Economie A REFAIRE.... BÂCLE.... INDIGNE D'UN TOP 10DIAGRAMME DU PRODUIT INTERIEUR BRUT SILIQUEEN EN 2010 (750 milliards de $)91% du PIB est généré par l'économie civile soit près de 682 milliards $.
Secteur primaire (agriculture et ressources géologiques et forestières) : 279,6 milliards d'euros (41%)
Secteur secondaire (industries transformatives, BTP,...) : 259,1 milliards d'euros (38%)
Secteur tertiaire (services, télécoms, grande distribution, artisanat,...) : 156,8 milliards d'euros (23%)4% du PIB est créé par la Défense
4% du PIB est créé par la Recherche fondamentale et appliquée (brevets et licences d'exploitation)
*Réalisé par les chambres d'agriculture, du commerce et d'industrie et de l'artisanat de Manche SiliceSecteur primaire :La Manche Silice profite d'une diversité de climat et de sols pour produire une grande variété de cultures agricoles. Les vastes plaines de l'Aguapa, cernées par la mer, l'Ostremont et le Bosque Rebelde bénéficient d'une température modérée tout au long de l'année et de précipitations saisonnières qui permettent de recharger les nappes phréatiques. Les exploitations ont développé de grandes cultures de blé, de maïs, de soja particulièrement autour de Fort-Réal. Sur l'autre rive, les producteurs se sont spécialisés ces dernières décennies dans les légumières (haricots, épinards, endives, salades, courgettes, poivrons, aubergines et concombres) et les arbres fruitiers.
Les céréales, fruits et légumes et légumineuses constituent la base de l'alimentation en Manche Silice. C'est un marché en croissance perpétuelle qui nourrit le pays et exporte aussi à l'étranger. Il est estimé à 10 milliards $ et trois entreprises coopératives se partagent ce secteur : Agropaga et frères (4,5 milliard $ de chiffre d'affaire), Les primeurs de Fort-Réal (4 milliards $ de chiffre d'affaire) et Tresoros del Bosque (1,5 milliard $ de chiffre d'affaire).
De la vigne est cultivée sur les coteaux d'Aguapaqui essentiellement pour produire des blancs secs et des rouges. Les habitants de l'arrière-pays landrin sont les plus grands consommateurs avec une moyenne de 10 litres par semaines et par ménage. Dans le Sewerin et le pays minier, c'est la bière qui a davantage la côté avec 20 litres par semaines et par ménage de breuvage. Des houblonnières réputées de Poludnie parfument les pils produites par les brasseries locales. Il y a un monopole d'Etat sur la production et la vente d'alcool après plusieurs scandales de frelatage ayant causé la mort d'une vingtaine de siliquéens. La société privée à capitaux publics, SA Spirit Mancha gère ce marché de 15 milliards d'euros.
La Manche Silice est également un grand producteur de viande avec un cheptel volumineux (13 millions de tête de porc, 12 millions de têtes de boeuf, 15 millions de volailles essentiellement des poulets, de la dinde et du canard dans la région de Valladou). Il y a trois abattoirs répartis dans le pays, un à Matka puisque le Sewerin est la région privilégie de la production porcine, un autre à Piedonne, plutôt spécialisée dans le boeuf et un dernier à Bourg-du-Golfe. Une entreprise réalise le quart du chiffre d'affaire du secteur (10 milliards d'euros) : Carnempresa.
La filière piscicole est également bien développée avec les élevages au large de Calepleine (truites, saumon et esturgeon). Des pêcheries sont installées sur le littorial entre Rio et Costa Tramposa où se trouvent les ports d'attache des chalutiers et autres bateaux de pêche. Ils se spécialisent notamment dans la morue et le thon. Ce secteur pèse 20 milliards d'euros.
Les ressources naturelles de Manche-Silice font également la richesse du pays. Sur le versant siliquéen des Monts Urbas et l'Ostremont, les sols sont pauvres et peu propice pour l'agriculture. Longtemps recouvertes de forêts (on estime que le massif du Brame-Zubr atteignait cette zone), des filons d'ambre, puis d'argent ont entraîné une véritable ruée dans la région. Plusieurs siècles d'exploitation minière ont épuisé certains gisements mais ils sont encore nombreux à être exploités. Ainsi, les mines de Manche Silice produisent encore en quantité considérable de l'argent, de l'étain, du cuivre, du cobalt, du fer, du charbon ainsi que de l'uranium et du lithium. Cette activité a façonné le paysage et entraîné le peuplement et l'urbanisation de toute la région du Sewerin et du Pays Minier. La Source est la plaque-tournante du négoce. Une partie importante de ces ressources, brutes ou retravaillées, sont exportées par la voie maritime dans les ports de Meulière et de Calepleine.
La prospection sous-marine de ces dernières années à révélée la présence au large de Meulière de pétrole et de gaz. L'exploitation off-shore est envisagée mais un débat interne témoigne de la division de la société sur ce sujet. La Lendavie voisine, a engagé une transition énergétique vers des sources plus propres ce qui questionne la Manche Silice sur sa dépendance économique à ces sources carbonées. Ce secteur rapporte à l'Etat chaque année 55 milliards d'euros. Difficile de se passer de cette manne !
Une entreprise nationale gère l'exploitation extractive (le Mineryn) dont les salariés ont un statut assimilé à la fonction publique. Une second établissement public industriel et commercial, le Convoyeur de la Source, s'occupe de la partie négoce.
Secteur secondaire :Un tissu de petites et moyennes entreprises manufacturière couvre la Manche Silice. Ce secteur se nourrit d'abord des ressources naturelles du pays. Les acieries de Villeneuve comptent parmi les plus anciennes société de la péninsule d'Ostremont et produisent des barres d'acier, de fonte ainsi que de la ferraille utilisées par l'industrie sidérurgique, les ponts et chaussées ou l'armée. Elle génèrent un chiffre d'affaire annuel de 2,5 milliards de $.
Energie Silica exerce le monopole de la production et distribution d'énergie dans le pays. Pour couvrir les besoins de la population nationale, elle a développé au cours de ces dernières années une stratégie de mix énergétique encore très dépendant du carbone malgré le déploiement d'un important parc d'éolienne sur les montages et au large des côtes. Cinq centrales hydroélectriques sont installées sur le cours de l'Aguapa, six sur le Dogger. Des centrales à charbon (10) fonctionnent encore dans le Seweryn, le Pays Minier et les Coupes-Cimes. Trois mini centrales atomiques ont été achevées et mises en fonctionnement en 2006 près de Bourg-du-Golfe et l'Estuarial. Ce secteur de l'énergétique siliquéenne pèse pour 1 milliard de $ dans l'économie nationale.
Pour les ponts, chaussées et constructions civiles, de nombreuses entreprises se partagent ce secteur mais la Manche Silice compte trois majors. Yous TP, Tchenkov Solide et la Compagnie des paveurs de Fort-Réal. Le travail de ces entreprises est réputé au plan régional et ils interviennent à l'étranger. Parmi les grands chantiers de ces dix dernières années, on peut citer le viaduc de Aguapaqui, la percée de l'Ostremont pour relier La Source à Aigues-Fauves via une autoroute, le nouveau quai de cargos XXL du port autonome de Meulière, le Nouveau Castel, zone d'aménagement de Castelisière, cathédrale de Bourg-du-Golfe.
L'artisanat verrier, la joaillerie et l'orfèvrerie siliquéenne font le renom de Manche Silice. La présence de carrières de sable dans le nord du pays et de forêts a permis l'émergence au Moyen-Âge des premiers verriers. Des ateliers se sont spécialisés dans la production d'ustensiles, d'objets décoratifs et d'apparat. La pharmacie et l'optique sont aujourd'hui les plus gros clients des verriers de l'Ostremont. Un label a été créé en 2002 pour protéger ce savoir-faire et le protéger des contrefaçons (Verre de l'Ostremont). L'utilisation de l'ambre en joaillerie est également une spécialité régionale du Sewerin et du Pays Minier. A noter que l'un des attributs du pouvoir royal Tchenkov était une pioche de mineur sertie de pierres précieuses, essentiellement de l'ambre. De nombreux ateliers de production de bijoux sont encore en activité. Là-encore, pour contrer la contrefaçon, le label Ambre de l'Ostremont a été créé.
Depuis la découverte de flore aux vertus curatives dans le Bosque Rebelde et le développement d'une pharmacopée siliquéenne à la Renaissance, les jalons étaient posés pour la création d'une industrie pharmaceutique. La Manche Silice est l'un des leader mondial de la production d'analgésique et est leader dans le traitement de la douleur. Plusieurs sociétés commercialisent des médicaments dans le monde entier, la plus connue est Santitad, groupe au 2 milliards d'euros de chiffre d'affaire annuel, qui produit notamment des vaccins et thérapies géniques.
Enfin, l'industrie textile en Manche Silice bénéficie d'une histoire ancestrale. Depuis les premières couturières et brodeuses ornant les vêtements des Tchenkov et des Incarnados de motifs décoratifs uniques aux imposants métiers à tisser des début de l'âge industriel à la production en masse d'articles diffusés dans le monde entier, il s'agit de l'un des secteurs les plus florissant du pays.
Secteur tertiaire :Ce secteur a émergé au cours du dernier siècle quand la production agricole, minière et industrielle a plafonné et que de nouveaux besoins sont apparus à commencer par le commerce, les transports, les activités financières et immobilières, les services aux entreprises et services aux particuliers, l'éducation, la santé et l'action sociale.
Il existe cinq banques en Manche Silice qui proposent des produits équivalents (comptes courants, comptes professionnels, crédit, prêt, bourse, livrets, assurances,...) : la banque Podestine, la banque du Sewerin, la banque Pereire et fils, la société siliquéenne de l'écureuil et Manche Fiducial. Les transactions s'effectuent en couronne silice, une monnaie à parité avec le $.
En matière de transport, les routes principales de Manche Silice sont gérées par la société Les pavées de Fort-Réal, titulaire d'une concession de dix ans pour laquelle elle se rétribue sur le paiement par les usagers de droits de péage (vignettes à acheter chez des buralistes). Les régions financent des réseaux de transport en commun locaux (en régie, en délégation de service public ou directement auprès de compagnies privées. Le chemin de fer tant pour le frêt que pour le transport de personnes est piloté par la Société des cheminots siliquéens - abrégé Sochesi - (exploitation et gestion du réseau). Les deux aéroports de Manche Silice (Rio et Meulière) sont administrés par Aéroports de Manche Silice (AMS). Ils proposent des vols de multiples compagnies. Il s'agit de l'aéroport d'attache de la compagnie nationale Air Silica. Enfin, les ports disposent d'une autonomie de gestion. Il existe deux compagnies sous pavillon siliquéen pour le transport de personnes : Leucytembarque et Silica Ferries. Une société détient un monopole sur les transports fluviaux et maritimes de marchandises : Voies navigable siliquéennes (VNS).
Le secteur de la grande distribution et du commerce est très développé en Manche Silice avec la présence sur l'ensemble du territoire de trois groupes proposant des magasins de type hyper, super et mini-marché : Regadillos Empresas, Paon Retail et Kidl. Si la plupart des habitants du pays se rendent encore physiquement dans ces magasins, la pratique du drive ou de la livraison à domicile s'est considérablement développée, de même que le commerce en ligne.
En matière de communication, la Manche Silice n'est pas dépourvue. Elle dispose d'un réseau téléphonique étendu à l'ensemble de la péninsule (avec quelques problèmes de réception en zone montagneuse et dans le delta de l'Aguapa). Le déploiement est effectué par la société Telefonicable et l'exploitation est confiée à trois entreprises fournisseurs d'accès : Libertas, Calafiore et Makina conversazione. Pour les médias, il existe le titre de presse Foedus Custodire, il en existe un second à diffusion plutôt régionale dans les régions Tchenkov (Gazetta Sewerin) et Incarnew (Folla Incarnew). Près de trente radio émettent sur la bande FM ainsi que dix chaînes de télévision, les plus populaires sont respectivement Voz de Estuarial, Rozhlas Sewerin et Echo de l'Ostremont pour les radios La Première, MSTV et Domino TV.
Infrastructure routière et ferroviaire de Manche Silice
I. Introduction
II. Voie routière
III. Voie ferrovière
IV. Voie maritime et fluviale
V. Voie aérienne
La Manche Silice est une péninsule cernées par deux façades maritimes (le gofle d'Arcanie l'ouest et le golfe Biscère dans la mer Leucytalées), un massif montagneux central, l'Ostremont, deux massifs forestiers (Le Bosque Rebelde et la forêt de Brame-Zubr) ainsi que deux fleuves et leurs affluents (Le Dogger et l'Aguapa).
C'est un pays de 455 749 km2 (un peu plus grand que la Suède). A vol d'oiseau, il faut parcourir environ 1800 kilomètres pour aller du point le plus austral de la Manche Silice, à Rio de l'Estuaire jusqu'au septentrion du Sewerin à Vychod et Podunie. Il faut compter environ 700 kilomètres entre le point le plus à l'est (la digue de Calepleine) et le point le plus à l'ouest. Le littoral s'étend sur près de 2643 kilomètres (1062 kilomètres de côté entre pays minier et pays landrin, 1581 kilomètres entre les Bouches de l'Aguapa et les Coupes-Cimes).
A partir du Moyen-Âge, des chemins de grand passage sont créés pour relier les principales villes de ce qui ne s'appelle pas encore la Manche Silice mais le pays Incarnados et le pays Tchenkov. Avec le développement des échanges commerciaux, des flux humains et l'évolution des moyens de locomotion (cheval, chaise portée, fiacre, hippomobiles,...), les routes sont élargies et pavées.
Les chefs de clans du Sewerin ainsi que le congrès incarnew vont prendre des édits successifs pour instituer ces routes, lever des taxes pour assurer les entretiens et leur sécurité. Les routes les plus vieilles encore en activité se situent entre Nowe Miasto, Vychod et Poludnie. Elles appartiennent aujourd'hui au réseau secondaire. Une grande route relie également le littoral dans la partie du sud de l'Ostremont à la Renaissance entre Grand'Voile et Rio de l'Estuaire.
Voie routièreAvec l'apparition des voitures motorisées au milieu du XXe siècle et la démocratisation progressive de ce mode de transport, ainsi que l'utilisation des bus et camions, il devient nécessaire de créer un réseau de routes sûres et desservant la totalité du territoire national.
Ce sont des routes en trois fois trois voies parfois quatre fois quatre voies. Elles nécessitent l'achat d'une vignette pour pouvoir y circuler. Les gros rouleurs paient la vignette à l'année quand les automobilistes occasionnels choisissent des paiements ponctuels. Cette vignette s'achète soit sur internet, soit dans les stations-services du réseau autoroutiers.
Route Tchenkov (Nowe Miasto-Obrozeni-Villefrance-Valladou-Calepleine)
La Percée (Villefrance - La Source - Aigues-Fauves - Fort-Réal - Aguapaqui)
Le front du golfe ouest (Grand/Voile - Costa Tramposa - Estuarial - Rio de l'Estuaire)
L'inter Incarnew-Landrin (Costa-Tramposa - Aguapaqui - Podestavre ou La Bastide Mandréas)
Il s'agit de routes à double sens avec quelques tronçons de dépassement. Elles sont gratuites.
Ligne Krtek (Belleselve - Matka- Nowe-Miasto- Vychod - Poludnie - Ochrona - Obrozeni)
Ligne trans-Brame-Zubr (Castelisière - Garoloup - Villefranche)
Ligne du golfe est (Calepleine ou Valladou - Meulière - Bourg-du-Golfe - Podestavre)
La radiale sud (Grand'voile - Piedonne - Fort-Réal - La Tourocre - Bourg-du-Golfe)
Voie ferroviaireEn parallèle, au XIXe siècle s'est étendu autour de la cité pré-industrielle de La Source le premier réseau ferré en étoile qui a permis d'assurer la diffusion dans la plupart des coins de l'Ostremont des produits issus de l'industrie minière. A noter que l'arrière-pays landrin est négligé par ce réseau. Le chemin de fer tant pour le fret que pour le transport de personnes est piloté par la Société des cheminots siliquéens - abrégé Sochesi - (exploitation et gestion du réseau).
Cinq faisceaux partent de La Source qui dispose de cinq gares. Ce nombre paraît aujourd'hui assez disproportionné compte tenu de la faible démographie et de la désindustrialisation.
Les voies ferrées sont numérotées par ordre chronologique de mise en service.
N°1 La Source - Meulière via (Valladou-Calepleine) : frêt et passagers
N°2 La Source - Poludnie (via Obrozeni, Ochrona, Villeneuve
N°3 La Source - Vychod (via Nowe Miasto, Matka, Castelisière et Garoloup)
N°4 La Source - Rio de l'Estuaire (via Piedonne, Costa Tramposa et Estuarial)
N°5 La Source - Grand'Voile (via Tourocre, Aguapaqui, Fort-Real)
Des réseaux secondaires ont été construits entre temps pour raccourcir certains trajets. Il a été décidé par ailleurs de créer une nouvelle polarité ferroviaire à Aguapaqui.
Voie maritime et fluvialeDes cités portuaires se sont développées depuis plusieurs siècles en Manche Silice avec de fortes spécialisations.
Les deux fronts maritimes offrent chacun deux à trois ports pour le transport de passagers (Meulière, Bourg-du-Golfe et Podestavre sur la façade Biscère, Grand'Voile et Rio de l'Estuaire sur la façade arcane). Des lignes existent entre ses différents ports assurées par des compagnies privées. Elles peuvent également assurer des trajets internationaux (négociations en cours) ainsi que des croisières.
Il est possible de se déplacer sur le fleuve Dogger puisque La Source, Valladou et Meulière ont les infrastructures pour les flux de passager. Même chose sur le fleuve Aguapa entre Aigues-Fauves, Fort-Réal, Aguapaqui et Rio de l'Estuaire ainsi que sur le canal entre l'Estuarial et La Bastide Mandréas.
Il existe deux compagnies sous pavillon siliquéen pour le transport de personnes : Leucytembarque et Silica Ferries. La navigation est autorisée sur le littoral et les fleuves pour les embarcations sous pavillon étranger ayant des relations diplomatiques.
Du fait de l'industrialisation plus importante du pays minier, les deux principaux ports de fret se trouver à Meulière et à Calepleine où viennent se charger des cargos en produits issus des industries extractives mais également des biens manufacturés ou des vivres. Un troisième a été créé sur l'autre côté à L'Estuarial.
Il existe également un port spécialisé dans la pêche sur le golfe Biscère à Bourg-du-Golfe. De l'autre côté, sur le golfe d'Arcanie, il existe son pendant à Rio et Costa Tramposa.
Enfin, quatre ports marchands majeurs se trouvent sur les fleuves : La Source, Valladou, Aguapaqui et Aigues-Fauves.
Ces ports ont une autonomie de gestion. Une société détient un monopole sur les transports fluviaux et maritimes de marchandises : Voies navigable siliquéennes (VNS).
Voie aérienneLa Manche Silice est membre de l'Organisation mondiale de l'aviation et dispose de deux aéroports internationaux
Aéroport international de Rio de l'Estuaire (RDL)
Aéroport international Meulière - Mines - Sewerin (MMS)
Gestionnaire des plateformes : Aéroports de Manche Silice (AMS)
Compagnie aérienne nationale : Air Silica
Constructeur aéronautique civil: Non