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Espace presse officiel de la République sarranide

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Espace presse officiel de la République sarranide


actualité

C'est ici que sont publiés les articles les plus intéressants, parmi l'ensemble des médias de la République sarranide.
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Institut géographique sarranid

publié le 13/02/2007


Article sur la géographie du littoral de la République sarranide


La République sarranide est un pays d'afarée du nord. Au nord, le pays est bordé
par la mer. Nous allons donc d'écrire son littorale, espace majeur du pays

littoral_rocheux
Littoral sarranid


Peuplement

Le littoral de la République sarranide est un espace très attractif si ce n'est le plus dans le pays. La densité de population y est la plus forte, notamment dans le delta du fleuve vert. L'étalement urbain ainsi que le mitage anarchique font de l'urbanisation une problématique dans le cadre du contrôle de l'occupation des sols voulu par l'état. De plus, les vestiges archéologiques sont extrêmement présents à l'abord du littoral donnent un potentiel touristique certain à ce territoire. Le pôle central du littoral, mais aussi du pays, est la capitale Gharma, avec plus de 4 000 000 d'habitants et son urbanisation tentaculaire et indomptable.

Géomorphologie

Le littoral sarranid est composé des deux types de côtes, une partie de côte rocheuse et une autre de côte d'accumulation sableuses. La côte ouest est une côte rocheuse de type plateforme d'érosion marine, avec une avancée granitique, rendant l'activité portuaire et maritime complexe. Cependant, à partir du delta, dans la région de Gharma jusqu'à l'extrême est de la côte, le littoral y est sableux. Ces côte sableuse sont le fruit du transport de sédiment par agent hydrique via le fleuve vert, mais aussi par agent éolien qui puisse dans le désert. Le centre du littoral ainsi que l'est ont une activité économique supérieure du fait de leur géomorphologie. Qui en font un espace d'échange intermédiaire entre les terres intérieures et la mer (et donc le monde), d'autant plus que le delta du fleuve est le point d'arrivée du réseau fluvial du pays lorsqu'on le descend.

Archéologie
Le patrimoine archéologique aux abords du littoral est très riche. Celui-ci s'intègre dans l'urbanisme lorsque l'étalement urbain l'absorbe. A noté qu'en milieu urbain ce sont le patrimoine datant du moyen-âge qui est majoritaire, alors qu'en milieu rural, c'est le patrimoine antique qui domine. Aucun recensement n'a encore était fait, projet ambitieux que le gouvernement a dans ses cartons.

source: institut de géographie sarranid
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Eumla


N°4176- mai 2007


Le problème urbanistique de Gharma


ville
quartier résidentiel populaire de Gharma


La croissance de Gharma retient particulièrement l'attention. La croissance de la ville apparaît comme non stabilisée, la population de l'agglomération approchant 4 600 000 habitants au dernier recensement de 2008 ne cessant pas de croitre. Les causes de cette croissance sont complexes. Il y évidemment la multiplication des emplois industriels dans la capitale et ses abords. Il faut cependant rappeler que l'industrie ne peut satisfaire la grande masse de nouveau prolétaires. Outre que plusieurs des usines créées à grands frais fonctionnent très incomplètement, si l'on se réfère à des études calculées pour l'ensemble de la ville, la population avec des emplois industriels reste faible. Comme beaucoup de villes avec un fond rural soumis à une tension démographique ou marqué par des vices de structures, la ville devient le réceptacle qui concentre toutes les populations qui tendent à se mobiliser, qu'elle puisse ou non répondre à la demande de ces populations. Mais c'est au prix de la stagnation à un très bas niveau économique d'une part très importante de la population. Malgrès cela il n'y a pratiquement pas de bidonvilles ou de quartiers d'habitat provisoire de ce type. On mettra volontiers cette anomalie en rapport avec l'étendue de la ville ancienne, qui présente de ce fait une capacité d'absorption peu ordinaire. Les villes où les quartiers provisoires occupent le plus de place sont précisément celles où le noyau ancien est peu important. Une autre caractéristique de la répartition de la population, c'est la brusque diminution des densités selon les quartiers. Naturellement, cette occupation d'une extrême densité dans certains quartiers constitue le problème majeur de l'urbanisme à Gharma. D'autant plus que les quartiers anciens, très longtemps négligés, voient chaque année leur capacité théorique de logement diminuer par la vétusté des immeubles. Beaucoup de rues de la vieille ville sont marquées par un délabrement qui donne évidemment aux autorités responsables la tentation de raser des quartiers entiers. Pour conclure qu'il s'agisse d'initiatives privées ou de construction par l'État, les projets de décongestion des vieux quartiers ou de logements pour les nouveaux arrivants, ne perturbent pas la dynamique de croissance. Puisque, les acteurs privés ont un impact très localisé et n'ont presque aucun effet sur la structure urbaine. Là où l'état peut avoir des actions à l'échelle de la ville, mais cela impliquerait des couts, des engagements et des responsabilités pharaoniques.

source: bureau d'étude urbanistique de la République
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Eumla


N°417 - juin 2007


Le mix énergétique sarranid


Avec une consommation annuelle d'environ 30 000 GW, la République sarranide
a su faire face aux enjeux énergétiques qui c'est dressé devant elle. En effet, grâce à
l'important investissement dans les infrastructures liées à l'énergie dans les années 90,
le pays peut être satisfait de son secteur énergétique. Nous allons observer le mix
énergétique sarranid, c'est-à-dire la répartition des différentes sources d'énergies primaires.


barrage
Barrage sur le fleuve vert


La géographie du pays a une colonne vertébrale, le fleuve vert. Celui-ci est aussi la colonne vertébrale du secteur de la production d'énergie puisque 52% (soit 15 600 GW par an) de l'énergie hydroélectrique via un réseau de barrages fluviaux répartie le long du fleuve. Ceci permettent la mise en place de réseau d'infrastructure d'irrigation, mais aussi, de moyen de prévention des risques exceptionnel lié au fleuve comme de grande crue. Cependant, ces barrages sont un obstacle au transport de sédiment par le fleuve, transport qui est indispensable pour préserver le littoral ainsi qui pour les cultures qui se concentrent le long du fleuve. Afin de réduire cette altération du transport, la société de gestion des barrages a une obligation de lutter contre l'effet d'ensablement des barrages. De plus, dans le but d'affecter le moins possible le niveau des nappes phréatiques situé en aval, la gestion des barrages est contrôlé par une branche de l'institut de géographie. La deuxième source d'énergie du pays est le soleil. Avec le désert qui est un milieu sec et très ensoleillée répartie sur le territoire. Le soleil est une source providentielle pour le mix énergétique sarranid. L'énergie solaire représente 38% de l'électricité produite, avec environ 11 400 GW produit annuellement. D'autant plus que le risque pour l'environnement majeur est l'occupation importante du sol, mais ce risque dans un milieu a une biodiversité très limitée et à relativiser.La troisième source d'énergie est le vent avec 6% de l'électricité (soit 1 800 GW par an) qui est produite par des par éoliens, situé majoritairement dans le sud du pays. Mais ces parcs ne produisent de l'électricité seulement les jours de vent. C'est pour cela que les sources d'énergie fossile (gaz, pétrole) représente 4% et parfois plus lorsque les centrales thermiques doivent compenser l'absence de vent. Pour conclure le mix énergétique sarranid permet à la république une production électrique qui lui est indépendante et vraiment peu carbonaté. Grâce notamment au fleuve vert, sa principale source d'énergie.

source: ministère de l'énergie sarranid
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Aljumhuria


N°817 - janvier 2007


A la recherche de pétrole !


pétrole
Terminal pétrolifère sarranid


Le sol de la République sarranide est riche, selon certain géologue, celui-ci regorgerait d'or noir, de pétrole. C'est pour cela que le gouvernement souhaite se lancer dans un plan économique en quatre phases. La phase zéro est l'annonce de la création de la société pétrolière sarranide sarraco Cette société a pour objectif premier la prospection sur l'ensemble du territoire, et donc dans ce cadre, elle rendra un rapport dans les mois qui suivent pour connaitre les ressources exploitables du pays. La deuxième étape est de former les jeunes à la maîtrise des compétences techniques requises, ainsi que la conception des infrastructures nécessaires. La troisième phase est la construction et la quatrième l'exploitation.
Pour le futur de cette entreprise gouvernementale, trois scénarios sont possibles:
Après prospection et recherche, le sol sarranid ne détient pas assez de ressource en hydrocarbure pour être exploité. C'est parce que ce scénario est possible que le gouvernement ne s'emballe pas et ne promet pas mon et merveille de ce projet qui devrait couter cherche au budget de l'État.
Le deuxième est que les ressources sont exploitables, mais en peu de quantité, ce qui permettrait une indépendance énergétique partielle et une légère industrialisation de l'économie.
Le troisième est que les ressources dépasse tout entendement et cela assuré un facteur de croissance ainsi que forte industrialisation avec la création de nombreux emploie.
Seul le rapport de prospection de la nouvelle entreprise public sarraco nous dira si un tel projet est viable.

source: Vizir de la république, Jihan Salhi
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Aljumhuria


N°819 - mars 2007


L'aventure du pétrole sarranid commence !


pétrole
Raffinerie à Sana


À la suite de la campagne de prospection de Sarraco pour trouver de potentielles sources d'énergies fossiles, les résultats dépasseraient les attentes. En effet, même si la campagne a prouvé que le nord du pays est dépourvue de telles ressources, dans le centre et le sud, le pétrole coulerait à flot, avec plus de 300 milliards de barils de pétrole. D'après Sarraco la formation et la construction d'infrastructure nécessaire à l'extraction auraient commencé. La grande question que tout le monde se pose, c'est l'usage des revenus par le gouvernement. Certains représentants du peuple disent déjà, qu'ils seraient très attentifs aux dépenses et que personne ne se servira impunément dans les ressources nationales sans que cela se voie.

source: sarraco
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Bureau du Vizir


source: Vizir de la république, Jihan Salhi


Le renouveau sarranid


Aboul_abasse
Aboul Abasse regardant vers l'avenir

Quels que soient les événements, la République sarranid se part des habits d'une puissance à la fois économique et militaire. Après une absence manifeste du pouvoir. Le gouvernement a affirmé "vouloir réveiller le Lion qui dort". C'est une série de réformes qui vont être envisagée par l'exécutif, à la fois constitutionnels, économique, diplomatique et militaire. Le gouvernement d'Aboul Abasse souhaite donner un cadre régalien clair afin que la République puisse "jouir de tous ses facteurs de puissance". Un calendrier des actions d'état devrait être communiqué dans les prochains temps.
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Institut géographique sarranid

publié le 03/01/2010


carte_géo-générale
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Alqisas


N°1 - Janvier 2010


Le premier grand souverain sarranid



Saladin Sarranid est de ces Hommes qui marquent leur temps.
En effet, celui qui fut surnommé "le grand" marqua à jamais l'histoire
en unifiant les villes et émirats alentour pour fonder son sultanat, le Sultanat Sarranid.

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Portrait de Saladin Sarranid (exposé au musée national de Gharma)

Nous sommes en 452 lorsque le jeune Saladin Sarranid s'installe sur le divan de l'émirat de Gharma. On ignore les causes du décès de son père, on sait juste que lorsqu'il arrive au pouvoir, Saladin n'est absolument pas contesté. Les premières années de son règne sont paisibles. Gharma qui est alors un carrefour commercial prospère. C'est en 459 que Saladin décide de prendre les armes pour étendre son pouvoir. Il profite d'une querelle de succession pour envahir l'émirat du delta, jouant habilement entre les deux frères rivaux, il réussit à s'emparer des places fortes et a écarté les deux prétendants. Après cette campagne, Saladin rentre victorieux à Gharma. Il repartira 2 ans plus tard pour unifier les cités-états situées à l'ouest de Gharma. Après une série de sièges et de batailles les plus sanglantes les une que les autres, l'intégralité de ce qui est la côte sarranide est unifiée. Mais lors de cette campagne qui dura en tout 15 ans, Saladin fut blessé à la jambe droite, l'handicapant énormément dans ses déplacements. Il se fera nommer sultan à partir de 476, le reste de son règne sera marqué par la mise en place d'une administration et la création de place forte pour empêcher les "peuples du désert" comme ils étaient nommés de piller le sultanat. Il tenta de maitre un terme à ces pillages avec des expéditions dans le désert, mais son handicape l'obliger de renoncer à ces guerres de mouvements. Il meurt assassiné par un paysan en 503 après 51 ans de règne laissant à son héritier un sultanat stable.

source: Musée national de Gharma
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Alqisas


N°1 - Janvier 2010


Les peuples du désert


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Gravure d'un nomade du désert

"l'Homme qui a la patience de voir le désert bouger, celui qui au milieu du sable ne prend pas la poussière" comme ile se définissent. L'histoire des peuples du désert est très incertaine, elle se transmet uniquement par voie orale, ce qui en fait plus un mythe, une légende, un poème. Ce sont des peuples nomades. Ils vivent dans des tentes puisque comme ils aiment le dire : "seuls les peuples qui ont peur bâtissent des murs". Des fois marchand, des fois pillard, ces nomades ont un rapport au sédentaire qui fluctue selon l'histoire et les nécessités. Saladin Sarranid en parlera comme "l'ombre insaisissable des nuages dans le désert".
Aujourd'hui, les habitants du désert sont très peu nombreux, mais toujours nomade. Ils ont abandonné leurs anciens Dieux d'on ne connait pratiquement rien, pour se convertir à l'islam. Ils vivent en marges de la société, bien qu'ils soient recensés comme toute la population, qu'ils ont les droits et devoirs de chacun. La grande majorité d'entre eux sont partis vivre en ville ou se sont sédentarisés dans des oasis.
Il reste toujours des irréductibles.

source: Musée national de Gharma
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Aljumhuria


N°828 - Janvier 2010


Un monstre de vie


Les entrailles de Gharma retentissent de rugissement sauvage. Le métro.
A trente mètre de profondeur, sous une lumière blanche qui se reflète sur
les mosaïques au motifs arabesques. Ici basket de marque, sandale bariolée
ou chaussure richelieu se talonnent sur le sol de ces boyaux enchevêtrés.
C'est l'heure de pointe, tout le monde si engouffrent.

Par Mohamed Rissal

porte
Façade dans la vielle ville.

À la surface, dans le ronflement des moteurs, les piétons et cycliste passent dans l'indifférence. Gharma ville épicentre du pays, déborde de ses habitants. Elle s'étend, s'étale avec comme seul limite le littoral. À la fois porte d'entrée et centre du pays, la capitale bouillonne. Le centre historique, composé d'anciens monuments et aux rues escarpées entre les façades à l'architecture islamique, est l'endroit le plus agréable de la ville. L'absence des véhicules à moteur (dû aux rues étroites) est un véritable bol d'air. S'allongeant le long du fleuve jusqu'à la côte, la vielle ville est le cœur de la ville (et la tête du pays par les institutions qui y résident). Les palais des Sultans, les mosquées, les parcs, les cafés et petits kiosques en font une ville musée. Sur la côte, face à la mer, la zone aéroportuaire contraste fortement avec le calme de la ville cité. Ici les quais remplacent les parcs, le pétardement incessant des camions, le chant des oiseaux. C'est ici que les bateaux se remplient et se vident. Ici que les avions atterrissent et décollent. Ici, une grande partie de la population pauvre de la ville y gagne son pain. Cette population vit dans les quartiers sud. Dans ces quartiers aux cris incessants, le mélimélo des routes perd le visiteur inverti. C'est un labyrinthe vivant. Une masse de population si entasse. Quartier délaissé, l'urbanisation y est incontrôlable. C'est un casse-tête politique que peut ose aborder. Ce quartier sépare le cœur de la ville et la zone portuaire de l'espace industriel. Créer par un décret de 1936, cette espace concentre les industries. Foret de cheminées, on se fait à dire aux enfants : "C'est ici que son construit les nuages, libérés par les cheminées.". C'est entreprise pioche dans la masse de prolétaire qui s'entasse et s'écrase. L'une des fiertés du gouvernement se trouve face à la vielle ville, de l'autre côté du fleuve, le quartier des affaires. Là des fortunes se fond et se défont. Sous l'ombre des bâtiments moderne qui réinvente l'architecture traditionnelle. C'est la vitrine de l'économie du pays, derrière laquelle on cache la pauvreté, des quartiers coincés entre monument et cheminé. Gharma est un ogre, un monstre, une pieuvre qui s'étale et avale tout sûr son passage. Elle est faite d'une multitude de visages qui se reflète dans les eaux tumultueuses du fleuve.
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Aljumhuria


N°828 - Janvier 2010

Le pétrole, moteur de la démocratie


S'il y a une ressource qui est au service de la démocratie sarranide,
c'est bien le pétrole. Celui-ci alimente à la foi l'économie et la démocratie
sarranide. Cette ressource miracle est une véritable voute qui maintien
l'architecture démocratique du pays. Avec son secteur pétrolier obnubilant,
la République sarranide est surnommé la pétro-république

par Sofian Kabbal

eau et pétrole
Tableau "eau et pétrole" de Karit Houyri, exposé au musée national de Gharma

La clé de la voute démocratique sarranide réside dans ses ressources naturelles. Alors que la République sarranide est vue comme un fleuve coincé entre les montagnes et le désert. La réalité est tout autre. Riche de ses terres fertiles grâce au fleuve vert, mais surtout très riche de son désert par son "fleuve noir", où coule le pétrole. Lors de sa découverte dans les sables sarranids cette ressource a fut l'objet de facto d'une chose que l'état sarranid fait rarement dans son histoire, la nationalisation. En effet, les gouvernements successifs de ce pays ont toujours eu des politiques économiques libéraux. La nationalisation du secteur pétrolier, lors de sa naissance, a permis à l'état d'investir pleinement dedans. Faisant directement entrer la gestion de cette ressource dans le domaine régalien. Depuis, cet or noir remplit les caisses du trésor sarranid. En 2009, le secteur pétrolifère représente près de 45% du PIB du pays. Cette ressource, c'est imposer comme la nouvelle colonne vertébrale économique du pays. Le pétrole sarranid à permis aux autorités dans un premier temps a ne plus se soucier du cout de l'énergie dans le pays. Dans un second temps, la rente pétrolifère, finança infrastructures et institutions de la république. La décision politique de redistribué la ressource via des investissements fut une véritable décision éclairée du pouvoir. Puisque la politique autour de cette ressource a fait naitre un sentiment entre le peuple et sa terre, à partir duquel les ressources naturels doivent être exploitables pour le bien commun. C'est en soi un véritable phénomène de nationalisation par le bas qui se produit (différent de la collectivisation par la participation centrale du secteur privé). Le fleuve noir a permis se luxe à l'état d'avoir comme principal problème économique, la recherche de marché extérieur pour exploité pleinement la capacité de développement du pétrole. La visite du président Aboul Abasse à Kronos étant en quête de solutions. Ce trésor a permis l'émergence d'une oasis démocratique noir. Finançant la justice, la sécurité, les commissions électorales. Cette oasis n'a pu émerger uniquement du fait de la transparence des transactions du secteur, qui tua toutes tentatives de détournement ou de corruption dans l'œuf. Mais elle n'a malheureusement pas permise la création de la classe moyenne importante qui aurait pu réduire l'écart de richesse du pays qui est imposant. Cet or noir a des côtés obscurs aussi, car l'état en dépendant énormément. Imaginons qu'un jour le fleuve noir s'assèche, cela serait une véritable catastrophe économique pour le pays. Le pétrole est une drogue pour la démocratie sarranide au sevrage plus que douloureux, sûrement même mortel.
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Un homme lit le journal

Au sein de la capitale bourdonnante, dans un petit café du centre historique, un homme rentre. Il s'assoit au comptoir et dit:
"Bonjour, je vais vous prendre un café s'il vous plaît."
Le cafetier lui fait un signe de la tête pour lui indiquer que la commande est bien prise. Après un petit temps, il se dirige vers l'homme café à la main et lui pose devant en lui disant:
"Ça vous fera 20 dinars."
L'homme envoie sa main dans la poche de pantalon qui lui parait sans fin. Il prend une petite poignée des pièces qu'il sent entre ses doigts et l'extirpe de sa poche. Il compte et renvoie les pièces en trop au fond de sa poche. Il tend sa main vers le cafetier pour lui donner son dû et lui demande:
"Auriez-vous le journal ?".
Le cafetier voyant que le compte est bon lui répond.
"Il est sur la table derrière vous."
L'homme se tourne et voit le journal posé sur la table. Il se lève, le récupère et va se rassoir. Il fait ça si vite qu'on a l'impression dit qu'il a peur qu'on lui vole sa place. Une fois assit, il déplie le journal et lit:

Les eaux de Leucytalée se troublent
par Moushira Shamoon

Les tensions entre ONC et UNCS ont fini par éclater. Après que les deux alliances est bombé le torse avec leurs exercices militaires réciproques, elles en viennent aux mains, aujourd'hui. Ainsi, le ONC veut couper le Kronos afaréen du reste de Kronos. Ainsi, la flotte de guerre de ONC coupe le détroit à Kronos qui ne compte pas se laisser faire. Espérons que le théâtre d'opération du détroit de Leucytalée ne laisse pas place à une macabre pièce.

Le voyage d'Aboul Abasse
par Moustafa Shammas

Notre président, Aboul Abasse revient d'un voyage diplomatique en Kronos où il a rencontré le dirigeant Baldassare Calabraise. Cette rencontre est un sujet à controverse pour l'opposition qui voit dans la figure du dirigeant de Kronos une menace à la démocratie. Mais Aboul Abasse ne revient pas les mains vides de son voyage. Il revient avec de nouvelles opportunités économiques (avec un nouveau marché pour le pétrole sarranid) et un positionnement sur l'échiquier diplomatique. En effet, Aboul Abasse a signé un accord où il engage le pays à ne jamais s'engager dans ONC ou UNCS. Cet accord concrétise le désire de neutralité du président.

Une nouvelle voie
par Omar Bitar

À travers les montagnes tortueuses, un étrange animal se faufile, fait d'acier, suivant un chemin tout tracé. La nouvelle voie ferrée reliant les agglomérations montagnardes du sud du pays est ouverte depuis peu, elle est une tentative de l'état de désenclaver ce territoire. Les habitants l'attendaient avec impatiences. Cette nouvelle voie permet de relier la région montagneuse au reste du pays bien plus facilement que par les vielles route. Ce train flambant neuf a tout de même un coup et certain politique de Gharma fustigent le fait qu'il ne sera jamais rentable et que c'est une décision politique qui coutera à la nation sur le long terme.


Une voiture s'arrête devant le café et klaxonne. L'homme lève la tête, regarde sa montre. Il avale le fond de café noir qui lui restait, plie le journal, le repose en saluant le cafetier. Il sort, se dirigeant vers la voiture arrêtée et monte dedans.
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Des lignes de chiffres

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Cour du palais de Bakennifi, ministère des Finances

Dans la vielle ville de Gharma, une voiture noire, aux vitres tintées, s'arrête devant le vieux palais de Bakennifi, où le ministère des Finances a élu domicile. Un homme enrobé, au costume noir, sort du véhicule et se dirige vers l'entrée du palais. Une fois devant la porte, un des agents de sécurité ouvre la porte en disant:
“Monsieur le ministre, bienvenue.”
Le ministre passe la porte, puis traverse la cour du palais. Il avance jusqu'à la porte de son bureau. Devant elle, sa secrétaire et lui ouvre la porte. Il rentre dans la pièce et s'assoit derrière son bureau. Son bureau est si grand qu'il y est presque ridicule derrière. Après cinq minutes, sa secrétaire rentre une pile de dossiers entre les bras. Elle dépose les dossiers sur l'immense bureau et commence à parler:
“Monsieur, voilà votre agenda, vous avez deux rendez-vous aujourd'hui. Un avec les représentants du secteur agricole ce matin à 11h et le deuxième est avec le ministre des Affaires étrangères. Ici, vous avez le rapport sur les prévisions des entrées agricoles, ici celui des ventes, de la consommation et production de pétrole. Là, vous avez le rapport sur le développement du secteur secondaire. Ces deux dossiers sont les demandes de budget du ministère de la Guerre et de l'intérieur.”
Le ministre lui fait un signe de tête et s'enfonce dans son fauteuil. La secrétaire lui rétorque:
“Un café monsieur Sabbagh ?”
Il acquiesça à nouveau et elle se retire en fermant la porte. Une fois la porte claquée, il regarde sa montre et jette un coup d'œil sur son agenda. Il prend le premier dossier et lit. Sur ce dossier une page sur la pluviométrie, une sur la production et les commande d'engrais, une autre sur la future production des différentes récoltes, puis une autre sur la consommation passée et une autre et une autre… . Après avoir feuilleté le dossier et observé les lignes et colonnes sans fin, remplies de chiffres. Il pose le dossier, regarde sa fenêtre où les rayons du soleil travers péniblement le rideau. La secrétaire toc puis rentre sans attendre ou entendre une approbation. Elle dépose un café sur le bureau, lui demande si tout est bon. Il la regarde, lui fait un signe de la tête avec un regard apaisé. Elle prend note de sa réponse et sort du bureau en fermant la porte. Le ministre rapproche son café et se saisit le deuxième dossier. Il l'ouvre, regarde les tableaux remplis de chiffres à en déborder. Il prend note avec un crayon sur une feuille de quelque idée qu'il a en sirotant son café. Lorsque la tasse est vide, il se penche sur sa montre. Puis, il se lève, se saisit du premier et troisième dossiers et sort de son bureau. Sa secrétaire se lève et lui dit:
“Votre voiture vous attend à l'entrée, bonne journée monsieur.”
L'homme travers le palais en sens inverse de son voyage matinal. Il s'engouffre dans la voiture noire, clac la portière et sen va.
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La maladie du pouvoir

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Coté du Palais bleu, lieux du pouvoir présidentiel.

Un courant d'aire froid, glacial souffle dans le Palais bleu. Les portes du Palais sont fermées. A l’intérieur le service de sécurité présidentiel garde l'aile présidentiel. Aucun regard motivé par une curiosité tintée indiscrétion ne peut passer. Seul des Hommes en blouses blanches et des militaires vont et viennent à l'intérieur. Dans un couloir un médecin s'agite en lisant un rapport d'analyse. Sont stress se répand comme une maladie contagieuse. La chambre du président est coupée du monde par des sasses de décontamination. Si les maladies ne peuvent entrées dans la chambre, le secret lui, sortira bien un jour ou l'autre. Le président est mourant. La faucheuse est à son chevet, au côté de tout les médecins qui essayent de la repousser autant qu'ils le peuvent. Personne ne sait quand elle partira avec le président. Dans les couloirs du pouvoir la rumeurs court déjà. Certain s'inquiète, d'autre ignore et ils y en qui voient leurs regards se remplir d'opportunité. Les ministres font tout pour que le secret ne sorte pas. Ils dissipent le moindre doute dès qu'ils peuvent. Ils savent qu'ils ont le sablier contre eux. Le président est malade et le pouvoir fait une étrange danse.
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