Le Hall des Ambassades du Jashuria tient quotidiennement la liste des pays avec lesquels la Troisième République du Jashuria est en relations diplomatiques. Vous trouverez ci-dessous la liste des différentes relations diplomatiques qu’entretient le pays avec ses voisins, proches ou lointain.
Résumé de la politique extérieure du Jashuria – en date du 20 novembre 2004
Positionnement politique actuel du Jashuria sur la scène internationale – en date du 20 novembre 2004
Le Jashuria est une république parlementaire d'orientation libérale dont le principal agenda politique sur la scène internationale est le commerce, le développement des infrastructures et le rayonnement scientifique. Le pays est engagé dans le maintien de la paix dans le sud-est du Nazum et fait parti de plusieurs accords de coopération internationale. Représenté à l’étranger par la Première Ambassadrice, dame Lalana Preecha, le Jashuria cherche des partenaires commerciaux intéressés par le développement des infrastructures logistiques et économiques permettant la mise en place d’un marché mondial. Son objectif à long terme est de devenir un acteur incontournable du commerce international et du rayonnement scientifique en captant le maximum de flux commerciaux et de cerveaux des différentes parties du monde.
Sur le plan militaire, le Jashuria est engagé dans le maintien de la paix dans le sud-est du Nazum et veille à ce que personne ne lui conteste cette position de médiateur dans les conflits locaux. Le pays s’engage très peu sur les conflits internationaux, mais s’est récemment intéressé à la politique eurysienne à Kotios. Le Jashuria dispose d’une armée régulière habituée à combattre dans les jungles et sur les océans, mais ne dispose pas d’expérience de combat sur d’autres théâtres d’opérations. Etant donné que le pays ne mène pas une politique guerrière active, il est peu probable que les Jashuriens décident de proposer leur aide dans des conflits internationaux. Le matériel militaire du Jashuria reste pour l'instant essentiellement produit localement mais n'est pas à la hauteur des grandes nations militaires d'Aleucie ou d'Eurysie.
Le pays mène en arrière-plan une politique d’expansion de son influence économique dans le secteur de Nulle-Part et a investi de larges sommes pour créer un port-franc et une enclave sous sa direction. Il espère tirer de grands profits de cet investissement et montrer aux Eurysiens qu’ils peuvent être des partenaires de confiance, bien plus que leurs voisins. Le Jashuria est signataire de la Charte de la Diplomatie de San Paulo du 15 novembre 2004 et garantit à tous les diplomates le respect de leurs droits.
Le Jashuria reste méfiant à l’égard des gouvernements fascistes et totalitaires. Mais, le commerce restant le commerce, il n’hésitera pas à négocier des accords commerciaux avec les gouvernements de type communistes, ou éloignés de son idéologie, pour peu que l’accord lui soit profitable. L’argent n’a pas d’odeur, parait-il … celui des communistes sent la soupe à l’oignon, mais le Jashuria sait s’en accommoder.
Le principal argument du Jashuria sur la scène internationale est la présence du Grand Canal sur son territoire. En tant qu'infrastructure navale, il permet d'éviter le passage risqué des navires vers le sud-est du Nazum et de sauvegarder des semaines de navigation. Le Jashuria propose son expertise en matière d'ouvrages d'art à ses partenaires commerciaux et recherche activement des matières premières ainsi que des experts scientifiques de haut niveau pour aider au développement du pays.
En mars 2005, suite à l'invasion de l'Etat Démocratique Latin Franciscain dans le territoire de Kotios, le Jashuria a répondu à l'appel du Grand Kah pour défendre la ville et honorer sa garantie d'indépendance. Le Jashuria, bien que très faible militairement comparé au Pharois et au Grand Kah, est prêt à livrer du matériel et à protéger ses intérêts et ceux de la démocratie kotioïte.
En Mars 2005, le Jashuria, convaincu par ses alliés, décide de former en urgence le Contingent d'Intervention Extérieur sous les ordres du commandant Trinai Chavalit. Ce contingent, le premier dans son genre depuis des décennies n'est peut être pas le mieux équipé, ni le plus expérimenté de toute la coalition des défenseurs de Kotios, mais il s'agit d'un galop d'essai pour les militaires jashuriens, servant à prouver non seulement que l'on peut faire confiance aux Jashuriens pour honorer leurs alliances, mais aussi qu'ils peuvent s'avérer de bons combattants.
En 2006, le Jashuria entra pour la première fois en contact avec la Listonie. Ce dernier fit valoir des revendications territoriales illégitimes sur la Péninsule du Nazum et le Jashuria en fut fort contrarié. Les relations diplomatiques se dégradèrent grandement après ça et culminèrent par des sanctions de la Listonie contre le Jashuria. Ce dernier ne subit pas de contrecoup de cette aventure, la Listonie n'ayant pas une économie à même de perturber le pays.
En 2007, le pays fonde, avec l'aide d'autres Etats d'inspiration libérale, une coopération internationale sur les routes commerciales et leur protection. Ce projet devient rapidement l'Organisation des Nations Commerçantes, une entité capable de défendre les intérêts des différentes nations engagées dans la recherche de la prospérité. Le Jashuria perd cependant les élections pour la présidence tournante de l'organisation au profit de l'Alguarena.
En 2007, la Troisième République du Jashuria est intervenue dans le cadre de la Crise du Prodnov pour soutenir les Etats-membres de l'ONC dans leur mission de sauvetage des démocrates prodnoviens. Cette action a permis au Jashuria de déployer une force armée conséquente dans la région et de montrer sa capacité à intervenir militairement sur tous les théâtres d'opération. Le Jashuria a participé à l'organisation de la conférence de paix pour le Prodnov dans le cadre d'une coopération diplomatique entre l'ONC, l'Union Albienne et les Etats communistes. L'enjeu, pour le pays, est de s'assurer de pouvoir établir un avant-poste dans la même veine que celui de Kotios à Nulle-Part afin de pouvoir surveiller efficacement les différents troubles eurysiens.
Le Jashuria s'est récemment illustré en 2011 dans l'opération militaire visant à pacifier le Mokhai d'Aoki Saburo. C'est aux côtés d'une coalition internationale, ainsi que des républicains du Mokhai, que le Jashuria a pu vaincre le contingent de soldats envoyés par la Loduarie communiste pour soutenir les forces coalisées d'Aoki Saburo. Cette victoire, aux pertes minimes du côté des Jashuriens, a offert au pays un prestige militaire qui lui manquait depuis son départ du Prodnov. Le Jashuria a installé, suite à cette victoire, un port-franc non loin de la capitale de la nouvelle République du Mokhai, ce qui lui permet de se connecter avec le port de Destanh dans les environs et de se rapprocher progressivement de la Mer Blanche.
Malgré ses revers au Prodnov, le Jashuria a renoué avec le Pharois Syndikaali. Son mandat auprès de l'ONC étant effectué, le pays n'a pas souhaité reconduire l'expérience, préférant se concentrer sur l'amélioration des relations avec les pays du Nazum, comme le Fujiwa, le Negara Strana ou le Wanmiri et le Grand Kah.
Accords internationaux signés – en date du 29 avril 2005
Accords internationaux refusés– en date du 29 avril 2005
Résumé de la politique extérieure du Jashuria – en date du 20 novembre 2004
- République Parlementaire stable
- Médiateur dans le Sud-Est du Nazum
- Mercantile
- Libéral
- Ouvert sur l'extérieur
- A la recherche de partenaires commerciaux et scientifiques
- Réticent à négocier avec les régimes totalitaires
Positionnement politique actuel du Jashuria sur la scène internationale – en date du 20 novembre 2004
Le Jashuria est une république parlementaire d'orientation libérale dont le principal agenda politique sur la scène internationale est le commerce, le développement des infrastructures et le rayonnement scientifique. Le pays est engagé dans le maintien de la paix dans le sud-est du Nazum et fait parti de plusieurs accords de coopération internationale. Représenté à l’étranger par la Première Ambassadrice, dame Lalana Preecha, le Jashuria cherche des partenaires commerciaux intéressés par le développement des infrastructures logistiques et économiques permettant la mise en place d’un marché mondial. Son objectif à long terme est de devenir un acteur incontournable du commerce international et du rayonnement scientifique en captant le maximum de flux commerciaux et de cerveaux des différentes parties du monde.
Sur le plan militaire, le Jashuria est engagé dans le maintien de la paix dans le sud-est du Nazum et veille à ce que personne ne lui conteste cette position de médiateur dans les conflits locaux. Le pays s’engage très peu sur les conflits internationaux, mais s’est récemment intéressé à la politique eurysienne à Kotios. Le Jashuria dispose d’une armée régulière habituée à combattre dans les jungles et sur les océans, mais ne dispose pas d’expérience de combat sur d’autres théâtres d’opérations. Etant donné que le pays ne mène pas une politique guerrière active, il est peu probable que les Jashuriens décident de proposer leur aide dans des conflits internationaux. Le matériel militaire du Jashuria reste pour l'instant essentiellement produit localement mais n'est pas à la hauteur des grandes nations militaires d'Aleucie ou d'Eurysie.
Le pays mène en arrière-plan une politique d’expansion de son influence économique dans le secteur de Nulle-Part et a investi de larges sommes pour créer un port-franc et une enclave sous sa direction. Il espère tirer de grands profits de cet investissement et montrer aux Eurysiens qu’ils peuvent être des partenaires de confiance, bien plus que leurs voisins. Le Jashuria est signataire de la Charte de la Diplomatie de San Paulo du 15 novembre 2004 et garantit à tous les diplomates le respect de leurs droits.
Le Jashuria reste méfiant à l’égard des gouvernements fascistes et totalitaires. Mais, le commerce restant le commerce, il n’hésitera pas à négocier des accords commerciaux avec les gouvernements de type communistes, ou éloignés de son idéologie, pour peu que l’accord lui soit profitable. L’argent n’a pas d’odeur, parait-il … celui des communistes sent la soupe à l’oignon, mais le Jashuria sait s’en accommoder.
Le principal argument du Jashuria sur la scène internationale est la présence du Grand Canal sur son territoire. En tant qu'infrastructure navale, il permet d'éviter le passage risqué des navires vers le sud-est du Nazum et de sauvegarder des semaines de navigation. Le Jashuria propose son expertise en matière d'ouvrages d'art à ses partenaires commerciaux et recherche activement des matières premières ainsi que des experts scientifiques de haut niveau pour aider au développement du pays.
En mars 2005, suite à l'invasion de l'Etat Démocratique Latin Franciscain dans le territoire de Kotios, le Jashuria a répondu à l'appel du Grand Kah pour défendre la ville et honorer sa garantie d'indépendance. Le Jashuria, bien que très faible militairement comparé au Pharois et au Grand Kah, est prêt à livrer du matériel et à protéger ses intérêts et ceux de la démocratie kotioïte.
En Mars 2005, le Jashuria, convaincu par ses alliés, décide de former en urgence le Contingent d'Intervention Extérieur sous les ordres du commandant Trinai Chavalit. Ce contingent, le premier dans son genre depuis des décennies n'est peut être pas le mieux équipé, ni le plus expérimenté de toute la coalition des défenseurs de Kotios, mais il s'agit d'un galop d'essai pour les militaires jashuriens, servant à prouver non seulement que l'on peut faire confiance aux Jashuriens pour honorer leurs alliances, mais aussi qu'ils peuvent s'avérer de bons combattants.
En 2006, le Jashuria entra pour la première fois en contact avec la Listonie. Ce dernier fit valoir des revendications territoriales illégitimes sur la Péninsule du Nazum et le Jashuria en fut fort contrarié. Les relations diplomatiques se dégradèrent grandement après ça et culminèrent par des sanctions de la Listonie contre le Jashuria. Ce dernier ne subit pas de contrecoup de cette aventure, la Listonie n'ayant pas une économie à même de perturber le pays.
En 2007, le pays fonde, avec l'aide d'autres Etats d'inspiration libérale, une coopération internationale sur les routes commerciales et leur protection. Ce projet devient rapidement l'Organisation des Nations Commerçantes, une entité capable de défendre les intérêts des différentes nations engagées dans la recherche de la prospérité. Le Jashuria perd cependant les élections pour la présidence tournante de l'organisation au profit de l'Alguarena.
En 2007, la Troisième République du Jashuria est intervenue dans le cadre de la Crise du Prodnov pour soutenir les Etats-membres de l'ONC dans leur mission de sauvetage des démocrates prodnoviens. Cette action a permis au Jashuria de déployer une force armée conséquente dans la région et de montrer sa capacité à intervenir militairement sur tous les théâtres d'opération. Le Jashuria a participé à l'organisation de la conférence de paix pour le Prodnov dans le cadre d'une coopération diplomatique entre l'ONC, l'Union Albienne et les Etats communistes. L'enjeu, pour le pays, est de s'assurer de pouvoir établir un avant-poste dans la même veine que celui de Kotios à Nulle-Part afin de pouvoir surveiller efficacement les différents troubles eurysiens.
Le Jashuria s'est récemment illustré en 2011 dans l'opération militaire visant à pacifier le Mokhai d'Aoki Saburo. C'est aux côtés d'une coalition internationale, ainsi que des républicains du Mokhai, que le Jashuria a pu vaincre le contingent de soldats envoyés par la Loduarie communiste pour soutenir les forces coalisées d'Aoki Saburo. Cette victoire, aux pertes minimes du côté des Jashuriens, a offert au pays un prestige militaire qui lui manquait depuis son départ du Prodnov. Le Jashuria a installé, suite à cette victoire, un port-franc non loin de la capitale de la nouvelle République du Mokhai, ce qui lui permet de se connecter avec le port de Destanh dans les environs et de se rapprocher progressivement de la Mer Blanche.
Malgré ses revers au Prodnov, le Jashuria a renoué avec le Pharois Syndikaali. Son mandat auprès de l'ONC étant effectué, le pays n'a pas souhaité reconduire l'expérience, préférant se concentrer sur l'amélioration des relations avec les pays du Nazum, comme le Fujiwa, le Negara Strana ou le Wanmiri et le Grand Kah.
Accords internationaux signés – en date du 29 avril 2005
- Projet Universitas : Convention internationale d'échanges scientifiques et éducatifs
- Charte de San Paulo : Convention internationale sur les règles diplomatiques
- Les Accords du Collier de Perles (finalisé) : Accord de développement économique conjoint entre le Jashuria et le Banairah
- Le Sommet de Pembertøn (finalisé) : Accord de développement économique conjoint entre le Jashuria, le Lofoten et Saint-Marquise
- OMA : Signataire de la charte de l'Organisation Mondiale de l'Aviation
- Le Sommet d'Azur (finalisé): Accord de développement économique conjoint entre le Jashuria et le Jinsei, et établissement d'une politique commune sur les eaux territoriales.
- Cour Pénale Internationale (signé): Le Jashuria est signataire et participant à la Cour Pénale Internationale.
- Membre fondateur de l'ONC : Le Jashuria est membre fondateur de l'Organisation des Nations Commerçantes
Accords internationaux refusés– en date du 29 avril 2005
- Charte de l'Observatoire des Droits de l'Homme : Refus de la ratification de la charte de l'Observatoire des Droits de l'Homme
