L'encyclopédie banairaise, gérée par la Shanaam, est divisée en plusieurs parties : Histoire, Géographie et Nature, Culture et enfin Politique. Elle a pour but de donner un aperçu général du pays mais est loin d'être exhaustive, et surtout, figée. Cette présentation générale a pour but de présenter ces quatre parties.
Peu d'écrits attestent de cette période reculée du fait du mode de vie des peuplades nomades précurseuses de la nation banairaise : on n'en connaît par ailleurs que les noms des plus importantes, dont celle qui donna son nom à la langue nationale -issue des différents dialectes tribaux- : les Tehas. Vivant en rythme avec les cycles naturels des plateaux et plaines semi-désertiques de Ben Bahè, ces groupes étaient très soudés et se considéraient comme partie prenante d'une même nation. Cependant, les rencontres restaient rares, les rendant vulnérables, au vu de leur nombre restreint, aux nations sédentaires étrangères mieux organisées.
Peu à peu colonisée par ses voisins, chassée de ses terres, la nation naissante peu à peu se rassembla et entreprit de s'organiser militairement afin de repousser l'ennemi, qui bâtit rapidement en retraite, actant la sédentarisation du peuple banairais. C'est ainsi que virent le jour les premières villes banairaises comme la glorieuse Al Kara. Bâties à des points stratégiques, elles assuraient la protection des ressources naturelles comme l'eau, la nourriture, le bois et les matières minérales. Cependant, les conflits territoriaux n'étaient pas rares : on estime à 2 à 3 siècles la durée de la guerre contre les intrus (400-600 ou 400-700) interrompus par de courtes périodes de paix. Il s'agit là d'une période très sanglante, elle bien documentée du fait de la création des premières archives. Le Banairah était alors gouvernée par l'armée dont les généraux étaient désignés par la population pour leurs brillantes actions militaires et leur bonne gestion administrative. Encore aujourd'hui, on peut aller visiter certains postes d'administration de l'armée, décorées des bannières rouges et blanches. 《Les Banniérés》 : tel était le nom donné par les étrangers à ce peuple guerrier. Durant les Guerres de Reconnaissance (400-600/700), l'armée était sans cesse en action, ravageant tout campement étranger, arrêtant les caravanes passant clandestinement sur le sol banairais, pillant les pays frontaliers pour se venger. Cela permit aux Banairais de faire reconnaître leurs droits sur leurs terres et fédéra la nation. Maintenant passage obligé des échanges commerciaux du Nord-Est de l'Afarée, elle s'enrichit rapidement et investit dans les infrastructures et les sciences.
Le jeune Banairah était également le carrefour de nombreux échanges intellectuels et abrita ainsi de nombreux scientifiques et artistes étrangers, pour la majorité venant du Nord du continent. Les premiers Instituts de Recherche Nationaux (IRN) furent fondés en 1012 à Abunaj, alors simple village de 80 000 habitants. L'accueil d'une importante communauté de savants, parlant grec ancien et latin, poussa à agrandir ce village et, du fait de son emplacement stratégique et de l'engouement de l'international pour celui-ci, à en faire la capitale. Abunaj fut depuis lors la vitrine du pays, et utilisé pour les expériences artistiques et technologiques. La meilleure illustration en est le Centre National d'Imprimerie Sanam Ahkdeïr, du nom de son créateur. Y furent tirés les premiers exemplaires de l'Encyclopedia Banairah, rédigée en latin et en tehak, rassemblant l'ensemble des savoirs du pays à l'époque. Les gouvernements et assemblées successives de l'époque s'attachèrent à investir l'argent du commerce dans des ressources plus pérennes, comme les connaissances mais aussi l'immobilier et les arts. Nombreuses sont les villas ayant perduré depuis leur construction à cette époque, témoignant du plus pur style arabisant. On observe également, et d'autant plus à Abunaj, des constructions aux inspirations culturelles très différentes, notamment l'Al Malh, bâtisse bizantine dessinée par l'architecte étranger Salm Raya, invité de la République. Ce fut par ailleurs à cette période que la construction de bâtiments religieux furent interdits, dû à l'effervescence des religions du fait de ces mouvements importants de population. On craignait en effet à l'époque un affrontement entre les partisans de la neutralité religieuse, les musulmans (majorité des croyants au Banairah) et les chrétiens (minorités grecques et latines).
Malheureusement, les Grandes Invasions Mongoles vinrent perturber cet essort : plus de trois quarts du pays fut envahi par l'armée mongole venue du nord, provoquant la fin de nombreuses civilisations lors de son passage. 2 siècles de guerre (~1215-1397) pour la survie des Banairais mirent en péril les progrès obtenus et réduisirent definitivement leur territoire. La fragilisation de l'empire mongol et son écroulement provoqua la dislocation de l'ancien Banairah qui ne récupéra que ses terres les plus orientales (en 10 ans de guerre, de 1407 à 1417), à l'Ouest de la Chaîne des Mortels (son nom vient des combats de cette guerre) d'où les Banairais réussirent à contenir l'envahisseur. Ce changement radical et les conséquences des pillages, des batailles et des épidémies plongea le pays dans une grave pénurie de ressources qui mènera à l'expension orientale du pays.
Ayant perdu toute emprise sur ses anciens territoires du Nord, le Banairah fut saisi d'une dynamique d'expension vers l'Est, regorgant de ressources hydriques et minières et de terres fertiles. Poussée par le contexte de disettes et de dettes de guerre, voulant redorer le blason d'un pays ayant souffert matériellement, humainement et psychologiquement des 《Invasions de la honte》, l'armée banairaise lança une campagne militaire en 1459 menant à l'attaque du Royaume de Basmeti, royaume perse au Nord-Ouest du pays, et à la prise de sa capitale Balaya, encore existante aujourd'hui, en 1460. La même année, le Reinaume de Destone fut cible d'un embargo puis d'un débarquement aboutissant à la capitulation de la Reine Siama seulement quelques mois après le lancement de l'opération. Soucieux de ne pas déstabiliser le pays et d'assimiler la population, les régions conquises furent l'objet de nombreuses campagnes d'assimilation culturelle et sociale. La position insulaire de Destone entraîna la préservation de certaines des traditions et lois alors en vigueur dans l'ancien reinaume, cela ajouté au statut dû à la capitulation, le Reinaume ayant effectivement suite au traité de paix béneficié d'une autonomie (fortement) restreinte au sein du Banairah. Au contraire, la position des régions basmates au cœur des axes de communication et de commerce et plus tard le début de la mondialisation joua en faveur d'une assimilation complète de l'ancien royaume, Balaya étant de nos jours un centre économique important, notamment pour l'agriculture et son fleuve utilisé dans les échanges commerciaux.
Le pays est essentiellement constitué de territoires semi-désertiques que seul l'ingéniosité et la connaissance de la nature des natifs rend cultivable et profitable. De grands plateaux montagneux parsèment également la partie centrale du territoire actuel. La chaîne des Mortels, s'étendant du sud-ouest au nord-est, est l'une des chaînes de montagnes les plus imposantes, avec des sommets culminants à plus de 3500m. Le climat est dans l'ensemble continental, et il n'est pas rare d'avoir des chutes de neige l'hiver dans certaines régions.
Le climat est plus clément et la nature plus luxuriante à l'est du pays, dans la région anciennement basmate (nb : gentilé de l'ex-royaume de Basmeti), avec des ressources hydriques plus importantes, tant en réseau fluvial qu'en précipitations (800mm/an dans les régions les plus humides, moyenne 690mm/an). Les îles de Destone, au climat océanique, abritent quant à elles un écosystème adapté aux vents salins qui frappent les côtes.
Le climat est plus clément et la nature plus luxuriante à l'est du pays, dans la région anciennement basmate (nb : gentilé de l'ex-royaume de Basmeti), avec des ressources hydriques plus importantes, tant en réseau fluvial qu'en précipitations (800mm/an dans les régions les plus humides, moyenne 690mm/an). Les îles de Destone, au climat océanique, abritent quant à elles un écosystème adapté aux vents salins qui frappent les côtes.
Le Banairah bénéficie de la présence de gisements de gaz dans le sud-est du pays ainsi que de gisements petroliers, dont l'exploitation reste une grande partie de l'économie nationale. On peut citer parmi les entreprises majeures de ce secteur l'entreprise banairaise Kara Korp et ses différentes filières (Kara Korp Gaz/Pétrole/Métal). Le pays peut également compter sur ses ressources renouvelables, l'énergie solaire, facilement exploitable dans ses régions désertiques, et l'énergie géothermique exploitée principalement à Destone. Du fait de sa façade maritime et de sa partie insulaire, la pêche est également aisée. Également, les acteurs des ressources minières espèrent trouver de nouveaux gisements dans ces vastes milieux marins. L'agriculture, quant à elle, est encore difficilement bénéficiaire : les ressources hydriques sont limitées et les sols moyennement fertiles. On note néanmoins un développement significatif de ce secteur dans l'Ouest du pays, en terre basmate, notamment grâce au fleuve qui la traverse, le fleuve Sama. L'élevage étant trop coûteux en céréales et en eau, le pays se concentre sur le végétal. Du fait de sa filière métallurgique, l'économie du pays se tourne vers la fabrication de machines et de matériel informatique. Cependant, le manque d'innovation en la matière freine la croissance de ce secteur. En matière d'importations, la faible couverture forestière et le déficit agricole obligent le pays à acheter des matières premières agricoles étrangères. Les infrastructures banairaises sont aujourd'hui assez complètes : en terme de transports, de longues lignes de monorail filent à travers villes et campagnes, remplaçant au fur et à mesure les lignes de trains conventionnels (pour un bénéfice discutable, mais une meilleure image à l'étranger permettant de mettre en valeur la puissance technologique du pays). Les transports routiers sont assez rares car jugés pénibles, et sont souvent rudimentaires : des fois voitures et quelques camions, mais surtout bus et transports à cheval, plus appréciés de la population. Les villes les plus riches se dotent de monorails et les moins aisées de tram, mais les habitants tiennent à répartir également les ressources et ainsi une mobilité correcte dans l'ensemble de la république.
La population banairaise, estimé à 24 millions en 2003, est très inégalement répartie sur le territoire. Initialement relativement homogène aux premiers siècles d'existence du pays, notamment dans un but de défense de l'ensemble du territoire banairais, elle initia un long processus de migration basée sur plusieurs pôles : la côte, ouverte au monde international, et au sud-Est relativement bien développé. Ce phénomène d'exode rural s'accéléra suite à lors de l'intégration progressive du pays à l'économie mondiale, et a encore lieu aujourd'hui. L'hyperpolarisation en découlant inquiète les autorités et les économistes, en effet ces derniers craignent que des territoires entiers soient laissés à l'abandon sans retour en arrière. Le Banairah a depuis toujours œuvré pour la resplendissance de son territoire, et ceci entre autres grâce à l'innovation. La mise au point de méthodes de culture efficaces en milieu extrême, la construction de routes à travers les regs (ndlr : désert de cailloux crée par balayement des particules fines par le vent), ... ont longtemps permis aux régions de se suffire à elles-mêmes. Cependant, la montée des exigences en termes de confort et de services et la création de bassins d'emplois a mis en péril cet équilibre, et il devient de plus en plus difficile de garder les régions désormais 《périphériques》attractives. Un exemple-type est Sehras, ville de 111 000 habitants au sud-ouest d'Al Kara, puissance régionale de 2.5 millions d'habitants drainant l'ensemble des flux du sud du pays. Les jeunes sehrates en recherche d'emplois viennent souvent à quitter leur ville pour cette dernière du fait des meilleures offres d'emplois et surtout du cadre de vie supérieur : centre historique de la région, connue pour les multiples victoires gagnées contre les mongoles depuis ses hauts remparts et pour ses innovations technologiques et artistiques, Al Kara La Prestigieuse représente à elle seule le patriotisme traditionnaliste banairais.
Au Banairah, on compte 4 villes principales : Abunaj, la capitale,Al Kara, Balaya, centre urbain régional du nord-est du pays et Sehras, qui perd depuis quelques années son souffle. Ces 4 centres regroupent à eux seuls plus de 10 millions d'habitants, soit plus de 40% de la population totale.
Au Banairah, on compte 4 villes principales : Abunaj, la capitale,Al Kara, Balaya, centre urbain régional du nord-est du pays et Sehras, qui perd depuis quelques années son souffle. Ces 4 centres regroupent à eux seuls plus de 10 millions d'habitants, soit plus de 40% de la population totale.
La langue officielle est le tehak. Ce dernier est écrit en alphabet arabe, mais parfois est écrit en alphabet latin, notamment dans l'administration.
Parmi les autres longues langues reconnues, on trouve :
-le N'hacda, la langue tribale d'une civilisation proche mais aujourd'hui disparue, cette
langue étant restée utilisée dans les lieux de mémoire.
-le Latin et le grec ancien du fait de leur utilisation par des savants étrangers accueillis sur le sol banairais
-le Français du fait de l'importante communauté qui y réside.
Il est à noter que le tehak est obligatoirement maîtrisé par l'ensemble des habitants et que l'usage d'autres langues ne doit pas être source de dissension ou de formation de communautés séparées. Ainsi le français et d'autres langues sont parlées mais ne peuvent être imposées. Si vous voulez être poli, commencez par parler tehak, et vous pourrez ensuite demander de changer de langue. Les Banairais sont souvent pointilleux là-dessus depuis diverses incidents linguistiques pour lesquels nous n'avons pas ici le temps nécessaire à leur explication. Il faut également savoir que le mongol est strictement interdit, sous peine de mort. Une règle datant des Grandes Invasions Mongoles. (~1215-1397 puis 1407-1417).
Parmi les autres longues langues reconnues, on trouve :
-le N'hacda, la langue tribale d'une civilisation proche mais aujourd'hui disparue, cette
langue étant restée utilisée dans les lieux de mémoire.
-le Latin et le grec ancien du fait de leur utilisation par des savants étrangers accueillis sur le sol banairais
-le Français du fait de l'importante communauté qui y réside.
Il est à noter que le tehak est obligatoirement maîtrisé par l'ensemble des habitants et que l'usage d'autres langues ne doit pas être source de dissension ou de formation de communautés séparées. Ainsi le français et d'autres langues sont parlées mais ne peuvent être imposées. Si vous voulez être poli, commencez par parler tehak, et vous pourrez ensuite demander de changer de langue. Les Banairais sont souvent pointilleux là-dessus depuis diverses incidents linguistiques pour lesquels nous n'avons pas ici le temps nécessaire à leur explication. Il faut également savoir que le mongol est strictement interdit, sous peine de mort. Une règle datant des Grandes Invasions Mongoles. (~1215-1397 puis 1407-1417).
Les Banairais et Banairaises sont très attachés à leur Histoire, à leur patrie et à leur terre :《Ben Bahè 》. Rien n'est plus précieux à leurs yeux que l'unité de leur nation et sa prospérité, en accord avec le respect de leur environnement qui fait partie prenante de leur communauté. Ils sont encore aujourd'hui nostalgiques des temps reculés des Grands Progrès où leur terre leur appartenait en totalité, et ont donc des relations tendues avec les pays nés de sa fracturation et, bien-sûr, les pays de culture mongole. Néanmoins, les choses tendent à évoluer, et le courant pan-afaréen soufflant sur le continent et très actif au Banairah tend à la réconciliation avec les pays voisins. Passionnés de sciences, ils traitent chaque problématique le plus finement possible, prenant en compte tant les aspects économiques que matériels et psychologiques. Ce sont également de grands sportifs aimant le plein air, le mouvement, le changement, à l'image de leur origine nomade. Un Banairais n'est pas du genre à tirer profit de vous : tant que vous le respecterez, il fera de même avec vous et pourra se montrer très chaleureux si vous vous montrez sympathique avec lui. En revanche, être vicieux ou hypocrite envers lui le mettra de très mauvaise humeur car, chez lui, les habitants se soutiennent et ne pas se comporter de façon similaire est impardonnable. En général, il a l'esprit ouvert et est curieux et spontané.
Les études ethniques sont interdites par la loi banairaise du fait de leur potentielle dangerosité concernant l'unité du pays et de sa population. Néanmoins, on peut relever la présence d'une minorité francophone issue de la migration et installée majoritairement au nord-ouest du pays.
III.4) Place de la religion dans l'État et la société : [justify]L'immense majorité des habitants est agnostique : la religion est bien loin de leurs soucis, ils ne se posent même pas la question. L'Etat n'est techniquement ni laïque ni partisan : ce sujet n'a simplement pas été abordé car jugé non utile. Le vocabulaire tehak en matière de religion est très peu développé, comptant principalement des mots servant à la traduction d'oeuvres étrangères, par exemple littéraires. La liberté de culte est techniquement assurée, mais la construction de bâtiments religieux est strictement interdite : la religion est de l'ordre du cadre privé. Les sectes sont traquées sans relâche et dissoutes, avec de lourdes sanctions pénales (atteintes à la liberté de pensée, à l'unité banairaise,...) à la clé. On pourrait néanmoins rapprocher l'attachement profond et particulier aux terres natales à une forme d'animisme, mais cette comparaison est assez distordante et bancale.
Depuis sa création, le Banairah a eu ses dirigeants désignés par la population. Dans la culture nationale, on ne peut profiter du pouvoir : linguistiquement parlant, la traduction de 《poste》en tehak a pour racine 《responsabilité》. De manière générale, les chefs profitant de leurs fonctions sont très mal vus par la population et sont considérés comme des êtres faibles d'esprit et de volonté, en plus d'être des traîtres, ce qui n'empêche pas de recenser des cas d'abus de pouvoir (rares). Ainsi, le vrai problème était celui de la réalisation de l'idéal banairais : les citoyens ont toujours dû tenter de concilier stabilité, fiabilité et souveraineté. D'abord dirigé par l'armée, dont les dirigeants étaient choisis sur le mérite, le pays évolua peu à peu à partir de la fin des guerres mongoles vers le système actuel de la République Directe.
Le Qassē :
Il s'agit de l'ensemble des ministres, tous désignés par la population pour un mandat de 7 ans en fonction de leurs capacités, connaissances et tempérament grâce au Shanaam, la Bibliothèque d'archives de la nation qui consigne ces données. Ces ministres travaillent conjointement avec le Khasser, le chef d'état, désigné de la même manière, en même temps que les ministres et également pour la même durée de mandat.
L'Ambē : ministère des Affaires Extérieures :
Il s'agit probablement d'une exception au caractère authentique des Banairais puisqu'il a pour fonction de gérer les relations à l'international, et donc souvent de jouer sur les apparences. Y travaillent les Banairais experts en psychologie, diplomatie et géopolitique.
Le Benbhè :
Il ne s'agit pas réellement d'une institution. Ce mot désigne la réunion des habitants d'une région pour débattre des sujets soulevés lors de la vie quotidienne ainsi que des sujets proposés par les régions voisines par l'intermédiaire de l'état, et transmettre leurs propositions à ce dernier.
L'ensemble de la vie politique est appuyé par le travail des fonctionnaires (appelés missionnés), qui conseillent et veillent à l'application des décisions. Ils sont formés dans les Écoles Supérieures de la Nation.
IV.3) Le gouvernement actuel
Saroud Al'Tenhé est l'actuel Kasser. Les différents ministres du Qassē sont :
Siriam Azma, ministre des Affaires Extérieures.
Ezroud Atkē, ministre de la Recherche et de l'Éducation
Er Narogah, ministre du Commerce et des Transports
Massah Kellanbé, ministre de l'Agriculture
Kanteh Erga, ministre de la culture
IV.4) Politique internationale :
Le Banairah est un pays commerçant bénéficiant d'un excédent de production grâce à de vigoureuses réformes des dernières années. Il noue donc des accords commerciaux à travers le monde mais importe peu voire pas, de peur de dépendre de l'Extérieur. Les relations sont difficiles avec les pays occupant les anciennes terres banairaises, jugés illégitimes et profiteurs. L'entente est également difficile avec les peuples mongols du fait de l'Histoire. Il bénéficie notamment de bonnes relations avec le Netsamareti et a participé à la conférence de Kumdor qui a fondé l'Union Afaréenne.
Il s'agit de l'ensemble des ministres, tous désignés par la population pour un mandat de 7 ans en fonction de leurs capacités, connaissances et tempérament grâce au Shanaam, la Bibliothèque d'archives de la nation qui consigne ces données. Ces ministres travaillent conjointement avec le Khasser, le chef d'état, désigné de la même manière, en même temps que les ministres et également pour la même durée de mandat.
L'Ambē : ministère des Affaires Extérieures :
Il s'agit probablement d'une exception au caractère authentique des Banairais puisqu'il a pour fonction de gérer les relations à l'international, et donc souvent de jouer sur les apparences. Y travaillent les Banairais experts en psychologie, diplomatie et géopolitique.
Le Benbhè :
Il ne s'agit pas réellement d'une institution. Ce mot désigne la réunion des habitants d'une région pour débattre des sujets soulevés lors de la vie quotidienne ainsi que des sujets proposés par les régions voisines par l'intermédiaire de l'état, et transmettre leurs propositions à ce dernier.
L'ensemble de la vie politique est appuyé par le travail des fonctionnaires (appelés missionnés), qui conseillent et veillent à l'application des décisions. Ils sont formés dans les Écoles Supérieures de la Nation.
Saroud Al'Tenhé est l'actuel Kasser. Les différents ministres du Qassē sont :
Siriam Azma, ministre des Affaires Extérieures.
Ezroud Atkē, ministre de la Recherche et de l'Éducation
Er Narogah, ministre du Commerce et des Transports
Massah Kellanbé, ministre de l'Agriculture
Kanteh Erga, ministre de la culture
Le Banairah est un pays commerçant bénéficiant d'un excédent de production grâce à de vigoureuses réformes des dernières années. Il noue donc des accords commerciaux à travers le monde mais importe peu voire pas, de peur de dépendre de l'Extérieur. Les relations sont difficiles avec les pays occupant les anciennes terres banairaises, jugés illégitimes et profiteurs. L'entente est également difficile avec les peuples mongols du fait de l'Histoire. Il bénéficie notamment de bonnes relations avec le Netsamareti et a participé à la conférence de Kumdor qui a fondé l'Union Afaréenne.