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[ECONOMIE] Bolsa Alguarena de Valores

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BOLSA ALGUARENA DE VALORES

1er octobre 2004 - Ouverture d’une place boursière internationale en Alguarena


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Bolsa Alguarena de Valores, préparateur d'avenir.

Souvent associée à tous les maux économiques du pays par ses détracteurs, la place boursière internationale d’Alguarena souffre encore d’une image peu scrupuleuse dans son orientation des investissements privés. Son existence repose pourtant sur de nobles motivations permissives d’un financement à tout projet de développement sur le territoire.

La place boursière d’Alguarena est par conséquent le point de rencontre entre une idée et son financement, un lieu où se succèdent des opérations de séduction entre les entreprises et leurs investisseurs ! La Bourse d’Alguarena, c’est le rendez-vous de la seconde chance lorsqu’aucune banque accepte de vous prêter l’argent après une énième tentative pour lui vendre votre projet.

Semblable à la place du marché, cette place boursière organise donc la rencontre de ses sociétés cotées auprès des potentiels investisseurs connus. Ainsi les sociétés cotées à la Bolsa Alguarena de Valores (BAV) voient leurs projets de développement financés, accompagnés, ce qui fait inéluctablement grimper la valeur du bien ainsi que l'indice boursier des entreprises associés. Des croissances de l'activité sur lesquelles les traders pourront espérer des dividendes dans la vente d'actions ou encore dans les frais d'entrée en bourse de nouvelles sociétés captées.
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16 octobre 2004 - Essor industriel alguarenos, la réussite du secteur de l’armement.

Industrie de l'armement
L’Alguarena, identiquement à bien d’autres nations du monde, a complètement fait évoluer son système économique, pour rompre avec sa dépendance au secteur primaire, représenté sous les activités minières et agricoles.


La développement de son outil industriel a néanmoins subi différentes influences directement liées à l’internationalisation des relations diplomatiques. Envenimement des relations bilatérales, géographie limitrophe des principaux flux commerciaux, insécurisation de routes commerciales maritimes à cause de la piraterie et du recul de l’état sur certains espaces maritimes comme ceux du Varanya ou de l’Empire Latin Francisquien, les signaux en faveur d’un réarmement des nations ont été nombreux sur l’année écoulée.

Ces changements intervenus dans le contexte international impliquent des investissements industriels en faveur de l’armement d’une importance capitale. En effet, les nations ont besoin de négocier leur positionnement sur l’échiquier mondial et il apparaît manifeste que le hardpower intervient encore pour beaucoup dans le conditionnement des échanges diplomatiques. Le développement d’une capacité militaire hors norme est alors une action politique rendue nécessaire par la mondialisation, autant pour se prémunir d’une atteinte sur ses souverainetés, que pour développer un leadership attendu au sein de certaines rencontres diplomatiques et sur certains théâtres régionaux.

Dans une configuration aussi favorable, les industries de l’armement alguarenos ont largement profité de l’appel d’air offert sur les marchés publics. “Démocratie ou pas, la guerre est un business prolifique pour l’Alguarena, si l’on considère que plus de 4,6% de son outil industriel est en capacité de produire de l’armement” expose l’économiste Agustín Venegas. “Notre industrie s’est taillée pour pouvoir assumer ces ventes, fortement aidée par un pôle de recherche et développement parmi les avancés au monde.” Selon l’expert économique, l’Alguarena est à ce jour le principal pays en capacité de produire, tant sur un plan qualitatif que quantitatif, le meilleur armement connu ainsi que déployable en opération…

Pièces d’artillerie, navires de guerre, missiles de croisières, la Fédération d’Alguarena est capable de produire du matériel militaire unique, sans commune mesure avec les équipements des puissances étrangères. Un propos avancé et rapidement démontré par la maquettisation de frégates ou encore le prototypage de nouveaux avions de chasse-intercepteurs, dont la recherche militaire mondiale ne permet pas de productions à caractéristiques équivalentes…

Une orientation de la recherche assumée par les pouvoirs publics qui concèdent volontiers le fait que le premier facteur d’échec d’un conflit armé est une opinion publique défavorable, affectée par les émotions générées suite à la perte de nombreuses vies humaines. Investir sur les équipements militaires offre donc des gages de survie accrus pour les soldats envoyés en mission, permettant l’agglomération de l’opinion publique autour de la politique étrangère poursuivie par le gouvernement. Avec une production quantitative et qualitative, la Fédération d’Alguarena est vouée à dominer pour un certain temps le secteur des ventes d’armement, d’autant plus par le réchauffement des relations internationales avec des états liberticides, voire fascistes, qui vont pour certains à rebours du principe d'isolationnisme, catalysant l’ensemble des affrontements mondiaux, plus ou moins majeurs. Une dégradation de la sécurité mondiale qui n’est pas sans ouvrir de nouveaux marchés, y compris auprès de nations non belligérantes mais simplement soucieuses d’acquérir un armement de dissuasion, destiné à les maintenir hors de portée d’un hypothétique conflit.

L'actionnariat auprès des industries de l'armement alguarenos est réputé fiable par les marchés financiers de la Fédération, qui pronostiquent une hausse des cours de l'action sur cette typologie d'activité.
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10 mai 2007 - Menaces de guerre ouverte entre le Grand Kah et l’Alguarena - les marchés s’affolent.


Marché financier mondial: la boîte de Panndore paltoterrane.
Les places boursières mondiales ne peuvent que s’alarmer d’un risque de guerre ouverte entre la Fédération d’Alguarena et le Grand Kah.


Les bourses mondiales vont ouvrir en affichant un certain ralenti, minées par la peur d’une guerre ouverte entre les deux puissances régionales que sont la Fédération d’Alguarena et le Grand Kah. Il faut dire qu’étant donné la proximité des deux états, un conflit ouvert entre les deux nations pourrait laisser s’exprimer une violence létale comme les historiens n’en ont pas vu depuis plusieurs décennies. “Le Grand Kah et l’Alguarena sont séparés par 800 km tout au plus. Si l’un veut envahir l’autre, il va pouvoir y mettre les moyens car cette proximité facilite la capacité de mobilisation des troupes. Et comme chacune de ces deux armées comporte plus d’une centaine de milliers de soldats professionnels, vous imaginez l’intensité et la longévité d’un tel conflit dans la région?” nous contait sans devinisme l’économiste Raul Borsegia.

Le risque est réel et très peu d’experts peuvent aujourd’hui présenter ce scénario comme pure spéculation, considérant l’initiative malheureuse de l’aviation kah-tanaise, qui a commit un acte de guerre par son intrusion dans l’espace aérien alguareno et son engagement contre la défense aérienne de la Fédération.

Une prise de risque inconsidérée pour le pouvoir de Lac-Rouge (capitale Kah-tanaise) qui initie une guerre, perd l’initiative de son pari risqué et sert in fine un casus belli à la première puissance mondiale et au voisin directement limitrophe de ses possessions territoriales, où sa souveraineté ne justifiait jusqu’ici d’aucune contestation. “Il y a une dégradation à venir plus que probable sur les plans sécuritaires pour la région, les marchés l’ont senti, leur réussite repose sur leur capacité à anticiper les risques et opportunités…”

La Bolsa Alguarena de Valores n’échappe pas à la règle et voit son cours vaciller, avec une chute de 3% à l’ouverture, considérant le risque de guerre ouverte entre l’Alguarena et le Grand Kah. Des tensions qui sont à leur comble, d’autant plus qu’il y a également au Pontarbello un conflit relativement important par la présence de contingents de plusieurs milliers de combattants. Une guerre entre l’Alguarena et le Grand Kah pourrait donc causer une éternisation du conflit pontarbellois, par l’afflux d’hommes et de moyens militaires au dans cette région.

“L’Alguarena et le Grand Kah c’est un quart de millions de soldats et des armes de guerre comme très peu de pays peuvent soupçonner. Il y a une réelle capacité de destruction chez l’un et l’autre. Les plus éclairés des politiques seront donc tentés de désamorcer un risque d’extension du conflit à ces deux pays, quitte à directement s’investir dans le développement d’un compromis diplomatique.”

Considérant le lien direct entre la guerre d’indépendance au Pontarbello et l’attaque aérienne kah-tanaise dans le ciel alguareno, démontrant que les autorités kah-tanaises voulaient s’investir au Pontarbello et négativement influencer l’indépendance du territoire, les politiciens pontarbellois et alguarenos multiplient les échanges pour nourrir une réaction adaptée.
La perturbation des marchés boursiers cause inéluctablement leur inflation, avec une augmentation des frais d’importation dans la région, considérant la nécessité de compenser l’insécurité des mers, après les tirs réussis de missiles de croisière, dirigés vers des bâtiments de surface militaires mais pouvant potentiellement atteindre par erreur humain ou volonté manifeste, un bâtiment commercial.
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Rapport interne et non public à l'attention des décideurs de la Bourse d'Aserjuco.

1er juillet 2009 - Après le Lofoten, des négociations en vue pour la sécurisation des investissements alguarenos vers le Pontarbello?

Groupement d'employeurs et association d'industriels alguarenos, favorables à l'ouverture de négociations bilatérales vers le Pontarbello, quant à l'instauration de législations sécuritaires sur les investissements entrepris là-bas.
Considérant le projet défendu par les autorités pontarbelloises, pour lequel seuls les investisseurs lofotenois seraient aujourd’hui concernés, des groupements d’employeurs et des lobbys industriels alguarenos souhaiteraient voir les négociations s’entendre à la sphère économique alguarena.


Nation quasi-limitrophe de la Fédération, le Pontarbello est un pays qui, depuis sa naissance en 2007, n’a eu de cesse d’entreprendre des actions de développement, au point d’interroger les sphères économiques et les lobbys industriels alguarenos, quant au fait qu’il puisse y avoir des opportunités à saisir sur place. Par sa volonté manifeste d'œuvrer vers la sécurisation des investissements étrangers sur son territoire, le Pontarbello semble avoir définitivement fini de les convaincre.

Sous l’égide de ce petit pays maltraité et méprisé jusqu’à lors, le droit à la protection des capitaux étrangers est-il en passe d’entrer dans une nouvelle ère? Toutes les réponses semblent permises car le Pontarbello, en plus de s’offrir de nouvelles billes pour investir économiquement sur son territoire, s’offre à travers cette initiative les premiers actes de politiques étrangères notables, à même de faire du Général Leopoldo Sapateiro, une figure raisonnée capable de construire un programme politique viable et inscrit dans l’intérêt du plus grand nombre, un fait qui apparaîtrait dès lors comme un comble, après qu’il eut suffit de voir la facilité avec laquelle des nations étrangères, pharoise en tête, se sont excitées à présenter le Pontarbello comme un état dirigé par une classe politique élitiste et déconnectée des intérêts populaires.

Par cet acte politique, la gouvernance du Pontarbello vient démontrer qu’elle est en mesure d'œuvrer sous le même esprit que celui d’autres nations réputées plus libérales. Le projet d’accord, bien qu’il ne soit pas intégralement connu des autorités alguarenas, inspire sous ses grandes lignes et motivent les lobbys à faire pression sur les classes politiques de la Fédération, afin qu’un projet identique si ce n’est meilleur, n’entre en vigueur.

Les industriels alguarenos ne semblent pas ambitionner d’autres mesures que celles édictées par le Pontarbello, aussi tout porte à croire que les personnalités politiques de la Fédération d’Alguarena, continueront de recevoir sur les deux mois à venir, différentes actions de pression psychologique de la part de leurs piliers et financeurs électoraux, pour que la présidence de Mazeri Abrogara trouve le chemin de la négociation auprès du Général Leopoldo Sapateiro.

“Il y a une réelle volonté de la part des industriels alguarenos, à vouloir développer des opportunités économiques au Pontarbello, tout comme ce dernier. La seule argumentation faisant aujourd’hui obstacle à un tel rapprochement serait de nature politique, émise par le gouvernement fédéral d’Alguarena, pour expliquer qu’on ne peut pas tout signer avec le Pontarbello” explique un économiste sollicité pour la rédaction d’un rapport interne à la bourse d’Aserjuco. “Mais cet argument ne va pas tenir longtemps devant les attentes des acteurs industriels alguarenos, le démarrage de négociations et avec elles, la normalisation des relations diplomatiques avec le Pontarbello semble inévitable sur le court terme…”

Les tractations pontarbelloises émises vers le Lofoten, pourraient donc très vite faire de l’écho à la scène politique intérieure de la Fédération d’Alguarena. Néanmoins, considérant le caractère pionnier de la démarche diplomatique voulue par le gouvernement pontarbellois au Lofoten, il serait plus que raisonnable d’attendre la fin des négociations entre les deux pays avant d’entamer un quelconque pourparler, de sorte à pouvoir apprécier sous ses formes les plus concrètes et applicables, les différentes clauses inhérentes à cet accord bilatéral de sécurisation des investissements lofotenois sur le sol péninsulaire du Pontarbello. Comme le disent certains traders de notre institution, l'opportunité est déterminée par le temps idéal sur lequel lancer l'action, et non l'action elle-même...
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