13/05/2013
15:04:33
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Rencontre officielle - Pharois Syndikaali | Empire Démocratique Latin Francisquien

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Et n'oubliez pas, diplomatie est le seul mot que vous devez avoir à la bouche.

Cette phrase, c'est la dernière que l'empereur a prononcé lors d'une entrevue secrète avec le Ministre des Affaires Étrangères Léon de Paritos. L'empereur savait que cette visite allait être très importante car en premier lieu, c'était la première entre le Pharois Syndikaali et l'Empire après la guerre Franco-Pharoise et à la clef il y avait un moyen de conclure un possible accord pour se débarrasser d'un ennemi commun, la Fraternité des mers du nord. Cette visite pourrait bien être décisive pour sceller le sort du groupe terroriste et enfin faire régner le calme sur les mers du nord avec le Pharois et ainsi espérer que chaque pays côtoyant la mer du nord serait reconnaissant au Pharois d'avoir agit plus fort et redorerait l'image de l'empire. L'image de l'empire, cette visite était aussi le moyen de montrer au Pharois Syndikaali que beaucoup de choses avait changées et que l'empire n'était plus le même en pleine période de démocratisation. Un empire réaffirmé qui cherche à redorer son image en affichant clairement son désir de démocratie qui devient chaque jour toujours plus forte, voici l'image que le Ministre des Affaires Étrangères devait transmettre durant sa visite.

4 août, port de Thylium, discours du Ministre, 20:16 :

Je vous remercie. Avant tout sachez que je suis ici selon votre volonté et qu'aujourd'hui je ne représente ni un gouvernement ni un groupe quel qu'il soit mais bien la nation toute entière qui part montrer au monde et aux plus récalcitrants que notre pays est bel et bien un pays démocratique. Avec cette visite c'est peut-être notre ouverture au monde et la diplomatie francisquienne toute entière qui changera et c'est pour cela que j'en prends la totale responsabilité. Diplomate et ouvert, ce sont les deux mots que je compte appliquer lors de cette visite diplomatique afin que notre pays obtienne ce qu'il veut sans brusquer ou offenser le Pharois Syndikaali avec qui je réaffirme vouloir une politique étrangère apaisée.

Après cette déclaration le Ministre embarqua à bord de son bateau et y rejoignis les militaires qui l'attendaient sur celui-ci sous les interrogations des militaires pleins de préjugés sur le Pharois Syndikaali comme étant un pays de sauvages et de pirates barbares. Encore un long voyage de nuit s'annonçait mais heureusement, aucuns problèmes n'est survenus durant celui-ci malgré les projecteurs de lumières au moment du passage au Détroit lancés droit sur le bateau.
Pharot n'était pas à proprement parler ce qu'on pouvait appeler une belle ville, mais pour qui savait y regarder elle avait son charme. Historiquement, c'était Albigark, la capitale, qui abritait le centre culturel de l'ancien Royaume d'Albi. Pharot, ville industrielle et bastion ouvrier avait été l'un des premiers bastions de résistance face à la monarchie et après la victoire, elle avait tenue à se démarquer de la noblesse en adoptant une architecture plus authentiquement populaire. En résultait une cité de brique rouge, puis de béton massif dans le plus pur style brutaliste des ingénieurs pragmatiques à qui on avait plusieurs fois donné pour tâche de moderniser la ville.
De toute façon, le Syndikaali accordait relativement peu d'importance à son architecture terrestre. Il aimait la beauté chez les autres, collectionnait les œuvres d'arts, tableaux et grands ouvrages de littérature que ses pirates et explorateurs ramenaient du monde entier, mais sur son sol on préférait l'aspect fonctionnel des grands bâtiments sans âme, transpercés de toute part par les fils de télécommunications qui assurait au pays une couverture réseau d'une qualité irréprochable.


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D'ordinaire au Syndikaali, on aurait reçu une délégation étrangère avec des tirs d'artifices, des chants et des danses, des gâteaux et des hourras. Pour les Francisquiens, un étrange silence s'était abattu sur le port. Nulle foule ne s'amassait sur les quais, mais de nombreux curieux observaient aux fenêtres la délégation de l'Empire accoster, tandis que d'autres avaient suivi son navire approcher depuis le bastingage de leurs propres embarcations.

Au loin, on pouvait entendre l'agitation habituelle de la ville. Beaucoup de cris d'enfants et les braillements des travailleurs du port, dockers et ivrognes de concert.

Sur un quai militaire, la délégation gouvernementale pharoise attendait, composée d'une vingtaine d'hommes de la garde d'honneur et qui portaient d'étranges cirés militaires, ainsi que trois ministres du Syndikaali.

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La Citoyenne Martta, Ministre des arts, de la culture et de la diplomatie, qui avait étudié le dossier francisquien pendant toute la crise politique des derniers mois, le Capitaine Kaapo, Ministre de la planification et qui s'occupait également de la sécurité intérieur et du contre-espionnage, et la Capitaine Elina, Ministre des explorations outre-mer, dont on ne savait pas vraiment pourquoi elle était là.

Diplomatiquement, la Capitaine Irja, ministre des armées, ne se trouvait pas là. Ses dernières tractations avec l'Empire Démocratique Latin Francisquiens avaient été jugées décevantes et une partie de la population continuai de juger que c'était sa gestion médiocre de la crise qui avait poussé à la mort des deux adolescents, ainsi qu'à l'entrée en guerre, même brève, du pays. Le choix de ces trois ministres étaient donc un geste plutôt positif et de bonne augure.

Quand le navire s'amarra à quai, les enceintes qui d'ordinaires servaient à annoncer des tempêtes diffusèrent l'hymne nationale francisquien, puis pharois. La Citoyenne Martta s'avança de son petit pas chaloupé et souriante.

- "Bienvenue à Pharot, amis Francisquiens. J'espère que vous avez fait bon voyage ? Nous allons vous conduire jusqu'au ministère des affaires étrangères."

Les autres ministres se présentèrent et saluèrent également, suite à quoi on invita les étrangers à prendre place dans des véhicules militaires qui s'élancèrent à travers les rues animés de la ville avec pour toute escorte la voiture de tête qui avait retiré sa capote et criait aux gens de se pousser. Si l'accueil pouvait paraitre un peu austère, c'était en fait la marque de fabrique du Syndikaali. Il suffisait de voir les gens dans les rues, la gueule des bâtiments pour comprendre que tout ici avait quelque chose de relativement bordélique et peu encadré. Toutefois, cela grouillait également d'agitation, de petites scènes de vie à la sortie des bars, dans les marchés improvisés et les enfants qui couraient en tout sens. Ici un groupe d'ados entamait une petite danse bas-dessus bras-dessous, là une homme vouté lavait sa voiture en détournant le jet d'une borne incendie. Plus loin, un groupe de policiers semblaient en discussion animée avec deux jeunes femmes aux tenues aguicheuses, et partout des armes. Tout le monde se promenait fusil sur le dos dans le coin et si on se servait plus des crosses comme décapsuleurs que pour tirer, il n'empêche que cela donnait une ambiance un peu étrange, électrique. En quelque sorte, la nation tenait ses promesses : la ville était un repaire de marins pirates à moitié et voyous jusqu'au cou, mais tout cela semblait se tenir tout de même, par la force de l'habitude et d'une certaine culture de l'indépendance et de l'autogestion.

Pharot n'était pas si grande. En vérité elle s'étalait sur une langue de terre si bien qu'elle possédait deux ports : un au nord et l'autre au sud. Un canal les reliait mais à peine assez large que pour faire passer deux navettes côte à côte.


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Enfin, on atteignit le ministère. Un épais bâtiment de béton aux formes vaguement stylisée pour évoquer des colonnades en sablier. A peu de choses près on aurait pu le confondre avec une usine de ciment.

Martta mena la délégation jusqu'à l'intérieur, toujours souriante, saluant les militaires qui jouaient aux cartes devant l'entrée, puis après avoir passé quelques hall et couloirs, mena tout le monde à un petit salon étonnement accueillant au regard de l'austérité du reste des lieux. Pendant qu'on s'installait, le Capitaine Kaapo s'approcha d'une table et mis de l'eau à chauffer.

- "Quelqu'un voudra du café ?" demanda-t-il. "On va avoir du boulot, je vous le dis."

Martta souriait toujours.

- "En effet, ce ne sera pas une mince affaire que de déloger les anarchistes. Ce sont de véritables moules accrochés à leur rochet ceux-là, et je ne vous cache pas qu'une partie de nos concitoyens et même certains députés leurs sont favorables..."

Kaapo grogna.

- "La Fédération Anarchiste, ouais, m'étonnerait même pas qu'ils les financent en sous-main de temps en temps. Et le Parti Pirate, mais eux c'est surtout pour faire chier, aucune conscience politique là-dedans."

Ce fut au tour d'Elina de prendre la parole. Sa voix avait quelque chose de rassurant.

- "Toutefois, le Gouvernement actuel est bien décidé à régler le problème, du moins nous ferons notre possible afin de rendre la région plus sûre."
- "Dans les limites de nos pouvoirs." précisa Kaapo en revenant avec la bouilloire. "Vous avez un plan, par chez vous ? Ou vous venez demander des conseils ? Ça fait un moment qu'on les connait, les anars, pour affronter cette engeance là faut un peu d'organisation sinon c'est un coup à essayer d'attraper de la fumée avec les mains."
À son arrivée le Ministre remarqua un endroit désert, presque...vide malgré des enceintes qui produisait un son grésillant et jouaient l'hymne francisquien. En compagnie, il remarqua 3 personnes qui l'attendaient, les Ministres responsables de son arrivée. Il remarqua évidemment que la Ministre des Armées n'était pas présente elle qui avait pourtant su montrer un caractère fort et tenace ce qui avait malgré tout plu au Ministre et il ne pu s'empêcher de poser la question du pourquoi de son absence ce qui manifestement n'avait pas plu aux Ministres puisque le Ministre du contre espionnage fronça les sourcils, la Ministre de la culture et des arts détourna le regard vers la troisième qui serra les dents sans les montrer. Cela annonçait un bon début de discussion diplomatique et calme. Malgré cela, le Ministre fut conduit à bord d'une voiture jusqu'au Ministère mais il ne put s'empêcher de remarquer des citoyens armés de partout et une architecture à revoir qui semblait pourtant bien réfléter le style pharois que l'on se fait dans l'empire. Peut-être les militaires qui l'accompagnaient à bord du bateau avaient raison? Sans en tenir compte, après la gaffe qu'il venait de commettre il préféra garder le silence sur le style architectural du pharois pour ne pas offenser les ministres qui avaient manifestement l'air déjà épuisés des discussions qui n'avaient pas encore commencées. Finalement arrivé au Ministère qui ressemblait vaguement à une usine ils entrèrent et à sa surprise, l'intérieur était chaleureux et accueillant presque même familier. Le Ministre du contre espionnage proposa du café en annonçant : "On va avoir du boulot, je vous le dis." Le Ministre se contenta poliment de refuser tandis que le Capitaine Kaapo demanda au Ministre si le gouvernement francisquien avait un plan contre le problème de la fraternité.

"Et bien sachez que depuis déjà quelques semaines et ce bien avant l'isolationnisme certains villes impériales de notre pays ont été massivement influencée par la fraternité ou confrérie, j'ignore comment vous l'appelez m'enfin ce que je veux dire c'est que la fraternité est partout et que Kotios est un point stratégique en mer du nord et depuis nous avons tentés de réprimer, discuter, avertir mais rien n'y fait alors actuellement un Justitium à été prononcé sur la ville de Kotios. Si vous ignorez ce que cela implique je peux toujours vous l'expliquer mais ce qui compte aujourd'hui c'est que nous avons besoin de tout renseignements possible sur ce groupe terroriste car l'Imperator Augustus Caesar Caius Princeps Louis Ier a averti le gouvernement comme j'ai pu vous le répéter dans une lettre que si nous ne pouvons pas résister face à leur influence qui devient toujours plus grande nous n'aurons d'autres choix que de les soutenir malgré ce que cela impliquerait d'un point de vu international. Nous sommes conscient qu'une telle décision n'est pas à prendre à la légère mais si une ville comme Kotios tombait aux mains de cette confrérie comprenez bien que nous ne pourrons pas envoyer notre armée dans la ville pour la reprendre car nous sommes désormais dans une politique de diplomatie douce contrairement à celle de l'ancien régime mais je m'écarte du sujet. Ce que nous voulons ce sont donc des renseignements mais aussi de l'aide si le Pharois peut en fournir contre la fraternité car si la fraternité venait à prendre la ville je ne suis pas certain qu'ils ne décident pas de faire des actes de piraterie contre le Pharois et bien d'autres bateaux de pays qui tenteraient de traverser le point d'entrée en mer du nord. Concrètement, nous sommes prêts à y mettre les moyens tant que nous les avons mais nous ne pourrons pas éternellement tenir le coup et si la ville tombe, nous n'empêcherons pas la fraternité de s'y installer même si ils représentent une menace pour d'autres pays là-bas car l'empire pourrait bien avoir des problèmes plus importants à régler."
Les trois ministres écoutèrent l'ambassadeur Francisquien sans le couper, puis échangèrent un regard silencieux. Ils avaient beau être chacun d'un parti différent, une fois au Gouvernement un certain sens du devoir les encourageait à se serrer les coudes au nom de la patrie... et du profit également. La Capitaine Elina se raidit dans son fauteuil, la Citoyenne Martta hocha tristement la tête mais ce fut le ministre de la planification qui répondit, après avoir pris le temps de peser ses mots.

- "Mon ami... nous savons très bien les dégâts que peuvent causer ces gens-là, même sans moyens militaires. C'est pourquoi une réponse répressive serait parfaitement inutile, je le crains. Au mieux nous énerverions tout le monde, au pire nous en ferions des martyrs. Le Syndikaali pourrait certainement envoyer des navires dans la région, avec votre accord, mais pour cinquante navires déployés il leur suffit d'une crique, ou d'un peu de peinture pour échapper à nos recherches."

Il avait dit cela sans paraitre désolé le moins du monde. En fait, on avait l'impression qu'il récitait une liste de course.

- "Sans compter que l'opinion publique pharoise n'est pas mûre pour une opération musclée contre la Fraternité dans les eaux francisquiennes. Certains sont encore remontés, d'autres pointeraient du doigt (légitimement) l’extravagance de l'opération et des dépenses engagées. La vérité c'est que face à une menace Étatique, le Syndikaali est parfaitement prêt à répondre, mais contre des pirates organisés, discrets, soutenus par une partie de votre population et dont les principales armes sont des discours et des poignées de main, je ne vois vraiment pas ce que vous attendez de nous pour ce qui serait d'agir sur votre territoire. Nous ne pouvons tout de même pas empêcher les gens de penser, surtout qu'ils n'ont plus que ça à faire avec votre Justicium..."

Il porta sa tasse à ses lèvres et ce fut Martta, la ministre des arts, qui enchaîna. C'était une vieille dame toute plissée autour des yeux et des lèvres ce qui lui donnait en permanence l'air d'avoir envie de sourire.

- "Nous pourrions bien entendu établir avec vous une stratégie à long terme afin de détourner la Fraternité de vos côtes et nous travaillons déjà avec la République de Makt pour mettre en commun nos services de contre-terrorisme, cependant..." Elle marqua une pause, comme pour ménager une sorte de suspens. "Cependant il existe une autre solution, qui a fait ses preuves en Lutharovie... vous n'ignorez pas que les côtes lutharoviennes étaient également frappées régulièrement par des attaques anarchistes ?"

Elle prit le temps de remercier Kaapo qui lui tendait une tasse de café puis reprit.

- "Cette solution, cela pourrait être la Merenelävät. La multi-nationale possède sa propre force d'autodéfense privée et cherche à s'implanter durablement dans des zones franches qu'elle négocie avec les pays des mers du Nord. Sa puissance de frappe est largement suffisante pour dissuader la Fraternité de lui chercher querelle, semble-t-il, du moins l'histoire l'a prouvé en Lutharovie."

Elle hocha la tête.

- "Si vous le souhaitez, nous pouvons organiser une rencontre ?"
Le Ministre n'en revenait pas. Les Ministres venait de lui demander si une société pharoise pouvait s'implanter dans l'empire pour dissoudre la fraternité ou au moins l'empêcher d'attaquer Kotios car ils ne peuvent rien y faire. Il s'attendait à tout sauf à ça mais une rencontre pourrait bien être une solution pour en discuter mais une telle décision ne lui revient pas et il le sait parfaitement mais il était désormais dans un dilemme car il fallait fournir une réponse immédiate car le problème est urgent. Si il accepte il sera forcément réprimandé par l'empereur et tout le gouvernement mais dans le cas où la rencontre est un succès il aura tous les lauriers de la gloire et il sera pardonné mais si elle échoue il risque de ne plus faire parti du gouvernement pour abus de pouvoir.

Et bien...Hum...En vérité je ne sais pas peut-être que-

Les Ministres se regardèrent sans dire un mot et le ministre ne put essayer de comprendre ce qu'il pensait face au dilemme qui venait de se poser à lui.

En vérité cette décision ne me revient pas et je pense qu'une entreprise pharoise sur une ville de l'empire serait un scandale non pas à Kotios mais dans tout l'empire cependant si comme vous dites ils ont une force armée pour défendre la ville et qu'ils acceptent de collaborer avec l'empire il y aura des conditions car c'est une chose surtout que la fin de l'isolationnisme est proche pour notre pays. Je pense que pour le moment vous pourriez simplement mettre mon ministère en relation avec cette multi-nationale car comprenez bien que je ne peux pas prendre des décisions comme ça mais je voudrais m'entendre avec vous, nous sommes d'accord que même si l'entreprise s'installe là-bas, les pharois qui souhaitent travailler là-bas même si je pense que ce seront surtout des francisquiens, seront évidemment soumis aux lois francisquiennes. Évidemment ce seront des salariés d'une entreprise donc en ce qui concerne certaines lois sur les étrangers ils ne pourront pas être emprisonnés mais nous mettrons en place des structures afin de les "encadrer". Comprenez bien que le contexte est particulier alors si des pharois peuvent se promener tranquillement dans une ville comme Kotios comprenez que ce sera un chaos sans fin.
Martta secoua la tête.

- "Nous allons vous mettre en contact mais je pense que nous nous sommes mal compris, si la Merenelävät s'installe sur place, il faudra installer des lois d'exception sur la région comme à Merengrad en Lutharovie. Si vous voulez mon avis c'est le seul moyen de mettre en place une politique de contre-terrorisme efficace à court terme. Refermer l'étau sur Kotios par des mesures répressives ne mènera qu'à crédibiliser la rhétorique révolutionnaire. Ce n'est pas par les armes qu'on combat des idées, mais par d'autres idées. La Merenelävät peut vous apporter un idéal à Kotios, une alternative crédible à la tentation anarchiste, mais pour cela il faut lui en donner les moyens.
Bien alors qu'il en soit ainsi. Je demande simplement la défense de Kotios mais je verrais les conditions avec la société en question même si je pense que certaines libertés pourront leurs être accordées. Maintenant en ce qui nous concerne j'aimerais aussi aborder le sujet de la diplomatie franco-pharoise. Il y a possibilité pour que nos deux pays puissent apaiser leurs tensions?
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