre le corps et l'esprit, qui permet à chacun de se découvrir soi-même et de se sublimer à travers le geste. En somme, les championnats Tir à l'Arc à Fujiao ont été un véritable succès, tant sur le plan sportif que culturel. La ville a su démontrer toute sa richesse patrimoniale et culturelle, tout en partageant les valeurs profondes du tir à l'arc maronhien avec le reste du monde. Une réussite qui restera dans les annales de cette discipline millénaire.

    Kunika Ohara marque un presque sans faute et dépasse l'archère alguarenos en tir en intérieur, photographie, 2009.
    Kunika Ohara marque un presque sans faute et dépasse l'archère alguarenos en tir en intérieur, photographie, 2009.


    La Gran Man, dame Awara Kouyouri, a ainsi pris la parole à la radio nationale du Kongoinko pour saluer la réussite de la sélection nationale à l'occasion de cette rencontre historique avec les archers des quatre coins du globe :

    « Chers compatriotes, je suis ravie de vous annoncer la réussite éclatante de nos athlètes aux championnats de Tir à l'Arc organisés à Fujiao. Mais en premier lieu, je tiens solennellement à remercier les délégations étrangères d'avoir fait confiance à la Maronhi dans l'organisation de ces évènements, et félicite l'ensemble des athlètes étrangers : Alguarenos, Lofotèns, Elpides, Althaljirs, Kaulthes, Saint-Marquois, Pharois, Nordistes, Banairais, Fortunéens, Shuharris, Gallèsants, Loduariens et autres.
    Ensuite, et comme vous l'avez déjà sûrement appris, nos tireurs et tireuses ont su faire honneur à la Maronhi en remportant la majorité des podiums, dont cinq titres mondiaux. Notre devoir à tous est de nous montrer fiers de leur succès et de leur engagement envers notre culture et notre tradition. Cette victoire ne vient pas seulement de leur talent et de leur détermination, mais aussi de la solidarité et de l'encouragement de tout notre peuple. Nous avons été témoins d'un esprit d'équipe remarquable ; chaque athlète ayant donné le meilleur de lui-même pour le bien de l'équipe nationale. Je tiens à féliciter personnellement chaque athlète pour son travail acharné et sa détermination à réussir. Nous tâcherons, moi la première, de nous en souvenir. Vous êtes une source d'inspiration pour notre jeunesse, pour toutes les Maronhiennes et tous les Maronhiens. Vous avez prouvé à tous que nous sommes un grand pays, riche en histoire et en patrimoine, et que nous pouvons rivaliser avec les meilleurs athlètes du monde.
    En tant que Gran Man, je suis fière de vous avoir à nos côtés et de vous soutenir dans vos efforts futurs. Nous continuerons à travailler ensemble pour promouvoir notre culture, notre tradition et notre excellence dans tous les domaines. Félicitations encore une fois à nos athlètes pour leur réussite éclatante à Fujiao. La Patrie ou la Mort, nous vaincrons. »


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    Patrimoine : l'Onna-Bugeisha, l'héritage féminin et guerrier de Maronhi

    07 janvier 2010


    Portrait de ces courageuses guerrières aristocrates des provinces créoles.



    Le terme "Onna-Bugeisha" renvoie directement aux notions de "femme de guerre" ou de "femme samouraï". Originaires d'Ylma au Burujoa, ces femmes de l'élite créole étaient et demeurent encore des combattantes exceptionnelles, maîtrisant les armes du guerrier, les arts martiaux, les codes de la féminité et des cours aristocratiques. Leur histoire remonte bien avant la colonisation de la Maronhi et la période des Provinces Combattantes, où elles se sont distinguées par leur courage et leur dévouement au service de leur clan et de leur seigneur. Elles étaient spécifiquement formées pour le combat et entraînées au maniement d'une variété d'armes telles que le naginata (une lance à lame courbe), le kaiken (un couteau de combat) et le yumi (un arc long). Leur maîtrise de ces armes leur permettait de se défendre avec vaillance sur les champs de bataille. L'importance des Onna-Bugeisha dans l'histoire maronhienne est illustrée par plusieurs figures emblématiques. Besshou Momo, par exemple, était une guerrière directement au service de l'empereur au début de la colonisation aux actuelles provinces d'Ogata et de Sunga. Fondatrice du corps défensif des Onna-bugeisha du Palais impérial des Lucioles à Fujiao, elle est connue pour sa beauté, sa bravoure et sa maîtrise du katana. Besshou Momo participe à de nombreuses batailles, aussi bien contre des seigneurs créoles-nazumis dissidents que contre des autochtones-maronhos, jouant un rôle décisif dans la défense des intérêts de l'empereur. Une autre figure célèbre est Wakiya Kakume, une Onna-Bugeisha de l'ère shogunale. Fervente défenseuse de l'ancien shogunat Susano, elle combat lors de la guerre de Kana entre 1848 et 1851 contre les républicains du général Tama Wada. Son portrait fut d'ailleurs le premier cliché du monde maronhien. Wakiya Kakume mena courageusement une unité de femmes guerrières et devint un symbole de résistance et de détermination.

    L'onna-bugeisha, femme combattante de Maronhi, illustrations anciennes et photographie du Festival historique de Fujiao, 2009.<br>
    (Gauche) Besshou Momo et Wakiya Kakume, Onna-Bugeisha au service de l'empereur du Burujoa et du seiitaishōgun de Maronhi, dessin et photographie, 1602 & 1850.
    (Droite) Interprétation d'Onna-Bugeisha du Palais impérial des Luciolesen tenue de guerre du XVIe siècle au Festival historique de Fujiao, photographie, 2009.

    De nos jours, l'héritage des Onna-Bugeisha continue de vivre à travers les femmes des familles aristocratique de la côte créole qui s'engagent dans des activités martiales, notamment en tant que gardes rapprochées, et qui cherchent à préserver cette riche tradition. Les plus populaires de notre sont, sans aucun doute, celles qui composent la garde mannale personnelle, d'abord celle de Khoro Kouyouri, puis celle de sa petite-fille, Awara Kouyouri. En dehors de quelques bataillons féminins de l'Armée populaire et nationale, de nombreux dojos et écoles d'arts martiaux proposent des cours spécifiquement conçus pour lesdites femmes, leur permettant d'explorer les techniques des Onna-Bugeisha et de perpétuer leur héritage. Ces cours offrent aux femmes concernées l'opportunité de développer leur confiance en elles, leur force physique et leur maîtrise de soi, tout en honorant la mémoire des Onna-Bugeisha qui les ont précédées. Aujourd'hui, les Onna-Bugeisha continuent d'occuper une place importante dans la culture maronhienne et dans le cœur des personnes qui apprécient leur héritage. La tentative d'attaque à l'acide de juillet 2005 sur la Gran Man mit en avant le courage de la garde mannale personnelle, composée exclusivement d'Onna-Bugeisha. Leur histoire est un rappel puissant que le courage et la détermination peuvent être tout aussi bien important chez les hommes que chez les femmes, et que chacun a la capacité de se battre pour ce qui est juste. Alors que la recherche historique continue d'explorer et de redécouvrir l'histoire des Onna-Bugeisha, il est essentiel de veiller à ce que leur héritage soit préservé et transmis aux générations futures. En honorant leur mémoire et en racontant leurs histoires, nous contribuons à donner une voix aux femmes marquantes de l'histoire, tout en inspirant les générations actuelles et futures à poursuivre leurs rêves avec détermination et courage, à l'image des Onna-Bugeisha qui les ont précédées.


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    Économie : les fondements culturels du succès économique maronhien

    14 février 2010


    Un héritage harmonieux, artisanal et axé sur l'amélioration continue.



    Le Maronhi est depuis quelques années reconnue comme l'une des puissances économiques les plus prospères au monde. Cette réussite ne peut être attribuée à un seul facteur, mais repose également sur des éléments culturels spécifiques profondément enracinés dans la société, presque imperceptibles des Maronhiens mais qui deviennent visibles au regard de sociétés étrangères. Ces valeurs et pratiques culturelles ont joué un rôle essentiel dans la construction de l'économie florissante du pays. Une des caractéristiques culturelles qui a contribué à la réussite économique de la Maronhi est le concept de l'harmonie, dit le "Wa". Le Wa met l'accent sur la coopération, la collaboration et le maintien de bonnes relations interpersonnelles. Cette approche favorise la stabilité et la cohésion dans les relations professionnelles, essentielles pour la réussite des entreprises. En Maronhi, la recherche du consensus et de l'harmonie est donc considérée comme une priorité, permettant aux entreprises de prendre des décisions efficaces et d'éviter les conflits qui pourraient entraver leur croissance.

    Une autre caractéristique culturelle qui a nettement contribué à l'économie maronhienne est le "Shokunin Kishitsu", l'esprit de l'artisan. Les artisans maronhiens sont connus à l'international pour leur engagement envers l'excellence, la précision et la qualité de leur travail. Cette mentalité fut appliquée à tous les secteurs de l'économie, de la fabrication automobile à l'électronique grand public. La poursuite incessante de la perfection et de l'innovation a permis aux entreprises nationales de se démarquer sur le marché mondial et de gagner la confiance des consommateurs.

    Le "Kaizen" est un autre principe culturel qui a favorisé la réussite économique de la Maronhi. Il s'agit d'une philosophie d'amélioration continue, où chaque individu est encouragé à rechercher des moyens d'optimiser les processus, de réduire les gaspillages et d'accroître l'efficacité. Le Kaizen fut appliqué avec succès dans le secteur de la production, notamment grâce à la méthodologie de la gestion allégée. Cette approche a permis aux entreprises maronhiennes de maintenir des coûts de production bas tout en garantissant des produits de haute qualité.

    La discipline et le sens du devoir sont également des valeurs culturelles importantes de la société maronhienne. Les Maronhiens accordent une grande importance à la ponctualité, à l'engagement envers le travail et à l'accomplissement de leurs responsabilités. Cette éthique du travail a permis à la Maronhi de devenir un pays renommé pour son efficacité et sa productivité. Les longues heures de travail et la dévotion envers l'entreprise sont souvent considérées comme des signes de loyauté et de dévouement, bien évidemment récompensés et encouragés, contribuant ainsi à l'essor économique du pays.

    (Gauche) Nouveau hangar du marché de poisson du port d'Iwami à Siwa, photographie, 2010.<br>(Droite) Rizières côtières de la province de Sunga, photographie, 2009.<br>
    (Gauche) Nouveau hangar du marché de poisson du port d'Iwami à Siwa, photographie, 2010.
    (Droite) Rizières côtières de la province de Sunga, photographie, 2009.

    Enfin, la culture créole maronhienne valorise également l'importance de l'éducation et de la formation, aussi bien des écoliers, des étudiants, que des travailleurs. La volonté d'apprendre et de se perfectionner ont finalement permis de forger l'esprit maronhien contemporain, permettant donc ces dernières décennies de former une main d'œuvre hautement qualifiée dans les principaux secteurs d'activité. Le système éducatif national met l'accent sur l'acquisition de connaissances approfondies ainsi que sur la rigueur académique. En outre, les entreprises maronhiennes investissent massivement dans la formation continue de leurs employés, leur permettant de développer constamment leurs compétences et d'innover dans leurs domaines respectifs. Cette culture de l'apprentissage a favorisé jusqu'ici la montée en puissance de secteurs clefs tels que la technologie, la recherche scientifique et l'ingénierie. Il est important de souligner que la réussite économique du pays ne repose pas uniquement sur ces facteurs culturels, mais également sur les dernières politiques gouvernementales, des investissements massifs dans la recherche et le développement, ainsi que sur une forte coopération entre le gouvernement, les entreprises nationales et les travailleurs. Cependant, ces valeurs culturelles, désormais véritables piliers de la réussite maronhienne, ont bien évidemment joué un rôle clef dans la construction de l'économie telle que nous la connaissons aujourd'hui.

    Ainsi, la réussite économique de la Maronhi repose sur une combinaison de facteurs culturels, politiques et économiques. Les valeurs de coopération, d'excellence, d'amélioration continue, de discipline et d'engagement envers le travail ont joué un rôle crucial dans le développement économique du pays. Ces caractéristiques culturelles permirent de créer un environnement propice à l'innovation, à la compétitivité et à la prospérité. Alors que le pays du soleil et de l'acier continue de se réinventer dans un monde en constante évolution, ces valeurs culturelles continueront, tant qu'elles persistent, de jouer un rôle essentiel dans la poursuite de sa réussite économique future.


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    Sport : final du championnat national de go

    19 mars 2010


    Le duel épique des maîtres du go : quand la stratégie et l'intelligence s'affrontent sur le plateau.



    Le monde du jeu de go était en ébullition hier soir alors que les deux plus grands maîtres de ce jeu millénaire s'affrontaient lors d'un championnat d'une intensité sans précédent. Dans une salle comble de la capitale, les amateurs et les experts se sont réunis pour assister à cette bataille intellectuelle qui s'est déroulée avec une passion et une concentration palpables. Considéré comme l'un des jeux de société les plus complexes au monde, le go met au défi les joueurs de planifier leurs mouvements avec stratégie, de prévoir les réactions de leur adversaire et de visualiser les multiples possibilités qui s'offrent à eux sur le plateau de jeu. Le championnat a mis en présence deux maîtres légendaires : le Fujiaolais, Hiroshi Tanaka, champion en titre, et la Uminomonais, Kagae Yamamoto, étoile montante de la discipline. Les deux joueurs sont notamment connus pour leur style de jeu distinctif, Tanaka favorisant une approche audacieuse et agressive, tandis que Yamamoto est réputé pour sa prudence calculée et sa capacité à anticiper les mouvements adverses.

    Dès le début de la partie, les deux maîtres ont dévoilé des stratégies complexes, plaçant habilement leurs pierres sur le plateau de jeu noir et blanc. Les spectateurs retenaient leur souffle à chaque coup, tandis que les experts analysaient les implications de chaque mouvement avec une attention minutieuse. L'intensité de la bataille mentale était palpable, avec les deux joueurs s'efforçant de deviner les intentions de leur adversaire et de trouver des opportunités de créer des territoires avantageux sur le plateau. Les échanges silencieux entre les maîtres, leurs regards profonds et leur concentration extrême ont captivé l'audience, créant une atmosphère électrique dans la salle. La frustration, l'excitation et la détermination étaient visibles sur leur visage alors qu'ils luttaient pour prendre l'avantage sur l'autre. Chaque pierre placée avait des répercussions qui se propageaient à travers le plateau de jeu, et les enjeux étaient élevés pour les deux compétiteurs. Finalement, après une bataille féroce et acharnée, Kagae Yamamoto a réussi à prendre l'avantage en utilisant une séquence de mouvements audacieux et imprévisibles. Son habileté à lire les intentions de Tanaka et à anticiper ses réactions lui a permis de consolider sa position et de prendre le contrôle du plateau. Dans un dernier mouvement décisif, Kagae a capturé un groupe de pierres de Tanaka, scellant ainsi sa victoire. Un tonnerre d'applaudissements a éclaté dans la salle, saluant la performance magnifique de Kagae. Les spectateurs se sont levés pour applaudir les deux maîtres, reconnaissant leur talent et leur maîtrise du jeu de go.

    Kagae Yamamoto, vainqueur de l'édition 2010 du championnat national de go, photographie, 2010.<br><br>
    Kagae Yamamoto, vainqueur de l'édition 2010 du championnat national de go, photographie, 2010.

    Lors de la cérémonie de clôture, Kagae Yamamoto fut couronné champion national de go, recevant le trophée d'or tant convoité et l'admiration de la communauté du jeu. Après avoir exprimé sa gratitude envers son adversaire, Hiroshi Tanaka, pour avoir offert une partie mémorable et intense, Yamamoto déclare au Kongoinko : « C'était un honneur de jouer contre Tanaka, un véritable maître du jeu de go. Je suis ravi d'avoir pu relever ce défi et de remporter cette victoire. Le jeu de go a, une fois de plus, démontré qu'il était un art intemporel qui continue encore de captiver et de rassembler les gens. » Hiroshi Tanaka a également exprimé son respect pour Kagae et a déclaré, toujours au Kongoinko : « Il a joué de manière brillante et stratégique. Je félicite Kagae pour sa victoire méritée. Cela démontre que le jeu de go est un domaine où le talent, la perspicacité et la détermination peuvent transcender les générations. » Ce championnat a une fois de plus souligné l'importance de ce jeu ancestral dans la culture nippone, et plus particulièrement ymalsienne. Au-delà d'un simple divertissement, le jeu de go est considéré comme un moyen de développer des compétences stratégiques, de favoriser la réflexion profonde et d'encourager la créativité. Ce championnat a également rappelé l'importance de la transmission de cet héritage culturel aux générations futures. Des écoles de jeu de go se multiplient en Maronhi et dans le monde, particulièrement burujois, offrant aux jeunes l'opportunité d'apprendre et de maîtriser cet art subtil. Les maîtres tels que Kagae Yamamoto et Hiroshi Tanaka jouent un rôle essentiel en tant que mentors et gardiens de cette tradition, guidant les nouveaux joueurs vers une compréhension plus profonde du jeu.

    Au-delà de l'issue de cette compétition, le championnat de jeu de go a une fois de plus captivé l'imagination et l'admiration des passionnés. Les adeptes de ce jeu, aujourd'hui millénaire, se sont réunis, venus de l'ensemble du plateau maronhien, pour assister à un spectacle unique où la stratégie, l'intelligence et la concentration étaient à l'honneur. Cette bataille mentale a démontré que le jeu de go est bien plus qu'un simple passe-temps, mais un véritable art qui transcende les générations. Alors que les projecteurs se sont éteints sur ce championnat mémorable, les joueurs et les spectateurs sont repartis avec une appréciation renouvelée pour le jeu de go et son rôle dans la culture maronhienne. La passion pour cet ancien jeu continuera de briller, inspirant les générations futures à explorer les profondeurs du jeu et à apprécier ses innombrables possibilités stratégiques.


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    Recherche : les origines du titre de "Gran Man"

    22 avril 2010


    Deux chercheurs de l'Université de Fujiao partent à la recherche des origines des mots et expressions de notre vocabulaire créole dans leur ouvrage : Mille pas de fourmis géantes, bientôt publié aux éditions Kokuren. Découvrez en exclusivité, avant même la publication dudit ouvrage, l'origine du titre de "Gran Man".



    Depuis des siècles, la Maronhi a été le berceau de cultures riches et diverses, où les traditions coutumières occupent une place prépondérante. Au cœur de ces traditions se trouve le titre honorifique de "Gran Man", accordé aujourd'hui aux chefs d'État maronhiens, mais à l'origine servant à désigner les chefs absolus de certaines communautés autochtones aux ères coloniale et shogunale. Aujourd'hui, nous plongeons dans l'histoire fascinante de l'origine de ce titre prestigieux à travers les travaux de Sakakibara Hikomori, chercheur en linguistique à l'Université de Fujiao, et de Jikouji Katsuatsu, chercheur en Histoire au pôle Civilisations précoloniales du Paltoterra dans ladite université.

    Le terme "Gran Man" trouve ses racines dans les coutumes des premières populations autochtones du plateau maronhien. Littéralement traduisible par "Grand Homme", ce titre est un symbole de puissance, de sagesse et de respect au sein des communautés traditionnelles, d'abord maronhos. Les origines exactes du titre remontent à plusieurs siècles, mais les chercheurs s'accordent sur l'influence des cultures maronhos sur son développement. Dans les temps anciens, les chefs de tribus autochtones étaient appelés "Man" ou "Aman", ce qui signifie "Homme" dans plusieurs langues des familles linguistiques kwanés et ahminis. Ces hommes, en plus d'exercer un pouvoir souvent absolu, étaient les gardiens de la tradition, de la culture et de la spiritualité de leur communauté. Au fil du temps, le titre a évolué pour devenir "Gran Man", reflétant ainsi le respect et l'autorité croissants accordés aux chefs coutumiers. Le terme "Gran" est une adaptation du mot espagnol "Grande", qui renforce le statut élevé du chef et son importance dans la communauté. En effet, avant-même la "découverte" de la côte maronhienne par l'explorateur burujois Sekura Kobayashi, le 15 août 1525, les grandes tribus maronhos, alors installées sur les côtes du territoire, commerçaient alors avec les marchands hispanophones venus de la Mer des Burbujas Verdes. À partir de là, et de la même manière qu'il en fut pour les langages nazumis par la suite, un certain nombre de mots du vocabulaire hispanique ont ainsi influencé les parlers autochtones. En outre, il convient de mentionner l'influence des pratiques maronhos sur l'émergence du titre de "Gran Man". Les principales communautés maronhos fuyant l'extension de la colonisation burujoise sur les côtes, se sont établis dans des communautés autonomes au cœur de la forêt maronhienne, emportant avec eux l'héritage de l'influence hispanophone. Ces villages étaient dirigés par des chefs respectés, connus sous le nom de "Gran Man". Ils étaient les gardiens de l'autonomie de leur peuple, et leurs décisions étaient prises individuellement ou en accord avec les conseils des anciens selon les tribus.

    (Gauche) Dame Awara Kouyouri, Gran Man de Maronhi, photographie, 2002. / (Droite) Gwada Palikou, Man de Toukoupo et chef coutumier des Ikikwés, photographie, 2009.<br>
    (Gauche) Dame Awara Kouyouri, Gran Man de Maronhi, photographie, 2002.
    (Droite) Gwada Palikou, Man de Toukoupo et chef coutumier des Ikikwés, photographie, 2009.


    Aujourd'hui, le titre de "Gran Man" est un symbole fort de l'identité et de la résilience pour toute la Maronhi. Les chefs d'État qui portent ce titre, à l'image de Khoro Kouyouri et d'Awara Kouyouri, jouent un rôle crucial dans la préservation des traditions, de la culture et des connaissances ancestrales. Ils sont des défenseurs de l'environnement et des gardiens des droits des peuples. Bien que l'origine exacte du titre de "Gran Man" puisse varier légèrement selon les communautés, son essence reste la même : il représente la sagesse, la puissance et le respect. En Maronhi, il incarne l'histoire riche et complexe des peuples autochtones, puis créoles, qui ont forgé l'identité culturelle de la région.

    Quant aux Man, à l'image des Gran Man d'autrefois, jouent un rôle crucial dans la préservation des langues autochtones, des pratiques culturelles et des savoirs traditionnels. Pour ceux des provinces du grand bois, leurs connaissances ancestrales sont essentielles pour comprendre et préserver l'écosystème unique de la Maronhi, l'une des régions les plus riches en biodiversité au monde. Les Man sont consultés lors de prises de décisions importantes à Siwa. Leur voix est devenue incontournable dans les discussions sur l'avenir du pays. Ils représentent ainsi un pont entre les différentes cultures et traditions, ainsi qu'un lien entre leur communauté et la politique maronhienne. De plus, en favorisant le dialogue interculturel, ils contribuent à renforcer l'unité et la diversité de la société maronhienne.

    L'avenir du titre de Man et du rôle des chefs coutumiers en Maronhi dépendra de la reconnaissance continue de leur importance et de leur contribution à la société. Il est essentiel que les politiques et les mesures prises tiennent compte de leurs préoccupations et de leurs aspirations. La Maronhi a la chance de bénéficier de la présence de ces chefs locaux, souvent traditionnels, qui incarnent la richesse de son histoire et de sa diversité culturelle. En valorisant et en soutenant le rôle des Man, la société maronhienne renforce son identité, préserve ses traditions et se positionne comme un exemple de respect et de coexistence harmonieuse entre les communautés autochtones-maronhos et créoles-nazumis. Dans un monde en quête de liens avec ses racines et de respect pour la nature, les Gran Man et Man de la République Nationale-Socialiste de Maronhi sont des figures inspirantes qui nous rappellent l'importance de préserver et de célébrer nos héritages culturels. Leur voix retentissante dans le paysage de la Maronhi est un appel à l'action, nous invitant à reconnaître et à préserver la richesse de notre passé pour bâtir un avenir durable et respectueux de la diversité.


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    Armées : introduction du Shizo-KP3 au sein de la marine fluviale

    05 mai 2010


    Renforcement de la sécurité nationale : La vedette fluviale Shizo-KP3 propulse l'armée maronhienne vers de nouveaux horizons, notamment dans la dissuasion des activités illégales en arrière-pays.



    La Maronhi franchit une étape majeure dans le renforcement de ses forces de défense fluviale avec l'introduction de la vedette fluviale Shizo-KP3. Cette décision marque un tournant significatif dans la capacité opérationnelle de l'armée maronhienne à assurer la sécurité et la souveraineté du pays le long de ses voies navigables intérieures. Le choix de la vedette fluviale Shizo-KP3 comme navire de référence pour les opérations fluviales découle d'une évaluation approfondie menée par les experts militaires maronhiens. Ce bateau est reconnu pour ses performances exceptionnelles, sa polyvalence et sa capacité à opérer dans les environnements fluviaux les plus exigeants. La vedette Shizo-KP3, fabriqué par une entreprise maronhienne spécialisée dans la construction navale, est spécialement conçu pour répondre aux besoins des forces armées dans le domaine fluvial. Doté d'une coque robuste en acier et d'une conception modulaire, il peut être adapté à différentes missions, telles que la surveillance des rives, les patrouilles, le contrôle des frontières fluviales et le soutien aux opérations spéciales. Ce navire de patrouille est équipé d'une gamme complète de systèmes de communication et de navigation de pointe, ce qui permet aux équipages de rester connectés et d'opérer efficacement dans les zones fluviales éloignées. Sa manœuvrabilité exceptionnelle, associée à une puissance de feu considérable, en fait un atout précieux pour dissuader les activités illégales, telles que le trafic de drogue, l'orpaillage illégal, la contrebande et les actions terroristes, qui se déroulent souvent le long des cours d'eau du pays.

    L'arrivée du Shizo-KP3 dans l'arsenal de l'armée maronhienne marque une volonté claire de renforcer la présence et la surveillance de l'État dans les zones fluviales : rivières, fleuves, marais, marécages, mangroves, etc. Le trafic fluvial est un enjeu majeur en Maronhi, et la capacité de l'armée à patrouiller et à contrôler les voies navigables intérieures est essentielle pour garantir la sécurité des populations locales, créoles comme autochtones, et prévenir les activités illégales. La décision d'adopter le Shizo-KP3 témoigne également de l'engagement de la Maronhi à moderniser ses forces armées et à faire face aux défis de sécurité auxquels le pays est confronté. En investissant dans des moyens de défense fluviale modernes et performants, la Maronhi renforce sa capacité à réagir rapidement et efficacement aux menaces émergentes, tout en protégeant les intérêts nationaux.

    Vedette fluviale Shizo-KP3, nouveau fleuron de la marine fluviale maronhienne, photographies, 2010.<br>
    Vedette fluviale Shizo-KP3, nouveau fleuron de la marine fluviale maronhienne, photographies, 2010.


    La formation des équipages de l'armée maronhienne aux opérations à bord de la vedette Shizo-KP3 est une priorité absolue. Des programmes de formation spécialisés seront mis en place pour garantir que les marins maîtrisent pleinement les compétences nécessaires pour naviguer, maintenir et utiliser cette nouvelle plateforme de défense fluviale de manière optimale. Les marins bénéficieront d'une formation complète sur les systèmes de navigation avancés, les tactiques de patrouille fluviale, les procédures d'entretien et de maintenance, ainsi que sur les protocoles de sécurité. Des instructeurs qualifiés travailleront en étroite collaboration avec les équipages pour s'assurer qu'ils développent les compétences nécessaires pour opérer le navire de manière sûre et efficace. Des exercices pratiques sur le terrain, des simulations de scénarios réels et des sessions théoriques approfondies seront au programme de cette formation spécialisée.

    L'introduction du Shizo-KP3 renforcera considérablement la présence de l'armée maronhienne le long des voies navigables intérieures, assurant ainsi une surveillance accrue et une réponse plus rapide aux menaces émergentes. En patrouillant activement ces cours d'eau, l'armée maronhienne sera en mesure de prévenir les activités illégales, de perturber les réseaux criminels et de protéger les populations locales. La capacité du Shizo-KP3 à opérer dans des environnements fluviaux complexes, tels que les rivières, les deltas et les zones marécageuses, offrira également une plus grande flexibilité aux forces armées maronhiennes. Elles pourront mener des opérations de sauvetage, de secours humanitaire et d'assistance aux communautés isolées en cas de catastrophes naturelles, renforçant ainsi le rôle de l'armée en tant que protecteur des citoyens maronhiens.

    Alors que ledit navire est progressivement intégré dans les opérations de l'armée maronhienne, l'attention se tourne désormais vers les prochaines étapes de modernisation et d'innovation dans le domaine de la défense fluviale. La Maronhi continuera de suivre de près les avancées technologiques et de renforcer ses capacités pour faire face aux défis sécuritaires émergents. En adoptant la vedette fluviale Shizo-KP3, l'armée maronhienne démontre sa détermination à assurer la sécurité des voies navigables intérieures du pays et à préserver la souveraineté nationale. Cette nouvelle plateforme de défense fluviale fournira à l'armée maronhienne les moyens nécessaires pour protéger efficacement les intérêts du pays et contribuer à la stabilité régionale.


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    Religion : le retour du culte impérial

    27 juin 2010


    La Maronhi ravive le culte de l'empereur burujois, marquant une restauration historique chargée de symbolisme.



    Dans un geste historique et empreint de symbolisme, le gouvernement a annoncé, suite à la rencontre officielle de dame Kouyouri avec l'empereur Tadashi à Karaimu, la restauration du culte de l'empereur burujois en Maronhi, ramenant ainsi une tradition pluricentenaire au cœur de la société contemporaine. Cette décision, accueillie avec enthousiasme par certains et suscitant des débats passionnés, marque un tournant significatif dans la relation entre la monarchie burujoise et le peuple maronhien. Le culte de l'empereur, également connu sous le nom d'hanaoïsme d'État, a joué un rôle central dans la vie religieuse et politique du Burujoa et de la Maronhi pendant des siècles. Cependant, après la prise d'indépendance du plateau maronhien et l'instauration du shogunat Susano, l'hanaoïsme d'État est aboli en 1852 avec la création de la Première République maronhienne, dans le but de promouvoir les idéaux républicains et de séparer la religion de l'État. Cette restauration du culte de l'empereur est perçue par certains comme un retour aux traditions et aux valeurs culturelles profondément enracinées dans la société créole de Maronhi. Les partisans de cette décision soutiennent que la monarchie impériale est un symbole d'unité du monde Burujoa et de continuité historique, et que le culte de l'empereur renforce l'identité culturelle ymlasienne, voire burujoise.

    Cependant, cette décision a également suscité des préoccupations et des critiques. Certains soulèvent des inquiétudes quant à la réinstauration du culte de l'empereur dans la religion d'État, affirmant que cette restauration pourrait remettre en question les principes du culte de l'animisme maronhien, l'ōkinakishintō. D'autres s'inquiètent de la possibilité que le culte de l'empereur conduise à une forme d'impérialisme quelconque. Le gouvernement maronhien, conscient de ces préoccupations, a affirmé que la restauration du culte de l'empereur se ferait dans le respect des principes de la liberté religieuse d'ores et déjà en vigueur. Des mesures seront prises pour assurer que le culte de l'empereur puisse s'associer à l'ōkinakishintō, et que donc, la Gran Man en assure pleinement l'application et le maintien en raison de son rôle de cheffe religieuse en Maronhi. Le rôle de l'empereur lui-même a également été redéfini dans cette restauration. L'empereur occupera une position symbolique, en tant que figure unificatrice des peuples du monde Burujoa, sans intervention directe dans les affaires politiques. Le culte de l'empereur se concentrera sur la vénération de l'histoire, de la tradition et de la divinité de l'empereur plutôt que sur une adoration personnelle de l'individu. La décision coïncide d'ailleurs parfaitement avec la fin des travaux de restauration du sanctuaire de Matsui dans la province de Sunga, principal sanctuaire du culte impérial en Maronhi aux ères coloniale et shogunale.

    (Gauche) Promenade à la porte de Kanku, Voie Dorée du sanctuaire de Matsui, province d'Ogata, photographie, 2010. / (Droite) Restauration du sanctuaire de Matsui du culte impérial, province d'Ogata, photographie, 2010.<br>
    (Gauche) Promenade à la porte de Kanku, Voie Dorée du sanctuaire de Matsui, province d'Ogata, photographie, 2010.
    (Droite) Restauration du sanctuaire de Matsui du culte impérial, province d'Ogata, photographie, 2010.


    La restauration du culte de l'empereur a été accueillie avec une combinaison d'enthousiasme et de débat au sein de la société maronhienne. Dans un contexte d'ascension de violences de mouvements réactionnaires, notamment shogunistes, les partisans de la restauration voient dans cette décision le moyen de faire un pied-de-nez auxdits mouvements tout en préservant et en renforçant l'identité culturelle partagée avec l'Empire Burujoa, tandis que les opposants craignent les conséquences politiques et sociales de cette décision. Les partisans de la restauration du culte de l'empereur soulignent que cela permettra de renforcer le lien entre la population maronhienne et burujoise, ainsi qu'avec leur longue histoire. Ils estiment que le culte de l'empereur offre un sentiment de continuité et de stabilité, ainsi qu'un moyen de célébrer les traditions et les valeurs fondatrices de la nation. En revanche, les critiques s'inquiètent des implications politiques et idéologiques de cette restauration. Certains perçoivent cette décision comme une tentative de rétablir une certaine forme de contrôle politique et de renforcer l'autorité de la monarchie au-delà de son rôle symbolique actuel. La restauration du culte de l'empereur représente un débat complexe et délicat en Maronhi, mettant en évidence les tensions entre la préservation des traditions culturelles et les valeurs nationales. Cela soulève des questions fondamentales sur la relation entre la religion, la politique et l'identité nationale dans un pays partagé entre l'unicité culturelle et le rattachement à une identité. L'avenir du culte de l'empereur sera étroitement surveillé et débattu, car la société maronhienne continue de naviguer entre la préservation de ses racines culturelles et les demandes d'une société unique. Quelle que soit l'issue, il est clair que la restauration du culte de l'empereur est une décision majeure qui aura un impact sur l'avenir sociopolitique de la Maronhi et suscitera des réflexions plus larges sur la relation entre tradition et modernité dans le monde actuel.


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    Partenariat : débat clos sur l'installation des centrales kah-tanaises

    19 juillet 2010


    Après deux ans de débats internes, l'accord historique entre la Maronhi et le Grand Kah se concrétise finalement, laissant place à la construction de centrales solaires à Iwako.



    Après deux ans de débats houleux et de manifestations intenses, les collectivités de Maronhi ont finalement donné leur accord pour la construction de centrales solaires près de la ville d'Iwako. Cet accord marque un tournant majeur dans les efforts de transition énergétique de la République Nationale-Socialiste de Maronhi, et il est le fruit d'une collaboration entre les collectivités et les Communes Unies du Grand Kah. Les centrales solaires, qui seront construites dans la province d'Hué, représenteront alors une source d'énergie propre et renouvelable, réduisant ainsi la dépendance du pays à l'égard des énergies fossiles. Ce projet ambitieux vise en premier lieu à promouvoir la durabilité environnementale tout en répondant aux besoins croissants en énergie de la région. L'accord conclu en 2008 entre la Maronhi et le Grand Kah n'a pas été facile à insérer au sein des collectivités. Les débats ont été animés, avec des arguments passionnés entre défenseurs et opposants au projet, au sein même de l'Assemblée des Man. Les opposants au projet ont nettement exprimé leurs craintes concernant l'impact sur l'environnement, la destruction de terres agricoles, etc. De plus, des manifestations massives se déroulèrent à Hué et Ogata pour exprimer leur désaccord. Cependant, après de longues négociations, des consultations approfondies, ainsi que des enquêtes des commissions, un accord a été trouvé pour atténuer les préoccupations des opposants. Des mesures de protection de l'environnement seront mises en place, avec un plan de reboisement et de préservation des terres agricoles. Des études d'impact environnemental seront également réalisées pour minimiser les conséquences sur la biodiversité locale.

    Le voisin septentrional, ayant une expertise bien reconnue à l'international dans le domaine de l'énergie solaire, a bien sûr joué un rôle essentiel dans la réussite de cet accord. Les entreprises du Grand Kah apporteront ainsi leur savoir-faire technique et financier pour la construction et l'exploitation des centrales solaires, tout en travaillant en étroite collaboration avec les collectivités de Hué pour assurer une intégration harmonieuse du projet dans le développement local. Les débuts des travaux des centrales solaires devraient commencer dans les prochains semaines, ouvrant ainsi une nouvelle ère de développement durable. Les avantages de cette initiative sont nombreux : réduction des émissions de gaz à effet de serre, création d'emplois locaux, amélioration de l'indépendance énergétique et stimulation économique de la région. L'accord pour la construction des centrales solaires est une étape importante dans la transition énergétique de la Maronhi. Il démontre que, malgré les importantes divergences d'opinions et les défis rencontrés, il est possible d'atteindre un consensus en faveur d'un avenir plus durable. Les collectivités locales maronhiennes et les entreprises kah-tanaises montrent ainsi l'exemple en s'engageant résolument vers une production d'énergie plus propre et en contribuant à la préservation de l'environnement pour les générations futures.

    Séance de la Commission d'enquête d'aménagement du territoire, photographie, 2010. / Le Haut-Conseil aux dernières délibérations sur la construction des centrales solaires, photographie, 2010.<br>
    Séance de la Commission d'enquête d'aménagement du territoire, photographie, 2010.
    Le Haut-Conseil aux dernières délibérations sur la construction des centrales solaires, photographie, 2010.


    La construction des centrales solaires à proximité de la ville d'Iwako se devra d'être un catalyseur pour la transition énergétique. Les avantages écologiques seront bien évidemment multiples. Outre les bénéfices environnementaux, ce projet offrira également des retombées économiques positives pour la région adjacente au territoire kah-tanais. La construction et l'exploitation des centrales solaires créeront aussi de nombreux emplois locaux, stimulant ainsi l'économie et améliorant les conditions de vie des habitants de la province de Hué. De plus, cette initiative renforcera l'indépendance énergétique, réduisant la dépendance vis-à-vis des importations d'énergie. Les collectivités de Hué et les entreprises du Grand Kah ont souligné l'importance de la concertation et de la collaboration pour parvenir à cet accord historique. Des consultations approfondies avec les communautés locales, les experts environnementaux et les parties prenantes ont été menées afin de prendre en compte les préoccupations et de garantir une mise en œuvre responsable du projet.

    De nombreux pays ont déjà entrepris des actions pour réduire leur empreinte carbone et promouvoir les énergies propres. L'accord conclu à Maronhi est un exemple inspirant de leadership et d'engagement en faveur de la protection de l'environnement. Alors que la construction des centrales solaires se profile à l'horizon, les collectivités et les entreprises kah-tanaises sont déterminées à travailler en étroite collaboration pour que ce projet soit un succès sur tous les plans. Des mécanismes de suivi et d'évaluation seront alors mis en place pour s'assurer du respect des différentes normes en vigueur ainsi que de la durabilité du projet à long terme. La réalisation de ce projet sera suivie de près par la communauté internationale, qui reconnaît l'importance des actions locales pour atteindre les objectifs mondiaux en matière de développement.


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    Patrimoine : ouverture du Festival Hajichi

    27 juillet 2010


    Dès aujourd'hui et ce jusqu'au 31 juillet, retrouvez l'annuel Festival Hajichi à Fujiao sur le monde du tatouage traditionnel créole.



    La culture créole maronhienne est connue pour son art unique du tatouage traditionnel créole, connu sous le nom de Hajichi. Cet art ancestral, pratiqué depuis des siècles par les femmes, principalement du Golfe de Biwa, revêt une signification profonde et témoigne de l'identité et de l'histoire de cette région. Probablement influencé entre la fin du XVIe et le début du XVIIe par les cultures des îles de l'Océan Impériale et du grand bois, le Hajichi se distingue par ses motifs délicats et élégants, qui sont traditionnellement réalisés à la main à l'aide d'aiguilles fines et de pigments naturels. Les motifs du Hajichi sont souvent inspirés de la nature, avec des fleurs, des feuilles et des animaux stylisés, mais ils peuvent également représenter des symboles traditionnels ou des motifs abstraits chargés de significations. Ce qui rend le Hajichi unique, c'est sa relation étroite avec les femmes maronhiennes. Historiquement, le tatouage Hajichi était un rite de passage pour les jeunes femmes, marquant leur entrée dans l'âge adulte et leur appartenance à la communauté d'un clan. Il est traditionnellement considéré comme un symbole de beauté, de fertilité et de protection contre les esprits malveillants. Le Hajichi connut cependant des évolutions pour devenir un véritable art à part entière, alliant tradition et créativité. Aujourd'hui, de nombreux artistes tatoueurs de Maronhi perpétuent cette tradition ancestrale en adaptant les motifs du Hajichi aux goûts contemporains, tout en respectant les techniques et les significations traditionnelles.

    Motifs de hajichi, tatouage traditionnel créole de Maronhi, croquis, 1976. / Festival Hajichi de Fujiao, affiche, 2010.<br>
    (Gauche) Motifs de hajichi, tatouage traditionnel créole de Maronhi, croquis, 1976.
    (Droite) Festival Hajichi de Fujiao, affiche, 2010.

    Ce matin, le centre de Fujiao est sur le point d'accueillir un événement unique qui célèbre l'art du tatouage traditionnel : le Festival Hajichi. Cet événement annuel, très attendu par les Maronhiens et les étrangers amateurs de tatouages, met en lumière l'héritage culturel du Hajichi et célèbre la beauté et la signification profonde de cet art ancien. Le Festival Hajichi, qui se déroulera jusqu'au 31 juillet, offre un aperçu fascinant de la tradition du tatouage créole de Maronhi. Les visiteurs auront l'opportunité de découvrir les motifs et les techniques uniques du Hajichi à travers des expositions, des démonstrations d'artistes tatoueurs renommés et des ateliers interactifs. Des artisans locaux présenteront également des créations artisanales inspirées des traditionnels motifs claniques, comme des vêtements brodés, des accessoires et des œuvres d'art. Au cœur du festival, soit dès le 29 juillet, prendra place un défilé spectaculaire mettant en scène des femmes aux tatouages créoles. Revêtues de kimonos maronhiens, elles parcourront les rues de Fujiao, dévoilant les motifs complexes et colorés qui ornent leurs mains. La procession sera de plus accompagnée de danses traditionnelles, de chants et de musiques authentiques, devant alors offrir une atmosphère envoûtante et festive. Le Festival Hajichi est bien plus qu'une simple célébration artistique. Il offre également une occasion de plonger dans l'histoire et les significations profondes du tatouage Hajichi. Des conférences et des présentations sont organisées pour expliquer l'origine de cet art ancestral, ses traditions et son évolution au fil du temps. Les visiteurs pourront ainsi mieux comprendre la signification symbolique de leurs motifs et l'importance de cet art dans la culture maronhienne. En plus des aspects artistiques et culturels, le festival propose dès à présent une variété d'activités divertissantes pour toute la famille. Des stands de nourriture traditionnelle du Golfe de Biwa offrent aux visiteurs l'opportunité de déguster des mets locaux délicieux, tandis que des jeux, des concours et des spectacles divertiront les plus jeunes festivaliers. Il s'agit d'un événement incontournable pour tous ceux qui s'intéressent à l'art, à la culture et à l'histoire de la Maronhi. C'est une occasion unique de découvrir la beauté des tatouages traditionnels créoles, de rencontrer des artistes talentueux et de plonger dans l'atmosphère vibrante de notre pays enchanteur.

    En célébrant le Hajichi, le festival met en valeur l'importance de préserver les traditions culturelles uniques de la région et de transmettre cet héritage précieux aux générations futures. Il rappelle aux Maronhiens et aux visiteurs du monde entier que l'art du tatouage est bien plus qu'une simple expression corporelle, c'est une manifestation vivante de l'identité et de l'histoire. Cet évènement offre également une plateforme aux artistes tatoueurs locaux pour présenter leur talent et leur savoir-faire exceptionnels. Ces artisans passionnés sont les gardiens de la tradition créole et contribuent à la préservation de cet art pluricentenaire. Les visiteurs auront ainsi l'occasion de rencontrer ces artistes talentueux, d'échanger avec eux et même de se faire tatouer par des maîtres du Hajichi, si le cœur leur en dit. En plus de promouvoir l'art du tatouage traditionnel, le festival permet également de sensibiliser le public à la signification et à l'importance du respect de cet héritage culturel. Des conférences et des discussions sont organisées pour aborder des sujets tels que l'histoire du Hajichi, sa signification symbolique et son évolution dans la société contemporaine. Cette approche éducative vise à dissiper les préjugés, notamment avec le reste du monde nippon, banalisant généralement le tatouage, et à favoriser une meilleure compréhension de cette pratique. Ce festival est un événement qui rassemble non seulement la communauté maronhienne, mais aussi des visiteurs du monde entier. Il crée un espace de partage des traditions et des cultures. Les visiteurs auront ainsi l'opportunité d'explorer la richesse culturelle du plateau maronhien tout en partageant leurs propres expériences et perspectives. En célébrant le Hajichi, le festival ouvre une fenêtre sur l'âme de notre région et permet de mieux comprendre la profondeur de notre culture. Cet événement annuel devient ainsi un rendez-vous incontournable pour les amateurs d'art, les curieux et tous ceux qui souhaitent découvrir la magie de la Maronhi. Que vous soyez passionné d'histoire, d'art ou simplement en quête d'une expérience culturelle unique, le Festival Hajichi de Fujiao est l'occasion idéale de plonger dans l'univers captivant du tatouage traditionnel créole. Venez vous immerger dans cette atmosphère envoûtante, admirez les magnifiques motifs, rencontrez des artistes talentueux et découvrez la beauté de la culture maronhienne. Le Festival Hajichi vous promet une expérience inoubliable, riche en émotions et en découvertes.


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    Célébrités : Yabūchi Shizu, le grand maître du cinéma, s'éteint

    06 août 2010


    Yabūchi Shizu, le géant du cinéma, nous a quittés, laissant derrière lui un héritage cinématographique intemporel. Cependant, son approche délicate de la réalité humaine et sa représentation subtile des relations familiales continueront d'inspirer les cinéastes et d'émouvoir les spectateurs.



    Le monde du cinéma est en deuil aujourd'hui suite à la triste nouvelle de la disparition de Yabūchi Shizue, l'un des réalisateurs les plus influents et respectés de l'histoire du cinéma maronhien. Shizu s'est éteint paisiblement à l'âge de 97 ans, laissant derrière lui un héritage cinématographique indélébile qui continuera de fasciner les générations futures. Né le 11 mai 1913 à Siwa, Yabūchi Shizu débuta sa carrière dans le cinéma muet au début des années 1930 en tant qu'assistant réalisateur. Il fit rapidement ses preuves en tant que réalisateur talentueux, avec son premier film, "La femme des forges" (1934), qui marqua le début d'une longue série de chefs-d'œuvre cinématographiques. La carrière de Shizu connut son apogée dans les années 1960 et 1970. Son style cinématographique unique et reconnaissable, caractérisé par des plans fixes, des mouvements de caméra lents et des scènes intimistes, fit de lui un maître du cinéma contemplatif et réaliste. Au fil des décennies, Shizu explora des thèmes universels tels que la famille, les relations intergénérationnelles, le passage du temps et les changements sociaux en Maronhi dans un contexte de restructuration du pays depuis 1962. Ses films sont souvent empreints de mélancolie et d'une profonde humanité, capturant les petits détails de la vie quotidienne avec une précision et une poésie remarquables. Yabūchi Shizu reçut de nombreux éloges et récompenses tout au long de sa carrière, tant en Maronhi qu'à l'étranger. Ses films furent acclamés par les critiques et remportèrent de nombreux prix. Son influence sur le cinéma maronhien est indéniable, et de nombreux réalisateurs contemporains reconnaissent l'impact de son œuvre sur leur propre travail. En plus de sa contribution inestimable au cinéma, Shizu était également connu pour sa modestie et son refus de se conformer aux attentes commerciales. Il préféra rester fidèle à sa vision artistique et accoucha d'un corpus de films qui lui valurent une place permanente parmi les plus grands réalisateurs de tous les temps.

    Bien qu'en raison de son âge avancé, Yabūchi Shizu ne put réaliser aucun nouveau long-métrage depuis plus d'une dizaine d'années, sa mort reste une perte immense pour le cinéma. Son héritage artistique majeur perdurera cependant à travers ses films intemporels pour la société maronhienne. Son regard délicat et sa capacité à capturer l'essence de la condition humaine continueront d'inspirer les cinéastes et les amateurs de cinéma. En cette journée sombre, le monde du cinéma se rassemble pour rendre hommage à Yabūchi Shizu, un véritable génie de l'art des images et du mouvement. Un bref balayage des réseaux étrangers confirme bien les attentes quant aux réactions de son public ; en effet, les cinéphiles du monde entier ont exprimé leur tristesse. Les réalisateurs contemporains du cinéma national saluent quant à eux l'immense contribution de Shizu à celui-ci. Le producteur Honjou Tsuneie, lui-même admirateur de longue date du réalisateur, nous déclare : « Shizu a laissé une empreinte indélébile sur le cinéma. Ses films demeurent des leçons de vie, des réflexions sur l'âme humaine. Sa sensibilité et sa maîtrise de la mise en scène sont tout simplement extraordinaires. » Les acteurs qui eurent le privilège de travailler avec lui se souviennent également avec émotion de son talent et de son approche collaborative sur le plateau. Aya Kakushi, l'une des actrices fétiches de Shizu, notamment présente dans l'incontournable "Promenade du Couchant" sorti en salle en février 1971, se remémore leur collaboration : « Travailler avec Shizu était une expérience unique. Il avait cette capacité incroyable à comprendre les émotions les plus profondes des personnages et à les transmettre avec une simplicité bouleversante. »

    Yabūchi Shizu, le grand maître du cinéma : un héritage cinématographique indélébile, photomontage, 2010<br>
    Yabūchi Shizu, le grand maître du cinéma : un héritage cinématographique indélébile, photomontage, 2010.

    La filmographie de Shizu, composée de plus de cinquante films, est un trésor artistique qui continuera d'être étudié et apprécié pour les décennies à venir. Des chefs-d'œuvre tels que "Éternel Été" (1939), "Le Goût de l'Amer" (1965) et "Promenade du Couchant" (1971) resteront des références incontournables du cinéma maronhien. Avec la mort de Yabūchi Shizu, le monde du cinéma perd un véritable maître, mais son héritage perdurera dans les cœurs des cinéphiles. Ses films continueront d'être projetés dans les cinémathèques, les festivals de films et les cours de cinéma, témoignant de la grandeur de son talent et de sa contribution à l'art cinématographique. Aujourd'hui, nous pleurons la perte d'un géant du cinéma, mais nous célébrons également sa vie et son œuvre qui continueront de nous inspirer et de nous émouvoir.

    L'héritage de Shizu dépasse les frontières de Maronhi, touchant des cinéastes et des cinéphiles du monde entier. À travers ses films, Shizu captura des moments fugaces, des émotions profondes et des réflexions intimes. Il donna une voix aux silences, aux non-dits et aux nuances de la vie quotidienne. Son style visuel distinctif, avec ses plans fixes et son utilisation judicieuse du montage, fit naître une esthétique cinématographique à la fois simple et puissante. L'importance de Shizu dans l'histoire de notre cinéma national est incontestable. Ses œuvres ont influencé de nombreux réalisateurs qui suivirent, façonnant la manière dont nous regardons et comprenons le cinéma aujourd'hui. Son exploration des thèmes intemporels tels que la famille, l'amour, la solitude et le passage du temps résonne encore profondément chez les spectateurs contemporains. Mais au-delà de son impact sur l'industrie cinématographique, Shizu laisse derrière lui une leçon précieuse sur la beauté de la simplicité. Il nous rappelle que la vie se trouve dans les moments les plus ordinaires, dans les conversations autour d'une tasse de thé, dans les promenades tranquilles dans les rues de Tokyo, dans les sourires échangés entre membres d'une famille. En ce jour de deuil, nous nous souvenons de Yabūchi Shizu comme d'un homme humble et modeste, dévoué à son art et à son public. Son héritage artistique continue de vivre à travers chaque image capturée, chaque dialogue prononcé et chaque émotion ressentie dans ses films intemporels. Alors que nous lui disons adieu, nous nous engageons à préserver son héritage et à transmettre son amour du cinéma aux générations futures. Puissent ses films continuer à éclairer nos vies, à nourrir notre compréhension du monde et à nous rappeler la beauté simple qui se cache dans chaque instant. Comme il le disait lui-même si bien en plateau : « Nous nous devons de reconnaître la vie dans chaque soupir, chaque tasse de thé, chaque vie que l'on capture. L'on meurt chaque seconde. »


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    Pharmaceutique : le Supēdo, un vaccin plus efficace contre la fièvre jaune

    27 septembre 2010


    Des chercheurs maronhiens ont développé un vaccin plus efficace contre la fièvre jaune, le Supēdo, suscitant un grand enthousiasme face à cette menace persistante. Les essais cliniques ont démontré une efficacité exceptionnelle, offrant une protection à vie avec une seule dose. Les autorités sanitaires maronhiennes soutiennent cette avancée majeure et prévoient d'évaluer le vaccin en vue d'une éventuelle autorisation de mise sur le marché.




    Dans une avancée prometteuse pour la santé publique, des chercheurs maronhiens ont annoncé le développement d'un nouveau vaccin révolutionnaire contre la fièvre jaune : le Supēdo. Cette annonce suscite un grand enthousiasme et de l'espoir dans tout le pays, car la fièvre jaune reste une menace persistante pour la population. Les premiers résultats des essais cliniques sont extrêmement encourageants, ce qui ouvre la voie à une nouvelle ère de lutte plus efficace contre cette maladie mortelle. La fièvre jaune, cette maladie virale transmise par des moustiques, a affecté des milliers de personnes sur le territoire national ces dernières années, particulièrement en arrière-pays où l'accès aux soins reste précaire. Sans vaccin, elle peut ainsi provoquer de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, la fièvre jaune peut entraîner une insuffisance hépatique et rénale, des saignements, une jaunisse et une atteinte du système nerveux, pouvant elle-même entraîner la mort. Les régions tropicales et subtropicales sont particulièrement touchées par cette maladie potentiellement mortelle, ce qui en fait un enjeu de santé publique majeur pour le pays. Les chercheurs et les professionnels de la santé ont alors travaillé sans relâche pour trouver une solution efficace et abordable pour prévenir la propagation de cette maladie, un travail qui s'est dernièrement accéléré avec des coopérations de chercheurs burujois.

    Le nouveau vaccin Supēdo, développé par une équipe de scientifiques de renommée, utilise une approche novatrice pour renforcer l'immunité contre le virus de la fièvre jaune. Les essais cliniques ont été menés avec succès sur un échantillon représentatif de la population maronhienne, et les résultats préliminaires sont très encourageants. Selon les chercheurs, ce nouveau vaccin offre une protection plus solide et plus durable contre la fièvre jaune par rapport aux vaccins précédemment disponibles, étant efficace à vie et offrant donc une protection pérenne dès la première dose. Le Docteur Hiroshi Tanaka, chef de l'équipe de recherche et membre de l'Académie maronhienne des Sciences, a déclaré lors d'une conférence de presse : « Nous sommes extrêmement fiers des résultats obtenus jusqu'à présent. Notre vaccin présente une efficacité supérieure dans la prévention de la fièvre jaune, ce qui constitue une avancée significative dans la lutte contre cette maladie dévastatrice. De plus, le fait qu'une seule dose soit suffisante pour une protection à vie est une avancée majeure qui facilitera la vaccination des populations les plus isolées. »

    Moustique commun porteur de flavivirus, photographie, 2010. / Le Supēdo, nouveau vaccin maronhien contre la fièvre jaune, photographie, 2010.<br>
    (Gauche) Moustique commun porteur du flavivirus, photographie, 2010.
    (Droite) Le Supēdo, nouveau vaccin maronhien contre la fièvre jaune, photographie, 2010.

    Les autorités sanitaires maronhiennes ont exprimé leur soutien et leur intérêt pour le Supēdo. Madamoiselle Hagiwara Ginko, cheffe du Département de la Santé, a récemment déclaré au Forum national de lutte contre les arboviroses travailler en étroite collaboration avec les chercheurs pour évaluer la sécurité et l'efficacité du vaccin, en vue d'une éventuelle autorisation de mise sur le marché national, voire sur le marché international. Des discussions sont en cours pour déterminer les prochaines étapes, y compris la production à grande échelle et la distribution du vaccin. Les experts soulignent également l'importance d'une sensibilisation accrue sur la fièvre jaune et l'importance de la vaccination pour protéger la population. Ils encouragent la population à se faire vacciner dès que le nouveau vaccin sera disponible et sécurisé, soulignant qu'une seule dose suffit pour une protection à vie. Si le Supēdo se révèle être une solution efficace contre la fièvre jaune, cela pourrait marquer un tournant majeur dans la lutte contre la maladie en Maronhi. La prévention et le contrôle de la fièvre jaune sont essentiels pour protéger la santé et le bien-être de la population, ainsi que pour soutenir le développement économique du pays.


    La Patrie ou la Mort, nous vaincrons.

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    Sécurité : un compromis entre défense et liberté individuelle

    22 octobre 2010


    Le gouvernement maronhien a pris des mesures audacieuses pour faciliter l'accès aux armes à feu, en corrélation avec la baisse des effectifs de conscrits, jugés inefficaces pour faire face aux défis de l'arrière-pays, afin de renforcer la sécurité individuelle, la préparation aux situations d'urgence et la sécurité nationale.




    Dans un geste audacieux en faveur de la sécurité et de l'autonomie des Maronhiens, le gouvernement a, depuis maintenant cinq années, pris une série de mesures visant à faciliter l'accès aux armes à feu sur le territoire national en privilégiant les provinces du grand bois que sont Kwanetipi, Ahminikya et Teyoteko ; décisions qui furent chaleureusement accueillies par les chijis concernés : dame Eyota Apoko ainsi que sieurs Waki Tapa et Nawa Wakikwe. Cette politique novatrice, saluée par de nombreux experts ainsi que par l'Assemblée des Man dont les représentants des communes enclavées, est liée de manière évidente à la baisse annuelle des effectifs de conscrits dans le pays au profit de la reconstitution progressive d'une véritable armée de métiers, déjà principalement de jizamuraïs. Il s'agit d'une corrélation volontaire qui illustre la vision perspicace de l'État pour renforcer la défense nationale. Les peines, notamment de travaux forcés, encourues pour non-respect des lois en vigueur sur l'achat, la possession, le transport, l'utilisation et la vente des armes concernées par ces mesures se renforcent cependant afin de contenir les abus.

    Le droit à la sécurité personnelle est fondamental de par l'instabilité de la région, les activités illégales, la dangerosité de la faune et l'enclavement de certaines populations dû aux circonstances territoriales. En facilitant l'accès aux armes à feu de défense, le gouvernement honore ce droit inaliénable proclamé dans la Constitution de 1963 et permet aux individus de mieux se protéger contre les menaces potentielles. Le lien entre la baisse des conscrits et cette politique est clair : les Maronhiens, dont les voix furent portées par les Man jusqu'aux oreilles du Haut Conseil, ressentent le besoin de se prendre en main pour assurer leur propre défense en l'absence d'une sécurisation homogène des zones habitées du plateau. Cette décision courageuse reflète l'engagement du gouvernement envers la protection des civils. Face aux défis croissants de sécurité, il est crucial pour la Maronhi de disposer d'une population capable de se défendre et de contribuer à la sécurité personnelle, à la sécurité communautaire ainsi qu'à la sécurité nationale. En facilitant l'accès aux armes à feu, l'État prend des mesures proactives pour renforcer cette sécurité à tous les niveaux. Les civils qui choisissent de posséder des armes sont désormais des acteurs essentiels de la première ligne de défense de la nation et de sa population, un rôle qui leur confère un sentiment de responsabilité et de fierté.

    Visuels de ampagne d'information sur le recrutement aux conscrits, affiches, 2009. / Maronhiens armés en stand de tir à Kyugawa, photographie, 2010.<br>
    (Gauche) Visuels de campagne d'information sur le recrutement aux conscrits, affiches, 2009.
    (Droite) Maronhiens armés en stand de tir à Kyugawa, photographie, 2010.

    Dans le contexte actuel, où les menaces que font peser l'orpaillage illégal et les divers trafiques peuvent surgir à tout moment, il est impératif que chaque Maronhien majeur soit préparé à faire face à des situations d'urgence. La politique de facilitation d'accès aux armes à feu permet ainsi aux Maronhiens d'être mieux préparés pour faire face à des crises éventuelles, qu'elles soient d'origine externe ou interne. En effet, de par les spécificités territoriales et l'incapacité de pleinement surveiller l'arrière-pays, les armes illégales demeurent vivaces sur le territoire et présentent une menace bien réelle pour les communautés isolées sans moyen de se défendre. Dans de telles conditions, seuls des hommes et de femmes armés de bonnes intentions peuvent s'opposer efficacement aux hommes et femmes armés de mauvaises intentions. Cette préparation individuelle contribue à la résilience collective de la patrie. La politique du gouvernement ne se limite pas seulement à renforcer la sécurité, elle a également des implications économiques positives. L'industrie locale de fabrication d'armes à feu connaît une croissance significative, permettant ainsi une création des emplois et stimulant l'économie nationale. Les petites entreprises spécialisées dans la vente d'armes bénéficient également d'un essor dans un contexte toujours plus favorable à l'entrepreneuriat, renforçant ainsi le tissu économique de la Maronhi.

    Alors que le gouvernement promet de supprimer encore trois mils postes de conscrits par an pour les huit prochaines années, et de reléguer une large partie des missions de surveillance de l'arrière-pays à d'autres corps de l'armée mieux formés et plus expérimentés, celui-ci établie très clairement une réponse à cette baisse des effectifs de conscrits par la facilitation de l'accès aux armes à feu pour les Maronhiens : une preuve supplémentaire de la vision et de la volonté de l'État de se renouveler encore et encore face à une situation qui s'embourbe avec le temps et qui ne connait pas de véritables fins concluantes, cela afin de garantir la sécurité et l'autodéfense de sa population. Cette politique audacieuse reflète la confiance progressive que place les décideurs dans la responsabilité individuelle et l'engagement personnel envers la sécurité. En renforçant la capacité d'autodéfense de chacun, le gouvernement crée une nation plus forte, plus préparée et plus résiliente face aux défis constants, internes comme externes.


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