🎬 Festival international de cinéma - Hvari 2008 - CLOS

Pays producteur(s) : Nouvelle Fidès
Catégorie : Film de fiction
Nom de la production : DIES IRAE
Affiche ou visuel :

Genre ou thème abordé : Action-Spiritualité-Morale


Commentaire :
Ce long métrage nous prouve qu'au cinéma anticommunisme et métaphysique ne sont nullement incompatibles. Il se murmure qu'un deuxième opus serait en préparation.

Société de production ou Producteur : Confrérie des Cinéastes de Sainte-Jeanne (CCSJ)
Réalisateur : Alfred Basport
Acteurs principaux ou notables : (Chantal Faço-Soleil : sœur Marie) (Jean-Louis Trogneux : le chef des communistes)
Date de sortie : le 15/05/2008.

Pays producteur(s) : Nouvelle Fidès
Catégorie : Film de fiction
Nom de la production : Général François. Episode 1 : La Menace Collectiviste

Bande Annonce de la trilogie :

Catégorie : Film de fiction
Genre ou thème abordé : Drame-Action
Synopsis ou résumé :

Société de production ou Producteur : Confrérie des Cinéastes de Sainte-Jeanne (CCSJ)
Réalisateur : Jean Faf de Réac
Acteurs principaux ou notables : (François Bahamond : le généra Françoisl) (Chantal Faço-Soleil : madame François) (Jean-Louis Trogneux : le chef des communistes)
Date de sortie : le 14/05/2008

Pays producteur(s) :
Catégorie : Série télévisée

Nom de la production : Dynasty

Affiche ou visuel :


Genre ou thème abordé : Drame Historique, Politique, Féminisme, Société médiévale

Bande Son du générique :

Synopsis ou résumé : An de grâce 1189 après le Christ, la cité des Doges est plongée dans la tourment, Lorenzo Avizio l'actuel doge est mourant, les médecins et érudits les plus éminents de la République et au delà ayant accourus à son chevet n'ont guère d'espoirs malgré tous les efforts qu'ils ont déployés et estiment désormais que ce n'est plus qu'une question de jours, tout au plus de semaines avant que sa Grâce ne trépasse. Alors qu'un arrière fond d'incertitude s'installe dans le quotidien de Fortuna et que à l'horizon des cités rivales observent tapis en embuscade afin de saisir le moindre moment de faiblesse, la succession à la tête du gouvernement s'organise déjà.

De fait, les grandes familles patriciennes sont à pied d'oeuvre afin de consolider les assises de leur pouvoir et les principaux noms qui reviennent régulièrement dans les bouches des uns et des autres lorsque l'on évoque l'élection à venir s'affairent à développer leurs influences respectives ci et là. Trois candidats sont ainsi afin de succéder à la fonction suprême, Dom Polino Litaris (Francesco Lastrazio), Dom Juan Dandello (José Rostari) et Pierro di Fortuna.

Cependant, l'horreur survient bien assez tôt dans cette compétition où tous les coups sont permis et l'intervention du hasard rebat allègrement les cartes lorsque l'ainée des petits fils du vieux Dom Carlino di Fortuna trépasse dans des circonstances mystérieuses au retour d'un voyage sur le continent. Incapable de présenter un nouveau candidat à l'élection, un nouvel espoir se présente alors pour les Di Fortuna sous la forme de la détermination et l'ambition du second enfant du patriarche de la dynastie, Francesca di Fortuna (Lydia Marli) qui faisant fis des avis de son paternel et de tous les préjugés s'aventure progressivement dans les arcane de la politique fortunéenne médiévale à ses risques et périls et un seul objectif, devenir Doge envers et contre tous les obstacles qui l'attendent dans cet univers d'hommes.


Commentaire : De retour à nouveau sur le petit écran pour le plus grand bonheur de tous, la société Il Contado qui s'était déjà distinguée par le passé grâce à une autre série historique "Mancini, les seigneurs de Rivoli" qui suivait la vie de cette illustre famille durant l'époque pleine de changements qu'était la renaissance, s'en revient cette fois ci plus de trois siècles avant l'épopée de Federico le Sublime. Les historiens et autres consultants toujours au rendez-vous, c'est la fin du XII siècle qui a cette fois été choisit afin de donner vie à des évènements aussi fascinant que tragiques et qui orbitent autour de l'ascension de Francesca di Fortuna qui est une figure notable de l'histoire fortunéenne. Figure notable et très appréciée à dire vrai dans l'ensemble de la Sérénissime de manière générale et même au delà, de fait il s'agit de la première femme à avoir réussie à se hisser à la fonction suprême de Doge, un exploit d'autant plus extraordinaire qu'il a lieu en pleine période médiévale qui n'est pourtant guère réputée pour être tendre avec la gente féminine.

Un état de fait d'autant plus véridique et cruel en soit que même si la société d'époque fortunéenne était tout de même plus tolérante et conciliante que celles des monarchies eurysiennes, n'était toutefois guère très en avance sur celle ci quand au concept de l'égalité des hommes et des femmes. Après tout, si ces dernières disposaient de droits et de libertés assez vastes pour l'époque, les apriori, on-dit et les traditions en demeuraient étouffantes. La politique en moyenne était entre autre considérée comme affaire d'homme de manière générale et il y avait des règles implicites faisant que seuls le genre masculin pouvait concourir afin d'occuper les fonctions du gouvernement. Règle qui n'était nullement officielle ceci dit du point de vue de la loi, ce qui laissait en théorie toute latitude à une femme pour exercer des fonctions sur un pied d'égalité avec un homme.

Avec ces informations en tête, l'on comprends aisément la logique et les intérêts de créer une série autour de la figure forte de la première doge fortunéenne. Qui plus est, certains noms connus du cinéma fortunéen refont leur apparition, Francesco Lastrazio pour ne citer que lui qui avait déjà fait un triomphe en tant que Federico Mancini revient cette fois ci sous les traits de l'antipathique Dom Polino Litaris, les critiques décrivant déjà le jeu de l'acteur comme délicieusement détestable dans sa performance visant à incarner cet homme que l'histoire a retenu comme étant particulièrement fourbe et cynique, mais aussi un administrateur et un politicien de génie. Un rôle d'autant plus important que à l'image des autres personnages principaux, il s'inscrit dans le désir d'évoquer une autre thématique très importante au sein de la politique d'époque, celle de la famille, d'où le nom de la série à savoir Dynasty qui compte bel et bien jouer sur les dynamiques entres maisons patriciennes et les liens du sang qui en toute somme sont au même titre que les enjeux féministe au premier plan des évènements contés.

Société de production ou Producteur : Il Contado
Réalisateur : Mario Contador
Acteurs principaux ou notables : Francesco Lastrazo (Dom Polino Litaris, Patricien fortunéen & principal antagoniste), José Rostari (Dom Juan Dandello, Patricien Fortunéen), Lydia Marli (Francesca di Fortuna, Patricienne Fortunéenne et protagoniste), Carlos Inigo (Lorenzo Avizio, le Doge), Salvador Stros (Le Héraut du conseil des Dix)
Date de sortie : La saison 1 est sortie le 22 juin 2008

Pays producteur(s) : Sérénissime République de Fortuna
Catégorie : À choisir entre : Film de fiction

Nom de la production :Chroniques de Kaulthica : Acte I - Déliquescence
Affiche ou visuel :
Bande son du Générique

Genre ou thème abordé : Action, Drame, Guerre, Heroic fantasy


Synopsis ou résumé : Pour la vingtième fois depuis la création du Saint Empire de Kaulthica, en l'an 653 après la fondation de l'état impérial, les sept grands électeurs issues des peuples des hommes, des elfes, des nains, des gnomes et des halfelins se sont réunis à nouveau afin de donner aux dizaines de duchés, comtés, évéchés, cités libres et autres constituantes de cette vaste mais divisée nation, un nouvel empereur après le trépas du précédent lors d'une partie de chasse ayant tournée au désastre avec l'apparition impromptue d'une wyverne en maraude.

Franz Joseph Ar Regal, Archiduc et Prince de d'Eidenberg, ainé du précédent monarque est élu de justesse à la succession de son défunt paternel grâce à quelques manoeuvres politiques de son chancelier ayant réussi à obtenir contre toute attentes le soutient du Prince-marchand elfe de Tor Berith le coeur économique et plus grande ville de la façade maritime sud de l'empire à ce jour sur les rives de la grande étendue aqueuse de Leucytalia. Montant ainsi sur le trône impérial peu après avoir fêté ses vingt et un ans, le souverain est ainsi le plus jeune empereur de toute l'histoire du Saint Empire a accéder à la fonction avec l'assentiment de la majorité des grands seigneurs de ce dernier.

Cependant, le manque d'expérience et les idéaux relativement naïfs ne sont nullement des atouts au sein de l'impitoyable cour impériale où déjà les ambitieux et les opportunistes accourent en grande pompes afin de tirer leurs épingles du jeu respectivement tandis que de nouvelles valses perfides s'amorcent dans les coulisses du Palais. Un danger permanent pour les intérêts de l'empereur en somme et ce malgré la loyauté de la vieille administration du précédent empereur qui peine à donner le changer, ceci dit au regard de la période de trouble que traverse la nation de par les rapports qui arrivent de ci et de là, les intrigues palatiales pourraient se révéler être le dernier des soucis du trône.

De fait, à l'intérieur les ennemis ne manquent pas, les candidats malheureux à l'élection ruminent leur mécontentement et complotent ci et là à travers tout l'empire, ce tandis que l'allié d'hier à savoir le Prince de Tor Berith semble patienter afin de faire valoir son "dû" pour son soutient en temps voulu. Et c'est là sans compter les velléité indépendantistes des marches occidentales de la Locqueria qui de toute évidence conversent régulièrement avec le royaume voisin et rival de Loduarin avec en arrière plan l'ombre des Doges de la Fortitude qui derrière leurs puissantes flottes font mines de se désintéresser des affaires impériales en présentant main blanche d'une part tout en brandissant une dague dans l'autre.

Le nord ne se porte guère mieux, les escarmouches dans les mers gelés entre la ligue des 9 cités du Walseroc face aux raids et autres agressions clairement hostiles des seigneurs pillards d'Albe depuis les Fjords de Norstaklan se poursuivent depuis des années, entraînant une violence et une insécurité permanente dans ces régions et les eaux environnantes. Et c'est là sans compter sur toutes les créatures cauchemardesques qui hantent les landes, des Géants descendus des montagnes centrales du continent aux dragons sans garde-fou en passant par divers hommes bêtes sans aucune forme d'intelligence ne cherchant que le chaos, les seigneuries et les aventuriers qui parcourent le pays ont fort à faire.

Enfin, si l'on pouvait penser que l'est se portait un tant sois peu correctement, des nouvelles alarmantes sont arrivés il y a peu en provenance des Despotats rivaux de Noviron et Elpidum, les ténors frères du monde hellénique qui se disputent sans cesses pour des trivialités. Ces turbulents voisins, mais aussi allié de Kaulthica n'ont guère plus d'envie de se quereller pour l'heure, des rumeurs qu'ils pensaient il y a encore peu infondés se sont révélés être une vérité aussi cynique que terrible. De fait, des vagues de réfugiés en provenance de l'est ne cesse d'arriver, tous proclament que le Tsardom de Pokar, le pont entre l'occident et l'orient, chancelle et menace de s'effondrer sous une invasion d'une ampleur encore jamais vue. Une immense marée verte, des hordes d'orcs, de gobelins et même de trolls et d'ogres marchent inlassablement vers l'ouest, pillant, saccageant et massacrant tout sur leur passage, et ayant renversé sans trop de mal la capitale du tsarat, ils poursuivent leur chemin de destruction le long des territoires des nains de l'est et des royaumes slavoniens. Il ne faut guère plus aucun doutes qu'ils arriveront à terme au sein du monde hellénique et ne s'arrêteront guère à ce dernier si ne serait-ce que la moitié des on-dit quand à leur force destructrice est vrai.

Des temps sombres se présentent, une ère d'incertitude, et il revient alors au nouvel empereur de prendre les décisions qui s'impose, car désormais seul une seule question demeure, Kaulthica traversera-t-elle tous les tourments qui s'abattent sur ses terres et son peuple ? Seul le temps le dira.

Commentaire : Merveilleux, terrifiant et terriblement emprunt de cynisme, ce sont les trois qualifications qui reviennent le plus au sein des organismes de critiques cinématographiques quand on les interroge sur les chroniques de Kaulthica. De fait, cette version fantasmée et pour le moins fantastique à peine dissimulée de notre Eurysie bien réelle offre une vision tout à fait unique emprunte de cette touche de rêve horrifique que l'on trouve aux univers originaux évoluant eux aussi dans le domaine de l'héroic fantasy. Après tout, l'on reconnaît bien là les nations et même des personnages dont certains sont inspirés de personnalités de chaire et d'os, à l'image de l'Empereur Franz qui est bien évidemment une référence assumée à l'Empereur Kaulthe actuel et qui doit lui aussi faire face à un chaos sans nom en ses états.

C'est là en fin de compte un fait plaisant et l'un des points forts du film que de s'approprier aussi des faits d'actualités et de les replacer avec une précision cynique dans un contexte à la fois proche mais aussi très lointain, les luttes d'influences de Novigrad et d'Elpidia entre autre sont ainsi allègrement mises en avant afin d'être mieux moqués. De même, à l'exact opposée du continent, la Loduarie se refait une beauté monarchique sans pour autant abandonner ses ambitions visant à étendre ses idéaux à d'autres territoires, au même titre que les hommes du nord comme à leur habitude brillent par leurs talents dans la navigation et l'art de la piraterie.

Toutefois, au delà des tacles et des petites piques dissimulés ci et là, ce sont bien des thématiques sérieuses qui sont mises au goût du jour avec en premier lieu le poids du règne mais aussi et surtout les dilemme et autres soucis récurrents qui surviennent dans une nation cosmopolite où littéralement cette fois ci de multiples races aux aspirations et coutumes propres coexistent dans une harmonie en somme toute relative. Ceci dit, ce que les critiques saluent le plus en fin de compte concerne les personnages, qu'il s'agisse d'humains ou non, il n'y a guère d'excès ni de zèle dans leur écriture, chacun est présenté sous ses meilleurs comme ses pires auspices dans des nuances grises de tel manière à ce qu'il n'y ai ni bien ni mal absolu, seulement des êtres auxquels les spectateurs peuvent s'identifier humainement, et ce même s'il s'agit d'elfes ou de nains.

Société de production ou Producteur : Trinidad Films

Réalisateur : Alessandro Cardona

Acteurs principaux ou notables : Boris Strom (Franz Joseph Ar Regal, Empereur de Kaulthica), Markus Ronstad (Reinhardt van Bashtein, Chancelier impérial), Joao Frio (Elendar sil Numini, Prince de Tor Berith), Catherine Langeais (Sarisse d'Arténois, Connétable de Loduarin), Gunter Bross (Boris Marbringer, Grand Duc de Valdenheim & candidat malheureux à l'élection impériale), Frederik Johansson (Hjalmar Phare, aventurier Albois & chasseur de dragons)

Date de sortie : 3 Août 2008

Pays producteur(s) : Les Provinces-Unies du Lofoten

Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : "Les Sternes se cachent toujours pour mourir"

Affiche ou visuel :




Genre ou thème abordé : Drame historique

Synopsis ou résumé : Inspirée d’une histoire vraie : en 1969, dans la petite province côtière lofotène d'Ålfingar dans le paisible village de pêcheurs d'Itä-Häme un couple de d’habitants d’origine pharoise est accusé de haute trahison et d’intelligence avec l’ennemi, après que des voisins suspicieux se soient introduits chez eux et après avoir découvert dans leur maison une correspondance codée portant le sceau de la marine pharoise et des photographies très étranges des côtes, laissant supposer un plan de débarquement secret sur le territoire des Provinces-Unies
Alors que les époux Kaurismäki manquent de se faire lyncher par la foule ils sont déportés à Port Saint Anne en attente de leur procès.

Victimes d’une hystérie collective, sur fond de chasse aux sorcières politique, une jeune avocate Maître Lisbet Gråbøl,commise d’office est désignée pour défendre les deux infortunés que tout accuse. Elle est riche, brillante, protestante, anticommuniste convaincue, et promise à un bel avenir politique, alors que ses clients sont plutôt modestes, d’obédience catholique, et sympathisants communistes. Le mari, Kane Kaurismäki est ornithologue de profession et sa femme Ethel Kaurismäki est aide à domicile.

Lorsque le procès public s’ouvre en 1970, on pense l’affaire pliée, mais contre toute attente, l’avocate prends l’affaire très au sérieux et défends farouchement ses clients, au risque de se mettre à dos non seulement l’opinion publique, mais également et plus grave encore sa hiérarchie, sa famille, et ses amis, qui peu à peu l’abandonnent dans son combat et lui tournent le dos.


Un film particulièrement éprouvant, salué pour son esthétisme et son réalisme. Ici Lisbet Gråbøl s'adressant aux jurés durant le procès.
Les preuves accablantes s’accumulent malheureusement, ainsi que les témoignages à charge : tout le monde affirme avoir vu Kane prendre des photos d’installation militaire et Ethel de voler des documents chez les personnes dont elle s’occupe. La personnalité particulière des époux Kaurismäki, peu avenants, flegmatiques et froids, n’ait pas pour les aider, et rende la tenue des débats très difficile, au point que la procédure devient un huis-clos en 1971 après que des émeutes ont lieu aux abords du Tribunal Provincial du district réclamant l'exécution des espions sans autre forme de procès.
Malgré un environnement personnel franchement hostile, Lisbet se rapproche progressivement de Kane, et le visite souvent en prison. Ce dernier lui fait partager sa passion peu commune pour les oiseaux migrateurs, alors que son épouse Ethel sombre progressivement dans la mélancolie et l’aphasie. Les deux Pharois semblent se désintéresser complètement de leur procès, ne prenant pas la mesure de la gravité des faits qui leur sont reprochés.

Dans un climat électrique d’animosité croissante alimentée par une presse déchaînée, et malgré de très nombreuses contradictions, des preuves matérielles insuffisantes, de témoignages douteux voir fantasques et sans compter les très nombreuses irrégularité du procès, la pugnacité de Lisbet ne porte pas ses fruits, et les Kaurismäki sont condamnés à mort à l’unanimité par les jurés.


Image tirée du film, où l'on voit Kane Kaurismäki dans l'attente de son procès, dans sa cellule taguée par des co-détenus largement hostiles aux Pharois.

Même leur ultime demande d’être guillotinés ensemble leur est refusée et ils sont exécutés en place publique à 72 heures d’intervalle sans n’avoir pu se voir ou se dire au revoir, le 20 et 23 décembre 1971, un jour avant Noël.
La scène finale du film montre Kane Kaurismäki, alors qu’on vient le chercher dans sa cellule, en train d’imiter une dernière fois l’envol d’une sterne, son oiseau migrateur favori.

Commentaire : Le réalisateur, Wilhem Gaster-Osterreich, d'origine Walserreichienne, retrace avec brio et esthétisme l’une des affaires les plus emblématiques de l’époque, qui a fait coulé tellement d’encre qu’elle en est entré dans la culture populaire. De ce procès hors normes, encore enseigné dans les facultés de droit, où chose impensable le juge n’hésitait pas à donner son avis personnel alors que cela lui est interdit, on retiendra les faux semblants, les mensonges, les vices de procédures caractérisés et les manipulations qui ont été poussées à leur paroxysme alors que le pays était en proie à une vague d'anticommunisme et de pharophobie.

La carrière de la véritable Lisbet Gråbøl est stoppée nette dans son élan, mais cette dernière continua toute sa vie à faire éclater la vérité en vain, persuadée d’une machination et d’une falsification de preuves orchestrée par le FSD de l’époque, et son Chief Officer Nikolaj Ørsted. Lisbet meurt d’un cancer de l’œsophage à 43 ans, seule, oubliée de tous, sans jamais n’avoir pu prouver l’innocence de ses clients.
On sait maintenant d’après des dossiers confidentiels déclassifiés en, 2005 que les époux Kaurismäki avaient effectivement des liens avérés avec la C.A.R.P.E, l’agence pharoise du renseignement, mais ils n’étaient plus en service actifs et avaient décidé de s’intégrer et de refaire leur vie parmi la population lofotène. Les documents retrouvés chez eux étaient anciens et tenaient davantage du souvenir nostalgique d’un passé révolu que d'une volonté d'espionner pour le compte de leur ancienne mère patrie. Les photographies des côtes, utilisées durant le procès et qui avaient pesé dans leur culpabilité, étaient en réalité des sites de nidifications que Kane Kaurismäki observait depuis de nombreuses années. Il avait refusé à l’époque de s’expliquer sur l'intérêt et le rôle de ces photographies, probablement car il savait que sa condamnation était sans appel et que l’issue était déjà écrite. Le titre du film, est le même que le livre de Lisbet Gråbøl, publié après sa mort en 1985 où elle tenta par tous les moyens de réhabiliter le couple Kaurismäki. En janvier 2007, le procès est cassé en appel par la juridiction du Ring, et les époux Pharois sont réhabilités à la surprise générale. Une lettre d’excuses officielles du Conseiller Fédéral à la Justice sera d'ailleurs envoyée à la famille Kaurismäki à Pharot.

Société de production ou Producteur : Eïvor Production

Réalisateur : Wilhem Gaster-Osterreich

Acteurs principaux ou notables : Bente Henriksen, Henge Knüdsen, les deux acteurs fétiches du réalisateur sont la tête d'affiche de ce film, jouant respectivement l'avocate Lisbet Gråbøl , et l'époux Kane Kaurismäki.

Date de sortie : 20 septembre 2007.

Pays producteur(s) : Les Provinces-Unies du Lofoten
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : "Le monde selon la Thylacine Corporation "
Affiche ou visuel :


Genre ou thème abordé : Journalisme d'investigation et videoreportage

Synopsis ou résumé :
Le journaliste d’investigation Lars Skærtorsdag nous invite à plonger dans les méandres et eaux troubles dans laquelle évolue la firme multinationale Thylacine Corporation, l’une des plus grosses compagnies spécialisée en produits pharmaceutiques, médicaments et biotechnologies, fleuron de la recherche en immunologie, génie génétique, et virologie.
Méthodes douteuses, manquements à l’éthique, pots de vins, corruption d’agents étatiques, dumping social,
Autant les méthodes de management interne que les manœuvres de développement marketing en passant par les protocoles de recherches sont épinglées dans ce documentaire qui met en lumière les pratiques parfois au seuil de l’illégalité mise en œuvre par les dirigeants de la T-Corp.
Lars Skærtorsdag nous entraîne avec lui en Elpidia, au Grand Kah, au Pontarbello lors de ses infiltrations périlleuses dans les installations étroitement surveillées et difficiles d’accès de la société, et nous livre des témoignages édifiants et des images à la limite de l’indicible.
Un contraste saisissant avec l’apparente décontraction et légèreté de son CEO, Jürgen Applewhite, toujours souriant, avenant, et non avare de bon mots, n’hésitant pas à ponctuer ses phrases de son expression favorite devenu un mème : ”J’ai dépensé sans compter”. Ce dernier apparaît dans le film mais a systématiquement refusé toute demande d’interview.


Les "chambres d'essais in-vitro" où des essais génétiques non autorisés seraient réalisés sur des patients sans leur consentement. Ici au Laboratoire de Recherches du Grand Kah
Des essais thérapeutiques in-vitro non validés par l’autorité de régulation et appliqués sur des prisonniers de guerre jusqu’au manipulations génétiques sans la moindre once d’éthique, on plonge avec effroi dans un monde froid, lugubre, aseptisé et vérouillé de la firme, qui a tout mis en œuvre pour s’assurer de la loyauté et de la confidentialité sans faille de ses employés. La compagnie à l’emblème du Loup Marsupial du Lofoten n’hésite pas à employer les grands moyens pour intimider ses collaborateurs les moins fiables ou enthousiastes : menaces, pressions, surveillance quasi quotidienne, omniprésence d’un arsenal et d’une troupe de sécurité privée impressionnant qui ferait presque rougir le Bataillon Fenrir. A l’inverse, on découvre que la T-Corp sait autant manier la carotte que le bâton : primes indécentes accordées aux directeurs de recherches ou de département pour accélérer les projets, octroi de prêts et de financements aux bons employés, logement et loisirs intégralement pris en charge pour les équipes de laborantins de certaines installations, notamment au Pontarbello ou au Grand Kah, où les conditions de tournage ont été particulièrement difficiles, notamment à cause également de la pression exercée par les autorités et la population locale, emmurée dans le silence.

En effet, là où la T-Corp passe, les délinquants et marginaux trépassent, et les emplois surémunérés pleuvent à profusion et permettent d'acheter le silence du tout venant

Commentaire : Dès sa sortie en salle, le documentaire a été victime d’une intense campagne de diffamation et de dénigrement par des influenceurs, des experts, d’anciens employés de la Thylacine Corporation ainsi que par des élus. Tous grassement payés par la firme. Lars Skærtorsdag lui-même est actuellement en procès en appel contre la T-Corp, après une première condamnation pour ”manipulation d’images destinées à influencer négativement le public”. Ironique alors que c’est l’un des coeurs de métiers du Département des Relations Publiques de la compagnie, qui s’évertue à démonter et à instiller le doute à chaque fois qu’un reportage ou article à charge sort dans les médias. Rappelons tout de même que c’est la sortie de ”Le Monde selon la Thylacine Corporation” qui a convaincu certains députés de créer une Commission d’Enquête sur les activités extérieures de la T-Corp. La presse, dont le très respectable Lofoten News s’est porté également partie civile lors de ce procès.
Quoiqu’il en soit, la Thylacine Corporation ne s’est jamais mieux autant portée, et continue de réaliser des bénéfices records, alors que rien ne semble l’ébranler.

Société de production ou Producteur : Co-produite par le Pembertøn Post, le Lofoten News, et le Polar News. Les studios Factcheckers & Cie ont réalisé le montage technique.

Réalisateur : Lars Skærtorsdag

Acteurs principaux ou notables : Les noms de tous les participants, témoins, et interviewés apparaissent dans le générique de fin et ont tous de leur plein gré autorisés la diffusion de leur image. L'acteur Berthold Thorwalden prête sa voix à la narration

Date de sortie : 31 juillet 2008.

Pays producteur : Maronhi
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : Acoupa ou le goût d'un peuple
Affiche :



Bande originale : Thème principal : "Petit matin"

Genres : Documentaire poétique, documentaire exposé-entretien
Thèmes : Pêche, cuisine, goût, mémoire, sens, nostalgie, tradition

Synopsis : Acoupa ou le goût d'un peuple est un documentaire réalisé par Motoho Gitaya, produit par l'Ogata ŌK et sorti en salle le 16 janvier 2008. Le réalisateur, à la fois narrateur et point de départ du documentaire, nous plonge ici dans une histoire partagée par l'ensemble des Maronhiens, une histoire de goût et d'odeur, une histoire d'amour et de mer, une histoire de poisson. En partant de ses souvenirs d'enfance liés à la soupe d'acoupa de sa grand-mère, Motoho Gitaya va alors partir à la recherche d'expériences nouvelles autour de ce délicieux poisson, et ce en parcourant une bonne partie du territoire maronhien, en partageant l'expérience et le quotidien du commun des mortels : enfants et vieillards, créoles et maronhos, pêcheurs et cuisinières, tous liés par cet onctueux met déposé sur cette terre par les dieux.

« Acoupa frit, accra d'acoupa, acoupa boucané, soupe d'acoupa ; acoupa toi seul se distingue en moi, tel un éclair par une nuit noire. Tu es ses parents aimants, ses amours perdus, ses rencontres fortuites ; tu es toujours là où l'on ne t'attends pas... Et comme toujours, tant de sensations me reviennent, comme les vagues d'un ras de marée. Aigreur, douceur, sécheresse, richesse, mélancolie, amour, colère, gentillesse, faim. Des sensations dévorantes, qui vont et reviennent ; aucune en particulier, mais un tourbillon de passion les englobant toutes. Du palais au palais, permet-moi acoupa, de partir à ta conquête, de te dompter, l'instant d'une bouchée. »

Commentaire :

Le Cynoscion acoupa ou acoupa rouge est l'un des poissons les plus communs des eaux maronhiennes ; arborant une chair blanche ou rosâtre, il vit dans les fonds sableux paltoterrans. Cuisiné de diverses manières, l'acoupa a rapidement trouvé une place de choix dans cette société maronhienne. Déjà prisé au début de l'époque colonial par les grands seigneurs du Nazum et de Paltoterra, ce poisson posséderait selon certains des vertus médicinales, voire aphrodisiaques. Fort en goût, il est aussi utilisé pour aromatiser les plats, pour la bière ou même pour les cosmétiques.

Société de production : Ogata ŌK (Compagnie Audiovisuelle d'Ogata)
Réalisateur : Motoho Gitaya
Acteurs principaux ou notables : Motoho Gitaya (narrateur)
Date de sortie : 16 janvier 2008

Issu des milieux artistiques pharois, l'appel au boycott du festival international du cinéma se répand dans le monde libre, sur fond de plusieurs scandales impliquant le Novigrad.

En raison de la tendance impérialiste Novigradienne actuelle, de l'implication militaire de Novigrad au Prodnov contre le communisme, aux récentes déclarations du Chancelier Novigradien et à l'étude Travienne sur la démocratie mondiale reléguant Novigrad au rang de "démocratie imparfaite", la Démocratie Communiste de Loduarie a décidé de boycotter le festival international du cinéma de Hvari, Novigrad. Aucun film Loduarien ne pourra être présenté à Novigrad.

Pays producteur(s) : Tamurt n Althalj
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Muharam Alraayie
Affiche ou visuel :


Trailer

Genre ou thème abordé : Film d'action / guerre - Drame - Post-Apocalyptique
Synopsis ou résumé : En 2056, un conflit mondiale a dévasté la planète. Les anciennes alliances et nations se sont délitées, disloquées. Le monde a subi le fléau d'une nouvelle arme, redoutée et pourtant utilisée à outrance entre les Alliés de la Liberté et les Libérateurs des Peuples, menant à des destructions irrémédiables. Les continents sont à feu et à sang alors que les pillages sont monnaie courante et que la "civilisation" souffre d'une survivance terrible et guerrièr où vivres et eau manquent cruellement.
Tandis que les océans s'assèchent, que la radioactivité mortelle des armes futuristes achève son travail en Eurysie et dans le reste du monde, il reste aux confins de l'Afarée, un petit coin encore inviolé.
Femmes et Hommes d'horizons diverses travaillent main dans la main afin de repousser les nouvelles organisations et armées de pillards qui tentent une fois de plus de briser ce qu'il reste d'Humanité.

Dans ce nouveau monde, les cieux restent le seul moyen de réellement s'imposer face à l'ennemi. Les flottes de guerre des temps passées ont été récupérées par les Hommes avides et sanguinaires des mondes décimés et maintes escarmouches et raids sont repoussés par les deux navires de guerre de la Flotte Céleste, le Naja, dirigé par Samia Alsafiq et le Faerir, dirigé par Thomas Hinn Osvifni.
Alors que la Flotte Céleste obtient la victoire face à un groupe de pillards dans une bataille des cieux tendues et de longue haleine, Samia et Thomas vont découvrir un dessein plus grand tandis qu'ils découvrent qu'un nouvel ennemi a acquis une des armes de destruction massive qui a bouleversé le monde. Les deux capitaines devront convaincre l'ensemble des cheffes et chefs de leur prêter main forte afin d'empêcher une autre catastrophe de se reproduire.

A travers les continents, la Flotte Céleste affrontera ses pires cauchemars.

Dans cette dystopie où seul le combat des cieux permet réellement de survire, de se défendre face à l'adversité, il reste une frontière bien mince entre le courage et l'inconscience.


Commentaire : Attendu depuis 2006, ce film met à l'honneur les peuples Althaljirs, notamment le peuple des Allusus Alhulw, cette communauté Pharoise qui vit au Sud d'Acilmun depuis l'époque moderne. Les cultures Althaljirs et Pharoises s'entremêlent dans un univers Afaréen Nord Eurysien avec brio.
La bande originale, musique est composée par la célèbre Anissa Mawhibat Rashiqa et l'orchestre philharmonique d'Icemlet. Les accents Althaljirs sont une fois de plus alliés aux instruments traditionnels Pharois qui sient parfaitement à cet univers mélancolique et ténébreux. Anissa Mawhibat Rashiqa nous rappelle que l'immersion cinématographique se fait par le son en grande partie.
La qualité des sonorisations de la Flotte Céleste a été étudiée à bord de plusieurs navires Pharois de 2006 à 2007. Les cinémas outre-Althalj ont pour certains nécessité une amélioration de leur équipement afin de permettre une exactitude de la bande son lors des combats. Les sons, vibrations et détonations des explosions, tirs de mitrailleuses et carlingues déchiquetées laissent à l'excitation la place d'une prise de conscience que la guerre, bien que fictive ici, est terriblement violente, dans des mesures que nombre de spectateurs ne connaissent pas.
78% des spectateurs de l'Avant Première diffusée à Ifilku, la semaine précédente la sortie officielle du 16 Aout, a noté le film de manière très positive.

"j'ai adoré, c'est clairement un film à la hauteur de ce qu'il se fait dans l'Alguarena"
"Je le recommande fortement. Je pense que ce film est un appel à la paix dans le monde."
"Images époustouflantes, bande son à couper le souffle, littéralement..."


Société de production ou Producteur : Um Studio, avec le concours des Coopératives Cinématographiques et Audiovisuelles d'Icemlet et Ifilku et l'Université d'Albigärk
Réalisateur : Imran Shala
Acteurs principaux ou notables : Bien que les acteurs ne soient connus au sein de l'Althalj ou du Pharois Syndikaali, nous sommes impressionnés par le niveau d'exigence et de professionnalisme de cette nouvelle générations. Nul doute qu'elles auront de nouvelles opportunités à la suite de l'Al'ustul Alsamawiu.
Date de sortie : 16 août 2008 dans toutes les salles de cinéma de l'Althalj, du Pharois Syndikaali et de la Sérénissime République de Fortuna, le 2 Septembre 2008 dans le monde.

Pays producteur(s) : Sérénissime République de Fortuna - République Libre du Prodnov
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : Le Serment de Staïglad

*Des annotations rouges semblent avoir été rajoutés à posteriori du montage de la fiche technique*
Affiche ou visuel :

Sous les couleurs bleus et jaunes de la capitale Prodnovienne de Staïglad, B.R.L mène la marche de la démocratie contre l'oppression et la dictature pour en installer une nouvelle. - Représentation graphique réalisée pour l'affiche du serment de Staïglad
Thème musical principal : :

Genre ou thème abordé : Démocratie, Actualité, Prodnov, Liberté, Morale - Plusieurs autre mentions dont "Propagande, baratin et opportunisme" semblent avoir été rajouté post-montage dans les affiches.

Synopsis ou résumé : "Les dictatures n'ont point de couleurs, nullement de sentiments et encore moins es idéaux, elles n'ont que le goût du sang et les intérêts d'une poignée de personne qui ne se satisfont que de la misère et l'exploitation de leurs congénères par la peur et l'usage de la force à travers leurs larbins fidèles incapables de penser par eux même et ne recherchant que faveurs et privilèges. Cependant, aussi monstrueux puissent-ils être derrière leurs forces armés, ces créatures ci craignent tous la juste fureur du peuple qui dispose dans les faits de toutes les cartes en main pour dire non à l'oppression et mettre à bas ce règne injuste de la terreur. C'est ce qui s'est passé ici, à Staïglad, les Prodnoviens se sont réveillés d'une longue torpeur afin de dire NON à la tyrannie, mais ceci n'est pas assez car ce qui a été acquis par la sueur et le sang doit être préservé à tout prix, la liberté doit être préservé à tout prix. Ce faisant, je vous enjoint à me rejoindre dans un serment, le Serment de Staïglad où nous proclamons séant de ne plus jouer le jeu des dictatures et de faire régner la véritable volonté du peuple, par le peuple et pour le peuple, comme toute démocratie digne de ce nom se doit d'opérer."

Tels étaient les mots proclamés lors de Bernardo Ricardo Lévérini lors d'un de ses discours poignant à Staïglad peu de temps après le soulèvement populaire qui renversa le gouvernement corrompu du parti communiste s'étant illustré à travers le monde à travers le massacre de dix mille de ses citoyens. Une des nombreuses démonstration de soutien opérés dernièrement par B.R.L, célèbre philosophe fortunéen et champion de la démocratie en titre, vis à vis du soulèvement pro-démocratie ayant eut lieu à Staïglad et qui est réputé dans de nombreux milieux comme le coup décisif ayant permis la chute de la tyrannie du gouvernement communiste, une vaste fumisterie instrumentalisée.

Multipliant le opérations sur le terrain et n'hésitant pas à donner de sa personne aux côtés des braves opérant la reconstruction du Prodnov, sur fonds verts en studio, ce documentaire qui suit le philosophe à travers ses pérégrination permet de montrer sa vision de la démocratie, la réalité sur le terrain au Prodnov mais aussi un développement approfondie sur les concepts de dictatures et de soulèvement en résultant, et surtout sur son narcissisme.



Commentaire : Officiellement reçu favorablement par certains milieux et organismes de critiques Fortunéens saluant un dévouement exemplaire vis à vis d'un peuple sortant des affres de la tyrannie, la réalité semble cependant plus nuancée car dans les faits la grande majorité des organismes de presse un tant sois peu sérieux demeurent sceptique et dressent un portrait du documentaire plus proche de l'autobiographie narcissique et déformée que d'une épopée du soulèvement de Staïglad. Silence total du côté des autorités républicaines d'ailleurs qui pour leur part ne se sont pas prononcées sur la question. On se demande bien pourquoi n'est-ce-pas...

Les détracteurs les plus véhéments du philosophe, notamment à l'étranger n'hésitent pas d'ailleurs de qualifier le documentaire "d'Imposture du siècle", de "vaste farce" ou "de tentative d'usurpation des prérogatives d'ingérence du Norstalkian". Ce qui tends à donner une idée de la température réelle quand aux avis. Malgré tout, l'oeuvre semble avoir tout de même un tant sois peu d'écho positif au delà des frontières la Sérénissime dans une poignée de nations, notamment Novigrad et le Lofoten, voir dans une certaine mesure dans quelques régions d'Alguerana. Le hasard, la Chance, le Bol.

Société de production ou Producteur : Bernardo Ricardo Lévérini (B.R.L)

Réalisateur : Bernardo Ricardo Lévérini (B.R.L)

Acteurs principaux ou notables : Bernardo Ricardo Lévérini (B.R.L) dans son propre rôle.

Date de sortie : 20 Août 2008 sur le grand écran.

Pays producteur(s) :Provinces-Unies du Lofoten
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Le Fruit du Châtiment
Affiche ou visuel :




Genre ou thème abordé : Drame social

Synopsis ou résumé :

Société de production ou Producteur : Wolf Metropolitan Society
Réalisateur : Kristin Offenbach
Acteurs principaux ou notables : Faye Dunaway dans le rôle principal, Erwyn Kosczinski dans le rôle du révérend intégriste. Les deux acteurs dont l'un est d’origine loduarienne ayant fuit la répression en son pays ont reçu chacun des prix spéciaux de divers jurys et festivals, dont celui de la meilleure interprétation dramatique.

Date de sortie : 28 novembre 2007