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[PRESSE] Médias arkohans - Page 4

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Noticias d'Arkoha

23 janvier 2008 - La cicatrisation des plaies grâce à des bandages à base de peaux de poisson, le nouveau pari fou du monde scientifique.


Opération de pose des peaux de tilapia, sur la surface peau brûlée d'un nourrisson.
La peau de ce poisson relativement méconnu du grand public, pourrait avoir des atouts inégalables dans la cicatrisation des plaies et des brûlures.

Dans les instituts alguarenos où l’on travaille les greffes de peau sur les personnes gravement brûlées on ne parle que de ça. A l’étage de l’un d’eux, nos caméras tombent sur un patient allité, à l'apparence mi-homme, mi-poisson, si bien qu’un gamin s’apparentant manifestement à un enfant de sa famille, lui demande s’il est une sirène. Si les enfants se laissent aller aux songes les plus extrapolés pour justifier cette scène hors norme, le monde médical affiche un discours plus rationnel à notre approche, vantant une technique révolutionnaire et paradoxalement présente depuis des millénaires. L’apparence déshumanisée de ces patients est donc liée à l’application d’une peau de poisson, le tilapia paltoterrano, Longtemps assimilée à un rebut par le grand public, la peau de poisson vient de trouver une première honorabilité auprès de la communauté scientifique, intéressée depusi quelques années déjà par ce produit dont les remèdes de grands-mères venaient énoncer les louanges aux jeunes et moins jeunes alguarenos.

“Dire que nous avons découvert un bandage à base de peaux de poisson est faux, car exception faite de l'aseptisation, le produit à l’arrivée est sensiblement identique au produit de départ” prévient avec une certaine modestie la doctoresse Berta Carvisquez, des laboratoires Vircello. Le tilapia paltoterrano est effectivement un poisson consommé depuis de longue date au sein de l’archipel, et son utilisation a donc longtemps été éprouvée, à des finalités diverses, par les alguarenos issus des colons hispaniques, mais particulièrement par les natifs eux-mêmes. “Le bandage à base de peaux de poisson est paradoxalement le plus ancien et le plus prometteur des instruments de soins rencontrés à ce jour…”

Comble de ce paradoxe, la peau du tilapia a longtemps été utilisée par facilité et souci d’économiser des deniers, en évitant de requérir à un médecin et ses onguents. Aujourd’hui revenue à la mode, elle pourrait bien se vendre chèrement, la médiatisation et les thèses scientifiques se cumulant, autour de ce bandage aux propriétés presque miraculeuses.

“La composition de la peau du tilapia présente une quantité marquée de collagène, plus encore qu’il nous est permis d’en trouver dans la peau humaine elle-même” nous explique la doctoresse. “Outre sa composition, la peau de l'animal a des propriétés très prisées pour ce type de produit, telles que sa résistance, son étanchéité et même son degré d’humidité. Elle est supérieure en bien des points à la peau humaine et constitue de ce fait, un débouché sérieux, dans le traitement des patients souffrant de graves brûlures.” Outre ces caractéristiques techniques, la scientifique est venue insister sur la composition de la peau du poisson, naturellement efficace dans la prévention des infections et, compte tenu de son taux d’humidité naturellement supérieur à celle de la peau humaine, sur son endurance après la pose, qui permet de conserver le bandage sur une durée prolongée, là où celle d’un bandage synthétique avec une application de pommade, oblige à des changements plus réguliers.

Des premières expérimentations terrains réalisées, les patients qui sont porteurs de brûlures au second degré, notamment marquées par la présence de cloques et de rougeurs sur les mains, peuvent cicatriser en moins de 10 jours. Pour les blessures un peu plus profondes, avec cette fois la destruction de terminaisons nerveuses, il est effectivement nécessaire de multiplier les applications de bandages à base de peaux de poisson mais le délai de guérison trouve là encore un raccourci sans commune mesure avec les résultats relatifs aux bandages synthétiques, qui ont surtout l’inconvénient d’être à refaire chaque jour. A titre d’illustration, les chercheurs peuvent citer l’état de guérison constaté, sur des plaies profondes qui auraient normalement dû cicatriser en 6 ans, et se sont trouvées guéries après seulement 3 mois. L’efficacité d’un tel produit est inespérée, au regard des autres moyens existants pour des finalités identiques.

Les peaux du tilapia ont effectivement l’avantage de mieux adhérer à la peau qu’un quelconque bandage synthétique, ce qui contribue très largement à prévenir la contamination des plaies et à maintenir leur humidification.

“Les peaux de tilapia offrent des conditions inégalées pour favoriser la guérison, toutfois il faut se donner les moyens à cela et stériliser celles-ci avant chaque application. C’est peut-être la seule condition sine qua non, pour permettre une utilisation sans mauvaise surprise de cette technique” prévient la spécialiste de santé. L’essai médical se concluant positivement, des scientifiques aimeraient maintenant accélérer la coopération avec les industriels de la pharmaceutique, pour permettre une production à grande échelle, de ce nouvel atout phare dans la guérison des plaies et des brûlures.

En matière de greffe et actes chirurgicaux assimilés, nombreux sont les spécialistes qui soulignent l’avenir prometteur de la peau du tilapia, à laquelle les cellules humaines adhérent et se trouvent boostées dans leur régénération. “La peau du poisson est appliquée sur la zone brûlée à greffer, les cellules humaines environnantes sont stimulées, se régénèrent, pour finalement remplacer la peau animale.” La greffe de peau de poisson devient alors, au fil du temps, invisible, remplacée par les cellules humaines.
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El Grafico

14 mars 2009 - Levée de fonds réussie pour le développement du génétique et des hétérogreffes.


Collecte ou tout du moins captation de fonds pour la recherche génétique.
Le financement des projets de développement n'est pas toujours aussi aisé, il appartient donc aux développeurs de multiplier les opérations séduction pour capter durablement ceux-ci.


Les techniques de manipulation ADN se succèdent à vitesse grand V depuis l’expérience réussie des chercheurs alguarenos portant sur la création de plusieurs bandages cicatrisants à base de peaux de poissons. Une réussite scientifique qui souffrait encore il y a peu, d'investisseurs. La génétique, souvent présentée sous des appellations inintelligibles telles que la transgénèse ou la mutagénèse, trouve la notoriété escomptée après l’expérimentation de techniques portant la mise en contact des différents ADN, à l'instar de celui humain et poisson. Une prouesse technique qui vient désormais lever les derniers tabous qu'on leur connaissait d'antan.

Source d'attraits majeurs dans la communauté scientifique, la génétique est toutefois gourmande en financements, obligeant les médecins et les politiques à multiplier les opérations de séduction, afin de permettre le positionnement de différents capitaux derrière le développement et l'essor de ces technologies et techniques révolutionnaires. Voilà que cette dernière devrait maintenant trouver un certain élan, après la collecte de 12 millions de pesetas alguarenas, destinés à la financer.

Aujourd'hui recensées comme des dons et non des promesses de dons, les donations faites au monde scientifique pourraient changer la donne dans le développement de ce produit, véhiculant de nombreux fantasmes et opportunités. Des projets particulièrement scrutés par le monde médical, qui ne souhaiterait perdre le bénéfice de cette prouesse technologique, derrière la conduite d'opérations économique et sociétale désespérée.

“La médecine génétique vantée peine encore à trouver son miracle” nous déclare le professeur Gepeto Zulcarao, expert biologiste du groupe Eure-K. “Pour la simple et bonne raison qu’elle est graduelle. Vous allez identifier des gènes d’intérêts médicaux chez l’animal, comprendre comment les reproduire, permettre leur incrémentation chez l’Homme sans risquer le rejet… C’est une succession de manipulations génétiques où chaque porte est ouverte puis refermée avant d’obtenir celle qui indique la direction voulue.”

Les laboratoires Eure-K viennent donc naturellement solliciter la levée de nouveaux fonds pour poursuivre la recherche génétique autour de la création de pansements à base de peaux de poisson, mais surtout des gènes qui rendront compatibles les transplantations d’organes issues des hétérogreffes. Pour ce faire, le Groupe alguareno a élaboré un plan de financement autour de ses recherches pour décliner 3 rendez-vous clés dans le développement des hétérogreffes.

La réussite de ce projet est ainsi directement liée à la fourniture continue de fonds fédéraux, des soutiens financières et politiques, qui ne seront toutefois permis sur la durée que lorsque des retours sur investissements clairs et palpables seront communiqués aux entreprises se destinant à industrialiser le procédé. Si ces prouesses individuelles devaient se perdurer dans le restant de l'année 2009, il y a fort à parier que la nouvelle enveloppe budgétaire dédiée à la recherche, serait susceptible de n'être qu'une première.
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El Grafico

12 avril 2009 - Salon de l’aéronautique d’Aserjuco, une brève bouffée d’air pour le chômage régional de Pazoca.

Bus de l'emploi dédié au recrutement des saisonniers prévus sur le Salon de l'Aéronautique Militaire d'Aserjuco, édition spéciale 2009.
Le bus de l'emploi pour le SAMA 2009, une aide appréciable au recrutement de mille contrats à durée déterminée, voués à commencer jusqu'à un mois avant l'évènement.


Organisé à Pazoca, le salon de l’aéronautique d’Aserjuco pourrait offrir plus de 1000 missions, avec ou sans qualification, autour de cet évènement. Et les dates du SAMA 2009 maintenant connues, les prestataires et les organisateurs de l'événement ne freinent plus leurs annonces de recrutement. Au total, on dénombre pas moins de 1 000 intentions de recrutement pour ce week-end, mais aussi le mois qui précède cette manifestation d’ampleur internationale. Que l’on parle de l’accueil des visiteurs, des agents de renseignement chargés de tenir les points d’informations et conseils, de l‘encaissement des prix d’entrée visiteurs et du suivi des recettes générées par celles-ci, de la tenue des stands commerciaux et publicitaires annexés à l’évènement, les opportunités ne manquent pas pour trouver le job qui vous correspond. Classés sous les dénominations d’agents polyvalents, de superviseurs de billetterie ou de boutique, ces emplois constituent à eux seuls près de 95% des annonces de recrutement émises auprès des institutions fédérales.

Et les recrutements ne sont pas laissés au hasard, obligeant dès à présent à la tournée de “bus pour l’emploi”. Des véhicules chargés de sillonner les quartiers d’Aserjuco, notamment auprès des différentes antennes institutionnelles tournées vers l’aide au retour à l‘emploi, afin d’être au plus proche des candidats attendus pour pourvoir le millier d’offres disponibles. Sur le champs de foire Desquera, au nord-est d’Aserjuco, les files de candidats sont nombreuses autour des stands tenus par des recruteurs impatients, mais l’effort de recrutement n’y est pas concentré car plus loin dans la capitale et ses faubourg, un bus parcourt les routes pour trouver les 1 130 et quelques candidats destinés à satisfaire aux enjeux de l'événement.

En mission pour tout le mois d’avril et la première quinzaine de mai à venir, ce bus estampillé aux slogans et aux couleurs du SAMA 2009 sera définitivement la plus belle carte de visite pour les organisateurs. Prévoyant des permanences de deux jours par semaine dans chaque quartier et faubourg de la capitale, ce bus espèrent pouvoir recevoir près de 700 candidatures à la semaine, ces dernières étant reçues sous forme d’assessment (entretiens de recrutement collectifs) dans lequel le recrutement vient détailler les missions proposées à un public candidat, avant que ces derniers ne confirment leur intérêt pour l’offre. Suite à cela, le recruteur les reçoit alors en entretiens sur la deuxième partie de la journée afin de s’assurer de leur compréhension du poste et des enjeux relatifs à cette manifestation internationale.

Mais après le recrutement du personnel dédié à l’accueil et la vente, le gros enjeu autour de l’évènement reste à n’en pas douter la sécurité. Si les organisateurs ont fait le choix de ne pas recruter en direct les agents de sécurité, par peur d’un manque de professionnalisme de leur part, ils se sont néanmoins dirigés vers des sociétés militaires privées, une seule à dire vrai : le Jaguar Paltoterran.

Groupe paramilitaire spécialisé dans la conduite d'opérations de sécurisation sur le territoire fédéral ou à l’étranger, le Jaguar Paltoterran est devenu en quelques années seulement une référence pour la couverture de manifestations importantes comme le SAMA 2009. Comptant dans ses rangs des milliers d’agents issus des forces de sécurité ou militaires fédérales, il est aujourd’hui un prestataire qui peut se targuer de rassurer les principaux demandeurs, acheteurs, de ce service si particulier et sensible qu’est la protection d’évènementiels.
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El Grafico

5 juin 2009 - Avec la réussite de l’aéronautique, les constructeurs automobiles aspirent eux-aussi à plus de visibilité à l’international, en organisant pourquoi pas une course de stock-car.

Course automobile de stock-car.
A l’approche du salon de l‘aéronautique militaire d’Aserjuco, les industriels de l’automobile alguarenos rêvent de profiter de leur propre évènement commercial, l'organisation d'une compétition de stock-car à l'étude.


Un salon de l’aéronautique où des constructeurs du secteur exposent leurs modèles, proposent des tarifs promotionnels et mettent en concurrence les différents avions pour opposer la technicité des produits et l’expertise des pilotes? Superbe idée tendent à dire les personnes interrogées, pourtant l’idée n’est pas nouvelle. Mais si chaque secteur d’activité possède ses évènementiels et ses expositions d’envergure nationale ou même parfois internationale, le secteur automobile se trouve encore lésé, faute d’organiser un évènement international à la hauteur de la visibilité obtenue par le salon de l’aéronautique d’Aserjuco.

Quel événement pourrait satisfaire cette soif de reconnaissance ? Pour certains industriels et constructeurs automobiles, le choix semble tout arrêté : une course automobile mettant en opposition les plus grandes marques de véhicules présentes au sein de la Fédération et pourquoi pas présentes à l’international.

Défendant des vertus partagées entre la vitesse et la robustesse, le stock-car est à ce titre, l’unique compétition automobile et sportive, qui offrirait une visibilité haute à ce pôle d’expertise. “On parle souvent de l’aéronautique comme d’un pôle d’excellence, d’expertise technique et technologique, c’est vrai mais l’automobile n’a pas à rougir et à bien des égards" nous soutient Berta Munoz, responsable du pôle science et innovation du constructeur automobile Tatana. “La Fédération d’Alguarena abrite en son sein des constructeurs automobiles qui disposent des technologies les plus avancées en ce qui concerne la conception et l’industrialisation des véhicules motorisés. C’est un faire-valoir à ne pas négliger et sur lequel nous devons apprendre à capitaliser…”

Et pour cela, la mise en place d’une compétition sportive ne connaît pas d’égal pour ce qui est de la promotion commerciale d’un ou plusieurs produits. Une action de promotion commerciale afin de fédérer la société civile, de lui faire connaître la qualité des produits manufacturés dans le pays. “Les courses automobiles et autres évènements à dominante sportive, ont cet avantage d'offrir aux constructeurs et lobbies de ce secteur, l’opportunité d’obtenir un retour sur investissement à court, moyen et long terme…” En effet et bien que l’organisation de pareilles manifestations soit coûteuse, le prix des billets à l’entrée mêlé à la commercialisation de produits dérivés offrent un retour sur investissement concret et palpable dès le premier mois consécutif à l’organisation de cet évènement.

Sur le plus long terme, c’est bien entendu le développement de l’image de marque des constructeurs présents qui garantit la commercialisation future de leurs produits automobiles, à la fois auprès des particuliers, mais aussi auprès des professionnels et des institutions. Pour ces dernières, les acquisitions sont généralement positionnées sous marché public et appels d’offre, il est donc tout à fait primordial d’entretenir l’image de marque de ces constructeurs auprès des institutions, pour convaincre avant l’heure des décisionnaires et des hauts fonctionnaires scrupuleux, présents au sein des administrations fédérales.

Vers la création d'une course mondiale de stock-car en Alguarena ?

Sur le papier, l’offre est en effet très tentante et plusieurs constructeurs automobiles ont d’ores et déjà déclaré avoir identifié des modèles pour disputer une telle compétition. Mais préalablement à toutes les compétitions, une homologation et un agrément administratif seront nécessairement à attendre de la part des autorités alguarenas si ces constructeurs automobiles souhaitent identifier un terrain propice à l’accueil de la compétition et diffuser celle-ci sur les principales chaînes du pays et pourquoi pas, étrangères. La compétition, à même d’opposer les écuries de plusieurs pays et soutenue par différents sponsors, est en mesure de développer de façon exponentielle, la notoriété des différentes marques représentées et de toutes les sociétés associées par une action de sponsoring, de quoi relancer le dynamisme économique de ce secteur, consécutivement au déroulement du salon de l’aéronautique militaire que beaucoup décrivent déjà comme réussi, avant même son organisation prévue pour les 12, 13 et 14 juin prochain.

Ceci dit, même si les attentes des constructeurs automobiles apparaissent légitimes au regard des évènementiels organisés au profit des constructeurs de l’aéronautique, tous les économistes alguarenos interrogés semblent tomber d’accord pour dire que les enjeux ne sont pas pareils.

Effectivement, les constructeurs de l’aéronautique, compte tenu du coût de leurs produits et de l’expertise nécessaire pour leur prise en mains, ont une clientèle très restreinte, essentiellement engagée dans une relation Business to Business (B to B). “Aucun particulier ou seulement une infime proportion, ne peut se permettre d’acheter un aéronef, forcément les constructeurs de l’aéronautique doivent donc redoubler d’efforts pour soutenir une certaine visibilité de leurs produits à l’international, pour aller toucher les institutions alguarenas mais pas que, car le seul état fédéral d’Alguarena est un prospect limité dans le temps, pour pérenniser leurs activités industrielles. C’est pourquoi les constructeurs de l’aéronautique participent allègrement à l'organisation et à l’animation de salons commerciaux tels que celui de l’aéronautique militaire prévu à Aserjuco en juin 2009, c’est pour développer leur marché au-delà des acteurs institutionnels locaux.

Dans le cas des constructeurs automobiles, il faut reconnaître que la relation commerciale est davantage dirigée vers le commerce en business to customer (B to C). Par conséquent, les industriels de ce secteur sont moins dépendants de ces salons pour aller toucher le grand public, l’affichage publicitaire classiquement pratiqué au sein de l’espace public pouvant amplement suffire pour orienter la clientèle dans ses projets d’achats automobiles futurs.

Néanmoins, identiquement à la volonté des constructeurs de l’aéronautique, ces salons ont l’avantage de permettre l’entrée des produits concernés sur les marchés internationaux. Ces manifestations sportives, avec un rayonnement aussi puissant à l’international, sont dès lors toutes désignées pour permettre le développement des exportations car sans ces événements, des marques et des modèles étrangers resteraient inconnus auprès des marchés internationaux. A cela s’ajoute, la méfiance que pourrait entretenir certaines sociétés civiles, à la consommation de biens issus de tel ou tel industriel industriel. Par cette compétition sportive, les industriels et constructeurs automobiles prouvent l’efficacité de leurs marques, avant qu’elles n’apparaissent dans l’espace public de certains pays étrangers, peu enclins à leur accorder la confiance au lancement des ventes ainsi que des exportations, vers ces destinations.
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El Globo

23 juin 2009 - Commerce international d’armements : Benca et Marbone ont la côte, après les démonstrations du F-X1000 alguareno.


La commercialisation des armements alguarenos, une secteur porté par son innovation.
Les industriels de la Fédération d’Alguarena affichent leurs plus beaux atouts (et atours) à l’occasion du salon de l’aéronautique militaire d’Aserjuco, édition spéciale 2009.


Les commandes du F-X1000 émises par l’état-major fédéral pourraient croître pour flirter avec la centaine d’appareils. Jusqu’ici limités à une dizaine d’unités, ces chasseurs d’excellence ont su démontrer lors du salon de l’aéronautique, qu’ils présentaient le meilleur rapport qualité-prix dans l'exécution de mesures défensives aériennes. Dès lors, l’acquisition finale de ces appareils par les forces armées fédérales pourrait tendre vers le maintien opérationnel d’une cinquantaine d’appareils. Les industries Benca et Marbone, pionnières à bien des égards sur leurs secteurs de production, représentent pas moins de 40% des ventes d’armements à l’international.

A la suite de la clôture du salon de l’aéronautique militaire d’Aserjuco, les commandes reçues à un niveau fédéral ont connu une nette augmentation, aidées par la performance en conditions réelles, des aéronefs alguarenos engagés au sein des simulations de combat.

En remportant l'entièreté de ses duels aériens, le F-X1000 a démontré qu’il pouvait constituer une pièce maîtresse de la défense antiaérienne alguarena. Un candidat de choix et séduisant, pour la Fédération d’Alguarena qui a encore à l’esprit les violents affrontements aériens l’ayant opposés à l’aviation kah-tanaise. Une bataille rangée dans les airs, qui avaient vu se tenir de nombreux vents favorables pour l’aviation alguarena mais nécessite aujourd’hui, de se maintenir sur ces objectifs d’excellence aéronautique.

Si l’excellence du F-X1000 n’est plus à démontrer, d’autres produits des sociétés Benca et Marbone gagneraient à se faire connaître, particulièrement les drones de reconnaissance expérimentaux dont l’armée fédérale ne s’est pas encore équipée. Ces drones de reconnaissance, projetables en théâtres d'opérations extérieures, sont les garants d’une reconnaissance réussie, à même de sécuriser d’autres opérations à venir. En définitive, ces appareils novateurs sont capables de soutenir l’effort de guerre tout en limitant directement les pertes humaines, susceptibles d’apparaître lors des actions de reconnaissance elles-mêmes, puis les actions qui découlent de ces opérations, en offrant les conditions optimales d’un futur engagement.
Les industries Marbone, ont également et très récemment, officialisé le remport d’un appel d’offres relatif au développement de bombardiers furtifs de dernière génération. Une nouvelle fraîchement tombée mais qui fait déjà du bien au secteur de l’armement et aux investisseurs, assurés de percevoir dans le marché, les gages d’une activité pérenne pour les cinq années ou encore la décennie à venir.

L’octroi d’appels d’offres auprès de la Fédération d’Alguarena est en effet, considérant l’importance de ses moyens militaires et la grandeur de son parc logistique, est une garantie de voir se poursuivre les commandes d’équipements sur un laps de temps qui ne saurait être égalées auprès d’une autre nation. Une nouvelle fois, le SAMA 2009, sous son édition spéciale, semble avoir tenu son rôle, en permettant le remplissage du carnet de commandes des industriels alguarenos, tels que les sociétés Benca et Marbone en tête de ceux-ci.
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Nuestro Dario

29 décembre 2009 - Entrepreneurs et politiques s'accordent sur le développement du photovoltaïque, un axe des croissances économique et sociale pour le pays, confronté à une importante hausse des frais de santé.


Champ de panneaux photvoltaïques au sein de la Fédération d'Alguarena.
La Fédération d’Alguarena fait le choix des énergies solaires pour réduire les coûts d’exploitation et les conséquences de la pollution des centrales à charbon sur la santé des populations.

Constatant un taux d’ensoleillement exceptionnel, eu égard au reste du monde, la Fédération d’Alguarena a fait le choix de miser gros sur le développement du secteur des énergies solaires. Un impressionnant parc solaire, trônant fièrement sur l’un des espaces les plus arides du pays, fait la joie de ses exploitants à même de produire et de revendre l’électricité générée par ce biais. Un projet de longue haleine, aujourd’hui soutenu par un gigantesque champ de panneaux solaires, des panneaux solaires tous détenus par la société “Lucera”. La surface de ce champ photovoltaïque, le plus grand actuellement détenu par une société, fait un peu plus de 8 millions de mètres², soit à titre de comparaison, l’équivalent de deux milles terrains de foot…

Vu du ciel, l’endroit fait l’effet d’un large océan, depuis lequel scintillent des dizaines d'étoiles, véritables gages de revenus pour ses tenanciers. “Il fait toujours beau, les machines sont à plein régime. S’il y a bien une chose que l’Alguarena a à revendre, c’est son soleil alors autant que ce soit moi qui tient le marché…” conclut un des dirigeants associés de cette société d’énergie. Si l’homme et son parent associé ont beaucoup investi dans ces installations, la capacité de cette entreprise à rentabiliser les investissements réalisés a été dépassée, et les comptes de l'entreprise jouissent aujourd’hui de marges jamais réalisées auparavant. “L’économie et l’industrie alguarena s’est particulièrement développée ces derniers mois, enregistrant des installations de complexes industriels très régulières. Si les communes et les agglomérations ont multiplié les opérations d'attractivité pour attirer ces nouvelles industries, la question de leur approvisionnement en électricité, par un réseau sous-alimenté, a rapidement nourri le débat.

“Les industries que les pouvoirs publics s’évertuent à faire sortir de terre de façon quotidienne, ont besoin d’électricité et si des moyens ont été trouvés pour inciter les entreprises à s’installer, aucun moyen probant n’a été entrepris pour permettre leur productivité, l’alimentation suffisante en électricité en fait partie. Dans ces circonstances et pour éviter des microcoupures haïes par les clients, c’est tout naturellement que la société Lucera a été désignée pour figurer parmi les solutions à ce problème.” Réduire les gaz à effets de serre rejetés dans les airs et qui sont désignés responsables de coûts faramineux pour les dispositifs d’aide et d’accès aux soins, développer l’indépendance énergétique par la limitation des recours aux énergies fossiles, autant d’actions aujourd’hui défendues par ces entrepreneurs et les institutions fédérales, soucieuses d’amorcer un nouveau rapport à la production d’énergie. “L’Alguarena est un pays parmi les plus ensoleillés au monde, s’interdire le recours à ces dispositifs de production d'énergie serait d’une aberration sans nom…”

Construit initialement en 2007 avant de connaître des agrandissements successifs, à mesure que le parc industriel se soit développé, le champ de panneaux photovoltaïques, a coûté près de quatre cents millions de pesetas alguarenas, et vient aujourd’hui répondre aux besoins en électricité de trois zones d’activité économiques. Constatant la réussite et l’utilité publique du projet, le gouvernement fédéral alguareno a amorcé la mise en vente de nouveaux terrains, qu’il destine à une acquisition pour projet, de constructions photovoltaïques. Un projet de moyen et long terme, mais qui assure déjà Lucera, d’une concurrence féroce sur ce marché. Les enchères ont lieu auprès de différents entrepreneurs acquéreurs, sous réserve qu’ils justifient d’un projet conforme aux attentes et parfois mêmes exigent. La vente sera donc conclue sur la base d’une analyse de fond. De quoi concurrencer les entrepreneurs existants, jusqu’ici en situation de monopole, pour ne pas dire en situation de force, sur ce marché toujours en tension. Le photovoltaïque, un pan en développement destiné à accompagner la réforme énergétique voulue par les autorités arkohanes, désireuses de limiter les importations d’énergie et de trouver des solutions de production vertueuses pour ne pas alourdir le poids des dépenses de santé, dont l’état arkohan prend une partie à sa charge il faut le rappeler.
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Prensa Libre

24 novembre 2010 - Les parents et les proches des membres de la sélection fédérale du football féminin témoignent leur affection et leur fierté.


La famille Andino, Valéria et ses parents, Martina et Emilio.
L’émotion et la fierté sont particulièrement palpables, dans le témoignage des proches de sportives aujourd’hui qualifiées pour la Coupe Internationale de football.


Alors que l’excitation reste intacte, tant les revirements et le parcours à faire restent de taille, plusieurs proches, comprenez par là des parents, des enfants et des membres de la famille des sportives de la sélection fédérale du football, ont souhaité exprimer la leur face à nos caméras, face à toute une nation qui nourrit l’espoir de voir cette équipe décrocher le titre suprême.
Ce sont des klaxons de voitures et des bruits de corne qui ont parcouru la capitale d’Aserjuco, Pomosejo, Chesterboro et autres principales agglomérations fédérales, mais s’il y a un endroit en dépit du nombre d’habitants où les scènes de liesse ont été un peu plus marquées à l’annonce des qualifications pour les 8e huit de finale, c’est peut-être bien à Matiyas dans la Lusna en Arcoa. Native et originaire de ce village, où elle y aura fait tous ses cours élémentaires, la footballeuse Valeria Andino a derrière elle un important collectif de soutien sur place, à commencer par ses parents : Martina et Emilio Andino. Des supporters, des proches et in fine des parents, très fiers de leur fille et qui ont souhaité témoigner l’émotion qu’est la leur, d'apercevoir cette dernière à l’occasion de rencontres sportives de haut niveau.

“Une qualification et la réussite de notre fille, deux fois plus de raison de faire la fête, pensez bien que nous sommes à cet instant, les parents les plus heureux et les plus fiers au monde…” a tenu à exprimer Emilio. Une fierté palpable chez les parents mais des célébrations qui profitent à toute la famille, réunie à pas moins de vingt-sept pour visionner les matchs de la sélection fédérale en extérieur. Des rassemblement bon enfant mais très festifs, et qui ont fait l’activité du village ces dernières semaines.

Dans son entrevue, la mère de la joueuse Valeria Andino a rappelé que cette qualification pouvait potentiellement être historique pour la Fédération mais qu’elle serait déjà inoubliable pour elle.

Alors bien sûr, plusieurs personnes, dans le monde ou au sein de la Fédération d’Alguarena elle-même, pourraient trouver largement exagéré l’enthousiasme affiché dans le pays, à la simple qualification de l’équipe. Mais au-delà de la performance sportive, il faut comprendre l'attachement du peuple à cette équipe de jeunes sportives de haut niveau, appréciées autant sur le plan technique qu’humain. “Les parents de ces footballeuses ont beaucoup échangé à leur propos, elles ont donné une histoire à chacun des visages, des noms qui se sont illustrés sur nos écrans. “C’est aussi cela que souhaite voir le grand public, des personnes aujourd’hui de grands renoms mais qui ont le devoir de reconnaître le rôle essentiel qu’ont joué leurs amis et leurs mentors, dans la vie et plus récemment la carrière qui leur a ouvert les bras” confie le journaliste ayant reçu les parents en interview. Un soutien indéfectible qui donne des ailes ou en tout cas des jambes et un nouveau souffle pour courir sur le terrain. Pour certaines d’entre elles, s’entourer de proches et de parents est aussi s’entourer d’un agent commercial loyal aux intérêts de la sportive, dans une discipline qui tend à générer d’argent qu’elle n’a pu le faire lors des décennies précédentes. “Le football est aussi un jeu d’argent, et dans tout business, il y a des points de vue. De nombreuses sportives n’ont pas le sens des affaires qui accompagnent leur discipline, elles ont longtemps pratiqué à des niveaux amateurs et lorsqu’elles arrivent en sélection fédérale, ou plus généralement sur un niveau professionnel, c’est la découverte !” Il appartient alors dans ce dernier cas de figure, de s’entourer très vite des bonnes personnes, pour prendre en charge toute la relation et la communication externe.

"Voir ma fille réaliser son rêve de représenter notre pays à la Coupe internationale du football est indescriptible. Je suis remplie de fierté et d'admiration pour son travail acharné, sa détermination et son amour du jeu. Ce n'est pas seulement son accomplissement, c'est aussi celui de toute notre famille, car chacun a traversé l’épreuve et ses obstacles, à son niveau et à sa manière mais nous partageons tous une joie ineffaçable à constater toute notre réussite" avait résumé sous ces mots Martina, la mère de Valeria, cachant avec une certaine difficulté, son émotion à chaque évocation du parcours de sa fille.

Entraîneur, coach, supporter, sponsor… les parents qui le peuvent, ont beaucoup apporté à ces filles prodiges qui, sans leur aide, seraient manifestement restées dans l’ombre. “Pour arriver à ce niveau, il faut débuter tôt, très tôt…” explique à son tour le père, “les parents sont forcément mis à contribution, d’une manière ou d’une autre…” Ainsi donc naissent aujourd’hui de belles histoires autour de ces réussites sportives, pour lesquelles l'unité du pays s'améliore quotidiennement.

En ces temps incertains où la guerre sévit à l’international et parfois plus proche qu’on ne saurait l’imaginer, considérant les actualités diverses au Kronos, au Prodnov et partout ailleurs, le sport et la compétition offrent une lueur d'espoir et d'unité. Les supporters de ces sportifs qualifiés, indépendamment des familles, sont alors prêts à les soutenir de toutes les manières possibles, à être leur force et leur inspiration tout au long de cette aventure extraordinaire, pour laquelle beaucoup jureraient qu’elle ne fait que commencer.
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Prensa Libre

27 mai 2012 - Le footballeur Antonio RUIZ, nouvelle coqueluche des constructeurs et publicitaires automobiles?


La famille Andino, Valéria et ses parents, Martina et Emilio.
Après avoir occupé nos écrans durant la Coupe Intercontinentale et autres rencontres sportives, Antonio RUIZ investit la publicité automobile.


Le nom est connu et son visage reconnu dans l'archipel et même au-delà, Antonio RUIZ est une athlète du monde sportif alguareno que l'on ne présente plus. Détenteur du titre de la Coupe Internationale de 2010, il vient à 20 ans seulement, nourrir tous les espoirs d'un avenir radieux pour les jeunes qui rêvent de réussite à travers le sport et particulièrement le foot.

Envié, admiré ou simplement suivi, le jeune Antonio RUIZ est par conséquent devenu une cible de choix pour les publicitaires et industriels désireux de mettre en avant leurs marques et produits. Aussi, lorsqu'il a été confié le fait selon lequel le vingtenaire allait faire l'acquisition de sa première voiture, nombreux sont les services marketing des industries automobiles qui se sont agités. Un enthousiasme tel que ce dernier se l'est manifestement vu offrir.

Coup de maître pour le constructeur automobile Tatana, déjà remarqué sur les compétitions automobiles de stock-car, à l'instar du Gran Premio Archipiélago, qui s'offre là une nouvelle visibilité, en entrant dans le quotidien du jeune sportif de renom. Il faut dire qu'offrir une voiture de luxe est onéreux cadeau, mais les répercussions médiatiques et la couverture journalistique assurées autour du sportif sont telles, qu'il est permis de considérer le retour sur investissement pour la marque, qui s'affichera un certain moment auprès d'Antonio RUIZ sans que cela ne coûte davantage.

"La marque aurait voulu payer Antonio RUIZ pour le tournage de plusieurs spots publicitaires qu'il n'aurait pas coûté moins cher alors ma foi, il est permis de dire que le procédé commercial entamé par le constructeur automobile Tatana est le bon" souligne l'économiste Ursulla Velascà. "Vous avez là une publicité permanente pour au moins quelques années et que vous ne coutera rien de plus que le coût de production de ladite voiture transmise pour cession à Monsieur Antonio RUIZ..."

Le profil du sportif fait effectivement office de cheval gagnant, pour les industriels désireux de promouvoir leurs produits, auprès d'une personne déjà suivie par près de 4,6 millions de personnes à travers le monde. "Dans cette affaire, on fait grand du marché intérieur pour l'automobile mais comprenez bien qu'il s'agit d'un peu plus que ça, le football est un sport international suivi par une large majorité de pays dans le monde et qui l'ont adopté pour premier sport en terme de pratiquants et de licences signées, s'offrir un représentant ds champions du monde de la discipline, sur un millésime assez récent, en sus de le voir incarner un modèle de réussite complet et épanoui, ce n'est pas rien !"

Avec l'arrivée d'Antonio RUIZ parmi les détenteurs de véhicules de sa marque, le constructeur automobile TATANA s'offre ainsi donc une visibilité remarquable, qui surclasse et de très loin, la concurrence directe qu'il entretient avec d'autres constructeurs automobiles. "Offrir une voiture de la marque TATANA à un champion du monde de football, à qui les gens prêtent un épanouissement total et une réussite complète, c'était osé ! C'est inscrire l'acquisition et l'achat d'un véhicule de la marque TATANA, dans un schéma de réussite sociale en Alguarena..." s'est fendue d'un ultime commentaire l'expert en économie et chronique sollicitée sur notre plateau.

Au-delà de la notoriété d'Antonio RUIZ, il y a une certaine sémantique dans le choix de retenir cette personnalité plutôt qu'une autre. En effet, les sportifs incarnent, consciemment ou inconsciemment, des qualités de puissance, de justesse et de vitesse, des traits attendus dans une automobile dont l'usage se veut quotidien. Par cette cible, le constructeur automobile loue donc indirectement à ses voitures, des vertus largement prêtées aux sportifs d'ordinaire.
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Nuestro Dario

6 juin 2012 - L’équipe des Tigres Blancos de Tacarapiz reçoit un chèque de 6 millions de pesetas alguarenas, une donation record signée Antonio RUIZ.


Donation aux clubs de football
Avec les six millions de pesetas alguarenas perçues sur cette donation, le (petit) club de Tacapariz affirme pouvoir couvrir ses frais de fonctionnement sur 5 à 6 ans.


“C’est fantastique, j’ai l’impression de fêter mon anniversaire tous les jours pendant six ans, j’aurais pas pu rêver mieux, même pour les fêtes…” nous confie avec une émotion des plus palpables, l'entraîneur des Tigres Blancos qui se sont également affichés tout sourire face à notre caméra. En cause, la (généreuse) donation de plus de six millions de pesetas alguarenas, adressée à l’ordre du club, un évènement inédit, qui trouve son origine dans le passage d’une star du football que l’on ne présente plus au sein de l’archipel.

Antonio RUIZ, est un ancien footballeur des Tigres Blancos de Tacapariz et entend, au sens propre du terme, rendre la monnaie de sa pièce au club qui lui a permis d’évoluer au sein des plus grands. “Il y a été formé dès ses 13 ans, et y a joué jusqu’à ses 19 ans, même après avoir rejoint la sélection nationale. Il est très attaché à ce club et nous le prouve aujourd’hui de la plus belle des manières. En permettant aux autres enfants du club de jouer dans les meilleures conditions” nous explique le président club, Piero Santino, le sourire élargi sur les lèvres.
Il est vrai que le don opéré par Antonio RUIZ, a de quoi réjouir un bon nombre des habitants et détenteurs de licences sportives àTacapariz, tant il n’a pas lésiné sur les moyens. “Le club n’est pas en difficulté financière mais il est vrai que ses fonds actuels m'interdisaient certains projets, certains investissements pour les nommer autrement, faute de liquidités, la donation de Monsieur RUIZ change la donne et leur promet des perspectives bienheureuses pour développer l’activité sportive sur la ville…”

Le président du club l’a appris par l’intermédiaire de son banquier, “notre banquier pour le club m’appelle et me dit, Piero? oui il m’appelle Piero car Tacapariz est une petite ville au final et j’y suis connu comme le loup blanc” se justifie-t-il d’un sourire niais. “Oui Piero, je suis à mon bureau et un attaché de monsieur RUIZ m’indique vouloir déposer un chèque de six millions de pesetas sur le compte du club. T’étais au courant de ça? Je lui ai répondu, oh non tu sais, si j’avais six millions à te déposer sur le compte, j’aurais fait l’effort de venir en personne ! Y a vraiment écrit six millions sur le chèque? Mon banquier me le confirme une fois encore et là je lui dis, bouge pas j’arrive. Je prends ma voiture et dans le même intervalle j’appelle le petit Antonio dont j’avais gardé le numéro pensez-vous… Je lui dis Antonio, qu’est-ce que ça veut dire? C’est un héritage que tu m’envoies là? Je pensais qu’il était arrivé quelque chose avec pareille histoire. Mon banquier me dit qu’un représentant veut déposer six millions sur le compte du club, je suis obligé de me déplacer à la banque, tu te doutes bien. ça veut dire quoi tout ça? Il me répondit… Je pense que tu as assez bien résumé la situation Piero, je fais don de six millions de pesetas au club, j’ai vraiment envie de voir les sélectionneurs s’attarder sur tes bancs en entraînements pour retenir mes futurs coéquipiers. Je sais que tu en feras de belles et de grandes choses, on se voit bientôt, prends soin de toi…” conclut-il, nous montrant une photo du chèque qu’il a encaissé ce jour-là à la banque.

Le président du club nous indique avoir très largement remercié l’ancien joueur pour sa générosité, se réjouissant ainsi de “pouvoir offrir à plusieurs centaines de licenciés, un cadre plus favorable encore pour l’exercice de leur activité sportive, et cela sur les années à venir”.

Après les licenciés du club et son président, ce sont également les internautes et le grand public qui se sont très largement exprimés sur le geste du sportif, louant une générosité et une simplicité remarquable.

“Ce joueur a une renommée internationale, il est inscrit comme l’un des meilleurs joueurs de football au monde, et il s’inscrit quotidiennement dans des démonstrations de simplicité et de gratitude qui lui font honneur…” commentait ainsi un présentateur sportif pour la chaîne Albra 3. “Il nous montre une forme d’humilité qui inspire nécessairement le respect” explique Isolda Turrez, comédienne. “C’est un enfant du club, de la ville, qui nous montre comment on peut grandir et s’élever sans écraser autour de soi…”

“Il a tout mon respect et toute ma sympathie. Mon petit-fils joue dans ce club et j'espère qu’il aura la chance de faire ses choix, peut-être plus facilement que n’a pu l’avoir Antonio RUIZ à son époque… Merci à lui” nous relate avec enthousiasme une habitante de Tacapariz. Le Maire de la ville, se dit lui aussi très reconnaissant de l’investissement “des talents d’aujourd’hui qui feront la mémoire collective de demain à Tacapariz” et espère avoir l’opportunité de “littéralement graver dans le marbre, leur contribution au sein d’un projet sociétale au coeur de la ville”.

Des déclarations qui laissent entendre que le Maire pourrait concéder la dénomination d’une rue ou d’un stade, au nom du jeune sportif de la sélection nationale, de quoi traduire une gratitude à la hauteur du geste opérée par le jeune sportif.
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