30/03/2015
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RP | Minotezca, une île sans retour

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Minotezca, une île sans retour


carte de Minotezca
île au nom rouge sur la carte


Minotezca elle l'une des îles les moins connues du Taqui-Quichu. En effet, bien que sa légitimité territoriale comprend cette île, en réalité le pays n'a aucun contrôle sur ce qu'il se passe là bas, pour de très nombreuses raisons.
Constituée majoritairement d'un Volcan, le Matatapokelma, et de jungle, l'île de Minotezca est une des faunes et flores du Taqui-Quichu les mieux conservées. On retrouve de très nombreuses espèces différentes, comme le Quetzal de Minotezca, une sous-espèce du Quetzal aillait arboré une couleur blue/noir en raison des pigments en Cuivre et des roches volcaniques présent sur le territoire afin de mieux se camoufler.

L'île fut découverte par les eurysiens au XVIIe siècle, lors d'une expédition Zélandienne, par le marchand Willem Jurrian Kuhleman qui baptisa l'île en Minostaurie en honneur d'un légende antique de Rhème. Et alors qu'aucun contact humain n'était à signaler, ils bâtirent le comptoir de "Fort Lady Fortuna". Alors que les premières années furent calmes, en 1662, les habitants furent réveillés par des bruits atroces de cris de guerre en provenance de la jungle qui juxtaposait le comptoir. C'est alors que des milliers d'êtres humains totalement nus foncèrent sur les palissades rapidement dressées depuis la première venue des colons. Parvenant in extremis a repousser l'assaut grâce aux fusils et autres armes avancées eurysiennes, ils durent se faire à l'idée qu'il fallait rapidement fortifier Fort Lady Fortuna.

Ainsi, après le premier "contact", le comptoir se transforma rapidement en véritable fort bâti en pierre grâce aux ressources rapportées de colonies locales proches. Devenant de fait un endroit sûr pour les colons, les années commencèrent à faire oublier les locaux de l'île qui les avaient attaqués. Cependant, en 1697, un groupe du peuple mystérieux commença a échanger avec les Zélandiens. Le gouverneur du territoire à cette époque, Guillaume de Fort Lady Fortuna, commença alors, grâce à l'étrange apprentissage du zélandiens par les peuples locaux ( lié certainement à l'écoute de ceux-ci des discussions du fort pendant presque un demi-siècle ), mirent finalement fin aux conflits et la délégation native proposa de se rendre à la "capitale" de l'île, Motoexiclan. Lorsque le Sir Guillaume arriva sur place, il fut émerveillé de voir que ce peuple avait bâti des pyramides grandes comme des collines, et était civilisé par bien des aspects : culture, littérature, histoire, ect...
Le souvenir des premiers affrontements par un peuple nu et non-civilisé s'effaça alors petit à petit. Lorsque Sir Guillaume arriva à la plus grande pyramide, il rencontra le "souverain" de l'île, un certain Pakal III, dans un zélandien presque parfait. Une discussion se passa entre les deux hommes à laquelle de bonnes relations semblaient se créer finalement entre les deux peuples.

Malheureusement, la "bataille du bout du monde"força les zélandiens a partir, et l'ancien fort devint un repaire de pirates et de corsaires. A partir de là, on oublia les Motoexiclaniens ( nom donné à ce peuple par les Zélandiens ) et leur rapport avec les zélandiens. Il y eu bien quelque disparitions, mais rien d'inquiétant réellement.

Cependant, en 1790, on ne reçu plus de nouvelles de Fort Lady Fortuna. Inquiété, des corsaires s'embarquèrent vers l'île avec l'accord de la Première République Impériale du Taqui-Quichu. Ils y découvrirent un fort en ruine, et plus aucuns survivants. Le comptoir pirate était devenu cendres. Il n'en restait presque rien. Le chercheur Dagalketl, en 1810, fasciné par cette découverte, se plongea alors dans les archives liées à l'île et découvrit alors l'existence d'un peuple extrêmement ancien, les Motoexiclaniens. Il comprit alors vite que seul eux étaient les responsables du massacres des voyous du fort, et contacta alors le gouvernement de cette découverte.

Le territoire fut considéré comme zone naturelle en 1825 et seuls des scientifiques et rares explorateurs ont la permission de débarquer sur l'île. Cependant, l'arrivée de la dictature des Tupacs va encore une fois faire oublier l'existence de l'île. Ce n'est seulement qu'en 1945 qu'un historien du nom de Temekotl sortit un livre intitulé "le peuple de Minostaurie". Ce livre retrace toute l'histoire connue de l'île et, en 1950, le gouvernement de la Seconde République Impériale renomme l'île "Minotezca" et la considère comme territoire appartenant au Taqui-Quichu mais en tant que zone naturelle. Ainsi, comme en 1825, seuls les scientifiques et ethnologues peuvent s'y rendre. Aujourd'hui, les seules sources parlant de ce bout de terre sont le livre de Temekotl, les sources historiques Zélandiennes et les rapports des corsaires et pirates.
1833
Exemple d'une faune protégée, le Quetzal de Minetozca

Dessin d'un Quetzal
Dessin réaliste d'un Quetzal de Minetozca réalisée à la dernière exploration de l'île ( 2012 )

Systématique :
Ordre : Trogoniformes
Famille : Trogonidés
Genre : Pharomachrus
Espèce : Pharomacachrus mocinno
Nom latin complet : Pharomachrus mocinno minetozcus

Biométrie :
Taille : 40 cm
Envergure : non-déterminable
Poids : 180 à 210 g
Durée de Vie : 20 à 25 ans
Alimentation : Omnivore : fruits, insectes, grenouilles, lézards.

Répartition : île de Minotezca

Indice d'Extinction des Espèces ( I.E.E. ) : Préoccupation Mineure

La petite Histoire...
Espèce découverte par les eurysiens au XVIIe siècle, le Quetzal de Minotezca a rapidement été la convoitise de certains riches marchands pour ses magnifiques plumes. On dénombre dans les premiers siècles près de 10 000 Quetzals environ, même si ce chiffre est encore controversé dans la communauté scientifique. Tandis que dans les années 1800, on estime à 4 000 le nombre de membre de cette espèce encore vivant. Cette hécatombe a alors provoqué une réaction de la Communauté de Protection des Droits Animaux et Végétaux ( C.P.D.A.V. ) qui a alors, en 1872, avec le financement de la république impériale, permit de créer l'indice d'Extinction des Espèces ( I.E.E. ) et a classé l'espèce "en danger" et a lors mis en place l'interdiction de la traque de Quetzal dans tout le pays. Ainsi, en l'an 2000, on estime à 8 000 voir 12 000 le nombre de Quetzal de Minotezca encore en vie sur l'île et à présent l'espèce est classée en "Préoccupation Mineure".


Cette préoccupation du monde animal et végétal dès les années 1800 montre bien l'importance au yeux du pays de la protection de l'écosystème mondial. Ainsi, ce nombreux scientifiques du monde peuvent être financés par l'état afin de réaliser des recherches au Taqui-Quichu, permettant de fait de disposer de nombreux très grands noms de la communauté Scientifique. Le pays souhaite par ailleurs exporter le C.P.D.A.V. dans les autres pays du monde afin que ceux-ci prennent conscience de l'importance de la vie Animale et végétale dans le bon fonctionnement des sociétés humaines.
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