11/03/2013
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DAMANN - Crise institutionnelle de 2004 - Page 3

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République démocratique de Damanie


PROCLAMATION DE LA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DE DAMANIE


Les Forces Libres Damann, face à la proclamation illégitime de ladite République socialiste de Damanie, proclament la République démocratique de Damanie, seule héritière de la Révolution damann et de la République révolutionnaire de Damanie.

Cette République, dirigé par Niall Peadarsan et son gouvernement provisoire, se voudra réellement démocratique.

La République démocratique de Damanie appelle les Nations du monde à la reconnaître comme seule République légitime de Damanie.

Proclamation de la République socialiste de Damanie : ici
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LES HEURES ROUGES

24 heures rouges
24 heures de sang
24 heures de victoires communistes
24 heures de « Révolution »
24 heures, c’est ce qu’il a fallu aux armées de Sineag Buiseid pour mettre en déroute les Libéraux.

7 Avril 2005, 12h15, la République socialiste de Damanie est proclamée par Sineag Buiseid

13h, la République démocratique de Damanie est proclamée par les Forces Libres Damann

14h15, 4 cargos de l’entreprise DAA et 4 autres cargos commerciaux en provenance de Cinadhon arrivent à Baidhenor avec comme prétexte la récupération de marchandises pour une exportation en Eurysie. Tandis que 4 cargos sont arrimés au port, les 4 autres dévoilent des mortiers et des canons, détruisant la défense de la ville prise au dépourvu en une demi-heure.

14h47, un nombre immense de soldats communistes débarquent des cargos arrimés et commencent une offensive de la ville.

15h39, le quartier portuaire est pris dans son entièreté. Les drapeaux rouges flottent dans les rues, et la population ne tente pas de résister.

15h47, Sineag Buiseid défile à cheval dans les rues, elle est acclamée. On brûle les drapeaux des Forces Libérales.

16h12, des troupes communistes auparavant dissimulées dans les campagnes attaquent la ville par le Sud. Les Libéraux peinent à maintenir la défense de la ville.

17h45, le général libéral Parlan Roibeart, chargé de la défense de la ville, capitule. La majorité des libéraux rendent les armes, mais certains continuent de se battre.

18h04, annonce de l’assassinat de Beitidh Lagain à Aenbecan, dirigeante d’un des mouvements libéraux, « Les Défenseurs de la Liberté ». Le gouvernement communiste annonce aussi détenir la majorité des partisans de Lagain.

18h15, annonce de l’emprisonnement par les communistes de Sebastian Ghlais, leader du Parti républicain, un autre mouvement des Forces Libres Damann, ainsi que d’une bonne partie de ses partisans.

18h37, annonce de la mort de Moireach Catach, dirigeante du Parti libéral, dans un combat armé contre des assassins communistes, à Caodaig.

19h29, Baidhenor est sécurisé et totalement sous contrôle communiste.

20h22, l’armée libérale, qui était en train de se rassembler entre Caodaig et Aenbecan, est ravagée par des traitres communistes au sein des rangs libéraux.

21h54, allocution du chef des armées libérales, Niall Peadarsan : « Nous n’avons pas perdu ! »

8 Avril 2005, 1h34, les Communistes prennent Aeda, en Alpainn.

12h, capitulation du gouvernement provisoire de la République démocrate de Damanie. Elle aura duré 23h. Cependant, les Forces Libres Damann, bien qu’impactées par l’opération communiste au sein de ses rangs, ont réussi à résister et ont gardé leur position entre Caodaig et Aenbecan.

Les Libéraux n'étaient pas prêts. Le monde entier n'était pas prêt.
Sineag Buiseid, lorsque les journalistes lui demandent comment elle pense que le monde réagira face à ses actions, répondit, riante :


Nous avons vaincu les insurgés en moins de 24h, sans aucune aide internationale. La Damanie n'a plus besoin d'aide internationale, et son ère de gloire est arrivée. A présent, c'est à nous d'aider les nations qui sont dans le chaos, à nous de sauver les nations d'une démocratie hypocrite noyée dans le capitalisme ou d'un régime totalitaire dans lequel la liberté n'existe plus.

Elles peuvent dire ce qu'elles veulent, les Nations d'au-delà la mer : la Damanie est une République libre, les Damann sont libres, et sous la nouvelle République socialiste, ils vivront heureux, fiers, et glorieux !

Je m'engage à protéger les idées de chacun, la liberté de penser est une valeur que je défend. Le gouvernement est de plus en plus autoritaire, mais la démocratie est en réalité de plus en plus respectée. L'Assemblée des Idées parlera, et nous l'écouterons - mais le choix reviendra toujours à mon gouvernement, altruiste, juste, et compétent. Nous oeuvrerons pour le Bien commun, pour tous les Damann et tous les étrangers sur le sol damann.

Notre République est plus démocratique que n'importe quelle autre République, le Peuple a le pouvoir. Et les Libéraux, des hypocrites égoïstes et fourbes, n'ont plus le pouvoir !

Et si un jour quelqu'un ose dire que la République socialiste de Damanie est totalitaire, il s'attirera mes foudres ! La Liberté est respectée dans son entièreté, et tout Damann est égal devant la Loi. Les vrais ennemis de la Damanie, ce sont les Imépériaux et les Libéraux.

Nous avons gagné aujourd'hui, mais la lutte n'est pas terminée. La Garde Noire agit, quelque part dans l'ombre, et les Libéraux contrôlent encore quelques parties de la Damanie - sans parler des Anarchistes, mais cette menace ne survivra pas longtemps

Camarades, nous vaincrons ! Vive la Damanie, vive les Damann, vive la Révolution !

Carte de la Damanie le 7 Mai 2005
Carte de la Damanie le 7 Mai 2005
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Les locaux où se rassemblait quotidiennement le Le Comité de Volonté Publique avaient comme cet air de fantasme d'architecte. De projet fou, ruineux, ceux qui ne survivaient jamais à l'idéologie qui les avait vu naître. Le genre de structure qui, dès qu'on l'apercevait, laissait entrevoir toute une idée passée du futur. Une certaine vision de l'avenir que devait prendre son lieu d'implantation. Une idée qui, toujours, semblait à la fois belle, et parfaitement désuète au regard de la réalité présente. La sensation n'allait cependant pas plus loin. Le Parlement Général, où se trouvait le cœur de la Convention générale, gouvernement de l'Union, ainsi que les locaux des commissions et comités les plus notables et anciens, était entretenu, rénové, agrandit à l'occasion. C'était une belle structure, et si ce fantasme d’architecte répondait à des impératifs idéologiques, le régime qui les soutenait n'avait pas encore dit son dernier mot. Pour le moment, donc, le rêve vivait. Et tous ceux qui parcouraient ses couloirs lumineux, ses grandes salles de réunion traversées de bassins, ses hémicycles noyés de lumière et ses cours intérieures, s'échinaient à faire en sorte qu'il vive encore pour de belles et nombreuses années. Kah était une roue. Jamais iel ne mourrait. Gloire lui soit rendue.

Cependant il fallait bien admettre qu'à force de le voir, de le traverser, on finissait par l'oublier. La superbe des lieux, la précision architecturale, l'intelligence des plans, la beauté des sculptures classiques ou des éléments de décoration plus modernes, devenaient une masse informe dans la vision périphérique. Un bruit blanc de plus en plus inaudible. Et Edgar Alvaro Maximus de Rivera, dit "la raison", qui était à la fois Commissariat à la Santé, Commissariat au Consensus et membre éminent du Comité de Salut Public, regrettait fréquemment de s'y être adapté. Quelle tristesse de devenir ainsi insensible à l'art. C'était peut-être lié à l'âge, car certains de ses camarades, plus jeunes, mais parcourant les murs du Parlement depuis aussi longtemps que lui, continuaient de se montrer émerveillés. Le concernant, l'architecture n'offrait plus aucun effet sur son humeur. C'était tout juste le symbole de ce qu'il devait défendre. Symbole qu'un pessimisme naturel chez lui tendait à rendre difficile à contempler, tant la tâche était dure. Le Kah, selon lui, n'était pas tant protégé des affres du capitalisme qu'isolé du reste du monde. Le sujet du jour, d'ailleurs, était directement lié à cette question.

Il voulut soupier mais se contint, principalement car deux jeunes délégués qu'il reconnut comme étant de Technocratie © approchaient de sa position. Il les salua et continua sa route dans l'élégant couloir d'été.

Il avait reçu les fiches du jour assez tôt. Comme d'habitude, la plus alarmiste était celle d'Actée Iccauhtli, du Commissariat aux affaires extérieures. Bizarrement elle n'avait jamais rien à dire sur l’éducation, qui était aussi à sa charge. Sans doute parce que le commissariat se débrouillait très bien sans sa mainmise quelque-peu envahissante.

De manière particulièrement notable, cependant, la fiche la plus intéressante émanait de Styx Notario. Généralement, la représentante de la Volonté Publique auprès de la Magistrature restait discrète. C'était une fouine, ou plutôt une vipère, qui appréciait s'extraire du principe de collégialité pour gérer les affaires de sécurité extérieure en toute indépendance. Son Commissariat suppléant à la Sûreté, qui remplissait plus ou moins le rôle de l’Égide à hors des frontières de l'Union, était son domaine réservé, nébuleuse que l'on surveillait autant que possible, mais que les nécessités de son rôle dotaient d'une indépendance toute particulière. Il était rare que Notario se donne en spectacle. Cette fois, cependant, elle avait communiqué très tôt dans la journée la nécessité de traiter d'une question qui semblait directement la concerner. C'était inhabituel, et le pessimisme de Rivera changeait cette impression en inquiétude. C'était inhabituel, donc dangereux.

Et donc, effectivement, il fallait bien donner raison à la commissaire : le sujet méritait forcément d'être traité. Il entra dans la salle de réunion, salua ses collègues, se permit un sourire en constatant qu'il était très exactement à l'heure, et pris place. Les premiers mots de Styx furent les suivants.

« Nous avons un problème, le Damann. Mais nous avons une opportunité : le Damann. »
– Vous voulez parler du gouvernement autoritaire qui s'est mis en place après la guerre civile à laquelle nous avons pris part. » La réponse vint d'Actée, qui joignit les mains sur la table et plissa les yeux. La question n'attendait pas vraiment de réponse. En fait ce n'était pas vraiment une question, juste un préambule, l'indication qu'elle réfléchissait, rassemblait déjà tout ce qu'elle savait sur la contrée celtique.

Quri Xen Suchong, de la coordination des communes, cligna des yeux.

« Oh, rien à voir avec les druides, donc.
– Non. » Styx sembla hésiter. « C'est l'affaire de l’Égide. La… Magistrature a déjà entamée une enquête. Si ils ont besoin du Commité, ils nous feront signe. Je parlais bien des affaires extérieures. » Et elle afficha un de ses sourires suffisants et froid, de serpent, qui indiquait qu'elle allait dire quelque-chose de particulièrement polémique.

« Je crois qu'il est inutile de revenir sur les dangers que représentent les communismes autoritaires pour l'expansion du Kah. Oui Aquilon ?
– Je vais vous laisser finir votre exposé, mais je tiens effectivement à souligner que l’opinion publique Kah-tanaise est déjà très hostile à la dictatrice en chef. La faute à sa petite parade militaire. Elle passe pour une César, et une mauvaise avec ça.
– Merci citoyen. Le communisme autoritaire décrédibilise toute forme de socialisme démocratique – s'approchant de l'idéal du Kah et donc qualifiable, en fait, de vraie démocratie.
– Vous n'êtes pas à la Tribune, Styx. » Isabella Zeltzin, du Commissariat au commerce extérieur et du Commissariat du maximum. Elle n'aimait pas Styx, qui lui rendait bien. « Pas besoin de nous faire une Histoire des idées. Allez droit au but, nous n'avons que quelques heures.
– Si je vais droit au but nous risquons de perdre un temps fou en débats, que mes explications auraient épargnées. Mais puisque vous l'exigez : Il nous faut intervenir là-bas. D'un part en protégeant le régime, de l'autre en réactivant mes réseaux sur place.
– Vos réseaux ? » de Rivera se redressa sur son siège. « Vous aviez principalement infiltré les mouvements d'extrême droite.
– Principalement, pas « uniquement ». Là où je veux en venir…
– Une minute. » Actée Iccauhtli, qui sortie de sa réflexion d'un air un peu outré. « Défendre le régime ? Le gouvernement légitime ? Vous voulez bien entendu parler des communistes autoritaires, de là... » Elle chercha à capter le regard du citoyen Aquilon, son allié en toute circonstance. « De la César ? Vous savez que ce n'est pas envisageable. Ni sur le plan idéologique, ni sur le plan pratique.
– Tiens ?
– Sur le plan idéologique…
– Sur le plan pratique nous avons des troupes déployées dans la région.
– Qui défendent Kotios ! »

Il y eut un moment de silence que chacun passa plongé dans une profonde réflexion. Styx se racla la gorge, doucement.

« Peut-être serait-il temps d'admettre… Que Kotios n'est qu'un projet de prestige. Et que nous avons déjà tiré tout le prestige qu'il y avait à y saisir… »

La remarque imposa un silence, ce qui la surpris. Elle pensait sincèrement provoquer des débats, une explosion de colère. Quelque-chose. Pourtant elle semblait avoir fait mouche. Ou au moins pointée du doigt un sujet véritable.

« Kotios, » admit Actée, « était principalement l'occasion de montrer au monde la nouvelle politique extérieure du Kah. La ville sera bientôt pacifiée, ce qui pourra amener à un retrait partiel des troupes. Mais ça ne change rien au fait que l'Union n'ira pas sacrifier ses citoyens pour défendre une dictature si le reste du monde décide de l'écraser.
– Et si je vous dis que nous pouvons défendre un régime démocratique ? Je parle d'une vraie démocratie. D'une démocratie directe, communaliste. En accord avec les principes du Kah.
– Je vous répondrai que ce serait idéal mais difficile à obtenir. »

Rai Itzel Sukaretto, "la princesse rouge", du Commissariat aux affaires culturelles, se racla doucement la gorge. Elle intervenait très rarement sur ces sujets, préférant de loin ce qui concernait les affaires intérieures du Kah ou la représentation diplomatique. Pourtant, elle semblait avoir quelque-chose à dire.

« Eh bien, Styx... » Et, tout doucement, pensive. « De combien de temps avez-vous besoin pour réaliser un tel miracle ?
– De combien de temps la Garde a-t-elle besoin pour libérer Kotios ? »

Plusieurs des commissaires acquiescèrent en signe d'approbation. Dans les jours qui suivirent, une commission fut secrètement créée par la Convention Générale.

Damann était à l'Ordre du Jour.
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Terres en vue

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Pour un petit groupe paramilitaire, la Francisquia Militia était bien armée et c'est normal, son pays s'en charge. Loin de leur nation et prêts à tout pour défendre quiconque sera opprimé selon eux, ils se battront jusqu'à ce que la mort les séparent comme le dit si bien leur devise. Dans l'ombre de la nuit ils attendent patiemment avant un signe, une étincelle qui pourrait incendier la poudre jusqu'au baril mais avant, ils attendent. Ils connaissent leur pouvoir et savent déjà que si le Damann ou bien les gardes côtes s'en prennent à eux la guerre sera inévitable et pourtant, ils ne la souhaite pas plus que ça car ils savent aussi ce que leur nation fera de ces pauvres innocents.

Maréchal? Je peux vous aider?

Non vous ne pouvez pas, aidez plutôt ce peuple qui ne nous connait pas encore à se libérer de ses tyrans et nous verrons

Le sort des Damann vous préoccupe tant que ça?

Pour dire vrai, non. Ce qui me préoccupe c'est ce que ce pays va devenir et surtout les conséquences de cette crise sur notre pays

Immigration, rien de plus

Détrompez-vous, tout peut arriver. Plongez-vous quelques secondes dans l'histoire, après la bataille de Dédiolias des centaines d'armoricains ont débarqués dans une petite province à l'extrême sud de l'empire ce qui a conduit à la chute d'un roi pour haute trahison. Cette fois notre pays n'y est même pas engagé alors imaginez les répercussions que cela aura

Et si il n'y en avait pas?

Toute guerre a ses répercussions. Regardez au Varanya, bientôt nous apprendrons que des pays alentours souffriront de l'après-guerre ce qui ne surprendra personne

Et y'en a t'il des bonnes?

Des bonnes de quoi? De répercussions?

Oui

Parfois oui, dans certains cas comme l'exode de grands scientifiques ou bien de personnalités importantes parfois même de soldats déserteurs voulant se battre pour un autre pays

Aucune nation n'a déclarée de guerre pour le moment, si?

Pas encore, bientôt.

Comment vous pouvez le savoir? Sans vouloir vous offenser maréchal, votre temps est différent des temps d'aujourd'hui

Je le sais et c'est pour cela que je dis que des pays déclarerons la guerre au Damann. Avant, une guerre ne se déclarait pas juste parce qu'un pays fait un peu trop ceci ou cela mais désormais si un pays n'a pas d'intérêts avec un autre et veut en créer, il doit en créer par tous les moyens. Pire, tous les dirigeants se mêlent des autres sans regarder une seconde leur pays qui va de plus en plus mal.

C'est ce que vous pensez de l'impératrice?

Ce que j'en pense c'est qu'elle a su faire les deux mais il faut espérer qu'elle n'oublie pas que son peuple passe avant celui des autres. Les gens la voient comme une femme dirigeante qui aime la dentelle et toute ces conneries mais en vérité elle est forte et très maligne, tout le monde tombe dans son piège et oublie comment elle est arrivée au pouvoir. Certains Kotioïtes sont même revenus dans l'empire lorsqu'ils ont comprit qui elle est, une sage décision.

Est-ce que vous êtes entrain de dire qu'elle pourrait déclarer la guerre au Damann?

Tu en poses des questions soldat

Je suis curieux d'entendre l'avis d'un homme expérimenté

Tu peux le dire que je suis vieux, je ne vais pas m'en cacher

Expérimenté me parait plus approprié

Si tu le dis. Pour te répondre je pense qu'elle y réfléchira à deux fois mais le simple fait qu'elle est proclamée l'âge d'or nous en donne une idée

POUR TOUTE LA FLOTTE, TERRES EN VUE! LE DAMANN!

C'est ça le Damann?

Nous ne sommes pas au plus bel endroit non plus mais oui, c'est ça
1441
Le Clairvoyant

FIN DE LA GUERRE CIVILE

La façon de faire de Sineag Buiseid, bien que très controversée à l'internationale, a cependant été très efficace. Les libéraux, unis sous les FLD, Forces Libres Damann, ont pris la retraite en embarquant près d'Aenbecan pour un lieu inconnu - une milice paramilitaire de plus qui s'enfuit de Damanie pour mieux se préparer à une reprise du pouvoir.

Et Buiseid ne s'est pas arrêtée là, et, fidèle à elle même, elle a fait spectaculaire : 3 raids ont été simultanément lancés sur les zones anarchistes, qui ne s'attendaient pas à un retour si rapide des troupes communistes depuis Alpainn. Les "Cargos de guerre" de Buiseid sont à présent partis pour les îles damann, afin d'achever cette reprise de contrôle totale sur le territoire. Mais la fin est écrite : les Communistes remportent la guerre.

Sineag Buiseid compte tenir une conférence à Ciardhai, où elle souhaiterait rencontrer des représentants de chaque pays de la Coalition Démocrate, car elle aurait "une dette envers eux pour avoir ramené la justice et l'égalité au sein de la Damanie".

Selon certaines sources, Buiseid aurait aussi pour projet de faire de nouveau une conférence avec des nations eurysiennes pour lancer un projet de "Cohésion Eurysienne". Au programme : des discussions avec l'Empire démocratiques des Etats Latins Francisquiens sur l'avenir du peuple damann, des discussions idéologiques avec le Pharois Syndikalii, puis avec l'Etat Jaguellite et le Magermelk. Enfin, Buiseid souhaiterait, dit-on, créer des liens avec Makt après sa participation à la Coalition démocrate, renforcer les liens avec l'Iwwerdon, et aller à la rencontre de la Lutharovie.
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