29/05/2013
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[Encyclopédie] Les Républiques Lendaves

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Les Républiques Lendaves


La République Fédérative de Lendavie est composée de 9 Républiques, qui divergent sur le plan ethnique et culturel. Elles sont gouvernées par le président de région, nommé par le parlement régional. Les républiques ont une certaine autonomie notamment en matière de police et d'aménagement public, et gèrent les routes, les établissements scolaires, les administrations locales,...

Les Républiques Lendaves sont les suivantes :

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Carte des Républiques Lendaves
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La République de Korosquie (Republika Koroskja)

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La République de Korosquie (Republika Koroskja) est la république la plus peuplée de Lendavie avec 11 362 000 habitants. Sa langue officielle est le korosque, et sa capitale est Ljutodenci.

La région korosque est peuplée vers -200 par les Korosques, peuple slave influencé par les Dolentes germaniques et les Biscères Latins. La première république Korosque voit le jour en 1784, après le traité de Warnberg, qui voit la majorité des états Lendaves prendre leur indépendance et quitter l’Empire Kaulthique. Les frontières de la Korosquie sont en majorité héritées de l’armistice de 1922, après la défaite Korosque face aux Dolentes lors de la guerre de 1917-1922, puis sont fixées dans leur configuration actuelle en 1943, à la fin de la guerre Lendave.

Si les Korosques forment l’ethnie majoritaire (86%), la république contient des zones de peuplement où d’autres ethnies sont majoritaires, comme les zones majoritaires Sapythes et Balavodes à l’est, Biscères (3%) au sud, autour de la ville de Venace, et Dolentes à l’ouest (2%). On trouve également 5% de Lendaves, répartis autour de la Région-Capitale de Goriska.

La Korosquie est une des républiques les plus riche de Lendavie, avec le 3e PIB par habitant de Lendavie, de 410 000 Ꝑ, soit 33 300 $.

Géographiquement, la Korosquie s’étend le long de la vallée de la Beledra, à l’ouest du massif du Werinn. Les grandes plaines de la Beledra sont de grandes productrices de ressources alimentaires, et un important pôle industriel est développé le long du fleuve.

La population de Korosquie est en majorité athée (62%) et orthodoxe (34%), et compte des minorités catholiques romaines (1.8%) et impériales (1.7%).

Liste des principales villes de Korosquie :

  • Ljutodenci 1 650 000 habitants
  • Žepjavor 830 000 hab.
  • Nedeli 780 000 hab.
  • Kogatec 650 000 hab.
  • Tedor 450 000 hab.
  • Pleven 320 000 hab.
  • Mioboj 290 000 hab.
  • Rujevo 220 000 hab.
  • Seskovo 190 000 hab.
  • Žalejana 160 000 hab.
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La République de Biscère (Republica Biscera)

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La République de Biscère (Rebublica Biscera) est peuplée de 9 870 000 habitants, ce qui en fait la 2e république Lendave en terme de population. Sa langue officielle est le biscère, et sa capitale Ascori. La langue Reimine y est reconnue comme langue officielle régionale, dans le sud-ouest de la république.

Peuplée dès -2000 par les colons latin biscères, la région est à l’antiquité un centre économique important, dominant la région Lendave jusqu’en 600. Elle est alors organisée en cités, dont les plus importantes sont Eonia (aujourd’hui Ascori), Pogenia, Trapace et Vigon. Les cités Biscères s’unissent pour la première fois en 1620 sous l’autorité des comtes d’Ascori pendant la guerre de succession du Trobenland, puis de nouveau en 1784 avec leur départ de l’Empire Kaulthique, qui donne à la Biscère ses frontières actuelles. Le Royaume Biscère, qui deviendra la République de Biscère en 1932, participe aux principaux conflits de Lendavie.

L’ethnie majoritaire sont les Biscères (91%), mais le pays compte également une minorité Reimine (3,6% de la population), peuple Latin installé au sud-est de l’Assetto.

La Bsicère est considérée comme la plus riche des républiques Lendaves (hors région capitale de Goriska), avec le 2nd PIB par habitant de 435 000 Ꝑ. Cette richesse est expliquée par la présence des principaux ports Lendaves, mais aussi de nombreuses entreprises qui siègent dans la république. Le tourisme y est également important, la côte Biscère attirant chaque année plus de 5 millions de touristes.

La population de Biscère est en majorité catholique romaine (50,2%), et 47% des habitants se considèrent comme athées.

Principales villes de Biscère :

  • Ascori 1 850 000 habitants
  • Pogena 850 000 hab.
  • Lamentina 550 000 hab.
  • Vigon 320 000 hab.
  • Trapaci 280 000 hab.
  • Lisaro 250 000 hab.
  • Altertici 200 000 hab.
  • Marberuel 180 000 hab.
  • Grozio 160 000 hab.
  • Fadonia 140 000 hab.

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La République du Dolentern (Republik Dolentern)

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La République de Dolentern (Rebublik Dolentern), peuplée de 6 270 000 habitants, est une république Lendave dont la capitale est Hartlach. La langue officielle est le dolente, et l’ethnie majoritaire sont les Dolentes (91% de la population), mais le pays compte également des minorités Kaulthes et Biscères.

Le Dolentern est peuplé très tôt, dès -2000, par les tribus germaniques. Les cités et états du Dolentern se développent, et les comtes du Dolentern auront une place importante dans l’administration Lendave au moyen âge. Après le traité de Warenberg, une partie du Dolentern quitte l’Empire Kaulthique, et les derniers comtés Dolentes le rejoignent en 1820, pour fonder la fédération du Dolentern, qui comprenait les états de Piemini, de Crabélie, de Nokijie et une partie de la Korosquie. La défaite face aux Korosques et Biscères en 1836, puis la victoire en 1922 sur la république Korosque modifient peu le territoire. Cependant, le Dolentern est durement touché par la crise de 1924, qui paralyse son industrie. Un gouvernement militaire arrive au pouvoir, qui sera défait en 1943 par l’alliance de la Korosquie, de la Biscère et de la Notranie. Le pays perd les régions de Crabélie, de Nokijie et de Piemini, et adopte ses frontières actuelles au sein de la République de Lendavie.

Le Dolentern a beaucoup été affecté par les différentes crises économiques, et la perte des régions du Werinn ont affecté son économie basée sur l’exploitation des minerais. Aujourd’hui, le Dolentern possède le 6e PIB par habitant de Lendavie, de 330 000 Ꝑ, et reste un grand producteur Lendave de matières premières alimentaires, notamment lait et viande.

La population du Dolentern est en majorité sans religion (53%), et la religion majoritaire est le catholicisme impérial, présent chez 44% de la population.

Liste des principales villes du Dolentern :

  • Hartlach 1 350 000 hab.
  • Lenzlach 450 000 hab.
  • Slostein 360 000 hab.
  • Bremdola 250 000 hab.
  • Nelin 230 000 hab.
  • Eversen 160 000 hab.
  • Congen 150 000 hab.
  • Lenfurt 130 000 hab.
  • Brassen 120 000 hab.
  • Leonben 100 000 hab.

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La République de Notranie (Republik Notranjen / Republika Notranja)

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La République de Notranie (Republik Notranjen, Republika Notranja) est une république Lendave, peuplée de 3 325 000 habitants, dont la capitale est Troben. Elle compte deux langues officielles, le notrane et le korosque. Sa population est composée à 69% de Notranes germaniques, qui forment l’ethnie majoritaire, et 27% de Korosques, seconde ethnie présente autour de la vallée de la Beledra.

La région Notrane est peuplée dès -500, par les peuples Korosques qui descendent la Beledra, et les germaniques arrivés du nord. De 1442 à 1620, les comtes de Troben dominent la région, mais la guerre de succession du Trobenland leur font perdre leur influence, un règne marqué par les tensions religieuses, puisque les Notranes sont restés catholiques romains. En 1784, le royaume de Notranie quitte l’empire kaulthique, et regroupe l’actuelle Notranie et le Balavodë. Lors de la création de la République de Lendavie, le Balavodë obtient le statut de république, et quitte la Notranie.

La région Notrane comporte de nombreux lacs, come de lac de Dabien situé à proximité de Troben. Les collines du Nortangen à l’ouest forment les principaux reliefs du territoire, et culminent à 1335m.

La Notranie est une république assez développée, notamment dans le secteur secondaire. Le PIB est de 345 000 Ꝑ, soit le 4e des républiques Lendaves.

La religion a beaucoup marqué la région, avec le côtoiement de différentes religions, et les tentatives de conversion au catholicisme impérial. Les citoyens sont à 49% sans religion, à 36% catholiques romains et à 14% orthodoxes.

Liste des principales villes de Notranie :

  • Troben 860 000 hab.
  • Einzell 230 000 hab.
  • Toljice 180 000 hab.
  • Elktsa 160 000 hab.
  • Rushte 130 000 hab.
  • Mabor 100 000 hab.
  • Lenzing 90 000 hab.

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La Région-Capitale de Goriska (R.G. Gorizka, H.R. Goriska, R.C. Gorisca)

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La Région Capitale de Goriska (R.G. Gorizka, H.R. Goriska, R.C. Gorisca) englobe la capitale Lendave, Goriska, ainsi que les villes environnantes. Elle est peuplée de 4 250 000 habitants, pour une superficie de 951 km², soit une densité de 4470 hab/km², et sa capitale est Goriska. Du fait d’une population ethniquement très hétérogène, les langues officielles sont le korosque, le dolente et le biscère. Sa population est composée à 25% de Korosques, à 20% de Dolentes et à 16% de Biscères, mais l’ethnie majoritaire est constituée de personnes se considérant comme Lendaves (31%), née du métissage des différentes populations Lendaves. La R.C. de Goriska n’est pas considérée comme une des huit républiques Lendaves, mais est aussi régie par un Parlement local, basé à Goriska.

La ville de Goriska, alors appelée Apieta, est fondée en -500 par des colons Biscères qui remontent la Beledra. La région est rapidement peuplée par les Korosques, qui prennent la ville en 651, prise qui marque la fin de la domination des Biscères sur la région Lendave. La communauté Biscère restera pourtant importante encore aujourd’hui. La ville passe sous l’autorité de différents duchés, principalement Korosques, avant d’intégrer l’Empire Kaulthique. En 1651, après la guerre de succession des Horenberger, les Bischoffhausen et le prince Karl Ier, pourtant duc de Gebarten au Dolentern, décide d’implanter sa capitale à Goriska, ville jugée centrale est assez développée. Après la prise d’indépendance de la Korosquie, Goriska perd son statut de capitale au profit de Ljutodenci, capitale historique des korosques. En 1943, à la création de la République Fédérative de Lendavie, la ville est finalement choisie comme capitale pour centraliser le pouvoir, afin d’éviter les tensions entre les trois grands peuples Lendaves, puisqu’elle partage une histoire commune avec les Korosques, les Biscères et les Dolentes. La ville est fortement développée, et la R.C. de Goriska est fondée. De nombreuses populations s’y installent, portant sa population actuelle à plus de 4 millions d’habitants. Aujourd’hui, la région est le principal centre économique de la Lendavie, et de nombreuses entreprises ont ouvert leur siège dans la capitale.

La ville de Goriska compte 2 250 000 habitants intramuros, soit la moitié de la population de la R.C.. Elle s’organise autour de la cité historique, mais aussi autour de la cité haute, le centre économique composé de nombreux gratte-ciel, symbole de l’importance économique de la ville. La ville compte un important réseau métropolitain, qui s’étend à travers la R.C. de Goriska, mais aussi aux villes proches, comme Kogatec en Korosquie. La ville centralise tous les pouvoirs de la République Fédérative de Lendavie, et abrite le bâtiment présidentiel, les deux chambres législatives et la cour pénale Lendave. Goriska est également une ville universitaire importante, et abrite de nombreuses universités prestigieuses. Malgré un coût du logement plus élevé que dans le reste du pays, le gouvernement maintient de nombreux logements à bas coûts réservés aux étudiants. Enfin, de nombreux musées très réputés, ainsi que de nombreux mémoriaux nationaux.

Economiquement, la R.C. de Goriska a un poids très important, avec un PIB très élevé (plus qu’au Dolentern par exemple), et un PIB par habitants de 650 000 Ꝑ, soit environ 53 000 $. Elle abrite les sièges de nombreuses entreprises Lendaves, privées ou publiques, et représente un important bassin d’emploi.

La religion tient une place marginale pour la population, qui se considère à 75% comme athée. De édifices religieux historiques importants y sont tous de même présents, notamment la cathédrale impériale de Sankt Günther, une des plus importantes du pays.

Carte de la R.C. Goriska
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La République du Balavodë (Republika Balavodë, Republika Balavodje)

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La République du Balavodë (en balavode Republika Balavodë, en korosque Republika Balavodje) est une république Lendave peuplée de 3 192 000 habitants, dont la capitale est Vejve. Les langues officielles sont le balavode, le sapythe et le korosque, pour une population composée à 86 % de Balavodes, 6% de Sapythes et 5% de Korosques.

La région et peuplée très tôt, vers -1500, par les peuples slaves Sapythes et Balavodes. Les seigneuries du Balavodë, et notamment celles de Vejve, tombent d’abord sous l’autorité des comtes Korosques de Ljutodenci, avant d’être incorporés dans le royaume du Trobenland, et de passer directement sous l’autorité des comtes Horenberger. Après le traité de Warenberg, les comtés balavodes sont intégrés au royaume de Notranie. Après la guerre de Lendavie et la fondation de la République de Lendavie en 1943, le peuple balavode manifeste pour l’obtention d’un statut de république, du fait de l’implication des troupes balavodes dans la guerre. A la suite de nombreuses discussions, un référendum est donné en 1946, et aboutit à la création de la république du Balavodë. Les minorités korosques et sapythes obtiennent un statut particulier, puisqu’elles se retrouvent être majoritaires dans certaines régions. La région Blavode est, sous période communiste, marquée par de forts mouvements indépendantistes fortement réprimés, qui influent envcore aujourd’hui la vie politique de la République.

Située à l’extrême est de la Lendavie, la région du Balavodë s’articule autour du massif du Velajar (Selëmfor en sapythe), dont le point culminant est le mont Kurjär (2179 m d’altitude). La région est très boisée, et la population se concentre majoritairement dans les deux plaines de la république.

Économiquement, le Balavodë est une des républiques les plus pauvres de Lendavie. Le PIB par habitants y est de 300 000 Ꝑ (le PIB de Lendavie étant de 400 000 Ꝑ environ), du fait de l’isolement de la région qui a minimisé les implantations industrielles. Les principales activités y sont l’agriculture et l’artisanat, le Velajar étant assez pauvre en ressources naturelles.

La religion garde une place importante dans la vie des citoyens balavodes (46% de la population se déclare de confession orthodoxe), même si 51% d’entre eux sont athées/sans religion.

Liste des principales villes Balavodes :

  • Vevje 750000 habitants
  • Nedehovica 420000 hab.
  • Bjelovec 190000 hab.
  • Koxvodë 120000 hab.
  • Vepek 110000 hab.
  • Karvci 90000 hab.
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La République de Crabélie (Republika Črnabelj, Republik Krabelen)

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La République de Crabélie (Republika Črnabelj, Republik Krabelen) est une république Lendave située sur les deux versants de la chaîne montagneuse du Werinn, dont la capitale est Bosalič, et peuplée de 2 926 000 habitants. Ses deux langues officielles sont le Korosque et le Dolente, le dialecte swadrais parlé par la minorité kaulthe est également reconnu. La république est peuplée à 72% de Korosques, à 17% de Dolentes et à 10% de Kaulthes (Swadrais en majorité), regroupés en majorité au nord-ouest de la Crabélie.

Le duché de Crabélie nait en 1651, alors que la région lendave fait partie de l’Empire Kaulthique, par le prince Karl Ier, pour remercier les comtes locaux de leur soutient pendant la récente guerre de succession. La région est alors en grande majorité peuplée de korosques. La partie orientale du duché obtient son indépendance en 1784, tandis que la Crabélie occidentale reste pendant un temps sous influence Kaulthe (au sein de la principauté d’Eversania), puis rejoins le royaume du Dolentern. La Crabélie indépendante reste sous forte influence Korosque, mais est également revendiqué par le Dolentern. A la création de la République de Lendavie en 1943, les deux régions carbèles sont réunies, afin d’affaiblir le Dolentern, mais aussi de limiter l’influence de la Korosquie en créant un état relativement puissant et peuplé. Les minorités kaulthes et dolentes obtiennent un statut reconnu, et le dolente est érigé comme langue officielle avec le korosque.

La Crabélie est aujourd’hui surtout reconnue pour son tourisme, puisqu’elle abrite les principales stations de sports d’hiver de Lendavie. La majorité du pays est situé en région montagneuse, excepté la plaine autour de Bosalič, ainsi que la zone situé autour de Čepikrac, qui regroupent une grande partie de la population. Elle abrite également le plus haut sommet de la Lendavie, le mont Eskild, qui culmine à 4 798 m.

Le PIB par habitants de la Crabélie est de 330 000 Ꝑ, soit environ 26 900$, et les activités économiques majeures sont l’exploitation des ressources naturelles (métaux, bois) et le tourisme, mais l’industrie est assez développée dans la région de Bosalič.
46% de la population se considère comme athée, 36,8% sont de confession orthodoxe et 14,5% de confession catholique impériale.

Liste des principales villes de Crabélie :

  • Bosalič 620 000 hab.
  • Čepikrac 350 000 hab.
  • Projce 200 000 hab.
  • Ilirne 170 000 hab.
  • Sevven 120 000 hab.
  • Valnec 80 000 hab.

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1952
La République de Nokijie (Republika Nokija, Republik Nokija)

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La République de Nokijie (Republika Nokija, Republik Nokija) est une république Lendave située au sud de la chaîne du Werinn, principalement autour du plateau du Mozik, dont la capitale est Mozikek. Elle est peuplée de 2 365 000 habitants, et ses langues officielles sont le korosque et le dolente. Sa population est composée à 73% de Korosques et à 25% de Dolentes.

La Nokijie apparait pour la première fois vers 1400, comme un comté du duché de Gebarten à majorté Korosque. Intégré au Dolentern, la région gagne en autonomie après la révolution dolente de 1862, mais les populations dolentes sont incitées par le gouvernement à coloniser la région, afin de constituer les élites administratives. Cette région est le théâtre des conflits de la Seconde Guerre Dolento-Korosque, qui voit les deux nations se disputer ce territoire. Sous la dictature de Maximilian Wach, les population korosques voient leurs droits diminués par le pouvoir. A la fin de la Guerre de Lendavie, le territoire est revendiqué par la République de Korosquie, sortie gagnante du conflit. Le choix est finalement fait de créer une république indépendante en Nokijie, afin de ne pas trop accroître la puissance de la Korosquie au sein de la nouvelle République Fédérale lendave. Ce choix permet également de protéger les populations et de prévenir les dissensions entre la majorité korosque et la minorité dolente, et les deux langues cohabitent comme langue officielle dans l’administration nokije.

La Nokijie est une région assez industrialisée, notamment sa moitié sud, autour des pôles comme Laliaj ou Trekanj. Le plateau du Mozik reste une destination touristique prisée, notamment pour le ski de fond, ainsi qu’une importante réserve naturelle.

Le PIB par habitants y est de 330 000 Ꝑ, soit environ 27 000 $ (équivalent au Dolentern). La République exploite notamment des mines de cuivre et de nickel dans le nord-est, tandis que le sud possède une importante production textile.

46% de la population est athée, 37,8% de confession orthodoxe, et 13,5% de confession catholique impériale.

Liste des principales villes de Nokijie :


  • Mozikek 560 000 hab.
  • Laliaj 210 000 hab.
  • Gebarten 150 000 hab.
  • Irischfurt 150 000 hab.
  • Ivančac 100 000 hab.
  • Trekanj 75 000 hab.

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La République de Piéminie (Repubblica Piemini, Republik Piemen)

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La République de Piéminie (Repubblica Piemini, Republik Piemen) est la république la moins peuplée de Lendavie, avec 2 109 000 habitants. La Piéminie est enclavée dans le territoire du Dolentern, et sa capitale est Rovirsa. Ses langues officielles sont le biscère et le dolente. Les Biscères représentent 80% de la population, et les Dolentes 18%.

La région située au nord de l’Urbas est peuplée dès le Ve siècle par des populations biscères voulant coloniser la zone, alors peu peuplée. La région tombe rapidement sous le contrôle des différents duchés dolentes, sans connaitre de réelle indépendance. La zone est peu développée, du fait de son enclavement et du manque de ressources. Après le Traité de Warenburg, la Piéminie est intégrée au Dolentern, et obtient une autonomie au sein de la Fédération Dolente en 1862. Sous le régime de Wach, la population est, à l’instar des korosques de Nokijie, fortement réprimée, notamment lors de grandes manifestations indépendantistes en 1939 et 1942. Cette répression est une des raisons qui poussera la Biscère à rejoindre la coalition contre le Dolentern de Wach. La conférence de Goriska reconnait la Piéminie comme une République constitutive de la Lendavie, le territoire reprenant celui de la province de Piéminie au Dolentern. La communauté dolente obtient la reconnaissance de sa langue en 1955 comme langue officielle avec le biscère, après plusieurs manifestations.

La Piéminie est située au nord du massif de l’Urbas, et délimitée par ses reliefs, ce qui en fait un territoire relativement difficile d’accès et isolé. La densité de population est très élevée (374 hab/km², la plus élevée après la R.C. de Goriska), surtout dans la ville de Rovirsa (près de 3000 hab/km²).

Du fait de son isolement, la Piéminie est moins développée que les autres Républiques Lendaves. Son PIB par habitants y est de 284 000 Ꝑ (un peu plus de 23 000 $), le plu faible de Lendavie. L’état Fédéral met en place depuis quelques années de nombreuses aides pour soutenir l’économie locale, en facilitant l’implantation de certaines industries.

La population piémine est athée à 48%, catholique romaine à 35,6% et catholique impériale à 15,4% (certaines communautés biscères, notamment dans l’est, pratiquent le catholicisme impérial).

Liste des principales villes de Piéminie

  • Rovirsa 570000 hab.
  • Tarletta 200000 hab.
  • Gelsen 110000 hab.
  • Agon 90000 hab.
  • Busenna 80000 hab.
  • Bargaso 60000 hab.

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