03/06/2013
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Rencontre Diplomatique Bochizuela - Alguarena

2044
Longtemps gardé secret à la demande des autorités de l’Alguerena, le contenue de la rencontre diplomatique ayant eu lieu à Aserjuco le 20 Mars 2004 est officiellement publique.


L’avion décolle sur les coups de 19h, ce 20 Mars 2004. Le voyage ne sera pas très long. El Señor President Lautaro Fernández Sanches voyage accompagné de José Garica Rodríguez et Roberto Rubio, respectivement ministre des affaires étrangères et ministre de l’économie. Les trois hommes sont assis autour d’une table ovale dans une des salles de l’avion présidentiel. Les deux ministres jouent aux échecs pendant que le président, à l’autre bout de la table, lit le journal.

- Echec et mat, annonce Roberto Rubio avec un petit sourire, vous êtes toujours aussi prévisible mon ami.

José Garica Rodríguez rallume son cigare et porte son verre d’aguardiente à ses lèvres et le fini d’une gorgé.

L’avion n’allait pas tarder à arriver. On observe déjà par les hublots les lumières d’Aserjuco.

Le président pli sont journal, le pose sur la table et, péniblement, se lève. Il regarde ses ministres.

- Bon les enfants, dit-il, j’espère que vous avez appris votre leçon.

Les deux ministres hochèrent la tête.

L’avion atterrit à 21h30 à l’aéroport d’Aserjuco. Une voiture vint les chercher. Il faisait doux, c’était agréable.

Le trajet de l’aéroport vers l’hôtel, où la délégation bochizuelienne passerait la nuit, fut sans embuches.

Le lendemain, après un copieux petit déjeuner, les bochizuelien prirent le chemin d’El Palacio Para El Acuerdo ou ils devaient rencontrer María Paula Noboa, cheffe du département fédéral aux affaires étrangères de l’Alguarena.

Arrivé sur place, le président ainsi que ces deux ministres descendirent de la voiture. Un tapis rouge d’une centaine de mètres se présenta devant eux, avec au bout, María Paula Noboa droite comme un i. Chacun s’avança de son coté, et ils se rencontrèrent à mi-chemin. Les deux partis se serrèrent la main, et s’échangèrent de basiques formules de politesse. Le petit groupe monta les marches du Palais, ces membres se tournèrent vers les journalistes, se serrèrent la main de nouveau pour les photographes et disparurent dans l’encadrement de la grande porte.

La réunion, à huis clos, dura toute la matinée, et vers 13h, El Señor President Lautaro Fernández Sanches et María Paula Noboa signèrent un même et unique document.
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