14/05/2013
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Actualités des Sultanats Arabes

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Présentation des organismes de presses officiels de la Fédération Unie des Sultanats Arabes d'Afarée et de Nazum


Préambule :
La liberté d'expression est garantie a tout citoyen des Sultanats Arabes. La diffusion a grande échelle des informations, que ce soit par la presse, la radiocommunication, la télévision, ou tout autre moyen permettant d'atteindre le pays entier, est régie par le Code de la Presse et sous la tutelle du Tribunal Fédéral de l'Information. La fédération reconnaît en outre le droit pour ces citoyens d'être protégé de la mésinformation, diffamation, des appels à la haine ou de l'apologie criminelle.

Il existe quatre presses écrites distinctes dans le pays :

  • Al Yawm (litt : le jour) : Presse écrite d'actualités journalière et hebdomadaire, première en terme d'abonnés. Devise : Le monde tourne autour de ses habitants.

  • El-Saïd : Journal bimensuel spécialisé dans la défense et l'innovation technologique, détenue par le prince héritier du Wadfah, très nationaliste.

  • Diplomatica : Revue mensuelle axé sur la géopolitique, les relations internationales, et sur la politique interne des Sultanats. D'influence hellénique.

  • Islam Contemporain : Journal trimestriel s'intéressant principalement à la société fusaanienne, ses évolutions cultuelles, ses influences étrangères etc...


Al-Yawn
Al Yawm
Le monde tourne autour de ses habitants.


Le Conseils des Sultans dévoile un plan d'habitation de presque 1 Mrd de dinars.

Réunis ce matin en collège hebdomadaire, l'autorité exécutive de la Fédération à dévoilé un plan d’investissements publics de près de 980 millions de dinars ; un soulagement face à l’épidémie de taudis et bidonvilles que connaît l'île fédérale qui inquiète pourtant certains lanceurs d'alertes sur les inégalités de richesse dans le pays.

Le 28/09/2008 à Al-Nassat


Lors de la conférence de presse hebdomadaire de 11h, où le porte-parole fédéral annonce les décisions prise par le Conseil plus tôt, le représentant du Tribunal de l'Information à fait part du choix des Sultans d'investir massivement dans les infrastructures d'habitation du pays. D'un volume conséquent de 976,4 milliard de dinars, le Plan de Développement Global des Habitations (P.D.G.H.) à surpris plus d'un économiste fusaanien de par sa taille importante. Afin d'être financer, le PDGH devra cependant passer devant la Chambre des Citoyens et y être approuvé dans le budget fédéral.

"Le Plan à pour objectif premier et prioritaire d'améliorer les conditions de vie des Sultanaises et des Sultanais, et de supprimer les logements précaires et impensable au XXIème siècle, sans réelle connexion Internet ou électrique et où l'on vit à 3 ou plus par chambre. Les logements construits répondront à un cahier des charges stricte, garantissant un logement confortable et aux normes actuelles." à notamment déclaré le porte-parole aux journalistes. En effet, un récent rapport de l'ONG Un toit pour tous indiquait que plus de la moitié des familles nombreuses (5 enfant et plus) vivaient avec moins de 9 m²/personne dans certains quartier de la Capitale.

Plus de 4 200 immeubles et la rénovation de quelques 250 000 logements devraient être rénové grâce à cet investissement public, d'après les annonces officielles. Ainsi près de 30 millions d'habitant devraient bénéficier de cette amélioration de condition d'habitat. "L'idée derrière ce pari financier est de donner un coup d’accélérateur à l'industrie du BTP dans le pays. Bien qu'elle soit en constante croissance, son rythme économique est trop lent pour faire face au défi démographique des Sultanats, la barre des 70 millions d'habitant étant prévue d'ici 2020." assure un économiste du Wadfah à Alyawm.

Un plan plein d'inquiétudes

Néanmoins, plusieurs voix s’élèvent déjà pour exprimer leurs doutes sur l'efficacité d'un tel projet. "Si la surpopulation est effectivement un problème de fond à la capitale, le Wadfah n'est que très peu concerné par le problème." note la directrice de Un toit pour tous. "Pourtant, plus d'un quart des projets d'habitations concerne le plus petit Sultanat de la Fédération, on voit mal en quoi cela va aider les familles précaires d'Al-Marah, ou la réduction des bidonvilles de Banarih... Le fait est que ce projet va, encore une fois, ne pas profiter aux plus nécessiteux, aux plus pauvres, mais uniquement à la classe moyenne du pays." D'autres membres de l’association dénoncent un "coup de com'" ou une "tentative de séduction des classes moyenne" au vus des élections locales dans le Sultanat d'Al-Hazam et du Wadfah en janvier et en mai du mois prochain.

En outre, certains s’interrogent sur l'impact socialo-environemental du projet fédéral. Les chantiers du bâtiments sont réputées pour appliquer un code du Tribunal du Travail assez spécial, l'industrie échappant quasi-systématiquement aux contrôles ou aux poursuites pénales. De plus l'utilisation massive de béton, s'il n'est pas importé, pourrait encore éroder un peu plus les plages afaréennes déjà sur-utilisées.
En somme, si le PDGH est la bienvenue pour la plupart des funaasien, certains attendent de voir le plan appliqué et voté en pratique avant de se réjouir trop vite. Beaucoup attendent de cet "Investissement pour l'avenir et pour tous" tel que l'a décrite Hikma el-Saab, la gouverneure de l'île fédérale, mais nombreux pourraient être les déçus...

Abdel Iskarha, journaliste & sociologue
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Al-Yawn
L'internationaaaaaale sera le genre humaiiiiiin
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Dans les quartiers ouest d'Al-Nassat, les gangs font la loi.

Un récent rapport du tribunal fédéral chargé des affaires intérieures, remis ce 15 Novembre, affirme que les crimes en bande organisée et les cas d'homicides ont augmenté de plus de 20% depuis 2005 à l'ouest de la capitale Fusaanienne. Un constat confirmé lorsqu'on interroge les habitants sur-place...


Kandar & les quartiers chauds d'Al-Nassat

Le 13 ième arrondissement d'Al-Nassat est celui le plus éloigné de la côte, et aussi le plus pauvre de la capitale ; on y trouve deux fois plus de commissariat qu'en littoral. Réputé pour ces trafics obscurs et ses ruelles de bidonvilles étroites et mal-famées, le district occidental de la ville ne parviens pourtant pas en tête des statistiques de criminalité. Non, le triste vainqueur de cette sordide compétition est la banlieue de Kandar, 2.3 millions d'habitants. La municipalité, limitrophe directe des quartiers ouest de la capitale, fait face à un véritable essor du banditisme en bande en même temps qu'à un manque de moyens publics de plus en plus criant...

Du moins ce sont les conclusions du rapport du tribunal fédéral des affaires extérieures remis à la commissions chargé de la sécurité et de la justice à la chambre des citoyens, le parlement du pays. Il y a 8 mois, des députées loyalistes ont demandées a la choura une étude approfondie sur la sécurité et la criminalité de la capitale des sultanats arabes suite à la mort d'un policier dans un règlement de comptes ; chose faite et rendue publique ce 15 Novembre 2008. Outre les crimes d'escroquerie et d'extorsion plus commun dans la partie septentrionale et riche de la cité, c'est l’inégalité des chiffres dans la zone urbaine d'Al-Nassat qui est la plus flagrante. Comptez, en une année, environ cent délits majeurs pour 100,000 habitants à l'est, contre plus 12,700 à Kandar. Fait encore plus frissonnant, le tribunal estime qu'il faudrait y rajouter encore les un peu moins d'1/4 de crimes non déclarées. La tendance se confirme également avec les infractions dites "mineures" comme les vols, cambriolages, agressions ou passage à tabac, estimée comme 9,63 fois plus nombreuse à l'ouest qu'a l'opposé de la capitale.

Une criminalité de groupe

La hausse de la criminalité n'est bien évidement pas passée inaperçue pour les habitants de la ville : "Tout les jours, si je rentre trop tard du travail à cause des bouchons, je croise des groupes de jeunes qui me dévisage et m'insulte en m'incitant à renter chez moi plus vite." nous confie Yasmina, 29 ans et habitante dans un HLM de Kandar. "Ça fait trois mois que je sors plus avec un seul bijou sur moi, depuis qu'une voisine à été retrouvée morte, dépouillée de tout ses biens personnels." rajoute-t-elle. "Entendre des coups de feu, c'est devenue une norme hebdomadaire, en plus des rodéos quotidiens. Et encore, on a de la chance quand on entends personne crier après..." enchéri Oussa, un concierge d'immeuble résidentiel en périphérie ouest d'Al-Nassat. "Et en même temps, on peut pas vraiment en vouloir aux autorités. Elles sont plus que débordées, et en première ligne face à ces voyous. Ils se font clairement attaqué en meute parfois, et ça peut dégénérer assez vite." conclut-il.

Car en effet, la véritable mauvaise surprise de ce rapport, c'est l’importance écrasante de la criminalité organisée et des rôles des gangs dans ces délits. Les autorités estimaient qu'un tiers des meurtres ou enlèvements déclarées étaient liée à un conflit liée à des organisations criminelles. "En parallèle, la fulgurante ascension des contrefaçons et des produits étranger de contrebande lors des saisies douanières, pourrait expliquer le développement de ces gangs. La grande opportunité économique qui réside dans un marché noir en extension est souvent la cause, et la source financière, des bandes organisées de malfaiteurs." explique une source d'Al-Yawn dans la police.

Quoiqu'il en soit, ce fardeau handicap de plus en plus les habitants de kandar, déjà criblé par la misère et la précarité des logements. Une situation qui sera difficile de remédier sans une aide fédérale ou des subventions de la gouverneure fédérale de l'ile ; la banlieue n'étant guerre plus qu'une cité dortoir, elle possède que peu de ressources à fournir à une police déjà débordée. Les kandariens, eux, se partagent entre un fatalisme relativiste et un désir de partir d'ici au plus vite : "C'est un endroit trop dangereux ici et pour élever mes futurs enfant je devrais trouver ailleurs, inch'Allah." termine Yasmina.
En guise de conclusion, notons que les braquages et détournements de fond ont diminué de moitié selon le rapport. Comme quoi, la criminalité est en baisse à condition qu'on soit riche....

Cherazade Pafur, journaliste pour Al-Yawn
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Al-Yawn
Ouais j'ai été un peu inspiré par Lille, c'est pas super original j'avoue
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Effondrement de quatres immeubles à Alkalij : la vétusté inquiète

yep
Les décombres de l'un des quatres immeubles tombée cette nuit.

Cette nuit, vers 4h du matin environ, quatres immeubles se sont écroulé dans la rue d'Abu-Bakr, dans le centre ville historique d'Alkalij. Si trois des immeubles ont pu être évacuée l'avant veille, l'éboulement causé par cette catastrophe à entraîné dans sa chute une quatrième habitation qui était, elle, occupé. Des personnes sont toujours portées disparues et au moins trois y ont perdue la vie.


Voilà qui rappelle une fois de plus les gros problèmes d'urbanisme qu'ont à surmonter le peuple Fusaanien partout dans le pays. Mais alors que le gouvernement se concentre à [désespérément loger les Al-Nassiens pour mettre fin aux bidonvilles], l'épine de la vétusté des vieilles habitations des centres villes de la fédération n'a pas disparue. Les immeubles, qui appartenait au centre ville historique d'Alkalij et classé au patrimoine des sultanat, en sont l'exemple même.

Pour les trois plus gros immeubles, l'alerte d'évacuer avait été heureusement donné par les services municipaux de la capitale d'al Hazaam, après une inspection surprise concernant des plaintes de vétusté électrique et hydrolique. Pourtant, la ville n'avait visiblement pas prévu que, lors de leurs chutes, un des immeuble entraîne une habitation de 3 étages juxtaposée.

Les secours sont sur place depuis 5h du matin et péniblement, fouille les décombres afin de secourir les éventuels survivants. Si déjà 18 personnes sont sorties des gravats indemne ou avec des blessures légères, les services de sapeur pompier d'Alkalij estiment qu'il reste plus de 9 personnes à secourir. En outre, 267 personnes attendent d'être relogées par la ville, et vont passer la nuit dans un gymnase municipal. Le bilan provisoire fait état de 3 morts et un blessé grave.


vive les pompiers
Les services de secours en action, cherchant les possibles survivants.

Le sultant d'Al Hazaam qui s'est déplacée rue Abu-Bakr en urgence se midi, à pris la parole. Il a notamment félicité la réactivité des services de secours de la ville qui sont mobilisés sans interruption depuis plus de 12h ; ainsi que l'équipe d'inspection municipale qui a permis de sauver plus de 200 âmes. En outre, il a aussi promis un contrôle plus strict de la vétusté des habitations : «On nous à déjà fait le reproche d'un laxisme incompréhensible sur le sujet, et il est vrai que des erreurs ont été commises par la ville. Je discuterai très prochainement, avec l'ensemble des collectivités et citées du sultanat, afin de mettre sur pied une campagne de rénovation massive des habitation insalubres ; je le jure devant Dieu l'unique.»

Un geste louable de la part du Sultan, mais qui ne résout qu'une partie du problème : la surpopulation et la vétusté touche l'ensemble de la FUSAAN, et seule une action du Conseil des Sultans à l'échelle du pays entier sera vraisemblablement efficace...

Mehdi Portrokos, reporter pour Al-Yawn
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Islam comtemporain

Eid Mabruk à tous les fusaaniens !
عيد الفطر

L'ensemble du pays fête aujourd'hui l'Eid El-Fitr, festivités de la rupture du jeûne et qui marque la fin du mois saint du Ramadan. La grande mosquée d'Al Nassat devrait déclarer le début de l'eid ce soir vers 20h30 environ.




La date du jeudi 20 avril 2010 fut décrété comme le dernier jour de jeûnes depuis ce lundi, selon les calculs savants de l'observatoire fédéral d'astronomie et des sciences islamiques. La pleine lune de ce soir brillera pour marquer la fin du moi saint du Ramadan.

Les mosquées de toute la fédérations se sont préparé à l'afflux attendu des croyants pour la prière du soir ; plus de 50 000 personnes sont attendues rien qu'à la grande mosquée d'Al Nassat. Cet après midi déjà, décret de la gouverneure fédéral de l'ile-capitale à fortement limité la circulation automobile dans le centre ville d'Al Nassat en prévision des fortes affluences piétonnes.

Les festivités devraient se poursuivre toute cette nuit et jusqu'à demain soir, lorsque la prochaine prière du soir marquera la fin de l'eid de 2010. Fait notable, le lendemain de l'eid est notée comme fériée par l'ensemble des sultanats de la fédération, c'est l'un des trois seuls jours fériée commun avec le nouvel an et la fête nationale.

Bien qu'à peine plus de la population soit musulmane pratiquante, l'eid est fêtée par l'ensemble du pays. C'est quasiment l'intégralité du pays qui profite de l'occasion pour manger en famille ou en entre amis. Les ventes traditionnelles des pâtisseries de l'eid, habituellement consommée lors du dernier ftour de l'année, se termineront ce soir.
Conséquences des déplacements festifs, l'après-midi du 21 est pressentie pour être une journée noire vis-à-vis du trafic autoroutier.

L'ensemble de la rédaction vous souhaite encore une fois de bonnes fêtes de l'Eid !
عيد الفطر


Toute l'équipe d'Islam Contemporain
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Al-Yawn
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Le grand plan des Sultanats Arabes pour développer l'aviation civile

yep
La façade de l'aéroport de Bouraq ce matin, à Al-Nassat

Une série d'annonce à été faite par le Grand Tribunal Fédéral chargé des transports en fin de matinée aujourd'hui. Il a été notamment été dévoilé la création d'une compagnie nationale aérienne ainsi que la stratégie globale du développement de l'industrie aéronautique pour les prochaines années. Des annonces attendues et saluées par l’opinion publique.


Ce n'est une surprise pour personne, les sultanats de la fédération sont éloignés. Les 150 milliers de kilomètres qui séparent les côtés des sultanats Abu-Tuniak en Afarée et ceux de Wadfah au Nazum rendent les trajets intra-étatiques bien complexes. L'option la plus courante reste le transport par voie maritime, des paquebots plus ou moins (et plutôt moins que plus d'ailleurs) spacieux faisant la liaison entre les différents sultanats et la capitale Al Nassat en un jour et demi. Bien sûr, les voyages d'état ou d'affaires important utilisent l'avion, mais la très faible offre disponible dans le pays rendent l'option coûteuse : comptez 13 fois le prix d'un voyage maritime.

Pourtant, tout le monde gagnerait sur tous les plans à utiliser l'avion pour se déplacer dans le pays. C'est du moins ce qu'a affirmé le grand juge fédéral délégué aux transports et aux territoires ce matin en conférence de presse. En effet, d'après le gouvernement, le gain de temps des trajets (qui passerait de 36h environ à 6h, soir 6 fois moins) aurait des retombées économiques multiples. La facilitation des échanges dans le marché interne du pays, devrait permettre le développement des entreprises fusaaniennes et la créations de succursale dans le pays. En outre, la facilitation des déplacements devrait aider le tourisme général, notamment à Nazum ; le Methylistan qui bénéficie pourtant d'importantes aménités paysagères voit, aujourd'hui, un afflux de touristes relativement faible du fait de son éloignement du reste du pays. Enfin, une industrie aéronautique aurait l'avantage, de pas sa nature même d'industrie, de créer ou d'importer emplois, développement, innovations et capitaux au pays.


Viooooon l'avion
Un avion ministériel décoré aux couleurs de la fusaan volant dans le ciel en direction de la capitale Al-Nassat, le 15 janvier dernier.

C'est pour toutes ces raisons que le membre du gouvernement à annoncé en conclusion de la conférence de presse plus tôt, et en grande pompe, la création de la Société Sultane des Services Spatiaux (la 4S), qui sera chargée de l'opération d'un parc aérien d'engin aéronautiques de transport. L'entreprise d'État à pour but premier la production d'avions pour la Fédération, mais devrait aussi, dans un second temps, servir de compagnie aérienne pour le grand public.

La production des avions à déjà commencé dans les coulisses : la 4S serait propriétaire d'une dizaine d'appareils d'après une source proche du dossier contactée par nos journalistes. L'entreprise nouvellement fondée à déjà annoncé vouloir quintupler le nombre d'avions de ligne à sa disposition d'ici à début 2011.
En parallèle, le grand juge fédéral à gagé que la rénovation et la construction de nouveaux aéroports civils serait prise en compte dans le prochain budget annuel. La situation est particulièrement délicate à la capitale. En effet l'aéroport répondant à peine aux exigences de la stature internationale et n'étant utilisé que par quelques jets privés, doit subir d'importants travaux pour accueillir une centaine d'appareils par semaine.


En vrai j'aime bien
Le logo dévoilé par le Grand Juge fédéral chargé des transports de la 4S lors de la conférence de presse.

Enfin, il a été annoncé que dès que l'infrastructure sera prête, la FUSAAN ouvrira ses aéroports à la concurrence internationale pour les vols extérieurs. Une candidature officielle pour l'Organisation Mondiale de l'Aviation devrait aussi être déposée à la capitale du Yuhanaca, au Paltoterra.

Mohamed Safi, journaliste pour Al Yawn.
Le 6 juin 2010.
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Al-Yawn
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Le gouvernement dévoile un nouveau plan industriel pour la marine civile

yep
Vue aérienne du port de Wadfah, le plus grand du pays à ce jour.

C'est maintenant clair, pour le gouvernement actuel, la priorité c'est l'industrie. Deux semaines après l'annonce du lancement d'une chaîne de production aéronautique nationale, c'est vers la mer que l'attention d'une partie des usines d'état va devoir se tourner. En bref, les sultants se sont accordé sur la nécessité d'un transport fluvio-maritime plus performant, et d'une meilleure infrastructure portuaire.



L'annonce de ce deuxième chantier national, faite à l'issue d'une réunion exceptionnelle du conseil fédéral, met l'accent sur la nécessité du lancement de la mécanique industrielle de la fédération. «C'est parce que l'amélioration du niveau de vie de la population fusaanienne ne sera pas possible sans une industrie forte et indépendante que le conseil fédéral à continué, et continuera dans l'avenir, de soutenir une politique de chantiers nationaux de grande envergure. » à notamment déclaré à la presse la porte parole du conseil.
Il est clair que la fédération des sultanats arabes est sous équipée et trop peu performante sur de nombreux sujets ; il semblerait que l'appareil décisionnel l'ait reconnu, surtout au niveau des transports. Il est invraisemblable de voir à quel point le pays manque de bateaux, de transport ou de défense, pour un archipel de cette envergure. «Comparée aux Etats du nazum de l'est, aux etats transcontinentaux comme le Grand Kah ou à l'archipel de [le pays grand là], c'est a se demander comment nos voisins nous prennent au sérieux avec une si fragile flotte commerciale. Et je ne parle même pas de notre marine…» commente Salim Ratta, un spécialiste du commerce maritime nous ayant accordé une interview. «C'est clairement à ce problème là que le gouvernement veut s'attaquer, et c'est une bonne nouvelle».

«En effet, l'un des principaux obstacles aux investissements étrangers et à croissance économique durable que nous voulons est la taille inadapté de nos infrastructures portuaires et la vétusté des bateaux de transport de marchandises.» à expliqué le porte parole lors de la conférence de presse. Pour ce faire, deux plans d'actions différents sont envisagés.
D'une part, des chantiers publics vont moderniser les ports dans les plus grandes villes côtières du pays. Al-Nassat verra d'ailleurs la construction d'un tout nouveau port massif plus en périphérie de la ville que le port actuel surchargé. Trois grandes îles artificielles devraient être construites, ainsi qu'un réseau ferré reliant la capitale et le port.
De l'autre, des mesures fiscales ont été prévues par le gouvernement pour inciter les compagnies maritimes à moderniser leur bateaux. Un crédit d'impôt sur la taxe des bénéfice, couplé à des aides sous la forme de subvention directe pour l'achat de nouveaux navires devrait inciter les rares entreprises fusaaniennes à tenir bon face a la concurrence internationale, du moins pour le transport intra-national.
«C'est un plan ambitieux pour sûr, mais il est solide.» estime M.Ratta. «C'est un peu un pari, parce que les sommes en jeu sont colossales. Sans la croissance économique qui devrait suivre, le financement des chantiers portuaires vont s'avérer compliqués… Je pense que les sultans ont envisagé ici un plan sur le long terme. Les annonces sont impressionnantes, mais il faudra du temps pour la mise en place d'un tel programme…»
Certains pourtant émettent des réserves, sur la durée des travaux, mais aussi sur le chantier de la capitale : la perturbation écologique qui découle de l'utilisation d'un port de grande envergure menace la biodiversité océanique et littorale de l'île d'Al Marah.


bato

De nouveaux ports permettrait de pouvoir accueillir plus facilement les tanker internationaux comme ce dessus.


Les sultanats arabes, par cette annonce et la précédente, s'engagent résolument dans un accroissement des échanges internationaux. Ce nouveau parti pris libéral, d'une amplitude jusqu'alors inédite pour la fédération, va devoir porter ses fruits rapidement. Car il est simple de se réjouir de l'accroissement de la participation de la FUSAAN dans les organisations internationales et dans les traités multilatéraux, pensant à la consolidation d'une paix mondiale. Mais une ouverture comparable de l'économie auparavant très auto-centré, n'est pas sans risque pour l'économie du pays…
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wesh la miff



L'inauguration des nouveaux patrouilleurs Mawja et Almaduh, le témoin d’une prise de conscience fusaanienne.


édition n°047 du 27 janvier 2011


S’il y a 5 ans, la nouvelle aurait choqué et divisé le pays, aujourd’hui elle passe presque inaperçue. Hier matin, la mise à l’eau de deux nouveaux patrouilleurs modernes dans la baie d’Al-Nassat s’est déroulée sous l'œil attentif d’une poignée d'officiels, et bien peu d'invités médiatiques. Après un discours fort peu mémorable de la part d’un haut fonctionnaire chargé de la marine à la Chourra, les deux navires se sont en allés faire leur premières manœuvres dans l’océan, au large de l’île d’Almarah, avant de regagner la base navale de la capitale.

petit bateau hihi
Le patrouilleurs Mawja, dans les eaux internationales (photo prise depuis l'Almaduh)

Un pacifisme historique de circonstance

Cette indifférence générale contraste avec la ferveur dont devaient faire preuve les sultans du Wadfah et d’Isâmaryam pour, à l’époque, ne voir diminuer le budget militaire de la fédération. Pourtant le pacifisme latent dont faisait preuve à l’époque la majorité du Conseil Fédéral pendant plus de 50 ans semble bel et bien s’être volatilisé, au vu de l'unanimité de l'exécutif par rapport à la décision de continuer à faire fonctionner les chantiers navaux. Ce volte-face doctrinal s'explique principalement par les bouleversements géopolitiques dont la région a été le théâtre : insurection armée au Jadidah, révolution anti shah du Varanya, guerre civile communiste au Mokaï…. tout ça en moins de 5 ans.

« Pourtant ce ne sont pas ces événements là qui ont été décisif dans le changement de politique de défense, je pense. Même si ces événements ont inquiété les pouvoirs publics, une caractéristique commune de ces conflits, c'est l'intervention plus ou moins directe des superpuissance militaire mondiale. » résume une source du Wazirat de la Défense Fédérale. Car en effet, si l'on peut dire que ces conflits furent inquiétants et déstabilisants pour la région entière, et particulièrement pour les Sultanats Arabes qui se trouvent au barycentre des zones de tension, il serait erroné de dire que ces conflits furent équilibrés. « Le Jadida à vu son indépendance garantie par le Banairah et les communes du Grand Kah, l'empire Listonien n'avait aucune chance. Les forces pro-démocrates ont dominé le conflit par leur nombre et la supériorité technologique des volontaires combattants à leurs côtés. Enfin, les agitations au Mokaï ont vu une coalition internationale menacer d'intervenir, des mercenaires Kahtanais aux exercices militaires de la marine du Jashuria. Un constat s'impose : aucun de ses conflits ne s'est installé dans la durée, tous ont vu un camp sortir clairement victorieux des escarmouches armées. »

De fait, il était tacitement cru par une majorité de la population, qu'en cas de litige ou de confrontation armée sur le territoire fusaanien, la communauté internationale ne tarderait pas à réagir en sa faveur. De par sa nature fédérale, ses relations cordiales avec le reste de l'Afarée du Nord et son idéologie plus altermondialiste qu'autre chose, les Sultanats semblaient être un pays que n'importe quel pays non isolationiste pourrait aider dans un conflit défensif. Par conséquent, si vous n'avez aucun intérêt belliciste (ayant trop à faire dans votre pays émergent) et que vous vous sentez protégé par les puissances mondiales démocratiques puisqu'elles sont intervenues dans tous les conflits voisins, quel serait l'intérêt de financer une armée avec de l'argent pouvant servir à l'économie ? Eh bien, pour les deux tiers des Sultans, aucun.

Un nouveau paradigme

«Cela dit, deux choses ont fait changer l'avis de l'exécutif début 2010 : la piraterie, et le conflit Kronien en Afarée. D'une part, l'émergence de nouveaux conflits irréguliers et diffus, entre le commerce maritime et les pirates de la mer blême ont démontré qu'il était nécessaire d'avoir une force de défense à minima capable de contrecarrer le banditisme. D'autre part, l'idéologie du "Pacifisme protégé" fut secouée par l'escarmouche entre les forces de l'ONC et l'UNCS. » nous explique-t-on anonymement. L'exception de cet épisode martial c'est sa simple proportion, massive. Les pays de l'ONC y ont déployé un arsenal jusqu'alors inédit pour les environs afaréenns, pourtant si éloignée des bases Alguarenos et Lofotènes. L'arsenal ennemi n'était pas négligeable non plus, avec une marine coalisée comptabilisant pas moins de 25 bâtiments navals, selon les données rendues publiques. L'échelle de cette bataille n'est habituelle, communément, que des conflits ouverts, totaux entre deux puissances militaires conséquentes. Et si jamais la victoire l'ONC est incontestable, coulant par une démonstration de force indéniable la totalité de la flotte ennemie, il est légitime de se demander maintenant quelle sera la taille, l'intensité des prochains conflits de la région.

C'est joli la bretagne, mais la normandie c'est mieux >:(
Vue depuis les côtes Kronniennes du détroit de Leucylée, lieux de l'affrontement entre l'ONC et l'UNCS.

C'est globalement pour ces raisons que le pouvoir fédéral est revenu sur sa décision de passivité militaire. Dans un document rendu public par les Sultans, quelques temps après l'annonce des chantiers portuaires, on détaille que «La mission principale dont seront chargés les deux nouveaux navires de guerre sera le rétablissement de la paix dans les eaux territoriales et internationales du détroit de la mer blème. [...] Il a été également décidé qu'à terme, le Mawja et l'Alamduh (Ndlr : La Vague et La Marée) seront les premiers éléments d'une stratégie de réarmement naval, afin de pouvoir justifier en cas de conflit armée notre capacité d'autodéfense en tant que Fédération souveraine ».


Quoiqu'il en soit, il semble qu'une transition à été actée par le Conseil Fédéral il y a plus d'un an. Les premiers fruits de leur nouvelle vision viennent d'être récoltés. Deux défis restent pourtant : sera-t-il suffisant pour neutraliser la piraterie ? La défense nationale à-t-elle vraiment un sens lorsque les puissances régionales telles que le Banairah ou la Cémetie ont tellement d'avance, sans parler de la superpuissance militaire Alguarenos ? «L'empire antique rémien ne s'est pas construit en un jour, tout comme sa marine impériale» rétorque-t-on au Wazirat de la Défense. «C'est le début d'une politique sur le temps long, mais nous sommes confiants dans sa pertinence». Une autre incertitudes soulevée par les (encore) nombreux pacifistes de la fédération : quid du message envoyé à l'international ? Ne risque-t-on pas de devenir la source des futures tensions régionales ? Pour l'instant, une chose est sûre : les deux nouvelles boîtes de métals surnommées par les marins Mawja ou Alamduh auront du pain sur la planche pour convaincre des fusaaniens, certes inquiets, mais toujours sceptiques.

Maria Euclyos, journaliste à Diplomatica
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Al-Yawn
Comment ça va sinon ?
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Après l'entrée Officielle de la Fusaan au FCAN, ses premiers pas déjà critiqués par l'opposition parlementaire

Le 21.04.2011


Les Sultanats Arabes ont nouvellement adhéré à l'institution d'intégration régionale du Nord de l'Afarée, le FCAN. Sa première prise de parole d'importance à eu lieu il y a peu, à Héralclé, la capitale de la Cémétie . La Fusaan y a défendue une position par rapport au statut de la république des îles chesmites qui fait polémique à l’intérieur de la fédération, et qui à crée des remous avec l'opposition lors des dernières séances de la Chambre des Citoyens. Retour en profondeur sur les événements en questions et sur la positions des partis de l'assemblée...



Stylé le caire hein?
Heraclée, la ville ou se déroule les congrès du FCAN est un centre névralgique pour l’entièreté de l'Afarée du Nord

La nouvelle était historique, et a fait grand bruit dans le palais de Dekab, le siège du Tribunal Extérieur. Le 3 Novembre 2010 sera retenu longtemps comme le jour où les Sultanats Arabes auront rejoint le Forum de Coopération d'Afarée du Nord. Pour la fédération, c'est une adhésion symbolique, la première dans une organisation internationale diplomatique depuis la création des Sultanats Unis eux mêmes. Véritable petite victoire pour le pays et le tribunal des affaires extérieures, elle annonce pourtant le début d'une série de rapprochement diplomatiques : la normalisation avec les pays voisins continue, des traités de coopérations sont en train d'être négociés avec le Banairah et plusieurs autres rencontres bilatérales sont à venir…

Ces progrès fulgurant sont à mettre en parallèle avec les importants changements ayant survenu au Tribunal extérieur depuis les élections de 2009. Le remaniement habituel de la Chourra en début de mandat à permis au Conseil Fédéral de faire promouvoir une vision active de la diplomatie en nommant Heli Selam à la tête en tant que Juge. Une modification gouvernementale critiquée à l'époque par la Chambre des Citoyens, autant par la gauche, voyant en sa nomination la promotion de la libéralisation de l'économie, que par la droite, n'appréciant guère cette rupture de posture diplomatique. Le nouveau Juge n'a échappé à une motion de défiance que grâce au soutien du récent parti Foi Fédérative, majoritaire à la chambre ; ce dernier ayant fait campagne pour l'ouverture, cherchant ainsi à abaisser progressivement les droits de douanes.

Toujours est-il que la fin de l'isolationnisme, actée par le gouvernement, est attentivement suivie par les partis politiques et certains fusaaniens, non sans méfiance. L'entrée même de la fédération dans le FCAN avait beaucoup fait réagir à l'Assemblée. Un magistrat d'Abu-Tuniak avait notamment créé la polémique sur le sujet en déclarant que "s'allier avec des pays helléniques et Chiites ou pire, prônant l'hérésie Althaljenne sera aux yeux d'Allah comparable à de l'Apostasie, et devrait être punie par la lapidation", ce qui n'a pas manqué d'agiter la population du Methylistan où la plus grande minorité hellénique du pays réside. Si le magistrat à été démis de ses fonctions par le Sultan pour menace de mort envers le Conseil, le sujet à tourné plusieurs jours sur les réseaux sociaux et sur les plateaux télés. De toute évidence, l'adhésion à la FCAN cristallise les critiques et ravive des problèmes plus profonds, religieux et idéologiques.

C'est la MAE de lybie !
Hikma El-Saab lors d'une prise de parole en février 2011

Mais la goutte d'eau de trop, pour l'opposition, ce fut la prise de position inattendue de la Fédération lors de sa première séance. Hikma El-Saab, gouverneure d'Al-Marah, avait été désignée par le Conseil Fédéral pour représenter le pays lors de son investiture au Conseil du FCAN. Lors de sa prise de parole, Mme el-Saab se prononça pour l'intégration de plusieurs pays extra-afaréen, et par conséquent non musulmans, au statut de pays partenaires ; une décision non surprenante, mais qui a été critiquée par quelques députés de Dieu et Prières à la Chambre. Ce que personne n'avait prévu en revanche, c'était qu'elle soutienne l'adhésion de la Républiques des Îles Chesmites au statut d'État Membre. Il faut dire, qu'après s'être ouvert à l'extérieur seulement depuis à peine une année, soutenir ouvertement une république sécessionniste frontalière dans sa prise d'indépendance unilatérale, c'est faire preuve de bien peu de tact. Si la proposition à fait, peu ou prou, mouche à l'international (il a été décidé d'accorder au pays le statut d'État partenaire a l'issue du sommet), elle a plutôt scandalisée une large partie de l'opposition.

«Pour une politique qu'on nous a présentée comme pacifiste et apporteuse de prospérité économique, c'est une décision qui frôle avec l'inconscience. Notre fédération est pacifique et doit le rester. On ne peut pas décemment craindre la montée des tensions régionales et participer à les exacerber en même temps, soyons logique deux minutes.» a exprimé dans la foulée Mohamed Weitouk, le chef de file du groupe parlementaire "Pour le progrès social" regroupant de la majorité des députés socialistes de la Chambre. De leur côté, les fondamentalistes ont aussi critiqué le choix de la Gouverneure : «Personne n'aurait idée d'aider un clan du Gondo en lui donnant une reconnaissance internationale, là, c'est pareil. Et puis il faut regarder un peu de qui on parle : des chrétiens orthodoxes, de culture varanyenne, résolument libérale et s'étant enrichie sur la pauvreté du reste de son pays. Je le jure, les Sultans seraient sage de prioriser l'aide des musulmans d'ailleurs, en proie au régime du Sheitan athée comme à Kronos ou à Jadida.» a déclaré Abdel-Amir Thokra, un responsable politique de D&P.

Dans un communiqué, Foi Fédérative, le parti majoritaire de la Chambre à annoncé ce mardi qu'elle entendait des «craintes, justifiées sur certains points, à la stabilité du pays en cas de conflit ouvert» tout en tentant de rassurer ses électeurs : «Nous sommes persuadés néanmoins que la diplomatie fédérale fera tout ce qui est en son pouvoir pour [...] assurer une désescalade et trouver une résolution [...] pacifique aux tensions». Le porte-parole du parti, Aziz Zergba, avait affirmé à la radio il y a deux jours que «il n'est pas question pour la fédération d'entrée en guerre, loin s'en faut. Notre priorité est justement d'éviter des effusions de sang, par la collaboration internationale, et pour protéger un régime voisin, démocratique, afaréen et légitime. Il est question pour la Fédération d'assumer son rôle de nation et de faire porter sa voix contre les injustices de la région, oui, et nous l'assumons». Un argumentaire similaire, portant sur la "crédibilité intrinsèque du pays et des Sultans" est défendu par Nation Sultane à la Chambre.

Quoiqu'il en soit, les débats sur le sujet au parlement seront nombreux et houleux. La prise de position de la Fusaan ne fait pas l'unanimité mais est désormais actée, et la suite des actualités de la république insulaire sera attentivement suivie par les politologues. Si la Chambre des Citoyens à grogner, dans les faits peu de choses peuvent changer : le Juge des affaires extérieures reste suffisamment soutenu pour éviter toute motion. Mais le message principal que veut faire passer le parlement au Conseil Fédéral est clair : les Sultanats Arabes ne pourront aider son nouveau voisin que de loin dans la guerre civile qui s'annonce. L'entrée en guerre ne sera pas votée sans évolution drastique de la situation.

Hector Desma, journaliste politique pour Al-Yawn
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