29/05/2013
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Département de la Défense Nationale - 国防省

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Le département de la Défense Nationale est un des 53 départements de l'administration impériale, il est placé depuis le 27 mars 2006 sous l’autorité du Général d'armée Yoshiro Burujoa, prince impérial et 2e frère de l’empereur Tadashi IV.

Ce département est chargé de la protection de l’ensemble du territoire impérial mais également de toutes les opérations militaires d’envergures voulus par l’empereur. L'armée impériale peut également être déployée pour réaliser des missions civiles, comme du secours, toujours sur ordre de l’empereur et en coopération avec le département des incendies et des catastrophes naturelles.

Pour répondre aux multiples missions du département l’armée impériale est divisée en Garde, Veille ou Bureau chaque doté d’une mission précise.


Tout d’abord la Garde Frontalière (国境警備隊 - Kokkyōkeibitai) doit protéger toutes les frontières de l’empire, cependant elle prend de plus en plus la forme d’une véritable armée de terre comme elles existent dans les autres pays. Les moyens de la garde sont répartis comme suit par le décret impérial du 3 avril 2008.

Les 1000 km de frontière d’Ylma Jinu sont protégés par
- 3 régiments de protection territoriale motorisé (PTM) : 電動領土保護連隊 - Dendō ryōdo hogo rentai
- 2 régiments de protection territoriale blindée (PTB) : 装甲領土保護連隊 - Sōkō ryōdo hogo rentai
- 1 régiment d’artillerie : 砲兵連隊 - Hōhei rentai

Les 1400 km de frontière du Xinemane sont défendus par
- 2 régiments de protection territoriale motorisé
- 1 régiment de protection territoriale blindée

A Cendane pour 1300 km de frontière il y a :
- 1 régiment de protection territoriale motorisé
- 1 régiment de protection territoriale blindée
- 1 régiment d’artillerie

A Tairopototo il y a 150 Km de frontière protégé par
- 1 détachement de police des frontières : 国境警備隊 - Kokkyōkeibitai

Enfin les 650 km de frontière du Vomogorod sont surveillés par
- 2 détachements de police des frontières

La Garde Côtière dans son nom technique ou Marine Impériale Burujoise (インペリアル ブルジョワーズ ネイビー -
Inperiaru burujowāzu neibī) dans son nom courant protège les eaux territoriales de l’empire mais mène également d’autres missions : logistique, humanitaire, de soutien terrestre…

Elle dispose pour l’instant de 6 bases navales et d’une dizaine de navires :

- Karaimu, base amirale de la flotte impériale mondiale et de la IIIe flotte d'Azur
- Xine-Shoudu, base régionale
- Azura, base régionale
- Okukonai, base régionale

Détail des bases

Pour Karaimu :
2 patrouilleurs de surveillance hauturière: B-153 : 何も恐れることはありません Nani mo osoreru koto wa arimasen (rien à craindre) et B-154 : 問題 Mondai (problème)
1 corvette d'escorte : B-300 : 到着しました - Tōchaku shimashita (j’arrive)
1 corvette d'intervention rapide : B-302 : スピード - Supīdo (vitesse), Karaimu
2 frégates : B-200 : 静けさ- Shizukesa (tranquillité) et B-201 : 平和的 - Heiwa-teki (pacifique)
1 navire ravitailleur : B-901 : 水分補給 - Suibun hokyū (hydratation)
3 sous marins d'attaque : B-100 : 危険なし - Kiken nashi (Aucun danger), B-101 : 受け身の姿勢 -Ukemi no shisei (posture passive) et B-102 : 予防原則 - Yobō gensoku (principe de précaution)
1 sous marin lance missile : B-150 : 静かな強さ- Shizukana tsuyo-sa (force tranquille)
1 transporteur de chaland de débarquement : B-550 : 私たちは何もしません, Watashitachi wa nani mo shimasen (On ne fait rien)
1 porte hélicoptère : B-551 : 何も悪くない- Nani mo warukuna (rien de mal), Karaimu
5 vedettes de patrouille côtière : B-10 : 忍耐 - Nintai (patience), B-11 : 好奇心 - Kōkishin (curiosité), B-12 : 大胆さDaitan-sa (audace), B-13 : 知識 Chishiki (connaissance) et B-14 : 友情 Yūjō (amicalité)
5 vedettes d’intervention côtière : B-20 : 私 Watashi (je), B-21 : あなた Anata (tu), B-22 : 彼 Kare (il), B-23 : 彼女 Kanojo (elle) et B-24 : 私たちWatashitachi (on)
2 chalands de débarquement : B-570, 砂丘 Sakyū (dune) et B-571, 海岸 Kaigan (rivage)
5 navires légers d’assauts terrestres : B-580, 小島 Kojima (île), B-581 環礁 Kanshō (atoll), B-582 リーフRīfu (récif), B-583 石 Ishi (rocher) et B-584 海 Umi (mer)
1 dragueur de mine : B-950, みませんでした, Mimasendeshita (j’avais pas vu)
1 remorqueur : B-901, 守護天使, Shugo tenshi (ange gardien)

Pour Xine Shoudu :
1 vedette de patrouille côtière : B-18 : 許容範囲 Kyoyō han'i (tolérance)
1 vedette d'intervention côtière : B-30 : 砂糖 - Satō (sucré)
1 patrouilleur de surveillance hauturière : B-155 : 注意 - Chui (prudence)

Pour Azura :
1 vedette de patrouille côtière : B-17 : 天頂 Tenchō (zenitude)
2 vedettes de protection côtière : B-37 : 黄色 - Kiiro (jaune) et B-38 : 青 - Ao (bleu)

Pour Okukonai :
1 vedette de protection côtière : B-39 : オレンジ - Orenji (orange)


- Jin City, base amirale de la Iere flotte Scintillante
- Kūlanakauhale, base régionale

Détail des bases

Pour Jin City :
1 patrouilleur de surveillance hauturière : B-150 : 問題なし- Mondainashi (pas de problème)
1 corvette d'escorte : B-301 : 走るHashiru (je cours)
1 frégate de 2nd rang : B-203 : 落ち着く- Ochitsuku (calme)
1 navire ravitailleur : B-900 : 渇き - Kawaki (j’ai soif)
4 vedettes d'intervention côtière : B-25 : 彼らKarera (ils), B-26 : 私のWatashi no (mon), B-27 : 君のKimi no (ton) et B-31 : 汚れた - Kegareta (salé)
1 dragueur de mine : B-951, 規制, Kisei (régulation

Pour Kūlanakauhale :
1 patrouilleur de surveillance hauturière : B-158 : 測定 - Sokutei (mesure)
1 vedette de patrouille côtière : B-16 : 知恵 Chie (sagesse)
1 vedette d'intervention côtière : B-33 : 苦い - Nigai (amer)

- Bong Dang, base amirale de la IIe flotte Septentrionale
- Burugrad, base régionale
- Indiga, base secondaire

Détail des bases

Pour BongDang :
3 patrouilleurs de surveillance hauturière : B-152 : なし心配- Nashi Shinpai (aucun soucis), B-156 : 拘束された - Kōsoku sa reta (retenu) et B-157 : 正確さ - Seikaku-sa (justesse)
1 corvette d’intervention rapide : B-303 : 降水量 - Kōsui-ryō (précipitation)
1 vedette d’intervention côtière : B-34 : 友達 - Tomodachi (unami)
1 dragueur de mine : B-952 : 大きな重い - Ōkina omoi (gros lourd)

Pour Indiga :
1 vedette de patrouille côtière : B-15 :調和 Chōwa (harmonie)
2 vedettes de protection côtière : B-35 : 緑 - Midori (vert) et B-36 : 赤 - Aka (rouge),

Pour Burugrad :
1 patrouilleur de surveillance hauturière : B-151 : 心配しないでください - Shinpaishinaidekudasai (t’inquiète pas)
1 vedette de patrouille côtière : B-19 : 謙虚 Kenkyo (humilité)
2 vedettes d’intervention côtière : B-28 : 彼のKare no (son) et B-32 : 酸 - San (acide)



La flotte impériale mondiale (世界帝国艦隊 - Sekai teikoku kantai) est conçue pour opérer dans toutes les mers du monde et agir sur tous les théâtres, elle est la vitrine de la marine impériale burujoise. Elle a une vocation asymétrique et non conventionnelle.

Les flottes impériales coloniales (植民地帝国艦隊 - Shokuminchi teikoku kantai) sont, pour l’instant au nombre de 3, contrairement à la flotte mondiale elles sont plus dédiées à un usage conventionnel des navires de guerre, c'est-à-dire les batailles navales et l’appui feu sur côte. La Ière et la IIe flotte sont les premières créées en 2007 en même temps que leur base amirale, en 2008 sont ouvertes les bases de Kūlanakauhale et Burugrad. Pour 2009, ce sont les bases de Xine-Shoudu, alors intégré à la Ière flotte et Indiga. Le 6 janvier 2010, c'est au tour de la IIIe flotte d'être créée pour structurer les forces de la mer d'Azur autour de Karaimu et le même jour sont ouvertes les bases d'Okukonai et Azura.

Cette répartition en 4 flottes a été fixé par le décret impérial du 3 avril 2008.

La Veille aérienne (空中時計 - Kūchū tokei) protège le ciel de l’empire et est pour l’instant l’armée la moins dotée avec seulement une base aérienne de pleine exercice à JinCity, au sein de l'École Aéronautique, c’est ici que sont stationnés les 15 hélicoptères de l’armée qui servent surtout à des missions logistiques pour la Garde Frontalière et à des missions de surveillance pour la Garde Côtière. Une fois la Veille aérienne mieux dotée, ces hélicoptères seront pleinement déployés dans les autres corps.


Le Bureau des Essences de Combat est doté de 10 camions citernes et doit veiller au bon approvisionnement de chaque unité au combat. Il gère également le pétrolier ravitailleur avec la Garde Côtière.

Le Bureau Sanitaire de Combat est la branche de l’armée dédié aux soins de tous les militaires, elle dispose d’au moins un hôpital par région impérial.

Le Bureau de Formation Militaire s’occupe de la formation complète de tous les membres du département et compte plusieurs écoles :

L’Académie des Forces de l’Avant, entraîne et forme tous les militaires des régiments de protection territoriale. Elle est basée dans le Grand Karaimu.

L’Académie des Forces de Bataille, entraîne et forme les militaires des autres régiments terrestres. Elle est située à BongDang

L'École Aéronautique entraîne et forme tous le personnel de la Veille Aérienne. Elle se trouve actuellement à JinCity.

L’Ecole Navale Avancée, entraîne et forme tous les matelots dans ses locaux d’Azura.

L’Ecole des Cadres de Marine est chargée de la montée en compétence des marins, elle se trouve dans les mêmes locaux que l’Ecole Navale Avancée.

L’Ecole Interarmée, vise à la formation de tous les officiers des branches de l'armée mais aussi des plus petits bureaux. Elle se situe à Karanamu, au centre d’Ylma Jinu.

L'Université de Médecine de Guerre forme les nouveaux soignants du Bureau Sanitaire ou prépare des soignants déjà formés à ce bureau. Elle est située à Karaimu.


La direction du département est assurée par le général Yoshiro Burujoa, depuis le 9 mars 2004, il était auparavant directeur de l’Ecole Interarmée. Depuis ses 15 ans il a servi dans les différents corps d’armées pour se préparer au mieux à la tâche qui lui est destinée depuis sa naissance.

portrait

L’ensemble des bureaux administratifs, des états majors, des centres de gestion, de communication de l’armée burujoise sont concentrés dans un bloc ultra sécurisé du centre ville de Karaimu. Ce bloc ultra sécurisé inauguré en 2007 est devenu le jour de son inauguration le plus grand, et le plus cher, des bâtiments administratifs de Karaimu, extérieurement plus petit que la Santé et l'Instruction, ce titre lui est surtout accordé en raison de son tentaculaire réseau de pièces et galeries sous terraines. Cependant, les "Tours jumelles de Karaimu" dont les travaux préparatoires ont commencé devrait ravir ce titre.

locaux

Note : cette page est encore loin d'être complète et sera complétée ultérieurement.
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Décret impérial
du 6 avril 2008 portant sur la composition des forces armées

Par décret de Son Excellence Tadashi IV, empereur des saintes terres du Burujoa et de tout le peuple burujois,

Ce présent décret a pour objectif de compléter le décret impérial du 3 avril 2008 portant sur l'organisation des forces armées.

Ainsi suivant la volonté des dieux et de l'empereur, les forces de la Garde Frontalière seront dorénavant composé comme suit :
Un régiment de protection territoriale motorisé compte 500 gardes, 30 véhicules légers tout terrain, 10 véhicules blindés légers, 5 véhicules utilitaires, 5 autobus, 5 camions de transport. Ils sont au nombre de 6 et seront basés à Katuma, Narata et Marutai (Ylma Jinu), Guangfu et Chinobu (Xinemane) et Heren (Cendane)

Un régiment de protection territoriale blindé compte 250 gardes, 15 véhicules blindés légers, 20 transport de troupes blindés et 5 véhicules légers tout terrain. Ils sont au nombre de 4 et seront basés à Narata, Chinobu et Multen (Cendane).

Un régiment d’artillerie compte 150 soldats et comprend 12 mortiers, 25 canons, 35 camions de transports, 15 véhicules utilitaires et 5 véhicules légers tout terrain. Ils sont au nombre de 2 et seront basés à Marutai et Multen.

La 世界帝国艦隊 ou flotte impériale mondiale sera composé des éléments suivants :
Un Groupe d’assaut amphibie
- Transporteur de Chaland de Débarquement : B-550 : 私たちは何もしません - Watashitachi wa nani mo shimasen - On ne fait rien
- 2 vedettes d'intervention rapide : B-83, 許容範囲 - Kyoyō han'i (tolérance) et B-84, 謙虚 Kenkyo (humilité)
- 4 navires légers d’assaut terrestre : B-580 - 小島 Kojima (île), B-581 環礁 - Kanshō (atoll), B-582 リーフ - Rīfu (récif), B-583 石 - Ishi (rocher)

- Sous marin d’attaque : B-100, 危険なし - Kiken nashi - Aucun danger
- Pétrolier ravitailleur : B-900 : 渇き - Kawaki - j’ai soif
Tous ces navires auront comme port d'attache : Karaimu.

Les 植民地帝国艦隊 ou flottes impériales coloniales sont composés comme suit :

La 1ère flotte dite “Scintillante” (きらびやかな - Kirabiyakana) est basée à Jin City et compte actuellement :
- 2 patrouilleurs de surveillance rapprochée : B-150 : 問題なし- Mondainashi (pas de problème) et B-151 : 心配しないでください - Shinpaishinaidekudasai (t’inquiète pas)
- 1 vedette d’intervention rapide : B-82, 天頂 Tenchō - zenitude

La 2 flotte dite “Septentrionale” (北 - Kita) est basée à Bong Dang et compte actuellement :
- 1 corvette d’interception : B-300 : 到着しました - Tōchaku shimashita (j’arrive)
- 2 vedettes d’intervention rapide : B-83, 許容範囲 Kyoyō han'i (tolérance) et B-84, 謙虚 Kenkyo (humilité)

Enfin des vedettes de protection côtières sont déployés à Xin City : B-70, 忍耐 - Nintai (patience) et B-71, 好奇心 - Kōkishin (curiosité), Burugrad : B-72, 大胆さDaitan-sa (audace) et B-73, 知識 Chishiki (connaissance) et Kūlanakauhale : B-74, 友情 Yūjō (amicalité). Les chalands de débarquements B-580, 小島 Kojima (île) et B-581 環礁 Kanshō (atoll) sont respectivement basés à Karaimu et Kūlanakauhale.


Ce présent décret prend effet immédiatement.

décret
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Les navires de combat

La classe Mondai 問題 (problème) :

La classe Mondai est la 1ère classe de patrouilleurs burujois, les patrouilleurs sont la plus légères catégories de navires de combat actuellement en service dans le monde. Cependant leur petite taille leur permet une vitesse élevée et un armement efficace contre les menaces non armés ou légèrement armés : piraterie, contrebande, trafics…

patrouille

Actuellement au nombre de 3, les plans impériaux prévoient de pouvoir monter jusqu’à 6 patrouilleurs de cette classe. Ils sont tous intégrés au sein des flottes coloniales pour assurer des missions de surveillance dans la mer Indigo ou de lutte contre les navigations clandestines dans le Scintillant.

Pour assurer à bien ces missions, ces navires sont beaucoup plus long que large, 50 m contre 8, de quoi assurer une très bonne vitesse de pointe de 80 km/h. De plus, son faible tirant d’eau de 1,6m lui permet d’intervenir au plus près de la côte et dans tous les ports ou de remonter en profondeur certains fleuves.

Côté armement, il dispose de 3 armes différentes répondant chacune à des menaces différentes. Tout d’abord son canon principal à l’avant, le taiho k-76, développé par Kainan taiho, peut tirer jusqu'à 100 coups de 76 mm par minute, dans toutes les directions, aussi bien horizontales que verticales, de quoi assurer des missions anti navires, anti aériennes et anti missiles pour une portée de 5.700m. Ce puissant canon est complété par le nouveau missile Fan Jian de Xīn xiàn dǎodàn
, un puissant missile anti navire de production nationale avec une impressionnante fiche technique : 650 kg, 5m de long, 1.100km/h en vitesse de croisière, une portée de 150 km, une ogive fortement explosive capable d’infliger des dégâts irrémédiables à un destroyer… 2 rampes de lancement de 2 missiles chacune sont installées sur le pont arrière. Pont arrière ou se trouve également 2 mitrailleuses lourdes Tianlan 12, des mitrailleuses de 12 mm produites au Xinemane par Tiānlán sè chōngfēngqiāng, pouvant tirer 500 coups par minutes à une distance de 1.700m et ainsi atteindre les cibles les plus légères et les moins protégés. Elles permettent aussi d'effectuer des coups de semonce.

missile

Le patrouilleur est également équipé de divers radars et moyens de télécommunications de fabrication Cendanoise, principalement produit par Pear, pouvant communiquer énormément de données aux autres navires et systèmes de combat burujois. Le premier échelon de la nouvelle doctrine du "combat collaboratif".

Ce navire de 220t et 21 marins a été entièrement construit par les chantiers navals Heavy Industries Jinam de Karaimu.


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La classe Sokudo est l’unique classe de corvette burujoise, pour l’instant construite à un seul exemplaire, un bâtiment similaire sera prochainement construit au cours de l’année. Les corvettes se veulent, comme les patrouilleurs, des navires légers et rapides, mais tout de même plus imposants pour emporter davantage d’armements et de systèmes électroniques. Ainsi elles sont plus taillées pour le véritable combat maritime ou les escortes les plus importantes grâce à un armement beaucoup plus polyvalent et perfectionné.

corvette

Les corvettes sont plus grandes, 72 m contre 50, plus large, 11 m contre 8, et plus lourdes que les patrouilleurs, 830t contre 240 pour une vitesse de 60 km/h, une vitesse relativement élevée pour un navire de ce gabarit. De quoi assurer d’importantes missions à risques.

canon

Côté armement il partage des bases communes avec les patrouilleurs Mondai, comme le canon multicible de 76mm taiho k-76, 2 mitraillettes Tianlan 12 et les missiles anti navires Fan Jian, cette fois ci réparti dans 8 silos, en comparaison des 4 tubes des patrouilleurs. Mais les corvettes Sokudo sont également équipés de puissants systèmes antiaérien, également développée par Xīn xiàn dǎodàn, tout d’abord des Fang Kong 279, des petits missiles anti aérien de 279 cm pouvant dépasser les mach2 et frapper des cibles aériennes à faible distance, maximum 7 km. Une batterie de 7 missiles est présente sur le navire. Enfin 4 missiles Fang Kong 300 d’une portée de 50 km sont également présents dans des silos. Ainsi la corvette permet la création d’une bulle antiaérienne autour d’elle mais également en escorte ou en convoi maritime.

missile

Comme les patrouilleurs Mondai, les corvettes sont équipées de multiples radars et appareils de télécommunications Pear dans le cadre du combat collaboratif.

La corvette pourra à terme accueillir un hélicoptère léger grâce à un hangar et un pont d’envol adapté et est manoeuvré par 44 marins. Elle a été construite, comme l’ensemble de la flotte impériale, par Heavy Industries Jinam dans ses chantiers de Karaimu.
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Les vedettes

La Marine Impériale Burujoise compte pour l’instant 3 types de vedettes : celle de protection côtière, celle d’intervention côtière et celle d’escorte.

La classe 品質 - Hinshitsu (qualité), la protection côtière.

vedette

Les vedettes Hinshitsu sont les premiers navires à avoir été mis en service au sein de la nouvelle flotte impériale, fin mai 2007. Ces bâtiments légers à petit tonnage sont avant tout destinés à effectuer des patrouilles le long des côtes burujoises et de veiller aux bonnes règles de navigations côtières.

Ils ont été conçus pour répondre avant tout à cette mission côtière avec de petites dimensions : 24m de long, 5m de large, un faible tirant d’eau de 1,8m et un faible poids de tout juste 36 tonnes pour une vitesse d'environ 55 km/h.

Destiné avant tout à la police et à la veille côtière, son armement est relativement léger puisque la vedette n’est équipé que de 2 mitrailleuses Tiānlán sè chōngfēngqiāng, les mêmes qui équipent les patrouilleurs Mondai.

Bien que construite en 2007 par 3 chantiers navals différents : glittering shipyards au Vomogorod, galangan kapal 1000 mutiara à Tairopototo et Heavy Industries Jinam à Ylma Jinu, les plans des vedettes sont issus du projet avorté dit “Project 130” qui prévoyait la construction de 130 vedettes comme celle ci entre 1985 et 2000. Malheureusement aucune de ces vedettes n’a été construite, sauf les 5 exemplaires commandés début 2007 pour les besoins impératifs de la flotte impériale.

Aujourd’hui ces 5 navires sont basés dans 3 ports différents :

B-70, 忍耐 - Nintai (patience) et B-71, 好奇心 - Kōkishin (curiosité) à Xin City pour surveiller les côtes Xinemane en mer Zīchǎn jiējí de nèihǎi en soutien des forces navales principales basés à Karaimu. Ces vedettes proviennent du chantier de glittering shipyards et peuvent accueillir 10 marins pour une autonomie de 5 jours en mer.

B-72, 大胆さDaitan-sa (audace) et B-73, 知識 Chishiki (connaissance) à Burugrad pour assurer la police maritime du Vomogorod en mer Indigo, épaulé par la flotte Kita de Bong Dang. Les vedettes ont été construites au Xinemane et peuvent accueillir 11 marins pendant une semaine.

Et enfin B-74, 友情 Yūjō (amicalité) à Kūlanakauhale pour la surveillance des eaux de Tairopototo, en complément de la Kirabiyakana de Jin City. Cette vedette de construction locale peut accueillir 9 marins pour des missions de 3-4 jours tout au plus.

La classe 美徳 Bitoku (vertu), les interventions côtières.

vedette

Premiers navires “modernes” de la flotte impériale, ces vedettes sont avant tout dédiées à des missions plus risquées comme des opérations anti piraterie ou anti contrebande.

Malgré tout, elles sont dans les mêmes dimensions que les vedettes Hinshistu, c'est-à-dire : 25,5m de long, 5,7m de large et surtout 1,1 m de tirant d’eau pour une vitesse de pointe frôlant les 100 km/h.

Elles ont bien évidemment un armement plus conséquent composé de 2 mitrailleuses Tiānlán sè chōngfēngqiāng et d’un canon mitrailleur de 20mm “Táifēng pào” pour des cibles plus importantes.

Toutes les vedettes ont été construites par Heavy Industries Jinam à Karaimu et sont toutes intégrées au sein des flottes. Ainsi B-80, 調和 Chōwa - harmonie, B-81, 知恵 Chie - sagesse et B-82, 天頂 Tenchō - zenitude sont basés à Jin City dans la flotte Kirabiyakana et B-83, 許容範囲 Kyoyō han'i (tolérance), B-84, 謙虚 Kenkyo (humilité) sont basés à Bong Dang dans la flotte Kita. Chaque vedette nécessite 10 marins pour être manoeuvré pour des missions d'environ 1 semaine, elles peuvent être ravitaillés par le pétrolier B-900 : 渇き - Kawaki - j’ai soif.

La classe 代名詞 Daimeishi (pronom) - escorte

vedette

Les vedettes Daimeshi sont les toutes dernières vedettes sorties des ateliers de Heavy Industries Jinam à Karaimu. Si les 2 classes précdentes, produites à 5 exemplaires chacune, étaient dédiées uniquement aux missions à proximité des côtes burujoises, ces vedettes sont taillées pour des missions plus importantes et en haute mer telle que l’escorte des navires amiraux ou des navires de commerce.

Légèrement plus grandes que les vedettes Bitoku, les vedettes Daimeshi mesurent 27m de long, 6 m de large pour 1,2m de tirant d’eau pour un poids de 72t. Elles sont actuellement les navires les plus rapides de la flotte impériale avec une vitesse de pointe dépassant les 110 km/h.

Leur mission d'escorte pouvant présenter de forts risques, leur armement a été revu en conséquence : 2 mitrailleuses Tiānlán sé chōngfēngqiāng et 1 canon mitrailleur de 20mm “Táifēng pào” comme sur les vedettes Bitoku mais aussi un canon de 25mm télécommandé Yáokòng jiàn pào pour accroître les performances d’intidmidation et de destruction des plus petites embarcations ennemis. La vedette peut également mettre en place un petit canot semi-rigide équipé d’une mitrailleuse Tiānlán sé chōngfēngqiāng de 12mm capable d’encore augmenter la polyvalence des missions de la vedette.

Construites en 10 exemplaires, elles sont toutes intégrées à la Sekaï teikoku kantai et sont donc toutes basées à Karaimu. B-90, 私 Watashi (je), B-91あなた Anata (tu) et B-92 彼 Kare (il) sont dédiés à l’escorte du groupe d’assaut amphibie. B-93 彼女 Kanojo (elle), B-94 私たちWatashitachi (on) et B-95 彼らKarera (ils) sont affectés à la protection des bateaux de commerce aux intérêts vitaux ou aux services de l’armée. B-96 私のWatashi no (mon), B-97 君のKimi no (ton) et B-98 彼のKare no (son) sont en permanence à Karaimu pour assurer la protection des installations portuaires et B-99 おいOi (iel) peut renforcer un des trois groupes précédents quand il ne protège pas le yacht impérial.
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Les véhicules blindés

Le Petit Véhicule Blindé de 2007 ou LPVB 07/09

Le LPVB 07 est un petit véhicule blindé conçu et fabriqué en 2007 par les industries Super Fox Corp basé à Goupil, Cendane. Le LPVB se veut comme un véhicule intermédiaire entre les 4x4 non blindés et les véhicules de transport blindé VB8R. Le LPVB 07 a été taillé pour permettre à 4 soldats totalement équipés de se déplacer en zone de hautes tensions avec un haut niveau de protection aux mines et armes à feu tout en pouvant riposter à tout engagement armé.

Ses dimensions : 4,5m de long, 2m de large pour 1,8m de haut font du LPVB 07 une grosse voiture comme une autre mais là ou on remarque sa grande force c’est notamment dans son poids de 4,5t faisant de lui un véhicule pouvant résister à n’importe quelle mine anti personnel et à certaines mines antichar mais aussi son moteur 4 cylindres de 200ch pouvant le propulser à 90 km/h sur des centaines de kilomètres, autant dire que c'est une vraie voiture de guerre.

véhicule

Pour appuyer son rôle de véritable voiture du champ de bataille, une mitraillette de 7,65mm conçue par Tiānlán sè chōngfēngqiāng a été installée sur le toit du véhicule.

Actuellement ces véhicules blindés sont uniquement déployés au sein des forces terrestres qui est doté de 100 exemplaires. Ils assurent avant tout des missions de patrouille dans les secteurs frontaliers les plus tendus mais permettent aussi à nos militaires de s'entraîner au maniement des véhicules blindés. Certains véhicules pourraient prochainement être transférés au sein des unités spéciales de la police militaire, dépendante du département impérial de la sécurité intérieure.

Il existe une version améliorée du 07, conçue en 2009 et donc dénommée LPVB 09, dotée d’un meilleur blindage, d’un moteur de 300ch, d’une mitrailleuse téléopérée de 12 mm également conçue par Tiānlán sè chōngfēngqiāng. 100 exemplaires du 09 ont été produits, 50 sont dotation dans l’armée de terre, 30 dans les corps d’élite de la police burujoise et 20 dans l’armée de l’air pour les composantes aéroportées.

Le Petit Véhicule de Combat 8 Roues ou PVC8R/PVC8R2

Le Petit Véhicule de Combat 8 Roues ou PVC8R est le blindé principal de l’armée burujoise, produit à 250 exemplaires en toute version, il est doté dans l’armée de terre à 200 exemplaires, à 30 exemplaires dans l’armée de l’air pour les composantes aéroportées et à 20 exemplaires dans les forces d’élite de la police impériale. Il a été conçu et fabriqué à partir de 2008 par les industries Super Fox Corp basé à Goupil, Cendane.

Le PVC8R a été conçu pour transporter des troupes d’infanterie avec le plus haut niveau de protection, sur tout terrain et avec des capacités de pouvoir engager le combat. De ce fait, il est doté de 8 roues motrices, pour rouler au plus vite sur des routes goudronnées ou des pistes et pouvoir aborder sans problème les terrains sans aménagements. Ces roues sont équipées de pneus spéciaux anti crevaison et sans chambres à air.

véhicule

Sur le plan technique, le PVC8R fait 6,8 mètres de long, 2,5 mètres de large, 1,85 mètres de hauteur pour 14,5 tonnes. Il est mué par un moteur de 360 chevaux pouvant le faire rouler à 100 km/h sur 500 kilomètres.

Il peut emporter 14 personnes, 2 “pilotes” (un conducteur et un chef) et 12 soldats entièrement dotés. Les soldats peuvent sortir par la porte principale arrière, mais également par les trois portes de toit, qui servent également de poste d’observation. Sur le plan de l’armement, il est doté d’une mitrailleuse téléopérée de 12 mm conçue par Tiānlán sè chōngfēngqiāng, similaire à celle des LPVB09.Cette mitraillette contrôlée depuis l'intérieur du véhicule permet d'ouvrir le feu ou de répliquer à tout tir ennemi tout en protégeant les occupants du blindé. Il est également équipé de leurres pyrotechniques contre les missiles guidés antichar.

Il existe une version R2, comprenant notamment des roues pouvant rouler malgré une crevaison de toutes ces roues, d’un blindage amélioré, d’un plus gros moteur de 450 chevaux pouvant atteindre les 120 km/h pour 650 kilomètres d’autonomie, d’un lance grenade en plus de la mitrailleuse et de plus de leurres.

Le Véhicule de Combat Chenillé de 2008 ou VCC8/10

Le Véhicule de Combat Chenillé 2008 fut pendant plusieurs années le principal véhicule de combat de l’armée burujoise, il reste cependant le véhicule de combat le plus doté dans l’armée burujoise avec 120 exemplaires, tous dans l’armée de terre. Il a été conçu et fabriqué à partir de 2008 par les industries Super Fox Corp basé à Goupil, Cendane.

Le VCC8 a eu le même chemin de conception que les autres blindés burujois : des véhicules capables de pouvoir rouler et combattre sur tout type de terrains, en protégeant au maximum ses occupants. Cependant, contrairement au LPVB qui a surtout été construit comme un transporteur de troupe, le VCC a avant tout été conçu comme un véhicule de combat, les capacités offensives et défensives devant primé sur les capacités de transport. De ce fait, il lui a été préféré des chenilles, plus aptes au combat tout terrain que des roues, davantage destinés à du transport sur infrastructures.

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Sur le plan technique, le VCC8 est un véhicule assez massif pesant près de 27 tonnes pour 6,8 mètres de long, 3,2 mètres de large et 2,5 mètres de haut. Il est propulsé par un moteur de 450 chevaux, similaire à celui du PVC8R2, ne pouvant atteindre 70 km/h pour 400 kilomètres d'autonomie.

Il peut emporter 10 personnes, 3 “pilotes” (un conducteur, un chef et un tireur) et 7 soldats entièrement dotés. Les soldats ne peuvent ici sortir que par la porte arrière, les portes de tourelles étant avant tout destinés à l’observation. Sur le plan de l’armement, le véhicule est doté d’une tourelle rotative à 360° abritant un canon de 35 mm, ce canon multi usage développé par Kaigan taihō est capable de remplir des missions anti aérienne, antinavire et anti char pour une portée de 5 à 8 kilomètres pour une cadence de 250 à 1000 coups minute. Il est également doté de la classique mitraillette de 7,65mm de Tiānlán sè chōngfēngqiāng, qui est avant tout une arme secondaire et de dissuasion, qui peut être retirée sans problème de la tourelle. Des leurres ont également été installés tout autour du blindé pour offrir une protection accrue au risque de missiles anti-char.

Il existe une version de 2010, comprenant logiquement un meilleur blindage, des chenilles renforcées, un plus gros moteur de 600 chevaux, pouvant rouler à 85 km/h sur 550 kilomètres, de la mitrailleuse téléopérée de 12 mm de Tiānlán sè chōngfēngqiāng, de leurres améliorés mais surtout de deux lances missiles anti char / anti navires, disposés des deux côtés de la tourelle les missiles emportés sont des Xīn xiàn dǎodàn AT2 et augmente ainsi fortement la capacité anti char d’assaut du blindé. 60 exemplaires de VCC10 ont été commandés, tous pour l’armée de terre.

Le Véhicule de Combat Principal 2010 ou VCP10

Le Véhicule de Combat Principal 2010 est depuis quelques mois le plus important véhicule blindé de combat de l’armée burujoise. Il a été conçu par Павлоска тяжелой промышленности - Pavloska tyazheloy promyshlennosti, basé à Vilmokoraïd, au Vomogorod. Pour l’instant construit à 50 exemplaires, il reste un matériel peu doté dans l’armée.

Le VCP10 a été imaginé comme un petit char d’assaut à roue, il est cependant davantage vu comme un véhicule antichar que comme un véritable véhicule de combat de première ligne. Les premiers exercices à grande échelle ont montré qu’il était un très bon véhicule de support des brigades motorisés. Il est cependant un des véhicules les moins bien appréciés de toute l’armée, alors que les autres blindés ont été produits par Fox Corp,ces VCP10 ont été construits par les industries Pavloska au Vomogorod et l’usage a montré plusieurs lacunes de la conception à la maintenance quotidienne des blindés. De ce fait, la commande initiale de 100 unités a été abaissé à 50, la branche militaire des industries Pavloska créée pour l’occasion a fermé prématurément et la Fox Corp a obtenu un marché de “remise à niveau” de tous les engins de l’armée.

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Cette remise à niveau comporte notamment un changement des roues, équipées des nouveaux pneus anti-crevaison des PVC8R2, d’une nouvelle tourelle, de nouveaux systèmes de communications et d’un habitacle plus ergonomiques. Tous les VCP10 ont été remis à niveau entre août 2009 et avril 2010.

Sur le plan technique, le char léger mesure 8,5 mètres de long, 3 mètres de large et 2,9 mètres de haut pour un poids de près de 26 tonnes. Il est propulsé par un moteur de 600 chevaux, pouvant dépasser les 100 km/h pour une autonomie de plus de 500 kilomètres.

Il ne peut emporter que 4 personnes (un chef, un pilote, un chargeur et un mitrailleur). Il est en revanche lourdement armé puisqu’il dispose d’un canon rayé principal de 105mm, cette taille a été estimée pouvant détruire n’importe quel véhicule blindé, à une portée “au delà de la vue”, c’est à dire entre 3 et 8 kilomètres. Il est également doté de 2 mitrailleuses téléopérée Tiānlán sè chōngfēngqiāng, une de 12 mm et une autre de 7mm. Le but de ces deux mitrailleuses est de pouvoir éliminer n’importe quel soldat sans s’exposer au feu ennemi. Le tout est monté sur une tourelle pivotable à 360°. Il est également doté de leurres pyrotechniques.
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La protection antiaérienne

Le Canon Antiaérien Chenillé de 2007 ou CAC07/09


Le Canon Antiaérien Chenillé de 2007 a été pendant plusieurs mois le principal dispositif anti aérien de l’armée impériale. Il a été conçu en 2007 à l’issue d’un partenariat entre Fox Corp, Kaigan taihō et bugbu jeonja et construit dans les usines jinuiennes de cette dernière. Les armées burujoises ont été dotés de 80 unités, 25 unités pour l’armée de l’air, 5 pour la marine impériale et 50 pour l’armée de terre, il ainsi est le principal dispositif anti aérien de l’armée impériale.

Le CAC07 a été imaginé comme un canon antiaérien amélioré, mobile et blindé avant tout destiné à protéger les divisions d’infanterie et de blindés sur le champ de batailles des attaques aériennes, loin des dispositifs fixes des grandes villes. Pour l’amélioration, il est doté de 2 tubes au lieu d’un seul pour les canons classiques doublant ainsi l’efficacité de neutralisation des avions mais également d’un radar de visée permettant un guidage automatique de la rotation de la tourelle. La mobilité est assurée grâce à un châssis chenillé permettant une mobilité accrue sur tout terrain, les chenilles peuvent être équipées de crampons en caoutchouc améliorant la mobilité sur route. Enfin, une grande partie de la tourelle et du châssis ont été blindés pour résister à toutes les attaques d’infanterie.

Sur le plan technique, le canon chenillé mesure 8 mètres de long, 3,2 mètres de large et 4,4 mètres de hauteur pour un poids de 38 tonnes, ce qui en fait le plus grand et le plus gros des blindés burujois. Le CAC07 est propulsé par un puissant moteur de 720 chevaux pouvant le faire avancer à une vitesse de 50 km/h sur 300 kilomètres.

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Il peut emporter 3 soldats : un pilote, un commandant et un tireur. Sur le plan de l’armement, la tourelle compte 2 canons anti aérien de 35 mm construits par Kaigan taihō pouvant chacun tirer 1000 coups par minute, ils sont basés sur ceux du VCC8. L’ensemble du processus de combat est assisté informatiquement, couplant un radar à balayage électronique à un système de verrouillage de cible, assurant une rotation de la tourelle et une orientation des canons entièrement automatisés, augmentant de plus de 80% les chances d'abattre un aéronef. Les premiers essais ont montré qu’en désactivant le système électronique, il était possible d’utiliser le blindé dans des combats au sol, les 2 canons étant particulièrement efficaces contre les soldats à pied et les véhicules blindés légers. Le blindé est également doté de leurres pyrotechniques.

En 2009, une nouvelle version a été créée par le consortium, cette version comprend notamment un nouveau moteur de 850 chevaux pour 60 km/h et 400 kilomètres d'autonomie, mais également d’un blindage et d’un système de verrouillage de cible amélioré mais surtout de chenilles dotées de vérins hydrauliques qui permettent de stabiliser complètement le blindé sur des terrains instables, à l’arrêt. Cette version a été produite à 30 exemplaires, tous en dotation dans l’armée de terre.

Le Lance Missile Antiaérien ou LMA/LMA.2

Le Lance Missile Antiaérien est dorénavant le principal système de protection antiaérienne de l’armée burujoise. Comme le CAC07, il a été conçu à l’issue d’un partenariat entre Fox Corp, Xīn xiàn dǎodàn, Kaigan taihō et bugbu jeonja et construit dans les usines jinuiennes de cette dernière. Le système n’est pas destiné à être déployé sur le champ de bataille, sa principale mission est d’être déployée à proximité immédiate des grandes villes et des bases militaires. Un système mobile a été préféré à un modèle fixe, notamment pour pouvoir régulièrement déplacer les lanceurs et ainsi brouiller l’espionnage. En cas de problème, les systèmes sont plus facilement remplaçables et en cas de conflit armée, ils peuvent toujours être déployés sur un champ de bataille. 25 sont en dotation au sein de l'armée impériale, 15 pour l'armée de terre pour protéger les métropoles burujoises et 10 dans l'armée de l'air pour protéger les bases militaires.

LANCE

Le LMA est le premier matériel de l’industrie militaire burujoise, construit en série, entièrement assemblé à partir de matériel existant. En effet, le LMA a été construit en assemblant 3 modules différents : un camion standard 8 tonnes Fox Corp, des lances missiles Xīn xiàn dǎodàn et un module électronique bugbu jeonja. Cette solution a été jugée tout autant efficace et beaucoup moins chère qu’un véhicule construit à partir de rien.

Sur le plan technique, le LMA est composé de 3 véhicules : un camion de recherche de cibles et de conduites de tir et deux camions lance missile. Les 3 camions ont des dimensions identiques : 7,15 mètres de long, 2,5 mètres de large et plus de 3 mètres de haut. Ils sont tous propulsés par un moteur de 280 chevaux, pouvant rouler jusqu’à 100 km/h sur 700 kilomètres. Sur le plan de l’armement, le module de recherche de cibles et de conduites de tir compte un radar à balayage électronique ainsi qu’un puissant système informatique pouvant traiter près de 10 cibles simultanément et de guider les 8 missiles, de la rampe de lancement à l’impact final. Les modules lance missiles peuvent emporter 4 missiles XX7 Xīn xiàn dǎodàn directement sur la rampe, ainsi que 12 missiles dans les racks de rangement. Les missiles en eux-mêmes 270 centimètres de long, 16 cm de diamètre et 60 cl d’envergure, pour un poids de 100 kg dont 9 kg de charge explosive. Il peut atteindre une vitesse de mach 2,7 en croisière, pour une portée de 7 kilomètres sur une altitude maximale de 3 kilomètres.

LANCE

Une nouvelle version du LMA, dénommée LMA.2, est en cours de test sur 5 unités. Cette version comprend un radar perfectionné mais surtout de nouveaux missiles XX7.5 Xīn xiàn dǎodàn, dérivé du XX7. Cette version plus longue de 15 centimètres, pèse 105 kilos pour une charge explosive de 15 kilos, une portée de 10 kilomètres pour une altitude de 4 kilomètres, toujours pour une vitesse de 2,7 machs.
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Rapport Militaire sur les Exercices Navals avec la Maronhi

Introduction :
Du 1er au 10 avril 2010, la marine impériale burujoise et la veille aérienne ont mené des exercices conjoints avec les forces armées de Maronhi dans les eaux locales et internationales de la République. Les exercices avaient pour but d'améliorer l'interopérabilité des deux marines, de renforcer les relations bilatérales et de maintenir la stabilité régionale.

Forces engagées :
La marine impériale a déployé le transporteur de chaland de debarquement : B-550 : 私たちは何もしません, Watashitachi wa nani mo shimasen et ses 4 chalands : B-580, 小島 Kojima (île), B-581 環礁 Kanshō (atoll), B-582 リーフRīfu (récif) et B-583 石 Ishi (rocher), Karaimu ainsi que le patrouilleur B-150 : 問題なし- Mondainashi (pas de problème), la corvette B-301 : 走るHashiru (je cours), la frégate B-203 : 落ち着く- Ochitsuku (calme), le ravitailleur B-900 : 渇き - Kawaki (j’ai soif) et le dragueur de mine B-951, 規制, Kisei (régulation). La veille aérienne a quant à elle déployée les aéronefs suivants : - 3 avions de combat TKB-01, 2 avions d’attaque au sol TKB-10 et 1 avion ravitailleur BBJ-300ME.

1ère phase :

Exercices réalisés :

La première phase des exercices a commencé le 1er avril 2010 et a duré trois jours. Cette phase était axée sur la formation et les manœuvres de base. Les deux flottes ont travaillé ensemble pour améliorer leur communication et leur coordination, ainsi que pour renforcer leur interopérabilité.

Le transporteur de chaland de débarquement et ses chalands ainsi que le porte hélicoptère ont été utilisés pour transporter des équipements et des fournitures d'un navire à l'autre, simulant des opérations de débarquement et de ravitaillement mais également de débarquement de troupes et de fournitures sur une plage. Le sous-marin a été utilisé pour comme escorte principale de ce groupe aéronaval.

Les patrouilleurs burujois et maronhiens ont été utilisés pour surveiller les mouvements des navires ennemis virtuels et pour empêcher les infiltrations adverses, tandis que les corvettes ont été utilisées pour la défense côtière et la lutte anti-aérienne.
Les exercices ont commencé par une série de manœuvres de base, telles que des changements de cap et des changements de formation, pour améliorer la coordination entre les navires des deux flottes. Les navires ont également effectué des exercices de communication pour améliorer leur capacité à travailler ensemble en utilisant des systèmes de communication standardisés.

Le dragueur de mine a été utilisé pour des exercices de déminage et de neutralisation de mines marines, tandis que le ravitailleur a fourni du carburant et des fournitures aux navires qui en avaient besoin.

Résultats et observations :

À l'issue de la première phase des exercices navals avec notre pays la Maronhi de manière efficace et coordonnée pour mener à bien les différentes manœuvres, démontrant une bonne interopérabilité.

Les simulations de débarquement et de ravitaillement en mer ont été exécutées avec succès, mettant en évidence l'importance de la coordination et de la communication entre les navires pour ces opérations.

Les exercices de lutte anti-aérienne ont également été réussis, démontrant l'efficacité des systèmes de défense des navires des deux marines. Toutefois, les corvettes maronhiennes ont plus rapidement montré leur limite que la corvette burujoise.
En somme, cette première phase des exercices navals a été très instructive et a permis de renforcer la coopération et la coordination entre les deux flottes.

2e phase :

Exercices réalisés :

La deuxième phase des exercices navals avec la Maronhi a débuté le 4 avril 2010 et a duré quatre jours. Cette phase était centrée sur des opérations de combat simulées dans des environnements variés, incluant des opérations de lutte contre la piraterie, de patrouille et de surveillance côtière, ainsi que des opérations de défense aérienne et de lutte anti-sous-marine.

Les corvettes et la frégate ont été utilisées pour des opérations de patrouille et de surveillance côtière. Les navires ont effectué des manœuvres en haute mer et dans des zones côtières, testant leurs capacités à naviguer en eaux resserrées. La frégate a également été utilisée pour des exercices de défense aérienne, simulant des attaques aériennes ennemies.

Le transporteur de chaland de débarquement et ses chalands et le porte hélicoptère ont de nouveau été utilisés pour des simulations d'opérations de débarquement de troupes et de fournitures sur la plage, cette fois-ci dans un environnement simulant une zone de combat. Des simulations d'évacuation médicale ont également été effectuées pour tester les capacités de la flotte à gérer des situations d'urgence.

Le ravitailleur a été utilisé pour des opérations de ravitaillement en mer, principalement sur le groupe aéronaval.

Le dragueur de mine a été utilisé pour des opérations de déminage dans des zones marines dangereuses, et le personnel des deux marines a travaillé ensemble pour détecter et neutraliser des mines marines simulées.

Le sous marin déployé par la Maronhi a quitté son rôle d’escorte pour des opérations de lutte anti-sous-marine, simulant une attaque sous-marine ennemie envers la flotte de corvette et de frégate. Les patrouilleurs et les vedettes ont été utilisés pour des opérations de lutte contre la piraterie et de surveillance côtière.

Des simulations d'attaques combinées ont également été effectuées, impliquant plusieurs navires des deux flottes travaillant ensemble pour repousser une attaque ennemie simulée.

En somme, la deuxième phase des exercices navals a été axée sur des opérations de combat simulées, testant les capacités des navires et des équipages des deux flottes dans des situations variées. Les simulations ont permis de mettre en lumière les points forts et les faiblesses de chaque flotte, et ont permis de renforcer la coopération et la coordination entre les deux pays.

Résultats et observations :

À l'issue de la deuxième phase des exercices navals avec la Maronhi, les observations suivantes ont été notées :

Les opérations de patrouille et de surveillance côtière ont été bien exécutées par notre flotte, démontrant une bonne coordination entre les navires. Cependant, les navires maronhiens ont présenté une plus faible maîtrise de ce genre de mission.

Les simulations d'attaques aériennes ont permis de tester les capacités de défense aérienne des navires de la flotte, et ont mis en évidence la nécessité d'une vigilance accrue et d'une coordination rapide en cas d'attaque ennemie. Une corvette maronhniennes ayant été virtuellement détruite par un tir aérien.

Les opérations de débarquement et de ravitaillement en mer ont été effectuées avec succès, mettant en évidence l'importance de la coordination et de la communication entre les navires pour ces opérations.

Les simulations d'attaques sous-marines ont été bien exécutées, mettant en évidence les capacités des équipages de la flotte à faire face à cette menace. Cependant, lors du 4e test, sur 6 réalisés, la frégate burujoise n’a pas réussi à détecter le sous-marin, entraînant l’échec global du test. Des progrès sont donc encore à faire dans ce domaine.

Les opérations de lutte contre la piraterie ont été bien menées, démontrant la capacité de notre flotte à répondre à cette menace. Cependant, l’armée burujoise a présenté plus de difficultés face à ces menaces “asymétriques”.

Les simulations d'attaques combinées ont permis de tester les capacités des navires et des équipages des deux flottes à travailler ensemble, et ont démontré une bonne interopérabilité.

3e phase :

Exercices réalisés :

La troisième et dernière phase des exercices navals avec la Maronhi a débuté le 8 avril 2023 et a duré deux jours. Cette phase a été axée sur des exercices de sécurité maritime et de sauvetage en mer, ainsi que sur des opérations d'assistance humanitaire en cas de catastrophe naturelle.

Le transporteur de chaland de débarquement et ses chalands et le porte hélicoptère ont continué d’être utilisé pour des simulations d'évacuation de civils en cas de catastrophe naturelle. Les navires ont également effectué des exercices de sauvetage en mer, simulant une situation d'urgence où des passagers d'un navire sont en danger, principalement avec les hélicoptères.
Le dragueur de mine a été utilisé pour des opérations de recherche et de sauvetage en mer, détectant et récupérant des objets flottants en mer, autre mission de ce navire.

En somme, la troisième phase des exercices navals a été axée sur des opérations de sécurité maritime et de sauvetage en mer, ainsi que sur des opérations d'assistance humanitaire. Les simulations ont permis de tester les capacités des navires et des équipages des deux flottes dans des situations d'urgence et ont renforcé la coopération entre les deux pays.
Le reste de la flotte a continué une vaste simulation d’attaques combinées.

Résultats et observations :

Voici les observations de la troisième et dernière phase des exercices navals avec la Maronhi :

Les exercices d'évacuation de civils ont été exécutés avec succès, démontrant la capacité des navires de la flotte à transporter et à débarquer rapidement des civils en cas de catastrophe naturelle.

Les exercices de sauvetage en mer ont permis de tester les capacités des navires et des équipages à faire face à des situations d'urgence, et ont mis en évidence l'importance de la coordination et de la communication entre les navires.
Les opérations de sécurité maritime ont été menées avec succès, démontrant la capacité des navires de la flotte à surveiller les eaux territoriales et à détecter tout navire suspect.

Les opérations de recherche et de sauvetage en mer ont été exécutées avec succès, démontrant la capacité du dragueur de mine à détecter et à récupérer des objets flottants en mer.

Les exercices d'assistance humanitaire ont permis de tester les capacités du porte-hélicoptères à transporter des fournitures et du personnel d'urgence vers une zone touchée par une catastrophe

Conclusion :
Les exercices navals conjoints avec la Maronhi ont été un succès et ont renforcé les relations bilatérales entre nos deux pays. Les marines des deux pays ont acquis une expérience précieuse en travaillant ensemble, en améliorant leur interopérabilité et leur capacité à opérer dans des scénarios de combat simulés. Nous envisageons avec intérêt de continuer à travailler avec la Maronhi pour renforcer notre coopération militaire et maintenir la stabilité régionale.
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Décret impérial
du 10 mai 2010 portant sur le renforcement des flottes coloniales

Par décret de Son Excellence Tadashi IV, empereur des saintes terres du Burujoa et de tout le peuple burujois,

Ce présent décret a pour objectif de compléter le décret impérial du 23 mai 2009 portant sur l'organisation des flottes coloniales.

Ainsi suivant la volonté des dieux et de l'empereur, une quatrième flotte coloniale est créée. Sa quatrième base permettra de renforcer la présence de la Marine Impériale dans le sud de l'Océan du Scintillant et de renforcer la posture dissuasive, de la présence de l'Empire en mer à proximité des régions de Cendane et de Tairopototo.

La flotte portera le nom de IVe Shokuminchi teikoku kantai - Scintillant du Sud.

La base amirale sera Uminomon, avec les bases secondaires d'Ukabumachi et de Siwa. La composition de cette flotte sera précisée dans les prochaines semaines.

Ce présent décret prend effet immédiatement.

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Les navires amiraux

Le porte hélicoptère Nani mo warukuna


Le navire B-551 : 何も悪くない- Nani mo warukuna (rien de mal) est l’unique porte hélicoptère de la marine impériale burujoise. Basé à Karaimu, ce navire est actuellement le “vaisseau amiral” de la marine impériale, puisqu’il pèse plus de 13.000 tonnes et a coûté plus de 1.100 milliards de Flairy à l'administration impériale, soit un peu moins d’un milliard de dollars. C’est le navire le plus complet de la marine impériale puisqu’il est une base aérienne, un poste de commandement, un hôpital, un cargo et un navire de guerre.

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Nani mo warukuna a été construit à un seul exemplaire, dans les chantiers navals Jinam de Karaimu, un navire jumeau a été plusieurs fois évoqué mais jamais concrétisé, le prix étant jugé prohibitif pour une utilité moindre, sans oublier des navires auxiliaires encore plus nombreux. Il est officiellement basé à Karaimu, mais il est souvent stationné dans d’autres bases de tout l’empire, il fait partie de la “flotte impériale mondiale”.


Depuis les années 1950, la marine impériale souhaite se doter d’un navire porte aéronef à l’instar des grandes puissances maritimes de ce monde. En 1977, cela est chose faite avec la mise en service du porte hélicoptère Ishikawa, fleuron du savoir-faire aéronaval burujois, cependant une crise économique frappe durement l’empire dès 1979 et le navire est vendu en 1983, il sera ferraillé en 2003. Le souhait d’un porte aéronef se veut toujours fort mais impossible au vue des finances calamiteuses de l’empire. Cependant, à l’aube des années 2000, l’empire redresse la barre et s’offre de nouveaux une armée digne de ce nom et pour soutenir la croissance économique, le projet de porte aéronef refait réellement surface. Ainsi, en 2003, un contrat de conception de porte hélicoptère est confié à Heavy Industries Jinam, les bureaux de conception établissent 3 “impératifs” : pont intégral, superstructure légère et espace de travail agrandi. Sa conception a également défini les différentes missions du porte hélicoptère : lutte anti sous-marine, sauvetage en mer, opérations humanitaires, aides aux catastrophes naturelles…


Après 2 ans de conception puis 4 ans de construction, le navire est mis en service le 1er juin 2009, en même temps que le transporteur de chaland Watashitachi wa nani mo shimasen. Cette date est depuis considérée comme la “fête de la marine impériale”.


Sur le plan technique, le navire est colossal : 200 mètres de long, 33 mètres de large dont 22 de largeur utile, 7 mètres de tirant d’eau pour 48 mètres de tirant d’air. Le poids de cette masse métallique est de 13.900 tonnes, porté jusqu’à 19.000 t à pleine charge. Le navire est mué par 4 moteurs à turbine à gaz développant 25.000 chevaux, soit 100.000 chevaux en tout et l'électricité à bord est fournie par 4 générateurs thermiques indépendants développant chacun 2,4 MW.


Pour accroître son caractère de “navire amiral”, le navire a été doté d’un véritable poste de commandement, interarmée. Pour cela, une salle entièrement modulables, du sol ,au plafond a été aménagée dans le cœur de la coque du navire. La salle est aussi bien destinée à gérer un groupe aéronaval exceptionnel, le groupe “quotidien” étant géré par une salle différente, située dans la superstructure, que pour gérer une catastrophe naturelle de n’importe quelle ampleur voire même une opération extérieure. En outre, pour compléter cette salle unique, le navire est doté de tout un ensemble de systèmes de télécommunications pouvant permettre de contacter n’importe quel sous-marin, navires, aéronefs ou même postes au sol burujois.

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Nani mo warukuna étant avant tout un porte hélicoptère, une large place aux activités aériennes a donc été réservé dans le navire. De ce fait, l’intégralité de son “pont plat” est destiné aux mouvements d’hélicoptère avec 4 postes de travail. En plus de l’immense pont, le navire abrite un immense hangar long de 120 mètres, pour 19 mètres de large, pouvant accueillir 8 hélicoptères. Le hangar peut être divisé en 2 deux via de grands rideaux coupe feu, une moitié du hangar pouvant servir à accueillir les hélicoptères, l’autre moitié un hôpital de campagne ou du fret. La liaison entre le pont et le hangar se fait par 3 grands ascenseurs, l’un sur le côté, de 20 mètres de long, un autre à l'arrière, de 13 mètres de long, et un dernier à l’avant de 10 mètres de long. Il y a également 2 autres ascenseurs de plus petite taille, 4 mètres de long, servant à acheminer les hommes et les munitions.


Le navire est doté en permanence de 8 hélicoptères : 6 hélicoptères de patrouille maritime et 2 hélicoptères de transport. Ce chiffre peut être revu à la baisse selon les besoins, notamment en configuration “catastrophe naturelle” avec 5 hélicoptères de transport, un hôpital de campagne et du fret ou une configuration “opération militaire” avec 3 hélicoptères de transport et 7 hélicoptères de patrouille maritime.


Nani mo warukuna étant un navire de la plus haute importance, il est donc une cible idéale pour toute armée adverse en cas de conflit, c’est pour cela qu’il intègre des armement permettant de contrer tout type d’attaques : aériennes, marines et sous-marines. Ainsi, il embarque deux canons antiaériens, haute performance de 20mm, Tianlan 20, ainsi que 7 mitrailleuses de 12 mm, Tianlan 12. Concernant la menace maritime, le navire est doté de 2 tubes lance torpille, développé par Xīn xiàn dǎodàn, qui peut envoyer des torpilles courtes de 324 mm, contre les sous marins. Enfin, pour les menaces maritime de surface, le navire est doté de 6 lanceurs de missiles Fan Jian, comme on retrouve sur le reste de la flotte impériale. En outre, la lutte anti-sous-marine peut être complétée par les hélicoptères de patrouille maritime. Ces armements n’auraient aucune utilité s’ils n’étaient pas épaulés par de nombreux outils de détections, le navire compte plus de 10 radars et 1 sonar. Divers dispositifs de “contre mesure” ont également été installés à bord comme 6 lanceurs de leurres pyrotechniques, un brouilleur radio et 4 lanceurs de leurres anti torpille.

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Enfin, pour remplir ses autres missions, Nani mo warukuna compte notamment un hôpital de 80 places dont 10 lits de soins intensifs ainsi que deux blocs opératoires et une salle de radiographie. Par ailleurs, il est estimé que le navire peut emporter plus de 1.000 tonnes de divers matériels, aussi bien des vivres, des fluides : eaux, carburants… ou mêmes certains véhicules : 4x4, camions d’urgences… Pour l’instant ces capacités n’ont jamais été utilisés en conditions réelles, mais uniquement lors de vastes entrainements interarmées : simulation de séismes à BongDang, glissement de terrain au Xinemane ou inondations à Cendane. Il a également participé, avec d’autres navires burujois, au vaste exercice militaire bilatéral opéré avec la Maronhi dans le golfe de Biwa et l’Océan carmin.
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Les équipements de "catastrophe"

Les bains portatifs, type 90

L'ensemble de bains portatifs, type 90, est un équipement permettant de prendre facilement un bain en extérieur et se compose d'un auvent, d'un simple bassin démontable, d'une chaudière, d'un réservoir d'eau et de petits équipements de conforts.

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Une première version des bains portatifs est crée en 1990 en remplaçant des bains mobiles type 70. Ces bains type 70 furent imaginés en 1970 après le crash d'un avion de ligne sur un village du Xinemane qui détruisit les thermes collectifs du village et mobilisa de nombreux secouristes. De ce fait, des centaines de personnes se retrouvèrent sans solution d'hygyène corporel pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois. L'armée décida alors en réaction d'imaginer un bain portatif comprenant une grande bassine souple et une chaudière sur remorque. Le système est régulièrement déployé sur les lieux de catastrophes naturelles et est particulièrement apprécié des sinistrés. En 1990, le système type 70 est progressivement remplacé par le système 90 offrant plus de conforts et de praticité.

bains

Ainsi, le nouveau type 90 est composé d'une remorque tractée par camion type 83, comprenant lui-même une chaudière pouvant chauffer 5400 litres d'eau par heure, de 3 pompes à eaux et d'un groupe électrogène. D'autres camions type 83 emportent des baignoires démontables d'une capacité de 30 personnes, la tuyauterie (en forme de bambous pour plus d'authenticité), des auvents, des réservoirs souples de 10.000 litres d'eau et tout un tas d'accessoires : luminaires, égouttoirs, draps, paniers à vêtements et étagères... Le tout est déployable en 45 minutes et peut traiter près de 1.200 personnes par jour. L'armée de terre est doté de 83 bains, principalement déployé en Ylma Jinu en cas de catastrophes naturelles, même si il est ponctuellement utilisé lors de vastes entrainements.

bains

Les buanderies portatives, type 97

L'ensemble de buanderie portatif, type 97, est un équipement permettant de laver facilement des vêtements en extérieur et se compose d'une machine à laver, d'un sèche linge, d'un groupe électrogène, d'un réservoir d'eau et de petits équipements de conforts.

Imaginé en 1997 et déployé dès 1998, les buanderies portatives ont remplacé d'anciennes buanderies imaginées en 1970, en même temps que les bains portatifs, type 90. Les buanderies type 70 étaient appréciés pour leur utilité pratique (moins de vêtements à emporter) mais s'avérait peu pratiques te fiables. De ce fait, de nouvelles buanderies sont imaginées en mettant notamment les plus importantes machines : lave linge, sèche et linge et groupe électrogène dans la même remorque, tractée par un camion type 83.

buanderie

Sur le plan technique, la machine à laver est capable de laver 40 tenues complètes de fantassins et idem pour les sèches linges. Un camion type 83 complète la remorque emportant avec lui des auvents, des tancarvilles, une bassine souple de 10.000 litres d'eaux, des paniers à linge et des tables de repassages mais également les lessives...

Initialement conçue pour être déployée sur les terrains d'entrainements, les buanderies portatives, type 97 sont également déployé lors de catastrophes naturelles pour permettre aux sinistrés de laver leurs vêtements, puisque certains peuvent tout perdre. L'armée de terre est doté de 55 buanderies portatives, principalement déployé en Ylma Jinu sur les terrains d'entrainements, même si elles sont ponctuellement déployée dans le cadre de catastrophes naturelles.

Unité de filtration aquatique
L'unité de filtration aquatique, est un équipement permettant de rendre potable n'importe quel eau avec un système de multiples filtrations, cela afin de toujours assurer l'approvisionnement en eaux des troupes et populations en milieux hostiles ou détruits.
En 2008, il est décidé de compléter l'ensemble des matériels d'opération humanitaire avec des systèmes de filtration d'eau, pour alléger les lourdes chaînes logistiques en terrain difficile devant apporter quantité d'eau en bouteille ou en citerne. Un système simplifié et transportable de station d'épuration est alors imaginé.

filtration

Le système, toujours embarqué sur des camions type 83 une importante pompe pouvant pomper 10.800 litres par heure. D’autres camions type 83 emporte les systèmes de filtration avec d’abord des filtres “capillaires” puis par charbon actif et osmose inversée. Les capacités de filtration sont de 7.500 litres par heure en respectant les normes de potabilité. Enfin le système est complété par des citernes souples de 10.000 litres ainsi que d’une grue de levage. L'armée de terre est doté de 20 unités de filtration aquatiques, principalement déployé en Ylma Jinu, en cas de catastrophes naturelles, mais également à Tairopototo où ils peuvent venir en aide aux stations de pompages régulièrement défaillantes, on en trouve également sur les principaux camps d'entrainement de l'armée, non viabilisés.

Bloc Chirurgical Rigide de Terrain
Le Bloc Chirurgical Rigide de Terrain est un équipement permettant de déployer en moins d'une heure un véritable bloc opératoire sur tout type de théâtre : catastrophes naturelles, conflits armés...

Le Bloc Chirurgical Rigide de Terrain a été mis en service en 2001, après plusieurs cas de civils burujois mal soignés lors de catastrophes naturelles et qui ont dû être amputés faute de bloc opératoire. Après plusieurs années de réflexions, Fox Corp et le département impérial de la santé mettent au point un système complet de bloc opératoire mobile. Le cahier des charges prévoit que le bloc peut faire entre 10 et 15 opérations par jour, en priorité les opérations les plus vitales : le thoracotomie (le coeur, les poumons et l'oesophage), la laparotomie abdominale (l'intestin et l'appendicite) et la craniotomie (traumatisme cranien).

operation
Le système est basé sur 4 camions de type 83 emportant chacun un bloc rigide spécialisé. Le premier camion est dédié aux opérations chirurgicales, il est doté d'une table d'opération électrique, d'équipements à rayons X , d'une lumière sans ombre, d'un projecteur, d'appareils d'anesthésies et de petits matériels nécessaires à l'opération. Le deuxième camion est dédié à la préparation de l'opération avec un compteur de sang simple, un analyseur des gaz du sang , un analyseur de sang rapide, une centrifugeuse, un microscope binoculaire, un développeur de films radiographiques et d'un stockage d'instruments chirurgicaux et de médicaments. Le 3e camion est dédié à la stérilisation et au nettoyage du matériel opératoire et le dernier camion sert à stocker du matériel, du sang et des produits d'hygiène. Hormis le véhicule dédié aux opérations, chaque camion emporte également une remorque : un groupe électrogène pour les 2e et 3e camion et une citerne de 1.000 litres d'eau claire pour le 4e camion. Une fois déployé en moins de 3 heures, ils ne forment qu'un seul bloc.

opération
Le Bloc Chirurgical Rigide de Terrain nécessite 7 personnes pour être mis en oeuvre, une équipe chirurgicale de 4 personnes : un chirurgien, un assistant chirurgien, un anesthésiste et un opérateur d'instruments et une équipe de préparation chirurgicale de 3 personnes : un radiographe, un agent d'inspection et un agent de préparation.

L'armée de terre est doté de 30 Bloc Chirurgical Rigide de Terrain, livrés entre 2002 et 2007, principalement déployé en Ylma Jinu, en cas de catastrophes naturelles, on en trouve également à Cendane, ou certains hôpitaux ne sont pas dotés de blocs opératoires, en particulier dans la préfecture de Maura.

Système de Sauvetage Mobile
Le Système de Sauvetage Mobile est simplement un camion type 83 transformé pour emporter et déployer rapidement un certain nombre d'équipements de sauvetage : des treuils manuels, des crics hydrauliques, des prises d'airs, des tronçonneuses, des coupe-moteurs, des coupeurs hydrauliques, des Jack/épandeur/Cutter, des perceuses à moteurs, des feu de détresse, des éclairages de travail, des détecteurs de gaz inflammables, des détecteurs de son de recherche, des détecteurs de structure détruites, des pompes à incendies sac à dos, des outils de rupture de piston, des alarmes avec sirène, des cordes de sauvetage, des projecteurs de recherche, des équipements de protection personnel et des toilettes portatives.

L'armée de terre est doté de 30 Système de Sauvetage Mobile, livrés entre 1997 et 1998, principalement déployé en Ylma Jinu.
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Les grades des "corps historiques"


L'armée impériale burujoise compte 3 "corps historiques", la Marine Impériale créée dès la fondation de l'Empire en 1545, la Garde Frontalière également créée en 1545 et l'Armée Impériale des Airs, créée en 1610 avec la création des 花火隊 - Hanabi-tai, des militaires spécialistes des artifices. Les noms des grades sont donc hérités des premiers temps de ces armées.

La Marine Impériale
  • Amiral des Océans
  • Emissaire Impérial
  • Régent des Voies Maritimes
  • Protecteur des Eaux
  • Maître Aquatique
  • Capitaine des flots
  • Gardien des marées
  • Navigateur des courants
  • Ecumeur nautique
  • Novice des ondes
  • Moussaillon

La Garde Frontalière
  • Colonel des Frontières
  • Commissaire du Périmètre
  • Commandeur Liminaire
  • Intendant des Contours
  • Commandant Douanier
  • Capitaine des Frontières
  • Inspecteur des Passages
  • Sergent de Surveillance
  • Veilleur Périphérique
  • Patrouilleur des limites
  • Agent des Frontières
  • Gardien des lisières
  • Observateur frontalier

  • L'Armée Impériale des Airs
  • Général Aérien
  • Maître des Courants
  • Commandeur Aérospatial
  • Capitaine des Cieux
  • Lieutenant des Hauteurs
  • Navigateur Céleste
  • Aviateur des Vols
  • Pilote des Horizons
  • Aéronaute des Airs
  • Aspirant de l’éther
  • Eclaireur des Nuées
  • Cadet des Nuages
  • Novice des Vents

  • Les grades des "corps modernes"
    En 1947, face aux changements des doctrines militaires dans le monde entier et à la diversification des équipements, deux nouveaux corps sont crées : la Veille Aérienne et l'Armée Impériale des Terres. Les noms des grades sont donc plus "modernes" et proche des standard de l'époque.

    La Veille Aérienne
  • Lieutenant de batterie
  • Commandeur
  • Capitaine
  • Gardien
  • Sentinelle
  • Aspirant 1ère classe
  • Aspirant 2nd classe

  • L'Armée Impériale des Terres
    • Général de groupe régional
    • Général
    • Lieutenant
    • Colonel
    • Capitaine
    • Inspecteur
    • Sergent
    • Guerrier
    • Paladin
    • Gardien
    • Sentinelle
    • Initiateur
    • Recrue
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    L'Etat Major Impérial


    Monsieur le Chef d’Etat Major des toutes les Armées Impériales (CEMAI) : l’Amiral de toutes les flottes Cheng Liao

    chef d'état
    Monsieur le Chef d’Etat Major de la Marine Impériale (CEMMI) : l’Amiral des océans Jie Tsai

    chef d'état
    Monsieur le Chef d’Etat Major de la Garde Frontalière (CEMGF) : le colonel des frontières Guang Tsui

    chef d'état
    Monsieur le Chef d’Etat Major de l’Armée Impériale des Airs (CEMAIA) : le général aérien Aiya Morishita

    chef d'état
    Monsieur le Chef d'État Major de l’Armée Impériale des Terres (CEMAIT) : le général de groupe régionale Nariaki Sakaguchi

    chef d'état
    Monsieur le Chef d’Etat Major de la Veille Aérienne (CEMVA) : le lieutenant de batterie Jie Chang
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    Les voiliers écoles de la Marine Impériale

    Base amirale :
    Karaimu : Nobuyasu, Hitoshi, Shinyan, Furusato et Hachiman

    Base de flotte :
    JinCity : Jin III, Chiyuu, Hiyokuna tani et Libertas
    BongDang : Junpei, Masahiko, Utshukushi hanto et Seowangmo

    Base régionale :
    Burugrad : Shiro muji et Perun
    Xine Shoudu : Iro no ryoiki et Tian
    Kulanakauhale : Shinjushima et Yemanja

    Base secondaire :
    Indiga : Yasutoshi
    Azura : Masakazu
    Okukonai : Yoshihiko
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