11/03/2013
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[HRP] Petites précisions et explications sur la Youslévie

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[HRP] Petites précisions et explications sur la Youslévie


Pourquoi les Youslèves sont arrogants ?

Ceux qui ont eu l'occasion de discuter avec les différents diplomates youslèves ont souvent pu remarquer une particularité, parfois flagrante chez certains (Vaillancour) ou latente pour d'autres (Romeretegui), cette caractéristique est une certaine fierté, voir de l'arrogance quand les Youslèves parlent d'eux-mêmes et de leur pays.

En effet, les Youslèves ne se prennent pas pour n'importe qui, ils sont très fiers de rappeler que leur pays est beau, démocratique et puissant. Mais qu'est ce qui peut leur faire penser cela ?

L'Histoire comme alliée partie 1 : la démocratie
Il est vrai que le passé parle en faveur de la Youslévie et a de quoi rendre fière les plus patriotes.
Premièrement, l'un des principaux arguments avancés quand un Youslève vous parle de la supériorité de son pays sur le vôtre est que ses ancêtres sont parmi les premiers démocrates du monde.
Effectivement, les habitants des côtes leucytaléennes youslève pendant l'antiquité avaient un système politique et administratif fonctionnant par cités indépendantes ayant chacune un fonctionnement différent, oligarchique, monarchique, tyrannique et bien sûr démocratique.
On compte, dans les cités démocratique, Baltos qui est aujourd'hui l'une des plus grandes villes du pays et un port très attractif.
De plus, après l'Union (regroupement des Yous et des Lèves sous la même bannière et la conquête des anciens territoires Vasques) et un court passage par une monarchie absolue. Le Roi Helenio IV décrète un changement majeur dans la gouvernance du pays et la création d'une Assemblée du Peuple en 1671, faisant alors de la Youslévie un des seuls pays démocratiques de l'époque.
Enfin, lors du siècle dernier, les youlèves ont menés par deux fois des luttes décisives afin de mettre en place le système politique encore en vigueur aujourd'hui et qui est reconnu dans le monde entier comme un exemple de démocratie. La première est la Révolution (1903-04) qui aboutira à la disparition (littéralement) du Roi Emmanuel II et à la mise en place de la République Fédératrice de Youslévie. La seconde est la Guerre Civile (1975-1984) où la république et plus largement la démocratie a été compromise, mais une fois de plus les Youslèves réussirent à sauvegarder cette héritage millénaire pour faire naître la Seconde République Fédératrice de Youslévie.

Les Youslèves ne manqueront donc pas de vous rappeler ce passé politique envieux. Les plus extrêmes d'entre eux regarderont aussi souvent de haut les pays monarchiques, mêmes parlementaires, qui est assez bête pour encore se laisser gouverner par une seule personne qui n'a comme unique qualité d'être née du bon père ?
Attention, cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de contradictions dans leur discours. Vous pouvez effectivement demander à ces mêmes personnes quel est le plus illustre personnage de l'Histoire du pays. Il y a 90% de chances pour qu'il vous réponde Ezio Arnages, le premier Roi de la Youslévie qui fût aussi celui qui mit en place la monarchie absolue, de manière temporaire selon ses dires mais qui lui survivra afin de continuer pendant encore presque sept siècles.
Et oui, un Youslève a aussi ses contradictions.


L'Histoire comme alliée partie 2 : la puissance passée
La Youslévie a eu des grands moments de dominations territoriales, culturels, économiques ou militaires. Tout d'abord régionalement, les youslèves ont souvent dominés leurs voisins dans toutes les thématiques expliquées précédemment.
Ensuite, la Youslévie a bien sûr jetée son dévolu sur des contrées lointaines et a entamée une grande période de colonisation qui prit fin avec l'indépendance du Farisistan à la fin des années 1910. A sa plus grande époque l'empire colonial youslève avait des terres en Afarée avec l'actuelle Union de l'Afarée du Nord, le Farisistan et le territoire de afaréen de l'Empire du Nord; au Nazum avec le Mokhaï ou encore au Paltoterra avec notamment Rio ou encore d'autres possessions aujourd'hui fortunéennes un peu partout sur le globe.

Il est vrai qu’aujourd’hui le concept de colonisation n'est plus si sexy qu'avant et que beaucoup regrettent que la Youslévie ne s'est pas plus excusée par rapport aux actions commises durant l'occupation. Cependant, vous trouverez toujours des nostalgiques qui vous rétorqueront : "Oui enfin, si on avait pas été là pour apporter la civilisation, ces endroits seraient encore sauvages et pas civilisés".


Vous l'aurez compris, les Youslèves ne se prennent pas pour de la merde.
La langue Youslève


L'Histoire :

Le youslève est une langue eurysienne née officiellement en 1510 sous le règne d'Hellenio II, Roi de la Youslévie à l'époque, qui a décrété que la Youslévie devait être dotée d'une langue unique et officielle, elle qui à l'époque était peuplée de dialectes plus ou moins anciens que le vasque, le yous ou le lève.
Hellenio créer donc l'Institut National de la Langue Youslève, composé d'érudits et de littéraires parmi les plus sages et les plus savants de l'époque qui ont pour mission de créer une langue pratique à comprendre et à utiliser pour la majorité des habitants du pays.
Les membres de l'Institut, existant encore sous le même nom et où les membres doivent cette fois décider ou nom des évolutions de la langue actuelle, vont donc s'inspirer d'un pidgin (dialecte rudimentaire né du mélange de deux langues, souvent utilisé pour le commerce), celui du yous et du lève, les deux langues les plus parlées dans le pays.

Le yous est une langue hellénique indo-eurysienne. Cette dernière, très proche du grec ancien dans sa forme rudimentaire, est un dérivé de la langue parlée à la même époque par les Novirs, peuple de l'actuel Novigrad qui ont fondé de nombreuses cités-états dans l'actuelle Youslévie (voir article sur l'Histoire youslève). Petit-à-petit, et au fur et à mesure que la société yous se désolidarisait de ses origines noviriennes, la langue yous s'est développée de son côté pour devenir une branche à part des langues helléniques.
De son côté, le lève est un langage parlé par le peuple Lève (!) résidant autrefois dans l'actuel nord et ouest de la Youslévie. Le lève est une langue de type romane, c'est à dire tirée du latin vulgaire car il est vrai que l'empire rémien a eu une influence considérable sur cette partie de l'Eurysie en son temps.

Nous voilà donc avec deux langues, un langage mixant les deux et des savants qui doivent donner naissance à une seule et même idiome. La tâche n'était pas aisée car les deux dialectes étaient très différents, à commencer par les deux alphabets qui n'étaient pas les mêmes.
Quelques mois après la convocation de cette assemblée par Hellenio II, les érudits présentent leurs travaux au monarque qui valide cette proposition : la langue youslève telle que nous la connaissons aujourd'hui est née ce jour du 15 décembre 1510.
Depuis, la langue n'a pas énormément évoluée, les avancées les plus significatives sont les rajouts de nouveaux mots et la création du W comme lettre officielle.
On estime que le youslève a une similarité lexicale de 70% avec le grec moderne, 20% avec le français, 60% avec l'espagnol et 35%% avec l'italien.


La pratique :
Dans un soucis de compréhension, nous allons ici utiliser des langues sensées ne pas exister dans le monde de géokratos.

L'alphabet :
A – a – alpha
B- b – beta
C - c – crona
D – d – delta
E – e – epsilo
F – f – fi
Φ- ϕ – fia (utilisée pour remplacer le –ph)
G- g/γ – gamma (utilisée γ pour le j)
Η- h – heta
I – i – iota
K – k – kappa
L – l – lambda
M – m – ma
N – n – na
O – o – omicro
P – p – pa
Χ- χ- cha (utilisée comme –qu ou x si doublée)
R- r – ro
S- s – sigma (utilisé afin de prononcer le son –s)
T – t – ta
U – u-upsilo
V- v – va
W- w – byva
Y- y – ipsilo
Z – z – zeta

Lettres supplémentaires :
Ϛ – ϛ – stigma (utilisée après le radical pour les verbes conjugués au présent, prononcée -st)
Ϙ – ϙ – koppa (utilisée après le radical pour les verbes conjugués au passé, prononcée -qu)
Ϡ - ϡ– sampi (utilisée après le radical pour les verbes conjugués au futur, prononcée –s, -ks, ou –ts selon les mots

Les chiffres
1 : sol
2 : by
3 : try
4 : tetry
5 : penty
6 : hexy
7 : hepty
8 : octy
9 : solocty
10 : dy
100 : hecty

Principes de base :
Radicaux : inspiré des radicaux grec
Monèmes : espagnols ou aucun
Articles : définis enclitique (sur la base des terminaisons italiennes)
Pronoms : italiens
Pronoms personnels sujets : espagnols

Auxiliaires :
Être : emir
Avoir : ekhir
La conjugaison des auxiliaires ne nécessite pas l’ajout des lettres supplémentaires à part pour le verbe emi quand on l’emploie pour un lieu ou un état passager.
Pour ekhir, ce dernier se transforme en auxiliaire haber au passé composé (he/ has/ ha/ hemos/ habeis/ han)

Conjugaison :
Passé/ présent/ futur de l’indicatif : lettres supplémentaires + o/as/a/amos/ais/an
Se baser sur les conjugaisons espagnols.


Exemples de phrases :

Je m’appelle Maria.
Mi leϛo Maria.

J'habite à Baltos.
Katoiϛo Baltos.

Il était content
Emiϙo enthousiasmesto.

Ils auront deux enfants.
Ekhan by paidii.

Justice et Harmonie.
Dika e harmonia

République Fédératrice de Youslévie.
Républiχa Federativa di Youslevia
Les vestiges de l’hellénisme et son influence sur l'actuelle Youslévie (en cours)

La Youslévie peut être simplement résumée comme ceci : un territoire de culture latine peuplée à moitié par un peuple de cette même culture, les Lèves, et à moitié par un peuple de culture hellénique issus des anciens colons Novirs ayant peuplés l'actuelle côte youslève il y a de cela plus de deux millénaires, les Yous.
Si aujourd'hui, et à force de mélange entre les deux ethnies, cette vision est quelque peu dépassée, on retrouve toujours une grande influence de la culture novirienne et plus largement hellène dans toutes les strates de la société youslève.
En considérant que l'hellénisme est ce qui renvoie à la culture importée par les Novirs, et toujours majoritaire dans l'espace de départ de ces colons, nous étudierons les influences plus ou moins évidentes de cette culture dans la société youslève.



Le youslève :

L'influence des dialectes anciens parlés par les différentes cités yous et descendants directement du langage novirien des colons antiques n'est plus a prouver.
Un article détaillant l'histoire et la formation du youslève est disponible ici.


L'obtention de la nationalité:

Durant la période antique, l'actuel territoire youslève était en grande partie découpé en cités-Etats qui classaient les individus en différentes catégories.
On comptait les citoyens, dans la grande majorité des cas des hommes majeurs nés d'un père citoyen et d'une mère fille de citoyen. Ces derniers avaient notamment le droit de vote et pouvaient plus largement participer aux affaires politiques, cultuelles et militaires de la cité.
On retrouvait aussi les esclaves, asservis durant une guerre ou fils d'esclaves la plupart du temps, qui n'étaient pas libres et n'avaient aucun droit mais pouvaient être inclus durant certaines fêtes religieuses particulières ou, en cas de nécessité absolue, durant les guerres contre une promesse d'affranchissement.
Enfin, la dernière des trois grandes catégories d'individus composant les cités-Etats est celle des métèques, c'est-à-dire les étrangers vivant, parfois depuis des générations dans la cité. Les métèques étaient libres mais n'étaient pas des citoyens et n'avaient donc pas le droit de participer aux affaires de la cité. Ces derniers ne pouvaient devenir citoyen qu'après qu'on leur ai reconnu un grand mérite ou qu'ils aient rendus un précieux service à la cité.
Si aujourd'hui la notion d'esclavage a disparue, celles du citoyen et du métèque (metoïko en youslève, littéralement celui qui a changé de lieu de vie) sont toujours d'actualité. De plus, est apparue la question de la nationalité, et sur ce point là les youslèves se sont naturellement inspirés de leurs ancêtres.
La citoyenneté s'est élargie aux femmes et aujourd'hui un citoyen youslève est une personne majeure ayant la nationalité youslève et jouissant de ses droits civils et politiques.

La question est maintenant de savoir comment on acquiert la nationalité youslève et c'est là où l'élitisme des anciens youslèves se fait encore sentir aujourd'hui.
Pour être youslève on peut recourir au droit du sang. Il y a le droit du sang "automatique", quand le nouveau né acquiert la nationalité youslève d'office, quand ses parents sont tous les deux youslèves. Il y a aussi le droit du sang "volontaire", quand les parents doivent demander à ce que l'enfant acquiert la nationalité youslève car un des deux parents n'est pas youslève. La plupart du temps cette demande est acceptée. D'ailleurs, c'est l'unique moyen pour un youslève d'avoir une double nationalité avec la nationalisation pour service rendu, comme aux temps antiques. Si un Youslève obtient une autre nationalité alors il est déchu de sa nationalité youslève.
On peut aussi devenir youslève par droit du sol mais c'est une démarche assez compliquée. Pour cela il faut être né sur le territoire youslève de deux parents eux mêmes nés sur le territoire youslève mais n'ayant pas nécessairement la nationalité youslève.
La nationalité est donc quasiment impossible à obtenir pour un étranger.

Mais donc comment, avec des critères si compliquées à remplir, un non-youslève peut vivre en Youslévie ? Il peut tout d'abord demander un visa de résidence de plus de six mois. Une fois le visa obtenue il pourra obtenir la carte du métèque qui lui permettra de résider, d'avoir un emploi et d'accéder aux prestations sociales selon des formalités un peu différentes. Celui qui sera désormais un métèque ne pourra cependant pas voter aux différentes élections nationales et régionales.
Les conditions pour l'obtention de cette fameuse carte est la suivante : ne pas avoir été impliqué dans une affaire judiciaire durant la période précédant la demande de la carte, passer un test de langue et prouver qu'on est en capacité de pouvoir se loger.
A noter que le statut de métèque est automatiquement transmis à ses enfants.


La consommation de drogue :

En Youslévie, la consommation de certains psychotropes est depuis toujours tolérés, de la monarchie aux républiques et ceux sur l’ensemble du territoire.
Pour trouver une explication à cela, il faut se replonger dans l’histoire antique de la Youslévie. A l’époque, les Yous était un peuple issu des colons novirs venus de l’actuel Novigrad et qui s’étaient installés sur ce qui est aujourd’hui les côtes youslèves. Ces derniers croyaient bien sûr au panthéon hellène avec les divinités, les mythes, héros et créatures que cela implique. Et à l’époque une pratique est très répandue dans l’ensemble du monde hellénique, c’est la divination.
La divination peut être considérée comme la pratique de tenter de découvrir ce qui est caché ou invisible en temps normal. D’un point de vue de la Youslévie antique, la réponse aux questionnements posés est donnée par un ou des dieux, cette réponse est appelée « oracle ». Evidemment, la catégorie reine de la divination est la prédiction de l’avenir afin de savoir qui nous trahira ou si ce choix de vie s’avérera être le bon et ou pour répondre à encore énormément d’autres questions sur ce qu’il se passera dans le futur.
Il faut reconnaître que la divination avait un succès absolu à l’époque. Chaque grande cité yous avait sa propre spécialité de divination, en effet tous les dieux ne donnent pas d’oracles dans une cité et certains sont exclusifs à une ville particulière.
Les, sibylles, celles qui reçoivent justement l’oracle et la transmettent des dieux aux hommes, sont considérés comme des membres très importants de la société antique et ont des privilèges inhérents à leur profession. A noter que dans la quasi-totalité des cas les sibylles sont des femmes, sauf quelques exceptions spécifiques et tout de même très rares.

Mais donc, quel est le lien entre la consommation de drogue en Youslévie au second millénaire après J-C et la divination des cités yous dans l’antiquité ? Le lien est simple et beaucoup l’auront deviné, les sybilles, afin de pouvoir communiquer avec les dieux, consommaient des psychotropes.
Ces drogues prenaient, la plupart du temps, la forme de feuilles qu’on brulait pour en respirer les vapeurs ou qu’on machait pendant des heures. Certains champignons, pullulant sur le sol youslève, étaient aussi plutôt populaire. Ce sont ces choses qui permettaient de donner aux sibylles leurs fameux prétendus dons de clairvoyance.

Les sybilles restèrent très populaires pendant de nombreux siècles après l’unification de la Youslévie et ceux jusqu’à la Révolution de 1903 et la proclamation de la Ière République l’année suivante. Cette même République se proclama laïque, en opposition à la monarchie youslève ouvertement hellène. Les aides financières et morales furent donc stoppées et l’hellénisme perdit donc peu à peu en popularité dans la population. Les lieux de cultes, autrefois publiques, deviennent dès lors privés et à partir de ce moment-là il n’est pas rare de voir d’anciens petits temples dédiés au culte d’une petite secte locale tomber à l’abandon, les croyants préférant continuer leurs cultes chez eux plutôt que de se ruiner à garder debout un édifice dont l’entretien était autrefois financé par l’Etat.
La consommation de substances psychotropes reste néanmoins autorisée à la consommation dans le cadre des activités religieuses, et ceux jusqu’à aujourd’hui encore. Voilà donc comment, au nom du culte hellène, la consommation certaines plantes reconnues pour leurs effets droguant. La pratique de la divination continuant donc dans certains cas même si cette dernière perdit elle aussi de plus en plus de terrain chez les hellénistes jusqu’à ne subsister que dans de très rares sectes particulièrement extrêmes.

Néanmoins ce laxisme pose de nombreux problèmes. Certaines failles peuvent-être exploitées par ceux voulant consommer de la drogue en toute légalité. La plus connue et utilisée de ces failles est celle concernant les lieux de cultes.
Comme expliqué avant dans l’article, la plupart des sectes ont continués de pratiquer leur culte dans le domaine privé. Donc, pour pouvoir sauvegarder certaines pratiques considérées comme illégales si elles ne sont pas pratiquées dans le cadre d’un culte, dont la divination par usage de psychotropes, l’Etat a convenu que les pratiquants devraient faire connaître leurs lieux de culte afin que l’usage de ces pratiques y soient autorisées. Ces lieux de cultes seront ensuite homologués dans un registre spécial ouvert à tous. Attention, ces endroits ne doivent pas être enregistrés comme des domiciles pour éviter toutes dérives.
Problème, certaines personnes pas croyantes du tout en ont profités pour ouvrir de véritable coffee-shop ouverts à tous en exploitant les failles du système. Ces derniers ont inscrit leur établissement dans le registre de lieux de culte, permettant donc à leurs activités de devenir totalement légales.
Les gérants de ces « temples du dieu Cannabis », comme sont surnommés ces lieux particuliers, peuvent aussi bénéficier de la difficulté de prouver que leur magasin n’est pas un temple. Il leur suffit en effet de mettre un statut d’une divinité hellène, un petit autel et des gravures pour paraître tout à fait crédible.
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