31/05/2013
10:52:00
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Factions valhémiennes

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Factions valhémiennes


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Netzisme
Communalisme démocratique, Corporatisme démocratique, Pro-Hiérarchie, Pro-Méritocratie, Démocratie représentative, Anti-bureaucratie

Le Netzisme (de l’allemand « Netz », le réseau), ou « Communalisme féodal », est un mouvement communaliste, qui prône donc la démocratie et la décentralisation du pouvoir politique.

Le Netzisme a été défini par Konrad Kreutzwald dans son livre « Netz », afin de définir les grands axes de sa politique et de celle de son futur parti. L’appellation « Netzisme » est donc une pure invention de sa part, qui sert à remplacer l’appellation « Féodalisme » jusqu’alors utilisée pour cette idéologie, et qu’il considère comme connotant trop la féodalité médiévale.

Le Netzisme a de particulier, par rapport aux autres mouvements communalistes, qu’il met l’accent sur l’éducation politique tout au long de la vie des citoyens. L’éducation joue un rôle-clé pour la démocratie netziste, et elle ne se manifeste pas que par l’école, mais aussi par les centres de débat, ou les guildes de métier. Ainsi, l’école permettra l’enseignement du système institutionnel valhémien, de son histoire, de sa géopolitique et des principes généraux de la philosophie politique ; les guildes de métier, étant assez hiérarchisées tout en restant extrêmement démocratique, permettront l’interaction forte entre individus de toutes classes ; enfin, les centres de débats pousseront les individus à s’investir en politique, en débattant avec leurs voisins par exemple.

Le système netziste est donc un système qui repose, par les guildes et les centres de débat, sur les liens sociaux entre individus, et sur leur rapport constant à la société. La Liberté, pour les Netzistes, doit avoir une limite : elle ne doit pas empêcher l’épanouissement du groupe, et ne doit pas nuire à son intégrité.

Aussi, le Netzisme considère que chaque individu a sa place dans la société, qui forme un groupe, et que pour maintenir cette cohésion de groupe, certains peuvent, en cas de besoin, posséder des pouvoirs de direction, imposant ainsi une hiérarchie. Cette personne doit être légitime à ce poste, et cela signifie qu’elle doit être la personne la plus compétente pour ce poste. C’est là où l’éducation est nécessaire : elle se doit de former au mieux à la fois le « dirigeant » en lui inculquant des compétences, et à la fois le « dirigé » pour qu’il puisse choisir au mieux son dirigeant. A défaut de ne pouvoir définir ceci autrement, le Netzisme recommande de se fier aux concernés (dans un pays, le Peuple) et à leur confiance, par la voie électorale.

Enfin, le Netzisme, promouvant le lien social entre individus, prône une minimisation des lois et de la bureaucratie. Le Netzisme suggère un « Etat de lien » plutôt qu’un Etat de droit, c’est-à-dire laisser le plus de liberté aux individus, surtout si la confiance du peuple leur est accordé. Le principe « Personne n’est au-dessus de la loi » n’est donc pas respecté par les Netzistes, qui préfère dire que « La Loi n’est au-dessus de personne ». La pensée anti-bureaucratie du Netzisme se manifeste surtout par un principe concret souvent appliqué par les Netzistes : « Si un accord entre individus explicitement et sincèrement consentant a lieu, et que cela ne nuit ni n’affecte aucun autre individus, directement ou indirectement, alors l’accord passe au-dessus de la loi. »

Pour résumer le Netzisme : c’est un Communalisme démocratique qui repose sur le lien entre individus, leur rapport à la société, qui accepte la hiérarchie par le mérite (donc la compétence, selon les Netzistes), et qui défend une éducation politique des individus tout au long de leur vie.
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Communalisme libéral
Communalisme démocratique, Libertarisme, Libéralisme économique et politique, Anarchisme étatiste, Démocratie direct

Le Communalisme libéral, en Valheim, est un mouvement communaliste qui prône donc la démocratie et la décentralisation du pouvoir politique.

Le Communalisme libéral diffère du Communalisme eurysien classique par sa protection très importante de l’individu, qui passe avant la société. Le Communalisme libéral considère que l’individu doit être le plus libre possible, mais qu’il faut un Etat pour permettre cette liberté et éviter l’« anarchie totale », c’est-à-dire la situation dans laquelle la seule loi qui règne est celle de la force et de la capacité de coercition de l’individu.

Le Communalisme libéral considère que l’individu, afin de décider le plus possible pour lui-même sans nuire aux autres, doit voter directement les lois locales, dans un très petit Etat appelé Commune. Pour que les Communes coexistent dans la paix, il faut une institution qui garantisse leur intégrité – mais celle-ci ne devrait en aucun cas gérer les affaires internes aux Communes.

Enfin, le Communalisme libéral considère que l’individu doit être libre d’entreprendre, et que l’Etat ne doit pas s’occuper de son activité tant que cela ne nuit pas directement aux autres individus ou entreprises. Le Communalisme libéral obéit donc aux lois de la théorie économique libérale classique, de libre-échange et de l’offre et de la demande.

Pour résumer le Communalisme libéral : c’est un Communalisme démocratique qui repose sur l’épanouissement personnel de l’individu par la liberté maximale, tout en maintenant un Etat qui définit et fait appliquer les lois fondamentales pour garantir cette liberté. Cet Etat doit être une démocratie directe pour que les citoyens soient réellement souverains.
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Alterkanisme
Communalisme démocratique et libertaire, Corporatisme démocratique, Egalitarisme, Démocratie directe, pro-Bureaucratie

L’Alterkanisme est un mouvement communaliste qui prône donc la démocratie et la décentralisation du pouvoir politique.

L’Alterkanisme souhaitait à l’origine la mise en place d’un « Autre Kah » en Eurysie.

Il partage avec le Netzisme le principe d’éducation politique tout au long de la vie des individus, et le système de corporations démocratiques. Là où le Netzisme parlera plutôt d’entretien des compétences citoyennes, l’Alterkanisme parlera surtout de Révolution permanente : l’éducation sert à former les plus jeunes à lutter contre l’oppression d’une classe sociale, et les corporations démocratiques empêchent l’exploitation des travailleurs par une classe bourgeoise.

Contrairement au Netzisme, l’Aterkanisme prône l’égalité des individus. Chaque individu doit être égal, et l’autorité doit être éviter au maximum. Ainsi, les « dirigeants » de l’Etat alterkan doivent être des fonctionnaires élus par le peuple, dont le travail doit être absolument transparent, et qui peuvent faire l’objet de votes de confiance.

Enfin, pour l’Alterkanisme, les individus sont égaux devant la lois, et personne ne peut être au-dessus de la Loi – c’est l’Etat de Droit.

Pour résumer l’Alterkanisme : c’est un Communalisme démocratique qui repose sur l’Etat de droit et l’égalité ainsi que la liberté des individus, qui prend forme d’une démocratie directe, et qui prône une lutte des classes permanente.
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Tableau
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