édition du 21 novembre 2003
Afin de rompre l'isolement de l'arrière-pays et permettre de meilleurs flux de marchandises et une plus grande attractivité de la région de Sehras, le Qassē avait ordonné la construction de la ligne, prête à la circulation après 8 ans de travaux.
Qui l'eut crû ? Après 8 ans de travaux acharnés, à se battre contre les tempêtes de sable, les reliefs difficiles d'accès et les problèmes technologiques, la première ligne de train monorail traversant l'entièreté du pays a été inauguré, précisément ce matin à 10h dans les trois villes. Un voyage inauguratif a transporté le maire de Sehras jusqu'en terre basmate en à peine 6h. Une prouesse pour le ministre des transports et du commerce Er Narogah :
《Avant, aller de la côte à l'arrière-pays était 2 à 4 fois plus long, et si vous vouliez aller plus vite, il fallait prendre l'avion, un transport bien plus cher et polluant que le train, et donc moins intéressant pour les flux commerciaux. L'avion est en plus dépendant de facteurs difficilement maîtrisables comme la météorologie, et est peu développé de ce fait dans notre pays. Cette nouvelle ligne va révolutionner notre quotidien !》
Le gouvernement espère ainsi contrer l'isolement géographique, climatique et démographique d'une région en perte d'attractivité. En améliorant les exports de minerais par voie ferroviaire depuis les mines de la région d'Al Karissa (Ouest d'Al Kara, du nom de cette dernière), Er Narogah mise sur une croissance du revenu des entreprises et la création d'emplois dans la zone. La ligne permettrait également aux employés de joindre leur lieu de travail facilement et ainsi d'endiguer l'exode sud-nord.
《Avant, aller de la côte à l'arrière-pays était 2 à 4 fois plus long, et si vous vouliez aller plus vite, il fallait prendre l'avion, un transport bien plus cher et polluant que le train, et donc moins intéressant pour les flux commerciaux. L'avion est en plus dépendant de facteurs difficilement maîtrisables comme la météorologie, et est peu développé de ce fait dans notre pays. Cette nouvelle ligne va révolutionner notre quotidien !》
Le gouvernement espère ainsi contrer l'isolement géographique, climatique et démographique d'une région en perte d'attractivité. En améliorant les exports de minerais par voie ferroviaire depuis les mines de la région d'Al Karissa (Ouest d'Al Kara, du nom de cette dernière), Er Narogah mise sur une croissance du revenu des entreprises et la création d'emplois dans la zone. La ligne permettrait également aux employés de joindre leur lieu de travail facilement et ainsi d'endiguer l'exode sud-nord.
P.Abonga, à Al Kara
L'équipe a gagné 25-23 hier la finale contre l'Hylvetia.
Quatrième au championnat de 2002, l'équipe rouge blanche a remporté hier son match contre les hylvetiens, la sacrant championne du monde de Bossaball. Ce match a eu lieu à 15h à Abunaj, la capitale, devant 16 000 000 spectateurs (télévision compris). 《Nous sommes très émus. Cela fait 11 mois que l'on s'entraîne, ce match était très important pour nous》, nous confie un joueur.
Un sport qui compte également de plus en plus pour les banairais. Depuis 2000, le sport a enregistré +27% de spectateurs lors des compétitions et 40 clubs locaux supplémentaires se sont ouverts, on enseigne même ce sport dans certaines universités dans le nord du pays. 《C'est original, ça nous change les idées et c'est à la fois sportif et artistique. Que demander de plus ?》, nous a confié un étudiant de l'université εpsilon, à Terronia (Est d'Abunaj).
Un sport qui compte également de plus en plus pour les banairais. Depuis 2000, le sport a enregistré +27% de spectateurs lors des compétitions et 40 clubs locaux supplémentaires se sont ouverts, on enseigne même ce sport dans certaines universités dans le nord du pays. 《C'est original, ça nous change les idées et c'est à la fois sportif et artistique. Que demander de plus ?》, nous a confié un étudiant de l'université εpsilon, à Terronia (Est d'Abunaj).
A.Sakh, spécialiste du sport
Suite à l'augmentation de la demande en énergie des usines metallurgiques, l'entreprise souhaite étendre son parc industriel.
37 000 emplois. C'est ce que représentent les 10 sites de production supplémentaires ouverts par la firme. Ces sites pourront répondre aux besoins croissants de l'industrie métallurgique pendant 5 ans d'après les estimations (Shanaam, section économie, novembre 2003). Un coup de pouce bienvenue avec la découverte de nouveaux gisements et un sur-chargement des filières de transformation. Bien haut dans le vert, l'action Metal Bahè s'est envolée avec ces perspectives et la possibilité d'accords commerciaux dans le continent afaréen. Au niveau agricole, la production a également tendance à augmenter avec l'apprivoisement de terres toujours plus hostiles, mais la maîtrise de la méthanisation notamment a permis de baisser la pression sur le secteur énergétique. Du fait de ces augmentations, la population craint une trop grande dépendance au précieux gaz. Affaire à suivre.
S.Raza