[DIPLOMATIE] PAS A JOUR Liste des accords diplomatiques

« De nombreux indicateurs dont la militarisation du Détroit et le rapprochement du Walserreich avec plusieurs de ses voisins nous poussent à penser que celui-ci pourrait ambitionner la formation d’un axe d’alliance en opposition à nos intérêts. »

« Aucune affaire notable, ni positive, ni négative, n’est venue troubler la sérénité de nos eaux. Les Pharois sont des commerçants, à ce titre le libéralisme débonnaire de leur voisin germanique ne saurait être perçu qu’avec bienveillance et sympathie. »

« La République Fédérale de Makt incarne à bien des égards un modèle de stabilité régional et économique. Bien que je ne leur pardonne toujours pas d'avoir battu notre équipe au football, il n'en reste pas moins que lorsque nous tournons notre regard vers le nord, ce sont les feux d'un ami qui brillent à l'horizon. »

« Les Pharois ont su trouver dans leur voisin du nord un miroir policé à leurs frasques. Vision à la fois repoussoire et fascinante de ce qu'aurait pu être le Syndikaali s'il n'avait été si profondément rongé par l'irrévérence et la fébrilité. »

« Si presque deux-cents ans nous séparent de la République de Tapiolie, n'oublions jamais que nous fûmes unis pendant plus de mille. Ces gens qu'un autre qualifierait d'étranger, nous ne pouvons nous résoudre à les regarder autrement que comme des frères. Si nous ne pouvons à nous seul protéger la Tapiolie de ses démons et de son apathie, au moins ne sera-t-il pas dit que nous l'avons abandonné militairement. L'armée Pharoise et son peuple se tiendront prêts à défendre leur voisin face à toutes les formes d'adversité. »

« Cette rivalité sereine qui autrefois nous éloigna, force est de constater qu'elle est aujourd'hui potache. Ne subsiste plus grande différence entre un Pharois et un Tapiolais, si ce n'est que l'un fait des farces dont l'autre est le dindon, et réciproquement. C'est de bonne guerre aujourd'hui, faisant oublier qu'elle fut de mauvaise hier. »

« Je serai un idiot si je vous disais que je ne me méfiais pas de l'Empire Francisquien, cette nation est pareille à un chien dans un jeu de quille, nous ne jouons pas avec les mêmes règles. Néanmoins, son imprévisibilité a au moins le mérite de provoquer paradoxalement une certaine confiance : en restant sur nos gardes, en avançant à pas prudents, nous faisons des progrès certains. Comme disait un grand homme, ce sont des gouvernements honnêtes dont il faut se méfier, on ne sait jamais quand ils retournent leurs vestes. Avec les Francisquiens, au moins personne ne se pose la question. »

« L'inimité est comme la racine d'un chêne, elle s'enfonce profondément dans la terre et dans le cœur, vivace et enfouie, invisible à l’œil nu mais irrigue tout le reste. »

➤ Première exécution d'un adolescent pharois sans procès. Les raisons de sa mort sont troubles, le Syndikaali exige la libération de deux autres de ses ressortissants ainsi qu'une enquête.
➤ Les échanges diplomatiques sont une impasse, le gouvernement impérial est jugé insultant et peu ouvert à la discussion.
➤ L'accès au Détroit et aux mers du Nord est fermé à l'Empire Latin Francisquien jusqu'à ce que les exigences du Syndikaali soient respectées.
➤ Refus de collaboration de l'Empire Latin Francisquien, le Syndikaali met en garde contre des représailles et lance un ultimatum pour récupérer ses enfants.
➤ En réponse à l'ultimatum, l'Empire Latin Francisquien exécute ses deux autres prisonniers par pendaison, à nouveau sans leur laisser la possibilité de se défendre juridiquement.
➤ Déclaration d'une Fatwarrr ! contre l'Empire Latin Francisquien, ses côtes peuvent désormais être attaquées par les pirates sans craindre de conséquences. Le Pharois Syndikaali déploie ses sous-marins dans la région pour soutenir la piraterie.
➤ L'Empire Latin Francisquien déclare à la guerre au Pharois Syndikaali, ouvrant la première guerre inter-nation de la nouvelle ère en ce qui restera connue comme la guerre francisco-pharoise.
➤ Les pirates pharois brisent les axes commerciaux de l'Empire, au large des grandes villes les sous-marins du Syndikaali menacent d'ouvrir le feu sur les navires stationnés aux ports.
➤ L'Empire Latin Francisquien reconnait sa défaite et accepte les conditions du Pharois Syndikaali. Les corps sont rendus aux familles, une compensation financière est versée, la législation impériale modifiée et des excuses publiques sont prononcées. L'Empire s'enfonce dans le chaos.

➤ Après de nombreuses réformes politiques dans l'Empire désormais Démocratique Latin Francisquien, une première rencontre diplomatique entre les deux nations est organisée à Pharot afin de discuter de la sécurité de la région entre grandes puissances.

➤ L'Empire Démocratique Latin Francisquien s'engage à ne plus condamner à mort les étrangers arrêtés sur son sol sans autorisation express de leur gouvernement d'origine. Toute exécution qui ne respecterait pas cet engagement pourrait conduire à une reprise des hostilités.
➤ Suite à une rencontre entre le Capitaine Ministre Mainio et l'Impératrice à Latios, un pacte de non-agression et non-ingérence établissant clairement les zones d'influence réciproques de chacune est signé entre les deux puissances eurysiennes.

« Petit pays et voisin immédiat, la Lutharovie grâce ou à cause de son régime autoritaire est un partenaire fiable dans la région, autant politiquement qu'économiquement. Bien que son industrie tourne au ralenti depuis plusieurs années, son absence de marine empêche de la considérer comme une menace et nous invite à faire preuve à son égard de toute la bienveillance qu'on accorderait à un petit frère qu'il convient de garder dans son giron. »

« Quels qu'aient été les ambitions de leur gouvernement lorsqu'il a tendu la main à la Lutharovie, les Pharois n'en ont cure. Les alliances, les échanges culturels et universitaires qui se poursuivent avec constance entre le Syndikaali et son voisin rouge ont rapproché ces deux peuples plus sûrement que toutes les déclarations d'intention. La Lutharovie est peut-être autoritaire, mais sa population ne l'est pas. »

➤ Création commune de la ville de Merengrad, Zone Economique Exclusive accordée à la Merenlävät en échange du savoir faire industriel pharois dans la construction d'usines militaires.

➤ Création des premiers chantiers navals à Merengrad et implantation d'ingénieurs et de travailleurs pharois sur place
➤ Troubles entre population pharoise et lutharovienne à Merengrad, des citoyens pharois sont accusés de marché noir et de commerce illégal. La situation se règle suite à l'intercession des représentants de la Merenlävät qui calment le jeu.
➤ La présence de Yusinien à Merengrad contrevient aux accords diplomatiques passés, la question se règle d'abord par le dialogue, puis par l'intervention de la Merenlävät qui fait pression sur la communauté yusinienne pour les faire quitter la ville.
➤ Création de la clinique du peuple à Merengrad, financée par la Merenlävät pour soigner les travailleurs de la ville.
➤ Le Capitaine Ministre Mainio est reçu par Pavel Goslov à Merengrad où est négocié un plus grand rapprochement politique entre les deux pays et l'adhésion prochaine de la Lutharovie au Projet Universitas.

➤ Suite à la démission de Pavel Goslov, le Syndikaali manoeuvre avec Stanislav Zakharov, un membre influent du Parti Communiste de Lutharovie, afin de le placer à la tête de l'Etat et soutenir leurs intérêts mutuels.

« Si presque deux-cents ans nous séparent du Royaume-Uni de Norstalkian, n'oublions jamais que nous fûmes unis pendant plus de mille. Ces gens qu'un autre qualifierait d'étranger, nous ne pouvons nous résoudre à les regarder autrement que comme des frères. Aujourd'hui cet vieux pays que l'on croyait endormi se lève de nouveau, prêt à prendre part au grand concert des nations et nous nous devons à lui de nous dresser à ses côtés. L'armée Pharoise et son peuple se tiendront prêts à défendre leur voisin face à toutes les formes d'adversité. »

« Cette rivalité sereine qui autrefois nous éloigna, force est de constater qu'elle est aujourd'hui potache. Ne subsiste plus grande différence entre un Pharois et un Norstalkien, si ce n'est que l'un fait des farces dont l'autre est le dindon, et réciproquement. C'est de bonne guerre aujourd'hui, faisant oublier qu'elle fut de mauvaise hier. »